une première fois réelle et en trio !
Récit érotique écrit par Gigaking [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-02-2007 dans la catégorie Pour la première fois
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une première fois réelle et en trio !
Je sortais avec Marie depuis plusieurs mois déjà, une jeune brune qui avait trois ans de moins que moi. A la fac depuis quelques temps, j’avais fait sa connaissance lors de soirées estudiantines, faites pour cela, il faut bien le dire.
Nous étions vendredi et au lit depuis la veille. Souvent, les cours se finissant tôt, nous sortions très peu, préférant la chaleur de nos corps au moiteurs enfumées de salles remplies d’étudiants dissertant sur le sexe sans l’avoir jamais vraiment pratiqué.
Marie avait une amie, Valérie. « Je sais que je l'attire » m'avait-elle dit, une lueur malicieuse dans le regard, « mais elle n'a pas encore osé me l'avouer ».
Quelqu’un sonna à la porte du petit appartement que Marie louait depuis quelques mois.
Je me levai et ouvrit la porte, je fut surpris de voir Valérie, un sachet rempli de croissants à la main. Elle entra et se débarassa. Il restait du café et je l’invitais à rejoindre Marie, tandis que je préparais trois bols de café.
Je ramenais les cafés dans la chambre tandis que Marie et Valérie discutaient ensemble d’un air gêné. La conversation tournait autour de sexe, et je sentais dans l’air une atmosphère électrique.
Marie ne portait qu’une chemise de nuit satinée, courte et satinée et moi-même, un boxer. J’entrepris de poser mon plateau de café avec les croissants sur le lit, Valérie restant à côté de nous. Marie mangea avec appétit et invita Valérie à nous rejoindre dans le lit, prétextant qu’il y avait plein de miettes à chercher sous la couette.
Valérie se déshabilla, et entra dans le lit en petite culotte et t-shirt. Elle était plus grande que Marie, avait de grands yeux magnifiques et rieurs. Elle avait une poitrine toute menue et des jambes longues et musclées. Ses cheveux mi-longs laissaient apparaître des pommettes saillantes et une bouche parfaitement dessinée.
Elles riaient de bons cœurs toutes les deux, s’amusant à chercher les miettes de croissant pour les aspirer entre leurs lèvres. Valérie s’était installée dans le lit entre nous deux et les mouvements de leurs corps dans le lit en petite tenue m’avaient redonné vigueur. Il y avait des miettes jusqu’au milieu du lit et Valérie descendit les chercher, sa bouche passait à quelques centimètres de mon corps et elle en profita pour me donner quelques baisers tout doux sur mon torse musclé. La blancheur de sa peau contrastait avec la couleur de la mienne.
Marie se rendit compte de mon érection et en profita pour glisser sa main dans mon boxeur de temps à autre. L’ambiance est passée du rire à la découverte des corps…
Valérie retira son t-shirt pour laisser apparaître deux petits seins aux pointes redressées.
Marie retira sa chemise de nuit et se retrouva nue à côté de son amie. Elle commença à la caresser et ses mains allaient du corps de Valérie à mon sexe très dur. Je retirai mon boxer et pris mon sexe en main pour me branler doucement à la vue de ces deux corps en pleine découverte. Je trouvais Marie un peu gênée mais très excitée de la situation.
Ce fut Valérie qui embrassa Marie la première, de petits baisers doux et chastes. Marie lui prit les mains et lui imposa des caresses sur ses seins. Je profitais de ce spectacle merveilleux et continuais à me branler avec de plus en plus de vigueur.
Valérie descendit ses mains vers la vulve de Marie et commença à la caresser très doucement. Marie commença à gémir de plaisir. L’envie de sexe fut totalement décuplée avec ses premiers gémissements qui envahissaient la pièce.
Je commençais à caresser le corps de Valérie, m’emparant de sa petite poitrine avec mes grandes mains. Je fis rouler ses tétons entre mes doigts et elle poussa elle aussi un gémissement de plaisir. Elle approcha sa bouche de la poitrine de son amie et entreprit de lui lécher la pointe des seins. Je caressais les deux corps en action et mon sexe de bonne taille touchait les flans de Valérie, je la sentais prête à vouloir faire l’amour, son corps ondulait à la recherche de ma verge.
