Une rencontre agréable
Récit érotique écrit par Helene2010 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-07-2010 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Une rencontre agréable
La journée avait été étouffante et la soirée avait été pénible. Heureusement, un orage avait fait un peu baisser la température mais il pleuvait encore dru sur les deux heures du matin quand je suis sorti de la petite fête d'anniversaire à laquelle m'avait convié ma sœur.
Je ne connaissais aucun de ses amis et je m'amusais de ses efforts pour me faire rencontrer quelqu'un. A trente-cinq ans, ça l'énervait que je sois encore célibataire. Et moi, si je faisais parfois des rencontres, ça ne me semblait toujours pas une chose importante de vivre avec une femme.
Ça ne me manquait pas et quand j'éprouvais des besoins, je m'efforçait de draguer sans vraiment de succès car j'étais toujours aussi timide et la plupart du temps, ça se terminait en branlette. J'aimais et j'aime toujours me branler. Comme dit l'autre dans la pub, c'est moi qui décide et par moment, il m'arrive de décider très souvent, jusqu'à l'épuisement. J'ai toujours fait ça. Je faisais ça quand j'étais gamin et ça rendait folle notre mère de découvrir les taches dans mes draps. Elle qui avait bien essayé de me raisonner sans succès.
J'ai toujours trouvé ça pratique pour m'endormir rapidement. Quelqu'un qui me connaîtrait bien trouverait que j'ai toujours été un mec bizarre. Timide comme j'ai déjà dit, et obsédé par le sexe à en mater les filles et leurs seins nus à la plage et à jalouser les couples qui s'embrassent, les femmes avec leurs amples décolletés. J'ai toujours aimé les gros seins. Pas les seins gros, mais les seins qui sont beaux parce qu'ils sont gros, avec leur forme particulière, par exemple ceux qui s'affaissent sous leur poids mais qui gardent toujours leur aréole sur le devant. Des aréoles très larges, bien sûr. Des seins aussi qui semble se détacher du thorax parce qu'ils sont lourds et mous et sur ce point la meilleure c'est pour moi Chloé Vevrier.
Donc, il pleuvait dru et j'allais partir et j'étais avec mon parapluie sur le perron.
- Je suis en voiture, je t'emmène, disant un invité à un autre !
Tout le monde s'emmenait et moi j'attendais que ça tombe un peu moins dru quand ma sœur m'a attrapé le coude :
- Gérard, tu ne veux pas ramener Chloé ? Elle n'habite pas très loin...
Je me suis retourné. Je me souvenais de cette femme que j'avais vue dans un coin avec son verre à la main. Elle m'avait semblée ailleurs, sans doute comme moi venue parce qu'on l'avait invitée. Je me suis demandé comment je n'avais pas plus fait attention à cette femme qui n'avait que sa robe sur elle et pas de parapluie.
- Tiens, prends ce parapluie-là ! Le parapluie de l'escouade, et raccompagne mon amie, a ajouté ma sœur !
Chloé avait un petit sourire et semblait fatiguée et pourtant jolie. Je n'avais pas remarqué ça non plus, ni que sa robe était boutonnée jusque sous son menton. Curieuse robe. Des boutons du haut en bas, tous les trois centimètres. J'ai pensé que si quelqu'un voulait la violer, il se découragerait avant d'arriver à ses fins.
J'ai pris le parapluie et j'ai tendu mon coude à Chloé qui a passé son bras dans mon bras et nous avons descendu les marches. A la grille, nous nous sommes retournés et nous avons fait signe au revoir à ma sœur. Un parfait ensemble, puis nous avons marché sur le trottoir en cherchant à échapper à la pluie et je me suis efforcé de protéger Chloé mais quand nous sommes arrivés chez elle, nous étions mouillés jusqu'au genoux.
- Venez ! Venez vous sécher, m'a proposé Chloé ! Peut-être qu'il ne pleuvra plus quand vous repartirez ?
C'était drôle et je me sentais gêné. Il semblait que la pluie avait apporté la gaieté à Chloé. Elle riait presque. J'ai retiré moi aussi mes chaussures dans l'entrée et je l'ai suivie dans le salon où elle a allumé la bûche artificielle insérée dans la cheminée puis a mis une chaise devant et m'a dit de m'asseoir.
- Je vais chercher une serviette, a ajouté Chloé, et elle a disparu !
Avant de m'asseoir, j'ai pensé que le mieux serait de retirer mon pantalon, de le mettre sur le dossier de la chaise et je n'en ai rien fait. Je me suis assis sur la chaise et Chloé a surgi :
- Attendez, m'a-t-elle dit en riant ! J'ai un sèche-linge ! Donnez-moi votre pantalon !
Elle m'a regardé et je l'ai regardée. Peut-être pensait-elle que je portais un caleçon sous mon pantalon ? Je n'avais qu'une sorte de string, un truc qui contenait à peine mon pénis quand j'avais une érection.
- Votre pantalon, a insisté Chloé ! Je vous promets de ne pas regarder !
Elle s'est retournée et j'ai déboutonné mon pantalon et je le lui ai tendu avant de m'asseoir sur la chaise. Chloé m'a jeté la serviette sur les genoux et est sortie de la pièce.
C'était bien ce que je pensais : je bandais et mon pénis avait des velléités de s'échapper. J'ai serré les jambes. Chloé est réapparu pour me rassurer et me dire que mon pantalon était en train de sécher puis elle m'a offert de boire quelque chose :
- Je n'ai pas d'alcool, a continué Chloé ! Je n'aime pas ça et en fait ça me rend malade !
Elle avait son joli sourire et je me suis rendu compte en la regardant qu'elle avait changé de robe. Elle avait maintenant une robe décolletée qui laissait voir la naissance de ses seins et le profond sillon qui les sépare. Je me doutais bien qu'elle avait ce qu'il faut là où il faut, mais dans l'autre robe c'était plutôt une masse écrasée plutôt qu'une belle poitrine. Chloé est revenue avec des jus de fruit et m'a tendu un verre et j'ai trempé mes lèvres dedans avant de le reposer, mais il n'y avait nulle part où le poser à part le bord de la cheminée qui commençait à bien chauffer.
- Oh, pardon, m'a dit Chloé en reprenant mon verre ! Je vous apporte une petite table !
