Une rencontre insolite.
Récit érotique écrit par Bellebite830003 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-04-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Une rencontre insolite.
Il y a quelques années de cela, j'habitais dans une maison de village dans une petite ville le midi.
Nous étions fin Mai, il commençait par faire chaud et mes fenêtres étaient grandes ouvertes.
Juste à côté, il y avait un couple d'un certain âge et quand ils parlaient, ils hurlaient car ils étaient toujours entre deux vins comme on dit. On ne savait pas s'ils se disputaient ou s'ils parlaient.
Un soir vers 19 heures, j'entendis une voix de femme qui appelait les voisins en bredouillant un prénom. Un peu curieux, je me rendis à ma fenêtre et je vis une femme d'une soixantaine d'années qui avait des difficultés à prononcer les mots. Elle appelait mes voisins car elle voulait boire un verre avec eux, elle avait du mal à rester debout, elle titubait quand elle levait la tête.
Mon voisin qui n'était pas clair du tout vu l'heure, il devait avoir sa dose lui aussi, se pencha à sa fenêtre et l'envoya paître puis ferma sa fenêtre. Elle m'aperçue à la fenêtre et me dit: je cherche une âme charitable pour m'offrir un dernier verre avant de rentrer chez moi. Je suis sur que cette femme dans son état normal, ne m'aurait jamais demandé cela mais l'alcool aidant: tout devient possible.
Je voulais à mon tour me retirer de ma fenêtre mais je me suis dit, à près tout pourquoi pas lui offrir un verre, je suis tout seul et ça me fera de la compagnie. Je lui fis ok de la tête et je suis descendu lui ouvrir la porte de l'immeuble.
Elle est entrée et elle avait vraiment du mal à marcher droit. Pour la montée des escaliers, je me suis mis derrière elle pour ne pas qu'elle tombe à la renverse et on est monté.
J'avais de la chance car à cette heure-là, j'étais seul dans l'immeuble car mes voisins n'étaient pas là. Elle était en petit pull et en jean et je dois dire qu'elle avait un beau petit cul avec des fesses rebondies. Je l'aidais à monter et de temps en temps mon sexe frôlait ses fesses et je me surpris à bander tellement fort, tellement dur que mon jean était tendu. Elle s'en est aperçue car quand je la frôlais à nouveau, elle sentit mon sexe tendu car elle se retourna et regarda en direction de ma braguette qui était toute déformée par la bosse formée par mon érection. Elle n'en fit pas cas car elle se remis à essayer de monter les dernières marches.
Elle entra et je lui proposai à boire. Elle me dit, quelle heure est-il? il est 19 heures, c'est l'heure de l'apéro. Je l'ai servi et elle buvait ça comme du petit lait.
Au bout d'un moment, Elle avait des difficultés à parler, elle bredouilla quelque chose et elle s'est levée en se tenant fermement à la table et je compris qu'elle voulait aller aux wc et à ma grande surprise, elle était en train de pisser dans sa culotte car je vis apparaître une auréole de plus en plus grande. Je la pris sous le bras et la conduisis le plus rapidement possible aux toilettes. Je voulus sortir mais elle me bredouilla comme quoi elle avait du mal à déboutonner son jean alors je fis très vite, déboutonna son pantalon, le baissa ainsi que sa petite culotte et la fis assoir sur la cuvette. J'entendis le jet d'urine ce qui augmenta mon envie et j'aperçus à mon tour une petite auréole ou se trouvait mon gland. Je coulais tellement que la tâche devenait de plus en plus importante mais ça ne me gênais pas du tout car j'étais chez moi donc personne pouvait la voir.
Je lui dis qu'elle ne pouvait pas rester avec son pantalon et sa petite culotte trempée, je pensais également à mes chaises. Je la déshabillai pour faire sécher ses vêtements avec mon sèche-cheveux, elle se laissa faire et je mis une grande serviette sur la chaise.
Elle me demanda du papier toilette pour s'essuyer mais elle avait du mal . Alors je pris l'initiative, je l'essuyai et lui proposai de passer vite fait à la douche. Elle accepta et je lui enlevai son pull et son soutien- gorge et la plaçai sous la douche, elle se laissait faire.
Je pris du gel douche dans le creux de ma main et commençai à la laver. Je la caressai plus tôt qu'autre chose, elle ne disait rien. Je lui malaxai ses seins qui étaient encore bien fermes pour son âge et descendis jusqu'à ses fesses et sa chatte épilée avec juste un petit triangle au-dessus que je fis mousser et en écartant les lèvres, je pouvais sentir la chaleur que dégageait sa partie intime et aussi ses fesses que j'écartais pour aller titiller son oeillet qui s'ouvrait sans difficulté quand mes doigts s'enfonçaient délicatement. Je l'essuyai et l'aida à rejoindre sa chaise ou j'avais posé une serviette très épaisse pour quelle soit bien assise.
Elle se resservit un verre et but.
Je n'en pouvais plus, j'avais mal aux couilles car cela faisait quelques jours que je n'avais pas éjaculé. Je sortis ma bite pour la libérer et je me caressai tout doucement.
