Une relation haute en couleurs (1)
Récit érotique écrit par Micky [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
- • 280 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 9.4 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.5
- • L'ensemble des récits érotiques de Micky ont reçu un total de 2 610 592 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-12-2020 dans la catégorie Plus on est
Cette histoire de sexe a été affichée 8 998 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Une relation haute en couleurs (1)
La rencontre entre Samia et Myriam eut lieu dans la salle d'attente d'un cabinet d'avocats. Toutes les deux étaient venues consulter pour une procédure de divorce, suite à l'infidélité prolongée de leur époux. Leurs deux avocats respectifs se faisant attendre, Samia la Tunisienne et Myriam la Sénégalaise (de filiation) ne tardèrent pas à tromper leur ennui en papotant. Elles se trouvèrent rapidement des points communs et pas seulement en raison de leur origine. Leurs déconvenues conjugales constituaient évidemment le sujet principal, compliquées par leur âge commun (la quarantaine) et le problème induit des enfants. Leur physique était évidemment dissemblable. Avec ses cheveux de jais cascadant sur ses épaules, ses lunettes carrées, ses longues jambes et une certaine distinction, la Beurette à peau claire se distinguait de l'Africaine à la coiffure ornée de petites tresses, sa forte charpente laissant entrevoir un corps puissant. Comme elles sortirent de la consultation quasiment en même temps, elles décidèrent de prolonger leur conversation dans le café voisin. Elles se promirent de se téléphoner pour suivre l'évolution de leur situation, et même de se revoir.
Le hasard les fit se rencontrer quelques jours plus tard dans un magasin de vêtements. Myriam se penchait sur une petite robe sexy, en pleine réflexion, quand Samia lui tapota l'épaule :- Alors, on hésite ?
- Ah, salut toi. Comment ça va ?
- Couci couça. Cette procédure n'en finit pas.
- Tu l'as dit. Mais moi, j'ai pris les devants. Je me suis barrée. Tant pis pour les conséquences, je n'en pouvais plus.
- Tiens, c'est drôle. Moi aussi. Avec les gosses ?
- Ah non alors ! J'ai retrouvé ma liberté et je l'ai laissé se débrouiller tout seul. Il a gardé la maison avec les enfants, j'ai pris un studio en location.
- Incroyable ! J'ai fait exactement pareil ! Mais je vois ma fille régulièrement. Elle vient d'avoir 18 ans et elle vit sa vie.
- Ah ben, on aurait pu prendre un appart à deux si j'avais su.
- C'est vrai, tiens. Pourquoi pas plus tard ? Dis donc, elle est vachement chouette cette petite robe.
- Ouais... Un peu chère. Mais je vais l'essayer. Tu restes pour voir ?
Lorsque Myriam sortit de la cabine d'essayage, Samia ressentit un petit choc. Certes, elle avait pu constater que son amie Noire était très sexuée. Mais moulée dans cette petite robe à fine bretelles, sa sexualité éclaboussait littéralement le magasin. Ses seins obusiers débordaient du décolleté et du soutif, sa forte cambrure faisait ressortir un fessier plantureux, ses cuisses puissantes tendaient le tissu en dessous de la taille, bref cette robe n'était pas faite pour ce corps à la Serena Williams mais n'importe quel mâle passant à proximité aurait triqué en la voyant ainsi affublée.
- Alors, qu'en penses-tu ? demanda-t-elle à Samia.
- Euh... Je ne sais pas si elle te va vraiment bien mais ce qui est sûr, c'est que c'est un appel au viol.
- C'est justement ce que je veux. Ras le bol des robes qui effacent mon gros cul et mes gros nichons.
Et s'avançant pour chuchoter à l'oreille de sa nouvelle amie : "Je veux qu'on ait envie de me baiser en me voyant".
Samia pouffa de rire. Myriam était décidément une femme peu ordinaire. Elle n'avait pas sa liberté de ton. Mais étant dans le même état d'esprit revanchard, elle n'était plus très loin de l'approuver. Et quand Myriam lui lança "essayes-en une aussi", elle ne put résister à la tentation.
La robe qu'elle enfila était du genre fuseau, fendue jusqu'en haut de la cuisse, moulant étroitement son bassin et découvrait son dos jusqu'au creux des reins. Son corps, plus élancé que celui de Myriam et néanmoins charnu dans les parties les plus féminines s'accordait avec cette forme et ce tissu. Ses seins pointaient avec arrogance malgré l'absence de soutif nécessité par le décolleté dorsal, sauf à exhiber une disgracieuse fermeture. Les deux globes de ses fesses étaient si bien épousés qu'on pouvait déceler les coutures du slip. Myriam l'encouragea fortement :- Elle te va à ravir. Tu es follement bandante avec. Mais il faudra que tu mettes un string dessous car avec ton slip, ça fait moche. Allez, prends-la, fais comme moi.
Et c'est ainsi que les deux nouvelles amies ressortirent du magasin avec un achat coûteux censé transformer des femmes ordinaires en femelles à mâles. Revenues au café, elles discutèrent de leur projet. Myriam n'y alla pas par quatre chemins :- Je ne sais pas toi mais moi, je n'ai pas vu une bite depuis des années lumière. Je faisais la grève du lit à mon mari depuis que je savais qu'il couraillait à droite et à gauche. Et comme je lui restais bêtement fidèle, je ne baisais plus. Mais maintenant, ça me travaille. J'ai vraiment besoin de ça et je me fous bien de trouver l'amour. Et toi ?
- A peu près pareil. J'ai juste trompé mon mari une fois avec un collègue. Mais il a eu peur de sa femme et on en est resté là. Après rideau alors que j'aime vraiment ça. On m'a toujours dit que j'étais un bon coup.
- Il faut qu'on trouve un endroit pour draguer sans en avoir l'air. J'ai entendu parler d'un bar où on danse sans que ce soit une boite. Il parait qu'il y a pas mal de solitaires dans notre genre et qu'on en sort rarement seuls. Tu vois le genre.
- De toute façon, il nous faut un lieu où on puisse mettre nos nouvelles robes. Pourquoi pas celui-là ?
Et c'est ainsi que les deux amies se donnèrent rendez-vous deux soirs plus tard dans ce fameux bar.
********L'endroit était situé dans un quartier populaire avec une fréquentation très diversifiée. Avant d'entrer, Samia avait prévenu Myriam :- Je te le dis tout de suite, en ce qui concerne les Beurs, j'ai déjà donné. Ils peuvent tous se rhabiller.
- Et moi, pareil pour les Blacks. Mais si tu veux, on peut échanger.
- On verra.