Elle a pris une petite table basse dans mon dos et l'a déposée devant moi et comme elle se baissait, j'ai pu voir encore plus profond dans son décolleté et c'était vraiment profond vu qu'elle n'avait pas de soutien-gorge puis en relevant la tête j'ai croisé le regard de Chloé qui a rougi.
- J'ai..., je...
Je n'ai pas pu savoir ce qu'elle voulait dire car elle s'est tournée et c'est en me tournant le dos qu'elle m'a dit que je lui plaisais. Chloé a quand même pu se reprendre et s'est à nouveau tournée vers moi :
- Votre sœur m'a parlé de vous et... je ne pensais pas que vous étiez si gentil !
Chloé s'efforçait de sourire alors qu'elle continuait à rougir. Je ne savais ni que dire ni que faire et ma bite n'en faisait qu'à son idée et mon gland touchait mon nombril.
- J'ai... pas souvent été avec un garçon, a continué Chloé ! En fait, je suis vierge !
J'ai compris qu'elle avait dit ça pour se soulager, pour se forcer à aller plus avant et j'ai compris que pour elle c'était un coup de foudre. Je lui ai dit que je ne l'étais pas, moi, vierge et Chloé a encore rougi avant de me répondre :
- Forcément, vous, vous êtes plus vieux que moi !
- Ah, bon, lui ai-je répondu, vous connaissez mon âge ?
C'était idiot comme réaction puisque bien sûr, ma sœur devait bien le lui avoir dit.
- J'ai vingt-deux ans, a continué Chloé ! De toute façon, l'âge, ça ne veut rien dire ! Mes parents avaient dix ans de différence quand ils se sont mariés !
On se regardait dans les yeux et on ne disait plus rien. Je ne savais pas trop quoi lui dire par la force des choses car les filles, ce n'était pas mon ordinaire car, comme je l'ai déjà dit, je suis trop timide.
- Vous êtes sec, m'a demandé Chloé ?
J'étais sec. Chloé est alors partie chercher mon pantalon et me l'a rapporté et me l'a tendu et je me suis levé pour l'attraper et c'est là qu'elle a poussé un cri :
- Oh, mon dieu, vous êtes monstrueux !
Monstrueux, moi ? De quoi Chloé parlait-elle ? J'ai fini par comprendre qu'il se passait quelque chose au bas de mon ventre et j'ai regardé et j'ai vu le bout de mon pénis au-dehors de mon slip, mais qu'avait-il de si monstrueux ?
- Vous avez un grand pénis, a ajouté Chloé !
Elle était devant moi et il n'y avait que sa main et mon pantalon qui nous séparait. J'ai attrapé sa taille en même temps que je saisissais mon pantalon et j'ai pressé Chloé contre moi. Elle sentait bon et était toute douce et j'ai pu l'embrasser et ça m'a semblé miraculeux que je puisse embrasser cette jolie fille. Elle se laissait faire et mêlait sa langue à la mienne et j'en ai profité pour attraper sa main et la guider sur mon pénis.
- C'est pas si monstrueux, lui ai-je dit alors que je collais sa main sur mes couilles.
- Oh, si, vous faites combien de centimètres, m'a demandé Chloé ?
- Combien de centimètres, lui ai-je fait ? Je vous réponds si vous me dites la taille de vos bonnets !
- De mes bonnets, m'a répondu Chloé ? Ah, oui, vous voulez parler de ma poitrine ?
- Oui de votre poitrine, ai-je précisé !
- 34F et parfois 34G, ça dépend des modèles, m'a répondu Chloé !
Je sentais ses doigts sur mon pénis. Elle le décalottait et le recalottait et le collait dans le creux de sa main.
- J'aimerai mieux dans la chambre, a ajouté Chloé !
Je l'ai suivie dans sa chambre. Jamais encore une femme ne m'avait tiré derrière elle en me tenant le pénis. Chloé l'avait gardé pincé dans ses doigts.
- Alors, tu mesures combien, m'a rappelé Chloé ?
- Dix-huit, vingt, je n'ai jamais vraiment mesuré avec précision, lui ai-je répondu ! Ça n'a rien de monstrueux !
- Laisse-moi retirer ton slip, a insisté Chloé !
Elle s'est agenouillée et a fait glisser mon string sur mes cuisses et jusqu'en bas de mes chevilles.
- Il est beau, a ajouté Chloé !
- Dis-le lui, ai-je insisté !
- Tu es beau, tu es beau, tu es beau, a commencé à dire Chloé !
Je sentais son souffle sur la peau de mon pénis.
- Embrasse-le, ai-je encore insisté !
Chloé s'est mise à coller des baisers du haut en bas de mon pénis et même sur mes couilles.
- Tu te rases toujours, m'a ensuite demandé Chloé ?
Je m'étais mis à me raser depuis que j'habitais seul, c'est-à-dire depuis que je ne vivais plus chez mes parents et j'avais fini que c'était plus pratique pour me nettoyer après avoir juté. Plus de sperme dans les poils et un coup de gant et c'était à nouveau propre. J'ai répondu à Chloé que j'aimais bien ça et que...
- Je me fais le maillot quand je pars en vacances, m'a repris Chloé ! Tu voudrais que j'enlève tout ?
Je lui ai répondu que je n'avais pas encore pu juger et elle m'a répondu que je n'avais qu'à lui retirer sa robe. Elle n'avait rien dessous, que ses poils sur son pubis et même un peu à l'intérieur de ses cuisses et pour le peu que je connaissais des femmes, ça m'a quand même intrigué de voir les petites lèvres de Chloé sortir des grandes.
- Tu veux que je me rase entièrement, m'a demandé Chloé ?
Je ne regardais plus son ventre et je regardais ses seins, me demandant comment une fille aussi mince — je pouvais voir les côtes sous la peau — pouvait avoir une poitrine aussi grosse et aussi belle, comme je l'avais rêvée, très étroite aux attaches et rassemblée tout en bas avec les aréoles énormes sur le devant et des mamelons gros comme des dés à coudre.
- Tu veux que je me rase, m'a encore demandé Chloé ?
Elle n'a pas attendu ma réponse et s'est enfuie dans la salle de bains.
