Une rencontre bandante !
Récit érotique écrit par Lebaiseur [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-09-2006 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Couleur du fond :
Une rencontre bandante !
Préface :
Beh voilà beh je suis Paul. J’aime écrire mais aussi j’aime le sexe. Dans ces lignes je vais lier les deux pour votre grand bonheur ou pour votre grand ennui… À vous de voir !
Je vais faire des chapitres par multiples de sept : le chiffre érotique.
Chapitre 7 : Les portes ouvertes.
« Le 22 Juin 2006, le Collège Saint-André de La-Fos vous invite à ses portes ouvertes vous permettant de découvrir nos professeurs ainsi que notre établissement ».
Je suis professeur de physiques. Cela fait déjà deux ans que j’enseigne dans cet établissement. J’ai donc 24 ans. Je suis marié à Népomucène, une jolie fille que j’ai rencontrée à Vergas-sur-Saone.
Je vins de me réveiller. Je fis une dernière caresse à ma femme, et, après m’être vêtu de mon éternel tailleur noir et blanc, je quittai la maison avec l’aide de ma voiture noire. C’est une Viper. J’en suis très fier : elle fait un 0-100 en 10 secondes : une bombe !
J’arrivai au collège. J’aperçois alors la stagiaire psychologue : elle venait d’arriver, d’ici une semaine, et déjà avait eu une proposition d’embauche de la part du directeur. C’est une fille assez mince, mais pas trop, elle a les cheveux très sombres et très longs. Je regarde ces yeux d’un bleu profond : un regard malicieux et enfantin. Je lui souris en descendant de mon véhicule. Je ferme la porte délicatement et m’approche d’elle. Elle avait des talons aiguilles et son joli cul bien fondé balançait délicatement de droite à gauche. Ses lèvres étaient un poil épaisses. Elle était vêtue d’un débardeur transparent blanc, laissant transparaître un joli soutien-gorge noir. Sa mini jupe était d’un blanc éclatant. Elle me sourit. Je lui fais la bise, tout en lui faisant un « bonjour ».Mes yeux avaient du mal à ne pas descendre vers sa poitrine provocante. Elle semblait m’avoir soupçonné. Je lui propose de me suivre vers le collège. Elle acquiesce, et nous fîmes deux pas avant qu’une feuille glisse de son document. Elle s’arrête brusquement. Je me retourne et me baisse machinalement pour la ramasser. Elle se baisse aussi. J’eus alors une vue sur la huitième merveille du monde : son soutien-gorge s’était légèrement décollé des seins et je vis alors l’intégralité d’un superbe sein. Je doutais de son innocence : je pensais qu’elle faisait exprès pour me provoquer.
Je me redressai et j’entendis derrière moi une voix qui me rendu profondément triste : mes yeux n’allait plus être rincés…
« Alex ! Alex ! On t’attend pour commencer ! »
Je jette un ultime coup d’œil à la déesse de la beauté et me résigne à suivre le directeur, en pensant pour me réconforter « Tu la reverras ! Tu la reverras… »
Le directeur et moi parlâmes des « affaires internes » du collège et entrâmes dans le collège en poussant le portail qui jusqu’alors retenait la foule impatiente des parents et des futurs élèves. Je montai au second étage du bâtiment et m’installe en salle 07, mon chiffre porte-bonheur. Cinq minutes passèrent et j’entendis les gens grimper les escaliers. Je passe une dernière fois dans les rangs de ma salle de physique et range une fiole oubliée. Je me poste derrière mon bureau et attend que la foule inonde ma salle si bien rangée.
Chapitre 14 : Une surprise.
Il est dix-sept heures, tous les élèves sont partis. Je me décide alors enfin à lever l’ancre et rejoindre ma belle femme. Je rangeai mon cahier de notes dans ma valise noire en toile et sortis de ma salle. Je n’oubliai pas de fermer à clef. Je descendis les escaliers et, une fois dehors, me dirigeai vers le parking. J’ouvris ma voiture et monta à l’intérieur. Quand je m’assis sur les sièges en cuir, je les entendis crisser. Je démarre la Viper.