Dire que leur entrée fit sensation fut un euphémisme. Deux "meufs" aussi bien bustées et aussi bien fessues, c'était Byzance, et peu importait leur âge. Elles n'eurent aucun mal à trouver une table, à se faire servir puis à trouver un compagnon de danse... après sélection. D'autres filles plus jeunes firent leur apparition, qui leur permirent de souffler un peu. Au bout du compte, ne subsistèrent à leur table que deux gars un peu plus jeunes, bien bâtis, l'un au crâne rasé, l'autre aux cheveux longs, tatoués aux bras, à peine barbus, très sexués et fort entreprenants. Ils avaient à l'évidence l'intention de les baiser toutes les deux. Lorsqu'ils allèrent au bar chercher une énième bouteille de bière, Myriam interrogea Samia mezzo voce :- Alors, on fait quoi ? On va avec eux ou pas ?
- Ben, ça va être compliqué maintenant de leur mettre un râteau. Mais ils ne m'emballent pas trop. Je les trouve un peu lourds et vu tout ce qu'ils picolent, pas sûr qu'ils assurent, répliqua Samia.
- Pas faux. Mais je ne me vois pas sortir d'ici sans mec. J'ai vraiment envie de baiser ce soir.
- Ecoute, je ne veux pas être un boulet pour toi. Je vais rentrer et te laisser avec ces deux mecs. Pour toi toute seule, ça devrait aller, non ?
- Alors, tu me laisses en plan ?
Samia allait répliquer quand son attention fut attirée par l'entrée de deux blondinets qui détonaient un peu dans l'ambiance. Deux jeunes gars d'une vingtaine d'années, propres sur eux, plutôt athlétiques, décontractés, yeux clairs. Ils s'assirent à la table voisine des deux amies et leur adressèrent aussitôt force sourires.
- C'est sympa ici, dit l'un d'eux à leur intention.
Son accent un peu guttural et l'imprécision de son vocabulaire ne laissaient pas place au doute : il s'agissait d'un étranger. Samia jeta un oeil vers le bar : les deux costauds s'y attardaient pour picoler leur bière, sans doute pour discuter qui allait baiser qui : la Noire ou la Beurette ?
- Et qu'est-ce que vous faites ici ? demanda Samia.
- On vient de République Tchèque et on est en vacances. Moi c'est Jan, lui c'est Milan.
Les deux amies se présentèrent à leur tour. Une brève discussion s'engagea sur les perspectives touristiques de la ville. Puis le dénommé Jan s'enhardit et proposa à Myriam de venir danser avec lui. Milan l'imita aussitôt pour Samia. Et tous les quatre se retrouvèrent sur la piste pour une durée assez longue. Lorsque les danseurs rejoignirent leur table, les deux costauds les attendaient, le visage fermé. L'arrivée des deux Tchèques leur déplaisait ouvertement. Ceux-ci comprirent la situation et s'apprêtaient à faire profil bas. Mais Samia continua à leur adresser la parole, leur manifestant un intérêt évident, ce qui entraina une agressivité verbale des deux costauds :- Alors, ces deux lopettes vous intéressent ?
- On peut parler, non ? répliqua Myriam.
- Ces deux pédés n'ont rien dans le pantalon. Allez venez les filles, on s'en va.
- Non, on reste là.
Samia, qui avait eu des velléités de partir, n'était plus du tout sur la même ligne. Les deux costauds comprirent qu'ils étaient en train de se faire piquer leurs "meufs". Ils insultèrent copieusement les deux femmes et les deux Tchèques se levèrent pour les défendre. Une brève bagarre éclata où il s'avéra que les deux Tchèques n'étaient pas les "lopettes" que les deux costauds croyaient. Tous furent mis à la porte par les employés du bar. Jan saignait du nez, Milan se plaignait de sa main. Comme il était tard, Samia leur proposa de venir se faire soigner chez elle. Et c'est ainsi que le quatuor se retrouva dans la voiture de la Beurette, direction son appartement. Samia sortit sa boite à pharmacie et Myriam quelques verres pour poursuivre la soirée sur un mode plus apaisé. Tous les quatre firent plus ample connaissance. L'incident les avait rapprochés. Samia et Myriam avaient presque oublié qu'elles portaient une tenue très sexy. Jan avait eu le nez quasiment sur les nibards libres sous le tissu de Samia pendant qu'elle le soignait. Milan avait eu une vue imprenable sur l'entre-cuisses dépourvue de slip de Myriam (elle l'avait enlevé en passant par les toilettes à son arrivée) quand elle s'était assise face à lui pour prendre son verre. Eux aussi étaient venus au dancing pour essayer de baiser car ils en avaient marre de se branler pour expulser leur sève. Certes, ils visaient des filles de leur âge, mais ces deux femelles juteuses et colorées leur apparurent désormais très comestibles avec leurs formes généreuses et complaisamment étalées. Quant à celles-ci, elles n'avaient pas prévu de se trouver en compagnie de deux gars de vingt ans plus jeunes qu'elles mais à la prometteuse vitalité et franchement sexy. Une ambiance de plus en plus érotique flotta dans l'appartement. C'est Myriam qui lança le sujet :- Je me suis laissé dire que c'est très chaud en République tchèque. J'ai vu d'incroyables partouzes sur un site porno.
- Ah euh oui, c'est vrai. Depuis la chute du mur, les jeunes s'éclatent.
- Et vous... avez participé ?
- Ben oui, bien sûr. C'est un peu une tradition chez nous, du moins chez les jeunes.
Myriam gloussa. Elle demanda quelques détails et l'appartement devint soudain très chaud. Les deux Tchèques étaient venus au dancing chercher des nanas de leur âge qui baisent et ils se retrouvaient avec deux femmes mûres à l'évidence désireuse de se faire sauter. Ce n'était pas tout à fait le plan, encore moins avec une Noire et une Maghrébine, mais ils étaient en train de réviser leurs positions à la vitesse V. Cuisses entr'ouvertes, la première les regardait d'un oeil coquin et le sourire éclatant de blancheur; la seconde n'en finissait plus d'humecter ses lèvres charnues.
- Vous n'êtes pas racistes, au moins, glissa Myriam d'une voix un peu rauque. Il parait qu'il y a plein de racistes dans les pays de l'Est.
- Euh ah oui c'est vrai, répondit Jan d'une voix tout aussi rauque, mais c'est à cause de la peur de l'immigration. Moi je ne suis pas raciste, hein Milan, toi non plus hein ?
- Non non non, pas du tout.
Cette réflexion agit comme un signal. Tout était déjà écrit. Les uns avaient une furieuse envie de s'enfoncer, les autres d'être remplies. Myriam posa son verre et s'en vint s'asseoir sur les genoux de Jan auquel elle adressa une pelle fougueuse qui suffoqua presque le destinataire. Samia fit aussitôt de même avec Milan après avoir fait glisser les épaulettes de sa robe et découvert ses seins aux pointes déjà dures. Ce fut le début d'une longue séance érotique entre quatre protagonistes qui partageaient une envie intense de forniquer. La robe descendue jusqu'à la taille, Samia commença à déshabiller Milan et découvrit derrière ses lunettes carrées un torse glabre mais musculeux aux pectoraux et aux abdominaux saillants, le genre de torse qu'elle n'avait pas vu depuis des lustres. Elle le parcourut des lèvres comme si elle dégustait un mets goûteux. De son côté, Myriam avait quitté les genoux de Jan et ouvert son pantalon pour en sortir une tige longue et fine au bout violacé, déjà tendue, qu'elle goba avec volupté. Les deux Slaves comprirent qu'ils étaient tombés sur deux dévoreuses et qu'ils ne pourraient pas se contenter d'une dizaine de coups de bite. Ils devraient assurer sous peine de réprobations et de déceptions. Samia se releva, se débarrassa de sa robe fuseau, apparut en string et ordonna au jeune homme :- Enlève-le.
