Une semaine de plaisir :sexe lesbien, triolisme, pegging et j'en passe...
Récit érotique écrit par Smilee [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-10-2024 dans la catégorie Plus on est
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Une semaine de plaisir :sexe lesbien, triolisme, pegging et j'en passe...
Cette semaine nous recevons Martina à la maison, une copine de Nina qui vient de Perpignan. Elles se sont rencontrées quand Nina vivait dans le sud. Elles ne se sont quasiment pas revues depuis 20 ans malgré qu'elles soient toujours restées en contact. Moi je ne l'ai vu qu'en photo mais Nina me vante sa beauté régulièrement.
Nous sommes lundi et je viens de rentrer du travail. Martina n'est pas encore arrivée donc je descends à la piscine pour faire l’entretien. Quand je remonte je vois la voiture garée sous le chêne donc je sais qu’elle est arrivée. Je rentre dans la maison et l’aperçoit dans le salon avec Alexandre et Nina. Je vais me laver les mains dans la cuisine en disant bonjour. Martina est assise mais déjà je remarque qu’elle est plus arrondie que ce que j’avais cru voir sur les photos. Première belle surprise. Elle se lève alors pour aller à ma rencontre et quand elle arrive dans la cuisine je vois aussi qu’elle est plutôt grande. Elle porte une robe à fleur qui lui arrive à hauteur de genou. Je lui fais la bise et remarque un visage joli quoiqu’un peu trop maquillé à mon goût. En revanche elle possède une poitrine plus que généreuse. Elle se retourne pour repartir dans le salon et inévitablement mes yeux se portent sur ses hanches que je découvre charnues. À ce moment-là je n’arrive pas à distinguer quel type de sous vêtement elle porte.
Puis vient le moment de la visite de la maison. Nina montre le rez-de-chaussée puis Alexandre veut montrer sa chambre. Nous montons alors l’escalier et je me retrouve derrière Martina. Mon regard se retrouve pile au niveau de ses fesses ce dont je me délecte. Je remarque qu’a plusieurs reprises sa robe se prend dans le pli de ses fesses ce qui me laisse penser qu’elle porte un string. Ou rien du tout….
La soirée se passe et nous faisons doucement connaissance. À chaque fois que j’ai l’occasion je mate les belles courbes de Martina, que ce soient ses seins, ses fesses ou ses cuisses. Puis vient pour moi l’heure d’aller au lit. Je monte et prends ma douche. Puis je me pose dans notre lit, nu, et attrape mon téléphone pour regarder les nouvelles et pourquoi pas écrire un peu.
J’entends des bruits de pas dans l’escalier puis vois Nina rentrer dans la chambre. Elle vient pour prendre une veste. Moi je lui tourne le dos donc elle a une belle vue sur mes fesses. Elle s’approche de moi, passe sa main sur mes hanches et mes fesses en disant « c’est mignon tout ça ». Évidemment ce simple contact me fait avoir un début d’érection. Je me tourne sur le dos et sa main caresse inexorablement mon sexe de plus en plus dur. « Vraiment mignon » dit-elle.
Elle descend sur mes testicules et remonte en attrapant mon pénis à pleine main. Puis elle se penche sur moi pour m’embrasser avec fougue tout en faisant de lents va et vient sur mon sexe. La douceur de ses lèvres contre les miennes et la chaleur de sa main sur mon corps me font chavirer. Je ferme les yeux et me laisse aller en dandinant des hanches de plaisir. Je sens ses doigts glisser sur le bout de mon gland pour étaler le liquide qui en sort et le décalotter petit à petit jusqu’à ce qu’il soit complètement sorti. Puis ses lèvres quittent les miennes et d’un coup je sens sa langue parcourir mes boules puis remonter ma tige dressée jusqu’au gland. Là, sa langue fait le tour délicatement puis sa bouche l’engloutit doucement et fait quelques va et vient très lentement. Je sens ses lèvres se contracter autour de mon pénis afin de remettre la peau sur le gland.
Elle se relève avec un sourire coquin puis me dit « bonne nuit pense bien à moi » tout en laissant traîner ses mains sur mes cuisses ouvertes. Je lui réponds « toi aussi ». Elle attrape ma main, la glisse sous sa robe et dans sa culotte. Je faufile mes doigts dans son antre qui est très humide et elle me dit « c’est déjà le cas » puis s’en va. Je porte mes doigts à ma bouche et me masturbe un peu. Mais, après ce doux moment, je préfère m’arrêter là et plonger dans les bras de Morphée.
Dans la nuit j’entends Nina qui monte se coucher. Pour la provoquer un peu je me mets sur le dos, jambes légèrement écartées et fais grossir mon sexe afin qu’il atteigne une taille raisonnable. Je tourne ma tête vers le mur afin de dissimuler mes réactions. Elle rentre, pose des affaires sur la table de chevet puis j’entends le clic de l’appareil photo de son portable. Mon dieu elle vient de me prendre en photo ?!? Puis elle s’allonge à côté de moi, fais un bisou tendre sur mon sexe et se blottit contre moi pour s’endormir.
Le lendemain, je rentre tôt du travail car les filles ont prévu d’aller au Mont Saint Michel. Surprises par mon arrivée tôt, les filles ne sont pas prêtes. Martina est en train de se maquiller. Nous discutons un peu avec Nina puis nous montons nous changer, moi pour me mettre à l’aise, elle pour sortir. Je suis le premier dans la chambre et je suis nu quand Nina rentre. J’attrape mon short et m’apprête à l’enfiler quand je sens ses mains sur mes hanches. Je me retourne pour l’embrasser. Je lui retire sa robe et surprise elle ne porte rien dessous. Je passe mes mains sur ses hanches ce qui ne manque pas de réveiller mon pénis jusqu’alors endormi. Celui-ci remonte contre sa cuisse. Je passe mes mains sur ses grosses fesses. Mon sexe prend alors sa taille en érection. Nina pose sa main dessus et me dit :
- Alors tu as pensé à moi hier soir ?
- Oui beaucoup répondis je
- Hmmm quand je suis montée tu étais beau tout nu avec ton sexe gonflé me dit-elle.
- Fallait l’embrasser qui sait un beau prince se serait peut être réveillé ? Et alors tu as pensé à moi à ce moment-là ? lui demandais je tout en glissant un doigt sur sa fente déjà humide. Je veux voir si elle me parle de la photo.
- Non je ne voulais pas te réveiller.
- Pourtant il n’y a pas de plus beau réveil que ton corps nu à mes côtés.
Je recule un peu pour caresser ses seins puis j’enfile mon short qui se déforme vu mon érection et je pars de la chambre après avoir caressé et mis une petite claque sur ses fesses. Je range mon sexe contre l’élastique de mon short au cas où je croiserais Martina et je descends.
Martina descend peu après. Elle porte le même type de robe que la veille mais celle-ci est bleu foncée. Du fait de la matière je n’arrive pas à déterminer ce qu’elle a dessous. Elle est toujours autant maquillée ce qui dommage car je pense qu’elle est très belle au naturel. Nous discutons un peu en attendant que Nina se prépare puis Nina descend. Elle a enfilé une robe longue. Elles finissent de se préparer puis vient l’heure du départ. Nina vient me voir dans la cuisine pendant que je lave la vaisselle pour me dire qu’elles s’en vont. Nina s’approche de mon oreille et me dit en glissant ses mains sur mes fesses sous mon short « pense à moi pendant que je ne suis pas là » puis ses mains glissent sur le devant et relève mon sexe qui durcit sous sa main. C’est malin j’ai de nouveau une tente dans mon short et là avec les mains mouillées difficile de le remettre en place. Martina vient me dire à tout à l’heure et je ne peux cacher mon érection bien visible dans ma position de profil. Je vois son regard qui se pose dessus et elle sourit. Moi je suis mi excitée, mi gêné de la situation. Cela fait sourire Nina qui est contente de son effet. Puis elles partent.
Je m’occupe d’Alexandre puis le mets devant la télévision pendant que je vais préparer à manger. Mais avant je monte chercher un câble dans la chambre de Martina. Je remarque la valise ouverte sur le banc. Je m’approche et aperçois dans le filet du dessus ce que je soupçonne être ses sous-vêtements. Est-ce que j’y jette un œil ? Non cela ne se fait pas. Je pars dans la salle de bain puis reviens dans cette chambre. Il faut que je sache. J’ouvre délicatement le filet et sors une boule de tissu noir. En ouvrant le tissu, il se trouve qu’il s’agit de deux strings noirs en dentelle, l’un avec juste un tout petit triangle en haut des fesses et l’autre plus couvrant comme un tanga. Mon dieu cette fille sait bien s’habiller. Puis il y a aussi dans le filet un soutien-gorge rouge. Je l’attrape pour voir la taille et quand je l’ouvre il tombe un bout de tissu rouge. C’est un autre string assorti au soutien-gorge qui se trouve être un 105E. C’est tout ce qu’il y a comme sous vêtement. Elle est donc venue chez nous qu’avec des strings !
Je remets les affaires du mieux possible puis retourne m’occuper du repas. Les sous-vêtements ne cessent d’alimenter mes pensées malgré tous mes efforts. En fin de soirée je couche Alexandre puis entends les filles qui reviennent. Je descends à leur rencontre, discute un peu puis décide d’aller faire un plouf à la piscine. Les filles ne veulent pas y aller car elles sont trop fatiguées donc je vais me baigner seul. Je descends allumer les lumières de la piscine et je vois alors que Martina est seule sur la terrasse en train de fumer une clope. Je décide de jouer un peu alors et me déshabille entièrement avant de prendre ma douche et entrer dans l’eau. Si elle a regardé vers moi elle a dû voir que j’étais tout nu. Je nage un peu puis sors de la piscine. Je me rhabille et ferme tout avant de remonter. Nina est seule sur la terrasse et je vois la lumière des toilettes allumée. Je pars donc dans la buanderie pour me changer quand me vient l’idée d’un jeu. J’entrouvre la porte de la buanderie pour qu’en sortant des toilettes Martina puisse me voir mais sans que cela fasse trop. Au moment où j’entends la chasse d’eau j’enlève mon short et me retrouve donc tout nu. J’espère qu’elle me regarde. Pour en avoir le cœur net je me tourne légèrement pour qu’elle puisse voir mon sexe pendant de bonne taille et je jette un discret coup d’œil vers la porte. Je vois Martina partir ce qui me laisse penser qu’elle m’a vu.
J’enfile mon short, sors dire bonne nuit aux filles puis monte à la douche. En sortant de la douche je vois que les filles se sont couchées. Je rentre dans la chambre et vois Nina allongée nue sur le lit. Je me glisse à côté d’elle et me cale dans ses bras. Je caresse son délicieux corps notamment ses seins qui durcissent sous mes caresses. Je parcours aussi son ventre, ses cuisses et effleure sa toison pubienne. Je mets ma cuisse sur la sienne pour qu’elle sente mon sexe en érection contre elle. Puis je m’endors dans ce sentiment de bien-être…
Au bout d’un moment je suis réveillé par des petits bruits. J’émerge doucement et me rends compte que je suis toujours dans la même position mais que la main droite de Nina s’active sur son vagin. Elle pousse des petits gémissements hautement excitants. Elle stimule son clitoris de sa main libre et laisse échapper des soupirs de satisfaction. Que c’est beau une femme qui se masturbe ! Ma main gauche reprend les caresses là où elle les avait laissées. Elle effleure ses seins qui réagissent de nouveau puis descend sur le ventre puis enfin sur son entrejambe. Celui-ci est tout chaud. Ma main remplace la sienne et mon majeur écarte ses lèvres afin de sentir le contact avec son yoni. Il est bien humide signe que ses caresses étaient efficaces. Tâchons d’être au niveau ! Mon majeur récupère un peu de cyprine et remonte humidifier son clitoris. Je le titille du bout du doigt et reviens régulièrement me réapprovisionner en cyprine. J’essaie d’être attentif à ses réactions mais pour l’instant elles se font rares. J’intensifie mes mouvements, alternant entre des pénétrations d’un ou deux doigts ou des caresses de son clitoris. Je l’embrasse aussi sensuellement pour connecter le haut et le bas. Mais malgré toute ma bonne volonté j’ai l’impression qu’elle prenait bien plus de plaisir quand c’était elle qui le faisait. Il faut donc que je change de méthode et que je lui fasse ce qu’elle ne peut pas faire toute seule.
J’abandonne sa bouche et descends la mienne sur son cou, ses seins, son ventre pour enfin atteindre son vagin. Je pose alors mes lèvres sur son intimité tant désirée. Elle se cambre lorsque ma langue glisse le long de sa fente humide et brûlante de désir. Là j’entreprends des caresses buccales avec douceur. Ma langue parcourt tout d’abord ses lèvres afin de m’imprégner de ce goût que j’affectionne tant. Je glisse à l’intérieur afin de m’abreuver de cyprine. Celle-ci est abondante et je me délecte de ce jus parfumé. Maintenant que je suis rassasié il est temps de la faire jouir. Ma langue remonte jusqu’à son clitoris et commence le travail de sape destiné à la faire défaillir. Je lèche son petit bouton avec le plus de délicatesse possible et en faisant bien attention à ce que ma barbe ne frotte pas sur son yoni. Je l’effleure tout d’abord du bout de la langue pour le faire gonfler. Puis j’entreprends une rotation autour de lui pour le faire sortir petit à petit de son capuchon et l’aspirer. Régulièrement je glisse ma langue au plus profond de son vagin afin de boire son doux jus. Je sens que sa respiration est de plus en plus lourde signe d’une excitation grandissante. Je continue alors mon cunnilingus de la façon la plus attentionnée et passionnée possible. Ça y est des petits gémissements non contrôlés commencent à sortir. Je décide alors d’ajouter à la stimulation buccale l’introduction de deux doigts dans son sexe. Cela lui fait lâcher un soupir bruyant signe que mes actions portent leurs fruits. Je redouble d’efforts car je sais que quand elle arrive à ce point-là, la jouissance peut devenir un véritable feu d’artifice. De ma main libre j’attrape fermement sa hanche ainsi que sa fesse et continue de l’autre de la pénétrer. Ma langue continue aussi de se balader entre son clitoris et sa fente qui coule de plus en plus. Au fur et à mesure de mes actions combinées je sens l’orgasme monter en elle. Ses gémissements se font de plus en plus fréquents et sonores. Je sors la bouche pour lui dire de faire doucement que Martina pourrait nous entendre mais la seule réponse que j’ai est un « Mange-moi » plein d’autorité mais aussi de passion. Je m’exécute alors et reprend mon cunnilingus. Elle veut que je la mange et bien elle va être servie.
Je donne tout ce que j’ai pour la faire jouir. Je concentre mon énergie sur ses sensations. Je sens ses cuisses enserrer ma tête comme pour me rendre prisonnier. Mais pas besoin de cela je suis entièrement acquis à sa cause. Je sens que mon pénis ruisselle également tellement l’excitation est grande. Je récupère un peu de liquide sur mon gland et offre mes doigts à la bouche de Nina. Elle a ainsi le goût de sa cyprine et de mon sperme. Puis mes doigts humides retrouvent son chemin intérieur pour le coup de grâce. Tout d’abord j’accélère le mouvement de ma langue tout en faisant des gestes lents avec ma main. Puis j’enlève mes doigts afin de glisser mes mains sous ses fesses. Je l’agrippe fermement et intensifie mes coups de langue sur son bouton d’amour. Je sens son corps se crisper, sa respiration s’accélérer puis vient enfin la libération dans un cri sourd. Des jets de cyprine inondent ma gorge et ma bouche. Quel orgasme ! Je me remonte à ma place et attrape un mouchoir pour essuyer mon visage couvert de cyprine.
Nina peine à retrouver ses esprits et au bout d’un certain temps redescend de son nuage. Elle vient se blottir dans mes bras. Je lui dis « j’espère que ta copine avait son casque sinon elle a dû t’entendre ». Elle me répond « cela n’a pas l’air de t’avoir déplu » en caressant mon sexe toujours dur comme la pierre. Elle s’amuse à le parcourir tendrement du bout des doigts chatouillant mes testicules puis remontant doucement jusqu’au gland. Là elle récupère l’abondant liquide pour l’étaler partout du gland aux testicules. Puis à un moment elle descend un peu plus bas sur mon périnée et effleure même mon anus. Je profite de ses caresses sensuelles trop rares à mon goût. Puis elle me masturbe légèrement en me disant « et si tu venais au chaud ». Je lui souris tendrement et lui dit « pas ce soir. Nos prochains ébats n’en seront que plus explosifs ». Je sais que la frustration est grande pour elle mais j’aime sentir l’excitation et l’attirance monter en elle. Nous nous faisons un petit câlin et nous endormons l’un contre l’autre.
Le mercredi nous sommes invité à fêter les 70 ans de notre voisine Marie-France. Quand j’arrive du travail elles sortent juste de la piscine et j’ai donc juste le temps d’apercevoir Martina en maillot de bain. Elle porte un maillot 2 pièces bleu clair plutôt minimaliste avec juste deux triangles qui couvrent ses auréoles et à peine plus et un bas plutôt échancré sans que ce soit trop qui laisse voir l’arrondi de ses fesses. Elle remonte de la piscine ainsi et s’arrête discuter avec moi sur la terrasse sans aucun complexe. Je la trouve particulièrement séduisante sans maquillage. Cela fait ressortir la couleur profonde de ses yeux. Toutefois j’ai du mal à la regarder dans les yeux entre ses seins énormes qui débordent de son haut, ses cuisses potelées ou ses grosses fesses quand elle me tourne le dos. Elle me fait un sacré effet et je pense qu’elle le sait et en joue. Je la prends même à regarder mon entrejambe voir s’il y a une bosse comme la veille mais ma tenue avec un jean ne lui permet pas de savoir. Pourtant je bande bien comme un âne. Puis Martina part à la douche et Nina remonte aussi de la piscine.
Elle rentre dans la maison et va dans la buanderie pour enlever son maillot. Je la suis et me cale derrière elle une fois nue pour caresser ses seins. Elle tourne la tête pour m’embrasser pendant que ma main gauche plonge dans son intimité. Elle est bien chaude et humide. Je la caresse un peu puis nous entendons déjà Martina sortir de la douche donc Nina va prendre la suite pour être à l’heure. Je reste donc là avec ma belle érection et mes doigts pleins de cyprine.
Je range 2/3 trucs et je monte me changer pour la soirée. Arrivé en haut de l’escalier mon regard se tourne vers la chambre d’ami et là à mon énorme surprise je vois que Martina a mal fermé la porte et dans l’entrebâillement je la vois en train d’attraper quelque chose sur le banc, de côté, penchée en avant mais complètement nue. Je reste bloqué devant cette vision divine de ce corps généreux, avec ces énormes seins qui pendent sensuellement, ces cuisses potelées terriblement sexy et ces petits bourrelets de ventre si mignons. Je suis notamment obnubilé par ses seins qui me paraissent magnifiques malgré leur taille démentielle et surtout par ses mamelons qui a eux seuls semblent dépasser l’ouverture de ma bouche. Elle attrape un bout de tissu rouge que je soupçonne être le string que j’ai vu hier et me tourne le dos. Là elle l’enfile et le résultat est époustouflant. Le sous vêtement épouse parfaitement ses formes voluptueuses et cette image m’excite encore plus.