Je fis alors chez moi en moins d’un quart d’heure. Je fermai le garage et entrai dans ma maison. Ma femme était dans la cuisine, vêtue d’un tablier blanc, souillés de toutes sortes d’impuretés dont un peu de mon sperme me souvins-je. J’étais crevé et alla me coucher. Pendant la nuit, il me sembla entendre le téléphone. Je me réveillai alors et regarda mon réveil : il est 19H… Je me levis alors et ma femme me jeta le téléphone et me grogne : « UnEUH collèguE ! ». Elle insistait bien sur la marque du féminin. Ma femme, jalouse ? Non ! Je pris donc le téléphone et m’attendis à entendre la voix de Cathie, la responsable du matériel de sciences. J’entendis plutôt une voix douce et reposante. Je ne sus pas de suite qui c’était mais elle m’invite le lendemain soir à l’hôtel « Au Tahiti » à Romans-sur-Isère. Elle me donna l’adresse : « 7 rue Deul, Obsée et Daie » Ces trois noms étaient les trois anciens maires de la ville. Ma femme, jalouse, me regarde d’un air coléreux. Je retournai alors me coucher après avoir fais un bisou sur la bouche de ma tête de Turc. Cette nuit-ci je fis plein de cauchemars. {A minuit je me réveillai et cherchai ma femme à côté de moi. Il n’y était pas. Je me levai alors pour la chercher et je la vois sur le canapé, regardant un film de cul. Je m’approche souriant pensant qu’elle voudrait faire une bonne baise et je la vis sans sa jupe ni culotte deux doigts plantés dans son vagin, tenant dans l’autre main une photo du type du film du cul. Elle disait « Richard ! Richard » dans un soupir pendant qu’elle se doigtait. Richard c’est son beau-frère. JE regardais attentivement la vidéo et remarquais que c’était elle qui était en train de piper ce fameux « Richard ».
Chapitre 21 : La belle psychologue.
Je me réveillai. Je me souvins m’être recouché après avoir vu ce que faisait ma femme la veille. Je n’avais rien dit à ma femme. Je jetai alors un coup d’œil au réveil et, après m’être préparé, je sors de la chambre. Je ne déjeunai pas ce matin-là. Je vais dans le garage et démarre la voiture. Je recule et roule en sous-régime pour ne pas réveiller les voisins. Dès que je fus sorti de la rue, je fis monter en régime pour entendre le bruit qu’elle faisait.
Je me garai sur le parking des professeurs. Ce jour-ci, je n’avais que quatre heures de cours ! Je repensai alors à la femme qui m’avait invité pour cette soirée. Cela me parut étrange qu’une femme m’invite dans cet hôtel là…
Je regardai alors sans m’en rendre compte au bout du parking, comme pour voir si la psychologue allait arriver. Je me souvins qu’on était mercredi et qu’elle ne venait pas ce jour-là. Je passai alors le portail du collège, me dirige vers l’escalier et le gravis. J’eus une petite surprise en ouvrant la porte : du liquide bleu s’était répandu dans la salle et il commençait à y avoir un précipité : du sulfate de cuivre qui réagit avec les pavés ! Plutôt que de marcher dedans et de le faire réagir avec mes chaussures, je le contourne et attrapai la serpillère. Celle-ci absorba tout le produit et mes pavés semblaient comme neufs ! Je vins de trouver un nouveau produit de nettoyage ! Je vérifiais qu’il n’en restait pas et j’entendis alors la sonnerie. Le bruit fut suivit de très près par la foule d’élèves qui piétinaient ces pauvres pavés du couloir.
Vers cinq heures je quittai le collège : j’étais resté un peu pour préparer le TP de la troisième six qui venait demain. Je descends alors et prends la voiture. Je me dirigeai alors vers l’hôtel où la femme m’avait donné rendez-vous. Je passai par la Grande Avenue, sachant qu’il n’y avait pas beaucoup de monde à cette heure-ci. Je vis alors l’insigne du Tahiti. Il fait aussi restaurant, chose que je ne savais pas ! Il était spécialiste d’utilisation de poivre et gingembre et tous les desserts étaient au chocolat. Je laissai la voiture au boy qui attendait là et ouvrit la porte de cet hôtel. Je la vis alors, assise sur une table ronde, avec deux couverts. Je vois sur la table une boisson Gingalcool. Les chandelles étaient illuminées. Le soleil commençait à se coucher. Je m’approchai et m’assis. Au moment où j’ai tiré ma chaise, j’ai vu quelque-chose de très excitant : elle n’avait pas mit de culotte sous sa mini-jupe ! Je sentis une petite bosse se former sur mon pantalon. Je la regardai alors et je la reconnus : la belle psychologue !
