une rencontre - histoire érotique

Une rencontre

Il y a quelques années moi et Andréanne avons fait une rencontre dans notre chez moi d’une dame que j’avais connue dans ma jeunesse universitaire. Je ne L’avais pas reconnue immédiatement, car elle, nous nous étions perdue de vue. Aujourd’hui, à cette époque elle avait 37 ans, moi et Andréanne étions en couple depuis 5ans.
A l’époque comme universitaire, nous étions dans la même branche soit en finance. Elle se prénomme Justine. Elle est née d’un père Avocat et d’une mère Notaire deux personnes libérales. Ils vivaient dans une maison luxueuse mais les parents ne cherchaient pas de complication ni d’avoir d’enfant. Leur sexualité se résumait à une fois par mois. Il y avait, dans ce couple beaucoup d’amitié, mais rien de plus. Pour une fois dans leur vie le couple fit l’amour de façon déchainer d’où conçu Justine soit un enfant non désiré.
Justine fut éduquée de façon très stricte. Quand elle sortait il lui fallait entrer très tôt soit toujours avant minuit. A sa promotion soit à l’âge de 22 ans diplôme en main soit comptable agrée elle fut engagée par une grosse firme, moi se fut une institution financière.
Le physique de Justine était une femme grassouillette mais très athlétique. Elle mesurait 6 pieds un pouce. Une femme qui se démenait pas mal pour son physique. Elle aimait danser et faire quelques sports. Elle se découvrit en tat que femme. Elle aimait la photographie et achetait différente appareilles pour se satisfaire et voir le monde différemment. Elle graduat au niveau de son bureau et parfois elle devait se déplacer dans d’autres villes du pays. Elle rencontrait des hommes charmants mais rien de plus. Ses photographies étaient de plus en plus perfectionnées.
Cette journée là, moi et Andréanne étions dans les rénovations de la maison, soit au sous-sol. Je fus surprise de la revoir. Je lui présentai ma conjointe et avons jasé pendant 2 heures. Elle nous demanda comment nous nous étions rencontrés. Je lui contai notre histoire et nos fantasmes, Ses yeux se sont ouverts sur notre libertinage. Ce que nous aimons et se que nous avons faits. Les yeux encore plus ouvert. Andréanne lui posa une question :< tu aimerais voir> Elle répondit <oui> Andréanne alla chercher la dite cassette et l’introduisit. Le film commença et ses yeux s’élargirent encore plus en voyant ma conjointe être clouée à une croix et moi flagellé. Elle dit< vous étiez belle toutes les deux> oui répondit Andréanne et encore aujourd’hui nous le sommes encore plus.
Justine quitta pour son chez soi sans nous avoir demandés comment faire pour rencontrer un vraie homme. Je lui dis :< ne cherche pas cela va venir tout seul >, Mais avant qu’elle quitte nous lui avons montré nos futures rénovations et notre grande chambre de supplices avec les différents objets. Elle trouvait cela bien comme rénovation.
Justine alla voir ses parents qu’elle n’avait pas vus depuis 2ans, mais se parlait souvent par téléphone quand on demeure dans l’ouest du pays. Le soir venu, elle reprend l’avion pour retourner chez elle dans sa maison de banlieue de Vancouver en B.C. Dans l’avion elle pensa à Francine et Andréanne dans leur expérimentation de leur corps en tout genre et cela la fit frissonner. Comment deux femmes peuvent-elles en arriver là! Elle s’endormi et rêva à une aventure sexuelle de ce genre, Elle se réveilla en sursaut car l’hôtesse de L’air lui demanda de bien vouloir s’attacher car l’atterrissage était éminent. Sa petite culotte était mouillée, elle avait honte.
Elle entra dans son chez soi en fin de soirée. Elle se dévêtit et alla porter son appareil de photo dans sa chambre noir et remonta à sa chambre se dévêtit et se coucha. Sa nuit fut très agitée rêvant à des rêves érotiques de tout genre. Elle se réveilla tôt prit une douche, se vêtit des vêtements pour le travail elle embarqua dans sa voiture soit une BMW et parti pour le bureau. Sa secrétaire se présenta à son bureau, et lui donna son agenda pour la journée, Une rencontre avec la chambre de commerce, un client en fin de pm et le lendemain matin une nouvelle cliente pour des problèmes d’ordre fiscale. Le soir elle entra dans son chez soi.
Elle prit le temps de manger, de se dévêtir, de mettre une robe de soirée car elle devait sortir pour une rencontre d’un organisme dont elle fait partie en tant qu’experte en fiscalité, La soirée se déroule bien. À la pause est fit la connaissance de différentes personnes dont une qui attira son attention par les différentes questions qu’elle posait. La dame qui se prénomme Débby, qui est directrice d’une école supérieur, voulait savoir comment préparer ses étudiants à la fiscalité lorsqu’ils commenceront leur carrière d’ingénieur. Je lui conseillai de rencontrer ses étudiants lors d’une rencontre dans le cadre d’un des cours. Je lui conseillai d’appeler à mon bureau et lui remit ma carte d’affaire.
