Une révélation
Récit érotique écrit par Philus [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-04-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Une révélation
Voici une anecdote véridique que je n’ai encore contée à personne. À cette époque, j’étais âgé d’une trentaine d’années et entre deux mariages (le deuxième fut le bon et je me rangeai alors des voitures), je prenais les femmes et les jetais comme des kleenex sans beaucoup de considération pour elles. En l’évoquant aujourd’hui, je ne peux pas dire que j’en suis fier, mais, toute modestie mise à part, j’étais un homme pas trop désagréable à regarder et j’en profitais autant que je le pouvais. Ma première épouse m’avait rendu malheureux et je le faisais payer à toutes celles qui ont brièvement partagé mon existence par la suite, plus par indifférence que par réelle volonté de les blesser. C’était ma période « Toutes des salopes », que nombre de mes semblables ont dû également connaître. Toutefois, l’une de ces femmes sut me garder quelque temps.
Divorcée avec un enfant, elle avait quatre ou cinq ans de plus que moi. Au lit, c’était un vrai bonheur. Elle accédait à tous mes désirs et quand je dis tous, c’est tous. Du moins tout ce qui me faisait envie au moment précis où je le lui faisais comprendre. Elle s’exécutait sans chercher, sans s’étonner, sans contester, avec application en espérant avoir su accomplir en tous points ce que je lui demandais et me donner tout le plaisir que j’attendais d’elle. Plus mon orgasme était intense et plus heureuse elle était. Elle était bien balancée, dotée d’une superbe poitrine et de jolies fesses au bout de jolies jambes. Une voix douce, jamais un mot plus haut que l’autre, un regard tendrement amoureux, des mains câlines et toujours pleine de compréhension envers moi qui étais (et qui suis encore) passablement lunatique dans mes humeurs. Larguée comme les autres, elle en a été très malheureuse et en fin de compte je l’ai regrettée longtemps. À ce jour, il m’arrive de penser à elle. Je me dis parfois que j’ai raté quelque chose dans ma vie, mais je sais que j’en suis le seul responsable.
Bizarrement, je ne lui ai jamais demandé de se masturber devant moi comme je l’ai déjà proposé aux femmes que j’ai connues auparavant, avec un succès mitigé d’ailleurs. Dommage, car je suis certain qu’elle aurait accepté les yeux fermés. Quand j’y repense, je me flanquerais des claques pour avoir manqué une telle occasion. Mais ce n’était pas mon envie du moment, il faut croire. Voir une nana se caresser de ses seuls doigts est un fantasme que j’ai au fond de moi, mais qui apparaît et disparaît inexplicablement.
Son vagin, son rectum, sa bouche, ses seins, ses mains douces, elle me laissait éjaculer où je voulais avec autant de plaisir. Quand elle me prodiguait une fellation, elle suçait ma bite à fond jusqu’à ce que je ne puisse plus fournir une goutte de sperme et avalait tout le produit de ma prostate et de mes testicules. Ravie, et moi épuisé, elle posait alors sa tête sur mon épaule fière d’elle et de l’orgasme qu’elle avait su me donner. Un jour, je me tournai vers elle et lui roulai un patin tout de suite après une pipe. Je perçus une saveur un peu âpre qui ne ressemblait pas au parfum habituel de sa bouche, j’en déduisis que c’était le goût de mon liquide séminal. Cet incident parfaitement fortuit, j’eus envie de le renouveler.
Par la suite, après chaque fellation, je l’embrassais avidement pour avoir ce petit goût curieux, ni agréable, ni désagréable sur la langue. Faite pour l’amour, mon amie se rendit vite compte de mon manège et un soir, après une longue éjaculation, elle remonta son visage vers moi et se pencha sur mes lèvres. Je les écartai pour lui rouler un patin comme c’était devenu l’habitude, elle posa ses lèvres sur les miennes et ouvrit la bouche en grand. Elle avait gardé en elle le sperme sans l’avaler. Elle poussa sa langue et ma bouche fut envahie par ma semence. La surprise passée, j’ai continué à l’embrasser et le liquide séminal fut dispersé sur nos papilles, puis dégluti par l’un et l’autre. J’eus ainsi tout le loisir de goûter à ma propre liqueur et ce fut un ravissement pour moi. Ce petit jeu devint la règle et chaque fois qu’elle me suçait, nous dégustions mon sperme au cours d’un baiser passionné. Souvenir inoubliable, j’adorais ça autant que d’absorber ce que son vagin sécrétait lors d’un cunnilingus.