- Quel cul ! Mon dieu, quel cul, ai-je pensé ! Toi, il faudra que je t'encule !
J'ai aussitôt regretté ma dernière pensée. Je n'avais jamais fait ça à une femme mais je m'étais parfois enfoncé un gode dans l'anus pour voir ce que ça faisait d'être enculé, tout en me posant des questions parce que j'aimais vraiment ça. J'ai rejoint Chloé dans la salle de bains. Elle avait le bas-ventre couvert de mousse à raser et avait déjà commencé la coupe claire. Elle a levé la main qui tenait le rasoir et m'a dit de la laisser faire et c'était impressionnant parce que ce n'était pas un rasoir bon marché où on change les lame ou qu'on peut jeter, mais un vrai rasoir, un coupe-chou capable de vous couper la bite en un rien de temps.
- C'est à mon père, m'a dit Chloé ! C'était avec ça qu'il se rasait !
Je l'ai regardée faire. Une vraie professionnelle. Tchac ! Tchac! Et la forêt s'éclaircissait. Je lui ai demandé si elle était coiffeuse mais elle ne l'était pas. Elle a fait ses cuisses puis a fignolé dans les recoins.
- Tu te masturbes, m'a demandé Chloé ?
Je ne m'attendais pas à une telle question. Chloé a insisté et je lui ai répondu que ça m'arrivait mais elle a encore insisté puis elle a ajouté qu'elle se masturbait beaucoup.
- J'aime ça, a ajouté Chloé ! Oh, oui, j'aime vraiment ça !
Elle était face à moi, un pied sur le carrelage et l'autre pied sur le bord de la baignoire et avec toujours son rasoir à la main.
- Ça se voit, du reste, a ajouté Chloé !
Elle a pris le gant dans le lavabo et s'en est rincé le ventre puis elle a attrapé ses petites lèvres et a tiré dessus et j'ai eu l'impression qu'elle voulait se les arracher tant elles s'étiraient. Presque cinq centimètres.
- Viens, m'a dit Chloé après avoir posé son attirail !
Elle m'a attrapé la main mais je l'ai retenue. Elle me tournait le dos maintenant.
- Attends, lui ai-je demandé !
J'ai passé mes mains sous ses bras et j'ai attrapé sa poitrine. En fait, je ne l'ai pas vraiment attrapée. Je l'ai soulevée dans mes mains. Un sein dans chaque main et j'ai dit à Chloé qu'elle avait une poitrine magnifique. Elle m'a répondu qu'elle devait ça à sa mère et à sa grand-mère puis a ajouté que si je les voyais, je serais convaincu à part que la poitrine de sa mère était un peu plus lourde et celle de sa grand-mère bien plus lourde.
- Pas de chance, m'a ensuite dit Chloé ! Tu es tombé sur la plus petite ! La poitrine de ma grand-mère lui arrive au nombril ! Viens !
Je l'ai suivie dans le lit ou plutôt sur le lit. J'avais plus confiance et j'avais débandé à moitié. Chloé m'a fait mettre sur le dos et s'est agenouillée à côté de moi. La pendule a sonné quatre coups mais Chloé n'y a pas prêté attention. Elle m'a, par contre, fait la remarque que j'avais débandé et je lui ai dit de, par hasard, me sucer et Chloé m'a répondu que j'étais dégoûtant mais elle s'y est quand même mis et a avalé mon pénis et s'est attelée à me faire rebander, ce qui n'a pas tardé et elle s'est assise face à moi sur mon ventre et Chloé a guidé mon pénis dans son vagin puis une fois bien au fond, n'a plus bougé.
Elle me regardait et je la regardais et j'ai baissé les yeux vers sa poitrine quand elle a pris ses seins dans ses mains et s'est baisée pour faire glisser sa poitrine sur mon visage. Chloé s'amusait à faire passer ses mamelons sur mes lèvres et je n'arrivais pas à les attraper.
- Tu veux me téter, a-t-elle fini par me dire ?
- Te téter, lui ai-je demandé ? Tu as du lait ?
- Oui, parfois, m'a répondu Chloé ! Ça m'arrive et je ne sais pas pourquoi ! Je te jure que je n'ai jamais eu d'enfant !
Tu veux ?
Elle avait laissé un mamelon à porté de mes lèvres et je n'ai pas pu faire autrement que de l'attraper et malgré la grosseur de son sein, je voyais bien que Chloé l'avait attrapé à deux mains pour qu'il reste au-dessus de ma bouche et j'ai tété, mais en vain, tout comme pour l'autre sein. Au bout d'un moment, Chloé s'est redressée. Elle me dominait et me regardait, un sourire aux lèvres.
- Touche mes seins, m'a-t-elle intimé !
Elle m'a pris les mains et les a guidées sur sa poitrine.
- Touche-les, s'est mise à minauder Chloé ! J'ai besoin que tu les touches !
Je les ai touchés, soulevés, serrés, soupesés et claqués l'un contre l'autre. Flac ! Flac ! Je les ai saisis par les mamelons et je les ai soulevés et lâchés. Floc ! Floc, ont-ils fait en touchant son torse. Ses seins faisaient faire des plis à la chair de ses côtes puis Chloé est devenue sérieuse :
- Prends-moi maintenant ! Prends-moi en levrette !
Elle s'est écartée de moi et j'ai pensé que c'était atroce que mon pénis ne soit plus réfugié dans son vagin et Chloé a attendu que je vienne derrière elle et je me suis agenouillé à mon tour et je l'ai pénétrée.
- Oh, oui, prends-moi ! J'aime ça, a répété Chloé ! J'aime quand tu rentres dans mon vagin !
J'ai attrapé ses hanches et j'ai commencé à limer. Chloé était étroite malgré tout et c'était un vrai plaisir de laisser le gland avant de me renfoncer. Elle poussait de petits cris puis elle m'a dit à nouveau de lui toucher la poitrine et je me suis arrêté pour attraper ses seins. Je pouvais presque refermer mes mains sur le haut de ses seins tant ils étaient souples. Chloé insista pour que je lui touche les mamelons et je me suis mis à les tortillé sans qu'elle ne se plaigne tellement ça semblait lui plaire.
- Tu n'as jamais pensé à les faire percer, lui ai-je demandé ?
