Une rencontre sous tension - histoire érotique

Et bien, bonjour à tous…

Puisque c’est ma première contribution ici, permettez-moi de me présenter.
Je m'appelle Lynéa. Un prénom qui évoque la douceur, une aura mystérieuse, et peut-être un brin d’indécence… Je suis une femme aux courbes dessinées pour le péché, une peau que l’on dit exquise au toucher, et des lèvres qui suscitent les plus délicieuses tentations.
Mon regard, d’un brun profond, capte et envoûte, et ma chevelure sombre ondule sur mes épaules, comme une promesse non formulée.

Je suis en couple depuis plusieurs années, et avec mon homme, notre sexualité est… disons, libre, audacieuse, et entretenue avec soin. Entre jeux, défis et explorations, nous aimons repousser nos limites et savourer chaque instant.

Mais inutile d’en dire trop pour le moment. Vous apprendrez à nous connaître au fil de nos récits… Et croyez-moi, vous ne serez pas déçus.

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**Une Rencontre sous Tension**

L’idée d’une rencontre dans un hôtel avait quelque chose d’excitant, mais aussi de rassurant.
Une zone neutre, un territoire où rien n’était imposé, où elle pouvait encore choisir. Était-ce le début d’une histoire ou simplement une nuit sans lendemain ? Elle n’en savait rien, mais ce qui comptait, c’était ce moment, cette curiosité qui la poussait à franchir la porte.

Ils s’étaient connus via une application que tout le monde connaît, un de ces lieux virtuels où les mots se croisent et s’oublient souvent trop vite. Mais avec lui, c’était différent. Les premiers échanges, légers et amusants, s’étaient vite transformés en conversations tardives, en confidences glissées dans la nuit. Un jeu de séduction s’était installé, et ce soir, c’était l’heure de voir si l’alchimie était aussi réelle qu’elle en avait l’impression.

Elle arriva la première, installée au bar de l’hôtel, jouant distraitement avec son verre. Son regard parcourait la pièce, cherchant cette silhouette qu’elle avait imaginée mille fois à travers un écran. Et puis, il apparut. Plus grand qu’elle ne l’avait pensé, une allure décontractée mais assurée. Son sourire, légèrement en coin, trahissait un mélange d’assurance et d’excitation.

Il s’approcha, et aussitôt, le contact fut naturel. Un sourire, un regard appuyé, une première plaisanterie pour briser la glace. Le ton était léger, complice. Ils parlaient, riaient, se jaugeaient sans même s’en rendre compte. Chaque gorgée de leur verre semblait réduire la distance entre eux, chaque échange intensifiait cette tension douce, presque palpable.

Son regard à lui ne la quittait presque jamais, une lueur d’envie discrète, mais bien présente. Elle, elle jouait le jeu, effleurant parfois la paille de son cocktail du bout des lèvres, croisant ses jambes lentement sous la table. Elle ne savait toujours pas ce qu’elle voulait exactement de cette soirée, mais une chose était sûre : elle voulait voir jusqu’où cette tension allait les mener.
Quand il posa doucement sa main sur la sienne, comme un test, elle ne la retira pas. Au contraire, elle laissa ses doigts glisser légèrement contre les siens, effleurant sa peau du bout des ongles. Un frisson remonta le long de son bras. Un échange de regards, plus appuyé cette fois.

— On monte ? proposa-t-il d’une voix chaude.

Elle hocha la tête, un sourire en coin. Aucun des deux ne précipita le pas, savourant cette lente montée en intensité. L’ascenseur sembla interminable. Chaque seconde, chaque mètre gagné augmentait le désir. Il se tenait à côté d’elle, leurs épaules se frôlant à peine, mais l’électricité entre eux était indéniable.


Quand ils atteignirent la chambre, il ferma la porte derrière eux. Le silence était chargé d’attente. Elle le fixa, jouant avec une mèche de ses cheveux, et il fit un pas vers elle.
Leur première nuit allait commencer.
A peine la porte refermée, il s’approcha d’elle, sans précipitation mais avec une intensité qui la fit frissonner.
Son regard plongé dans le sien, il effleura son bras du bout des doigts, puis posa sa main sur sa nuque avant de l’attirer doucement contre lui. Le premier baiser fut lent, profond, chargé d’une tension qui n’attendait qu’à éclater. Leurs lèvres se cherchaient, se goûtaient, et lorsqu’il mordilla légèrement sa lèvre inférieure, un soupir lui échappa.

