Une semaine au ski
Récit érotique écrit par Cplcandaudu60 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-01-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Une semaine au ski
Nathalie venait juste de démissionner d’un travail dans la grande distribution, pour aller dans une autre société.
Malgré cela, elle et moi avions quand même été invité au repas de fin d’année, organisé par son ancien C.E. au mois de novembre.
C’était une époque où l’alcool n’était pas interdit lors de ces repas.
Je n’appréciais pas particulièrement tous ces collègues (il faut dire qu’ils étaient beaucoup dans cette grande surface), mais nous pouvions quand même passer de bonnes soirées et avoir des conversations intéressante avec certains.
Au cours du dîner, après plusieurs verres, l’un d’entre eux a eu une idée lumineuse.
« Si on allait au ski tous ensemble, ce serait cool, non ? »
Bien évidemment tout le personnel ne pouvait pas s’absenter sur la même période et l’organisation de tout ceci semblait impossible en si peu de temps.
L’idée est donc tombée à l’eau, sauf pour un petit groupe d’une dizaine de personne.
C’était avec ce nombre beaucoup plus réaliste.
Nathalie a donc été chargé de préparer ça.
De douze nous sommes passé à huit le lendemain, puis six une semaine après, puis quatre dans le mois qui a suivi et enfin trois au final.
Difficile d’annuler car nous avions déjà versé des arrhes.
Ma femme avait réussi à changer de chalet au fur et à mesure que le nombre diminuait.
Heureusement c’était prévu pour mars et hors période scolaire, il y avait donc plus de facilité pour modifier le type d’appartement.
Le séjour était maintenant bouclé, une semaine, du samedi au samedi, dans un appartement avec au rez de chaussée, cuisine, salle de bain, WC, un couchage dans le salon pour une personne et un couchage de deux personnes à l’étage.
Quentin, l’ancien collègue qui venait avec nous avait notre âge, la trentaine, célibataire, séparé depuis plusieurs mois d’avec sa femme.
Taille moyenne, un mètre quatre-vingts, environ quatre-vingts kilos, les yeux marron, les cheveux châtain foncé, un physique agréable.
Il habitait dans une ville voisine, nous sommes donc passé le prendre chez lui le jour du départ, il était quatre heures trente du matin quand nous sommes partis direction les Alpes du Nord.
Les routes étaient bien dégagées jusqu’à la station et nous sommes finalement arrivés sur place vers douze heures trente, après plusieurs pauses sur le trajet.
Déjeuner dans un snack, puis location des chaussures, skis et bâtons, achat des forfaits, ce qui fait que vers seize heures nous avons pris possession de l’appartement.
On s’est installé gentiment, Nathalie et moi à l’étage et Quentin sur le canapé en bas.
Le soir nous avons mangé au restaurant et ne nous sommes pas couché très tard, il devait être vingt-deux heures trente.
Le lendemain le ciel était bien dégagé, la neige était bonne et nous avons skié toute la journée.
Revenu en bas de la station vers dix-sept heures, nous avons fait quelques courses, bu un verre dans un bar et somme retournés à l’appart.
Nous avons pris l’apéro, mangé, descendu quelques digestifs en jouant à des jeux de société puis nous sommes couchés vers minuit.
Le lundi la journée s’est passée comme celle de la veille avec toujours un temps ensoleillé.
Le mardi matin je n’étais pas au mieux de ma forme, je me sentais un peu vasouillard.
Nous avons quand même skié une bonne partie de la journée, mais j’avais du mal à suivre.
Dans la nuit du mardi au mercredi, je me suis levé une dizaine de fois pour aller aux toilettes et parfois vomir.
Il fallait que je descende les escaliers à chaque fois, que j’allume pour ne pas tomber, bref j’ai passé une très mauvaise nuit mais Nathalie et Quentin aussi.
Je suis resté à l’appartement toute la journée à comater et me vider.
Ma femme m’appelait régulièrement pour prendre des nouvelles, je lui ai dit que j’avais certainement une gastro et qu’elle devrait passer à la pharmacie pour prendre des médicaments.
Je n’ai pas été de très bonne compagnie ce soir-là car j’étais encore très fatigué, malgré être resté la journée à me reposer.
J’ai demandé à Quentin s’il pouvait me laisser le canapé afin que je puisse être près des toilettes cette nuit, car j’avais mangé un peu mais je craignais que ça ne passe pas.
« Ok pas de problème, j’irais dormir à l’étage sur le sol »
« Merci, ça m’évitera de réveiller tout le monde si je vais aux toilettes dans la nuit. »
Au moment d’aller se coucher, Nathalie après être passée par la salle de bain, en est sortie vêtu d’un grand tee-shirt que descendait sous ses fesses et d’un string que l’on pouvait deviner.
Quentin en a fait de même et est allé à l’étage en slip et tee-shirt lui aussi.
Je somnolais depuis pas mal de temps quand ils sont montés malgré les gargouillis dans mon ventre.
Quand Quentin est arrivé dans la chambre, il a commencé à disposer des couverture sur le sol pour se faire un couchage, ma femme lui a dit :
« Ne sois pas bête viens dormir dans le lit, tu seras mieux et il y a de la place pour deux »
Il ne s’est pas fait prier.
J’ai encore vécu une nuit infernale mais quand même mieux que la précédente.
Quand Nathalie s’est réveillée, vers huit heures, comme d’habitude, elle a senti un corps collé dans son dos tout contre elle, une main sur sa hanche et un truc très dur contre ses fesses.
Le temps de réaliser que ce n’était pas moi, il s’est à son tour réveillé.
« Oh pardon » lui dit-il en se tournant sur le dos « Je ne l’ai pas fait exprès, je suis désolé »
« Ce n’est pas grave, j’ai cru au départ que c’était mon mari et j’ai failli me laisser aller »
Un peu gêné tous les deux par cette situation, ils ne savaient plus quoi dire.
Ils s’étaient assis dans le lit, la couette n’était plus sur eux et ma femme pouvait constater que l’érection de son voisin de lit n’avait pas faibli, son sexe dépassait de son slip.
« Elle est grosse, je comprends mieux pourquoi je la sentais bien contre mes fesses » lui dit-elle.
Alors doucement, il a pris sa main pour la poser sur son sexe en lui disant :
« Tu la sentiras encore mieux ainsi »
Nathalie a sortie complètement le membre du slip et a commencé à le branler.
Il était bien dur et semblait prendre encore plus de volume.