- Percer quoi, m'a demandé Chloé, soudain inquiète ?
- Les mamelons ! Ça se fait et il y a de jolis bisous...
- T'es malade, m'a fait Chloé ! Déjà que je n'ai pas les oreilles percées ! Et pourquoi pas un tatouage !
Je lui ai dit d'oublier. J'ai joué encore un moment avec sa poitrine puis j'ai à nouveau saisi ses hanches. J'avais envie de finir. Je limais à nouveau quand je lui ai demandé si elle ne risquait rien.
- Si je risque rien, m'a fait encore Chloé ? Qu'est-ce que tu veux dire ?
- Bah, si je dois me retirer avant de... Si des fois...
Chloé s'est mise à rire puis m'a dit qu'elle prenait la pilule et que je ne risquais pas de l'engrosser. Je lui ai demandé si ça lui plairait et elle m'a répondu que ce serait bien d'avoir le gros ventre et a ajouté qu'elle avait une cousine qui était enceinte et à deux semaines d'accoucher.
- Alors, qu'est-ce que tu en penses, ai-je insisté ?
- De quoi, m'a répondu Chloé ? D'avoir le gros ventre ou d'avoir un enfant ?
- Est-ce que tu continueras de faire l'amour une fois que... ai-je insisté ?
- Pourquoi, m'a fait Chloé ? Je ne te plairais plus ?
J'étais revenu à petite vitesse et je troussais Chloé tout doucement quand elle m'a dit qu'elle était prête et qu'elle avait envie et je suis allé jusqu'au bout. Pour cette première fois, elle a joui avant moi et j'ai dû patauger dans sa confiture pour finir. Nous sommes restés sans bouger et quand je me suis retiré, mon sperme a reflué et s'est égoutté sur le drap et Chloé a mis une main entre ses cuisses avant de descendre du lit pour aller se rincer. Je l'ai rejointe dans la salle de bains. Elle avait sorti une poire à lavement et se rinçait le vagin assise sur le bidet puis elle m'a dit de me laver. Après ça, nous sommes retournés sur le lit. Chloé a nettoyé la tache de sperme et s'est allongée à côté de moi puis elle m'a demandé de la serrer dans mes bras.
- Est-ce que je te plais, a-t-elle fini par me dire ?
La pendule sonnait les cinq heures. J'ai répondu à Chloé qu'elle me plaisait et qu'elle était la plus jolie femme que j'ai jamais eue et c'était la vérité.
- Tu vas t'en aller, m'a-t-elle ensuite demandé ? Tu peux rester...
Je suis resté avec elle. On a encore discuté un peu avant de nous endormir. Le lendemain matin, Chloé était toujours dans mes bras et ses seins écrasés l'un sur l'autre. Je bandais et j'ai essayé de la pénétrer et elle s'est réveillée et m'a demandé ce que je faisais. Je lui ai répondu que je voulais juste être en elle parce que j'y étais bien et elle a soulevé la cuisse pour me laisser passer.
- Tu as déjà sodomisé une femme, m'a ensuite demandé Chloé ?
- Pourquoi, lui ai-je répondu ? Tu en as envie ?
- Je ne sais pas, a continué Chloé ! Mais je voudrais bien savoir ce que ça fait !
- Tu es sûre que tu n'as jamais essayé, lui ai-je demandé ?
- Non, m'a fait Chloé
Elle semblait sûre d'elle.
- Même pas un doigt, ai-je insisté ?
- Cochon, m'a fait Chloé !
- J'ai envie de te le faire, lui ai-je répondu !
- Maintenant ?
- Maintenant !
- Ne me fais pas mal, m'a demandé Chloé !
Je suis sorti de son vagin et je suis venu dans la raie de ses fesses.
- Ne me fais pas mal, a insisté Chloé !
Je ne me suis même pas guidé. Mon gland est entré tout de suite puis j'ai enfoncé le reste de mon pénis. Chloé n'avait même pas poussé un cri et maintenant j'avais ses fesses collées sur mon ventre.
- Alors, ai-je demandé à Chloé ?
- C'est drôle, m'a-t-elle répondu !
- Qu'est-ce qui est drôle, lui ai-je fait ?
- Je croyais que ça me ferait mal, m'a dit Chloé !
- Tu veux que je te fasse l'amour comme ça ?
Elle n'était pas très partante mais je ne l'ai pas écoutée et j'ai commencé à limer son anus.
- J'suis comme une putain, a gémi Chloé !
- Peut-être, si tu aimes que je t'encule, ai-je insisté, mais ça ne fait pas de toi une putain !
- Tu es déjà allé avec des putains, m'a encore demandé Chloé ?
Je lui ai répondu que ça m'était arrivé pendant que je faisais mon service. J'étais allé à l'étranger sur des bases où j'avais fait l'amour avec des négresses. Chloé voulait à tout prix savoir si c'était mieux avec elle qu'avec ces putains et j'étais bien incapable de juger.
- Tu faisais quoi, a insisté Chloé ?
- Bah, l'amour, lui ai-je répondu !
- C'est pas de l'amour, c'est du sexe, m'a répondu Chloé et je lui ai demandé si nous deux c'était du sexe pour elle ou de l'amour et elle m'a répondu qu'elle n'était pas encore sûre que je l'aimais et que c'était pareil pour moi. Après cette tirade philosophique elle m'a dit qu'elle ne voulait pas que je finisse dans son derrière.
- Alors quoi, lui ai-je demandé ? Tu veux me sucer ?
- Cochon, m'a fait Chloé, mais elle m'a poussé sur le lit et s'est mise à cheval sur moi et m'a sucé comme une pro si tant est que je puisse la comparer avec un pro de la sucette et quand j'ai senti que j'allait jouir, j'ai repris ma liberté.
J'avais envie de juter sur ces gros seins et les couvrir de sperme et le premier jet s'est écrasé sur le cou de Chloé et les autres heureusement sur ses seins puis j'ai pris ses mains et j'ai étalé mon sperme avec elles sur la belle poitrine.
