Une robe corolle

- Par l'auteur HDS Jpj -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Une robe corolle Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-08-2014 dans la catégorie A dormir debout
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(10.0 / 10)

Couleur du fond :
Une robe corolle
Jpj, Paillotte Bambou la Grande Motte, juillet 2014

Blanche, droite, sans fioritures
Serrée aux poignets avec des manches longues qui collent aux bras. A chaque poignet un bouton tout simple.
Au cou, ras du cou, col claudine, tout simple aussi
Devant, tout droit, sans cintre sans empiècement
Derrière pareil pardi
La taille dix centimètres de smocks
Sa taille est tant si fine, normal qu’elle veuille la montrer
Enfin, on ne voyait que ça, cette taille de guêpe d’abeille
De Reine de ruche
Et nous, on était bourdons à buzzer bandants, tous en rut permanent.

Sous la taille serrée s’ouvrait la corolle
Blanche
Large
Courte.

Fermée en dessous par un lien avec noeud par coté
Comme pour bien s’affirmer
Fermée sous les fesses
Resserrée
Comme qui dirait, pour qu’elle ne s’envole, la corolle.

Moi je savais les dessous
Alors je fantasmais.

En fait, on fantasmait tous.

Les ceusses qui croyaient qu’elle ne portait rien
Les autres qui pensaient culotte, string, tanga et encore autres bidules de filles à paqueter le minou.
Certains croyaient même en transparences deviner sa touffe noire sombre épaisse brillante même…
A l’unisson de sa tignasse lourde sur ses épaules
Les garçons sont tous poètes.

Le devant droit était marqué de tétons pointus dressés
Bas sur le devant
Très bas
Devant rebondi projeté en avant par des seins lourds plantureux généreux
Des seins que l’on voyait là affirmer leur place
Devant
Comme on dit, rien au dessus.

Moi je savais que ces seins qui habitaient le devant de la robe étaient libres et heureux
Moi je savais le bonheur des oscillations lentes au hasard des mouvements de buste, harmonies de cadences et les tétons qui frottent le coton et le plaisir qu’ils lui donnent à frotter ainsi.

Sous la taille serrée de smock, tissu maillé élastique, la corolle était ouverte.

La fille était ouverte.

Bien sûr qu’elle portait culotte.
Mais sur ses fesses seulement, pas dans sa tête…
Souvent ainsi vont les filles
Avec culotte mais pas en vrai vraiment.


La musique vivra tant que vivra le blues
Johnny est prophète
On le sait
Et c'est pour ça qu'on l'aime


Robe corolle
Et son cul dessous
Pour moi
Pour nous
Tous.

Françoise me dit ton histoire est sans intérêt
Y a pas d'histoire

Vous vous trompez, vous êtes dans l’erreur, son cul à lui tout seul est toute une histoire.

Son cul sous la robe
Gonflé
Gonflé le cul et l'étoffe autour
Enfin, les fesses et le cul au milieu
Attirants.

Robe corolle
J'y mettrais la main
Tant elle est havre
Tant je sens que la fille dedans est en attente
Tant je sens qu’elle respire dans sa culotte
Elle va, elle vient, elle passe de groupe en groupe, elle dit un mot ici, elle salue là
Elle se tient un peu penchée en avant, la main posée sur une table pour une bise à une copine
La corole est courte et bien qu’elle soit un peu refermée par ce lien, on aperçoit le haut des cuisses qui se touchent et même au dessus, l’arrondi là exactement où elles commencent à s’écarter à nouveau.

La fille est pieds nus dans le sable et sur le caillebotis de la paillote. Quelqu’un, un garçon, lui a servi un verre de vin rosé. Le verre dans la main lui donne une contenance. Elle a posé son coude sur un comptoir haut et lève le verre. La corolle monte sur ses cuisses et n’est arrêtée que par le pli de ses fesses.

Je viens à elle. Elle me reconnait et nous nous bisons trois fois en salutation.
Je lui dis, tu es dans ta robe dix fois plus sexy que toutes ces filles en maillot et liquette de plage. Tous les gars ici te matent et tous se demandent quels sont tes dessous.
On voit bien que tu ne portes pas un maillot une-pièce, tes seins crèvent le devant de cette robe. Ils sont magnifiques. Et le tissu blanc ne cache rien de leurs bouts sombres
Suaves.

Alors les gars, et les filles aussi, se posent des questions sur le bas.
Es-tu en maillot de bain, un maillot clair que l’on ne voit pas ?
Ou bien en string de plage, ou de ville même ?
Ou bien encore en culotte de coton fin, de dentelle chair ?
La corolle ne laisse rien voir ne laisse rien deviner
Trop ample
On ne voit pas marque de culotte
En as-tu seulement une ?
En contre-jour peut-être…
Non plus, juste un rayon de soleil entre les cuisses tout en haut.

Ils se posent des questions tous ces garçons à mater cette robe corolle avec cette fille dedans alors qu’ils ont sous le nez, dans cette paillote cent filles en maillot léger cuisses bronzées pubis gonflé, cent filles vexées de voir que cette robe corolle captive la chalandise bien mieux que leurs appâts impudiquement exposés.