Quentin s’est allongé pour mieux apprécier la masturbation que Nathalie lui prodiguait.
Elle s’est alors penchée vers sa queue pour la prendre en bouche en lui disant :
« Je n’ai pas envie que tu jouisses sur la couette »
Sa bouche experte n’a pas mis plus de cinq minute à le faire éjaculer.
Elle a avalé les grandes rasades de sperme qu’il a déversé au fond de sa gorge puis s’est levée pour descendre.
« Merci, lui a-t-il dit, j’ai hâte d’être à ce soir et j’espère que je pourrais te rendre l’appareil »
Après un grand sourire, elle est venue me rejoindre en bas.
« Alors mon amour, ça va mieux ? »
« Non j’ai encore passé une nuit de merde et toi, bien dormi ? »
« Oui, je me suis bien reposée »
« Je ne vais pas venir avec vous skier, je suis encore nauséeux »
« Oui reste au chaud c’est mieux, c’est dommage, tu ne vas pas profiter beaucoup de la neige cette année »
Les médicaments qu’elle m’avait rapportés commençaient à faire un peu effet mais je préférais rester à l’appart.
« Tu crois qu’on va encore pouvoir dormir ensemble ce soir » demanda Quentin à ma femme alors qu’ils étaient attablés à une terrasse d’altitude en buvant un vin chaud.
« Je pense que jusqu’à la fin de la semaine il va rester en bas, ça dure plusieurs jours une gastro, j’espère juste qu’on ne va pas l’attraper » lui a-t-elle répondue.
Avec un sourire il a continué :
« Je suis désolé pour lui qu’il soit malade mais heureux pour moi de pouvoir profiter de toi. Je peux acheter des préservatifs ? »
« Tu crois que je ne vais te faire que des pipes ? »
Ils ont ris puis ont rechaussés les ski.
Quand ils sont entrés dans l’appartement, je dormais.
Quentin est vite monté à l’étage cacher ses deux boites de capotes fraîchement acheté à la pharmacie.
La soirée a été calme, ils ont joué à des jeux de société en buvant des digestifs pendant que moi je vomissais une partie de mon repas.
J’avais froid et j’ai préféré me couché sur mon canapé à côté du radiateur que j’avais mis à fond.
Eux étaient en petite tenue, tee-shirt et slip, car ils avaient trop chaud.
Je ne voyais pas les mains de Quentin se balader sur les cuisses de ma femme et glisser jusqu’à son pubis qu’il caressait par-dessus le string.
Dès que je partais à la salle de bain ou au WC, ils en profitaient pour s’embrasser fougueusement.
Plus tard dans la soirée, ils sont montés se coucher, alors que moi je m’étais encore assoupie.
Toute la journée je dormais puis me réveillais puis me rendormais à nouveau, la gastro m’avais vraiment mis KO.
Arrivée près du lit, ils se sont embrassés puis déshabillés.
Quentin a fait allonger Nathalie sur le lit puis s’est installé entre ses cuisses pour la lécher.
Avec sa langue il a commencé à parcourir tout son corps, le cou, les seins sur lesquels il s’est beaucoup attardé, puis le ventre, le nombril et enfin le pubis.
D’abord s’occupant de ses lèvres puis du clito et ensuite a enfoncé sa langue à l’intérieur.
Elle appréciait beaucoup ses caresses buccale et a joui assez vite en se retenant pour ne pas faire trop de bruit.
A son tour, elle est venue engloutir son membre avec sa bouche en le titillant bien partout, aspirant le gland, passant sa langue tout le long de sa hampe pour aller gober ses couilles, le branlant en même temps.
Il se sont ensuite mis en position soixante-neuf pendant un long moment, pour se donner du plaisir mutuellement.
Lui s’est vidé une fois dans sa gorge, alors qu’elle a pris plusieurs fois son pied.
Une pause pour se requinquer, pendant laquelle ma femme est descendue prendre une bouteille d’eau et voir si j’allais bien.
Je l’ai vaguement aperçu puis me suis rendormi aussitôt.
Après les préliminaires, ils sont passés aux choses plus sérieuses.
Nathalie était allongée sur le lit, Quentin qui avait enfilé une capote s’est couché sur elle en la pénétrant doucement et en lui provoquant un doux gémissement de plaisir jusqu’à ce qu’il soit complètement enfoncé en elle.
Elle lui a murmuré à l’oreille :
« Oh putain c’est bon, elle est bonne ta queue, j’adore… »
Les yeux révulsés par le plaisir, elle le sentait bien aller et venir lentement jusqu’au fond de sa grotte.
Elle a entouré ses bras et ses jambes autour de lui pour mieux le sentir, à chaque coup de reins elle se donnait encore plus.
Ils s’embrassaient fougueusement pour ne pas faire de bruit, seul quelques petits gémissement arrivaient à sortir malgré cela.
Quand elle a joui, elle lui a labouré le dos avec ses ongles pour extérioriser son plaisir.
Il a ensuite accéléré le mouvement, la faisant une nouvelle fois atteindre un autre orgasme presque aussitôt après le premier.
Ils ont changé de position et c’est elle qui est venue le chevaucher, pendant qu’elle montait et descendait sur sa bite, il lui malaxait les seins, lui caressait le dos et les fesses.
Quand elle a de nouveau joui, elle s’est affalée sur lui pour l’embrasser afin de ne pas crier, la sentant se donner autant, il n’a pas pu se retenir et a éjaculé dans son ventre.
Collé l’un à l’autre, ils ont doucement repris leur souffle et leurs esprits.
Il n’avait pas débandé, alors Nathalie, très demandeuse, a ondulé du bassin pour lui faire comprendre qu’elle avait encore envie.
« Attends, je change de préservatif »
Elle s’est écartée de lui, pour qu’il puisse le faire, et s’est mise à quatre pattes en lui tendant bien son cul, elle savait l’effet qu’elle faisait aux hommes en prenant cette position.
Chaussé d’une nouvelle capote, il s’est installé derrière elle pour la prendre en levrette.
Elle avait l’impression de le sentir encore plus gros et plus dur et a enfoui sa tête dans la couette pour ne pas gémir trop fort lorsqu’il l’a pénétré.
Il la prenait plus fort, ses vas et vient étaient plus rapide et plus profond, ses mains bien accrochées aux hanches de ma femme pour bien s’enfoncer en elle.
Il l’a faite jouir ainsi plusieurs fois de suite.