Curieusement, je n’ai jamais renouvelé l’expérience avec les femmes qui ont suivi. Pourtant elles n’ont pas été avares en fellations, caresse que j’apprécie particulièrement. Que ressent une femme ou un homme qui reçoit une giclée de sperme dans la bouche en provenance directe du pénis ?
J’en ignorais la réponse à cette époque, mais j’ignorai surtout qu’elle viendrait à moi quelques semaines plus tard et de manière inattendue.
Divorcée avec un enfant, elle avait quatre ou cinq ans de plus que moi. Au lit, c’était un vrai bonheur. Elle accédait à tous mes désirs et quand je dis tous, c’est tous. Du moins tout ce qui me faisait envie au moment précis où je le lui faisais comprendre. Elle s’exécutait sans chercher, sans s’étonner, sans contester, avec application en espérant avoir su accomplir en tous points ce que je lui demandais et me donner tout le plaisir que j’attendais d’elle. Plus mon orgasme était intense et plus heureuse elle était. Elle était bien balancée, dotée d’une superbe poitrine et de jolies fesses au bout de jolies jambes. Une voix douce, jamais un mot plus haut que l’autre, un regard tendrement amoureux, des mains câlines et toujours pleine de compréhension envers moi qui étais (et qui suis encore) passablement lunatique dans mes humeurs. Larguée comme les autres, elle en a été très malheureuse et en fin de compte je l’ai regrettée longtemps. À ce jour, il m’arrive de penser à elle. Je me dis parfois que j’ai raté quelque chose dans ma vie, mais je sais que j’en suis le seul responsable.
Bizarrement, je ne lui ai jamais demandé de se masturber devant moi comme je l’ai déjà proposé aux femmes que j’ai connues auparavant, avec un succès mitigé d’ailleurs. Dommage, car je suis certain qu’elle aurait accepté les yeux fermés. Quand j’y repense, je me flanquerais des claques pour avoir manqué une telle occasion. Mais ce n’était pas mon envie du moment, il faut croire. Voir une nana se caresser de ses seuls doigts est un fantasme que j’ai au fond de moi, mais qui apparaît et disparaît inexplicablement.
Son vagin, son rectum, sa bouche, ses seins, ses mains douces, elle me laissait éjaculer où je voulais avec autant de plaisir. Quand elle me prodiguait une fellation, elle suçait ma bite à fond jusqu’à ce que je ne puisse plus fournir une goutte de sperme et avalait tout le produit de ma prostate et de mes testicules. Ravie, et moi épuisé, elle posait alors sa tête sur mon épaule fière d’elle et de l’orgasme qu’elle avait su me donner. Un jour, je me tournai vers elle et lui roulai un patin tout de suite après une pipe. Je perçus une saveur un peu âpre qui ne ressemblait pas au parfum habituel de sa bouche, j’en déduisis que c’était le goût de mon liquide séminal. Cet incident parfaitement fortuit, j’eus envie de le renouveler.
Par la suite, après chaque fellation, je l’embrassais avidement pour avoir ce petit goût curieux, ni agréable, ni désagréable sur la langue. Faite pour l’amour, mon amie se rendit vite compte de mon manège et un soir, après une longue éjaculation, elle remonta son visage vers moi et se pencha sur mes lèvres. Je les écartai pour lui rouler un patin comme c’était devenu l’habitude, elle posa ses lèvres sur les miennes et ouvrit la bouche en grand. Elle avait gardé en elle le sperme sans l’avaler. Elle poussa sa langue et ma bouche fut envahie par ma semence. La surprise passée, j’ai continué à l’embrasser et le liquide séminal fut dispersé sur nos papilles, puis dégluti par l’un et l’autre. J’eus ainsi tout le loisir de goûter à ma propre liqueur et ce fut un ravissement pour moi. Ce petit jeu devint la règle et chaque fois qu’elle me suçait, nous dégustions mon sperme au cours d’un baiser passionné. Souvenir inoubliable, j’adorais ça autant que d’absorber ce que son vagin sécrétait lors d’un cunnilingus.
Curieusement, je n’ai jamais renouvelé l’expérience avec les femmes qui ont suivi. Pourtant elles n’ont pas été avares en fellations, caresse que j’apprécie particulièrement. Que ressent une femme ou un homme qui reçoit une giclée de sperme dans la bouche en provenance directe du pénis ?
J’en ignorais la réponse à cette époque, mais j’ignorai surtout qu’elle viendrait à moi quelques semaines plus tard et de manière inattendue.
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