Une première imprévue
Récit érotique écrit par Dezidai [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-11-2012 dans la catégorie Pour la première fois
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Une première imprévue
C'était il y a 4 ans, j'avais 16 ans, c'est à l'occasion d'une grande fête
de famille que tout l'étage d'un immeuble à été mobilisé.
A cet étage il y avait 4 appartement, portes grandes ouverte, ça circulait
comme dans un supermarché, c'était la fête, le bruit, la musique, les
hurlements des uns et des autres...
J'étais l'un des rares jeunes à ne pas connaitre tout le monde, je me suis
alors isolé dans une chambre pour jouer aux jeux vidéos.
Sans que je ne m'en aperçoivent, tout le monde avait fini dans un des
appartements pour je ne sais quel raison, une vidéo, un discours peut être..
Et voilà je me retrouve seul, sans un son autour de moi..
La porte de la chambre s'ouvre, c'est ma cousine qui entre accompagnée d'une
amie à elle . . Jupe et décolleté, voilà ce que j'ai de suite remarqué chez
son amie. Elles étaient essouflées, elles ont surement passés leurs temps à
danser comme des folles. Ma cousine toujours aussi énergique après avoir
jetée un coup d'oeil dans la chambre s'est vite empressée de rejoindre la
foule pour continuer à se déchaîné, mais c'était une autre affaire pour son
amie qui est venu s'allonger tout juste à côté de moi, dans le même lit.
Je lui donnais mon âge peut être 2 ans de plus, elle était très bien faite
et même en avance vu le volume de ses seins, son corps me captivais.
Alors que je continuais de m'excitais sur ma manette de jeux, mon regard
quittais l'écran pour déshabillé son corps derrière moi. Elle était belle et
elle me fesait rire étendue là et remuant ses hanches comme pour dire
qu'elle avait encore la force de danser. Elle se retournait, un coup sur le
ventre puis sur le dos . . J'avais là de quoi m'imaginais les meilleurs
scènes, une petite demoiselle étendue derrière moi avec une paire de fesses
dans une jupe bien moulante que je me ferais un plaisir de remonter et un
decolleté qui voudrait s'enlevait tout seul vu comment elle se frottait au
lit.
Avec l'insistance de mon regard sur elle, je me fis de suite remarquer. Elle
en rigolait et commença à se rapprocher. Pendant qu'on se présenté l'un à
l'autre, j'avais laché ma manette et une main c'était naturellement posé sur
sa jambe. Après quelque phrases échangées, je me retrouvais pratiquement sur
elle, à lui masser les jambes pour une soit disante crampe dont elle se
plaignait. Je prenais un malin plaisir à effleuré ses fesses au fur et à
mesures que mes mains montaient le long de ses jambes. Mais je restais bien
trop innocent et elle le perçevait. Tout doucement elle se redressa du lit
en ayant pris le temps de se frotter à moi puis me demanda "Tu m'apprend à
jouer" ? A mon grand regret elle parlait de la console. Elle pris la manette
et sans détour s'asseyea sur mes genoux . . D'acoooord je ne te dirais pas
non.
Je lui montre le fonctionnement du jeux et pendant tout ce temps elle
s'amusait à bouger son cul contre moi jusqu'a en ressentir la bosse qu'elle
avait provoqué sous mon jean et ça ne l'arrête pas, bien au contraire.Je
savais bien ce que j'avais à faire, je mis mes mains autour de sa taille et
commençais à tendrement la secouer moi même d'avant en arrière, j'en avait
mal au sexe. Je me sentait tellement serré dans mon boxer que je pris la
peine de mettre la main sous mon jeans pour tenter de trouver une place plus
confortable pour mon engin qui attendait juste de la fourré. Elle me sentit
faire et guider ma main en dehors du paquet, le sexe encore empoigné.