Chapitre 28 : Léa Cartado
Le silence régnait : je n’osais dire mot. Je pris alors mon verre et en bus une gorgée. Il est très bon ! Je décide d’en reprendre alors une autre gorgée. Je la regardais jusqu’à la sixième gorgée, où sous l’effet de l’alcool sûrement, je lui fis :
-Vous êtes ravissante ! Vos seins… heu ! Votre haut est très joli !
Elle eut comme réponse un joli sourire. Un sourire comme on les aime : le petit sourire pervers. Je la regarde, ou plutôt je l’admire et je rajoutai :
- Je suis Alexander Freinh.
El me répondis alors de sa voix si douce :
- Moi c’est Léa
J’eus alors une pensée pour le film X que j’avais regardé il y plusieurs jours : C’était une « Léa » qui se prostituait. L’histoire était nulle mais « l’effet bandant » était là ! Ce prénom résonna dans ma tête et j’ingurgitai une septième gorgée de mon cocktail. Qu’elle était belle ! Mes yeux tombèrent à nouveau sur son décolleté. Elle me faisait vraiment bander ! Elle suivit mon regard et souri de plus belle. Comme pour me provoquer, elle se penche en avant. Ceux d’à côté aurait pu penser qu’elle avait mal au dos. Moi j’avais une vue superbe ! Je vis sur son sein gauche un grain de beauté qui est si bien placé ! Je voyais presque le bout du sein ! Je finis cul-sec mon verre. Le serveur apporta alors un plat. Du canard au poivre ! Je commençai et elle aussi. Vers la fin je sentis son pied doux me caresser le tibia. Elle me fit bander encore plus ! Son pied remontait de plus en plus vers mes testicules ! Je finis vite mon canard et demandai au serveur le dessert. Je la regardai encore une fois et ce fut une fois de trop : je fus pris d’une envie de lui faire l’amour comme je n’en ai jamais eue ! Je prends un dessert basique : un fondant au chocolat et au gingembre. Je ne savais pas pourquoi mais après avoir mangé ce dessert je bandais encore plus ! J’ôtai ma chaussure puis ma chaussette et lui caressa le tibia, puis la cuisse, puis le vagin. Je sentais son clitoris : il était gonflé. Avec mon pied, je lui caressai les lèvres et elle mouillait de plus en plus. Je payai l’addition et remis ma chaussure. Elle me proposa de monter dans la chambre. J’avais tellement envie de la baiser que j’acquiesçai et que je montai les escaliers au pas de course. Pendant qu’elle ouvre la chambre je lui caresse son beau cul bien ferme. On entre dans sa chambre : des pétales de roses étaient disposés un peu partout et une bouteille de champagne était posée sur la table de chevet. Elle me jette sur le lit et me dit d’attendre. Je m’y installai confortablement et au bout d’un moment elle ouvrit la porte de la salle de bain, là où elle était partie se réfugier. Elle avait vêtu une lingerie la plus sensuelle qui existe ! Tellement qu’elle mouillait ça coulait le long de sa cuisse. Elle se mit à genoux au-dessus de ma tête. Je me redressai et lécha le long de sa cuisse sa liqueur qui coulait. Elle posa son pubis sur mes lèvres et ma langue recueillait ce liquide. Ma langue la pénétra doucement. Elle eut des contractions au ventre et elle était essoufflée. Je continuais à la lécher et sentis une nouvelle vague de mouillé. Je le bus et gardai le reste dans ma bouche. Je me dégage et ma langue entra dans sa bouche et dans un doux baiser je lui remis un peu de liqueur. Elle l’avala et commença à mordiller la bosse sur mon pantalon. Cette douleur infime se transforma en plaisir. Elle continuait sans s’arrêter. Elle ouvrit alors ma braguette, défit mon bouton. Elle tira mon pantalon et le jeta hors du lit. Mon caleçon n’arriver pas à retenir mon pénis qui créait une grosse bosse. Commença à le caresser sensuellement et m’enleva mon caleçon. Mon pénis pointait vers le ciel. Je n’en pouvais plus !