Au bout d'un petit moment, elle me fixa et me dit: qu'est-ce que tu fais avec ta main sous la table?
Je n'eus pas le temps de lui répondre, qu'elle s'est levée et en maintenant le bord de la table, elle me rejoins et poussa un petit cri en voyant mon sexe gonflé et tendu comme un arc.
Il faut dire que de ce côté-là, je suis bien pourvu, ma bite fait une bonne vingtaine de cm et surtout très épaisse avec deux grosses boules et je me fais épiler dans un institut que je connais bien et avec la même esthéticienne que j'adore qui termine son travail par une bonne branlette et me fait jouir pendant que je lui caresse ses fesses bien fermes nues sous sa blouse mais ça, ce sera peut-être dans un autre récit.
Elle pris ma bite dans sa main et commença à me branler puis elle voulue se pencher mais elle n'y arrivait pas car elle tombait. Alors, je me levai, la reconduisis à sa place et une fois assise elle était à la bonne hauteur pour me sucer. C'est ce qu'elle fit et je pouvais sentir sa langue tourner autour de ma colonne mais surtout sur le frein et enfonçait le bout de sa langue dans la fente de mon méat. Elle pressait très fort ses lèvres autour. Elle avait mis ses mains sur mes fesses et commençait à me les malaxer, je n'en pouvais plus, j'avais envie de jouir, de lui remplir la bouche avec ma liqueur chaude, je baisais sa bouche et j'allais de plus en plus fort, de plus en plus loin, Je sentais sa gorge s'ouvrir sous mes coups de boutoir et quand mon gland forçait cet orifice, elle avait des hauts le coeur.
Elle me maintenait tellement fort qu'elle me faisait comprendre qu'elle voulait que j'éjacule dans sa bouche. Je ne me fis pas prier, je me tendis comme un arc et je me vidai complètement dans sa bouche.
J'en avais tellement envie que je n'arrêtais pas d'éjaculer. Elle en avait tellement que ça sortait par les commissures de ses lèvres. Je l'entendais déglutir, elle était en train de tout avaler.
Une fois revenu sur terre, je lui offris un verre qu'elle avala d'un trait, ça lui avait donné soif.
La soirée venait tout juste de commencer. Une longue, très longue soirée en perspective s'offrait à nous. Je préparai le souper pour qu'elle puisse éponger un peu l'alcool et continuer la soirée qui avait bien commencée je dois dire.
Je vous raconterai la suite de cette soirée mémorable dans le récit suivant.
Bonne lecture et bonne masturbation.
A bientôt.
Bises.
Nous étions fin Mai, il commençait par faire chaud et mes fenêtres étaient grandes ouvertes.
Juste à côté, il y avait un couple d'un certain âge et quand ils parlaient, ils hurlaient car ils étaient toujours entre deux vins comme on dit. On ne savait pas s'ils se disputaient ou s'ils parlaient.
Un soir vers 19 heures, j'entendis une voix de femme qui appelait les voisins en bredouillant un prénom. Un peu curieux, je me rendis à ma fenêtre et je vis une femme d'une soixantaine d'années qui avait des difficultés à prononcer les mots. Elle appelait mes voisins car elle voulait boire un verre avec eux, elle avait du mal à rester debout, elle titubait quand elle levait la tête.
Mon voisin qui n'était pas clair du tout vu l'heure, il devait avoir sa dose lui aussi, se pencha à sa fenêtre et l'envoya paître puis ferma sa fenêtre. Elle m'aperçue à la fenêtre et me dit: je cherche une âme charitable pour m'offrir un dernier verre avant de rentrer chez moi. Je suis sur que cette femme dans son état normal, ne m'aurait jamais demandé cela mais l'alcool aidant: tout devient possible.
Je voulais à mon tour me retirer de ma fenêtre mais je me suis dit, à près tout pourquoi pas lui offrir un verre, je suis tout seul et ça me fera de la compagnie. Je lui fis ok de la tête et je suis descendu lui ouvrir la porte de l'immeuble.
Elle est entrée et elle avait vraiment du mal à marcher droit. Pour la montée des escaliers, je me suis mis derrière elle pour ne pas qu'elle tombe à la renverse et on est monté.
J'avais de la chance car à cette heure-là, j'étais seul dans l'immeuble car mes voisins n'étaient pas là. Elle était en petit pull et en jean et je dois dire qu'elle avait un beau petit cul avec des fesses rebondies. Je l'aidais à monter et de temps en temps mon sexe frôlait ses fesses et je me surpris à bander tellement fort, tellement dur que mon jean était tendu. Elle s'en est aperçue car quand je la frôlais à nouveau, elle sentit mon sexe tendu car elle se retourna et regarda en direction de ma braguette qui était toute déformée par la bosse formée par mon érection. Elle n'en fit pas cas car elle se remis à essayer de monter les dernières marches.
Elle entra et je lui proposai à boire. Elle me dit, quelle heure est-il? il est 19 heures, c'est l'heure de l'apéro. Je l'ai servi et elle buvait ça comme du petit lait.