Au cours de la nuit ils ont baisé dans toutes les positions possibles, utilisant une demi-douzaine de préservatifs avant de s’endormir vers trois ou quatre heure du matin.
Il a ouvert les yeux pour regarder l’heure, neuf heures vingt :
« Oh merde, j’espère que ton mari ne va pas se demander pourquoi on se lève si tard » dit-il après avoir réveillé doucement ma femme.
Elle est descendue en premier, rapidement suivi par son amant de la semaine.
En les entendant arrivé je me suis à mon tour réveillé.
« Tu viens avec nous aujourd’hui ou tu te sens encore fragile ? »
On était vendredi matin, j’allais mieux, mais j’avais quelques doutes et leurs ai dit :
« Je ne me sens pas encore en pleine forme, j’ai eu plusieurs fois des haut de cœur dans la nuit et j’ai encore le ventre qui gargouille, je préfère rester là, j’espère juste que je pourrais reprendre le boulot lundi »
Petit déjeuner, douche et hop les voilà reparti pour le dernier jour de ski.
Dans ma nuit agitée, j’avais cru entendre des bruits et des gémissements, je ne savais pas si j’avais rêvé ou si c’était réel.
Je suis donc monté dans la chambre à l‘étage pour chercher des indices.
Le lit était fait, au sol pas de signe de couchage.
« Tiens, ils dorment dans le même lit ? »
Je l’ai ouvert pour voir si je voyais des traces suspectes.
Du côté ou je pense que ma femme dormait, rien.
De l’autre, en regardant bien, j’ai aperçu quelques traces blanchâtre sur le drap du dessous.
J’ai refait le lit et j’ai commencé à fouiller un peu partout et là dans le tiroir de la table de nuit, j’ai trouvé une boite de capotes neuve et une à moitié vide.
J’ai regardé sous le lit et j’ai trouvé une partie d’un emballage et une capote usagée.
Je l’ai pris dans les mains, elle était humide et il y avait du sperme dedans, il ne pouvait plus y avoir de doute, ils avaient baisé ensemble, cette nuit au moins.
Alors que je tenais toujours le préservatif du bout des doigts, je me suis aperçu que je bandais très fort, l’idée de savoir qu’ils avaient forniqué cette nuit alors que j’étais en bas m’avait excité.
J’ai commencé à me caresser puis j’ai sorti ma bite de mon caleçon pour me branler.
Je fermais les yeux en les imaginant d’accouplé dans le lit, je le voyais la prendre en levrette ou encore se faire sucer par la bouche douce et experte de Nathalie, je me suis branlé frénétiquement en pensant à tout ça, jusqu’à ce que j’éjacule sur le sol.
J’ai nettoyé et remis tout en place, sauf la capote usagée que j’ai mis au fond de la poubelle.
« D’ailleurs ou sont les autres, car je pense qu’ils n’ont pas fait ça qu’une fois. »
J’ai fouillé la poubelle de la salle de bain, puis celle de la cuisine et là j’ai trouvé un petit sac plastique, fermé avec un nœud, je l’ai ouvert et j’ai découvert cinq autres capote usagés.
« Putain ils n’ont pas chômés, elle a dû prendre cher cette nuit »
Je savais, enfin j’espérais, qu’elle allait m’en parler, j’étais même surpris qu’elle ne m’ai encore rien dit.
Peut-être attendait-elle que l’on soit revenu à la maison pour me le dire, nous verrons bien une fois rentré.
J’étais encore très excité et me suis dit que ce soir j’allais encore les laisser ensemble en prétextant que j’avais encore vomi cette après-midi et que c’était mieux si je restais en bas, mais que cette fois je ne dormirais pas et que j’essaierais peut-être de mater discrètement.
La journée s’est passée tranquillement, j’ai regardé la télé et me suis branlé une seconde fois toujours en les imaginant copuler.
Vers dix-sept heures je regardais derrière la fenêtre pour épier leur comportement quand ils arriveraient.
J’ai aperçu ma voiture au loin arriver, elle est passée devant l’appartement puis a continué sa route jusqu’à un grand parking, à quelques centaines de mètres, vide à cette saison.
La voiture s’est arrêtée et personne n’est descendu.
De là ou j’étais, je ne voyais pas ce qui se passait, ils étaient trop loin.
Ils sont restés ainsi presque une demi-heure avant de repartir pour revenir se garer devant l’appart.
« Tu crois qu’il va revenir dormir avec toi ce soir ? » lui avait demandé Quentin alors qu’ils venaient de monter dans la voiture pour rentrer après avoir rendu les ski chaussures et bâtons au loueur.
« Je ne sais pas, tout dépend s’il a encore été malade ou pas » lui avait répondu ma femme.
« C’est salaud pour lui ce que je vais dire, mais j’espère, car j’ai encore envie de sentir ta bouche gourmande avaler ma queue »
« Je t’avoue que j’adore la sucer, si tu veux avant de rentrer je connais un endroit ou on sera tranquille pour que je fasse une pipe. »
« Hummm oui vas-y, je bande déjà »
Le siège passager à demi couché, le pantalon et le slip en bas des pieds, il tenait bien la tête de ma femme qui lui pompait goulûment la bite depuis pas mal de temps, il sentait qu’il allait jouir alors il voulait qu’elle avale toute sa semence.
Il s’est laissé aller quand il lui a envoyé plusieurs giclées de sperme au fond de sa gorge.
« Oh putain t’es trop bonne, vas-y salope avale bien mon jus »
Après lui avoir bien nettoyé la queue, elle s’est relevée pour reprendre le volant et venir me retrouver.
« Comment s’est passée ta journée mon amour ? »
« Bof bof, ça a du mal à passer cette p….. de gastro, c’est un peu mieux de jour en jour, mais je vais quand même encore souvent aux toilettes »
« Tu dors encore en bas ce soir ? »
« Oui je pense que c’est mieux »
Quentin était de dos, mais je pense qu’il a eu un grand sourire en m’entendant dire cela.
La soirée s’est passée normalement et vers vingt-deux heures trente, tout le monde est allé se coucher.
J’ai attendu qu’ils soient en haut pour m’extirper du canapé et m’approcher de l’escalier, doucement et sans faire de bruit.
Il y avait trois marches face au mur puis un petit palier ensuite il tournait d’un quart à gauche et encore plusieurs marches avant d’arriver à la chambre.
De ce petit palier on apercevait le pied du lit et plus on montait, plus on le voyait.