Je m’en vais avant de me faire repérer et pars dans la chambre pour changer de polo. Puis je passe dans la salle de bain pour me rafraîchir et surtout profiter de mater Nina nue sous la douche. Elle me demande de lui frotter le dos ce que je fais volontiers en profitant bien de dévier sur ses fesses et ses seins. Puis je sors de la salle de bain et vois que la porte de la chambre de Martina est ouverte donc elle est descendue. Je la rejoins en bas et découvre sa tenue du soir, une robe rouge, similaire aux précédentes c’est-à-dire cintrée à la taille et qui s’arrête juste au-dessous des genoux. De ses bretelles dépasse un bout de soutien-gorge rouge assorti au string aperçu précédemment. Quand elle me tourne le dos je mate allégrement ses fesses à la recherche de marque de string mais je n’arrive pas à en discerner. Puis au bout d’un moment Nina descend et cela va être l’heure de partir. Nina s’est vêtue d’une robe longue noire fendue sur le devant. Cette robe lui va particulièrement à ravir.
Nous sortons de la maison et sur le chemin je me délecte des fesses de Martina qui marche avec Alexandre devant moi tout en tenant ma chère et tendre par la taille. Mes mains glissent sur ses fesses mais je ne sens pas de trace d’habituelle culotte. Bizarre. Je n’ai pas le temps d’investiguer que nous sommes déjà arrivés chez Marie-France. Il faudra tout de même que j’éclaircisse ce mystère. En début de soirée je suis assis entre Martina et Nina. À plusieurs reprises Martina se lève pour se servir à manger et colle alors son postérieur à moins de 30cm de mon visage. J’ai ce magnifique derrière à portée de main. Ses cuisses sont légèrement découvertes par sa position courbée et il me démange de glisser une main sous sa robe. Quel supplice. Elle voudrait me provoquer qu’elle ne ferait pas mieux. Dans une de ses « provocations », ses fesses sont tellement proches de mon visage que je pourrais sentir son odeur. Surtout qu’à ce moment elle écarte légèrement les cuisses et prend appui sur un pied pour attraper quelque chose de l’autre côté de la table. Sa robe remonte à mi-cuisse laissant apparaître juste sous mes yeux un magnifique spectacle. Sachant les sous-vêtements qu’elle a, je n’ai qu’une envie c’est de lui caler un doigt !
Puis dans la soirée Martina et Nina se déplacent sur des fauteuils plus loin et là c’est une vue sur leurs cuisses et leurs mollets qui maintient mon niveau d’excitation. Les deux sont vraiment magnifiques. Il me vient des idées de plan à trois de folie. Bon il faut que je me calme je pars en vrille. Et c’est Alexandre qui me ramène à la réalité. Il va falloir rentrer le coucher donc je dis au revoir à tout le monde et je rentre.
Je couche Alexandre et descends me poser un peu. Je regarde les nouvelles sportives. Puis je vais faire un tour sur Facebook. Nina est restée connectée sur le sien et vois une fenêtre pop-up qui s’ouvre sur Messenger d’une discussion entre Martina et Nina. En fait elles s’envoient des photos de ces quelques jours. Les photos au Mont Saint Michel sont magnifiques mais cela n’est pas étonnant avec les deux beautés qui posent. À la maison quelques photos puis des photos à la piscine. Je vois donc Martina en maillot où je peux mater librement sans craindre que l’on voie mon regard. Puis une vidéo. Je la regarde. C’est une vidéo prise sous l’eau de Nina qui nage mais… je n’y crois pas…. Nina est toute nue ! Je n’aurais pas pensé que Nina se baigne nue devant quelqu’un. Mais qu’elle est belle. Puis les photos suivantes sont encore plus surprenantes. Nina est allongée sur une chaise longue et fait un bronzage intégral. Ses beaux seins sont au repos avec ses tétons bien larges. Ses jambes sont légèrement écartées et en zoomant sous son pubis poilu je peux apercevoir ses belles lèvres pulpeuses. S’en trop m’en rendre compte j’ai fait sauter tous mes vêtements et me masturbe doucement. Mais cette situation ne pouvait pas me laisser de marbre.
Puis là je reste choqué par les photos suivantes. Martina prend également un bain de soleil intégral. Ça y est je la vois enfin nue. Déjà que je trouve que les seins de Nina sont beaux, ceux-là sont magnifiques. Ils sont énormes et bien ronds. Ses auréoles couvrent quasiment tout le sein c’est dire s’ils sont larges. Puis mes yeux se portent sur la partie que je n’ai pas encore du tout vu : son pubis. Du côté pilosité il est particulièrement fourni. Des poils qui s’entortillent. Elle a les jambes fermées donc je ne peux en découvrir plus de son intimité. Mais là une question me met un uppercut : ont-elles fait l’amour ? Cette question m’excite et me terrifie à la fois. Et sur ce questionnement que je pars me coucher.
Je suis réveillé par la douceur d’un baiser posé sur mes fesses. Je m’extirpe de mes rêves et entends Nina qui ressort de la chambre. Je suis couché à sa place et je tourne le dos à la porte. Je l’entends qui revient donc je fais semblant de dormir. On ne sait jamais j’aurais peut-être un deuxième bisou sur les fesses. C’est bizarre j’ai l’impression d’entendre deux bruits de pas dans le couloir. Nina rentre dans la chambre et j’entends le froissement de sa robe qu’elle enlève. Puis elle s’approche de moi et dépose de nouveau un doux baiser sur mes fesses. Je bouge légèrement et remonte un peu plus ma jambe droite. Elle glisse alors sa tête entre mes cuisses et m’embrasse au niveau du périnée. Je me retourne alors comme pour lui signifier mon accord. Mon sexe est déjà bien dressé depuis son premier baiser. Devant ce membre fièrement dressé elle ne peut s’empêcher de passer sa main dessus puis de l’embrasser. Doucement d’abord. Du bout des lèvres. Puis du bout de la langue. Et enfin en l’engouffrant dans sa bouche. Cela me fait sursauter. J’entrouvre les yeux et la vois me regarder tendrement en passant sa langue sur le pourtour de mon sexe avant de le replonger dans sa bouche. Nina est agenouillée sur le côté du lit. Ses seins reposent sur le lit alors qu’elle pratique cette délicieuse fellation. En posant mon regard plus bas je découvre un joli string violet qui souligne harmonieusement ses courbes. Voilà ce qu’elle portait ce soir.
Je me tourne légèrement vers elle laissant ma jambe droite allongée et remontant et écartant la gauche pour lui laisser accès à mes testicules et à mes fesses. Je la regarde prendre soin de mon membre qui est enfin câliné après une semaine d’excitation. Nina met beaucoup d’attention à la tâche. Elle alterne entre des bouchées tendres, des passages de langue sur toute sa longueur ou encore des va et vient plus rapides tout en le branlant. Je prends vraiment mon pied.
En matant ses fesses bouger sous le coup de l’excitation je remarque que la porte de notre chambre est ouverte. Puis dans l’ouverture je remarque une forme que je distingue mal. Je mets ma main sur mon front de façon à cacher la lumière et au même temps mes yeux et là immense surprise ! Martina est en train de nous regarder. C’était donc ça les bruits, Nina l’a invité à une séance de voyeurisme. Cela décuple mon excitation. Martina est vêtue de sa robe rouge. Elle a une main dans son string. L’autre main caresse ses seins volumineux par-dessus sa robe. Mon dieu cette déesse se masturbe en nous regardant. Elle doit avoir une belle vue sur le cul de Nina en train de me pomper. Elle veut mater, nous allons lui donner ce qu’elle cherche. Je sens que cela monte trop fort. J’arrête donc Nina dans ses œuvres et m’assoie au bord du lit. Je l’embrasse puis la fait lever. Je prends sa cuisse droite et la pose sur le lit. J’écarte son string et insère un doigt en elle. Qu’elle est mouillée ! Direct j’en mets deux de plus sans difficultés. Elle semble apprécier le châtiment.
Je m’allonge sur le lit pour lui montrer la suite. Elle ne se fait pas prier et vient s’empaler sur moi. Elle glisse sur mon chibre et commence de lents va et vient. Je place mes mains sur ses fesses et accompagne son mouvement. Je pense à la vision du magnifique fessier de Nina, avec le string sur le côté, rebondissant sur moi, que doit avoir Martina. Comme cela m’excite. J’attrape ses fesses et les secoue pour accélérer le rythme. J’y ajoute des coups de hanche pour la stimuler encore un peu plus. Nos corps se mettent à l’unisson et Nina semble déjà prête à décoller. Je positionne alors mes mains sur les côtés de son string et la serre fermement. Je plonge mes yeux dans les siens et elle descend sa bouche contre la mienne. Nous nous embrassons amoureusement en liaison par la bouche et par nos sexes. Quelques coups de plus et Nina atteint l’orgasme. À ce moment-là elle se redresse et lâche un cri d’extase. Pendant quelques temps j’en ai oublié que nous n’étions pas seuls.
Mettons le feu au spectacle maintenant. Je lève Nina et elle sait très bien comment je veux me mettre. Je me positionne pour qu’elle se mette à quatre pattes en regardant vers la porte. Ainsi Martina aura une vue directe sur son visage, ses seins voire ses fesses. J’écarte de nouveau son string et je plonge mon nez entre ses fesses. Nina lâche un cri de surprise. Là je la bouffe comme un beau diable. Ses effluves me remplissent de bonheur. J'ai le visage rempli de cyprine. Quel bonheur. Puis je la pénètre sans difficulté. Tu m’étonnes vu comment elle vient de me jouir sur le sexe et le visage. Je commence alors de légers coups de rein tout d’abord pour reprendre la mesure puis j’accélère petit à petit. Je ferme les yeux et relève la tête pour regarder vers la porte sans qu’elle le voie. Martina a fait sauter sa robe et son soutien-gorge et ne porte donc plus que son bas. Elle a toujours une main dans son string et l’autre sur ses seins mais ils semblent cette fois bien durs. Elle doit être bien excitée.
Je reviens avec Nina et attrape ses hanches. Je remets son string en place et continue d’augmenter le rythme. Au rythme actuel ses seins se balancent allègrement sous mes coups de rein. Puis emportée par la puissance de mes coups elle plonge la tête dans les coussins. Je maintiens ses hanches bien hautes et continue de la pilonner. Là la vision doit être paradisiaque. Le visage déformé par le plaisir et le cul stringué bien haut en train d’être pris en levrette tout en faisant des vagues sensuelles. Je suis déchaîné et je la prends avec beaucoup de vigueur. Elle est ballotée comme jamais. Puis je la couche, la met sur le côté et me mets entre ses cuisses. Je rentre en elle de nouveau, attrape son bras et reprend de plus belle. Juste afin de voir son corps entier faire des vagues sous mes coups de butoir. Mais ce n’est pas comme ça que je veux finir. Je veux un feu d’artifice.
Je ressors donc et couche Nina sur le dos. C’est comme ça que je veux finir. Les cuisses écartées, les seins valsant et en la regardant droit dans les yeux. Je m’introduis de nouveau en elle et reprends fort dès le début. En effet je sais que je ne vais pas tenir longtemps. J’attrape alors ses cuisses et les tiens bien écartées. Je la pilonne de nouveau mais je sens que l’explosion est proche. Je donne ce qu’il me reste tant que je peux tenir puis je ressors juste avant l’éjaculation. Le premier jet atteint son sein gauche. Le deuxième finit sous son cou. Le troisième l’atteint en plein visage dessinant une ligne de son menton à son œil. Enfin les derniers recouvrent son ventre. Le feu d’artifice est fini.
Je regarde vers la porte mais Martina n’est plus là. Je récupère des mouchoirs et aide Nina à se nettoyer. Puis je me recouche et m’endors en imaginant les rêves de Martina.
Le lendemain j’imagine un plan pour la dernière soirée de Martina parmi nous. Le soir arrive. Je me suis débrouillé pour ne pas bosser le lendemain comme ça nous allons pouvoir boire un peu l’apéro et ne pas surveiller l’heure. Dès que je rentre je file directement à la douche. Je me savonne bien partout puis je vais m’habiller. Le but de la soirée est de chauffer Nina au maximum. Mais à ce moment-là je ne sais pas que les filles aussi ont un plan encore plus chaud.
Je me vêtis d’un string blanc, d’un short beige légèrement trop grand et d’un t-shirt blanc aussi. Je descends et vois les filles. Nina porte une robe rouge plutôt courte et je distingue en bas de son dos une fleur donc je sais qu’elle porte son string rouge avec la rose au milieu. Martina elle porte un pantalon noir qui moule exagérément ses fesses et un débardeur blanc. Le pantalon semble au bord de l’explosion tellement il est serré et je remarque distinctement les bords d’un string. Dernier point mais pas des moindres, toutes deux ne semblent pas porter de soutien-gorge. Finalement moi qui voulais exciter Nina c’est moi qui me retrouve à ne plus marcher droit. Je propose l’apéro et Martina saute littéralement de joie. À chaque petits bonds sa poitrine s’envole et retombe gracieusement. Je vais défaillir.
Martina ne sachant pas quoi prendre à l’apéro je lui propose de venir voir avec moi à la cave comme ça nous pourrons choisir aussi pour la soirée. Ceci fait partie de mon plan. Arrivé dans la cave je cale mon short sur mes hanches de façon que mon string soit à fleur. Une fois que je suis sûr qu’elle regarde dans ma direction je me baisse pour attraper quelque chose. Je sens mon short tomber au milieu de mes fesses et je sais qu’elle a les yeux braqués dessus. En me relevant je remets mon short comme si de rien été et nous choisissons les alcools. Mais je vois que mon coup a réussi, elle est troublée.
Nous revenons à la maison et nous prenons l’apéro tranquillement sur la terrasse. À un moment je retourne à la cuisine pour chercher des affaires et Nina passe par là. Je ne peux m’empêcher de l’embrasser et je passe mes mains sous sa robe jusqu’à ses fesses. Je caresse son string tout en l’embrassant. Puis d’une main j’écarte le devant de son string et titille ses lèvres. Elles s’humidifient rapidement et j’introduis tendrement un doigt sans jamais lâcher ses lèvres. Je la masturbe énergiquement puis je me retire et ressors sur la terrasse en laissant Nina haletante.
Puis vient le repas. Nina est assise à côté de moi côté jardin, Martina de l’autre côté. Pendant le repas je pose ma main sur la cuisse de Nina. Sa peau est douce. Elle écarte légèrement les cuisses et j’y engouffre ma main. Elle arrive en contact avec le tissu de son sous vêtement. Mon auriculaire glisse doucement dessous et frôle son intimité. Elle pose sa main sur la bosse naissante dans mon short. Puis je me lève pour aller chercher quelque chose à la cuisine. En revenant j’ai une vision surnaturelle : le pantalon de Martina est descendu à mi fesse laissant apparaître un joli string noir en dentelle. Ses fesses écrasées par la chaise et les barreaux débordent de partout rendant l’image féerique. Là s’en est trop, je pars aux toilettes pour me masturber. Cela ne prend pas une minute avant que je n’éjacule. Ouf cela devrait m’aider à tenir si ce soir je peux faire l’amour à Nina. Je reviens plus léger et la fin du repas se passe plus détendue pour moi.
Puis vient l’heure du coucher d’Alexandre. C’est Nina qui s’en charge. Martina est au téléphone donc j’en profite pour laver la vaisselle. J’entends Nina qui descend et vient se coller contre moi. Elle glisse ses mains sous mon t-shirt et caresse ma poitrine. Puis elle me dit « Tu as les mains occupées donc je peux faire ce que je veux » et elle passe ses mains dans le devant de mon short. Là elle voit au toucher que je n’ai pas un boxer comme d’habitude. Elle recule un peu, baisse mon short et caresse mes fesses. Cela l’amuse de me voir en string en train de laver la vaisselle avec Martina qui est juste dehors. Elle glisse sa main sur le côté de mon string et sort mon service 3 pièces. Elle remonte sa jupe au niveau de ses fesses et s’agenouille. Mon sexe bave et un fil pend tellement l’excitation est grande. Nina me regarde dans les yeux, fait deux mouvements sur mon sexe pour le décalotter entièrement et le prend dans sa bouche. Je m’abandonne devant ses caresses inespérées et cette magnifique image. Je reprends mes esprits au moment où Nina se relève. Je me rends compte qu’elle m’a enlevé entièrement mon short et je suis donc juste vêtu de mon string blanc. Là elle me sourit et appelle Martina.
Elle rentre dans la cuisine et je me tourne pour qu’elle ne voit pas la grosse érection qui déforme le devant de mon string. En revanche elle a une vue imprenable sur mes fesses. Nina commence :
- Regarde ce petit cul stringué que j’ai trouvé, dit-elle tout en me caressant les fesses
- Ah oui pas mal du tout. J’avais aperçu le string dépassant du short tout à l’heure mais là c’est encore mieux.
- C’est beau un homme qui lave la vaisselle non ? dit Nina tout en me caressant les fesses.
- Oui c’est vraiment pas mal, répond Martina en venant joindre ses mains à celle de Nina
La situation me fait bander à mort. Les quatre mains se baladent sur mes fesses puis parcourent tout l’arrière de mon corps. Quelle sensation d’être caressé sensuellement par deux femmes magnifiques. Je rince mes mains afin de me retourner. Leurs mains continuent leur exploration. Nina m'embrasse et enlève mon haut. Me voilà juste vêtu de mon string blanc totalement déformé. Les mains continuent de courir sur mon torse, mes cuisses avant que Nina ne sorte mon pénis de sa prison. Elle passe sa main dessus puis vient m’embrasser. Quand elle retire sa bouche de la mienne ce n’est plus sa main qui me caresse mais celle de Martina.
Ses mains sont douces et attentionnées. Elle glisse sur mon membre dressé avec une infinie délicatesse. Puis elle approche ses lèvres des miennes. Pendant ce temps-là Nina s’est remise à genoux et embrasse amoureusement mon lingam. Quelle douce sensation d’avoir deux paires de lèvres sur moi. Puis Martina rejoint Nina et pose ses lèvres sur mon sexe. Mamamia que c’est bon. Elle lèche mon pénis chacune de leur côté puis partage des bouchées humides chacune leur tour. Tous leurs gestes sont tendres et me procurent un infini plaisir.
Nina se relève et enlève sa robe. Je caresse sa poitrine et ses fesses pendant que Martina continue sa délicieuse fellation. Puis nous partons tous les trois sur le canapé. En passant nous fermons les volets du bas. Que diraient les voisins s’ils voyaient notre trio. Les filles s’assoient sur le canapé et je reste debout devant elles. Elles attrapent de nouveau mon pénis et reprennent leurs caresses manuelles et buccales. Quel merveilleux moment que d’avoir deux femmes préoccupées que par mon plaisir.
Nina gobe mon gland pendant que Martina lèche mes testicules. Après quelques instants Nina tend mon sexe à Martina qui ne se fait pas prier pour le gober à son tour pendant que Nina le tient à sa base tout en m’embrassant. Elles jouent un petit moment avec moi à s’échanger mon pénis en le léchant et le masturbant à tour de rôle. Je sens que je ne vais pas pouvoir tenir longtemps et alors que les deux baladent leurs langues sur mon gland, au moment où je comptais les arrêter, Martina glisse sa main sous la ficelle de mon string et caresse mon anus. Cette légère pression sur ma rondelle me fait partir. Mon sexe se gorge et un premier jet finit sur leurs lèvres. Puis Martina le prend dans sa bouche et le branle fort. Je finis d’éjaculer abondamment dans sa bouche. Puis elle se lève, sourit et vient m’embrasser alors qu’elle a encore mon sperme dans sa bouche. J’avale difficilement ce liquide chaud. Je viens d’avoir mon premier cumkiss.