L'autre s'exécuta et se retrouva face à un pubis brun à peine taillé, assorti à la longue chevelure de la Beurette qui lui prit la tête et la colla contre son bas-ventre. Il la sentit soupirer d'aise tandis qu'il empaumait ses fesses rondes et fermes. A côté, Myriam s'était étalée dans le fauteuil, la robe retroussée jusqu'au nombril, ses grosses cuisses en V et Jan se retrouva face à une chatte rose fuchsia sur fond chocolat dont il n'avait jamais vu l'équivalent en Tchéquie. L'invite était claire et il ne se déroba pas. A genoux, il plongea le mufle entre les deux jambons de la Noire et éprouva illico une sensation inédite bien éloignée de l'odeur des blondinettes qui faisaient son ordinaire. Lapant et suçant avec appétit, il s'attira aussitôt des commentaires extasiés de la récipiendaire qui dégoulinait déjà sur son menton. Dans le même temps, Samia était montée debout sur le fauteuil et imposait au deuxième Slave, en position assise et le nez dans la toison, la visite intime de son entrecuisses. A l'évidence, les deux femmes menaient le jeu, bien décidées à assouvir des pulsions longtemps différées et à profiter de deux jeunes mâles au ventre plat et à la queue rigide, supposées endurantes. Et pas inhibées par la différence de peaux.
Après avoir couiné un grand coup au terme d'un long cunni, Myriam se releva, fit passer sa robe par dessus sa tête tressée, tira son Tchèque par le bras et l'entraina vers la chambre de Samia où celle-ci s'était déjà rendue avec son chevalier servant, déjà capoté et en train de lui bécoter les pointes de seins avant une pénétration imminente.
- Poussez-vous un peu, ordonna la Noire, qui prit les choses en main. Les deux Tchèques furent sommés de s'allonger côte à côte en travers du lit, la pine déjà dirigée vers le plafond. Après l'avoir capoté à son tour (comme quoi Samia était bien équipée, malgré tout), Myriam vint se positionner sur la queue et se l'enfonça d'un coup sec en faisant trembler ses grosses fesses. Samia ne pouvait pas faire autrement que l'imiter. C'était la première fois qu'elle se retrouvait dans un "plan à quatre", chez elle qui plus est. Mais son besoin de bite était tel qu'elle ne se posa pas longtemps la question de la moralité de la chose. En outre, le torse parfait du jeune Tchèque l'excitait énormément et le chevaucher en matant pectoraux et abdominaux derrière ses lunettes de myope constituait pour elle le summum du plaisir sexuel. Pénétrée jusqu'à la garde, elle fit aller et venir ses hanches en pétrissant le ventre de son amant, laissant échapper des soupirs de plaisir. De voir et d'entendre Myriam à ses côtés faire claquer ses fesses sur la peau de l'autre Tchèque en gémissant confortait la Beurette dans sa totale désinhibition.
Quant aux deux gars, le spectacle de ces deux femelles en chaleur agitant leurs gros seins en cavalant sur eux avait de quoi les consoler d'avoir enjambé une génération et négligé leurs minettes habituelles. Les mots crus qu'elles exprimaient parfois (surtout la Noire) échappaient à leur compréhension mais l'ardeur de leur cul se passait de traduction. Quand, à l'initiative de Myriam, elles se retournèrent pour le leur montrer tout en les chevauchant, ils durent l'un et l'autre se concentrer pour ne pas gicler prématurément. Des croupes pareilles, ça n'existait pas de l'autre côté de l'ex rideau de fer. La Noire prit même la main de Jan pour l'inciter à mettre un doigt dans son anus, ce qu'il n'avait encore jamais fait. A côté, Samia s'était mise sur ses pieds pour allonger la pénétration et poussa un long feulement témoignant de son orgasme. Elle se releva et se précipita vers les toilettes pour uriner car jouir lui donnait toujours l'envie de pisser, allez savoir pourquoi. Du coup, Myriam l'imita et ce fut pour les deux jeunes gens l'occasion de souffler et de commenter (en tchèque) la situation :- Putain, quels coups, ces deux gonzesses. J'en ai déjà mal à la queue.
- Ouais et on n'en a pas encore fini avec elles. On dirait qu'elles n'ont pas baisé depuis dix ans.
- Qu'est-ce que vous racontez, tous les deux ? interrompit Myriam qui sortait des toilettes. Allez, hop, debout. Vous allez nous prendre par derrière maintenant. A vous de faire le boulot.
Les deux femmes se mirent à quatre pattes en travers du lit de manière que leurs amants se trouvent debout avec de bons appuis. Discrètement, ceux-ci changèrent de partenaire. Milan s'était dit qu'il n'aurait pas souvent l'occasion de baiser une femme noire et que c'était le moment où jamais. Comme son copain avait procédé au même raisonnement pour une Beurette, très rares en République tchèque, un accord avait vite été trouvé et au demeurant, les deux femmes ne s'aperçurent pas tout de suite qu'elles avaient changé de bite. Il est vrai que les deux garçons, à leurs yeux, se ressemblaient comme des jumeaux. Même leur queue était semblable.
Myriam frétillait comiquement de la croupe pour inciter son Tchèque à aller de l'avant et quand il la pénétra, les mains posées sur ses hanches pléthoriques, il n'eut même pas besoin de remuer son cul : c'est elle qui venait le chercher à grands coups de fesses tremblotantes. L'autre couple n'était pas encore passé à l'action. Il profitait encore de ce spectacle hors norme d'une peau albâtre unie à un derme chocolat dans une frénésie érotique communicative. En cet instant, tout se bousculait un peu dans la tête de Samia. Non seulement elle faisait l'amour (mais était-ce bien l'expression) avec un type inconnu quelques heures plus tôt, mais la femme qui l'y avait incité n'était entrée dans sa vie que la semaine précédente. Elle se demanda fugitivement ce que penserait Angélique, sa très pudique fille de 18 ans si elle la voyait ainsi à quatre pattes, le cul en l'air et les seins pendants, dans l'attente fébrile du mâle. Visiblement, Myriam ne se posait pas ce genre de question en remuant son gros derrière et en vocalisant crûment son plaisir. Au fond, c'est elle qui a raison, se dit Samia. Nous les femmes, on est hypocrite. On aime autant le sexe que les hommes mais on n'ose pas le dire. J'ai besoin de la bite du jeune type qui est derrière moi, qui va me faire sentir que malgré mes quarante ans et quelque, je suis encore bonne à baiser. Quand Myriam s'exclama "vas-y, défonce-moi", Samia ressentit une onde de chaleur dans le bas-ventre, quitta son rôle de spectatrice et se retourna vers son Tchèque sans se formaliser pour le changement et lui dit :- Allez, qu'est-ce que tu attends, j'ai envie.