Je suis donc monté jusqu’au palier, il faisait sombre en bas et on ne pouvait pas me voir, cependant dans la chambre une petite lampe de chevet était allumée et moi je pouvais bien voir certaines choses.
Quentin était nu et assis au bout du lit, les jambes bien écartées.
Nathalie, nue aussi, était à genoux entre ses cuisses et avait engloutie sa queue, elle le suçait avec passion et semblait y prendre beaucoup de plaisir.
Pendant au moins cinq minute elle a joué de sa bouche, de ses lèvres et de sa langue avec le gros chibre de son ancien collègue, jusqu’à ce qu’il s’allonge complètement sur le lit en l’entraînant sur lui.
Un bruit de préservatif qu’on enfile et alors que je voyais leurs jambes, j’ai deviné qu’elle s’empalait sur lui.
J’ai remonté quelques marches, je voyais maintenant les fesses de ma femme et là, comme je l’avais deviné, elle s’était embrochée sur son pieu sur lequel elle montait et descendait.
Elle ondulait du bassin lorsqu’il était complètement en elle, puis reprenait ses vas et vient.
Il lui caressait les fesses et le dos pendant qu’il la prenait.
De ma position je voyais bien sa queue entrer et sortir du sexe de ma femme, ses chairs dilatées par le gros braquemart de son amant.
Lorsqu’elle à joui, je l’ai entendu légèrement couiner, son corps était secoué de spasmes et elle restait bien collé à lui comme si elle voulait le sentir encore plus profond dans son ventre.
Toujours emboîté l’un dans l’autre, ils ont roulé sur le lit, il était maintenant au-dessus d’elle et la pilonnait avec force et vigueur, elle avait entouré ses jambes autour de sa taille et ses bras autour de son torse, j’entendais leur respiration plus forte et les gémissements furtifs de ma femme qui se faisait démonter.
Il l’a baisé ainsi pendant au moins vingt minutes en faisant des petites pauses d’une dizaine de seconde avant de reprendre de plus belle, je crois qu’elle a joui au moins deux fois ainsi avant que lui ne se vide dans son ventre.
Je bandais comme un fou et mon slip était trempé, je suis retourné sur mon canapé craignant qu’un des deux ne descende.
Nathalie qui avait juste un tee-shirt sur elle, est allé aux toilettes puis dans la salle de bain, en retournant se coucher, elle a posé sa main sur ma tête, certainement pour voir si j’avais de la fièvre, puis est remonté dans la chambre, je n’avais pas bougé, la laissant croire que je dormais.
J’essayai de tendre l’oreille mais je n’entendais rien, je me disais que pour le dernier soir ils n’allaient certainement pas en rester là, alors je suis reparti les épier.
La bouche gourmande de ma femme dévorait la grosse bite de Quentin, sa langue se promenait partout sur cette colonne de chair bien raide, elle lui léchait les bourses, les aspirait, les mordillait puis remontait jouer avec son gland turgescent, elle le frottait sur son visage puis le reprenait complètement en bouche tout en le branlant.
Il semblait ne plus tenir et voulait qu’elle arrête mais elle a continué jusqu’à ce qu’il lui crache sa semence au fond de la gorge, elle a tout avalé en le gardant bien dans sa bouche pour aspirer les dernières gouttes et le nettoyer de sa langue.
Elle s’est allongée à coté de lui et ils ont discutés à voie basse, elle avait gardé une main sur sa queue et le caressait doucement, lui, avait une main son sexe et ses doigts la fouillaient un peu.
Au bout de quelques minutes pendant lesquels il n’avait pas débandé, ils se sont embrassés et il lui a dit quelques choses à l’oreille, elle s’est aussitôt mise à quatre pattes, les cuisses bien écartées.
Habillé d’un préservatif tout neuf, il s’est présenté derrière elle pour la pénétrer, un long soupir de plaisir s’est échappé de la bouche de ma femme lorsqu’elle l’a senti au fond d’elle.
De nouveau il l’a pilonné bien fort en lui agrippant les hanches, par chance pour eux, le lit ne grinçait pas, ce qui lui permettait de la baiser sans retenue.
La tête enfouie dans l’oreiller, Nathalie se donnait complétement à son amant, ses fesses cambrées bien en arrière, son anus dilaté par le doigt qu’il lui enfoncé tout doucement et de plus en plus loin.
Avant qu’il ne tente de l’enculer, elle lui a fait comprendre que ce n’était pas possible car sa queue était trop grosse.
Résigné, il s’est vengé sur sa chatte en la pistonnant encore plus fort.
Elle a joui quatre fois ainsi avant qu’il ne se vide une dernière fois au fond de son ventre.
Moi, mon slip était bon à laver, j’avais éjaculé dedans sans même me toucher.
Il était presque trois heures du matin, je suis retourné me coucher et eux se sont endormis presque aussitôt.
Vers six heures, alors qu’elle dormait sur le côté, dos à lui, il lui a relevé une jambe puis a enfoncé sa queue dans son sexe, encore à moitié endormie, elle s’est laissé faire, la bite qui venait d’entrer en elle lui faisait du bien et elle sentait qu’elle avait encore envie de jouir.
Il l’a prise dans cette position un bon quart d’heure en la caressant de partout, les seins, les hanches les cuisses, les lèvres intimes jusqu’à ce qu’ils explosent en même temps.
Reprenant ses esprits, elle s’est demandé si elle n’avait pas fait trop de bruits et a aussitôt mis sa main entre ses cuisses pour vérifier si le gourdin qu’elle avait toujours en elle était couvert.
Ouf c’est bon, il avait mis une capote.
De retour à la maison, alors que nous prenions tout les deux un apéro, Nathalie m’a tout raconté, elle n’avait pas voulu me le dire avant car j’étais malade et elle préférait que je me repose.
Je lui ai aussi raconté la fouille de leur chambre et la dernière nuit à les espionner.
« Ne sois pas surprise quand tu va retrouver un de mes slips maculé de sperme dans le sac de linge sale »
Alors elle m’a regardé avec un grand sourire en me disant :
« Petit cochon vicieux » et nous avons rigolé.
Il y a une suite à cette histoire que je pourrais vous raconter si vous le désirez.
Malgré cela, elle et moi avions quand même été invité au repas de fin d’année, organisé par son ancien C.E. au mois de novembre.
C’était une époque où l’alcool n’était pas interdit lors de ces repas.