Elle remonta sa jupe, hotta sa petite culotte très simplement et là grand
bonheur, elle me saisit du bout des doigts et se rassis cette fois, empalé
par ma verge. Ma grande première ! Je sentis un frisson entièrement me
parcourir, sa chair et la mienne en contact . . Le pure bien être.
Je ne pouvais pas bouger de peur d'être maladroit et je ne voulais pas
bouger, j'etais si bien en elle. Elle comme si de rien était, continuait de
tripoter la manette en faisant semblant de jouer, mais elle aimait ça, ses
jambes se resseraient de plaisirs et j'entendais sa petite voix me demander
plus encore.
Alors que je l'avais entièrement pour moi, mise à part mes mains baladeuse
sur ses seins et ses jambes, je n'ai pas su me montré entreprenant et ça ma
bite le ressentait, j'avais besoin de bouger en elle où bien j'allais
explosais. Après quelques minutes dans la meme position elle me sorti d'une
petite voix très sensuelle "Je suis fatigué", elle se releva et repartis se
couché derrière moi. J'etais dépiter "Partir comme ça après tant de
provocations ? Non alors !" Sa mouille avait fait brillé ma queue toute
rouge à cause de cette première fois pour moi, le sang dans mon corps
bouilloné et allé me rendre fou. Je la regarde et je vois bien qu'elle peut
encore me reçevoir, elle n'avait même pas pris la peine de rabaisser sa jupe
et me laisser ses bonnes fesses toute prête à être satisfaite.
Ni une ni deux, comme un accro prêt de sa dose, je me suis totalement libéré
de mon jeans et sans tarder je me suis introduit en elle à nouveau, c'était
comme une énorme envie de respirer. Cette fois je suis en mesure de bouger
et je ne m'en prive pas, j'enchaine les vas et viens dans sa chatte, à
chaque coup de mes hanches, je l'entends gémire de plaisir. Il faut dire
qu'en tant que black, j'ai de quoi la rendre heureuse. Curieux de tout
observer, je m'amuse à entièrement refaire la pénétration en prenant soin
d'écarté au maximum sa paire de fesses pour ne rien raté du spectacle.
Ensuite je me mis à faire tout le contraire, je me collais à son dos et
agrippais ses seins, je voulais m'enfonçait le plus loin possible, elle
était ma chose, totalement à moi.
Fini de se montré délicat, je voulais l'entendre crié, je n'hésite pas à lui
prendre une de ses jambes pour lui faire faire le grand écart, je veux
qu'elle me ressente entièrement et je suis chanceux, elle s'avère être très
souple. La situation était orgasmique, c'était pire que d'avoir faim, je ne
pouvais pas me rassasié, il m'en fallait encore plus toujours plus. Il me
semble qu'elle esseya de se mettre à quatre patte mais sans succès, je la
dominais totalement, je ne voulais pas qu'elle se relève. Tout se contact
soudain avec sa chair, son parfum, cette voix, la chaleur de son corps, j'en
aurait bien volontier perdu la tête . . .
Aucune préoccupation ne m'envahissait du style "pas de capote...". Et alors
? Il faut bien se faire plaisir, pour une première, ça en vaut largement le
coup. Je continue de limé sa chatte sans interruption, le plaisir est grand
! Et voilà que je sens monté en moi un peu de mon sperme, pas le choix je
vais changer de trou et finir là où je peux. Je prend le temps de lui bavé
légèrement au bord de son cul et m'y enfoncé aussi vite que je pouvais,
quitte à souffrir un peu; on était prêt à tout, ormis des petits cris de
douleurs, elle ne m'arrêta pas. Ce fut une fin extraordinaire pour moi, je
déversais tout ce que j'avais au plus profond d'elle, l'orgasme faisait
gonflé ma queue et ça la paralysé complètement.
Voilà je me retire mais je ne peux m'empêcher de vouloir recommencer, faire
mieux, encore plus, d'une autre façon. Mes yeux ne lâche plus son bas ventre
. . Après lui avoir sucer les seins, je retourne entre ses jambes pour
continuer avec ma langue, j'avais encore bien trop à découvrir.
de famille que tout l'étage d'un immeuble à été mobilisé.