Martina me sourit satisfaite de son coup. Maintenant que je suis vidé je vais pouvoir m’occuper de ces deux beautés. Je rends son baiser à Martina tout en lui enlevant son débardeur dévoilant son énorme poitrine. J’attrape son premier sein et plonge ma bouche sur son mamelon. De mon autre main je plonge dans l’arrière de son pantalon et caresse son string. Pendant ce temps-là Nina s’est allongée sur le canapé et se masturbe doucement en nous regardant. Cela a l’air de l’exciter de me voir avec une autre. Je passe au deuxième sein avec le même traitement et baisse son pantalon. Je dois utiliser mes deux mains pour lui faire passer ses grosses fesses tellement il est serré puis il tombe à ses pieds.
Je passe derrière elle et tripote ses fesses. Elle se penche, s’avance sur le canapé et dirige sa tête vers Nina. Elle écarte son string et commence à embrasser sa vulve. Vu la scène, j’ai l’impression que ce n’est pas la première fois qu’elles font cela. Martina semble très appliquée à sa tâche. Ses baisers semblent doux et son toucher sensuel. Ne voulant pas être en reste je mets le string de Martina sur le côté et passe ma main le long de ses fesses jusqu’à sa fente. Elle est complètement inondée. J’y plonge toutefois ma bouche qui se retrouve trempée instantanément. Je commence alors à embrasser ses lèvres gorgées de cyprine. Ma langue parcourt son intimité dans tous les sens possibles. Puis je remonte vers son clitoris. Ma langue atteint son petit bouton qui est loin d’être petit en fait. Sa taille est même impressionnante. On dirait un petit pénis tellement il est volumineux. Je prends plaisir à goûter cette autre femme.
Elle bouge les fesses au rythme de mes coups de langue. Son anus frotte régulièrement contre mon nez. Cela n’a pas l’air de la déranger. Je glisse deux doigts en elle et effleure son petit trou. Elle gigote de satisfaction et gémit mais sans jamais lâcher Nina des lèvres. J’humidifie mon doigt puis fais des légers ronds autour pour commencer à l’ouvrir. Puis pour faciliter l’insertion je plonge ma langue dans ses fesses. Elle semble apprécier ce traitement. Je me donne à cœur joie navigant de la langue et des doigts de son vagin à son anus. Quel bonheur d’avoir la tête enfouie dans un fessier aussi monstrueux. Cela me fait bander de nouveau.
Je sors mon sexe de mon string et vient le présenter devant sa chatte ruisselante. J’y pénètre avec douceur tout en caressant ses hanches et ses fesses. Puis elle recule ses jambes pour que je m’empale sur elle. On dirait qu’elle aime un peu de brutalité. Je lui donne alors de grands coups de reins. Elle écarte encore un peu plus les jambes en signe d’approbation. Tout son corps fait des vagues sous mes coups de butoir. Mais quoiqu’il arrive sa bouche ne lâche jamais le sexe de Nina. Quelle sensation de prendre une déesse en levrette pendant que sa femme profite d’un cunnilingus.
Je la pilonne ainsi de plus en plus fort. Son corps est balloté à chaque coup de queue. Je prends un plaisir infini à la situation. Puis je lâche mes mains de ses hanches et claque ses fesses dans un bruit assourdissant. Mais elle ne s’en offusque pas. Je continue alors ma besogne et entre deux mouvements de ses fesses je vois son anus encore un peu humide. Je crache dessus et introduit lentement mon pouce tout en continuant mes va et vient dans son vagin. Elle semble apprécier le traitement donc je m’enfonce plus profondément puis y présente un deuxième doigt. Le trou s’élargit très facilement signe d’un certain entraînement. Puis Nina jouit très bruyamment sous cette langue expérimentée. Cela m’excite et je redouble d’intensité. Cela a pour effet de faire jouir également Martina. Je sens son vagin se contracter et elle lâche le sexe de Nina pour gémir lourdement. Ces stimulations auditives et sensorielles me font monter aussi et j’ai juste le temps de sortir et j’éjacule abondamment sur ces grosses fesses et recouvre son string noir qui devient tout blanc. J’attrape discrètement mon téléphone et prends une photo de ce cul magnifique maculé de mon sperme.
Je vais chercher des mouchoirs et essuie le plus gros de ma semence. Puis je vois un peu de sperme qui coule à l’intérieur de ses fesses et sans y réfléchir j’y plonge ma langue de ses lèvres détrempées jusqu’au bas de son dos. Je me retrouve avec une quantité non négligeable de sperme dans la bouche. Martina se relève, je m’approche d’elle et l’embrasse de façon à lui transmettre cette « snowball ». Elle est surprise mais me sourit car ce n’est qu’une douce vengeance de son cumkiss. Puis elle nous dit je reviens tout en se dirigeant vers l’étage. Je m’allonge sur Nina afin de l’embrasser. Elle est surprise du goût de sperme vu qu’elle n’a pas vu notre petit jeu. Son entrejambe est encore humide et je ne peux m’empêcher d’y insérer un doigt. Elle est encore sous le coup de son violent orgasme. Puis nous entendons Martina revenir. Elle a changé de string et enfilé le rouge. Mais surtout elle revient avec un objet inattendu : un double dong bleu d’environ 15 cm de chaque côté. Je la vois s’approcher de nous avec un sourire. Je me relève et va m’assoir sur le fauteuil pour lui laisser l’espace.
Martina prend place entre les jambes de Nina et insère délicatement le premier bout dans sa bouche puis dans le vagin de Nina. À part si elles ont déjà fait ça cette semaine (et j’ai des doutes vu comment elle a léché Nina tout à l’heure) c’est la première fois que Nina se prend un vrai gode. Puis elle introduit le deuxième bout en elle et commence des mouvements de bassin. Plus elles accélèrent plus leurs seins se mettent à bouger. Leurs sexes viennent en contact l’un avec l’autre. Maintenant chaque mouvement de hanche provoque un frottement de leurs lèvres. Le traitement semble agréable. Elles commencent à gémir de plaisir. Moi j’en prends plein les yeux de voir ses deux belles femmes prendre un plaisir pur et sensuel. Je n’en perds pas une miette et prends quelques photos qui alimenteront mes prochaines masturbations.
J’enlève mon string afin de me sentir plus à l’aise et passe mes mains sur mon corps. Je commence par caresser mes pieds, je remonte sur mes mollets puis sur mes cuisses particulièrement sensibles. Je m’y attarde un peu et sens des frémissements de réveil sur mon pénis. Je remonte sur ma poitrine, descends sur mon ventre et enfin passe délicatement mes doigts sur mon sexe. Il durcit doucement sous mes doigts qui se baladent sur lui. J’entreprends une légère masturbation en regardant les filles se donner du plaisir. Étonnamment il finit par reprendre sa taille en érection plutôt rapidement après deux éjaculations. J’écarte les jambes afin de mieux ressentir mes caresses.
Nina me regarde puis décide de se lever et venir me rejoindre. Elle prend mon sexe dans sa main, écarte son string et vient s’empaler sur moi. Elle s’enfonce directement jusqu’à la garde vu son état de préparation. Elle commence à rebondir sur moi. Je lui attrape fermement les hanches pour lui donner encore un peu plus d’impact. Elle se redresse fièrement exposant ses deux beaux seins à ma vue. Elle frotte ses fesses contre mes cuisses pendant que j’accompagne ses mouvements. J’en profite également pour embrasser ses seins qui durcissent sous ma langue. Puis elle se penche sur moi et nous nous embrassons langoureusement pendant que je caresse ses fesses et son string.
Après cette chevauchée fantastique Nina se relève et se retourne puis s’assoie de nouveau sur moi mais en me tournant le dos. J’ai maintenant une vue imprenable sur ses fesses pendant qu’elle monte et descend sur mon membre dressé. Puis un gémissement me rappelle que nous ne sommes pas tout seuls. Je regarde vers Martina et quelle n’est pas ma surprise de voir que non seulement elle a gardé son côté du gode dans son vagin, mais en plus elle a inséré l’autre côté dans son anus. Elle fait aller et venir les deux côtés en même temps ce qui semble bien la remplir.
Cette vision inattendue m’excite d’autant plus que je reprends un pilonnage intensif de Nina qui manque presque de tomber vers l’avant vu la violence de mes coups. Je ne m’arrête pas pour autant qui plus est quand je vois dans cette position sa rondelle que j’aime à lécher et pénétrer. Si j’ai l’occasion j’essaierai aussi de sodomiser Martina vu qu’elle semble apprécier cette pratique. Nous continuons notre valse sensuelle. Mes yeux naviguent sans arrêt entre la vision des fesses de Nina qui font des vagues hautement excitantes et celle d’une beauté latine qui se fait du bien sans complexe. Je passe allègrement mes mains sur tout le corps de Nina, son dos, ses seins, ses cuisses, ses fesses, tout y passe.
Martina change de position et se met à quatre pattes le cul vers nous et continue une masturbation manuelle. Au bout d’un moment Nina se lève et va la rejoindre en se mettant derrière elle dans la même position. Elle pose sa main sur celle de Martina puis la remplace dans les caresses. Martina récupère sa main et soutient ses gros seins qui pendent. Puis Nina se baisse et engouffre sa langue dans l’intimité de sa copine. Quelle vision de ces deux PAWG juste vêtues de string à quatre pattes en train de se faire du bien. Je ne résiste pas à prendre quelques clichés puis me positionne derrière Nina. Je caresse son dos et ses fesses puis je rentre en elle délicatement. Mon sexe commence à être tout endolori par cette utilisation intensive.
Je prends plaisir à prendre Nina en levrette tout en matant deux fessiers superbes. Je continue ainsi de plus en plus fort jusqu’à être déchaîné dans notre connexion torride. Les deux gémissent à l’unisson devant tant de coups de langue et de reins. Puis Martina se lève et va vers la porte de la terrasse et là surprise, Marie-France nous regarde complètement scotchée par ce qu’elle vient de voir. Martina ouvre la porte, la fait entrer puis l’embrasse tendrement. Je sors de Nina et nous les rejoignons. Nina retire le T-shirt de Marie-France pendant que je lui enlève son pantalon. La voici en sous vêtement dans notre salon. Nina se met à l’embrasser également pendant que Martina lui dégrafe son soutien-gorge. Moi je lui baisse sa culotte blanche de grand-mère et remarque une belle tâche de cyprine signe d’une forte excitation. Puis avec Martina chacun de nous prend un de ses gros seins tombant et l’embrasse. De mon autre main je me dirige vers sa chatte velue et passe au milieu des poils pour trouver l’entrée de sa caverne inondée.
Marie-France reprend un peu ses esprits et passe ses mains sur le corps de Martina d’une main, sur le mien de l’autre. Elle rend également ses baisers à Nina et navigue entre ses trois corps dénudés qui lui sont offerts. De mon côté mon pénis s’était dégonflé légèrement mais d’un coup trois mains se retrouvent sur lui et il reprend toute sa vigueur. Marie-France garde toujours une main sur lui comme si cela la rassurait de toucher un attribut familier. Puis nous nous dirigeons vers le canapé. Martina positionne Marie-France à quatre pattes pour que son visage soit face à mon sexe. Puis elle glisse derrière elle dans la même position et commence à embrasser ses cuisses puis son entrejambe. Marie-France elle attrape mon pénis et pose de délicats baisers dessus. Puis elle glisse très légèrement sa langue dessus comme si elle essayait de se rappeler comment on fait. Je ne sais pas depuis combien de temps elle n’a pas eu de relations sexuelles. Martina elle n’est pas timide et lèche goulument le yoni déjà inondé de Marie-France. Nina reprend également la même position et s’occupe de Martina.
Marie-France prend un peu plus confiance dans ses caresses et engage une fellation attentionnée. Nous voyons qu’elle prend du plaisir à redécouvrir la joie d’avoir un sexe vigoureux entre ses mains et ses lèvres. Elle l’embrasse maintenant avec passion et entrain. Elle l’enfourne dans sa bouche petit à petit, d’abord juste le gland, puis le reste jusqu’à le prendre en entier. Marie-France est une gorge profonde. Elle continue de le lécher puis absorbe un testicule puis l’autre dans sa bouche avant de revenir sur mon sexe et d’engouffrer aussi bien l’entièreté de mon sexe et lèche mes deux testicules. Waouh ce n’est que la deuxième fois que je vis cela. Cela m’excite extrêmement et je me mets à baiser sa bouche avec beaucoup de vigueur. Martina se relève et vient assister à cette scène surréaliste. Elle en profite pour accentuer la pression sur la tête de Marie-France. Puis elle passe ses mains sur mon corps. Elle part de mon dos, descend le long de la colonne vertébrale puis caresse mes fesses en les serrant fermement et finit sur mes cuisses. Puis elle remonte sur mes fesses et glisse sa main au milieu jusqu’à atteindre mon anus. Puis, tout en maintenant une très légère pression sur ma rondelle, sa langue part de ma nuque, descend sur mon dos, puis finit sur le haut de mes fesses. Pendant ce temps-là Nina a attrapé le gode et l’a introduit dans le vagin de Marie-France qui elle continue sa délicieuse fellation.
Puis Martina prend mes fesses par le milieu, les écarte et glisse sa langue à l’intérieur. Elle fait des ronds autour de mon orifice puis attrape mes cuisses pour coller son visage plus profondément dans mes fesses. Puis la langue de Martina entrouvre délicatement mon anus afin d’y pénétrer en douceur. Peut-être Nina lui a dit que j’appréciait particulièrement ce traitement.
Marie-France commence à gémir assez fortement devant les coups de sexe en plastique que Nina lui assène. De son autre main Nina caresse le dos, les fesses et les seins de Marie-France. Puis elle se retourne et s’enfile l’autre côté du gode dans son vagin. Elle s’enfonce petit à petit jusqu’à ce que leurs fesses soient en contact. Elle secoue alors son arrière-train ce qui fait bouger Marie-France également sur mon pénis.
De mon côté Martina a entrepris un massage appuyé de ma rondelle et introduit lentement un bout de son doigt. Elle ressort son doigt, humidifie une nouvelle fois mon trou avec une bonne dose de salive et revient à la charge un peu plus profondément. Je la sens trifouiller à l’intérieur de façon à agrandir l’ouverture en douceur. Puis une fois le doigt entièrement introduit, elle fouille l’intérieur. La sensation est très bizarre. Je suis à la fois gêné tant psychologiquement que physiquement mais j’ai envie de me laisser aller dans ce soir de première.
Toutefois je stoppe ces préliminaires car entre la fellation, l’anulingus, et la vision des fesses de Nina et Marie-France qui se pilonnent sensuellement je sens que la sauce est en train de monter. Je dis à Marie-France de se retourner ce qu’elle fait avec empressement. On sent qu’elle a envie de sentir un sexe d’homme la prendre. Ce moment tant attendu par Marie-France arrive enfin. Je la pénètre lentement afin qu’elle sente bien mon sexe se frayer un passage dans son vagin qui n’a pas reçu de visite depuis longtemps (nous apprendrons plus tard que cela faisait 11 ans). Une fois arrivé au bout j’attrape ses hanches et commence à faire des va et vient. Marie-France lâche des soupirs de plus en plus bruyants à chaque coup de rein.
Pendant ce temps-là Nina et Martina s’embrassent langoureusement tout en caressant leurs corps de rêve. Je maintiens un rythme soutenu et Marie-France fait de plus en plus de bruit. Puis elle jouit fortement dans un râle de soulagement intense. Elle crie tellement fort que même les filles arrêtent leurs caresses. Je ressors et Marie-France tombe de bonheur sur le dos. Martina se penche pour l’embrasser alors que Nina caresse ses gros seins. De mon côté je ne peux pas m’empêcher de passer ma main sur son entrejambe velu et d’y entrer deux doigts. C’est très chaud et humide.
Puis mon sexe reprend du service et entre de nouveau dans cette caverne ancestrale. J’attrape les jambes de Marie-France afin de lui écarter bien en grand. Martina se lève et vient se positionner derrière moi. Nina elle vient se mettre accroupie au-dessus de la tête de Marie-France en me tournant le dos. J’ai donc une vue imprenable sur ses fesses et sur la langue de Marie-France qui la fouille. Je continue à pilonner Marie-France quand je sens Martina revenir à la charge sur mon petit trou.
Je sens sa langue me parcourir de nouveau puis un liquide froid. Je comprends qu’elle veut faciliter l’insertion de ses doigts. Mais ce n’est pas la sensation de ses doigts que je sens mais quelque chose de plus dur et plus gros. Je veux retourner ma tête pour voir ce qu’il se passe mais Martina m’en empêche et je sens une pression sur mon anus. Elle caresse mes fesses et me dit de me détendre. Elle attrape ma tête et la tourne pour m’embrasser sensuellement. Elle fait de tout petit va et vient pour passer mon sphincter. Cela me fait un peu mal donc elle recule. Je vois alors qu’elle s’est mis un côté du double dong dans son sexe et veut me prendre avec l’autre côté. Elle enduit le sexe en plastique de lubrifiant puis revient doucement en contact. Moi je ne m’arrête jamais de prendre Marie-France qui elle-même ne lâche pas les lèvres humides de Nina.
Martina passe ses mains sur mon torse et mes fesses pour me détendre tout en continuant ses petits mouvements de hanches. Je la sens s’enfoncer de plus en plus loin. La sensation est très étrange. C’est à la fois dérangeant de se sentir rempli et à la fois excitant de se faire prendre. Martina finit par entrer tout ce qu’elle peut entrer en moi. Elle frotte ses hanches contre mes fesses puis attrape fermement mes hanches. Là elle entame une danse sensuelle avec mes fesses. Chaque coup de reins est de plus en plus appuyé et se répercute sur Marie-France et notamment sur ses gros seins qui valsent. Ses ongles griffent la peau de mes hanches tellement elle maintient sa prise. Je sens le plaisir monter et je lâche de puissants râles. Nina se retourne pour voir ce qu’il se passe et est choqué de me voir me faire prendre sauvagement par sa copine. Jusqu’à présent seule elle y avait eu droit.
La scène doit être surréaliste à voir. Martina semble être dans son élément. Pour une fois le pilonneur devient pilonné. Mais après le côté désagréable du début, cette situation est hautement excitante. Les fesses de Nina, les seins de Marie-France et la fougue de Martina. Tout est parfait. Qui aurait cru que cette soirée réaliserait plusieurs de mes fantasmes ! Je suis aux anges. Mon excitation est à son paroxysme. J’ai une trique de cheval et c’est Marie-France qui prend. Elle hurle son plaisir entre deux coups de langue à Nina. Je sens que je ne vais pas tenir encore longtemps donc je sors car je veux profiter de la grosse poitrine de Marie-France pour finir en branlette espagnole.
Martina me laisse bouger puis je me mets au-dessus du ventre de Marie-France. Elle comprend ce que je veux faire et serre ses seins pour que je puisse m’y introduire. Je commence à baiser ses seins tout en matant les grosses fesses de Nina juste devant moi. Martina revient à la charge et s’introduit de nouveau en moi. Je ferme les yeux et me concentre sur mes sensations. Je sens le plaisir monter de plus en plus mais pas comme d’habitude. Il est plus intérieur, vient de plus profond. Il bouillonne à l’intérieur. Je suis pris de spasmes incontrôlés. Une boule de feu part de mes fesses et irradie mon corps entier. Je ressens des particules de plaisir dans mes bras, mes jambes, mon ventre, ma nuque jusque dans ma tête et mon cerveau. Une véritable explosion intérieure qui jaillit par mon pénis, bien stimulé par le glissement entre ces gros seins flasques mais bien soutenus par les deux mains de Marie-France. Un flot de sperme inonde littéralement le visage et les seins de Marie-France mais aussi les fesses de Nina. Je n’ai jamais autant éjaculé de ma vie. Les jets ne s’arrêtent pas. Tout comme Martina d’ailleurs qui continue de me pénétrer avec vigueur.