Au bout d'un moment, Elle avait des difficultés à parler, elle bredouilla quelque chose et elle s'est levée en se tenant fermement à la table et je compris qu'elle voulait aller aux wc et à ma grande surprise, elle était en train de pisser dans sa culotte car je vis apparaître une auréole de plus en plus grande. Je la pris sous le bras et la conduisis le plus rapidement possible aux toilettes. Je voulus sortir mais elle me bredouilla comme quoi elle avait du mal à déboutonner son jean alors je fis très vite, déboutonna son pantalon, le baissa ainsi que sa petite culotte et la fis assoir sur la cuvette. J'entendis le jet d'urine ce qui augmenta mon envie et j'aperçus à mon tour une petite auréole ou se trouvait mon gland. Je coulais tellement que la tâche devenait de plus en plus importante mais ça ne me gênais pas du tout car j'étais chez moi donc personne pouvait la voir.
Je lui dis qu'elle ne pouvait pas rester avec son pantalon et sa petite culotte trempée, je pensais également à mes chaises. Je la déshabillai pour faire sécher ses vêtements avec mon sèche-cheveux, elle se laissa faire et je mis une grande serviette sur la chaise.
Elle me demanda du papier toilette pour s'essuyer mais elle avait du mal . Alors je pris l'initiative, je l'essuyai et lui proposai de passer vite fait à la douche. Elle accepta et je lui enlevai son pull et son soutien- gorge et la plaçai sous la douche, elle se laissait faire.
Je pris du gel douche dans le creux de ma main et commençai à la laver. Je la caressai plus tôt qu'autre chose, elle ne disait rien. Je lui malaxai ses seins qui étaient encore bien fermes pour son âge et descendis jusqu'à ses fesses et sa chatte épilée avec juste un petit triangle au-dessus que je fis mousser et en écartant les lèvres, je pouvais sentir la chaleur que dégageait sa partie intime et aussi ses fesses que j'écartais pour aller titiller son oeillet qui s'ouvrait sans difficulté quand mes doigts s'enfonçaient délicatement. Je l'essuyai et l'aida à rejoindre sa chaise ou j'avais posé une serviette très épaisse pour quelle soit bien assise.
Elle se resservit un verre et but.
Je n'en pouvais plus, j'avais mal aux couilles car cela faisait quelques jours que je n'avais pas éjaculé. Je sortis ma bite pour la libérer et je me caressai tout doucement.
Au bout d'un petit moment, elle me fixa et me dit: qu'est-ce que tu fais avec ta main sous la table?
Je n'eus pas le temps de lui répondre, qu'elle s'est levée et en maintenant le bord de la table, elle me rejoins et poussa un petit cri en voyant mon sexe gonflé et tendu comme un arc.
Il faut dire que de ce côté-là, je suis bien pourvu, ma bite fait une bonne vingtaine de cm et surtout très épaisse avec deux grosses boules et je me fais épiler dans un institut que je connais bien et avec la même esthéticienne que j'adore qui termine son travail par une bonne branlette et me fait jouir pendant que je lui caresse ses fesses bien fermes nues sous sa blouse mais ça, ce sera peut-être dans un autre récit.
Elle pris ma bite dans sa main et commença à me branler puis elle voulue se pencher mais elle n'y arrivait pas car elle tombait. Alors, je me levai, la reconduisis à sa place et une fois assise elle était à la bonne hauteur pour me sucer. C'est ce qu'elle fit et je pouvais sentir sa langue tourner autour de ma colonne mais surtout sur le frein et enfonçait le bout de sa langue dans la fente de mon méat. Elle pressait très fort ses lèvres autour. Elle avait mis ses mains sur mes fesses et commençait à me les malaxer, je n'en pouvais plus, j'avais envie de jouir, de lui remplir la bouche avec ma liqueur chaude, je baisais sa bouche et j'allais de plus en plus fort, de plus en plus loin, Je sentais sa gorge s'ouvrir sous mes coups de boutoir et quand mon gland forçait cet orifice, elle avait des hauts le coeur.
Elle me maintenait tellement fort qu'elle me faisait comprendre qu'elle voulait que j'éjacule dans sa bouche. Je ne me fis pas prier, je me tendis comme un arc et je me vidai complètement dans sa bouche.
J'en avais tellement envie que je n'arrêtais pas d'éjaculer. Elle en avait tellement que ça sortait par les commissures de ses lèvres. Je l'entendais déglutir, elle était en train de tout avaler.
Une fois revenu sur terre, je lui offris un verre qu'elle avala d'un trait, ça lui avait donné soif.
La soirée venait tout juste de commencer. Une longue, très longue soirée en perspective s'offrait à nous. Je préparai le souper pour qu'elle puisse éponger un peu l'alcool et continuer la soirée qui avait bien commencée je dois dire.
Je vous raconterai la suite de cette soirée mémorable dans le récit suivant.
Bonne lecture et bonne masturbation.
A bientôt.
Bises.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Très bien écrite.
une occasion de rêve !