Elle me dit, toi tu sais quel dessous habille mon intimité.
Tu y as plusieurs fois mis le nez.
Mais aujourd’hui pas touche !
Aujourd’hui j’ai rendez-vous avec un couple qui gérent une franchise de fringues. Mon magasin de la Grand’rue les intéresse et moi je serais bien partante pour représenter cette marque.
Alors me faut rester sage pour ne pas exhaler, passé l’heure de l’apéritif, stupre et sperme à trois mètres comme à l’ordinaire,.

Les gars de la Paillote Bambou n’avaient rien compris de sa retenue et étaient tous là à buzzer, leurs boxer noirs bien pleins et les pectoraux en scope 16/9èmes.
Ca passait rapassait en frôlant la robe corolle à chaque passage en total mépris de ma présence.

Moi je lui dis, tu vas voir, je vais te dire des choses et des choses et tu vas en mouiller largement la culotte.
Rien qu’avec des images, rien qu’avec des idées.
Je ne te toucherai pas, pas même d’un regard caressant, ce sont juste les mots qui feront ma chanson ma ballade.
Ce sera ton apéro en attendant ces relations d’affaire avec qui tu dois déjeuner. Et alors je m’effacerai.

Elle a souri et mon coeur était tout chaud de sa connivence.

J’ai dis, vois le gars-là, il bande rien qu’à regarder ta corolle
L’a les yeux fixes sur ce qu’il croit deviner de ta touffe
Et dans son slip de bain le bitos au garde-à-vous.
Regarde le dans les yeux et fais lui un signe
Avec la bouche
Tu sais ce signe que tu sais si bien faire, signe signal de bouche qui s’ouvre comme poisson qui gobe pour fêler un mec.

Le gars, là devant nous, réflexe, a mis la main à son slip et sur le dedans pour donner du chaud et calmer la bête rugissante.

Moi, je savais que sous la robe corolle blanche légère, collée à la taille par les smocks et resserrée en dessous par ce lien de coton noué
Moi je savais que déjà la culotte, la grande culotte de fin coton blanc, haute sur les hanches, bien emboitée sur le haut de cuisses, était trempée du gousset. Triangle de l’aine gonflé de la touffe sombre luxuriante frisée.

Tout ce que je savais je le lui ai dit et elle s’est frottée contre moi de sa hanche élastique, accorte, prémisse de fesse moelleuse.

On a regardé alentour les tablées sous les voiles blanches tendues faseyantes sous le soleil de midi. Des couples surtout, quelques groupes d’amis, garçons ensemble, filles aussi.
Sa table était dressée sur le sable sous un parasol et l’attendait. Mes amis me faisaient signe de les rejoindre mais moi j’avais pris sa taille et me régalais de sa finesse et du doux des smocks sous mes doigts.

Nous étions debout enlacés face à la Méditerranée, les yeux au delà l’horizon à regarder l’Afrique.

Nous savions que la paillote toute entière était derrière nous, fourchette en l’air immobile instantané de temps en suspens, à mater son cul, la corolle traversée indécente par le soleil puissant de juillet.
Je lui dis, tu te tiens jambes juste un peu serrées pour que les bombés de tes cuisses à l’intérieur s’effleurent s’affleurent
A peine
Pour que le soleil traverse la corolle et fasse resplendir cette minuscule fenêtre en haut de tes jambes.

But ultime de tous ces mâles en rut.

Elle me dit, tu vois juste et les transparences me transportent
Me faudra tout à l’heure, en me retournant, marcher comme mannequin en défilé, un pied pile devant l’autre indifférente hautaine.
Tous ces hommes me désirent
Et moi je les attends
C’est bon l’attente des hommes, c’est la vie, c’est ma vie.

Moi je l’aimais d’aimer l’attente, l’envie
Moi je pensais, le bonheur c’est d’attendre ce dont on a envie.

La Paillote Bambou sur la plage du Grand Travers était ce jour-là le centre du monde et j’aimais ça, cette femelle magnifique collée à ma hanche debout seuls face à la mer, j’aimais ça.

A son oreille j’ai murmuré, sens l’odeur de l’eau de la mer le salé des embruns odeurs de nature qui dominent celles, humaines vulgaires, des ambres solaires et des planchas.
J’ai dit, ma main empaumant sa taille et serrant son corps contre le mien, j’ai dit, moi en sus de ces odeurs-là je suis tout noyé dans la tienne
Ton odeur de chatte coulante amoureuse en invite, odeur qui ici domine tout.

Avoir dit cela, l’avoir avoué, m’avait rendu tout chose.

Le bonjour, derrière nous, des gens qu’elle attendait a rompu le charme et je suis allé retrouver mes amis et la douzaine de Bouzigues avec citron Picpoul de Pinet et beurre d’Echiré.

J’ai juste pas parlé.

La vie c’est comme ça, une robe corolle en Méditerranée et beaucoup d’idées…

Les avis des lecteurs

encore un régal
vive la suggestion

Histoire Coquine Jpj
Merci vieux loup

Sûr qu'à Papeete doit y en avoir des paillotes et de belles filles
Te faut nous raconter les vahinés...

A la Grande Motte, on fait petits joueurs...
Mais, on s'accroche !

Nous les hommes, nous rêvons toujours plus sur une femme habillée d'un bout de tissu, pour deviner ce qu'il y a dessous. Cela nous excite beaucoup plus que de les voir nues. Très beau texte, toujours aussi poétique.



Texte coquin : Une robe corolle
Histoire sexe : Une rose rouge
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