- Vas-y suce-moi !
- Oh oui ! Je vais faire jaillir de tes tripes tout ce que tu as !
Elle commença par lécher le gland. J’en ai mal tellement je bande. Puis elle lèche les côtés. Je la prends par la nuque et la plante sur mon pénis. Elle le suce en faisant des allers-retours rapides. Je me sens extraordinairement bien ! Je sens mon pénis se contracter et d’un coup, le sperme gicla dans sa bouche. Elle avala tout et ne s’arrêta pas de me sucer. Je la pris alors la plaqua contre le lit. J’enfonçai mon bâton dur dans son vagin d’un coup et la pénétrait. Tellement elle avait de plaisir elle se cabrait et hurlait de toutes ses forces :
- C’est BON ! Encore ! Plus vite !! Ohh j’aime trop ça !
Elle m’arracha alors et se retourna, me faisant signe de lui trouer le cul. Je pris un pu d’élan et enfonça ma bite dans son anus. Elle cria de plaisir. Elle mouillait tellement que la housse du lit était trempée ! J’enfonçais à fond mon pénis et le retirait presque. Elle me prit mes mains et les posa sur ses seins. Ils étaient durs et la pointe semblait comme vouloir sortir de son sein. Je lui caressai onctueusement sentit une deuxième bague de sperme venir. J’éjaculai dans son anus. Elle en récolta quelques gouttes et se l’étala sur ses seins. J’étais au septième ciel. Elle jouissait tellement fort que tout l’hôtel devait l’entendre ! Elle se retourna me plaqua un baiser sur la bouche. Elle se rhabilla alors et sortit, me laissant seul dans la chambre d’hôtel.
Beh voilà beh je suis Paul. J’aime écrire mais aussi j’aime le sexe. Dans ces lignes je vais lier les deux pour votre grand bonheur ou pour votre grand ennui… À vous de voir !
Je vais faire des chapitres par multiples de sept : le chiffre érotique.
Chapitre 7 : Les portes ouvertes.
« Le 22 Juin 2006, le Collège Saint-André de La-Fos vous invite à ses portes ouvertes vous permettant de découvrir nos professeurs ainsi que notre établissement ».
Je suis professeur de physiques. Cela fait déjà deux ans que j’enseigne dans cet établissement. J’ai donc 24 ans. Je suis marié à Népomucène, une jolie fille que j’ai rencontrée à Vergas-sur-Saone.
Je vins de me réveiller. Je fis une dernière caresse à ma femme, et, après m’être vêtu de mon éternel tailleur noir et blanc, je quittai la maison avec l’aide de ma voiture noire. C’est une Viper. J’en suis très fier : elle fait un 0-100 en 10 secondes : une bombe !
J’arrivai au collège. J’aperçois alors la stagiaire psychologue : elle venait d’arriver, d’ici une semaine, et déjà avait eu une proposition d’embauche de la part du directeur. C’est une fille assez mince, mais pas trop, elle a les cheveux très sombres et très longs. Je regarde ces yeux d’un bleu profond : un regard malicieux et enfantin. Je lui souris en descendant de mon véhicule. Je ferme la porte délicatement et m’approche d’elle. Elle avait des talons aiguilles et son joli cul bien fondé balançait délicatement de droite à gauche. Ses lèvres étaient un poil épaisses. Elle était vêtue d’un débardeur transparent blanc, laissant transparaître un joli soutien-gorge noir. Sa mini jupe était d’un blanc éclatant. Elle me sourit. Je lui fais la bise, tout en lui faisant un « bonjour ».Mes yeux avaient du mal à ne pas descendre vers sa poitrine provocante. Elle semblait m’avoir soupçonné. Je lui propose de me suivre vers le collège. Elle acquiesce, et nous fîmes deux pas avant qu’une feuille glisse de son document. Elle s’arrête brusquement. Je me retourne et me baisse machinalement pour la ramasser. Elle se baisse aussi. J’eus alors une vue sur la huitième merveille du monde : son soutien-gorge s’était légèrement décollé des seins et je vis alors l’intégralité d’un superbe sein. Je doutais de son innocence : je pensais qu’elle faisait exprès pour me provoquer.