Je n’appréciais pas particulièrement tous ces collègues (il faut dire qu’ils étaient beaucoup dans cette grande surface), mais nous pouvions quand même passer de bonnes soirées et avoir des conversations intéressante avec certains.
Au cours du dîner, après plusieurs verres, l’un d’entre eux a eu une idée lumineuse.
« Si on allait au ski tous ensemble, ce serait cool, non ? »
Bien évidemment tout le personnel ne pouvait pas s’absenter sur la même période et l’organisation de tout ceci semblait impossible en si peu de temps.
L’idée est donc tombée à l’eau, sauf pour un petit groupe d’une dizaine de personne.
C’était avec ce nombre beaucoup plus réaliste.
Nathalie a donc été chargé de préparer ça.
De douze nous sommes passé à huit le lendemain, puis six une semaine après, puis quatre dans le mois qui a suivi et enfin trois au final.
Difficile d’annuler car nous avions déjà versé des arrhes.
Ma femme avait réussi à changer de chalet au fur et à mesure que le nombre diminuait.
Heureusement c’était prévu pour mars et hors période scolaire, il y avait donc plus de facilité pour modifier le type d’appartement.
Le séjour était maintenant bouclé, une semaine, du samedi au samedi, dans un appartement avec au rez de chaussée, cuisine, salle de bain, WC, un couchage dans le salon pour une personne et un couchage de deux personnes à l’étage.
Quentin, l’ancien collègue qui venait avec nous avait notre âge, la trentaine, célibataire, séparé depuis plusieurs mois d’avec sa femme.
Taille moyenne, un mètre quatre-vingts, environ quatre-vingts kilos, les yeux marron, les cheveux châtain foncé, un physique agréable.
Il habitait dans une ville voisine, nous sommes donc passé le prendre chez lui le jour du départ, il était quatre heures trente du matin quand nous sommes partis direction les Alpes du Nord.
Les routes étaient bien dégagées jusqu’à la station et nous sommes finalement arrivés sur place vers douze heures trente, après plusieurs pauses sur le trajet.
Déjeuner dans un snack, puis location des chaussures, skis et bâtons, achat des forfaits, ce qui fait que vers seize heures nous avons pris possession de l’appartement.
On s’est installé gentiment, Nathalie et moi à l’étage et Quentin sur le canapé en bas.
Le soir nous avons mangé au restaurant et ne nous sommes pas couché très tard, il devait être vingt-deux heures trente.
Le lendemain le ciel était bien dégagé, la neige était bonne et nous avons skié toute la journée.
Revenu en bas de la station vers dix-sept heures, nous avons fait quelques courses, bu un verre dans un bar et somme retournés à l’appart.
Nous avons pris l’apéro, mangé, descendu quelques digestifs en jouant à des jeux de société puis nous sommes couchés vers minuit.
Le lundi la journée s’est passée comme celle de la veille avec toujours un temps ensoleillé.
Le mardi matin je n’étais pas au mieux de ma forme, je me sentais un peu vasouillard.
Nous avons quand même skié une bonne partie de la journée, mais j’avais du mal à suivre.
Dans la nuit du mardi au mercredi, je me suis levé une dizaine de fois pour aller aux toilettes et parfois vomir.
Il fallait que je descende les escaliers à chaque fois, que j’allume pour ne pas tomber, bref j’ai passé une très mauvaise nuit mais Nathalie et Quentin aussi.
Je suis resté à l’appartement toute la journée à comater et me vider.
Ma femme m’appelait régulièrement pour prendre des nouvelles, je lui ai dit que j’avais certainement une gastro et qu’elle devrait passer à la pharmacie pour prendre des médicaments.
Je n’ai pas été de très bonne compagnie ce soir-là car j’étais encore très fatigué, malgré être resté la journée à me reposer.
J’ai demandé à Quentin s’il pouvait me laisser le canapé afin que je puisse être près des toilettes cette nuit, car j’avais mangé un peu mais je craignais que ça ne passe pas.
« Ok pas de problème, j’irais dormir à l’étage sur le sol »
« Merci, ça m’évitera de réveiller tout le monde si je vais aux toilettes dans la nuit. »
Au moment d’aller se coucher, Nathalie après être passée par la salle de bain, en est sortie vêtu d’un grand tee-shirt que descendait sous ses fesses et d’un string que l’on pouvait deviner.
Quentin en a fait de même et est allé à l’étage en slip et tee-shirt lui aussi.
Je somnolais depuis pas mal de temps quand ils sont montés malgré les gargouillis dans mon ventre.
Quand Quentin est arrivé dans la chambre, il a commencé à disposer des couverture sur le sol pour se faire un couchage, ma femme lui a dit :
« Ne sois pas bête viens dormir dans le lit, tu seras mieux et il y a de la place pour deux »
Il ne s’est pas fait prier.
J’ai encore vécu une nuit infernale mais quand même mieux que la précédente.
Quand Nathalie s’est réveillée, vers huit heures, comme d’habitude, elle a senti un corps collé dans son dos tout contre elle, une main sur sa hanche et un truc très dur contre ses fesses.
Le temps de réaliser que ce n’était pas moi, il s’est à son tour réveillé.
« Oh pardon » lui dit-il en se tournant sur le dos « Je ne l’ai pas fait exprès, je suis désolé »
« Ce n’est pas grave, j’ai cru au départ que c’était mon mari et j’ai failli me laisser aller »
Un peu gêné tous les deux par cette situation, ils ne savaient plus quoi dire.
Ils s’étaient assis dans le lit, la couette n’était plus sur eux et ma femme pouvait constater que l’érection de son voisin de lit n’avait pas faibli, son sexe dépassait de son slip.
« Elle est grosse, je comprends mieux pourquoi je la sentais bien contre mes fesses » lui dit-elle.
Alors doucement, il a pris sa main pour la poser sur son sexe en lui disant :
« Tu la sentiras encore mieux ainsi »
Nathalie a sortie complètement le membre du slip et a commencé à le branler.
Il était bien dur et semblait prendre encore plus de volume.
Quentin s’est allongé pour mieux apprécier la masturbation que Nathalie lui prodiguait.
Elle s’est alors penchée vers sa queue pour la prendre en bouche en lui disant :
« Je n’ai pas envie que tu jouisses sur la couette »
Sa bouche experte n’a pas mis plus de cinq minute à le faire éjaculer.
Elle a avalé les grandes rasades de sperme qu’il a déversé au fond de sa gorge puis s’est levée pour descendre.