Une fois vidé de tout ce que j’avais, je fais signe à Martina d’arrêter. Je me pose sur le fauteuil. Martina elle se penche pour embrasser et lécher le sperme sur Marie-France. Son string se retrouve tendu par sa position. Mon sang ne fait qu’un tour et profitant de mon érection toujours à son maximum, j’enduit mon sexe de lubrifiant, puis j’écarte son string et mets une noisette de lubrifiant sur son anus. Je présente mon gland à son entrée interdite et pousse doucement. Il s’enfonce sans trop de difficultés. Toutefois je ressors, remets du lubrifiant et entre plus profondément. C’est plus étroit que d’habitude. Au fur et à mesure je sens la pression du gode qui est toujours dans son vagin. Cela renforce l’étroitesse de son conduit. J’arrive au fond de son cul et commence de petits va et vient. Martina commence à gémir doucement. Nina se retourne, essuie ses fesses et s’assoit à côté avec les jambes allongées. Elle remonte le genou droit, met la jambe gauche en angle droit et glisse sa main dans son string. Marie-France elle reste coincée sous Martina avec mon sperme sur le visage et les seins.
Je sens que mon sexe ne va pas tarder à faiblir donc j’accélère le mouvement jusqu’à donner toute l’énergie qu’il me reste. Je claque fort mes testicules contre son vagin et ses fesses font des grosses vagues sous mes coups de butoir. À ce stade là ce ne sont plus des vagues mais un tsunami qui se déplace de façon excitante. Je suis déchaîné et je défonce Martina comme elle m’a défoncé avant. Martina se met à hurler son plaisir pendant que Nina et Marie-France se masturbent sensuellement. Quelle image encore !
Mon sexe me brûle de plus en plus après cette soirée de folie mais je donne mes dernières forces pour la jouissance de Martina. Celle-ci arrive brutalement et est tellement forte qu’elle éjecte le gode de son vagin et déverse un flot de cyprine sur Marie-France. Moi je continue de la pilonner jusqu’à qu’elle s’effondre sur Marie-France. Je me retire et vois mon pénis rouge feu tellement il a été en surchauffe dans cette soirée.
Tout le monde est épuisé par cette mémorable aventure. Je me couche à côté de Nina et caresse son délicieux corps. Puis je me lève et monte à la douche. Je laisse les filles reprendre leurs esprits et débriefer de cette expérience extraordinaire. Après la douche je pars me coucher et m’endors très rapidement malgré mon sexe et mon cul qui me lancent.
Le lendemain matin je suis réveillé par des mains sur mon corps nu. A peine suis-je effleuré que mon pénis se redresse légèrement. Ses mains s’attardent particulièrement sur mes cuisses, mes hanches et mes fesses. Je me retourne et fais face au visage angélique de Nina qui me sourit. Nous nous embrassons tendrement tout en caressant nos corps de façon sensuelle. Je sens qu’elle veut me dire quelque chose mais n’ose pas. Je prends donc les devants et dit :
- Quelle soirée ! Dis-moi je vous ai trouvé vachement complice et à l’aise avec Martina. Vous aviez déjà fait des câlins avant ?
- Oui cette semaine nous nous étions déjà touchées. Ça avait commencé un après-midi à la piscine. Excuse-moi je n’ai pas osé te le dire.
- Pas de soucis si vous n’aviez pas fait ça on n’aurait pas vécu ces moments magiques hier.
- Merci de le prendre comme ça. J’étais gênée car c’est la première fois que je fais quelque chose de sexuel sans toi
- Pas de problème pour cette fois. La suite valait le coup.
- Oui dis-moi tu es passé d’une femme à trois d’un coup
- C’était improbable. Mais tellement bon de lâcher totalement prise
- Et qu’est-ce que tu as préféré ?
- Le début quand tu m’as déshabillé dans la cuisine et que je n’avais aucune idée de ce qu’il allait se passer. Et toi ?
- Je dois avouer que j’ai été très excitée de te voir être pris par Martina. Ça m’a rappelé les souvenirs d’Irlande.
- Oui c’est vrai que ça faisait longtemps et c’était un peu difficile au début. Surtout que ce ne soit pas toi. Mais l’excitation et l’adrénaline étaient tellement fortes qu’au final le plaisir a largement pris le dessus. Rien que d’y repenser j’en suis tout excité
- Je vois ça dis Nina en attrapant mon sexe en érection. Il faudra peut-être que nous investissions dans des jouets pour refaire ça
- Pourquoi pas ça te plairait de retenter l’expérience ?
- Oui je ne me rappelle plus trop ce que ça fait d’être celui qui prend dit-elle en agrippant fermement une fesse
- Ça pourra toujours se faire
- Ah oui dit-elle en me tournant sur le ventre. Hmmm ce petit cul c’est vrai que ça donne envie
Puis elle se couche sur moi en prenant soin d’appuyer son bassin contre mes fesses. Elle glisse sa langue sur mon oreille puis ma nuque, ma colonne vertébrale, mes reins, mes fesses, mes cuisses puis enfin mes mollets qu’elle attrape et avance pour me faire comprendre de me relever. Je remonte donc mes fesses tout en maintenant ma tête sur le lit. Je me retrouve donc dans la position dans laquelle j’aime la prendre. Mais cette fois c’est moi la proie.
Nina écarte mes jambes et passe sa main sur mon sexe déjà baveux. De son autre main elle passe dans la rainure de mes fesses et glisse jusqu’à mon anus. Puis c’est sa langue qui glisse de mes fesses à l’intérieur jusqu’à… entendre Alexandre qui se réveille et nous appelle. Nina se relève et s’allonge à côté. Je me retourne, me colle contre elle et glisse ma cuisse entre les siennes. Je l’embrasse et tout en caressant son corps je grimpe sur elle pour frotter mon sexe contre le sien. Je sens qu’elle est terriblement humide. Je ne peux alors résister de m’engouffrer en elle. Elle soupire car, même si elle ne s’y attendait pas, c’est ce qu’elle désirait profondément. Je fais quelques allers retours puis Alexandre appelle de nouveau. Je ressors avant qu’Alexandre vienne dans la chambre et dis à Nina de continuer sans moi. J’enfile difficilement mes vêtements et pars m’occuper d’Alexandre. Je le prépare et l’emmène à l’école. Je passe chercher les chocolatines pour les filles et rentre à la maison.
En rentrant il n’y a personne en bas. Les filles sont toujours au lit. Je me dis alors que je vais pouvoir rejoindre Nina et reprendre où nous en étions restés. Je monte l’escalier et je vois que le rideau de la chambre de Martina est ouvert. Zut elles doivent être sur la terrasse et je ne l’ai pas vu. Je pars dans la chambre pour me changer et là surprise. Mon sexe explose devant une vision féérique : Nina et Martina sont nues sur notre lit en 69. Comme d’habitude Nina est dessous. J’ai une vue directe sur les fesses de Martina. Nina me regarde avec un sourire coquin et replonge sa tête dans l’intimité de sa copine.
J’enlève mon jean et mon polo et me couche en caleçon à côté de ces beautés. Leurs langues s’appliquent sur leurs sexes avec délicatesse. Je me délecte de ces bruits de succion sur leurs clitoris et de ces gémissements à l’unisson. Je suis particulièrement attentif à ce que Martina fait avec sa langue et ses doigts car Nina semble beaucoup apprécier. Cette scène dure de longues minutes au cours desquelles je ne débande pas même sans me toucher. L’une, puis l’autre finisse par jouir.
Nina s’allonge entre moi et Martina, et m’embrasse. Ses lèvres ont goût de Martina. Après un petit moment de calme Nina me dit :
- Alors le spectacle t’a plu ?
- Superbe. Je ne m’attendais pas à ça
- Je me doute. J’étais en train de penser à toi quand Martina est entrée dans la chambre et m’a proposé un coup de main
- Tu aurais eu tort de t’en priver c’est sûr. C’est beau l’amitié
- Eh oui je suis une femme sur qui on peut compter rétorque Martina
- Oh oui une femme pleine de ressources et de surprises dis-je en me remémorant nos aventures de la veille
- Ça n’avait pas l’air de te déplaire hier dit Martina en se relevant et passant son bras par-dessus Nina pour attraper mes fesses à travers mon caleçon toujours au bord de l’explosion
Nina ne voulant pas être en reste m’embrasse langoureusement et en profite pour baisser mon caleçon. Nous voici tous trois nus mais dans les gestes de ses dames je comprends que c’est moi qui vais être le centre de l’attention. Nina se lève et fait le tour de moi afin que je me retrouve entre elles. Je m’allonge confortablement et pose mes mains sur leurs deux cuisses épaisses. Je remonte vers leur pubis et caresse leurs fentes humides.
Puis en parfaite synchronisation toutes deux se penchent vers mon pénis pour l’embrasser. Leurs langues parcourent toute la longueur de mon membre dressé puis s’entremêlent pour un spectacle magnifique. Leurs mains caressent mes cuisses et mon torse. Je suis à la merci de ses deux belles femmes… et je suis aux anges. Mais tout bascule quand Martina se lève, attrape un bandeau et un lien et me bande les yeux et attache mes mains ensemble. Là je comprends que je vais prendre cher.
Sans le sens de la vue j’ai du mal à savoir qui fait quoi. Cela m’oblige à me concentrer sur mes sensations. Des mains parcourent tout mon corps. Des langues glissent sur moi fouillant le moindre recoin de mon corps. On écarte mes cuisses et les maintient en l’air. Je sens alors une langue glisser de mon gland vers mes testicules puis mon périnée et enfin mon anus. Vu comment c’est fait je pense que c’est Martina. Pendant ce temps l’autre bouche englobe mon pénis. Un doigt vient effleurer ma rondelle. Puis les filles se font des messes basses et je sens une autre langue s’approcher de mon trou. J’en déduis que c’est Nina. J’en bande comme un âne…
Martina le voit et fait remarquer à Nina comment je mouille. En effet je sens que mon sexe bave sur mon ventre. Puis une langue ramasse ce jus et le remonte jusqu’à mon gland. J’entends Martina dire à quel point elle aime le goût du sperme. Elle me grimpe dessus et me colle son vagin trempé sur le nez. Tout en avalant mon sexe en entier, elle baise ma bouche avec son yoni et son anus. Elle s’assoie sur moi et j’ai peine à respirer. Je ne peux que sortir ma langue pour lécher ce qui se présente à moi. Quelle torture de ne pas pouvoir voir ces deux magnifiques femmes passer leurs langues sur mes parties génitales !
Puis je suis libéré de mon emprise fessière et Martina vient aider Nina. Elle lui montre comment elle ouvre un anus avec les doigts et beaucoup de lubrifiant. Je suis le cobaye d’un cours particulier extrêmement excitant. Je sens des doigts me tripoter la rondelle mais j’ignore à qui ils appartiennent. Ils se font plus pressants et commencent à s’introduire en moi. Je m’abandonne sous ses caresses exquises. Leurs mains parcourent mon anatomie. Pendant qu’un doigt me pénètre, la moindre parcelle de mon corps est délicatement touchée par ces douces mains et langues. Le doigt entre totalement en moi. C’est beaucoup moins désagréable que la veille. Je sens un deuxième doigt prendre le même chemin. Mes sensations sont décuplées par ma cécité temporaire. Habituellement je suis particulièrement sensible au visuel donc là je suis obligé de me concentrer sur le toucher. Et c’est agréable.
Les deux doigts font maintenant des va et vient sur toutes leurs longueurs. Je suis ballotté par les mouvements et sens mon sexe bouger en conséquence. Puis une bouche l’attrape et le lèche de haut en bas. Puis on me manipule de façon à me mettre sur les genoux. On m’embrasse tout en me masturbant. Puis on pousse mon dos et je tombe sur les mains. Me voici maintenant à quatre pattes, les yeux bandés, offert à deux déesses.
Mon corps tremble d’excitation. Des doigts parcourent mon échine et mes fesses. Puis mon exploration interne recommence dans cette position peu valorisante. Je sens les doigts continuer leur travail d’élargissement. J’entends des bruits de pas qui quittent la chambre et reviennent peu de temps après. Que se passe-t-il ? L’inconnu de la situation est autant excitant que terrifiant. J’imagine leurs sourires, leurs regards. Je les imagine prendre des photos de cette situation embarrassante. Puis je suis tiré de mes pensées par une sensation qui n’est plus inconnue. Un objet froid et huileux se présente devant mon anus. Je sais ce qu’elles s’apprêtent à faire ayant eu droit à ce même traitement hier. Mais est-ce Martina ou Nina au bout du gode ?
Je suis pénétré de tout son long plutôt facilement. Puis mes hanches sont attrapées pour donner du relief aux mouvements. Des lèvres viennent ensuite se poser sur les miennes. Je reconnais instantanément la douceur de Nina. C’est donc Martina qui est derrière moi. Nous nous embrassons tendrement puis elle me présente son vagin. J’y plonge dedans comme un mort de faim. Je lèche ce sexe que je connais par cœur mais dont je ne me lasse jamais. Plus les coups de reins se font violents, plus je mange ce yoni avec véhémence. Je sens la cyprine couler à flots signe de son excitation de la situation. Je ressens pleinement ce que cela fait de se faire prendre sans pouvoir rien faire. Cette situation de lâcher prise qui me manque tant au quotidien.
Puis Nina se retire puis Martina aussi. Elles se parlent à voix basse. J’imagine qu’elle change les rôles. Mon intuition est confirmée quand le sex-toy revient en contact avec moi. Les gestes sont moins assurés. Nina prend possession de moi petit à petit en lâchant des petits soupirs sûrement dû au côté enfoui en elle. Elle caresse mes fesses et mes hanches puis les attrape et colle son bassin contre mes fesses. Ses mouvements deviennent plus lourds, plus sensuels. Elle devient possédée par cette sensation de domination et se prend vraiment au jeu. Elle me baise comme je l’ai tant baisé dans cette position. Je m’en écroule sur le lit.
Martina fait pivoter Nina pour que nous soyons sur le côté. Elle attrape mon sexe et le dirige vers son vagin. J’y pénètre sans difficultés. Me voici de nouveau pris entre le marteau et l’enclume…pour mon plus grand bonheur. Chaque coup donné par Nina se répercute sur Martina. Décidément cette visite est pleine de surprises.
Les filles me détachent les mains et je peux donc pleinement profiter de la douce peau de Martina, de ses cuisses charnues, de ses seins imposants et de son yoni ruisselant. Dommage en revanche d’avoir toujours ce bandeau sur les yeux car la stimulation visuelle doit être exceptionnelle. Mais bon je suis déjà bien heureux d’avoir retrouvé mes mains et je m’en donne à cœur joie.
Petit à petit je sens que l’excitation monte en moi. Je suis sauvé par un changement de position. Je suis dirigé pour m’installer au-dessus de ma partenaire. Je m’empale sur le sexe en plastique sans savoir si qui est au bout. Les mains attrapent mes hanches pour me donner le rythme. Je pose mes mains sur la poitrine en dessous de moi et reconnais immédiatement les seins de Nina. C’est toujours elle qui est aux commandes. Et vu l’énergie qu’elle met dans ses gestes ça à l’air de lui plaire. Cette position est moins confortable et agréable pour moi. Je suis donc moins expressif et les filles doivent le ressentir car assez rapidement je suis basculé sur le dos. Nina reprend les commandes alors que Martina englobe mon sexe. Que c’est agréable de sentir une bouche chaude après une pénétration. Je sens le jus monter et je pense que Martina aussi car elle s’arrête. Nina s’extrait de moi aussi et je suis de nouveau manipulé pour me mettre par terre, dos contre le lit mais les fesses en l’air.
Cette position est encore moins confortable. Surtout si j’éjacule, ce qui risque d’arriver vite vu mon niveau d’excitation, c’est sur moi que cela va partir. Mais c’est bien dans cette position que continue notre formidable aventure. Je suis caressé principalement mes cuisses et mollets puis mon anus est de nouveau mis à contribution. À ce moment-là je ne sais pas qui me monte ainsi dessus. Mais malgré le caractère précaire de la situation les sensations sont au rendez-vous. Je sens le bassin de ma partenaire venir en contact contre mes fesses. Je suis ainsi pris avec une agilité qui me fait penser que c’est Martina. Mais sait-on jamais Nina est peut être devenue experte. En tout cas je sens que je ne vais pas tenir longtemps. Surtout qu’une main caresse mon pénis et une autre malaxe mes cuisses.
Comme la veille je sens l’orgasme monter de l’intérieur. J’essaie de le contenir car si je jouis là il y a de fortes chances que mon sperme atteigne mon visage. Mais plus je me retiens plus je sens que la jouissance n’en sera que plus explosive. Puis une main commence une légère masturbation de mon sexe. Je sens qu’il bave et cela atteint ma poitrine. Puis les mouvements de pénétration s’accélèrent. Mes deux cuisses sont prises pour appuis afin de rentrer le plus profondément en moi.
Et puis zut je décide de me laisser aller et tant pis pour l’humiliation d’un self facial. Je reviens dans mon corps pour vivre cette expérience à fond. Je ressens toutes les terminaisons nerveuses de mon anus s’exciter. Je ressens les douces et tendres caresses faites sur mon sexe qui contraste avec la virulence de la pénétration anale.
Ça y est le point de non-retour est dépassé. Je vais jouir dans cette position. Le premier jet repeint ma poitrine et mon menton. Le deuxième finit sur mon front et mes cheveux. Le troisième atteint mon visage. Cet événement tant redouté est arrivé. Mais mon éjaculation ne s’arrête pas là et je sens du sperme tomber et couler sur tout le haut de mon corps dans des proportions inhabituelles surtout après tous les orgasmes de la veille. J’ai l’impression de m’être pris sur le visage la jouissance de plusieurs hommes. Ma respiration haletante fait que ma bouche est entrouverte et du liquide pénètre à l’intérieur.
Je suis complètement vidé et incapable de bouger. Je sens que le sexe en plastique quitte mon être. Puis des douces langues glissent sur mon visage pour récupérer un peu de mon liquide de vie. Puis je suis embrassé mais je ne peux même plus réagir devant tout ce sperme qui entre dans ma bouche. Enfin on me relève et m’allonge sur le lit. Mon bandeau est enlevé. Après quelques instants pour me réhabituer à la lumière du jour je vois le visage radieux de mes deux partenaires. Elles sont fières de ce qu’elles viennent de réaliser.
Puis elles aident mes jambes chancelantes à aller jusqu’à la salle de bain. Nous rentrons tous les trois dans notre grande douche double et nous nous lavons mutuellement. Quelle bonne idée d’avoir fait une douche si grande. Je peux passer mes mains sur ces deux chefs d’œuvres corporels. Les seins de Martina sont juste parfaits. Les fesses de Nina sont toujours un délice pour les yeux et les mains. Cet instant est peut-être le meilleur moment de cette semaine de folie. L’eau ruisselle sur nos corps encore incandescents de nos ébats. La sensualité de nos caresses contraste avec l’heure passée qui malgré le plaisir a été d’une certaine violence. Je suis bien...