Je me redressai et j’entendis derrière moi une voix qui me rendu profondément triste : mes yeux n’allait plus être rincés…
« Alex ! Alex ! On t’attend pour commencer ! »
Je jette un ultime coup d’œil à la déesse de la beauté et me résigne à suivre le directeur, en pensant pour me réconforter « Tu la reverras ! Tu la reverras… »
Le directeur et moi parlâmes des « affaires internes » du collège et entrâmes dans le collège en poussant le portail qui jusqu’alors retenait la foule impatiente des parents et des futurs élèves. Je montai au second étage du bâtiment et m’installe en salle 07, mon chiffre porte-bonheur. Cinq minutes passèrent et j’entendis les gens grimper les escaliers. Je passe une dernière fois dans les rangs de ma salle de physique et range une fiole oubliée. Je me poste derrière mon bureau et attend que la foule inonde ma salle si bien rangée.
Chapitre 14 : Une surprise.
Il est dix-sept heures, tous les élèves sont partis. Je me décide alors enfin à lever l’ancre et rejoindre ma belle femme. Je rangeai mon cahier de notes dans ma valise noire en toile et sortis de ma salle. Je n’oubliai pas de fermer à clef. Je descendis les escaliers et, une fois dehors, me dirigeai vers le parking. J’ouvris ma voiture et monta à l’intérieur. Quand je m’assis sur les sièges en cuir, je les entendis crisser. Je démarre la Viper.
Je fis alors chez moi en moins d’un quart d’heure. Je fermai le garage et entrai dans ma maison. Ma femme était dans la cuisine, vêtue d’un tablier blanc, souillés de toutes sortes d’impuretés dont un peu de mon sperme me souvins-je. J’étais crevé et alla me coucher. Pendant la nuit, il me sembla entendre le téléphone. Je me réveillai alors et regarda mon réveil : il est 19H… Je me levis alors et ma femme me jeta le téléphone et me grogne : « UnEUH collèguE ! ». Elle insistait bien sur la marque du féminin. Ma femme, jalouse ? Non ! Je pris donc le téléphone et m’attendis à entendre la voix de Cathie, la responsable du matériel de sciences. J’entendis plutôt une voix douce et reposante. Je ne sus pas de suite qui c’était mais elle m’invite le lendemain soir à l’hôtel « Au Tahiti » à Romans-sur-Isère. Elle me donna l’adresse : « 7 rue Deul, Obsée et Daie » Ces trois noms étaient les trois anciens maires de la ville. Ma femme, jalouse, me regarde d’un air coléreux. Je retournai alors me coucher après avoir fais un bisou sur la bouche de ma tête de Turc. Cette nuit-ci je fis plein de cauchemars. {A minuit je me réveillai et cherchai ma femme à côté de moi. Il n’y était pas. Je me levai alors pour la chercher et je la vois sur le canapé, regardant un film de cul. Je m’approche souriant pensant qu’elle voudrait faire une bonne baise et je la vis sans sa jupe ni culotte deux doigts plantés dans son vagin, tenant dans l’autre main une photo du type du film du cul. Elle disait « Richard ! Richard » dans un soupir pendant qu’elle se doigtait. Richard c’est son beau-frère. JE regardais attentivement la vidéo et remarquais que c’était elle qui était en train de piper ce fameux « Richard ».
Chapitre 21 : La belle psychologue.
Je me réveillai. Je me souvins m’être recouché après avoir vu ce que faisait ma femme la veille. Je n’avais rien dit à ma femme. Je jetai alors un coup d’œil au réveil et, après m’être préparé, je sors de la chambre. Je ne déjeunai pas ce matin-là. Je vais dans le garage et démarre la voiture. Je recule et roule en sous-régime pour ne pas réveiller les voisins. Dès que je fus sorti de la rue, je fis monter en régime pour entendre le bruit qu’elle faisait.