L'autre n'attendait que ce signal et Samia éprouva l'entrée si bienfaisante de la pine comblant le vide et s'agitant dans son vagin trempé de désir. Afin de ne pas être en reste avec sa voisine, elle aussi se mit à remuer les hanches avec énergie, les coudes sur le lit, les cheveux cascadant vers le drap, encaissant sans broncher les coups de queue rageurs du jeune Tchèque subjugué par ce corps pulpeux sans cesse en mouvement. Samia était tellement secouée qu'elle en fit tomber ses lunettes sur le drap. Elle se mit à son tour à vocaliser et la chambre s'emplit des expressions des deux femmes célébrant la virilité de leurs amants dans des termes que la Beurette n'aurait jamais imaginé dans sa bouche. La crudité de Myriam avait déteint sur son psychisme à l'instar de ses coups de cul. Les deux Tchèques n'en revenaient pas de cette passion pour leur bite. Ils ne pouvaient pas comprendre que les déboires conjugaux des deux femmes avaient engendré une frustration sexuelle qu'elles pouvaient enfin abolir grâce à eux. Le grand vide prolongé de leur entrecuisses était comblé par le bâton de chair rigide qui les visitait de fond en comble et dont elles savouraient chaque millimètre de pénétration. Samia n'avait jamais autant aimé une bite et c'est pourquoi elle éprouvait le besoin de le faire savoir en criant, feulant, encourageant, comme si sa voix était le prolongement de sa chatte.
Puis Myriam se mit à jouir et s'affala sur le drap, vérifiant illico si le dénommé Milan était toujours raide. Il l'était. Alors, elle s'allongea et déclara :- J'en peux plus, tu me tues. Tu vas me finir comme ça. Samia, fais pareil.
A regret, Samia abandonna sa position à quatre pattes qui lui procurait tant de sensations. La levrette, c'était vraiment son truc à elle. Mais elle était reconnaissante à Myriam de lui avoir permis de transgresser ses tabous. Elle l'imita en s'allongeant en travers du lit, cuisses grandes couvertes. Au moins, après avoir remis ses lunettes, elle pourrait voir son amant prendre son plaisir, lui aussi, car telle était bien son intention.
Alors commença l'ultime phase de cette séance mémorable pour les deux femmes. Myriam prit la main de Samia à côté d'elle. Les deux Tchèques considérèrent brièvement les deux femelles colorées (l'une claire avec des lunettes, l'autre foncée avec des tresses) qui les attendaient, grandes ouvertes, la fente palpitante et humide, le regard toujours luisant de désir. Telles des dompteuses, elles les avaient menés à la baguette pour leur bon plaisir. Mais c'étaient eux, les mâles, qui avaient les cartes en main pour les conduire à l'orgasme ultime. Sans se concerter, ils décidèrent de les faire un peu languir. Ils firent tapoter leur gland sur leur vulve avant de se reculer, recommencèrent, titillèrent le bouton du doigt et les deux femmes ne tardèrent pas à manifester de l'impatience. Elles roulaient légèrement les hanches, gonflaient leur abdomen, écartaient encore plus leurs cuisses, se dressèrent sur leurs coudes :- Alors quoi, vous venez ? souffla Myriam.
Les deux Tchèques firent mine de ne pas entendre et poursuivirent leur petit manège. Cette fois, Samia n'y tint plus :- S'il vous plait, ne nous laissez pas en plan. On a encore envie.
- Baisez-nous, merde ! pesta Myriam.
Le petit jeu dura encore un peu. Samia se masturbait maintenant pour se calmer mais ne faisait qu'augmenter son excitation. Myriam voulut attraper la queue-saucisse de l'un des deux Tchèques qui se retira en rigolant. Les deux femmes étaient maintenant assises sur le lit, en pétard. Alors, sûrs de leur victoire, les deux jeunes gens s'avancèrent entre les cuisses des deux femelles qui les encerclèrent illico avant de s'allonger, archi mûres. Poussés par les mollets et les talons des deux femmes, les deux mâles n'eurent même pas besoin de viser leur cible. Ils se retrouvèrent enfoncés jusqu'à la garde et, les mains sur le matelas et les yeux dans ceux de leur partenaire, entreprirent un staccato qui fit rugir de conserve la Noire et la Beurette, rayonnantes et douloureuses, totalement centrées sur la bite qui les tringlait avec frénésie. Les deux mâles eurent l'impression de cavaler sur deux juments de rodéo tant elles s'agitaient sous eux à grands coups de fesses, de ventre, de talons, de mollets dans un clapot de sexes dégoulinants sur fond de claquements de peaux à peine couverts par les exclamations de joie sexuelle.
​Myriam attrapa la main de Samia comme pour lui communiquer son extase mais la Beurette la lâcha vite pour empoigner les fesses de son jeune amant pour accompagner ses coups de boutoir et l'inciter à persévérer. Myriam fut encore plus explicite avec une série de "t'arrête pas" qui ne prit fin qu'avec un long cri guttural, "arrhhharhhhgggg", illustrant un orgasme ravageur. Samia lâcha les fesses de son Tchèque, jeta les bras derrière elle pour saisir le drap et trouver un nouvel appui à ses ruades. Subjugué par la houle de ses seins et ses cris de plaisir, son amant gicla dans un râle, tandis que Samia explosait dans un miaulement sonore "miaawwwww". La tension retomba peu à peu sur le lit dévasté. Les femmes reprenaient leur souffle, les hommes considéraient leur queue flappie, essorée jusqu'à la dernière goutte de sperme. Samia se rua vers les toilettes pour uriner à nouveau et Myriam gagna la douche en premier. Tout se termina par un verre en commun, quelques rires et un bisou d'adieu. Les deux femmes savaient déjà qu'elles ne reverraient jamais les jeunes Tchèques.
*******Leur aventure ne fut toutefois pas sans lendemain. Elles avaient pris goût à la jeunesse, aux ventres fermes, aux pectoraux saillants, aux fesses nerveuses et aux queues rigides en durée. Myriam avait joué au handball à un bon niveau dans sa jeunesse. Elle réintégra son club en tant que bénévole et demanda à suivre l'équipe masculine. Samia ne tarda pas à la rejoindre, ce qui ravit les dirigeants au mal de bénévolat. Elles accomplissaient les tâches subalternes comme accompagner les joueurs, laver les maillots, enregistrer les demandes d'adhésion. Leur popularité grandit auprès d'une petite collectivité multiraciale et à la sexualité aussi débordante que mal assouvie. Les joueurs ne tardèrent pas à comprendre que leurs deux accompagnatrices-administratrices-laveuses de maillot étaient "open". Et certains, pourtant en couple, découvrirent dans leur lit des plaisirs inédits après l'entrainement. Quant aux célibataires, ils purent parfaire leur éducation érotique avec deux femelles exigeantes et bruyantes, mais pas avant les matches, résultats obligent. Myriam et Samia n'avaient jamais autant baisé de leur vie qu'à la quarantaine. Et le plus curieux de l'histoire est que les résultats de l'équipe première ne furent jamais aussi bons que depuis le moment où l'Africaine et la Beurette s'étaient mises à laver les maillots. Comme quoi le sexe, le sport et la maturité ne sont pas incompatibles.
