Une pute de plus (1) - histoire érotique

L'histoire de Deanna

J'ai rencontré Lewis il y a quelques années au travail. Je travaillais comme représentante du service clientèle depuis environ un an lorsque Lewis a été embauché pour le même poste. Nous travaillons pour une grande entreprise et l'étage où nous travaillons compte une centaine de représentants comme nous, dans des box, qui répondent aux appels téléphoniques et aident les gens.

Au début, je n'ai guère prêté attention à Lewis parce qu'il travaillait dans une équipe différente de la mienne. Lorsqu'un nouvel employé rejoint l'entreprise, il est généralement présenté rapidement, mais je me souviens avoir pensé que Lewis était relativement séduisant pour un homme noir. Avant que vous ne me traitiez de raciste, laissez-moi vous dire que je suis née et que j'ai grandi dans une région du pays où l'on ne voyait pas beaucoup de Noirs et où j'ai eu peu de contacts directs avec eux en tant que peuple. Cela dit, je ne les ai jamais trouvés très séduisants, même les stars de cinéma connues pour leur physique, comme Denzel et Halle. Sans vouloir vous offenser, je pense simplement que les Blancs sont plus beaux, et nous en resterons là.

Comme je le disais, je n'ai pas vraiment eu l'occasion de penser à Lewis jusqu'à ce que je sois promu et que je me retrouve à la tête d'une équipe qui comprenait, vous savez qui. Je n'étais pas la moins du monde inquiète, car je n'ai aucune animosité à l'égard des Noirs, et j'ai rapidement appris à apprécier Lewis en tant que travailleur talentueux et consciencieux, et aussi en tant qu'homme sympathique.

L'une de mes tâches en tant que manager consiste à rencontrer chacun de mes collaborateurs une fois par mois dans le cadre de séances de coaching individuelles à huis clos. Pendant les premiers mois, Lewis et moi sommes restés très professionnels et avons limité l'heure aux questions liées au travail et à ses rapports d'évaluation.

Puis les choses ont commencé à changer. Je ne peux pas vraiment dire que Lewis a commencé à me draguer ou à avoir des comportements déplacés, car cela ne s'est jamais produit. Mais après les premières réunions d'affaires dans mon bureau, vers la fin d'une séance, il a commencé à me poser des questions sur mon mari et ma vie en dehors du bureau. Nous ne nous sommes pas attardés sur quoi que ce soit, mais à chaque réunion, les discussions professionnelles se terminaient un peu plus tôt et les discussions personnelles devenaient un peu plus personnelles. Lewis m'a mise à l'aise, surtout parce qu'il est très sympathique et qu'il semble s'intéresser sincèrement à moi en tant que personne, et pas seulement en tant que manager.

Après presque un an de réunions mensuelles et de bavardages occasionnels dans la salle de pause de l'entreprise en présence d'autres collègues, les conversations ont commencé à prendre un ton légèrement sexuel. Il n'y avait rien de flagrant ou de mauvais goût, rien qui ne puisse éveiller mes soupçons quant à ses intentions, juste un badinage amical qui est devenu de plus en plus amical.

Un après-midi de printemps, plusieurs cadres de notre département se sont rendus dans un bar avec un espace extérieur pour prendre un verre, car le temps devenait agréable après un long hiver. Je les ai accompagnés (ce que je fais rarement, n'étant pas une grande buveuse) et nous sommes tombés sur un groupe de représentants qui étaient déjà assis à plusieurs tables qu'ils avaient réunies. J'avais un peu trop bu de vin blanc et pas assez mangé lorsque j'ai rencontré Lewis, qui est arrivé en retard mais qui avait l'air très heureux de me voir. Nous avons discuté et plaisanté pendant deux heures et nous nous sommes bien amusés jusqu'à ce que je prenne soudain conscience que tous les autres membres de notre bureau étaient partis. Je ne sais pas pourquoi il m'a fallu tant de temps pour réaliser que j'étais essentiellement seule avec Lewis, mais je me suis rendu compte que j'avais une merveilleuse conversation avec l'un de mes employés, qui s'avérait être jeune et noir et qui, en plus, était plutôt beau garçon après tout. L'air de la nuit s'était considérablement rafraîchi et nous sommes entrés dans le bar pour payer l'addition lorsque, dans mon état d'ébriété, je me suis rendu compte que les gens me regardaient en se demandant ce que cette femme blanche faisait avec ce Noir. Ce qui m'a un peu énervée.

Pendant que Lewis attendait que le barman vérifie sa carte de crédit, j'ai décidé de donner un peu de spectacle à ces connards dans le bar, je me suis appuyée contre Lewis, j'ai passé mon bras autour de sa taille et je lui ai chuchoté à l'oreille qu'il ferait mieux de faire attention, car tout le monde dans cet endroit ne nous approuvait pas. Lewis a tourné la tête très légèrement et m'a répondu en chuchotant qu'il se fichait éperdument de ce que pensaient les gens dans le bar, qu'il passait un bon moment et que nous devrions sortir dans sa voiture et passer un moment encore meilleur, parce qu'aucun de nous n'était en état de conduire jusqu'à la maison.

J'ai répondu que c'était une excellente idée.