Je me garai sur le parking des professeurs. Ce jour-ci, je n’avais que quatre heures de cours ! Je repensai alors à la femme qui m’avait invité pour cette soirée. Cela me parut étrange qu’une femme m’invite dans cet hôtel là…
Je regardai alors sans m’en rendre compte au bout du parking, comme pour voir si la psychologue allait arriver. Je me souvins qu’on était mercredi et qu’elle ne venait pas ce jour-là. Je passai alors le portail du collège, me dirige vers l’escalier et le gravis. J’eus une petite surprise en ouvrant la porte : du liquide bleu s’était répandu dans la salle et il commençait à y avoir un précipité : du sulfate de cuivre qui réagit avec les pavés ! Plutôt que de marcher dedans et de le faire réagir avec mes chaussures, je le contourne et attrapai la serpillère. Celle-ci absorba tout le produit et mes pavés semblaient comme neufs ! Je vins de trouver un nouveau produit de nettoyage ! Je vérifiais qu’il n’en restait pas et j’entendis alors la sonnerie. Le bruit fut suivit de très près par la foule d’élèves qui piétinaient ces pauvres pavés du couloir.
Vers cinq heures je quittai le collège : j’étais resté un peu pour préparer le TP de la troisième six qui venait demain. Je descends alors et prends la voiture. Je me dirigeai alors vers l’hôtel où la femme m’avait donné rendez-vous. Je passai par la Grande Avenue, sachant qu’il n’y avait pas beaucoup de monde à cette heure-ci. Je vis alors l’insigne du Tahiti. Il fait aussi restaurant, chose que je ne savais pas ! Il était spécialiste d’utilisation de poivre et gingembre et tous les desserts étaient au chocolat. Je laissai la voiture au boy qui attendait là et ouvrit la porte de cet hôtel. Je la vis alors, assise sur une table ronde, avec deux couverts. Je vois sur la table une boisson Gingalcool. Les chandelles étaient illuminées. Le soleil commençait à se coucher. Je m’approchai et m’assis. Au moment où j’ai tiré ma chaise, j’ai vu quelque-chose de très excitant : elle n’avait pas mit de culotte sous sa mini-jupe ! Je sentis une petite bosse se former sur mon pantalon. Je la regardai alors et je la reconnus : la belle psychologue !
Chapitre 28 : Léa Cartado
Le silence régnait : je n’osais dire mot. Je pris alors mon verre et en bus une gorgée. Il est très bon ! Je décide d’en reprendre alors une autre gorgée. Je la regardais jusqu’à la sixième gorgée, où sous l’effet de l’alcool sûrement, je lui fis :
-Vous êtes ravissante ! Vos seins… heu ! Votre haut est très joli !
Elle eut comme réponse un joli sourire. Un sourire comme on les aime : le petit sourire pervers. Je la regarde, ou plutôt je l’admire et je rajoutai :
- Je suis Alexander Freinh.