Ils reculèrent vers le lit, leurs corps s’effleurant à chaque pas. Lorsqu’elle sentit le matelas contre l’arrière de ses jambes, il la fit basculer en arrière, la dominant légèrement sans jamais la brusquer.
Ses mains explorèrent son corps avec une assurance troublante, effleurant sa taille, remontant lentement le long de ses côtes. Le rythme était rapide, trop peut-être… Un frisson d’inquiétude lui traversa l’esprit.
Était-il comme ces hommes qui ne voyaient que leur propre plaisir ?

Mais lorsqu’il s’écarta légèrement, l’observant avec une lueur intense dans les yeux, elle comprit qu’elle s’était trompée. Il ne se précipitait pas… il la dévorait déjà du regard.

Elle ne pouvait s’empêcher de jeter quelques coups d'œil furtifs vers son bas-ventre, où une forme se dessinait sous le tissu. Son excitation était évidente, et ce qu’elle devinait lui faisait déjà un certain effet.
Une taille normale, mais une largeur qui lui promettait des sensations qu’elle n’avait peut-être jamais connues.
Puis il reprit le contrôle.

Ses doigts glissèrent sous son vêtement, effleurant sa peau nue. Un instant plus tard, elle se retrouva entièrement dévoilée sous lui, son souffle légèrement irrégulier. Il ne perdit pas de temps, mais cette fois, elle sentit qu’il savait exactement ce qu’il faisait.
Ses lèvres effleurèrent d’abord l’intérieur de ses cuisses, sa langue traçant des frissons invisibles sur sa peau. Elle sentit une chaleur diffuse se propager en elle avant même qu’il ne touche son point le plus sensible.

Lorsqu’il la goûta enfin, une onde de plaisir la traversa. Il alternait entre des mouvements lents et profonds, et des pressions plus intenses, jouant avec son désir jusqu’à la faire gémir.
Son bassin se souleva instinctivement, cherchant à intensifier le contact. Ses doigts s’accrochèrent aux draps alors qu’une première vague de plaisir la submergeait. Chaque contacte de ça langue sur son clitoris déjà enflé par le plaisirs lui fesait perdre pied. Mais lui, il ne s’arrêtait pas. Comme s’il cherchait à la briser encore un peu plus avant de la posséder entièrement.

Lorsqu’il se redressa, ses yeux brillaient d’une lueur brûlante. Il se plaça entre ses cuisses, et lorsqu’elle sentit son sexe dur contre elle, elle comprit à quel point cela l’avait excité de la voir ainsi.

Le premier contact fut lent, profond, et elle inspira brusquement.
Le missionnaire lui permettait de sentir chaque mouvement, chaque frisson qui parcourait son corps.
Il alternait entre des va-et-vient profonds et des coups plus lents, savourant chaque seconde.

Elle, elle s’accrochait à ses épaules, perdue entre l’intensité et la douceur du moment.

Mais quelque chose l’intriguait.
Elle avait déjà atteint deux sommets de plaisir, et pourtant, lui semblait loin d’en être au même stade.
Pire encore… Elle avait l’impression que son sexe se contractait en elle, comme s’il gagnait encore en épaisseur.
Cette idée la fit frémir.
Il était sérieux quand il disait qu’il pouvait ce retenir.....

Elle tenta de l’aider, contractant son périnée, ondulant sous lui pour le pousser à la limite, mais il restait parfaitement maître de lui-même. Ce fut frustrant, et terriblement excitant à la fois.

Alors, dans un élan instinctif, elle inversa les rôles. En une seconde, elle se retrouva sur lui, prenant enfin le contrôle.
Il la laissa faire, un sourire en coin, ses mains se posant sur ses hanches pour la guider légèrement.
Leur rythme s’intensifia, et cette fois, elle le sentit céder lentement.
La tension montait, leur souffle se mélangeait, leurs gémissements se répondaient.. Et enfin, dans une dernière vague brûlante, ils atteignirent ensemble cet instant suspendu, où tout bascula dans un plaisir insoutenable.

Elle se laissa retomber sur son torse, haletante, un sourire satisfait aux lèvres. Elle n’avait pas prévu que cette nuit prenne une telle tournure, mais une chose était sûre… ce n’était que le début.