L'histoire de Lewis

La première fois que j'ai vu Deanna, j'ai su qu'un jour, je ferais ce que je voulais d'elle. Je sais que cela peut paraître arrogant, mais je jure que c'est ce que je pensais. Je savais aussi que cela prendrait du temps. J'ai tout de suite su quel était son type - une éducation blanche dans le nord glacé, rien que des Vikings aux cheveux blonds et aux yeux bleus partout où l'on regardait, pas une trace de couleur à trouver. Elle allait être un projet, mais un projet qui en valait la peine.

Elle avait sur son bureau une photo d'elle et de ses deux sœurs, il y a plusieurs années, peut-être toutes rentrées de l'université pour l'été. Elles étaient toutes en maillot de bain, des petits maillots qui montraient tout ce qu'elles avaient dans le ventre, avec des sourires, des embrassades et de bons sentiments. Mais le plus important pour moi, c'est que Deanna, aussi belle soit-elle sur cette photo, était le vilain petit canard de la famille. Sans déconner, une sœur ressemblait à un mannequin de Sports Illustrated Swimsuit Edition et l'autre avait l'air de figurer dans le catalogue de Victoria Secrets.

J'ai découvert plus tard que Deanna était la sœur du milieu, qu'elle se sentait toujours moins spéciale et qu'elle manquait un peu de confiance en elle, ce qui est tout à fait dans mes cordes. Pour moi, il n'y a rien de pire que le type classique de femme née jolie, qui a appris tôt et souvent qu'elle pouvait tourner les garçons autour de son petit doigt et obtenir tout ce qu'elle voulait, et Deanna n'était pas comme ça. Elle a toujours eu l'air un peu bête, comme si elle n'avait aucune idée de sa beauté et ignorait complètement ce qu'elle pouvait faire de cette beauté et de ce corps si elle le voulait.

Mais je m'éloigne du sujet. Je suis moi-même un peu ringard, car je viens du Canada et je ne suis pas du tout au courant des manières des frères noirs dans le quartier. Ma famille était aisée, mais pas ultra-riche, et je ne me sentais pas à ma place dans les internats où l'on m'a envoyé après m'avoir renvoyé de toutes les écoles publiques de notre petite ville. J'ai appris à parler aux filles blanches riches et à les amener à me faire confiance et à me donner ce que je voulais. Je n'ai jamais été avec une fille noire et avec un peu de chance, je n'aurai jamais à l'être, parce que les femmes blanches le font pour moi, plus elles sont blanches et blondes, mieux c'est. Et je n'ai jamais vu une femme aussi blanche, blonde et mûre pour la prise que Deanna.

On pourrait penser que le fait que Deanna soit mariée me pose un problème. Eh bien, vous vous trompez. Au contraire, le fait qu'elle soit mariée la rendait encore plus désirable à mes yeux. Le fait qu'elle n'aime manifestement pas les Noirs m'a également beaucoup plu. J'ai eu ma part de filles blanches qui n'attendaient qu'une chose : s'encanailler un peu avec le gamin noir de service, et bien que ce scénario ait toujours son charme, je commençais à en avoir un peu marre de tirer sur des poissons dans un tonneau.

Deanna était le défi parfait. Il y a quelque chose d'indéniable dans les yeux des femmes blanches qui ne trouvent pas les hommes noirs attirants. Je le vois tout le temps. Je sais que je suis un beau garçon, pas prêt pour GQ peut-être, mais suffisamment pour savoir ce que j'apporte à la table. De nombreuses femmes m'ont dit que j'étais le meilleur morceau de chocolat noir qu'elles aient jamais goûté, et je ne suis pas en mesure de les contredire.

Donc, après une année entière de préparation, cette nuit d'avril dernier au bar après le travail était parfaite. J'avais chauffé Deanna en cachette, l'amenant à baisser ses défenses et la trouvant dans le cadre parfait, avec juste la bonne attitude. Quand elle a passé son bras autour de moi alors que je payais l'addition, j'ai su ce qui allait se passer ensuite.

Je l'ai emmenée jusqu'à ma voiture et l'ai obligée à me donner ses clés. Il y a quelque chose de très primitif dans le fait de confisquer à une femme son moyen de s'échapper. Non pas que Deanna cherchait à fuir quoi que ce soit. À peine étions-nous dans la voiture qu'elle était déjà sur moi, frottant ses magnifiques seins contre ma poitrine, m'embrassant si fort que j'ai cru qu'elle perdait la tête. Cette fille avait dépassé son aversion pour les hommes noirs.

Après un bon moment de pelotage, je l'ai repoussée et j'ai sorti mes clés.

« Je croyais que tu avais dit qu'aucun de nous deux ne devait conduire... », a-t-elle demandé, sans tenter de m'empêcher de l'emmener.

« Mon appartement est juste au coin de la rue », ai-je dit. « Je ne veux pas faire ça dans la voiture. »

« Faire quoi ? » A-t-elle demandé avec une innocence feinte. « Je suis une femme mariée. Que penses-tu qu'il va se passer ? »

« Ce que je sais, c'est que je vais te ramener chez moi, te déshabiller, te baiser toute la nuit et te renvoyer chez ton mari le matin avec un de mes sweats à capuche, tes talons hauts et du sperme noir dégoulinant de ta chatte blanche et douloureuse. C'est ce qui va se passer. »

Et c'est exactement ce qui s'est passé.