La douche finie nous allons enfin pouvoir prendre le petit déjeuner. J’enfile un boxer et descend préparer la table. Les filles arrivent et là ? vision irréelle fracture net de l’œil droit comme disait I AM. Elles sont toutes deux justes vêtues d’un string. Le bleu Victoria Secret pour Nina, un blanc que je n’avais pas vu pour Martina. Le contraste entre sa peau bronzée et la blancheur de son sous vêtement est saisissant.
Nous nous installons pour déjeuner. Je profite de ce doux moment pour regarder les courbes de ces deux déesses. Pendant le repas leurs seins, et dès qu’elles se lèvent leurs fesses et le reste. Puis à la fin Nina se lève et part faire un bout de vaisselle. En amenant des affaires à la cuisine je ne peux m’empêcher de mater les fesses de Nina qui dandinent dans ce joli string. Je me colle à elle et caresse ce corps délicieux. Je m’attarde particulièrement sur ses seins qui durcissent sous mes mains et ses fesses exquises. Elle me dit « mais tu en as pas eu assez ? ». Je lui réponds « Jamais de toi ». Je glisse une main sur le devant de son string et vient en contact avec son yoni déjà humide. Je glisse un doigt en elle et stimule son clitoris avec un autre. Je glisse un deuxième doigt et les crochète en direction de son point G. Je suis là à deux phalanges de son clitoris dans la paroi du vagin qui part en direction du ventre. Je fais de légères pressions en cercles dans la zone, puis je la tapote pour enfin accélérer la cadence. Cela augmente la pression sur les glandes de Skene. Je plie et déplie mes deux doigts contre sa paroi. Je continue de mon autre main à stimuler son clitoris. Je sens qu’elle contracte ses muscles pelviens emprisonnant mes doigts. Elle serre son fessier au fur et à mesure que son plaisir monte. De ma deuxième main je monte sur ses monts de Venus et les compresse légèrement.
Je sens qu’elle est en feu. Cela monte de plus en plus. L’orgasme est juste là. Le vagin se contracte et expulse un liquide transparent en jets conséquents. La fontaine jaillit sans s’arrêter. Les jambes de Nina ne tiennent plus. Mais je n’arrête pas mes mouvements alors qu’elle tombe au sol. Elle continue de gicler sur le sol. Puis elle s’effondre au milieu d’une belle flaque. Elle vient de vivre son premier « squirt ».
Je me relève et découvre que Martina était derrière nous. Elle a une main dans son string et se masturbe énergiquement. Je m’approche d’elle, l’embrasse et la retourne fougueusement. J’écarte son string et la pénètre d’un coup. Elle lâche un cri de surprise mais je ne m’en émeus pas et je la prends debout par derrière alors que Nina est inerte par terre. Je la défonce de toutes mes forces comme elle m’a défoncé ce matin. Je la pilonne tant et plus comme un taulard qui sort de prison. Tout son corps remue sous mes coups de butoir. Après la matinée que j’ai vécue en tant que dominé, je veux montrer mon côté dominant.
Je ne calcule pas mes coups et ne suis plus dans la performance. Ce que je veux c’est qu’elle sente ma masculinité ressurgir. Je continue jusqu’à ce que je sente que je vais partir. Je sors vite et lui dis de se mettre à genoux pour recevoir ma jouissance. Elle s’exécute sans broncher et je gicle sur son beau visage. Puis je lui tends mon sexe pour qu’elle le nettoie avec sa bouche et la laisse dans cette position.
Je me rapproche de Nina pour l’aider à se lever et à aller sur le canapé. Puis je nettoie la flaque dans la cuisine pendant que Martina est partie reprendre une douche. La matinée et le repas de midi sont calmes. Puis vient l’heure du départ pour Martina. Les adieux sont émouvants. Vu les derniers événements nous ne voulons pas nous quitter. Mais nous nous promettons de remettre ça l’année prochaine.
Nina et moi rentrons, nous posons sur le canapé et débriefons de ces dernières 24 heures :
- Waouh quelle aventure n’est-ce pas, je commence pour lancer la conversation
- Oui c’était intense. Qu’est-ce que tu as particulièrement aimé ?
- J’ai aimé prendre un peu de recul pour te voir prendre du plaisir. Et toi ?
- J’ai aimé te voir lâcher le contrôle. Alors ça fait quoi de se faire prendre dans le noir quand on est un homme ?
- Une fois la douleur initiale passée c’est intéressant. C’est un type d’orgasme tout à fait différent. Et toi ça t’a fait quoi d’être dans le rôle de celle qui prend ?
- Je dois avouer que je me suis bien pris au jeu.
- Nous regarderons pour s’équiper un peu avec du matériel plus adapté qui nous conviendra à tous les deux si tu veux
- Oui. Il y a d’autres choses que tu as aimé ou pas d’ailleurs ?
- Aimé des tas d’autres. En revanche je n’ai pas trop aimé le côté domination/humiliation de ce matin. Je pense que nous pouvons faire ce genre de pratique tout en restant doux
- D’avoir les yeux bandés ?
- Non ça, ça va c’est le côté où on te force à faire des choses que tu n’as pas trop envie
- Comme à la fin
- Oui par exemple. Et toi tu as aimé dans la cuisine ce matin ?
- C’était surprenant. Où as-tu appris cela ?
- Dans une histoire que j’avais lu. J’avais envie d’essayer et là vu l’excitation forte du moment je me suis dit que c’était le moment
- Quand tu veux nous pouvons remettre ça
- Avec plaisir. Promène-toi plus souvent dans cette tenue et cela pourrait arriver plus souvent que tu ne le crois.
- Et alors cela fait quoi de coucher avec mes copines ?
- C’est plaisant. Surtout quand ce sont de si belles femmes. Martina est… comment dire… surprenante. Et Marie-France c’était particulier de coucher avec une grand-mère. Et toi cela t’a fait quoi d’être embrassée et d’embrasser tes copines ?
- C’était doux. Martina sait y faire.
- Tu m’apprendras s’il y a des trucs que tu as apprécié et que je ne sais pas faire
- Pourquoi pas dit-elle en remontant sa robe dévoilant ses magnifiques cuisses. Tu peux commencer par-là peut être
Nina écarte ses cuisses pour me dévoiler son magnifique vagin. J’y plonge mes lèvres avec plaisir. Je glisse ma langue sur ses douces lèvres. Je remonte sur son clitoris que je lèche avec délectation. Nina me donne plusieurs conseils au fur et à mesure de mon cunnilingus. Cela semble avoir ses effets. La cyprine coule à flots sous mes coups de langue et de doigts. Quel plaisir de gouter au doux jus d’une femme désirable et désirée.
Puis je remonte pour poser mes lèvres sur les siennes. Nos langues se mêlent et s’entremêlent dans une infinie douceur. Loin des tumultes de nos précédents ébats, tout est tendresse, amour et sensualité. Nos mains caressent nos corps reconnaissants d’avoir trouvé l’âme sœur. Je remonte sa robe afin de découvrir ce chef œuvre qu’est son corps. J’embrasse ses mamelons qui durcissent sous ma langue. D’une main je déboutonne mon pantalon et sors juste mon pénis.
Je le présente devant la caverne humide de Nina. J’y rentre avec douceur. C’est chaud et humide. Je commence à naviguer dans sa mer intérieure. J’y suis bien. C’est un voyage plein de volupté. Nos corps entrent en osmose et fusionnent. Dans ce moment-là pas de domination, pas de jeux, pas de performances. Juste deux êtres s’aimant profondément qui s’unissent pour leur seul plaisir.
Je passe mes mains dans ses beaux cheveux et je l’embrasse tout en continuant de voguer en elle. Il n’est plus question d’elle, de moi mais de nous comme une seule et même personne. Le plaisir est présent de façon continu. Pas comme des orgasmes qui montent et nous emportent, mais comme un état continu de bien-être et de bonheur. Je n’ai pas envie de changer de position ni de chercher à tout contrôler. Je veux juste être en harmonie avec elle dans notre danse envoûtante.
La jouissance finit par venir et tout emporter avec elle. Cela se passe de manière naturelle et spontanée. Je me déverse en elle au moment même où elle aussi atteint l’orgasme. Nous plongeons alors dans les bras l’un de l’autre et profitons de ce moment divin. Puis je brise le silence :
- Merci pour cette conclusion merveilleuse à cette semaine
- Merci à toi pour cette douceur. C’était très agréable
- Quand même je n’aurais jamais pensé réaliser tant de nouvelles choses en une journée notamment quelques rêves
- C’est cool si cela a assouvi quelques fantasmes
- Il faudra s’occuper des tiens aussi à un moment
- Je ne dis pas non
- Par exemple si nous devions en réaliser un sous peu lequel tu choisirais ?
- Hummmm je crois que je dirais de pouvoir me connecter avec un autre homme pour voir ce que cela fait
J’avale difficilement ma salive car c’est pour moi quelque chose de difficile vu ma jalousie mais vu ce que nous venons de faire ensemble, je me dois bien d’y réfléchir… Je continue :
- Et si tu avais le choix tu aurais une cible privilégiée ?
- Non… surprend moi…
- Je vais y réfléchir mon amour
Nous nous embrassons et nous enlaçons. De mon côté je réfléchis déjà comment répondre à sa demande. Puis vient l’heure d’aller chercher Alexandre. La vie courante reprend son cours après cette parenthèse endiablée….
Nous sommes lundi et je viens de rentrer du travail. Martina n'est pas encore arrivée donc je descends à la piscine pour faire l’entretien. Quand je remonte je vois la voiture garée sous le chêne donc je sais qu’elle est arrivée. Je rentre dans la maison et l’aperçoit dans le salon avec Alexandre et Nina. Je vais me laver les mains dans la cuisine en disant bonjour. Martina est assise mais déjà je remarque qu’elle est plus arrondie que ce que j’avais cru voir sur les photos. Première belle surprise. Elle se lève alors pour aller à ma rencontre et quand elle arrive dans la cuisine je vois aussi qu’elle est plutôt grande. Elle porte une robe à fleur qui lui arrive à hauteur de genou. Je lui fais la bise et remarque un visage joli quoiqu’un peu trop maquillé à mon goût. En revanche elle possède une poitrine plus que généreuse. Elle se retourne pour repartir dans le salon et inévitablement mes yeux se portent sur ses hanches que je découvre charnues. À ce moment-là je n’arrive pas à distinguer quel type de sous vêtement elle porte.
Puis vient le moment de la visite de la maison. Nina montre le rez-de-chaussée puis Alexandre veut montrer sa chambre. Nous montons alors l’escalier et je me retrouve derrière Martina. Mon regard se retrouve pile au niveau de ses fesses ce dont je me délecte. Je remarque qu’a plusieurs reprises sa robe se prend dans le pli de ses fesses ce qui me laisse penser qu’elle porte un string. Ou rien du tout….
La soirée se passe et nous faisons doucement connaissance. À chaque fois que j’ai l’occasion je mate les belles courbes de Martina, que ce soient ses seins, ses fesses ou ses cuisses. Puis vient pour moi l’heure d’aller au lit. Je monte et prends ma douche. Puis je me pose dans notre lit, nu, et attrape mon téléphone pour regarder les nouvelles et pourquoi pas écrire un peu.
J’entends des bruits de pas dans l’escalier puis vois Nina rentrer dans la chambre. Elle vient pour prendre une veste. Moi je lui tourne le dos donc elle a une belle vue sur mes fesses. Elle s’approche de moi, passe sa main sur mes hanches et mes fesses en disant « c’est mignon tout ça ». Évidemment ce simple contact me fait avoir un début d’érection. Je me tourne sur le dos et sa main caresse inexorablement mon sexe de plus en plus dur. « Vraiment mignon » dit-elle.
Elle descend sur mes testicules et remonte en attrapant mon pénis à pleine main. Puis elle se penche sur moi pour m’embrasser avec fougue tout en faisant de lents va et vient sur mon sexe. La douceur de ses lèvres contre les miennes et la chaleur de sa main sur mon corps me font chavirer. Je ferme les yeux et me laisse aller en dandinant des hanches de plaisir. Je sens ses doigts glisser sur le bout de mon gland pour étaler le liquide qui en sort et le décalotter petit à petit jusqu’à ce qu’il soit complètement sorti. Puis ses lèvres quittent les miennes et d’un coup je sens sa langue parcourir mes boules puis remonter ma tige dressée jusqu’au gland. Là, sa langue fait le tour délicatement puis sa bouche l’engloutit doucement et fait quelques va et vient très lentement. Je sens ses lèvres se contracter autour de mon pénis afin de remettre la peau sur le gland.
Elle se relève avec un sourire coquin puis me dit « bonne nuit pense bien à moi » tout en laissant traîner ses mains sur mes cuisses ouvertes. Je lui réponds « toi aussi ». Elle attrape ma main, la glisse sous sa robe et dans sa culotte. Je faufile mes doigts dans son antre qui est très humide et elle me dit « c’est déjà le cas » puis s’en va. Je porte mes doigts à ma bouche et me masturbe un peu. Mais, après ce doux moment, je préfère m’arrêter là et plonger dans les bras de Morphée.
Dans la nuit j’entends Nina qui monte se coucher. Pour la provoquer un peu je me mets sur le dos, jambes légèrement écartées et fais grossir mon sexe afin qu’il atteigne une taille raisonnable. Je tourne ma tête vers le mur afin de dissimuler mes réactions. Elle rentre, pose des affaires sur la table de chevet puis j’entends le clic de l’appareil photo de son portable. Mon dieu elle vient de me prendre en photo ?!? Puis elle s’allonge à côté de moi, fais un bisou tendre sur mon sexe et se blottit contre moi pour s’endormir.
Le lendemain, je rentre tôt du travail car les filles ont prévu d’aller au Mont Saint Michel. Surprises par mon arrivée tôt, les filles ne sont pas prêtes. Martina est en train de se maquiller. Nous discutons un peu avec Nina puis nous montons nous changer, moi pour me mettre à l’aise, elle pour sortir. Je suis le premier dans la chambre et je suis nu quand Nina rentre. J’attrape mon short et m’apprête à l’enfiler quand je sens ses mains sur mes hanches. Je me retourne pour l’embrasser. Je lui retire sa robe et surprise elle ne porte rien dessous. Je passe mes mains sur ses hanches ce qui ne manque pas de réveiller mon pénis jusqu’alors endormi. Celui-ci remonte contre sa cuisse. Je passe mes mains sur ses grosses fesses. Mon sexe prend alors sa taille en érection. Nina pose sa main dessus et me dit :
- Alors tu as pensé à moi hier soir ?
- Oui beaucoup répondis je
- Hmmm quand je suis montée tu étais beau tout nu avec ton sexe gonflé me dit-elle.
- Fallait l’embrasser qui sait un beau prince se serait peut être réveillé ? Et alors tu as pensé à moi à ce moment-là ? lui demandais je tout en glissant un doigt sur sa fente déjà humide. Je veux voir si elle me parle de la photo.
- Non je ne voulais pas te réveiller.
- Pourtant il n’y a pas de plus beau réveil que ton corps nu à mes côtés.
Je recule un peu pour caresser ses seins puis j’enfile mon short qui se déforme vu mon érection et je pars de la chambre après avoir caressé et mis une petite claque sur ses fesses. Je range mon sexe contre l’élastique de mon short au cas où je croiserais Martina et je descends.
Martina descend peu après. Elle porte le même type de robe que la veille mais celle-ci est bleu foncée. Du fait de la matière je n’arrive pas à déterminer ce qu’elle a dessous. Elle est toujours autant maquillée ce qui dommage car je pense qu’elle est très belle au naturel. Nous discutons un peu en attendant que Nina se prépare puis Nina descend. Elle a enfilé une robe longue. Elles finissent de se préparer puis vient l’heure du départ. Nina vient me voir dans la cuisine pendant que je lave la vaisselle pour me dire qu’elles s’en vont. Nina s’approche de mon oreille et me dit en glissant ses mains sur mes fesses sous mon short « pense à moi pendant que je ne suis pas là » puis ses mains glissent sur le devant et relève mon sexe qui durcit sous sa main. C’est malin j’ai de nouveau une tente dans mon short et là avec les mains mouillées difficile de le remettre en place. Martina vient me dire à tout à l’heure et je ne peux cacher mon érection bien visible dans ma position de profil. Je vois son regard qui se pose dessus et elle sourit. Moi je suis mi excitée, mi gêné de la situation. Cela fait sourire Nina qui est contente de son effet. Puis elles partent.
Je m’occupe d’Alexandre puis le mets devant la télévision pendant que je vais préparer à manger. Mais avant je monte chercher un câble dans la chambre de Martina. Je remarque la valise ouverte sur le banc. Je m’approche et aperçois dans le filet du dessus ce que je soupçonne être ses sous-vêtements. Est-ce que j’y jette un œil ? Non cela ne se fait pas. Je pars dans la salle de bain puis reviens dans cette chambre. Il faut que je sache. J’ouvre délicatement le filet et sors une boule de tissu noir. En ouvrant le tissu, il se trouve qu’il s’agit de deux strings noirs en dentelle, l’un avec juste un tout petit triangle en haut des fesses et l’autre plus couvrant comme un tanga. Mon dieu cette fille sait bien s’habiller. Puis il y a aussi dans le filet un soutien-gorge rouge. Je l’attrape pour voir la taille et quand je l’ouvre il tombe un bout de tissu rouge. C’est un autre string assorti au soutien-gorge qui se trouve être un 105E. C’est tout ce qu’il y a comme sous vêtement. Elle est donc venue chez nous qu’avec des strings !
Je remets les affaires du mieux possible puis retourne m’occuper du repas. Les sous-vêtements ne cessent d’alimenter mes pensées malgré tous mes efforts. En fin de soirée je couche Alexandre puis entends les filles qui reviennent. Je descends à leur rencontre, discute un peu puis décide d’aller faire un plouf à la piscine. Les filles ne veulent pas y aller car elles sont trop fatiguées donc je vais me baigner seul. Je descends allumer les lumières de la piscine et je vois alors que Martina est seule sur la terrasse en train de fumer une clope. Je décide de jouer un peu alors et me déshabille entièrement avant de prendre ma douche et entrer dans l’eau. Si elle a regardé vers moi elle a dû voir que j’étais tout nu. Je nage un peu puis sors de la piscine. Je me rhabille et ferme tout avant de remonter. Nina est seule sur la terrasse et je vois la lumière des toilettes allumée. Je pars donc dans la buanderie pour me changer quand me vient l’idée d’un jeu. J’entrouvre la porte de la buanderie pour qu’en sortant des toilettes Martina puisse me voir mais sans que cela fasse trop. Au moment où j’entends la chasse d’eau j’enlève mon short et me retrouve donc tout nu. J’espère qu’elle me regarde. Pour en avoir le cœur net je me tourne légèrement pour qu’elle puisse voir mon sexe pendant de bonne taille et je jette un discret coup d’œil vers la porte. Je vois Martina partir ce qui me laisse penser qu’elle m’a vu.