( A suivre)
Le hasard les fit se rencontrer quelques jours plus tard dans un magasin de vêtements. Myriam se penchait sur une petite robe sexy, en pleine réflexion, quand Samia lui tapota l'épaule :- Alors, on hésite ?
- Ah, salut toi. Comment ça va ?
- Couci couça. Cette procédure n'en finit pas.
- Tu l'as dit. Mais moi, j'ai pris les devants. Je me suis barrée. Tant pis pour les conséquences, je n'en pouvais plus.
- Tiens, c'est drôle. Moi aussi. Avec les gosses ?
- Ah non alors ! J'ai retrouvé ma liberté et je l'ai laissé se débrouiller tout seul. Il a gardé la maison avec les enfants, j'ai pris un studio en location.
- Incroyable ! J'ai fait exactement pareil ! Mais je vois ma fille régulièrement. Elle vient d'avoir 18 ans et elle vit sa vie.
- Ah ben, on aurait pu prendre un appart à deux si j'avais su.
- C'est vrai, tiens. Pourquoi pas plus tard ? Dis donc, elle est vachement chouette cette petite robe.
- Ouais... Un peu chère. Mais je vais l'essayer. Tu restes pour voir ?
Lorsque Myriam sortit de la cabine d'essayage, Samia ressentit un petit choc. Certes, elle avait pu constater que son amie Noire était très sexuée. Mais moulée dans cette petite robe à fine bretelles, sa sexualité éclaboussait littéralement le magasin. Ses seins obusiers débordaient du décolleté et du soutif, sa forte cambrure faisait ressortir un fessier plantureux, ses cuisses puissantes tendaient le tissu en dessous de la taille, bref cette robe n'était pas faite pour ce corps à la Serena Williams mais n'importe quel mâle passant à proximité aurait triqué en la voyant ainsi affublée.
- Alors, qu'en penses-tu ? demanda-t-elle à Samia.
- Euh... Je ne sais pas si elle te va vraiment bien mais ce qui est sûr, c'est que c'est un appel au viol.
- C'est justement ce que je veux. Ras le bol des robes qui effacent mon gros cul et mes gros nichons.
Et s'avançant pour chuchoter à l'oreille de sa nouvelle amie : "Je veux qu'on ait envie de me baiser en me voyant".
Samia pouffa de rire. Myriam était décidément une femme peu ordinaire. Elle n'avait pas sa liberté de ton. Mais étant dans le même état d'esprit revanchard, elle n'était plus très loin de l'approuver. Et quand Myriam lui lança "essayes-en une aussi", elle ne put résister à la tentation.
La robe qu'elle enfila était du genre fuseau, fendue jusqu'en haut de la cuisse, moulant étroitement son bassin et découvrait son dos jusqu'au creux des reins. Son corps, plus élancé que celui de Myriam et néanmoins charnu dans les parties les plus féminines s'accordait avec cette forme et ce tissu. Ses seins pointaient avec arrogance malgré l'absence de soutif nécessité par le décolleté dorsal, sauf à exhiber une disgracieuse fermeture. Les deux globes de ses fesses étaient si bien épousés qu'on pouvait déceler les coutures du slip. Myriam l'encouragea fortement :- Elle te va à ravir. Tu es follement bandante avec. Mais il faudra que tu mettes un string dessous car avec ton slip, ça fait moche. Allez, prends-la, fais comme moi.
Et c'est ainsi que les deux nouvelles amies ressortirent du magasin avec un achat coûteux censé transformer des femmes ordinaires en femelles à mâles. Revenues au café, elles discutèrent de leur projet. Myriam n'y alla pas par quatre chemins :- Je ne sais pas toi mais moi, je n'ai pas vu une bite depuis des années lumière. Je faisais la grève du lit à mon mari depuis que je savais qu'il couraillait à droite et à gauche. Et comme je lui restais bêtement fidèle, je ne baisais plus. Mais maintenant, ça me travaille. J'ai vraiment besoin de ça et je me fous bien de trouver l'amour. Et toi ?
- A peu près pareil. J'ai juste trompé mon mari une fois avec un collègue. Mais il a eu peur de sa femme et on en est resté là. Après rideau alors que j'aime vraiment ça. On m'a toujours dit que j'étais un bon coup.
- Il faut qu'on trouve un endroit pour draguer sans en avoir l'air. J'ai entendu parler d'un bar où on danse sans que ce soit une boite. Il parait qu'il y a pas mal de solitaires dans notre genre et qu'on en sort rarement seuls. Tu vois le genre.
- De toute façon, il nous faut un lieu où on puisse mettre nos nouvelles robes. Pourquoi pas celui-là ?
Et c'est ainsi que les deux amies se donnèrent rendez-vous deux soirs plus tard dans ce fameux bar.
********L'endroit était situé dans un quartier populaire avec une fréquentation très diversifiée. Avant d'entrer, Samia avait prévenu Myriam :- Je te le dis tout de suite, en ce qui concerne les Beurs, j'ai déjà donné. Ils peuvent tous se rhabiller.
- Et moi, pareil pour les Blacks. Mais si tu veux, on peut échanger.
- On verra.
Dire que leur entrée fit sensation fut un euphémisme. Deux "meufs" aussi bien bustées et aussi bien fessues, c'était Byzance, et peu importait leur âge. Elles n'eurent aucun mal à trouver une table, à se faire servir puis à trouver un compagnon de danse... après sélection. D'autres filles plus jeunes firent leur apparition, qui leur permirent de souffler un peu. Au bout du compte, ne subsistèrent à leur table que deux gars un peu plus jeunes, bien bâtis, l'un au crâne rasé, l'autre aux cheveux longs, tatoués aux bras, à peine barbus, très sexués et fort entreprenants. Ils avaient à l'évidence l'intention de les baiser toutes les deux. Lorsqu'ils allèrent au bar chercher une énième bouteille de bière, Myriam interrogea Samia mezzo voce :- Alors, on fait quoi ? On va avec eux ou pas ?
- Ben, ça va être compliqué maintenant de leur mettre un râteau. Mais ils ne m'emballent pas trop. Je les trouve un peu lourds et vu tout ce qu'ils picolent, pas sûr qu'ils assurent, répliqua Samia.
