Une rencontre
Récit érotique écrit par Le fou de sexe [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-01-2011 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Une rencontre
Elle les avait rencontrés à la terrasse d’un café. Le beau brun lui avait demandé l’heure et avait ainsi engagé la conversation. Le beau blond avait alors déplacé sa chaise pour venir à sa droite. En l’espace de cinq minutes, ils discutaient comme de vieux amis.
Puis la proposition était venue naturellement dans la conversation. « Tu viens chez moi prendre un café, j’habite juste à côté ? ». Elle avait accepté, avec sa candeur naturelle.
L’appartement était au dernier étage d’un immeuble bourgeois, sans vis-à-vis. Le soleil baignait de lumière le salon, orienté plein sud. Les murs blancs étaient égayés de nus dessinés au pastel. Elle s’arrêta devant celui du mur du fond, une belle femme assise cuisses écartées sur une chaise et offrant sa féminité aux regards.
- Tu aimes, demanda le blond ?
- Elle est belle, répondit-elle.
- Elle s’appelle Jessie et elle est faite pour l’amour. Tu aimes faire l’amour ?
- Oui, qui n’aime pas ?
- Oh, il y a des femmes et des hommes pour lesquels le sexe est une chose indifférente.
- C’est certainement vrai, mais pas pour moi.
Pendant ce court dialogue, le blond s’était rapprochée d’elle et avait posé ses mains sur ses épaules. Elle frémit à ce contact. Elle se retourna et vit qu’il la regardait avec intensité.
- Et tu ferais l’amour avec moi ?
- Et avec ton copain, répondit-elle du tac au tac ?
- Pourquoi pas, lui dit-il en approchant ses lèvres des siennes.
Elle ne refusa pas le baiser et pris un certain plaisir à faire tourner sa langue dans la bouche de ce bel inconnu.
- Et bien, je vois que vous ne perdez pas de temps. Je peux me joindre à vous demanda le brun ?
- humm, soupira-t-elle.
Le brun passa derrière elle plaquant ses mains sur son ventre. A quatre mains, ils caressaient son corps et la déshabillèrent en quelques secondes. Elle était nue avec deux inconnus qu’elle avait rencontrés une demi-heure plus tôt à la terrasse d’un café !
Le brun la guida vers le canapé pendant que le blond se déshabillait. Elle ouvrit sa braguette et joua avec sa queue qui commençait à durcir. En tournant la tête, elle vit la bite du blond déjà fièrement dressée qui semblait lui faire de l’œil. Elle posa ses lèvres sur le gland pendant que le brun finissait d’enlever ses vêtements.
Une bite dans chaque main, sa bouche passait de l’une à l’autre, arrachant à chaque mâle moult soupirs. Le brun tout en se faisant sucer le vit jouait avec ses seins pendant que le blond lui fouillait la chatte. Il la coucha délicatement sur le canapé, tout en jouant avec son minou.
Le brun, goulument aspiré, suivit le mouvement et s’accroupi sur son visage. Elle pris sa bite dans une main et commença à lui lécher le petit trou, ce qui eut pour effet de lui arracher quelques soupirs de contentement. Alors qu’elle jouait tantôt avec son anus, tantôt avec sa bite, tantôt avec ses bourses, tout en caressant son torse velu, elle se faisait mettre plusieurs doigts au fond de son vagin, en se tortillant de plaisir.
Puis le brun rejoignit le blond autour du minou glabre et la lutina de bon cœur. Le blond se redressa et approcha la bite de la chatte désormais bien humide et qui criait famine. Le brun se saisit de la bite et la suça avec délectation sous l’œil étonnée de la belle, avant de la guider vers l’antre féminine.
Il pénétra sans effort tout au fond de cette féminité demanderesse et commença à la besogner en cadence. Alors le brun renfonça sa queue au fond de la gorge de la demoiselle qui ne demandait pas mieux que de sucer ce membre turgescent. Les trois prenaient un plaisir évident à baiser. Ils changèrent de position à deux reprises, avant de la faire mettre à quatre pattes pour la prendre en levrette.
Le petit jeu dura encore quelques longues minutes, avant qu’elle ne se mette à jouir bruyamment, tout son corps secoué par des ondes orgasmiques et à s’écrouler sur le canapé exsangue. Ils se retirèrent alors de leurs orifices respectifs, s’embrassèrent goulument, se masturbèrent violemment et jouirent sur son cul.