J’enfile mon short, sors dire bonne nuit aux filles puis monte à la douche. En sortant de la douche je vois que les filles se sont couchées. Je rentre dans la chambre et vois Nina allongée nue sur le lit. Je me glisse à côté d’elle et me cale dans ses bras. Je caresse son délicieux corps notamment ses seins qui durcissent sous mes caresses. Je parcours aussi son ventre, ses cuisses et effleure sa toison pubienne. Je mets ma cuisse sur la sienne pour qu’elle sente mon sexe en érection contre elle. Puis je m’endors dans ce sentiment de bien-être…
Au bout d’un moment je suis réveillé par des petits bruits. J’émerge doucement et me rends compte que je suis toujours dans la même position mais que la main droite de Nina s’active sur son vagin. Elle pousse des petits gémissements hautement excitants. Elle stimule son clitoris de sa main libre et laisse échapper des soupirs de satisfaction. Que c’est beau une femme qui se masturbe ! Ma main gauche reprend les caresses là où elle les avait laissées. Elle effleure ses seins qui réagissent de nouveau puis descend sur le ventre puis enfin sur son entrejambe. Celui-ci est tout chaud. Ma main remplace la sienne et mon majeur écarte ses lèvres afin de sentir le contact avec son yoni. Il est bien humide signe que ses caresses étaient efficaces. Tâchons d’être au niveau ! Mon majeur récupère un peu de cyprine et remonte humidifier son clitoris. Je le titille du bout du doigt et reviens régulièrement me réapprovisionner en cyprine. J’essaie d’être attentif à ses réactions mais pour l’instant elles se font rares. J’intensifie mes mouvements, alternant entre des pénétrations d’un ou deux doigts ou des caresses de son clitoris. Je l’embrasse aussi sensuellement pour connecter le haut et le bas. Mais malgré toute ma bonne volonté j’ai l’impression qu’elle prenait bien plus de plaisir quand c’était elle qui le faisait. Il faut donc que je change de méthode et que je lui fasse ce qu’elle ne peut pas faire toute seule.
J’abandonne sa bouche et descends la mienne sur son cou, ses seins, son ventre pour enfin atteindre son vagin. Je pose alors mes lèvres sur son intimité tant désirée. Elle se cambre lorsque ma langue glisse le long de sa fente humide et brûlante de désir. Là j’entreprends des caresses buccales avec douceur. Ma langue parcourt tout d’abord ses lèvres afin de m’imprégner de ce goût que j’affectionne tant. Je glisse à l’intérieur afin de m’abreuver de cyprine. Celle-ci est abondante et je me délecte de ce jus parfumé. Maintenant que je suis rassasié il est temps de la faire jouir. Ma langue remonte jusqu’à son clitoris et commence le travail de sape destiné à la faire défaillir. Je lèche son petit bouton avec le plus de délicatesse possible et en faisant bien attention à ce que ma barbe ne frotte pas sur son yoni. Je l’effleure tout d’abord du bout de la langue pour le faire gonfler. Puis j’entreprends une rotation autour de lui pour le faire sortir petit à petit de son capuchon et l’aspirer. Régulièrement je glisse ma langue au plus profond de son vagin afin de boire son doux jus. Je sens que sa respiration est de plus en plus lourde signe d’une excitation grandissante. Je continue alors mon cunnilingus de la façon la plus attentionnée et passionnée possible. Ça y est des petits gémissements non contrôlés commencent à sortir. Je décide alors d’ajouter à la stimulation buccale l’introduction de deux doigts dans son sexe. Cela lui fait lâcher un soupir bruyant signe que mes actions portent leurs fruits. Je redouble d’efforts car je sais que quand elle arrive à ce point-là, la jouissance peut devenir un véritable feu d’artifice. De ma main libre j’attrape fermement sa hanche ainsi que sa fesse et continue de l’autre de la pénétrer. Ma langue continue aussi de se balader entre son clitoris et sa fente qui coule de plus en plus. Au fur et à mesure de mes actions combinées je sens l’orgasme monter en elle. Ses gémissements se font de plus en plus fréquents et sonores. Je sors la bouche pour lui dire de faire doucement que Martina pourrait nous entendre mais la seule réponse que j’ai est un « Mange-moi » plein d’autorité mais aussi de passion. Je m’exécute alors et reprend mon cunnilingus. Elle veut que je la mange et bien elle va être servie.
Je donne tout ce que j’ai pour la faire jouir. Je concentre mon énergie sur ses sensations. Je sens ses cuisses enserrer ma tête comme pour me rendre prisonnier. Mais pas besoin de cela je suis entièrement acquis à sa cause. Je sens que mon pénis ruisselle également tellement l’excitation est grande. Je récupère un peu de liquide sur mon gland et offre mes doigts à la bouche de Nina. Elle a ainsi le goût de sa cyprine et de mon sperme. Puis mes doigts humides retrouvent son chemin intérieur pour le coup de grâce. Tout d’abord j’accélère le mouvement de ma langue tout en faisant des gestes lents avec ma main. Puis j’enlève mes doigts afin de glisser mes mains sous ses fesses. Je l’agrippe fermement et intensifie mes coups de langue sur son bouton d’amour. Je sens son corps se crisper, sa respiration s’accélérer puis vient enfin la libération dans un cri sourd. Des jets de cyprine inondent ma gorge et ma bouche. Quel orgasme ! Je me remonte à ma place et attrape un mouchoir pour essuyer mon visage couvert de cyprine.
Nina peine à retrouver ses esprits et au bout d’un certain temps redescend de son nuage. Elle vient se blottir dans mes bras. Je lui dis « j’espère que ta copine avait son casque sinon elle a dû t’entendre ». Elle me répond « cela n’a pas l’air de t’avoir déplu » en caressant mon sexe toujours dur comme la pierre. Elle s’amuse à le parcourir tendrement du bout des doigts chatouillant mes testicules puis remontant doucement jusqu’au gland. Là elle récupère l’abondant liquide pour l’étaler partout du gland aux testicules. Puis à un moment elle descend un peu plus bas sur mon périnée et effleure même mon anus. Je profite de ses caresses sensuelles trop rares à mon goût. Puis elle me masturbe légèrement en me disant « et si tu venais au chaud ». Je lui souris tendrement et lui dit « pas ce soir. Nos prochains ébats n’en seront que plus explosifs ». Je sais que la frustration est grande pour elle mais j’aime sentir l’excitation et l’attirance monter en elle. Nous nous faisons un petit câlin et nous endormons l’un contre l’autre.
Le mercredi nous sommes invité à fêter les 70 ans de notre voisine Marie-France. Quand j’arrive du travail elles sortent juste de la piscine et j’ai donc juste le temps d’apercevoir Martina en maillot de bain. Elle porte un maillot 2 pièces bleu clair plutôt minimaliste avec juste deux triangles qui couvrent ses auréoles et à peine plus et un bas plutôt échancré sans que ce soit trop qui laisse voir l’arrondi de ses fesses. Elle remonte de la piscine ainsi et s’arrête discuter avec moi sur la terrasse sans aucun complexe. Je la trouve particulièrement séduisante sans maquillage. Cela fait ressortir la couleur profonde de ses yeux. Toutefois j’ai du mal à la regarder dans les yeux entre ses seins énormes qui débordent de son haut, ses cuisses potelées ou ses grosses fesses quand elle me tourne le dos. Elle me fait un sacré effet et je pense qu’elle le sait et en joue. Je la prends même à regarder mon entrejambe voir s’il y a une bosse comme la veille mais ma tenue avec un jean ne lui permet pas de savoir. Pourtant je bande bien comme un âne. Puis Martina part à la douche et Nina remonte aussi de la piscine.
Elle rentre dans la maison et va dans la buanderie pour enlever son maillot. Je la suis et me cale derrière elle une fois nue pour caresser ses seins. Elle tourne la tête pour m’embrasser pendant que ma main gauche plonge dans son intimité. Elle est bien chaude et humide. Je la caresse un peu puis nous entendons déjà Martina sortir de la douche donc Nina va prendre la suite pour être à l’heure. Je reste donc là avec ma belle érection et mes doigts pleins de cyprine.
Je range 2/3 trucs et je monte me changer pour la soirée. Arrivé en haut de l’escalier mon regard se tourne vers la chambre d’ami et là à mon énorme surprise je vois que Martina a mal fermé la porte et dans l’entrebâillement je la vois en train d’attraper quelque chose sur le banc, de côté, penchée en avant mais complètement nue. Je reste bloqué devant cette vision divine de ce corps généreux, avec ces énormes seins qui pendent sensuellement, ces cuisses potelées terriblement sexy et ces petits bourrelets de ventre si mignons. Je suis notamment obnubilé par ses seins qui me paraissent magnifiques malgré leur taille démentielle et surtout par ses mamelons qui a eux seuls semblent dépasser l’ouverture de ma bouche. Elle attrape un bout de tissu rouge que je soupçonne être le string que j’ai vu hier et me tourne le dos. Là elle l’enfile et le résultat est époustouflant. Le sous vêtement épouse parfaitement ses formes voluptueuses et cette image m’excite encore plus.
Je m’en vais avant de me faire repérer et pars dans la chambre pour changer de polo. Puis je passe dans la salle de bain pour me rafraîchir et surtout profiter de mater Nina nue sous la douche. Elle me demande de lui frotter le dos ce que je fais volontiers en profitant bien de dévier sur ses fesses et ses seins. Puis je sors de la salle de bain et vois que la porte de la chambre de Martina est ouverte donc elle est descendue. Je la rejoins en bas et découvre sa tenue du soir, une robe rouge, similaire aux précédentes c’est-à-dire cintrée à la taille et qui s’arrête juste au-dessous des genoux. De ses bretelles dépasse un bout de soutien-gorge rouge assorti au string aperçu précédemment. Quand elle me tourne le dos je mate allégrement ses fesses à la recherche de marque de string mais je n’arrive pas à en discerner. Puis au bout d’un moment Nina descend et cela va être l’heure de partir. Nina s’est vêtue d’une robe longue noire fendue sur le devant. Cette robe lui va particulièrement à ravir.
Nous sortons de la maison et sur le chemin je me délecte des fesses de Martina qui marche avec Alexandre devant moi tout en tenant ma chère et tendre par la taille. Mes mains glissent sur ses fesses mais je ne sens pas de trace d’habituelle culotte. Bizarre. Je n’ai pas le temps d’investiguer que nous sommes déjà arrivés chez Marie-France. Il faudra tout de même que j’éclaircisse ce mystère. En début de soirée je suis assis entre Martina et Nina. À plusieurs reprises Martina se lève pour se servir à manger et colle alors son postérieur à moins de 30cm de mon visage. J’ai ce magnifique derrière à portée de main. Ses cuisses sont légèrement découvertes par sa position courbée et il me démange de glisser une main sous sa robe. Quel supplice. Elle voudrait me provoquer qu’elle ne ferait pas mieux. Dans une de ses « provocations », ses fesses sont tellement proches de mon visage que je pourrais sentir son odeur. Surtout qu’à ce moment elle écarte légèrement les cuisses et prend appui sur un pied pour attraper quelque chose de l’autre côté de la table. Sa robe remonte à mi-cuisse laissant apparaître juste sous mes yeux un magnifique spectacle. Sachant les sous-vêtements qu’elle a, je n’ai qu’une envie c’est de lui caler un doigt !
Puis dans la soirée Martina et Nina se déplacent sur des fauteuils plus loin et là c’est une vue sur leurs cuisses et leurs mollets qui maintient mon niveau d’excitation. Les deux sont vraiment magnifiques. Il me vient des idées de plan à trois de folie. Bon il faut que je me calme je pars en vrille. Et c’est Alexandre qui me ramène à la réalité. Il va falloir rentrer le coucher donc je dis au revoir à tout le monde et je rentre.
Je couche Alexandre et descends me poser un peu. Je regarde les nouvelles sportives. Puis je vais faire un tour sur Facebook. Nina est restée connectée sur le sien et vois une fenêtre pop-up qui s’ouvre sur Messenger d’une discussion entre Martina et Nina. En fait elles s’envoient des photos de ces quelques jours. Les photos au Mont Saint Michel sont magnifiques mais cela n’est pas étonnant avec les deux beautés qui posent. À la maison quelques photos puis des photos à la piscine. Je vois donc Martina en maillot où je peux mater librement sans craindre que l’on voie mon regard. Puis une vidéo. Je la regarde. C’est une vidéo prise sous l’eau de Nina qui nage mais… je n’y crois pas…. Nina est toute nue ! Je n’aurais pas pensé que Nina se baigne nue devant quelqu’un. Mais qu’elle est belle. Puis les photos suivantes sont encore plus surprenantes. Nina est allongée sur une chaise longue et fait un bronzage intégral. Ses beaux seins sont au repos avec ses tétons bien larges. Ses jambes sont légèrement écartées et en zoomant sous son pubis poilu je peux apercevoir ses belles lèvres pulpeuses. S’en trop m’en rendre compte j’ai fait sauter tous mes vêtements et me masturbe doucement. Mais cette situation ne pouvait pas me laisser de marbre.
Puis là je reste choqué par les photos suivantes. Martina prend également un bain de soleil intégral. Ça y est je la vois enfin nue. Déjà que je trouve que les seins de Nina sont beaux, ceux-là sont magnifiques. Ils sont énormes et bien ronds. Ses auréoles couvrent quasiment tout le sein c’est dire s’ils sont larges. Puis mes yeux se portent sur la partie que je n’ai pas encore du tout vu : son pubis. Du côté pilosité il est particulièrement fourni. Des poils qui s’entortillent. Elle a les jambes fermées donc je ne peux en découvrir plus de son intimité. Mais là une question me met un uppercut : ont-elles fait l’amour ? Cette question m’excite et me terrifie à la fois. Et sur ce questionnement que je pars me coucher.
Je suis réveillé par la douceur d’un baiser posé sur mes fesses. Je m’extirpe de mes rêves et entends Nina qui ressort de la chambre. Je suis couché à sa place et je tourne le dos à la porte. Je l’entends qui revient donc je fais semblant de dormir. On ne sait jamais j’aurais peut-être un deuxième bisou sur les fesses. C’est bizarre j’ai l’impression d’entendre deux bruits de pas dans le couloir. Nina rentre dans la chambre et j’entends le froissement de sa robe qu’elle enlève. Puis elle s’approche de moi et dépose de nouveau un doux baiser sur mes fesses. Je bouge légèrement et remonte un peu plus ma jambe droite. Elle glisse alors sa tête entre mes cuisses et m’embrasse au niveau du périnée. Je me retourne alors comme pour lui signifier mon accord. Mon sexe est déjà bien dressé depuis son premier baiser. Devant ce membre fièrement dressé elle ne peut s’empêcher de passer sa main dessus puis de l’embrasser. Doucement d’abord. Du bout des lèvres. Puis du bout de la langue. Et enfin en l’engouffrant dans sa bouche. Cela me fait sursauter. J’entrouvre les yeux et la vois me regarder tendrement en passant sa langue sur le pourtour de mon sexe avant de le replonger dans sa bouche. Nina est agenouillée sur le côté du lit. Ses seins reposent sur le lit alors qu’elle pratique cette délicieuse fellation. En posant mon regard plus bas je découvre un joli string violet qui souligne harmonieusement ses courbes. Voilà ce qu’elle portait ce soir.
Je me tourne légèrement vers elle laissant ma jambe droite allongée et remontant et écartant la gauche pour lui laisser accès à mes testicules et à mes fesses. Je la regarde prendre soin de mon membre qui est enfin câliné après une semaine d’excitation. Nina met beaucoup d’attention à la tâche. Elle alterne entre des bouchées tendres, des passages de langue sur toute sa longueur ou encore des va et vient plus rapides tout en le branlant. Je prends vraiment mon pied.
En matant ses fesses bouger sous le coup de l’excitation je remarque que la porte de notre chambre est ouverte. Puis dans l’ouverture je remarque une forme que je distingue mal. Je mets ma main sur mon front de façon à cacher la lumière et au même temps mes yeux et là immense surprise ! Martina est en train de nous regarder. C’était donc ça les bruits, Nina l’a invité à une séance de voyeurisme. Cela décuple mon excitation. Martina est vêtue de sa robe rouge. Elle a une main dans son string. L’autre main caresse ses seins volumineux par-dessus sa robe. Mon dieu cette déesse se masturbe en nous regardant. Elle doit avoir une belle vue sur le cul de Nina en train de me pomper. Elle veut mater, nous allons lui donner ce qu’elle cherche. Je sens que cela monte trop fort. J’arrête donc Nina dans ses œuvres et m’assoie au bord du lit. Je l’embrasse puis la fait lever. Je prends sa cuisse droite et la pose sur le lit. J’écarte son string et insère un doigt en elle. Qu’elle est mouillée ! Direct j’en mets deux de plus sans difficultés. Elle semble apprécier le châtiment.
Je m’allonge sur le lit pour lui montrer la suite. Elle ne se fait pas prier et vient s’empaler sur moi. Elle glisse sur mon chibre et commence de lents va et vient. Je place mes mains sur ses fesses et accompagne son mouvement. Je pense à la vision du magnifique fessier de Nina, avec le string sur le côté, rebondissant sur moi, que doit avoir Martina. Comme cela m’excite. J’attrape ses fesses et les secoue pour accélérer le rythme. J’y ajoute des coups de hanche pour la stimuler encore un peu plus. Nos corps se mettent à l’unisson et Nina semble déjà prête à décoller. Je positionne alors mes mains sur les côtés de son string et la serre fermement. Je plonge mes yeux dans les siens et elle descend sa bouche contre la mienne. Nous nous embrassons amoureusement en liaison par la bouche et par nos sexes. Quelques coups de plus et Nina atteint l’orgasme. À ce moment-là elle se redresse et lâche un cri d’extase. Pendant quelques temps j’en ai oublié que nous n’étions pas seuls.
Mettons le feu au spectacle maintenant. Je lève Nina et elle sait très bien comment je veux me mettre. Je me positionne pour qu’elle se mette à quatre pattes en regardant vers la porte. Ainsi Martina aura une vue directe sur son visage, ses seins voire ses fesses. J’écarte de nouveau son string et je plonge mon nez entre ses fesses. Nina lâche un cri de surprise. Là je la bouffe comme un beau diable. Ses effluves me remplissent de bonheur. J'ai le visage rempli de cyprine. Quel bonheur. Puis je la pénètre sans difficulté. Tu m’étonnes vu comment elle vient de me jouir sur le sexe et le visage. Je commence alors de légers coups de rein tout d’abord pour reprendre la mesure puis j’accélère petit à petit. Je ferme les yeux et relève la tête pour regarder vers la porte sans qu’elle le voie. Martina a fait sauter sa robe et son soutien-gorge et ne porte donc plus que son bas. Elle a toujours une main dans son string et l’autre sur ses seins mais ils semblent cette fois bien durs. Elle doit être bien excitée.
Je reviens avec Nina et attrape ses hanches. Je remets son string en place et continue d’augmenter le rythme. Au rythme actuel ses seins se balancent allègrement sous mes coups de rein. Puis emportée par la puissance de mes coups elle plonge la tête dans les coussins. Je maintiens ses hanches bien hautes et continue de la pilonner. Là la vision doit être paradisiaque. Le visage déformé par le plaisir et le cul stringué bien haut en train d’être pris en levrette tout en faisant des vagues sensuelles. Je suis déchaîné et je la prends avec beaucoup de vigueur. Elle est ballotée comme jamais. Puis je la couche, la met sur le côté et me mets entre ses cuisses. Je rentre en elle de nouveau, attrape son bras et reprend de plus belle. Juste afin de voir son corps entier faire des vagues sous mes coups de butoir. Mais ce n’est pas comme ça que je veux finir. Je veux un feu d’artifice.