« Merci, lui a-t-il dit, j’ai hâte d’être à ce soir et j’espère que je pourrais te rendre l’appareil »
Après un grand sourire, elle est venue me rejoindre en bas.
« Alors mon amour, ça va mieux ? »
« Non j’ai encore passé une nuit de merde et toi, bien dormi ? »
« Oui, je me suis bien reposée »
« Je ne vais pas venir avec vous skier, je suis encore nauséeux »
« Oui reste au chaud c’est mieux, c’est dommage, tu ne vas pas profiter beaucoup de la neige cette année »
Les médicaments qu’elle m’avait rapportés commençaient à faire un peu effet mais je préférais rester à l’appart.
« Tu crois qu’on va encore pouvoir dormir ensemble ce soir » demanda Quentin à ma femme alors qu’ils étaient attablés à une terrasse d’altitude en buvant un vin chaud.
« Je pense que jusqu’à la fin de la semaine il va rester en bas, ça dure plusieurs jours une gastro, j’espère juste qu’on ne va pas l’attraper » lui a-t-elle répondue.
Avec un sourire il a continué :
« Je suis désolé pour lui qu’il soit malade mais heureux pour moi de pouvoir profiter de toi. Je peux acheter des préservatifs ? »
« Tu crois que je ne vais te faire que des pipes ? »
Ils ont ris puis ont rechaussés les ski.
Quand ils sont entrés dans l’appartement, je dormais.
Quentin est vite monté à l’étage cacher ses deux boites de capotes fraîchement acheté à la pharmacie.
La soirée a été calme, ils ont joué à des jeux de société en buvant des digestifs pendant que moi je vomissais une partie de mon repas.
J’avais froid et j’ai préféré me couché sur mon canapé à côté du radiateur que j’avais mis à fond.
Eux étaient en petite tenue, tee-shirt et slip, car ils avaient trop chaud.
Je ne voyais pas les mains de Quentin se balader sur les cuisses de ma femme et glisser jusqu’à son pubis qu’il caressait par-dessus le string.
Dès que je partais à la salle de bain ou au WC, ils en profitaient pour s’embrasser fougueusement.
Plus tard dans la soirée, ils sont montés se coucher, alors que moi je m’étais encore assoupie.
Toute la journée je dormais puis me réveillais puis me rendormais à nouveau, la gastro m’avais vraiment mis KO.
Arrivée près du lit, ils se sont embrassés puis déshabillés.
Quentin a fait allonger Nathalie sur le lit puis s’est installé entre ses cuisses pour la lécher.
Avec sa langue il a commencé à parcourir tout son corps, le cou, les seins sur lesquels il s’est beaucoup attardé, puis le ventre, le nombril et enfin le pubis.
D’abord s’occupant de ses lèvres puis du clito et ensuite a enfoncé sa langue à l’intérieur.
Elle appréciait beaucoup ses caresses buccale et a joui assez vite en se retenant pour ne pas faire trop de bruit.
A son tour, elle est venue engloutir son membre avec sa bouche en le titillant bien partout, aspirant le gland, passant sa langue tout le long de sa hampe pour aller gober ses couilles, le branlant en même temps.
Il se sont ensuite mis en position soixante-neuf pendant un long moment, pour se donner du plaisir mutuellement.
Lui s’est vidé une fois dans sa gorge, alors qu’elle a pris plusieurs fois son pied.
Une pause pour se requinquer, pendant laquelle ma femme est descendue prendre une bouteille d’eau et voir si j’allais bien.
Je l’ai vaguement aperçu puis me suis rendormi aussitôt.
Après les préliminaires, ils sont passés aux choses plus sérieuses.
Nathalie était allongée sur le lit, Quentin qui avait enfilé une capote s’est couché sur elle en la pénétrant doucement et en lui provoquant un doux gémissement de plaisir jusqu’à ce qu’il soit complètement enfoncé en elle.
Elle lui a murmuré à l’oreille :
« Oh putain c’est bon, elle est bonne ta queue, j’adore… »
Les yeux révulsés par le plaisir, elle le sentait bien aller et venir lentement jusqu’au fond de sa grotte.
Elle a entouré ses bras et ses jambes autour de lui pour mieux le sentir, à chaque coup de reins elle se donnait encore plus.
Ils s’embrassaient fougueusement pour ne pas faire de bruit, seul quelques petits gémissement arrivaient à sortir malgré cela.
Quand elle a joui, elle lui a labouré le dos avec ses ongles pour extérioriser son plaisir.
Il a ensuite accéléré le mouvement, la faisant une nouvelle fois atteindre un autre orgasme presque aussitôt après le premier.
Ils ont changé de position et c’est elle qui est venue le chevaucher, pendant qu’elle montait et descendait sur sa bite, il lui malaxait les seins, lui caressait le dos et les fesses.
Quand elle a de nouveau joui, elle s’est affalée sur lui pour l’embrasser afin de ne pas crier, la sentant se donner autant, il n’a pas pu se retenir et a éjaculé dans son ventre.
Collé l’un à l’autre, ils ont doucement repris leur souffle et leurs esprits.
Il n’avait pas débandé, alors Nathalie, très demandeuse, a ondulé du bassin pour lui faire comprendre qu’elle avait encore envie.
« Attends, je change de préservatif »
Elle s’est écartée de lui, pour qu’il puisse le faire, et s’est mise à quatre pattes en lui tendant bien son cul, elle savait l’effet qu’elle faisait aux hommes en prenant cette position.
Chaussé d’une nouvelle capote, il s’est installé derrière elle pour la prendre en levrette.
Elle avait l’impression de le sentir encore plus gros et plus dur et a enfoui sa tête dans la couette pour ne pas gémir trop fort lorsqu’il l’a pénétré.
Il la prenait plus fort, ses vas et vient étaient plus rapide et plus profond, ses mains bien accrochées aux hanches de ma femme pour bien s’enfoncer en elle.
Il l’a faite jouir ainsi plusieurs fois de suite.
Au cours de la nuit ils ont baisé dans toutes les positions possibles, utilisant une demi-douzaine de préservatifs avant de s’endormir vers trois ou quatre heure du matin.
Il a ouvert les yeux pour regarder l’heure, neuf heures vingt :
« Oh merde, j’espère que ton mari ne va pas se demander pourquoi on se lève si tard » dit-il après avoir réveillé doucement ma femme.
