Une séance de sport - histoire érotique

Une séance de sport

Nous pratiquons tous les deux une activité en salle mais nos horaires pro n’étant pas toujours compatibles, nous ne pratiquons que rarement ensembles. Personnellement, j’y vais vers 20h pour finir vers 21h, 21h30 et très souvent la salle est presque déserte à cette heure, je me retrouve fréquemment en fin de séance avec un sportif d’environ quarante ans, bien fait de sa personne : 1m80, pour à vue de nez 75 kilos et très sympathique. Nous terminions souvent la soirée par un sauna ou un jacuzzi.
Ce soir là, Mico n’avait pas pu se libérer pour sa gym habituelle et je fus surpris de la voir arriver dans la salle, en tenue , très féminine dans son maillot et son collant de sport. Si sa tenue était des plus correcte, elle dégageait cependant un tant soit peu une image assez sexy. Il faut dire que malgré ses 50 ans, sa silhouette est très agréable et que sa poitrine(90) sous son juste au corps, est des plus attirante. D’un petit signe de tête et un grand sourire, satisfaite de mon regard approbateur et admiratif , elle se dirigea vers ses appareils de travail, différents bien sur des miens.
Pendant un moment, mon travail absorba toute mon attention, j’ai 60 ans et j’essaye de garder une bonne forme physique et je me donne à fond dans cette activité. Lors d’un changement, je constate que nous sommes désormais seuls dans la salle et jetant un coup d’œil vers ma Mico, je m’aperçois que celle-ci est très absorbée par les conseils que lui donne notre sportif , conseils qui nécessitent sans doute d’être très proche car ses mains semblent très attirées par le contact avec elle. Il la frôle à chaque mouvement , je n’entends pas leur conversation mais manifestement Mico est flattée de cette approche. L’homme ne sait pas qu’elle est ma femme et je ne pense pas qu’elle s’en soit vantée, trop intéressée par cette partie de drague qu’il mène sans aucune gène. Mico croise mon regard , interrogative à la suite à donner. Mon sourire la rassure et elle se laisse aller à la flatterie de son « préparateur » personnel .
Il faut dire que nous avons pris l’habitude de ces jeux qui nous excitent, nous aimons tous les deux voir l’autre faire l’amour, avec ou sans participation, mais toujours en présence l’autre. Selon l’expression de ma Mico, nous sommes tous deux « de jolis cocus voyeur » car en effet nous sommes adeptes du plaisir de voir jouir sa moitié avec un autre partenaire, mais toujours après accord de l’autre.
Je dois dire que ma concentration vient d’en prendre un coup et je m’intéresse plus à eux qu’à ma gym. Notre sportif a remplacé ses activités pour son intérêt pour le corps de Mico, ses mains sont de plus en plus curieuses et après un rapide regard vers moi, et devant mon apparente indifférence, ses mains viennent se poser sur la poitrine, dont le pointes sont visibles sous le maillot qui la moule. Le dos le long de l’espalier, ses mains tenant un barreau, les yeux fermés, elle se laisse faire. Prenant de l’audace, il descend ses mains sur le ventre et lui caresse le pubis. Ses gestes sont doux, scrutant parfois en ma direction. Afin de laisser un peu de champs, je me dirige vers les vestiaires, sans fermer la porte. D’où je suis je peux tout voir sans qu’il me remarque. Dans mon short mon sexe me serre, comme d’habitude, cela me fait bander. Profitant de mon départ, il se penche et l’embrasse d’abord dans le cou et ses lèvres glissent vers la bouche entrouverte, Mico ne refuse pas, ses mains s’accrochent au corps musclé, l’acceptation de Mico est évidente et il devient audacieux. Descendant le body, il découvre les deux seins, ronds, lourds de désir, les auréoles rosées, les pointes saillantes. Sa bouche vient sucer les mamelons et Mico commence à gémir. Le body est à terre et le collant suit le même chemin, il ne reste plus que le string mais la main franchit vite l’étroit barrage et je vois les doigts qui frottent le clito, pénétrant par intervalles, l’intimité ouverte. Mico a remis ses mains sur le barreau et les jambes écartées, elle se laisse fouiller, offrant son bassin pour une meilleure pénétration. Sous son short, il bande dur et la saillie à travers le fin tissu fait deviner la suite. Sa bouche vient sur la chatte et écartant les bords du string, la langue lui lèche la vulve. Mico ne se retient plus et jouit bruyamment et j’imagine que notre lascar doit en recevoir les effets sur les lèvres.
La prenant par la main, il l’allonge sur les tapis et quittant à son tour ses vêtements, il plonge son sexe dans la grotte. Mico a un petit « oh » de bonheur et sans difficulté, il la pistonne, alternant le rythme, lui suçant les tétons, ou prenant sa bouche. Mico se lâche, accentuant la poussée par de grands coups de rein, se retirant, il lui remonte les jambes sur ses épaules, son sexe s’empale à nouveau et ses boules viennent taper les fesses de son amante d’un jour. Il se raidit brutalement et en grognant, il se retire et de sa queue jaillit de longs jets de sperme qui s‘écrasent sur la toison. Mico feule de plaisir : sa jouissance est complète. Les deux amants s’écroulent sur le tapis et récupèrent, la main dans la main. La mienne branle doucement ma queue mais ne voulant pas jouir, j’arrête mon geste, d’autant plus que Mico se relève et récupérant ses affaires, part en courant vers son vestiaire. J’ai juste le temps de me réfugier chez les filles avant que notre sportif, le sexe pendant arrive à son tour.
Je retrouve Mico, épanouie et ravie de ma présence, je la retourne et la pénètre sans aucune difficulté tellement sa chatte est pleine de son plaisir. Le mien ne tarde pas et je lui inonde la moule en essayant d’être discret. Sans prendre de douche, nous nous habillons et nous sommes prêt à sortir quand la porte s’ouvre et il s’encadre dans l’entrebâillement, sa surprise est totale et Mico se précipite vers lui et lui prenant la main le ramène dans la pièce. Mi-inquiet, mi incrédule, il ne sait comment se comporter : un petit froid, mais Mico avec brio rétablit la situation en me présentant et en l’invitant à prendre un pot. Je crois qu’il a hésité , puis ne voulant sans doute pas passer pour un goujat, il a accepté.
Un apéro dans un bar du coin nous a permit de lui expliquer notre démarche et après une longue écoute, son sourire est revenu, et c’est sur cette situation que nous nous sommes quittés. Inutile de vous compter le suite de notre soirée, tous les deux, à la maison, plein d’amour.
Depuis Pierre est devenu un vrai copain de sport, sans rancune et l’autre soir, il m’a demandé si Mico comptait revenir. Je pense que nous allons essayer de lui faire une petite surprise.