Il fallait que je parte et je savais bien que la séparation serait difficile. Chloé a insisté pour que je reste et comme elle insistait trop, elle m'a accompagné jusque chez moi où nous avons passé la journée à faire l'amour. A SUIVRE
Je ne connaissais aucun de ses amis et je m'amusais de ses efforts pour me faire rencontrer quelqu'un. A trente-cinq ans, ça l'énervait que je sois encore célibataire. Et moi, si je faisais parfois des rencontres, ça ne me semblait toujours pas une chose importante de vivre avec une femme.
Ça ne me manquait pas et quand j'éprouvais des besoins, je m'efforçait de draguer sans vraiment de succès car j'étais toujours aussi timide et la plupart du temps, ça se terminait en branlette. J'aimais et j'aime toujours me branler. Comme dit l'autre dans la pub, c'est moi qui décide et par moment, il m'arrive de décider très souvent, jusqu'à l'épuisement. J'ai toujours fait ça. Je faisais ça quand j'étais gamin et ça rendait folle notre mère de découvrir les taches dans mes draps. Elle qui avait bien essayé de me raisonner sans succès.
J'ai toujours trouvé ça pratique pour m'endormir rapidement. Quelqu'un qui me connaîtrait bien trouverait que j'ai toujours été un mec bizarre. Timide comme j'ai déjà dit, et obsédé par le sexe à en mater les filles et leurs seins nus à la plage et à jalouser les couples qui s'embrassent, les femmes avec leurs amples décolletés. J'ai toujours aimé les gros seins. Pas les seins gros, mais les seins qui sont beaux parce qu'ils sont gros, avec leur forme particulière, par exemple ceux qui s'affaissent sous leur poids mais qui gardent toujours leur aréole sur le devant. Des aréoles très larges, bien sûr. Des seins aussi qui semble se détacher du thorax parce qu'ils sont lourds et mous et sur ce point la meilleure c'est pour moi Chloé Vevrier.
Donc, il pleuvait dru et j'allais partir et j'étais avec mon parapluie sur le perron.
- Je suis en voiture, je t'emmène, disant un invité à un autre !
Tout le monde s'emmenait et moi j'attendais que ça tombe un peu moins dru quand ma sœur m'a attrapé le coude :
- Gérard, tu ne veux pas ramener Chloé ? Elle n'habite pas très loin...
Je me suis retourné. Je me souvenais de cette femme que j'avais vue dans un coin avec son verre à la main. Elle m'avait semblée ailleurs, sans doute comme moi venue parce qu'on l'avait invitée. Je me suis demandé comment je n'avais pas plus fait attention à cette femme qui n'avait que sa robe sur elle et pas de parapluie.
- Tiens, prends ce parapluie-là ! Le parapluie de l'escouade, et raccompagne mon amie, a ajouté ma sœur !
Chloé avait un petit sourire et semblait fatiguée et pourtant jolie. Je n'avais pas remarqué ça non plus, ni que sa robe était boutonnée jusque sous son menton. Curieuse robe. Des boutons du haut en bas, tous les trois centimètres. J'ai pensé que si quelqu'un voulait la violer, il se découragerait avant d'arriver à ses fins.
J'ai pris le parapluie et j'ai tendu mon coude à Chloé qui a passé son bras dans mon bras et nous avons descendu les marches. A la grille, nous nous sommes retournés et nous avons fait signe au revoir à ma sœur. Un parfait ensemble, puis nous avons marché sur le trottoir en cherchant à échapper à la pluie et je me suis efforcé de protéger Chloé mais quand nous sommes arrivés chez elle, nous étions mouillés jusqu'au genoux.
- Venez ! Venez vous sécher, m'a proposé Chloé ! Peut-être qu'il ne pleuvra plus quand vous repartirez ?
C'était drôle et je me sentais gêné. Il semblait que la pluie avait apporté la gaieté à Chloé. Elle riait presque. J'ai retiré moi aussi mes chaussures dans l'entrée et je l'ai suivie dans le salon où elle a allumé la bûche artificielle insérée dans la cheminée puis a mis une chaise devant et m'a dit de m'asseoir.
- Je vais chercher une serviette, a ajouté Chloé, et elle a disparu !
Avant de m'asseoir, j'ai pensé que le mieux serait de retirer mon pantalon, de le mettre sur le dossier de la chaise et je n'en ai rien fait. Je me suis assis sur la chaise et Chloé a surgi :
- Attendez, m'a-t-elle dit en riant ! J'ai un sèche-linge ! Donnez-moi votre pantalon !
Elle m'a regardé et je l'ai regardée. Peut-être pensait-elle que je portais un caleçon sous mon pantalon ? Je n'avais qu'une sorte de string, un truc qui contenait à peine mon pénis quand j'avais une érection.
- Votre pantalon, a insisté Chloé ! Je vous promets de ne pas regarder !
Elle s'est retournée et j'ai déboutonné mon pantalon et je le lui ai tendu avant de m'asseoir sur la chaise. Chloé m'a jeté la serviette sur les genoux et est sortie de la pièce.
C'était bien ce que je pensais : je bandais et mon pénis avait des velléités de s'échapper. J'ai serré les jambes. Chloé est réapparu pour me rassurer et me dire que mon pantalon était en train de sécher puis elle m'a offert de boire quelque chose :
- Je n'ai pas d'alcool, a continué Chloé ! Je n'aime pas ça et en fait ça me rend malade !
Elle avait son joli sourire et je me suis rendu compte en la regardant qu'elle avait changé de robe. Elle avait maintenant une robe décolletée qui laissait voir la naissance de ses seins et le profond sillon qui les sépare. Je me doutais bien qu'elle avait ce qu'il faut là où il faut, mais dans l'autre robe c'était plutôt une masse écrasée plutôt qu'une belle poitrine. Chloé est revenue avec des jus de fruit et m'a tendu un verre et j'ai trempé mes lèvres dedans avant de le reposer, mais il n'y avait nulle part où le poser à part le bord de la cheminée qui commençait à bien chauffer.
- Oh, pardon, m'a dit Chloé en reprenant mon verre ! Je vous apporte une petite table !
Elle a pris une petite table basse dans mon dos et l'a déposée devant moi et comme elle se baissait, j'ai pu voir encore plus profond dans son décolleté et c'était vraiment profond vu qu'elle n'avait pas de soutien-gorge puis en relevant la tête j'ai croisé le regard de Chloé qui a rougi.