A cet étage il y avait 4 appartement, portes grandes ouverte, ça circulait
comme dans un supermarché, c'était la fête, le bruit, la musique, les
hurlements des uns et des autres...
J'étais l'un des rares jeunes à ne pas connaitre tout le monde, je me suis
alors isolé dans une chambre pour jouer aux jeux vidéos.
Sans que je ne m'en aperçoivent, tout le monde avait fini dans un des
appartements pour je ne sais quel raison, une vidéo, un discours peut être..
Et voilà je me retrouve seul, sans un son autour de moi..
La porte de la chambre s'ouvre, c'est ma cousine qui entre accompagnée d'une
amie à elle . . Jupe et décolleté, voilà ce que j'ai de suite remarqué chez
son amie. Elles étaient essouflées, elles ont surement passés leurs temps à
danser comme des folles. Ma cousine toujours aussi énergique après avoir
jetée un coup d'oeil dans la chambre s'est vite empressée de rejoindre la
foule pour continuer à se déchaîné, mais c'était une autre affaire pour son
amie qui est venu s'allonger tout juste à côté de moi, dans le même lit.
Je lui donnais mon âge peut être 2 ans de plus, elle était très bien faite
et même en avance vu le volume de ses seins, son corps me captivais.
Alors que je continuais de m'excitais sur ma manette de jeux, mon regard
quittais l'écran pour déshabillé son corps derrière moi. Elle était belle et
elle me fesait rire étendue là et remuant ses hanches comme pour dire
qu'elle avait encore la force de danser. Elle se retournait, un coup sur le
ventre puis sur le dos . . J'avais là de quoi m'imaginais les meilleurs
scènes, une petite demoiselle étendue derrière moi avec une paire de fesses
dans une jupe bien moulante que je me ferais un plaisir de remonter et un
decolleté qui voudrait s'enlevait tout seul vu comment elle se frottait au
lit.
Avec l'insistance de mon regard sur elle, je me fis de suite remarquer. Elle
en rigolait et commença à se rapprocher. Pendant qu'on se présenté l'un à
l'autre, j'avais laché ma manette et une main c'était naturellement posé sur
sa jambe. Après quelque phrases échangées, je me retrouvais pratiquement sur
elle, à lui masser les jambes pour une soit disante crampe dont elle se
plaignait. Je prenais un malin plaisir à effleuré ses fesses au fur et à
mesures que mes mains montaient le long de ses jambes. Mais je restais bien
trop innocent et elle le perçevait. Tout doucement elle se redressa du lit
en ayant pris le temps de se frotter à moi puis me demanda "Tu m'apprend à
jouer" ? A mon grand regret elle parlait de la console. Elle pris la manette
et sans détour s'asseyea sur mes genoux . . D'acoooord je ne te dirais pas
non.
Je lui montre le fonctionnement du jeux et pendant tout ce temps elle
s'amusait à bouger son cul contre moi jusqu'a en ressentir la bosse qu'elle
avait provoqué sous mon jean et ça ne l'arrête pas, bien au contraire.Je
savais bien ce que j'avais à faire, je mis mes mains autour de sa taille et
commençais à tendrement la secouer moi même d'avant en arrière, j'en avait
mal au sexe. Je me sentait tellement serré dans mon boxer que je pris la
peine de mettre la main sous mon jeans pour tenter de trouver une place plus
confortable pour mon engin qui attendait juste de la fourré. Elle me sentit
faire et guider ma main en dehors du paquet, le sexe encore empoigné.
Elle remonta sa jupe, hotta sa petite culotte très simplement et là grand
bonheur, elle me saisit du bout des doigts et se rassis cette fois, empalé
par ma verge. Ma grande première ! Je sentis un frisson entièrement me
parcourir, sa chair et la mienne en contact . . Le pure bien être.