Je ressors donc et couche Nina sur le dos. C’est comme ça que je veux finir. Les cuisses écartées, les seins valsant et en la regardant droit dans les yeux. Je m’introduis de nouveau en elle et reprends fort dès le début. En effet je sais que je ne vais pas tenir longtemps. J’attrape alors ses cuisses et les tiens bien écartées. Je la pilonne de nouveau mais je sens que l’explosion est proche. Je donne ce qu’il me reste tant que je peux tenir puis je ressors juste avant l’éjaculation. Le premier jet atteint son sein gauche. Le deuxième finit sous son cou. Le troisième l’atteint en plein visage dessinant une ligne de son menton à son œil. Enfin les derniers recouvrent son ventre. Le feu d’artifice est fini.
Je regarde vers la porte mais Martina n’est plus là. Je récupère des mouchoirs et aide Nina à se nettoyer. Puis je me recouche et m’endors en imaginant les rêves de Martina.
Le lendemain j’imagine un plan pour la dernière soirée de Martina parmi nous. Le soir arrive. Je me suis débrouillé pour ne pas bosser le lendemain comme ça nous allons pouvoir boire un peu l’apéro et ne pas surveiller l’heure. Dès que je rentre je file directement à la douche. Je me savonne bien partout puis je vais m’habiller. Le but de la soirée est de chauffer Nina au maximum. Mais à ce moment-là je ne sais pas que les filles aussi ont un plan encore plus chaud.
Je me vêtis d’un string blanc, d’un short beige légèrement trop grand et d’un t-shirt blanc aussi. Je descends et vois les filles. Nina porte une robe rouge plutôt courte et je distingue en bas de son dos une fleur donc je sais qu’elle porte son string rouge avec la rose au milieu. Martina elle porte un pantalon noir qui moule exagérément ses fesses et un débardeur blanc. Le pantalon semble au bord de l’explosion tellement il est serré et je remarque distinctement les bords d’un string. Dernier point mais pas des moindres, toutes deux ne semblent pas porter de soutien-gorge. Finalement moi qui voulais exciter Nina c’est moi qui me retrouve à ne plus marcher droit. Je propose l’apéro et Martina saute littéralement de joie. À chaque petits bonds sa poitrine s’envole et retombe gracieusement. Je vais défaillir.
Martina ne sachant pas quoi prendre à l’apéro je lui propose de venir voir avec moi à la cave comme ça nous pourrons choisir aussi pour la soirée. Ceci fait partie de mon plan. Arrivé dans la cave je cale mon short sur mes hanches de façon que mon string soit à fleur. Une fois que je suis sûr qu’elle regarde dans ma direction je me baisse pour attraper quelque chose. Je sens mon short tomber au milieu de mes fesses et je sais qu’elle a les yeux braqués dessus. En me relevant je remets mon short comme si de rien été et nous choisissons les alcools. Mais je vois que mon coup a réussi, elle est troublée.
Nous revenons à la maison et nous prenons l’apéro tranquillement sur la terrasse. À un moment je retourne à la cuisine pour chercher des affaires et Nina passe par là. Je ne peux m’empêcher de l’embrasser et je passe mes mains sous sa robe jusqu’à ses fesses. Je caresse son string tout en l’embrassant. Puis d’une main j’écarte le devant de son string et titille ses lèvres. Elles s’humidifient rapidement et j’introduis tendrement un doigt sans jamais lâcher ses lèvres. Je la masturbe énergiquement puis je me retire et ressors sur la terrasse en laissant Nina haletante.
Puis vient le repas. Nina est assise à côté de moi côté jardin, Martina de l’autre côté. Pendant le repas je pose ma main sur la cuisse de Nina. Sa peau est douce. Elle écarte légèrement les cuisses et j’y engouffre ma main. Elle arrive en contact avec le tissu de son sous vêtement. Mon auriculaire glisse doucement dessous et frôle son intimité. Elle pose sa main sur la bosse naissante dans mon short. Puis je me lève pour aller chercher quelque chose à la cuisine. En revenant j’ai une vision surnaturelle : le pantalon de Martina est descendu à mi fesse laissant apparaître un joli string noir en dentelle. Ses fesses écrasées par la chaise et les barreaux débordent de partout rendant l’image féerique. Là s’en est trop, je pars aux toilettes pour me masturber. Cela ne prend pas une minute avant que je n’éjacule. Ouf cela devrait m’aider à tenir si ce soir je peux faire l’amour à Nina. Je reviens plus léger et la fin du repas se passe plus détendue pour moi.
Puis vient l’heure du coucher d’Alexandre. C’est Nina qui s’en charge. Martina est au téléphone donc j’en profite pour laver la vaisselle. J’entends Nina qui descend et vient se coller contre moi. Elle glisse ses mains sous mon t-shirt et caresse ma poitrine. Puis elle me dit « Tu as les mains occupées donc je peux faire ce que je veux » et elle passe ses mains dans le devant de mon short. Là elle voit au toucher que je n’ai pas un boxer comme d’habitude. Elle recule un peu, baisse mon short et caresse mes fesses. Cela l’amuse de me voir en string en train de laver la vaisselle avec Martina qui est juste dehors. Elle glisse sa main sur le côté de mon string et sort mon service 3 pièces. Elle remonte sa jupe au niveau de ses fesses et s’agenouille. Mon sexe bave et un fil pend tellement l’excitation est grande. Nina me regarde dans les yeux, fait deux mouvements sur mon sexe pour le décalotter entièrement et le prend dans sa bouche. Je m’abandonne devant ses caresses inespérées et cette magnifique image. Je reprends mes esprits au moment où Nina se relève. Je me rends compte qu’elle m’a enlevé entièrement mon short et je suis donc juste vêtu de mon string blanc. Là elle me sourit et appelle Martina.
Elle rentre dans la cuisine et je me tourne pour qu’elle ne voit pas la grosse érection qui déforme le devant de mon string. En revanche elle a une vue imprenable sur mes fesses. Nina commence :
- Regarde ce petit cul stringué que j’ai trouvé, dit-elle tout en me caressant les fesses
- Ah oui pas mal du tout. J’avais aperçu le string dépassant du short tout à l’heure mais là c’est encore mieux.
- C’est beau un homme qui lave la vaisselle non ? dit Nina tout en me caressant les fesses.
- Oui c’est vraiment pas mal, répond Martina en venant joindre ses mains à celle de Nina
La situation me fait bander à mort. Les quatre mains se baladent sur mes fesses puis parcourent tout l’arrière de mon corps. Quelle sensation d’être caressé sensuellement par deux femmes magnifiques. Je rince mes mains afin de me retourner. Leurs mains continuent leur exploration. Nina m'embrasse et enlève mon haut. Me voilà juste vêtu de mon string blanc totalement déformé. Les mains continuent de courir sur mon torse, mes cuisses avant que Nina ne sorte mon pénis de sa prison. Elle passe sa main dessus puis vient m’embrasser. Quand elle retire sa bouche de la mienne ce n’est plus sa main qui me caresse mais celle de Martina.
Ses mains sont douces et attentionnées. Elle glisse sur mon membre dressé avec une infinie délicatesse. Puis elle approche ses lèvres des miennes. Pendant ce temps-là Nina s’est remise à genoux et embrasse amoureusement mon lingam. Quelle douce sensation d’avoir deux paires de lèvres sur moi. Puis Martina rejoint Nina et pose ses lèvres sur mon sexe. Mamamia que c’est bon. Elle lèche mon pénis chacune de leur côté puis partage des bouchées humides chacune leur tour. Tous leurs gestes sont tendres et me procurent un infini plaisir.
Nina se relève et enlève sa robe. Je caresse sa poitrine et ses fesses pendant que Martina continue sa délicieuse fellation. Puis nous partons tous les trois sur le canapé. En passant nous fermons les volets du bas. Que diraient les voisins s’ils voyaient notre trio. Les filles s’assoient sur le canapé et je reste debout devant elles. Elles attrapent de nouveau mon pénis et reprennent leurs caresses manuelles et buccales. Quel merveilleux moment que d’avoir deux femmes préoccupées que par mon plaisir.
Nina gobe mon gland pendant que Martina lèche mes testicules. Après quelques instants Nina tend mon sexe à Martina qui ne se fait pas prier pour le gober à son tour pendant que Nina le tient à sa base tout en m’embrassant. Elles jouent un petit moment avec moi à s’échanger mon pénis en le léchant et le masturbant à tour de rôle. Je sens que je ne vais pas pouvoir tenir longtemps et alors que les deux baladent leurs langues sur mon gland, au moment où je comptais les arrêter, Martina glisse sa main sous la ficelle de mon string et caresse mon anus. Cette légère pression sur ma rondelle me fait partir. Mon sexe se gorge et un premier jet finit sur leurs lèvres. Puis Martina le prend dans sa bouche et le branle fort. Je finis d’éjaculer abondamment dans sa bouche. Puis elle se lève, sourit et vient m’embrasser alors qu’elle a encore mon sperme dans sa bouche. J’avale difficilement ce liquide chaud. Je viens d’avoir mon premier cumkiss.
Martina me sourit satisfaite de son coup. Maintenant que je suis vidé je vais pouvoir m’occuper de ces deux beautés. Je rends son baiser à Martina tout en lui enlevant son débardeur dévoilant son énorme poitrine. J’attrape son premier sein et plonge ma bouche sur son mamelon. De mon autre main je plonge dans l’arrière de son pantalon et caresse son string. Pendant ce temps-là Nina s’est allongée sur le canapé et se masturbe doucement en nous regardant. Cela a l’air de l’exciter de me voir avec une autre. Je passe au deuxième sein avec le même traitement et baisse son pantalon. Je dois utiliser mes deux mains pour lui faire passer ses grosses fesses tellement il est serré puis il tombe à ses pieds.
Je passe derrière elle et tripote ses fesses. Elle se penche, s’avance sur le canapé et dirige sa tête vers Nina. Elle écarte son string et commence à embrasser sa vulve. Vu la scène, j’ai l’impression que ce n’est pas la première fois qu’elles font cela. Martina semble très appliquée à sa tâche. Ses baisers semblent doux et son toucher sensuel. Ne voulant pas être en reste je mets le string de Martina sur le côté et passe ma main le long de ses fesses jusqu’à sa fente. Elle est complètement inondée. J’y plonge toutefois ma bouche qui se retrouve trempée instantanément. Je commence alors à embrasser ses lèvres gorgées de cyprine. Ma langue parcourt son intimité dans tous les sens possibles. Puis je remonte vers son clitoris. Ma langue atteint son petit bouton qui est loin d’être petit en fait. Sa taille est même impressionnante. On dirait un petit pénis tellement il est volumineux. Je prends plaisir à goûter cette autre femme.
Elle bouge les fesses au rythme de mes coups de langue. Son anus frotte régulièrement contre mon nez. Cela n’a pas l’air de la déranger. Je glisse deux doigts en elle et effleure son petit trou. Elle gigote de satisfaction et gémit mais sans jamais lâcher Nina des lèvres. J’humidifie mon doigt puis fais des légers ronds autour pour commencer à l’ouvrir. Puis pour faciliter l’insertion je plonge ma langue dans ses fesses. Elle semble apprécier ce traitement. Je me donne à cœur joie navigant de la langue et des doigts de son vagin à son anus. Quel bonheur d’avoir la tête enfouie dans un fessier aussi monstrueux. Cela me fait bander de nouveau.
Je sors mon sexe de mon string et vient le présenter devant sa chatte ruisselante. J’y pénètre avec douceur tout en caressant ses hanches et ses fesses. Puis elle recule ses jambes pour que je m’empale sur elle. On dirait qu’elle aime un peu de brutalité. Je lui donne alors de grands coups de reins. Elle écarte encore un peu plus les jambes en signe d’approbation. Tout son corps fait des vagues sous mes coups de butoir. Mais quoiqu’il arrive sa bouche ne lâche jamais le sexe de Nina. Quelle sensation de prendre une déesse en levrette pendant que sa femme profite d’un cunnilingus.
Je la pilonne ainsi de plus en plus fort. Son corps est balloté à chaque coup de queue. Je prends un plaisir infini à la situation. Puis je lâche mes mains de ses hanches et claque ses fesses dans un bruit assourdissant. Mais elle ne s’en offusque pas. Je continue alors ma besogne et entre deux mouvements de ses fesses je vois son anus encore un peu humide. Je crache dessus et introduit lentement mon pouce tout en continuant mes va et vient dans son vagin. Elle semble apprécier le traitement donc je m’enfonce plus profondément puis y présente un deuxième doigt. Le trou s’élargit très facilement signe d’un certain entraînement. Puis Nina jouit très bruyamment sous cette langue expérimentée. Cela m’excite et je redouble d’intensité. Cela a pour effet de faire jouir également Martina. Je sens son vagin se contracter et elle lâche le sexe de Nina pour gémir lourdement. Ces stimulations auditives et sensorielles me font monter aussi et j’ai juste le temps de sortir et j’éjacule abondamment sur ces grosses fesses et recouvre son string noir qui devient tout blanc. J’attrape discrètement mon téléphone et prends une photo de ce cul magnifique maculé de mon sperme.
Je vais chercher des mouchoirs et essuie le plus gros de ma semence. Puis je vois un peu de sperme qui coule à l’intérieur de ses fesses et sans y réfléchir j’y plonge ma langue de ses lèvres détrempées jusqu’au bas de son dos. Je me retrouve avec une quantité non négligeable de sperme dans la bouche. Martina se relève, je m’approche d’elle et l’embrasse de façon à lui transmettre cette « snowball ». Elle est surprise mais me sourit car ce n’est qu’une douce vengeance de son cumkiss. Puis elle nous dit je reviens tout en se dirigeant vers l’étage. Je m’allonge sur Nina afin de l’embrasser. Elle est surprise du goût de sperme vu qu’elle n’a pas vu notre petit jeu. Son entrejambe est encore humide et je ne peux m’empêcher d’y insérer un doigt. Elle est encore sous le coup de son violent orgasme. Puis nous entendons Martina revenir. Elle a changé de string et enfilé le rouge. Mais surtout elle revient avec un objet inattendu : un double dong bleu d’environ 15 cm de chaque côté. Je la vois s’approcher de nous avec un sourire. Je me relève et va m’assoir sur le fauteuil pour lui laisser l’espace.
Martina prend place entre les jambes de Nina et insère délicatement le premier bout dans sa bouche puis dans le vagin de Nina. À part si elles ont déjà fait ça cette semaine (et j’ai des doutes vu comment elle a léché Nina tout à l’heure) c’est la première fois que Nina se prend un vrai gode. Puis elle introduit le deuxième bout en elle et commence des mouvements de bassin. Plus elles accélèrent plus leurs seins se mettent à bouger. Leurs sexes viennent en contact l’un avec l’autre. Maintenant chaque mouvement de hanche provoque un frottement de leurs lèvres. Le traitement semble agréable. Elles commencent à gémir de plaisir. Moi j’en prends plein les yeux de voir ses deux belles femmes prendre un plaisir pur et sensuel. Je n’en perds pas une miette et prends quelques photos qui alimenteront mes prochaines masturbations.
J’enlève mon string afin de me sentir plus à l’aise et passe mes mains sur mon corps. Je commence par caresser mes pieds, je remonte sur mes mollets puis sur mes cuisses particulièrement sensibles. Je m’y attarde un peu et sens des frémissements de réveil sur mon pénis. Je remonte sur ma poitrine, descends sur mon ventre et enfin passe délicatement mes doigts sur mon sexe. Il durcit doucement sous mes doigts qui se baladent sur lui. J’entreprends une légère masturbation en regardant les filles se donner du plaisir. Étonnamment il finit par reprendre sa taille en érection plutôt rapidement après deux éjaculations. J’écarte les jambes afin de mieux ressentir mes caresses.
Nina me regarde puis décide de se lever et venir me rejoindre. Elle prend mon sexe dans sa main, écarte son string et vient s’empaler sur moi. Elle s’enfonce directement jusqu’à la garde vu son état de préparation. Elle commence à rebondir sur moi. Je lui attrape fermement les hanches pour lui donner encore un peu plus d’impact. Elle se redresse fièrement exposant ses deux beaux seins à ma vue. Elle frotte ses fesses contre mes cuisses pendant que j’accompagne ses mouvements. J’en profite également pour embrasser ses seins qui durcissent sous ma langue. Puis elle se penche sur moi et nous nous embrassons langoureusement pendant que je caresse ses fesses et son string.
Après cette chevauchée fantastique Nina se relève et se retourne puis s’assoie de nouveau sur moi mais en me tournant le dos. J’ai maintenant une vue imprenable sur ses fesses pendant qu’elle monte et descend sur mon membre dressé. Puis un gémissement me rappelle que nous ne sommes pas tout seuls. Je regarde vers Martina et quelle n’est pas ma surprise de voir que non seulement elle a gardé son côté du gode dans son vagin, mais en plus elle a inséré l’autre côté dans son anus. Elle fait aller et venir les deux côtés en même temps ce qui semble bien la remplir.
Cette vision inattendue m’excite d’autant plus que je reprends un pilonnage intensif de Nina qui manque presque de tomber vers l’avant vu la violence de mes coups. Je ne m’arrête pas pour autant qui plus est quand je vois dans cette position sa rondelle que j’aime à lécher et pénétrer. Si j’ai l’occasion j’essaierai aussi de sodomiser Martina vu qu’elle semble apprécier cette pratique. Nous continuons notre valse sensuelle. Mes yeux naviguent sans arrêt entre la vision des fesses de Nina qui font des vagues hautement excitantes et celle d’une beauté latine qui se fait du bien sans complexe. Je passe allègrement mes mains sur tout le corps de Nina, son dos, ses seins, ses cuisses, ses fesses, tout y passe.
Martina change de position et se met à quatre pattes le cul vers nous et continue une masturbation manuelle. Au bout d’un moment Nina se lève et va la rejoindre en se mettant derrière elle dans la même position. Elle pose sa main sur celle de Martina puis la remplace dans les caresses. Martina récupère sa main et soutient ses gros seins qui pendent. Puis Nina se baisse et engouffre sa langue dans l’intimité de sa copine. Quelle vision de ces deux PAWG juste vêtues de string à quatre pattes en train de se faire du bien. Je ne résiste pas à prendre quelques clichés puis me positionne derrière Nina. Je caresse son dos et ses fesses puis je rentre en elle délicatement. Mon sexe commence à être tout endolori par cette utilisation intensive.
Je prends plaisir à prendre Nina en levrette tout en matant deux fessiers superbes. Je continue ainsi de plus en plus fort jusqu’à être déchaîné dans notre connexion torride. Les deux gémissent à l’unisson devant tant de coups de langue et de reins. Puis Martina se lève et va vers la porte de la terrasse et là surprise, Marie-France nous regarde complètement scotchée par ce qu’elle vient de voir. Martina ouvre la porte, la fait entrer puis l’embrasse tendrement. Je sors de Nina et nous les rejoignons. Nina retire le T-shirt de Marie-France pendant que je lui enlève son pantalon. La voici en sous vêtement dans notre salon. Nina se met à l’embrasser également pendant que Martina lui dégrafe son soutien-gorge. Moi je lui baisse sa culotte blanche de grand-mère et remarque une belle tâche de cyprine signe d’une forte excitation. Puis avec Martina chacun de nous prend un de ses gros seins tombant et l’embrasse. De mon autre main je me dirige vers sa chatte velue et passe au milieu des poils pour trouver l’entrée de sa caverne inondée.