- Pas faux. Mais je ne me vois pas sortir d'ici sans mec. J'ai vraiment envie de baiser ce soir.
- Ecoute, je ne veux pas être un boulet pour toi. Je vais rentrer et te laisser avec ces deux mecs. Pour toi toute seule, ça devrait aller, non ?
- Alors, tu me laisses en plan ?
Samia allait répliquer quand son attention fut attirée par l'entrée de deux blondinets qui détonaient un peu dans l'ambiance. Deux jeunes gars d'une vingtaine d'années, propres sur eux, plutôt athlétiques, décontractés, yeux clairs. Ils s'assirent à la table voisine des deux amies et leur adressèrent aussitôt force sourires.
- C'est sympa ici, dit l'un d'eux à leur intention.
Son accent un peu guttural et l'imprécision de son vocabulaire ne laissaient pas place au doute : il s'agissait d'un étranger. Samia jeta un oeil vers le bar : les deux costauds s'y attardaient pour picoler leur bière, sans doute pour discuter qui allait baiser qui : la Noire ou la Beurette ?
- Et qu'est-ce que vous faites ici ? demanda Samia.
- On vient de République Tchèque et on est en vacances. Moi c'est Jan, lui c'est Milan.
Les deux amies se présentèrent à leur tour. Une brève discussion s'engagea sur les perspectives touristiques de la ville. Puis le dénommé Jan s'enhardit et proposa à Myriam de venir danser avec lui. Milan l'imita aussitôt pour Samia. Et tous les quatre se retrouvèrent sur la piste pour une durée assez longue. Lorsque les danseurs rejoignirent leur table, les deux costauds les attendaient, le visage fermé. L'arrivée des deux Tchèques leur déplaisait ouvertement. Ceux-ci comprirent la situation et s'apprêtaient à faire profil bas. Mais Samia continua à leur adresser la parole, leur manifestant un intérêt évident, ce qui entraina une agressivité verbale des deux costauds :- Alors, ces deux lopettes vous intéressent ?
- On peut parler, non ? répliqua Myriam.
- Ces deux pédés n'ont rien dans le pantalon. Allez venez les filles, on s'en va.
- Non, on reste là.
Samia, qui avait eu des velléités de partir, n'était plus du tout sur la même ligne. Les deux costauds comprirent qu'ils étaient en train de se faire piquer leurs "meufs". Ils insultèrent copieusement les deux femmes et les deux Tchèques se levèrent pour les défendre. Une brève bagarre éclata où il s'avéra que les deux Tchèques n'étaient pas les "lopettes" que les deux costauds croyaient. Tous furent mis à la porte par les employés du bar. Jan saignait du nez, Milan se plaignait de sa main. Comme il était tard, Samia leur proposa de venir se faire soigner chez elle. Et c'est ainsi que le quatuor se retrouva dans la voiture de la Beurette, direction son appartement. Samia sortit sa boite à pharmacie et Myriam quelques verres pour poursuivre la soirée sur un mode plus apaisé. Tous les quatre firent plus ample connaissance. L'incident les avait rapprochés. Samia et Myriam avaient presque oublié qu'elles portaient une tenue très sexy. Jan avait eu le nez quasiment sur les nibards libres sous le tissu de Samia pendant qu'elle le soignait. Milan avait eu une vue imprenable sur l'entre-cuisses dépourvue de slip de Myriam (elle l'avait enlevé en passant par les toilettes à son arrivée) quand elle s'était assise face à lui pour prendre son verre. Eux aussi étaient venus au dancing pour essayer de baiser car ils en avaient marre de se branler pour expulser leur sève. Certes, ils visaient des filles de leur âge, mais ces deux femelles juteuses et colorées leur apparurent désormais très comestibles avec leurs formes généreuses et complaisamment étalées. Quant à celles-ci, elles n'avaient pas prévu de se trouver en compagnie de deux gars de vingt ans plus jeunes qu'elles mais à la prometteuse vitalité et franchement sexy. Une ambiance de plus en plus érotique flotta dans l'appartement. C'est Myriam qui lança le sujet :- Je me suis laissé dire que c'est très chaud en République tchèque. J'ai vu d'incroyables partouzes sur un site porno.
- Ah euh oui, c'est vrai. Depuis la chute du mur, les jeunes s'éclatent.
- Et vous... avez participé ?
- Ben oui, bien sûr. C'est un peu une tradition chez nous, du moins chez les jeunes.
Myriam gloussa. Elle demanda quelques détails et l'appartement devint soudain très chaud. Les deux Tchèques étaient venus au dancing chercher des nanas de leur âge qui baisent et ils se retrouvaient avec deux femmes mûres à l'évidence désireuse de se faire sauter. Ce n'était pas tout à fait le plan, encore moins avec une Noire et une Maghrébine, mais ils étaient en train de réviser leurs positions à la vitesse V. Cuisses entr'ouvertes, la première les regardait d'un oeil coquin et le sourire éclatant de blancheur; la seconde n'en finissait plus d'humecter ses lèvres charnues.
- Vous n'êtes pas racistes, au moins, glissa Myriam d'une voix un peu rauque. Il parait qu'il y a plein de racistes dans les pays de l'Est.
- Euh ah oui c'est vrai, répondit Jan d'une voix tout aussi rauque, mais c'est à cause de la peur de l'immigration. Moi je ne suis pas raciste, hein Milan, toi non plus hein ?
- Non non non, pas du tout.
Cette réflexion agit comme un signal. Tout était déjà écrit. Les uns avaient une furieuse envie de s'enfoncer, les autres d'être remplies. Myriam posa son verre et s'en vint s'asseoir sur les genoux de Jan auquel elle adressa une pelle fougueuse qui suffoqua presque le destinataire. Samia fit aussitôt de même avec Milan après avoir fait glisser les épaulettes de sa robe et découvert ses seins aux pointes déjà dures. Ce fut le début d'une longue séance érotique entre quatre protagonistes qui partageaient une envie intense de forniquer. La robe descendue jusqu'à la taille, Samia commença à déshabiller Milan et découvrit derrière ses lunettes carrées un torse glabre mais musculeux aux pectoraux et aux abdominaux saillants, le genre de torse qu'elle n'avait pas vu depuis des lustres. Elle le parcourut des lèvres comme si elle dégustait un mets goûteux. De son côté, Myriam avait quitté les genoux de Jan et ouvert son pantalon pour en sortir une tige longue et fine au bout violacé, déjà tendue, qu'elle goba avec volupté. Les deux Slaves comprirent qu'ils étaient tombés sur deux dévoreuses et qu'ils ne pourraient pas se contenter d'une dizaine de coups de bite. Ils devraient assurer sous peine de réprobations et de déceptions. Samia se releva, se débarrassa de sa robe fuseau, apparut en string et ordonna au jeune homme :- Enlève-le.