- J'ai..., je...
Je n'ai pas pu savoir ce qu'elle voulait dire car elle s'est tournée et c'est en me tournant le dos qu'elle m'a dit que je lui plaisais. Chloé a quand même pu se reprendre et s'est à nouveau tournée vers moi :
- Votre sœur m'a parlé de vous et... je ne pensais pas que vous étiez si gentil !
Chloé s'efforçait de sourire alors qu'elle continuait à rougir. Je ne savais ni que dire ni que faire et ma bite n'en faisait qu'à son idée et mon gland touchait mon nombril.
- J'ai... pas souvent été avec un garçon, a continué Chloé ! En fait, je suis vierge !
J'ai compris qu'elle avait dit ça pour se soulager, pour se forcer à aller plus avant et j'ai compris que pour elle c'était un coup de foudre. Je lui ai dit que je ne l'étais pas, moi, vierge et Chloé a encore rougi avant de me répondre :
- Forcément, vous, vous êtes plus vieux que moi !
- Ah, bon, lui ai-je répondu, vous connaissez mon âge ?
C'était idiot comme réaction puisque bien sûr, ma sœur devait bien le lui avoir dit.
- J'ai vingt-deux ans, a continué Chloé ! De toute façon, l'âge, ça ne veut rien dire ! Mes parents avaient dix ans de différence quand ils se sont mariés !
On se regardait dans les yeux et on ne disait plus rien. Je ne savais pas trop quoi lui dire par la force des choses car les filles, ce n'était pas mon ordinaire car, comme je l'ai déjà dit, je suis trop timide.
- Vous êtes sec, m'a demandé Chloé ?
J'étais sec. Chloé est alors partie chercher mon pantalon et me l'a rapporté et me l'a tendu et je me suis levé pour l'attraper et c'est là qu'elle a poussé un cri :
- Oh, mon dieu, vous êtes monstrueux !
Monstrueux, moi ? De quoi Chloé parlait-elle ? J'ai fini par comprendre qu'il se passait quelque chose au bas de mon ventre et j'ai regardé et j'ai vu le bout de mon pénis au-dehors de mon slip, mais qu'avait-il de si monstrueux ?
- Vous avez un grand pénis, a ajouté Chloé !
Elle était devant moi et il n'y avait que sa main et mon pantalon qui nous séparait. J'ai attrapé sa taille en même temps que je saisissais mon pantalon et j'ai pressé Chloé contre moi. Elle sentait bon et était toute douce et j'ai pu l'embrasser et ça m'a semblé miraculeux que je puisse embrasser cette jolie fille. Elle se laissait faire et mêlait sa langue à la mienne et j'en ai profité pour attraper sa main et la guider sur mon pénis.
- C'est pas si monstrueux, lui ai-je dit alors que je collais sa main sur mes couilles.
- Oh, si, vous faites combien de centimètres, m'a demandé Chloé ?
- Combien de centimètres, lui ai-je fait ? Je vous réponds si vous me dites la taille de vos bonnets !
- De mes bonnets, m'a répondu Chloé ? Ah, oui, vous voulez parler de ma poitrine ?
- Oui de votre poitrine, ai-je précisé !
- 34F et parfois 34G, ça dépend des modèles, m'a répondu Chloé !
Je sentais ses doigts sur mon pénis. Elle le décalottait et le recalottait et le collait dans le creux de sa main.
- J'aimerai mieux dans la chambre, a ajouté Chloé !
Je l'ai suivie dans sa chambre. Jamais encore une femme ne m'avait tiré derrière elle en me tenant le pénis. Chloé l'avait gardé pincé dans ses doigts.
- Alors, tu mesures combien, m'a rappelé Chloé ?
- Dix-huit, vingt, je n'ai jamais vraiment mesuré avec précision, lui ai-je répondu ! Ça n'a rien de monstrueux !
- Laisse-moi retirer ton slip, a insisté Chloé !
Elle s'est agenouillée et a fait glisser mon string sur mes cuisses et jusqu'en bas de mes chevilles.
- Il est beau, a ajouté Chloé !
- Dis-le lui, ai-je insisté !
- Tu es beau, tu es beau, tu es beau, a commencé à dire Chloé !
Je sentais son souffle sur la peau de mon pénis.
- Embrasse-le, ai-je encore insisté !
Chloé s'est mise à coller des baisers du haut en bas de mon pénis et même sur mes couilles.
- Tu te rases toujours, m'a ensuite demandé Chloé ?
Je m'étais mis à me raser depuis que j'habitais seul, c'est-à-dire depuis que je ne vivais plus chez mes parents et j'avais fini que c'était plus pratique pour me nettoyer après avoir juté. Plus de sperme dans les poils et un coup de gant et c'était à nouveau propre. J'ai répondu à Chloé que j'aimais bien ça et que...
- Je me fais le maillot quand je pars en vacances, m'a repris Chloé ! Tu voudrais que j'enlève tout ?
Je lui ai répondu que je n'avais pas encore pu juger et elle m'a répondu que je n'avais qu'à lui retirer sa robe. Elle n'avait rien dessous, que ses poils sur son pubis et même un peu à l'intérieur de ses cuisses et pour le peu que je connaissais des femmes, ça m'a quand même intrigué de voir les petites lèvres de Chloé sortir des grandes.
- Tu veux que je me rase entièrement, m'a demandé Chloé ?
Je ne regardais plus son ventre et je regardais ses seins, me demandant comment une fille aussi mince — je pouvais voir les côtes sous la peau — pouvait avoir une poitrine aussi grosse et aussi belle, comme je l'avais rêvée, très étroite aux attaches et rassemblée tout en bas avec les aréoles énormes sur le devant et des mamelons gros comme des dés à coudre.
- Tu veux que je me rase, m'a encore demandé Chloé ?
Elle n'a pas attendu ma réponse et s'est enfuie dans la salle de bains.
- Quel cul ! Mon dieu, quel cul, ai-je pensé ! Toi, il faudra que je t'encule !