El me répondis alors de sa voix si douce :
- Moi c’est Léa
J’eus alors une pensée pour le film X que j’avais regardé il y plusieurs jours : C’était une « Léa » qui se prostituait. L’histoire était nulle mais « l’effet bandant » était là ! Ce prénom résonna dans ma tête et j’ingurgitai une septième gorgée de mon cocktail. Qu’elle était belle ! Mes yeux tombèrent à nouveau sur son décolleté. Elle me faisait vraiment bander ! Elle suivit mon regard et souri de plus belle. Comme pour me provoquer, elle se penche en avant. Ceux d’à côté aurait pu penser qu’elle avait mal au dos. Moi j’avais une vue superbe ! Je vis sur son sein gauche un grain de beauté qui est si bien placé ! Je voyais presque le bout du sein ! Je finis cul-sec mon verre. Le serveur apporta alors un plat. Du canard au poivre ! Je commençai et elle aussi. Vers la fin je sentis son pied doux me caresser le tibia. Elle me fit bander encore plus ! Son pied remontait de plus en plus vers mes testicules ! Je finis vite mon canard et demandai au serveur le dessert. Je la regardai encore une fois et ce fut une fois de trop : je fus pris d’une envie de lui faire l’amour comme je n’en ai jamais eue ! Je prends un dessert basique : un fondant au chocolat et au gingembre. Je ne savais pas pourquoi mais après avoir mangé ce dessert je bandais encore plus ! J’ôtai ma chaussure puis ma chaussette et lui caressa le tibia, puis la cuisse, puis le vagin. Je sentais son clitoris : il était gonflé. Avec mon pied, je lui caressai les lèvres et elle mouillait de plus en plus. Je payai l’addition et remis ma chaussure. Elle me proposa de monter dans la chambre. J’avais tellement envie de la baiser que j’acquiesçai et que je montai les escaliers au pas de course. Pendant qu’elle ouvre la chambre je lui caresse son beau cul bien ferme. On entre dans sa chambre : des pétales de roses étaient disposés un peu partout et une bouteille de champagne était posée sur la table de chevet. Elle me jette sur le lit et me dit d’attendre. Je m’y installai confortablement et au bout d’un moment elle ouvrit la porte de la salle de bain, là où elle était partie se réfugier. Elle avait vêtu une lingerie la plus sensuelle qui existe ! Tellement qu’elle mouillait ça coulait le long de sa cuisse. Elle se mit à genoux au-dessus de ma tête. Je me redressai et lécha le long de sa cuisse sa liqueur qui coulait. Elle posa son pubis sur mes lèvres et ma langue recueillait ce liquide. Ma langue la pénétra doucement. Elle eut des contractions au ventre et elle était essoufflée. Je continuais à la lécher et sentis une nouvelle vague de mouillé. Je le bus et gardai le reste dans ma bouche. Je me dégage et ma langue entra dans sa bouche et dans un doux baiser je lui remis un peu de liqueur. Elle l’avala et commença à mordiller la bosse sur mon pantalon. Cette douleur infime se transforma en plaisir. Elle continuait sans s’arrêter. Elle ouvrit alors ma braguette, défit mon bouton. Elle tira mon pantalon et le jeta hors du lit. Mon caleçon n’arriver pas à retenir mon pénis qui créait une grosse bosse. Commença à le caresser sensuellement et m’enleva mon caleçon. Mon pénis pointait vers le ciel. Je n’en pouvais plus !
- Vas-y suce-moi !
- Oh oui ! Je vais faire jaillir de tes tripes tout ce que tu as !
Elle commença par lécher le gland. J’en ai mal tellement je bande. Puis elle lèche les côtés. Je la prends par la nuque et la plante sur mon pénis. Elle le suce en faisant des allers-retours rapides. Je me sens extraordinairement bien ! Je sens mon pénis se contracter et d’un coup, le sperme gicla dans sa bouche. Elle avala tout et ne s’arrêta pas de me sucer. Je la pris alors la plaqua contre le lit. J’enfonçai mon bâton dur dans son vagin d’un coup et la pénétrait. Tellement elle avait de plaisir elle se cabrait et hurlait de toutes ses forces :
- C’est BON ! Encore ! Plus vite !! Ohh j’aime trop ça !
Elle m’arracha alors et se retourna, me faisant signe de lui trouer le cul. Je pris un pu d’élan et enfonça ma bite dans son anus. Elle cria de plaisir. Elle mouillait tellement que la housse du lit était trempée ! J’enfonçais à fond mon pénis et le retirait presque. Elle me prit mes mains et les posa sur ses seins. Ils étaient durs et la pointe semblait comme vouloir sortir de son sein. Je lui caressai onctueusement sentit une deuxième bague de sperme venir. J’éjaculai dans son anus. Elle en récolta quelques gouttes et se l’étala sur ses seins. J’étais au septième ciel. Elle jouissait tellement fort que tout l’hôtel devait l’entendre ! Elle se retourna me plaqua un baiser sur la bouche. Elle se rhabilla alors et sortit, me laissant seul dans la chambre d’hôtel.
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