Deux mois passèrent et Debby rappela. Elle me fit part que les étudiants et le prof voulaient me voir le 10 de ce mois de juin. J’acceptai leur invitation pour 9hr Am. Je L’indiquai dans mon agenda et averti ma secrétaire de bloquer cette matinée. Une semaine plus tard je me rendis au dit endroit. Debby me reçu et J’allai rencontrer les étudiants. Les étudiants étaient très réceptifs. La matinée terminé je me dirigeai vers la sortie lorsque je m’arrêtai au bureau de Debby. C’est une dame qui mesure environ 6 pied mince tout le contraire de moi se dit elle. Debby offrit le diner à son hôte. Elles prirent sa voiture et allèrent manger dans un resto au centre ville. Ce resto est populaire pour sa nourriture chinoise. Elles prirent une table et se mirent à jaser de tout et de rien. Debby était une femme calme et pausée. Elle a 39 ans célibataire ayant eu quelques relations mais rien pour la satisfaire et de s’engager. Elle demeure en banlieue soit en foret. Debby parle de sa passion qui est la nature car avant de devenir directrice elle était archéologue. Justine parla de ses passions pour les chiffres et aussi de sa passion pour la photographie. Elle lui confirma son célibataire et sa demeure dans la banlieue ce qui lui permet de se détendre. Avant de se quitter, elles s’échangèrent leur numéro de téléphone.
L’été arriva Debby prit des vacances et Justice partit dans son coin de pays et passa ses vacances chez ses parents et visita un coi du pays et alla visiter Andrène et Francine pour revoir leur rénovation terminée. Elle fut agréablement surprise de leur lieu secret, le nombre d’objet qui peu faire réagir le corps humain. Elle reprit l’avion et rentra chez elle. A son retour il y avait des appelles du bureau et un appel de Debby. Elle prit le temps de défaire ses valises et de prendre soins d’elle. Elle rappela Debby en fin de journée mais tomba sur sa boîte vocal et y laissa un message.
Le Dimanche elle mit de l’ordre dans ses affaires et fit le ménage et le lavage. Elle l’étendit sur la corde à linge. Une fois le linge étendu elle prit un livre et alla s’étendre près de la mer. Elle amena son cellulaire car elle a fait le transfert de son téléphone a son cell. Le bord de la mer était rafraichissant. Elle s’apprêtait à rejoindre sa maison quand son cell vibra. Elle répondit et c’était Debby qui voulait lui parler car elle pensait beaucoup à elle. Justine fut surprise d’entendre ses mots doux à son oreille. Debby invita Justine si elle le voulait bien venir partager un souper avec elle. Justine était hésitante mais accepta l’invitation,
Elle se vêtit proprement et élégamment pour plaire à son hôte. Elle apporta un vin de qualité. Chemin faisant elle se mit à penser à sa copine Francine et Andréanne leur rencontre et la joie d’être ensemble, pour elle semble irréaliste une rencontre avec Debby mais c’est bien la réalité. Elle arrive tout près de la résidence qui est en foret entourée de gros arbre centenaire. Elle ouvre la portière et son hôte vient vers elle avec un ensemble pantalon rouge qui la met en valeur. Je sortis de la voiture avec ma robe élégante et elle me dit :< cela vous va à ravir> puis nous entrons dans son domaine qui est vaste et chaleureux ce qui la représente bien.
Elle m’offre à boire et j’acceptai et nous trinquons à notre amitié. Nous jasons de nos carrières et de nos vies respectives et de nos relations. Plus je l’a regarde plus je l’a trouve intéressante. Je sens que ses yeux me regardent et me scrutent. J’aime que les gens me regardent. Le souper est délicieux. Je devine ses courbes de ses fesses sont profondément bien. Pourquoi je pense à cela. Je n’ai pas l’habitude d’avoir c’est pensée. Elle revient avec un thé chinois et un petit dessert que nous prenons au salon. Nous sommes chacun à nos places. Nous parlons d ‘une prochaine rencontre mais cette fois se sera chez moi et elle accepta. La soirée se termina par un bisou sur les joues et je quittai pour mon chez moi.