L'autre s'exécuta et se retrouva face à un pubis brun à peine taillé, assorti à la longue chevelure de la Beurette qui lui prit la tête et la colla contre son bas-ventre. Il la sentit soupirer d'aise tandis qu'il empaumait ses fesses rondes et fermes. A côté, Myriam s'était étalée dans le fauteuil, la robe retroussée jusqu'au nombril, ses grosses cuisses en V et Jan se retrouva face à une chatte rose fuchsia sur fond chocolat dont il n'avait jamais vu l'équivalent en Tchéquie. L'invite était claire et il ne se déroba pas. A genoux, il plongea le mufle entre les deux jambons de la Noire et éprouva illico une sensation inédite bien éloignée de l'odeur des blondinettes qui faisaient son ordinaire. Lapant et suçant avec appétit, il s'attira aussitôt des commentaires extasiés de la récipiendaire qui dégoulinait déjà sur son menton. Dans le même temps, Samia était montée debout sur le fauteuil et imposait au deuxième Slave, en position assise et le nez dans la toison, la visite intime de son entrecuisses. A l'évidence, les deux femmes menaient le jeu, bien décidées à assouvir des pulsions longtemps différées et à profiter de deux jeunes mâles au ventre plat et à la queue rigide, supposées endurantes. Et pas inhibées par la différence de peaux.
Après avoir couiné un grand coup au terme d'un long cunni, Myriam se releva, fit passer sa robe par dessus sa tête tressée, tira son Tchèque par le bras et l'entraina vers la chambre de Samia où celle-ci s'était déjà rendue avec son chevalier servant, déjà capoté et en train de lui bécoter les pointes de seins avant une pénétration imminente.
- Poussez-vous un peu, ordonna la Noire, qui prit les choses en main. Les deux Tchèques furent sommés de s'allonger côte à côte en travers du lit, la pine déjà dirigée vers le plafond. Après l'avoir capoté à son tour (comme quoi Samia était bien équipée, malgré tout), Myriam vint se positionner sur la queue et se l'enfonça d'un coup sec en faisant trembler ses grosses fesses. Samia ne pouvait pas faire autrement que l'imiter. C'était la première fois qu'elle se retrouvait dans un "plan à quatre", chez elle qui plus est. Mais son besoin de bite était tel qu'elle ne se posa pas longtemps la question de la moralité de la chose. En outre, le torse parfait du jeune Tchèque l'excitait énormément et le chevaucher en matant pectoraux et abdominaux derrière ses lunettes de myope constituait pour elle le summum du plaisir sexuel. Pénétrée jusqu'à la garde, elle fit aller et venir ses hanches en pétrissant le ventre de son amant, laissant échapper des soupirs de plaisir. De voir et d'entendre Myriam à ses côtés faire claquer ses fesses sur la peau de l'autre Tchèque en gémissant confortait la Beurette dans sa totale désinhibition.
Quant aux deux gars, le spectacle de ces deux femelles en chaleur agitant leurs gros seins en cavalant sur eux avait de quoi les consoler d'avoir enjambé une génération et négligé leurs minettes habituelles. Les mots crus qu'elles exprimaient parfois (surtout la Noire) échappaient à leur compréhension mais l'ardeur de leur cul se passait de traduction. Quand, à l'initiative de Myriam, elles se retournèrent pour le leur montrer tout en les chevauchant, ils durent l'un et l'autre se concentrer pour ne pas gicler prématurément. Des croupes pareilles, ça n'existait pas de l'autre côté de l'ex rideau de fer. La Noire prit même la main de Jan pour l'inciter à mettre un doigt dans son anus, ce qu'il n'avait encore jamais fait. A côté, Samia s'était mise sur ses pieds pour allonger la pénétration et poussa un long feulement témoignant de son orgasme. Elle se releva et se précipita vers les toilettes pour uriner car jouir lui donnait toujours l'envie de pisser, allez savoir pourquoi. Du coup, Myriam l'imita et ce fut pour les deux jeunes gens l'occasion de souffler et de commenter (en tchèque) la situation :- Putain, quels coups, ces deux gonzesses. J'en ai déjà mal à la queue.
- Ouais et on n'en a pas encore fini avec elles. On dirait qu'elles n'ont pas baisé depuis dix ans.
- Qu'est-ce que vous racontez, tous les deux ? interrompit Myriam qui sortait des toilettes. Allez, hop, debout. Vous allez nous prendre par derrière maintenant. A vous de faire le boulot.
Les deux femmes se mirent à quatre pattes en travers du lit de manière que leurs amants se trouvent debout avec de bons appuis. Discrètement, ceux-ci changèrent de partenaire. Milan s'était dit qu'il n'aurait pas souvent l'occasion de baiser une femme noire et que c'était le moment où jamais. Comme son copain avait procédé au même raisonnement pour une Beurette, très rares en République tchèque, un accord avait vite été trouvé et au demeurant, les deux femmes ne s'aperçurent pas tout de suite qu'elles avaient changé de bite. Il est vrai que les deux garçons, à leurs yeux, se ressemblaient comme des jumeaux. Même leur queue était semblable.
Myriam frétillait comiquement de la croupe pour inciter son Tchèque à aller de l'avant et quand il la pénétra, les mains posées sur ses hanches pléthoriques, il n'eut même pas besoin de remuer son cul : c'est elle qui venait le chercher à grands coups de fesses tremblotantes. L'autre couple n'était pas encore passé à l'action. Il profitait encore de ce spectacle hors norme d'une peau albâtre unie à un derme chocolat dans une frénésie érotique communicative. En cet instant, tout se bousculait un peu dans la tête de Samia. Non seulement elle faisait l'amour (mais était-ce bien l'expression) avec un type inconnu quelques heures plus tôt, mais la femme qui l'y avait incité n'était entrée dans sa vie que la semaine précédente. Elle se demanda fugitivement ce que penserait Angélique, sa très pudique fille de 18 ans si elle la voyait ainsi à quatre pattes, le cul en l'air et les seins pendants, dans l'attente fébrile du mâle. Visiblement, Myriam ne se posait pas ce genre de question en remuant son gros derrière et en vocalisant crûment son plaisir. Au fond, c'est elle qui a raison, se dit Samia. Nous les femmes, on est hypocrite. On aime autant le sexe que les hommes mais on n'ose pas le dire. J'ai besoin de la bite du jeune type qui est derrière moi, qui va me faire sentir que malgré mes quarante ans et quelque, je suis encore bonne à baiser. Quand Myriam s'exclama "vas-y, défonce-moi", Samia ressentit une onde de chaleur dans le bas-ventre, quitta son rôle de spectatrice et se retourna vers son Tchèque sans se formaliser pour le changement et lui dit :- Allez, qu'est-ce que tu attends, j'ai envie.