Elle tourna la tête vers le blond, qui se trouvait à sa droite, et lui sourit, un éclat de bonheur fugace au fond de ces grands yeux bleus.
Puis la proposition était venue naturellement dans la conversation. « Tu viens chez moi prendre un café, j’habite juste à côté ? ». Elle avait accepté, avec sa candeur naturelle.
L’appartement était au dernier étage d’un immeuble bourgeois, sans vis-à-vis. Le soleil baignait de lumière le salon, orienté plein sud. Les murs blancs étaient égayés de nus dessinés au pastel. Elle s’arrêta devant celui du mur du fond, une belle femme assise cuisses écartées sur une chaise et offrant sa féminité aux regards.
- Tu aimes, demanda le blond ?
- Elle est belle, répondit-elle.
- Elle s’appelle Jessie et elle est faite pour l’amour. Tu aimes faire l’amour ?
- Oui, qui n’aime pas ?
- Oh, il y a des femmes et des hommes pour lesquels le sexe est une chose indifférente.
- C’est certainement vrai, mais pas pour moi.
Pendant ce court dialogue, le blond s’était rapprochée d’elle et avait posé ses mains sur ses épaules. Elle frémit à ce contact. Elle se retourna et vit qu’il la regardait avec intensité.
- Et tu ferais l’amour avec moi ?
- Et avec ton copain, répondit-elle du tac au tac ?
- Pourquoi pas, lui dit-il en approchant ses lèvres des siennes.
Elle ne refusa pas le baiser et pris un certain plaisir à faire tourner sa langue dans la bouche de ce bel inconnu.
- Et bien, je vois que vous ne perdez pas de temps. Je peux me joindre à vous demanda le brun ?
- humm, soupira-t-elle.
Le brun passa derrière elle plaquant ses mains sur son ventre. A quatre mains, ils caressaient son corps et la déshabillèrent en quelques secondes. Elle était nue avec deux inconnus qu’elle avait rencontrés une demi-heure plus tôt à la terrasse d’un café !
Le brun la guida vers le canapé pendant que le blond se déshabillait. Elle ouvrit sa braguette et joua avec sa queue qui commençait à durcir. En tournant la tête, elle vit la bite du blond déjà fièrement dressée qui semblait lui faire de l’œil. Elle posa ses lèvres sur le gland pendant que le brun finissait d’enlever ses vêtements.
Une bite dans chaque main, sa bouche passait de l’une à l’autre, arrachant à chaque mâle moult soupirs. Le brun tout en se faisant sucer le vit jouait avec ses seins pendant que le blond lui fouillait la chatte. Il la coucha délicatement sur le canapé, tout en jouant avec son minou.
Le brun, goulument aspiré, suivit le mouvement et s’accroupi sur son visage. Elle pris sa bite dans une main et commença à lui lécher le petit trou, ce qui eut pour effet de lui arracher quelques soupirs de contentement. Alors qu’elle jouait tantôt avec son anus, tantôt avec sa bite, tantôt avec ses bourses, tout en caressant son torse velu, elle se faisait mettre plusieurs doigts au fond de son vagin, en se tortillant de plaisir.
Puis le brun rejoignit le blond autour du minou glabre et la lutina de bon cœur. Le blond se redressa et approcha la bite de la chatte désormais bien humide et qui criait famine. Le brun se saisit de la bite et la suça avec délectation sous l’œil étonnée de la belle, avant de la guider vers l’antre féminine.
Il pénétra sans effort tout au fond de cette féminité demanderesse et commença à la besogner en cadence. Alors le brun renfonça sa queue au fond de la gorge de la demoiselle qui ne demandait pas mieux que de sucer ce membre turgescent. Les trois prenaient un plaisir évident à baiser. Ils changèrent de position à deux reprises, avant de la faire mettre à quatre pattes pour la prendre en levrette.
Le petit jeu dura encore quelques longues minutes, avant qu’elle ne se mette à jouir bruyamment, tout son corps secoué par des ondes orgasmiques et à s’écrouler sur le canapé exsangue. Ils se retirèrent alors de leurs orifices respectifs, s’embrassèrent goulument, se masturbèrent violemment et jouirent sur son cul.
Elle tourna la tête vers le blond, qui se trouvait à sa droite, et lui sourit, un éclat de bonheur fugace au fond de ces grands yeux bleus.
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