Deux semaines s’écoulèrent le travail m’accaparait. Je reviens de mon travail épuisé, Je me fis une tasse de thé et je tombai dans mes pensées. Comment se fait-il que je suis toujours seule????. Pourtant J’aime la compagnie des gens, J’aime embrasser et être cajolée, être prise dans les bras d’un homme, un vrai, Jamais un homme à pris soin de moi. En faite se dit-elle je ne fus jamais satisfaite d’une présence masculine et même sexuellement. Leur pénis, autant était long et gros et juteux jamais il ne me satisfaisait. Je recevais leur sperme en moi et parfois je me sentais comme une poubelle. Le dernier se dit-elle cela n’a duré que 2 mois et je me souviens de l’avoir mit à la porte et j’ai fait mon deuil des hommes qui ne prenaient le temps de s’occuper de moi.
Elle pensa à Debby et elle se dit je vais lui demander de venir souper samedi soir et nous jaserons. Elle fouilla dans sa sacoche et trouva son numéro de téléphone. Elle s’apprêtait à l’appeler quand son téléphone vibra, C’était justement Debby qui lui demandait ce qu’elle faisait ce vendredi soir. Elle lui expliqua le but de la soirée et les rencontre qu’elle pouvait faire avec des gens d’affaire. Elle accepta la rencontre qui aurait lieu ou elle travaillait. Cela prenait une tenue de soirée.
Le lendemain soir, elle se présenta au dit endroit. Debby l’attendait avec un habillement qui provoquerait un homme. Elle s’était habillée dans le noir. Une veste, un chandail et un pantalon qui là met en évidence. Il faut dire que le noir y va à ravir. Debby présenta Justine à certain personnage dont des dirigeants d’entreprise et des conseillers municipaux. La soirée se déroulait bien. Elle se permit de regarder les dames qui étaient tous bien vêtue et même plus parfois.
Il y eut un souper bénéfice et aussi un orchestre pour agrémenter le tout. Je pris place avec 2 dirigeants d’entreprise et le directeur de l’université B.C et aussi Debby. A la fin de la soirée je fus invité à faire quelques pas de danse avec un Monsieur je me démenais encore pas mal. Je cherchais Debby du coin de l’œil et elle dansait avec une dame d’un âge certain. L’orchestre mit un peu plus de rythme moi et Debby avons décidées de faire quelques pas ensemble. Cela fût une rencontre de danse agréable.
Je dis à Debby que demain soir je l’attendais pour un souper et un sourire apparu. Je lui donnai mon adresse et je l’ai remerciée pour cette charmante soirée. A mon arrivée chez moi, je pris un bain relaxant et allai me coucher. Le lendemain matin, je fis le ménage, la routine. Je sortis de chez moi faire quelques emplettes et aussi des objets que je voulais acquérir depuis longtemps. A mon retour chez moi. J’avais un appel de Debby qu’elle serait chez moi en pm vers 15hres. Je plaçai mes achats dans des tiroirs de ma commode.
Elle arriva vers 15h30. A partir de 15hre j’étais impatiente de la voir. Je me faisais toutes sortes de scénarios, avait-elle changé d’idée, avait-elle eu un accident, avait-elle eu un empêchement de dernières minutes! Je regardai à l’extérieur et je vue apparaître une voiture de l’année. Elle sortit de sa voiture, je soupire de satisfaction de la voir. Je lui ouvre la porte et lui souhaite la bienvenue dans ma résidence. Elle me tant son manteau d’automne et le mit dans le vestibule. Elle porte un chandail en v ce qui met son cou en évidence et le début de sa poitrine. Je lui fais visiter ma demeure en commençant par le sous-sol. Elle trouve ma résidence spacieuse et luxueuse. Nous montons au premier palier. Je lui montre ma salle de bain avec un bain immense et un comptoir très vaste. Je lui montre ma chambre d’ami et aussi un endroit de lecture. Une bibliothèque et une deuxième salle de bain à même ma chambre qui est très grande. Par la suite nous passons au salon qui est très grands et meubler avec des meubles antiques.
Je lui offre à boire, soit du vin rouge ou blanc, un thé, café. Elle opte pour un vin blanc, Il est déjà 18h30, je mets au four un rosbif et des patates. Elle me demande si elle peut m’aider. Je lui dis non :< tu es mon invitée> en la regardant dans ses yeux. Elle prit son ver et nous trinquons à notre santé. Il 19hres et le souper est prêt. Je sortis notre plat principal et y joint du vin, une salade pour agrémenter le tout. Elle aime le rosbif saignant J’approche son plat et je regarde se magnifique cou. Je sens qu’elle est tendue. Je prends mes deux mains et je les dépose sur ses épaules, Elle ne bronche pas. Sa tête rejoint ma main gauche. J’approche ma bouche vers son cou et l’embrasse tendrement. J’entends un petit soupire de satisfaction. Elle ne se débat pas. Je sais qu’elle aime cela. Je termine se doux baisé et je me retire pour faire mon plat. Elle se retourne et dit : < J’attendais cela de toi depuis fort longtemps>. Je m’approchai d’elle et elle se leva et nous nous embrassâmes longtemps. Nous en avions de besoins.