Elle est descendue en premier, rapidement suivi par son amant de la semaine.
En les entendant arrivé je me suis à mon tour réveillé.
« Tu viens avec nous aujourd’hui ou tu te sens encore fragile ? »
On était vendredi matin, j’allais mieux, mais j’avais quelques doutes et leurs ai dit :
« Je ne me sens pas encore en pleine forme, j’ai eu plusieurs fois des haut de cœur dans la nuit et j’ai encore le ventre qui gargouille, je préfère rester là, j’espère juste que je pourrais reprendre le boulot lundi »
Petit déjeuner, douche et hop les voilà reparti pour le dernier jour de ski.
Dans ma nuit agitée, j’avais cru entendre des bruits et des gémissements, je ne savais pas si j’avais rêvé ou si c’était réel.
Je suis donc monté dans la chambre à l‘étage pour chercher des indices.
Le lit était fait, au sol pas de signe de couchage.
« Tiens, ils dorment dans le même lit ? »
Je l’ai ouvert pour voir si je voyais des traces suspectes.
Du côté ou je pense que ma femme dormait, rien.
De l’autre, en regardant bien, j’ai aperçu quelques traces blanchâtre sur le drap du dessous.
J’ai refait le lit et j’ai commencé à fouiller un peu partout et là dans le tiroir de la table de nuit, j’ai trouvé une boite de capotes neuve et une à moitié vide.
J’ai regardé sous le lit et j’ai trouvé une partie d’un emballage et une capote usagée.
Je l’ai pris dans les mains, elle était humide et il y avait du sperme dedans, il ne pouvait plus y avoir de doute, ils avaient baisé ensemble, cette nuit au moins.
Alors que je tenais toujours le préservatif du bout des doigts, je me suis aperçu que je bandais très fort, l’idée de savoir qu’ils avaient forniqué cette nuit alors que j’étais en bas m’avait excité.
J’ai commencé à me caresser puis j’ai sorti ma bite de mon caleçon pour me branler.
Je fermais les yeux en les imaginant d’accouplé dans le lit, je le voyais la prendre en levrette ou encore se faire sucer par la bouche douce et experte de Nathalie, je me suis branlé frénétiquement en pensant à tout ça, jusqu’à ce que j’éjacule sur le sol.
J’ai nettoyé et remis tout en place, sauf la capote usagée que j’ai mis au fond de la poubelle.
« D’ailleurs ou sont les autres, car je pense qu’ils n’ont pas fait ça qu’une fois. »
J’ai fouillé la poubelle de la salle de bain, puis celle de la cuisine et là j’ai trouvé un petit sac plastique, fermé avec un nœud, je l’ai ouvert et j’ai découvert cinq autres capote usagés.
« Putain ils n’ont pas chômés, elle a dû prendre cher cette nuit »
Je savais, enfin j’espérais, qu’elle allait m’en parler, j’étais même surpris qu’elle ne m’ai encore rien dit.
Peut-être attendait-elle que l’on soit revenu à la maison pour me le dire, nous verrons bien une fois rentré.
J’étais encore très excité et me suis dit que ce soir j’allais encore les laisser ensemble en prétextant que j’avais encore vomi cette après-midi et que c’était mieux si je restais en bas, mais que cette fois je ne dormirais pas et que j’essaierais peut-être de mater discrètement.
La journée s’est passée tranquillement, j’ai regardé la télé et me suis branlé une seconde fois toujours en les imaginant copuler.
Vers dix-sept heures je regardais derrière la fenêtre pour épier leur comportement quand ils arriveraient.
J’ai aperçu ma voiture au loin arriver, elle est passée devant l’appartement puis a continué sa route jusqu’à un grand parking, à quelques centaines de mètres, vide à cette saison.
La voiture s’est arrêtée et personne n’est descendu.
De là ou j’étais, je ne voyais pas ce qui se passait, ils étaient trop loin.
Ils sont restés ainsi presque une demi-heure avant de repartir pour revenir se garer devant l’appart.
« Tu crois qu’il va revenir dormir avec toi ce soir ? » lui avait demandé Quentin alors qu’ils venaient de monter dans la voiture pour rentrer après avoir rendu les ski chaussures et bâtons au loueur.
« Je ne sais pas, tout dépend s’il a encore été malade ou pas » lui avait répondu ma femme.
« C’est salaud pour lui ce que je vais dire, mais j’espère, car j’ai encore envie de sentir ta bouche gourmande avaler ma queue »
« Je t’avoue que j’adore la sucer, si tu veux avant de rentrer je connais un endroit ou on sera tranquille pour que je fasse une pipe. »
« Hummm oui vas-y, je bande déjà »
Le siège passager à demi couché, le pantalon et le slip en bas des pieds, il tenait bien la tête de ma femme qui lui pompait goulûment la bite depuis pas mal de temps, il sentait qu’il allait jouir alors il voulait qu’elle avale toute sa semence.
Il s’est laissé aller quand il lui a envoyé plusieurs giclées de sperme au fond de sa gorge.
« Oh putain t’es trop bonne, vas-y salope avale bien mon jus »
Après lui avoir bien nettoyé la queue, elle s’est relevée pour reprendre le volant et venir me retrouver.
« Comment s’est passée ta journée mon amour ? »
« Bof bof, ça a du mal à passer cette p….. de gastro, c’est un peu mieux de jour en jour, mais je vais quand même encore souvent aux toilettes »
« Tu dors encore en bas ce soir ? »
« Oui je pense que c’est mieux »
Quentin était de dos, mais je pense qu’il a eu un grand sourire en m’entendant dire cela.
La soirée s’est passée normalement et vers vingt-deux heures trente, tout le monde est allé se coucher.
J’ai attendu qu’ils soient en haut pour m’extirper du canapé et m’approcher de l’escalier, doucement et sans faire de bruit.
Il y avait trois marches face au mur puis un petit palier ensuite il tournait d’un quart à gauche et encore plusieurs marches avant d’arriver à la chambre.
De ce petit palier on apercevait le pied du lit et plus on montait, plus on le voyait.
Je suis donc monté jusqu’au palier, il faisait sombre en bas et on ne pouvait pas me voir, cependant dans la chambre une petite lampe de chevet était allumée et moi je pouvais bien voir certaines choses.
Quentin était nu et assis au bout du lit, les jambes bien écartées.
Nathalie, nue aussi, était à genoux entre ses cuisses et avait engloutie sa queue, elle le suçait avec passion et semblait y prendre beaucoup de plaisir.