Je lui demandai doucement au creux de l’oreille :
« tu veux bien ? »
Elle me répondit, dans un murmure :
« oui, mais doucement, c'est la première fois… »
Je la retournais sur le dos et j’entrepris de lui lécher la vulve. J’emplissais de salive son sexe au maximum sachant que mon sexe de bonne taille aurait du mal à la pénétrer.
Elle se laissa aller à mes caresses buccales et continuait d’explorer avec ses doigts sa compagne. Marie prenait beaucoup de plaisir.
La sentant prête à me recevoir, je remontais, me plaçant entre ses jambes. Je l’embrassais avec passion pour la détendre. Marie s’était assise plus haut sur le lit et accueillait la tête de Valérie sur ses cuisses, lui caressant les cheveux.
Je guidais mon sexe avec ma main et je trouvais rapidement l’entrée de sa grotte remplie de salive et de mouille. Mon gland franchit les petites lèvres mais se trouva bloqué contre son hymen. Valérie se montra coopérative et commença à onduler du bassin pour favoriser cette première fois.
Je poussais un peu plus fort mais j’avais peur de lui faire mal. J’étais très très excité par la sensation de ce sexe tout étroit que j’essayais de former à ma taille. J’optais finalement pour des va-et-vient jusqu’à l’hymen. Valérie gémit à la fois de plaisir et un peu de douleur à la vigueur de mes mouvements.
Marie approcha ses lèvres de Valérie et l’embrassa doucement. Elle se détendit un peu plus et finalement, je sentis la rupture de son hymen. Je réussis à enfin emplir son vagin en entier et la douleur passée, Valérie commença à apprécier mes mouvements en elle. Sa respiration se fit haletante et Marie la couvrait de petits baisers sur tout le visage.
Le frottement de ce vagin étroit me donna beaucoup de plaisir et je ne pus me retenir très longtemps. Je me retirai pour jouir sur son ventre, de longues saccades de sperme vinrent se plaquer sur son abdomen.
Marie entreprit de me redonner envie avec une fellation et lorsque Valérie revint, elle me suçait avec frénésie et ardeur.
Valérie se sentit de trop et préféra partir sans bruit.
Je la revis par la suite... sans Marie... celle ci ne me l'a pas pardonné... doucement son amour pour moi est parti, mais plus encore, celui qu'elle portait à Valérie... Valérie qui s'avéra une élève appliquée dans l'apprentissage de l'amour et du sexe que je me fis un plaisir de lui enseigner, avant qu'elle ne s'en aille, elle aussi, vers d'autres horizons...
Nous étions vendredi et au lit depuis la veille. Souvent, les cours se finissant tôt, nous sortions très peu, préférant la chaleur de nos corps au moiteurs enfumées de salles remplies d’étudiants dissertant sur le sexe sans l’avoir jamais vraiment pratiqué.
Marie avait une amie, Valérie. « Je sais que je l'attire » m'avait-elle dit, une lueur malicieuse dans le regard, « mais elle n'a pas encore osé me l'avouer ».
Quelqu’un sonna à la porte du petit appartement que Marie louait depuis quelques mois.
Je me levai et ouvrit la porte, je fut surpris de voir Valérie, un sachet rempli de croissants à la main. Elle entra et se débarassa. Il restait du café et je l’invitais à rejoindre Marie, tandis que je préparais trois bols de café.
Je ramenais les cafés dans la chambre tandis que Marie et Valérie discutaient ensemble d’un air gêné. La conversation tournait autour de sexe, et je sentais dans l’air une atmosphère électrique.
Marie ne portait qu’une chemise de nuit satinée, courte et satinée et moi-même, un boxer. J’entrepris de poser mon plateau de café avec les croissants sur le lit, Valérie restant à côté de nous. Marie mangea avec appétit et invita Valérie à nous rejoindre dans le lit, prétextant qu’il y avait plein de miettes à chercher sous la couette.
Valérie se déshabilla, et entra dans le lit en petite culotte et t-shirt. Elle était plus grande que Marie, avait de grands yeux magnifiques et rieurs. Elle avait une poitrine toute menue et des jambes longues et musclées. Ses cheveux mi-longs laissaient apparaître des pommettes saillantes et une bouche parfaitement dessinée.
Elles riaient de bons cœurs toutes les deux, s’amusant à chercher les miettes de croissant pour les aspirer entre leurs lèvres. Valérie s’était installée dans le lit entre nous deux et les mouvements de leurs corps dans le lit en petite tenue m’avaient redonné vigueur. Il y avait des miettes jusqu’au milieu du lit et Valérie descendit les chercher, sa bouche passait à quelques centimètres de mon corps et elle en profita pour me donner quelques baisers tout doux sur mon torse musclé. La blancheur de sa peau contrastait avec la couleur de la mienne.