Nous regardâmes dans les yeux. Elle prit ma main et la déposa sur son cœur. Nos deux mains étaient réunies. Elle avança vers moi et me prit par la taille et sent se forcer nous nous dirigeâmes vers ma chambre à coucher. Chemin faisant nos vêtements se trouvèrent éparpiller un peu partout. Sur mon lit nos corps se sentaient et se cherchaient. Parfois je criais de plaisir. Je lui mangeais sa chatte poilue et je la dégustais de plaisirs. Je jouissais en à pleurer. Je prenais soin d’elle et elle faisait de même. Nous avons apprit à connaître nos corps et à les aimer. Elle savait me faire réagir et aimer mes réactions.
J’ouvris un tiroir de ma commode et sortit une crème pour dilater nos parties, J’y introduis la crème. Je sortis un strap on et le plaçai à ma taille. Je l’introduis lentement dans son vagin et je lui fis le va et vient. Elle criait de plaisir. Je reçu des tapes sur mes fesses en signe de satisfaction. Je sortis le strap-on d’elle et l’introduit dans sa bouche enfin qu’elle goutte son corps. Je le défis et le lui donnai et elle l’installa pour me satisfaire. Lors de la pénétration, je sentis l’appareil me pénétrer et me faire jouir à l’extrême. Moi qui me pensais frigide je découvris la joie du sexe. Cela dura une heure de pénétration. Debby me fit l’amour comme une déesse. Nous nous sommes endormis et réveiller tard le dimanche matin. Le sexe nous a donné une fin de loup. Nous étions nues toutes les deux dans la cuisine. Je fis le café, et elle fit des œufs et des fruits et du bacon et petite pomme de terre en cube qu’elle fit à même les patates de la veille. Elle était belle à voir. Nous nous regardâmes dans les yeux et cela voulais tout dire.
Nous étions proche l’une de l’autre, nous prenions le temps pour nous de se parler et d’exprimer ce que nous ressentions. Elle me disait n’avoir jamais autant joui de sa vie et crier de plaisir. Je lui confirmai le même plaisir. Jamais un homme n’a réussi à me faire jouir et crier comme tu l’as fait, hier et durant la nuit Debby.
La journée se déroula bien, la nudité était de mise. Je t’ai déjà parlé que je connaissais deux femmes de mon pays qui eux sont en couple et qui aime la souffrance. Oui déjà tu en avais fait allusion il y a quelques semaines lors d’un diner au centre ville je crois que c’était en juin, mais pas certaine. Dernièrement elles ont faite des rénovations dans leur maison. Elles me font fait parvenir la cassette de leur Reno, tu voudrais regarder avec moi. Je t’avertis tu vas surement réagir à cela et ensuite une autre qui est du sado maso. Tu sais ce que c’est? Oui dit-elle. Commence par le sado maso dit-elle.
Justine mit la cassette et elles commencèrent à visionner celle-ci. La première partie montre les gens qui s’affèrent à huiler les deux femmes. L’huile pénètrera dans la peau ce qui empêchera beaucoup de lésions fait par le fouet mais pas la souffrance. Elle regarda avec attention le film. Elle remarqua avec quel effet avait les coups de fouet sur le corps. Chaque coup avait un effet sur le corps d’Andréanne mais pas de déchirure. Lorsque l’on lui a mit la couronne jaillit un peu de sang. Elle trainait la croix remarquat-elle… Le chinois regarda les photographie des mains afin que les os ne se brisent savoir ou passer le clou mains et pieds. Le film se termina et la réflexion de Débby était bien fait belle souffrance mais moi me dit-elle je crois que la souffrance n’est pas pour moi mais je ne dis pas que je n’aimerais pas que tu me fouette un jour. Je te le demanderai. Elles regardèrent la vidéo de la rénovation ainsi que leur endroit secret.
Six mois passèrent et nous nous voyons régulièrement soit pour faire des sorties soit cinéma voyage éclair dans les montagnes. Aujourd’hui le 22 mai je décide de planifier les vacances estivales. Je contact ma douce Debby pour que nous les planifions ensembles. Elle me suggère que nous passions celle-ci dans ma province natale ce qui lui permettrait de continuer à apprendre son français et lui permettrait de connaître mes amies et mes parents. Donc nous concluons mi-juillet à mi-aout. Tout fût conclu la journée même. Je contactai mes parents leur annonçant notre arrivée. Je contactai aussi mon amie Francine pour lui dire que je serai chez à la mi-juillet et dans la région jusqu’à mi-aout. Et que j’irais leur rendre visite.
Andréanne, Debby, Justine, Francine