L'autre n'attendait que ce signal et Samia éprouva l'entrée si bienfaisante de la pine comblant le vide et s'agitant dans son vagin trempé de désir. Afin de ne pas être en reste avec sa voisine, elle aussi se mit à remuer les hanches avec énergie, les coudes sur le lit, les cheveux cascadant vers le drap, encaissant sans broncher les coups de queue rageurs du jeune Tchèque subjugué par ce corps pulpeux sans cesse en mouvement. Samia était tellement secouée qu'elle en fit tomber ses lunettes sur le drap. Elle se mit à son tour à vocaliser et la chambre s'emplit des expressions des deux femmes célébrant la virilité de leurs amants dans des termes que la Beurette n'aurait jamais imaginé dans sa bouche. La crudité de Myriam avait déteint sur son psychisme à l'instar de ses coups de cul. Les deux Tchèques n'en revenaient pas de cette passion pour leur bite. Ils ne pouvaient pas comprendre que les déboires conjugaux des deux femmes avaient engendré une frustration sexuelle qu'elles pouvaient enfin abolir grâce à eux. Le grand vide prolongé de leur entrecuisses était comblé par le bâton de chair rigide qui les visitait de fond en comble et dont elles savouraient chaque millimètre de pénétration. Samia n'avait jamais autant aimé une bite et c'est pourquoi elle éprouvait le besoin de le faire savoir en criant, feulant, encourageant, comme si sa voix était le prolongement de sa chatte.
Puis Myriam se mit à jouir et s'affala sur le drap, vérifiant illico si le dénommé Milan était toujours raide. Il l'était. Alors, elle s'allongea et déclara :- J'en peux plus, tu me tues. Tu vas me finir comme ça. Samia, fais pareil.
A regret, Samia abandonna sa position à quatre pattes qui lui procurait tant de sensations. La levrette, c'était vraiment son truc à elle. Mais elle était reconnaissante à Myriam de lui avoir permis de transgresser ses tabous. Elle l'imita en s'allongeant en travers du lit, cuisses grandes couvertes. Au moins, après avoir remis ses lunettes, elle pourrait voir son amant prendre son plaisir, lui aussi, car telle était bien son intention.
Alors commença l'ultime phase de cette séance mémorable pour les deux femmes. Myriam prit la main de Samia à côté d'elle. Les deux Tchèques considérèrent brièvement les deux femelles colorées (l'une claire avec des lunettes, l'autre foncée avec des tresses) qui les attendaient, grandes ouvertes, la fente palpitante et humide, le regard toujours luisant de désir. Telles des dompteuses, elles les avaient menés à la baguette pour leur bon plaisir. Mais c'étaient eux, les mâles, qui avaient les cartes en main pour les conduire à l'orgasme ultime. Sans se concerter, ils décidèrent de les faire un peu languir. Ils firent tapoter leur gland sur leur vulve avant de se reculer, recommencèrent, titillèrent le bouton du doigt et les deux femmes ne tardèrent pas à manifester de l'impatience. Elles roulaient légèrement les hanches, gonflaient leur abdomen, écartaient encore plus leurs cuisses, se dressèrent sur leurs coudes :- Alors quoi, vous venez ? souffla Myriam.
Les deux Tchèques firent mine de ne pas entendre et poursuivirent leur petit manège. Cette fois, Samia n'y tint plus :- S'il vous plait, ne nous laissez pas en plan. On a encore envie.
- Baisez-nous, merde ! pesta Myriam.
Le petit jeu dura encore un peu. Samia se masturbait maintenant pour se calmer mais ne faisait qu'augmenter son excitation. Myriam voulut attraper la queue-saucisse de l'un des deux Tchèques qui se retira en rigolant. Les deux femmes étaient maintenant assises sur le lit, en pétard. Alors, sûrs de leur victoire, les deux jeunes gens s'avancèrent entre les cuisses des deux femelles qui les encerclèrent illico avant de s'allonger, archi mûres. Poussés par les mollets et les talons des deux femmes, les deux mâles n'eurent même pas besoin de viser leur cible. Ils se retrouvèrent enfoncés jusqu'à la garde et, les mains sur le matelas et les yeux dans ceux de leur partenaire, entreprirent un staccato qui fit rugir de conserve la Noire et la Beurette, rayonnantes et douloureuses, totalement centrées sur la bite qui les tringlait avec frénésie. Les deux mâles eurent l'impression de cavaler sur deux juments de rodéo tant elles s'agitaient sous eux à grands coups de fesses, de ventre, de talons, de mollets dans un clapot de sexes dégoulinants sur fond de claquements de peaux à peine couverts par les exclamations de joie sexuelle.
​Myriam attrapa la main de Samia comme pour lui communiquer son extase mais la Beurette la lâcha vite pour empoigner les fesses de son jeune amant pour accompagner ses coups de boutoir et l'inciter à persévérer. Myriam fut encore plus explicite avec une série de "t'arrête pas" qui ne prit fin qu'avec un long cri guttural, "arrhhharhhhgggg", illustrant un orgasme ravageur. Samia lâcha les fesses de son Tchèque, jeta les bras derrière elle pour saisir le drap et trouver un nouvel appui à ses ruades. Subjugué par la houle de ses seins et ses cris de plaisir, son amant gicla dans un râle, tandis que Samia explosait dans un miaulement sonore "miaawwwww". La tension retomba peu à peu sur le lit dévasté. Les femmes reprenaient leur souffle, les hommes considéraient leur queue flappie, essorée jusqu'à la dernière goutte de sperme. Samia se rua vers les toilettes pour uriner à nouveau et Myriam gagna la douche en premier. Tout se termina par un verre en commun, quelques rires et un bisou d'adieu. Les deux femmes savaient déjà qu'elles ne reverraient jamais les jeunes Tchèques.
*******Leur aventure ne fut toutefois pas sans lendemain. Elles avaient pris goût à la jeunesse, aux ventres fermes, aux pectoraux saillants, aux fesses nerveuses et aux queues rigides en durée. Myriam avait joué au handball à un bon niveau dans sa jeunesse. Elle réintégra son club en tant que bénévole et demanda à suivre l'équipe masculine. Samia ne tarda pas à la rejoindre, ce qui ravit les dirigeants au mal de bénévolat. Elles accomplissaient les tâches subalternes comme accompagner les joueurs, laver les maillots, enregistrer les demandes d'adhésion. Leur popularité grandit auprès d'une petite collectivité multiraciale et à la sexualité aussi débordante que mal assouvie. Les joueurs ne tardèrent pas à comprendre que leurs deux accompagnatrices-administratrices-laveuses de maillot étaient "open". Et certains, pourtant en couple, découvrirent dans leur lit des plaisirs inédits après l'entrainement. Quant aux célibataires, ils purent parfaire leur éducation érotique avec deux femelles exigeantes et bruyantes, mais pas avant les matches, résultats obligent. Myriam et Samia n'avaient jamais autant baisé de leur vie qu'à la quarantaine. Et le plus curieux de l'histoire est que les résultats de l'équipe première ne furent jamais aussi bons que depuis le moment où l'Africaine et la Beurette s'étaient mises à laver les maillots. Comme quoi le sexe, le sport et la maturité ne sont pas incompatibles.
( A suivre)
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Micky
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...