Marie se rendit compte de mon érection et en profita pour glisser sa main dans mon boxeur de temps à autre. L’ambiance est passée du rire à la découverte des corps…
Valérie retira son t-shirt pour laisser apparaître deux petits seins aux pointes redressées.
Marie retira sa chemise de nuit et se retrouva nue à côté de son amie. Elle commença à la caresser et ses mains allaient du corps de Valérie à mon sexe très dur. Je retirai mon boxer et pris mon sexe en main pour me branler doucement à la vue de ces deux corps en pleine découverte. Je trouvais Marie un peu gênée mais très excitée de la situation.
Ce fut Valérie qui embrassa Marie la première, de petits baisers doux et chastes. Marie lui prit les mains et lui imposa des caresses sur ses seins. Je profitais de ce spectacle merveilleux et continuais à me branler avec de plus en plus de vigueur.
Valérie descendit ses mains vers la vulve de Marie et commença à la caresser très doucement. Marie commença à gémir de plaisir. L’envie de sexe fut totalement décuplée avec ses premiers gémissements qui envahissaient la pièce.
Je commençais à caresser le corps de Valérie, m’emparant de sa petite poitrine avec mes grandes mains. Je fis rouler ses tétons entre mes doigts et elle poussa elle aussi un gémissement de plaisir. Elle approcha sa bouche de la poitrine de son amie et entreprit de lui lécher la pointe des seins. Je caressais les deux corps en action et mon sexe de bonne taille touchait les flans de Valérie, je la sentais prête à vouloir faire l’amour, son corps ondulait à la recherche de ma verge.
Je lui demandai doucement au creux de l’oreille :
« tu veux bien ? »
Elle me répondit, dans un murmure :
« oui, mais doucement, c'est la première fois… »
Je la retournais sur le dos et j’entrepris de lui lécher la vulve. J’emplissais de salive son sexe au maximum sachant que mon sexe de bonne taille aurait du mal à la pénétrer.
Elle se laissa aller à mes caresses buccales et continuait d’explorer avec ses doigts sa compagne. Marie prenait beaucoup de plaisir.
La sentant prête à me recevoir, je remontais, me plaçant entre ses jambes. Je l’embrassais avec passion pour la détendre. Marie s’était assise plus haut sur le lit et accueillait la tête de Valérie sur ses cuisses, lui caressant les cheveux.
Je guidais mon sexe avec ma main et je trouvais rapidement l’entrée de sa grotte remplie de salive et de mouille. Mon gland franchit les petites lèvres mais se trouva bloqué contre son hymen. Valérie se montra coopérative et commença à onduler du bassin pour favoriser cette première fois.
Je poussais un peu plus fort mais j’avais peur de lui faire mal. J’étais très très excité par la sensation de ce sexe tout étroit que j’essayais de former à ma taille. J’optais finalement pour des va-et-vient jusqu’à l’hymen. Valérie gémit à la fois de plaisir et un peu de douleur à la vigueur de mes mouvements.
Marie approcha ses lèvres de Valérie et l’embrassa doucement. Elle se détendit un peu plus et finalement, je sentis la rupture de son hymen. Je réussis à enfin emplir son vagin en entier et la douleur passée, Valérie commença à apprécier mes mouvements en elle. Sa respiration se fit haletante et Marie la couvrait de petits baisers sur tout le visage.
Le frottement de ce vagin étroit me donna beaucoup de plaisir et je ne pus me retenir très longtemps. Je me retirai pour jouir sur son ventre, de longues saccades de sperme vinrent se plaquer sur son abdomen.
Marie entreprit de me redonner envie avec une fellation et lorsque Valérie revint, elle me suçait avec frénésie et ardeur.
Valérie se sentit de trop et préféra partir sans bruit.
Je la revis par la suite... sans Marie... celle ci ne me l'a pas pardonné... doucement son amour pour moi est parti, mais plus encore, celui qu'elle portait à Valérie... Valérie qui s'avéra une élève appliquée dans l'apprentissage de l'amour et du sexe que je me fis un plaisir de lui enseigner, avant qu'elle ne s'en aille, elle aussi, vers d'autres horizons...
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