Pendant au moins cinq minute elle a joué de sa bouche, de ses lèvres et de sa langue avec le gros chibre de son ancien collègue, jusqu’à ce qu’il s’allonge complètement sur le lit en l’entraînant sur lui.
Un bruit de préservatif qu’on enfile et alors que je voyais leurs jambes, j’ai deviné qu’elle s’empalait sur lui.
J’ai remonté quelques marches, je voyais maintenant les fesses de ma femme et là, comme je l’avais deviné, elle s’était embrochée sur son pieu sur lequel elle montait et descendait.
Elle ondulait du bassin lorsqu’il était complètement en elle, puis reprenait ses vas et vient.
Il lui caressait les fesses et le dos pendant qu’il la prenait.
De ma position je voyais bien sa queue entrer et sortir du sexe de ma femme, ses chairs dilatées par le gros braquemart de son amant.
Lorsqu’elle à joui, je l’ai entendu légèrement couiner, son corps était secoué de spasmes et elle restait bien collé à lui comme si elle voulait le sentir encore plus profond dans son ventre.
Toujours emboîté l’un dans l’autre, ils ont roulé sur le lit, il était maintenant au-dessus d’elle et la pilonnait avec force et vigueur, elle avait entouré ses jambes autour de sa taille et ses bras autour de son torse, j’entendais leur respiration plus forte et les gémissements furtifs de ma femme qui se faisait démonter.
Il l’a baisé ainsi pendant au moins vingt minutes en faisant des petites pauses d’une dizaine de seconde avant de reprendre de plus belle, je crois qu’elle a joui au moins deux fois ainsi avant que lui ne se vide dans son ventre.
Je bandais comme un fou et mon slip était trempé, je suis retourné sur mon canapé craignant qu’un des deux ne descende.
Nathalie qui avait juste un tee-shirt sur elle, est allé aux toilettes puis dans la salle de bain, en retournant se coucher, elle a posé sa main sur ma tête, certainement pour voir si j’avais de la fièvre, puis est remonté dans la chambre, je n’avais pas bougé, la laissant croire que je dormais.
J’essayai de tendre l’oreille mais je n’entendais rien, je me disais que pour le dernier soir ils n’allaient certainement pas en rester là, alors je suis reparti les épier.
La bouche gourmande de ma femme dévorait la grosse bite de Quentin, sa langue se promenait partout sur cette colonne de chair bien raide, elle lui léchait les bourses, les aspirait, les mordillait puis remontait jouer avec son gland turgescent, elle le frottait sur son visage puis le reprenait complètement en bouche tout en le branlant.
Il semblait ne plus tenir et voulait qu’elle arrête mais elle a continué jusqu’à ce qu’il lui crache sa semence au fond de la gorge, elle a tout avalé en le gardant bien dans sa bouche pour aspirer les dernières gouttes et le nettoyer de sa langue.
Elle s’est allongée à coté de lui et ils ont discutés à voie basse, elle avait gardé une main sur sa queue et le caressait doucement, lui, avait une main son sexe et ses doigts la fouillaient un peu.
Au bout de quelques minutes pendant lesquels il n’avait pas débandé, ils se sont embrassés et il lui a dit quelques choses à l’oreille, elle s’est aussitôt mise à quatre pattes, les cuisses bien écartées.
Habillé d’un préservatif tout neuf, il s’est présenté derrière elle pour la pénétrer, un long soupir de plaisir s’est échappé de la bouche de ma femme lorsqu’elle l’a senti au fond d’elle.
De nouveau il l’a pilonné bien fort en lui agrippant les hanches, par chance pour eux, le lit ne grinçait pas, ce qui lui permettait de la baiser sans retenue.
La tête enfouie dans l’oreiller, Nathalie se donnait complétement à son amant, ses fesses cambrées bien en arrière, son anus dilaté par le doigt qu’il lui enfoncé tout doucement et de plus en plus loin.
Avant qu’il ne tente de l’enculer, elle lui a fait comprendre que ce n’était pas possible car sa queue était trop grosse.
Résigné, il s’est vengé sur sa chatte en la pistonnant encore plus fort.
Elle a joui quatre fois ainsi avant qu’il ne se vide une dernière fois au fond de son ventre.
Moi, mon slip était bon à laver, j’avais éjaculé dedans sans même me toucher.
Il était presque trois heures du matin, je suis retourné me coucher et eux se sont endormis presque aussitôt.
Vers six heures, alors qu’elle dormait sur le côté, dos à lui, il lui a relevé une jambe puis a enfoncé sa queue dans son sexe, encore à moitié endormie, elle s’est laissé faire, la bite qui venait d’entrer en elle lui faisait du bien et elle sentait qu’elle avait encore envie de jouir.
Il l’a prise dans cette position un bon quart d’heure en la caressant de partout, les seins, les hanches les cuisses, les lèvres intimes jusqu’à ce qu’ils explosent en même temps.
Reprenant ses esprits, elle s’est demandé si elle n’avait pas fait trop de bruits et a aussitôt mis sa main entre ses cuisses pour vérifier si le gourdin qu’elle avait toujours en elle était couvert.
Ouf c’est bon, il avait mis une capote.
De retour à la maison, alors que nous prenions tout les deux un apéro, Nathalie m’a tout raconté, elle n’avait pas voulu me le dire avant car j’étais malade et elle préférait que je me repose.
Je lui ai aussi raconté la fouille de leur chambre et la dernière nuit à les espionner.
« Ne sois pas surprise quand tu va retrouver un de mes slips maculé de sperme dans le sac de linge sale »
Alors elle m’a regardé avec un grand sourire en me disant :
« Petit cochon vicieux » et nous avons rigolé.
Il y a une suite à cette histoire que je pourrais vous raconter si vous le désirez.
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10 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Superbe j'ai adoré
Superbe histoire hummmm
Merci pour cette délicieuse histoire, j'attends la suite avec délectation
je bande à fond sur votre récit, vivement la suite
Nathalie est une sacrée coquine!
J’adore
Sacré étalon, six fois de suite dans la même nuit...! Et plusieurs jours de suite. Mais c'est bien bandant.
C'est très excitant de niquer en sachant son mari malade. Au moins un sur 2 a pris son pied. Vous vous etes chopé la gastro ensuite ou vous avez réussi à limiter la casse ??
Bravo, excellente histoire, merci de partager
Très excitant cette histoire...