Je ne pouvais pas bouger de peur d'être maladroit et je ne voulais pas
bouger, j'etais si bien en elle. Elle comme si de rien était, continuait de
tripoter la manette en faisant semblant de jouer, mais elle aimait ça, ses
jambes se resseraient de plaisirs et j'entendais sa petite voix me demander
plus encore.
Alors que je l'avais entièrement pour moi, mise à part mes mains baladeuse
sur ses seins et ses jambes, je n'ai pas su me montré entreprenant et ça ma
bite le ressentait, j'avais besoin de bouger en elle où bien j'allais
explosais. Après quelques minutes dans la meme position elle me sorti d'une
petite voix très sensuelle "Je suis fatigué", elle se releva et repartis se
couché derrière moi. J'etais dépiter "Partir comme ça après tant de
provocations ? Non alors !" Sa mouille avait fait brillé ma queue toute
rouge à cause de cette première fois pour moi, le sang dans mon corps
bouilloné et allé me rendre fou. Je la regarde et je vois bien qu'elle peut
encore me reçevoir, elle n'avait même pas pris la peine de rabaisser sa jupe
et me laisser ses bonnes fesses toute prête à être satisfaite.
Ni une ni deux, comme un accro prêt de sa dose, je me suis totalement libéré
de mon jeans et sans tarder je me suis introduit en elle à nouveau, c'était
comme une énorme envie de respirer. Cette fois je suis en mesure de bouger
et je ne m'en prive pas, j'enchaine les vas et viens dans sa chatte, à
chaque coup de mes hanches, je l'entends gémire de plaisir. Il faut dire
qu'en tant que black, j'ai de quoi la rendre heureuse. Curieux de tout
observer, je m'amuse à entièrement refaire la pénétration en prenant soin
d'écarté au maximum sa paire de fesses pour ne rien raté du spectacle.
Ensuite je me mis à faire tout le contraire, je me collais à son dos et
agrippais ses seins, je voulais m'enfonçait le plus loin possible, elle
était ma chose, totalement à moi.
Fini de se montré délicat, je voulais l'entendre crié, je n'hésite pas à lui
prendre une de ses jambes pour lui faire faire le grand écart, je veux
qu'elle me ressente entièrement et je suis chanceux, elle s'avère être très
souple. La situation était orgasmique, c'était pire que d'avoir faim, je ne
pouvais pas me rassasié, il m'en fallait encore plus toujours plus. Il me
semble qu'elle esseya de se mettre à quatre patte mais sans succès, je la
dominais totalement, je ne voulais pas qu'elle se relève. Tout se contact
soudain avec sa chair, son parfum, cette voix, la chaleur de son corps, j'en
aurait bien volontier perdu la tête . . .
Aucune préoccupation ne m'envahissait du style "pas de capote...". Et alors
? Il faut bien se faire plaisir, pour une première, ça en vaut largement le
coup. Je continue de limé sa chatte sans interruption, le plaisir est grand
! Et voilà que je sens monté en moi un peu de mon sperme, pas le choix je
vais changer de trou et finir là où je peux. Je prend le temps de lui bavé
légèrement au bord de son cul et m'y enfoncé aussi vite que je pouvais,
quitte à souffrir un peu; on était prêt à tout, ormis des petits cris de
douleurs, elle ne m'arrêta pas. Ce fut une fin extraordinaire pour moi, je
déversais tout ce que j'avais au plus profond d'elle, l'orgasme faisait
gonflé ma queue et ça la paralysé complètement.
Voilà je me retire mais je ne peux m'empêcher de vouloir recommencer, faire
mieux, encore plus, d'une autre façon. Mes yeux ne lâche plus son bas ventre
. . Après lui avoir sucer les seins, je retourne entre ses jambes pour
continuer avec ma langue, j'avais encore bien trop à découvrir.
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