J'ai aussitôt regretté ma dernière pensée. Je n'avais jamais fait ça à une femme mais je m'étais parfois enfoncé un gode dans l'anus pour voir ce que ça faisait d'être enculé, tout en me posant des questions parce que j'aimais vraiment ça. J'ai rejoint Chloé dans la salle de bains. Elle avait le bas-ventre couvert de mousse à raser et avait déjà commencé la coupe claire. Elle a levé la main qui tenait le rasoir et m'a dit de la laisser faire et c'était impressionnant parce que ce n'était pas un rasoir bon marché où on change les lame ou qu'on peut jeter, mais un vrai rasoir, un coupe-chou capable de vous couper la bite en un rien de temps.
- C'est à mon père, m'a dit Chloé ! C'était avec ça qu'il se rasait !
Je l'ai regardée faire. Une vraie professionnelle. Tchac ! Tchac! Et la forêt s'éclaircissait. Je lui ai demandé si elle était coiffeuse mais elle ne l'était pas. Elle a fait ses cuisses puis a fignolé dans les recoins.
- Tu te masturbes, m'a demandé Chloé ?
Je ne m'attendais pas à une telle question. Chloé a insisté et je lui ai répondu que ça m'arrivait mais elle a encore insisté puis elle a ajouté qu'elle se masturbait beaucoup.
- J'aime ça, a ajouté Chloé ! Oh, oui, j'aime vraiment ça !
Elle était face à moi, un pied sur le carrelage et l'autre pied sur le bord de la baignoire et avec toujours son rasoir à la main.
- Ça se voit, du reste, a ajouté Chloé !
Elle a pris le gant dans le lavabo et s'en est rincé le ventre puis elle a attrapé ses petites lèvres et a tiré dessus et j'ai eu l'impression qu'elle voulait se les arracher tant elles s'étiraient. Presque cinq centimètres.
- Viens, m'a dit Chloé après avoir posé son attirail !
Elle m'a attrapé la main mais je l'ai retenue. Elle me tournait le dos maintenant.
- Attends, lui ai-je demandé !
J'ai passé mes mains sous ses bras et j'ai attrapé sa poitrine. En fait, je ne l'ai pas vraiment attrapée. Je l'ai soulevée dans mes mains. Un sein dans chaque main et j'ai dit à Chloé qu'elle avait une poitrine magnifique. Elle m'a répondu qu'elle devait ça à sa mère et à sa grand-mère puis a ajouté que si je les voyais, je serais convaincu à part que la poitrine de sa mère était un peu plus lourde et celle de sa grand-mère bien plus lourde.
- Pas de chance, m'a ensuite dit Chloé ! Tu es tombé sur la plus petite ! La poitrine de ma grand-mère lui arrive au nombril ! Viens !
Je l'ai suivie dans le lit ou plutôt sur le lit. J'avais plus confiance et j'avais débandé à moitié. Chloé m'a fait mettre sur le dos et s'est agenouillée à côté de moi. La pendule a sonné quatre coups mais Chloé n'y a pas prêté attention. Elle m'a, par contre, fait la remarque que j'avais débandé et je lui ai dit de, par hasard, me sucer et Chloé m'a répondu que j'étais dégoûtant mais elle s'y est quand même mis et a avalé mon pénis et s'est attelée à me faire rebander, ce qui n'a pas tardé et elle s'est assise face à moi sur mon ventre et Chloé a guidé mon pénis dans son vagin puis une fois bien au fond, n'a plus bougé.
Elle me regardait et je la regardais et j'ai baissé les yeux vers sa poitrine quand elle a pris ses seins dans ses mains et s'est baisée pour faire glisser sa poitrine sur mon visage. Chloé s'amusait à faire passer ses mamelons sur mes lèvres et je n'arrivais pas à les attraper.
- Tu veux me téter, a-t-elle fini par me dire ?
- Te téter, lui ai-je demandé ? Tu as du lait ?
- Oui, parfois, m'a répondu Chloé ! Ça m'arrive et je ne sais pas pourquoi ! Je te jure que je n'ai jamais eu d'enfant !
Tu veux ?
Elle avait laissé un mamelon à porté de mes lèvres et je n'ai pas pu faire autrement que de l'attraper et malgré la grosseur de son sein, je voyais bien que Chloé l'avait attrapé à deux mains pour qu'il reste au-dessus de ma bouche et j'ai tété, mais en vain, tout comme pour l'autre sein. Au bout d'un moment, Chloé s'est redressée. Elle me dominait et me regardait, un sourire aux lèvres.
- Touche mes seins, m'a-t-elle intimé !
Elle m'a pris les mains et les a guidées sur sa poitrine.
- Touche-les, s'est mise à minauder Chloé ! J'ai besoin que tu les touches !
Je les ai touchés, soulevés, serrés, soupesés et claqués l'un contre l'autre. Flac ! Flac ! Je les ai saisis par les mamelons et je les ai soulevés et lâchés. Floc ! Floc, ont-ils fait en touchant son torse. Ses seins faisaient faire des plis à la chair de ses côtes puis Chloé est devenue sérieuse :
- Prends-moi maintenant ! Prends-moi en levrette !
Elle s'est écartée de moi et j'ai pensé que c'était atroce que mon pénis ne soit plus réfugié dans son vagin et Chloé a attendu que je vienne derrière elle et je me suis agenouillé à mon tour et je l'ai pénétrée.
- Oh, oui, prends-moi ! J'aime ça, a répété Chloé ! J'aime quand tu rentres dans mon vagin !
J'ai attrapé ses hanches et j'ai commencé à limer. Chloé était étroite malgré tout et c'était un vrai plaisir de laisser le gland avant de me renfoncer. Elle poussait de petits cris puis elle m'a dit à nouveau de lui toucher la poitrine et je me suis arrêté pour attraper ses seins. Je pouvais presque refermer mes mains sur le haut de ses seins tant ils étaient souples. Chloé insista pour que je lui touche les mamelons et je me suis mis à les tortillé sans qu'elle ne se plaigne tellement ça semblait lui plaire.
- Tu n'as jamais pensé à les faire percer, lui ai-je demandé ?
- Percer quoi, m'a demandé Chloé, soudain inquiète ?
- Les mamelons ! Ça se fait et il y a de jolis bisous...
- T'es malade, m'a fait Chloé ! Déjà que je n'ai pas les oreilles percées ! Et pourquoi pas un tatouage !
Je lui ai dit d'oublier. J'ai joué encore un moment avec sa poitrine puis j'ai à nouveau saisi ses hanches. J'avais envie de finir. Je limais à nouveau quand je lui ai demandé si elle ne risquait rien.
- Si je risque rien, m'a fait encore Chloé ? Qu'est-ce que tu veux dire ?
- Bah, si je dois me retirer avant de... Si des fois...
Chloé s'est mise à rire puis m'a dit qu'elle prenait la pilule et que je ne risquais pas de l'engrosser. Je lui ai demandé si ça lui plairait et elle m'a répondu que ce serait bien d'avoir le gros ventre et a ajouté qu'elle avait une cousine qui était enceinte et à deux semaines d'accoucher.
- Alors, qu'est-ce que tu en penses, ai-je insisté ?
- De quoi, m'a répondu Chloé ? D'avoir le gros ventre ou d'avoir un enfant ?
- Est-ce que tu continueras de faire l'amour une fois que... ai-je insisté ?
- Pourquoi, m'a fait Chloé ? Je ne te plairais plus ?
J'étais revenu à petite vitesse et je troussais Chloé tout doucement quand elle m'a dit qu'elle était prête et qu'elle avait envie et je suis allé jusqu'au bout. Pour cette première fois, elle a joui avant moi et j'ai dû patauger dans sa confiture pour finir. Nous sommes restés sans bouger et quand je me suis retiré, mon sperme a reflué et s'est égoutté sur le drap et Chloé a mis une main entre ses cuisses avant de descendre du lit pour aller se rincer. Je l'ai rejointe dans la salle de bains. Elle avait sorti une poire à lavement et se rinçait le vagin assise sur le bidet puis elle m'a dit de me laver. Après ça, nous sommes retournés sur le lit. Chloé a nettoyé la tache de sperme et s'est allongée à côté de moi puis elle m'a demandé de la serrer dans mes bras.
- Est-ce que je te plais, a-t-elle fini par me dire ?
La pendule sonnait les cinq heures. J'ai répondu à Chloé qu'elle me plaisait et qu'elle était la plus jolie femme que j'ai jamais eue et c'était la vérité.
- Tu vas t'en aller, m'a-t-elle ensuite demandé ? Tu peux rester...
Je suis resté avec elle. On a encore discuté un peu avant de nous endormir. Le lendemain matin, Chloé était toujours dans mes bras et ses seins écrasés l'un sur l'autre. Je bandais et j'ai essayé de la pénétrer et elle s'est réveillée et m'a demandé ce que je faisais. Je lui ai répondu que je voulais juste être en elle parce que j'y étais bien et elle a soulevé la cuisse pour me laisser passer.
- Tu as déjà sodomisé une femme, m'a ensuite demandé Chloé ?
- Pourquoi, lui ai-je répondu ? Tu en as envie ?
- Je ne sais pas, a continué Chloé ! Mais je voudrais bien savoir ce que ça fait !
- Tu es sûre que tu n'as jamais essayé, lui ai-je demandé ?
- Non, m'a fait Chloé
Elle semblait sûre d'elle.
- Même pas un doigt, ai-je insisté ?
- Cochon, m'a fait Chloé !
- J'ai envie de te le faire, lui ai-je répondu !
- Maintenant ?
- Maintenant !
- Ne me fais pas mal, m'a demandé Chloé !
Je suis sorti de son vagin et je suis venu dans la raie de ses fesses.
- Ne me fais pas mal, a insisté Chloé !
Je ne me suis même pas guidé. Mon gland est entré tout de suite puis j'ai enfoncé le reste de mon pénis. Chloé n'avait même pas poussé un cri et maintenant j'avais ses fesses collées sur mon ventre.
- Alors, ai-je demandé à Chloé ?
- C'est drôle, m'a-t-elle répondu !
- Qu'est-ce qui est drôle, lui ai-je fait ?
- Je croyais que ça me ferait mal, m'a dit Chloé !
- Tu veux que je te fasse l'amour comme ça ?
Elle n'était pas très partante mais je ne l'ai pas écoutée et j'ai commencé à limer son anus.
- J'suis comme une putain, a gémi Chloé !
- Peut-être, si tu aimes que je t'encule, ai-je insisté, mais ça ne fait pas de toi une putain !
- Tu es déjà allé avec des putains, m'a encore demandé Chloé ?
Je lui ai répondu que ça m'était arrivé pendant que je faisais mon service. J'étais allé à l'étranger sur des bases où j'avais fait l'amour avec des négresses. Chloé voulait à tout prix savoir si c'était mieux avec elle qu'avec ces putains et j'étais bien incapable de juger.
- Tu faisais quoi, a insisté Chloé ?
- Bah, l'amour, lui ai-je répondu !
- C'est pas de l'amour, c'est du sexe, m'a répondu Chloé et je lui ai demandé si nous deux c'était du sexe pour elle ou de l'amour et elle m'a répondu qu'elle n'était pas encore sûre que je l'aimais et que c'était pareil pour moi. Après cette tirade philosophique elle m'a dit qu'elle ne voulait pas que je finisse dans son derrière.
- Alors quoi, lui ai-je demandé ? Tu veux me sucer ?
- Cochon, m'a fait Chloé, mais elle m'a poussé sur le lit et s'est mise à cheval sur moi et m'a sucé comme une pro si tant est que je puisse la comparer avec un pro de la sucette et quand j'ai senti que j'allait jouir, j'ai repris ma liberté.
J'avais envie de juter sur ces gros seins et les couvrir de sperme et le premier jet s'est écrasé sur le cou de Chloé et les autres heureusement sur ses seins puis j'ai pris ses mains et j'ai étalé mon sperme avec elles sur la belle poitrine.
Il fallait que je parte et je savais bien que la séparation serait difficile. Chloé a insisté pour que je reste et comme elle insistait trop, elle m'a accompagné jusque chez moi où nous avons passé la journée à faire l'amour. A SUIVRE
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
bien sympa cette aventure
texte très bien écrit, j'adore la façon dont ils se parlent et cela ma rappelle quand j'étais jeune peintre, et que je profitais des charmes de certaines clientes mariées en sachant que ma mère était certainement au courant, donc continue tes récits il me font une béquille du tonnerre, bien à toi