Marie-France reprend un peu ses esprits et passe ses mains sur le corps de Martina d’une main, sur le mien de l’autre. Elle rend également ses baisers à Nina et navigue entre ses trois corps dénudés qui lui sont offerts. De mon côté mon pénis s’était dégonflé légèrement mais d’un coup trois mains se retrouvent sur lui et il reprend toute sa vigueur. Marie-France garde toujours une main sur lui comme si cela la rassurait de toucher un attribut familier. Puis nous nous dirigeons vers le canapé. Martina positionne Marie-France à quatre pattes pour que son visage soit face à mon sexe. Puis elle glisse derrière elle dans la même position et commence à embrasser ses cuisses puis son entrejambe. Marie-France elle attrape mon pénis et pose de délicats baisers dessus. Puis elle glisse très légèrement sa langue dessus comme si elle essayait de se rappeler comment on fait. Je ne sais pas depuis combien de temps elle n’a pas eu de relations sexuelles. Martina elle n’est pas timide et lèche goulument le yoni déjà inondé de Marie-France. Nina reprend également la même position et s’occupe de Martina.
Marie-France prend un peu plus confiance dans ses caresses et engage une fellation attentionnée. Nous voyons qu’elle prend du plaisir à redécouvrir la joie d’avoir un sexe vigoureux entre ses mains et ses lèvres. Elle l’embrasse maintenant avec passion et entrain. Elle l’enfourne dans sa bouche petit à petit, d’abord juste le gland, puis le reste jusqu’à le prendre en entier. Marie-France est une gorge profonde. Elle continue de le lécher puis absorbe un testicule puis l’autre dans sa bouche avant de revenir sur mon sexe et d’engouffrer aussi bien l’entièreté de mon sexe et lèche mes deux testicules. Waouh ce n’est que la deuxième fois que je vis cela. Cela m’excite extrêmement et je me mets à baiser sa bouche avec beaucoup de vigueur. Martina se relève et vient assister à cette scène surréaliste. Elle en profite pour accentuer la pression sur la tête de Marie-France. Puis elle passe ses mains sur mon corps. Elle part de mon dos, descend le long de la colonne vertébrale puis caresse mes fesses en les serrant fermement et finit sur mes cuisses. Puis elle remonte sur mes fesses et glisse sa main au milieu jusqu’à atteindre mon anus. Puis, tout en maintenant une très légère pression sur ma rondelle, sa langue part de ma nuque, descend sur mon dos, puis finit sur le haut de mes fesses. Pendant ce temps-là Nina a attrapé le gode et l’a introduit dans le vagin de Marie-France qui elle continue sa délicieuse fellation.
Puis Martina prend mes fesses par le milieu, les écarte et glisse sa langue à l’intérieur. Elle fait des ronds autour de mon orifice puis attrape mes cuisses pour coller son visage plus profondément dans mes fesses. Puis la langue de Martina entrouvre délicatement mon anus afin d’y pénétrer en douceur. Peut-être Nina lui a dit que j’appréciait particulièrement ce traitement.
Marie-France commence à gémir assez fortement devant les coups de sexe en plastique que Nina lui assène. De son autre main Nina caresse le dos, les fesses et les seins de Marie-France. Puis elle se retourne et s’enfile l’autre côté du gode dans son vagin. Elle s’enfonce petit à petit jusqu’à ce que leurs fesses soient en contact. Elle secoue alors son arrière-train ce qui fait bouger Marie-France également sur mon pénis.
De mon côté Martina a entrepris un massage appuyé de ma rondelle et introduit lentement un bout de son doigt. Elle ressort son doigt, humidifie une nouvelle fois mon trou avec une bonne dose de salive et revient à la charge un peu plus profondément. Je la sens trifouiller à l’intérieur de façon à agrandir l’ouverture en douceur. Puis une fois le doigt entièrement introduit, elle fouille l’intérieur. La sensation est très bizarre. Je suis à la fois gêné tant psychologiquement que physiquement mais j’ai envie de me laisser aller dans ce soir de première.
Toutefois je stoppe ces préliminaires car entre la fellation, l’anulingus, et la vision des fesses de Nina et Marie-France qui se pilonnent sensuellement je sens que la sauce est en train de monter. Je dis à Marie-France de se retourner ce qu’elle fait avec empressement. On sent qu’elle a envie de sentir un sexe d’homme la prendre. Ce moment tant attendu par Marie-France arrive enfin. Je la pénètre lentement afin qu’elle sente bien mon sexe se frayer un passage dans son vagin qui n’a pas reçu de visite depuis longtemps (nous apprendrons plus tard que cela faisait 11 ans). Une fois arrivé au bout j’attrape ses hanches et commence à faire des va et vient. Marie-France lâche des soupirs de plus en plus bruyants à chaque coup de rein.
Pendant ce temps-là Nina et Martina s’embrassent langoureusement tout en caressant leurs corps de rêve. Je maintiens un rythme soutenu et Marie-France fait de plus en plus de bruit. Puis elle jouit fortement dans un râle de soulagement intense. Elle crie tellement fort que même les filles arrêtent leurs caresses. Je ressors et Marie-France tombe de bonheur sur le dos. Martina se penche pour l’embrasser alors que Nina caresse ses gros seins. De mon côté je ne peux pas m’empêcher de passer ma main sur son entrejambe velu et d’y entrer deux doigts. C’est très chaud et humide.
Puis mon sexe reprend du service et entre de nouveau dans cette caverne ancestrale. J’attrape les jambes de Marie-France afin de lui écarter bien en grand. Martina se lève et vient se positionner derrière moi. Nina elle vient se mettre accroupie au-dessus de la tête de Marie-France en me tournant le dos. J’ai donc une vue imprenable sur ses fesses et sur la langue de Marie-France qui la fouille. Je continue à pilonner Marie-France quand je sens Martina revenir à la charge sur mon petit trou.
Je sens sa langue me parcourir de nouveau puis un liquide froid. Je comprends qu’elle veut faciliter l’insertion de ses doigts. Mais ce n’est pas la sensation de ses doigts que je sens mais quelque chose de plus dur et plus gros. Je veux retourner ma tête pour voir ce qu’il se passe mais Martina m’en empêche et je sens une pression sur mon anus. Elle caresse mes fesses et me dit de me détendre. Elle attrape ma tête et la tourne pour m’embrasser sensuellement. Elle fait de tout petit va et vient pour passer mon sphincter. Cela me fait un peu mal donc elle recule. Je vois alors qu’elle s’est mis un côté du double dong dans son sexe et veut me prendre avec l’autre côté. Elle enduit le sexe en plastique de lubrifiant puis revient doucement en contact. Moi je ne m’arrête jamais de prendre Marie-France qui elle-même ne lâche pas les lèvres humides de Nina.
Martina passe ses mains sur mon torse et mes fesses pour me détendre tout en continuant ses petits mouvements de hanches. Je la sens s’enfoncer de plus en plus loin. La sensation est très étrange. C’est à la fois dérangeant de se sentir rempli et à la fois excitant de se faire prendre. Martina finit par entrer tout ce qu’elle peut entrer en moi. Elle frotte ses hanches contre mes fesses puis attrape fermement mes hanches. Là elle entame une danse sensuelle avec mes fesses. Chaque coup de reins est de plus en plus appuyé et se répercute sur Marie-France et notamment sur ses gros seins qui valsent. Ses ongles griffent la peau de mes hanches tellement elle maintient sa prise. Je sens le plaisir monter et je lâche de puissants râles. Nina se retourne pour voir ce qu’il se passe et est choqué de me voir me faire prendre sauvagement par sa copine. Jusqu’à présent seule elle y avait eu droit.
La scène doit être surréaliste à voir. Martina semble être dans son élément. Pour une fois le pilonneur devient pilonné. Mais après le côté désagréable du début, cette situation est hautement excitante. Les fesses de Nina, les seins de Marie-France et la fougue de Martina. Tout est parfait. Qui aurait cru que cette soirée réaliserait plusieurs de mes fantasmes ! Je suis aux anges. Mon excitation est à son paroxysme. J’ai une trique de cheval et c’est Marie-France qui prend. Elle hurle son plaisir entre deux coups de langue à Nina. Je sens que je ne vais pas tenir encore longtemps donc je sors car je veux profiter de la grosse poitrine de Marie-France pour finir en branlette espagnole.
Martina me laisse bouger puis je me mets au-dessus du ventre de Marie-France. Elle comprend ce que je veux faire et serre ses seins pour que je puisse m’y introduire. Je commence à baiser ses seins tout en matant les grosses fesses de Nina juste devant moi. Martina revient à la charge et s’introduit de nouveau en moi. Je ferme les yeux et me concentre sur mes sensations. Je sens le plaisir monter de plus en plus mais pas comme d’habitude. Il est plus intérieur, vient de plus profond. Il bouillonne à l’intérieur. Je suis pris de spasmes incontrôlés. Une boule de feu part de mes fesses et irradie mon corps entier. Je ressens des particules de plaisir dans mes bras, mes jambes, mon ventre, ma nuque jusque dans ma tête et mon cerveau. Une véritable explosion intérieure qui jaillit par mon pénis, bien stimulé par le glissement entre ces gros seins flasques mais bien soutenus par les deux mains de Marie-France. Un flot de sperme inonde littéralement le visage et les seins de Marie-France mais aussi les fesses de Nina. Je n’ai jamais autant éjaculé de ma vie. Les jets ne s’arrêtent pas. Tout comme Martina d’ailleurs qui continue de me pénétrer avec vigueur.
Une fois vidé de tout ce que j’avais, je fais signe à Martina d’arrêter. Je me pose sur le fauteuil. Martina elle se penche pour embrasser et lécher le sperme sur Marie-France. Son string se retrouve tendu par sa position. Mon sang ne fait qu’un tour et profitant de mon érection toujours à son maximum, j’enduit mon sexe de lubrifiant, puis j’écarte son string et mets une noisette de lubrifiant sur son anus. Je présente mon gland à son entrée interdite et pousse doucement. Il s’enfonce sans trop de difficultés. Toutefois je ressors, remets du lubrifiant et entre plus profondément. C’est plus étroit que d’habitude. Au fur et à mesure je sens la pression du gode qui est toujours dans son vagin. Cela renforce l’étroitesse de son conduit. J’arrive au fond de son cul et commence de petits va et vient. Martina commence à gémir doucement. Nina se retourne, essuie ses fesses et s’assoit à côté avec les jambes allongées. Elle remonte le genou droit, met la jambe gauche en angle droit et glisse sa main dans son string. Marie-France elle reste coincée sous Martina avec mon sperme sur le visage et les seins.
Je sens que mon sexe ne va pas tarder à faiblir donc j’accélère le mouvement jusqu’à donner toute l’énergie qu’il me reste. Je claque fort mes testicules contre son vagin et ses fesses font des grosses vagues sous mes coups de butoir. À ce stade là ce ne sont plus des vagues mais un tsunami qui se déplace de façon excitante. Je suis déchaîné et je défonce Martina comme elle m’a défoncé avant. Martina se met à hurler son plaisir pendant que Nina et Marie-France se masturbent sensuellement. Quelle image encore !
Mon sexe me brûle de plus en plus après cette soirée de folie mais je donne mes dernières forces pour la jouissance de Martina. Celle-ci arrive brutalement et est tellement forte qu’elle éjecte le gode de son vagin et déverse un flot de cyprine sur Marie-France. Moi je continue de la pilonner jusqu’à qu’elle s’effondre sur Marie-France. Je me retire et vois mon pénis rouge feu tellement il a été en surchauffe dans cette soirée.
Tout le monde est épuisé par cette mémorable aventure. Je me couche à côté de Nina et caresse son délicieux corps. Puis je me lève et monte à la douche. Je laisse les filles reprendre leurs esprits et débriefer de cette expérience extraordinaire. Après la douche je pars me coucher et m’endors très rapidement malgré mon sexe et mon cul qui me lancent.
Le lendemain matin je suis réveillé par des mains sur mon corps nu. A peine suis-je effleuré que mon pénis se redresse légèrement. Ses mains s’attardent particulièrement sur mes cuisses, mes hanches et mes fesses. Je me retourne et fais face au visage angélique de Nina qui me sourit. Nous nous embrassons tendrement tout en caressant nos corps de façon sensuelle. Je sens qu’elle veut me dire quelque chose mais n’ose pas. Je prends donc les devants et dit :
- Quelle soirée ! Dis-moi je vous ai trouvé vachement complice et à l’aise avec Martina. Vous aviez déjà fait des câlins avant ?
- Oui cette semaine nous nous étions déjà touchées. Ça avait commencé un après-midi à la piscine. Excuse-moi je n’ai pas osé te le dire.
- Pas de soucis si vous n’aviez pas fait ça on n’aurait pas vécu ces moments magiques hier.
- Merci de le prendre comme ça. J’étais gênée car c’est la première fois que je fais quelque chose de sexuel sans toi
- Pas de problème pour cette fois. La suite valait le coup.
- Oui dis-moi tu es passé d’une femme à trois d’un coup
- C’était improbable. Mais tellement bon de lâcher totalement prise
- Et qu’est-ce que tu as préféré ?
- Le début quand tu m’as déshabillé dans la cuisine et que je n’avais aucune idée de ce qu’il allait se passer. Et toi ?
- Je dois avouer que j’ai été très excitée de te voir être pris par Martina. Ça m’a rappelé les souvenirs d’Irlande.
- Oui c’est vrai que ça faisait longtemps et c’était un peu difficile au début. Surtout que ce ne soit pas toi. Mais l’excitation et l’adrénaline étaient tellement fortes qu’au final le plaisir a largement pris le dessus. Rien que d’y repenser j’en suis tout excité
- Je vois ça dis Nina en attrapant mon sexe en érection. Il faudra peut-être que nous investissions dans des jouets pour refaire ça
- Pourquoi pas ça te plairait de retenter l’expérience ?
- Oui je ne me rappelle plus trop ce que ça fait d’être celui qui prend dit-elle en agrippant fermement une fesse
- Ça pourra toujours se faire
- Ah oui dit-elle en me tournant sur le ventre. Hmmm ce petit cul c’est vrai que ça donne envie
Puis elle se couche sur moi en prenant soin d’appuyer son bassin contre mes fesses. Elle glisse sa langue sur mon oreille puis ma nuque, ma colonne vertébrale, mes reins, mes fesses, mes cuisses puis enfin mes mollets qu’elle attrape et avance pour me faire comprendre de me relever. Je remonte donc mes fesses tout en maintenant ma tête sur le lit. Je me retrouve donc dans la position dans laquelle j’aime la prendre. Mais cette fois c’est moi la proie.
Nina écarte mes jambes et passe sa main sur mon sexe déjà baveux. De son autre main elle passe dans la rainure de mes fesses et glisse jusqu’à mon anus. Puis c’est sa langue qui glisse de mes fesses à l’intérieur jusqu’à… entendre Alexandre qui se réveille et nous appelle. Nina se relève et s’allonge à côté. Je me retourne, me colle contre elle et glisse ma cuisse entre les siennes. Je l’embrasse et tout en caressant son corps je grimpe sur elle pour frotter mon sexe contre le sien. Je sens qu’elle est terriblement humide. Je ne peux alors résister de m’engouffrer en elle. Elle soupire car, même si elle ne s’y attendait pas, c’est ce qu’elle désirait profondément. Je fais quelques allers retours puis Alexandre appelle de nouveau. Je ressors avant qu’Alexandre vienne dans la chambre et dis à Nina de continuer sans moi. J’enfile difficilement mes vêtements et pars m’occuper d’Alexandre. Je le prépare et l’emmène à l’école. Je passe chercher les chocolatines pour les filles et rentre à la maison.
En rentrant il n’y a personne en bas. Les filles sont toujours au lit. Je me dis alors que je vais pouvoir rejoindre Nina et reprendre où nous en étions restés. Je monte l’escalier et je vois que le rideau de la chambre de Martina est ouvert. Zut elles doivent être sur la terrasse et je ne l’ai pas vu. Je pars dans la chambre pour me changer et là surprise. Mon sexe explose devant une vision féérique : Nina et Martina sont nues sur notre lit en 69. Comme d’habitude Nina est dessous. J’ai une vue directe sur les fesses de Martina. Nina me regarde avec un sourire coquin et replonge sa tête dans l’intimité de sa copine.
J’enlève mon jean et mon polo et me couche en caleçon à côté de ces beautés. Leurs langues s’appliquent sur leurs sexes avec délicatesse. Je me délecte de ces bruits de succion sur leurs clitoris et de ces gémissements à l’unisson. Je suis particulièrement attentif à ce que Martina fait avec sa langue et ses doigts car Nina semble beaucoup apprécier. Cette scène dure de longues minutes au cours desquelles je ne débande pas même sans me toucher. L’une, puis l’autre finisse par jouir.
Nina s’allonge entre moi et Martina, et m’embrasse. Ses lèvres ont goût de Martina. Après un petit moment de calme Nina me dit :
- Alors le spectacle t’a plu ?
- Superbe. Je ne m’attendais pas à ça
- Je me doute. J’étais en train de penser à toi quand Martina est entrée dans la chambre et m’a proposé un coup de main
- Tu aurais eu tort de t’en priver c’est sûr. C’est beau l’amitié
- Eh oui je suis une femme sur qui on peut compter rétorque Martina
- Oh oui une femme pleine de ressources et de surprises dis-je en me remémorant nos aventures de la veille
- Ça n’avait pas l’air de te déplaire hier dit Martina en se relevant et passant son bras par-dessus Nina pour attraper mes fesses à travers mon caleçon toujours au bord de l’explosion
Nina ne voulant pas être en reste m’embrasse langoureusement et en profite pour baisser mon caleçon. Nous voici tous trois nus mais dans les gestes de ses dames je comprends que c’est moi qui vais être le centre de l’attention. Nina se lève et fait le tour de moi afin que je me retrouve entre elles. Je m’allonge confortablement et pose mes mains sur leurs deux cuisses épaisses. Je remonte vers leur pubis et caresse leurs fentes humides.
Puis en parfaite synchronisation toutes deux se penchent vers mon pénis pour l’embrasser. Leurs langues parcourent toute la longueur de mon membre dressé puis s’entremêlent pour un spectacle magnifique. Leurs mains caressent mes cuisses et mon torse. Je suis à la merci de ses deux belles femmes… et je suis aux anges. Mais tout bascule quand Martina se lève, attrape un bandeau et un lien et me bande les yeux et attache mes mains ensemble. Là je comprends que je vais prendre cher.
Sans le sens de la vue j’ai du mal à savoir qui fait quoi. Cela m’oblige à me concentrer sur mes sensations. Des mains parcourent tout mon corps. Des langues glissent sur moi fouillant le moindre recoin de mon corps. On écarte mes cuisses et les maintient en l’air. Je sens alors une langue glisser de mon gland vers mes testicules puis mon périnée et enfin mon anus. Vu comment c’est fait je pense que c’est Martina. Pendant ce temps l’autre bouche englobe mon pénis. Un doigt vient effleurer ma rondelle. Puis les filles se font des messes basses et je sens une autre langue s’approcher de mon trou. J’en déduis que c’est Nina. J’en bande comme un âne…
Martina le voit et fait remarquer à Nina comment je mouille. En effet je sens que mon sexe bave sur mon ventre. Puis une langue ramasse ce jus et le remonte jusqu’à mon gland. J’entends Martina dire à quel point elle aime le goût du sperme. Elle me grimpe dessus et me colle son vagin trempé sur le nez. Tout en avalant mon sexe en entier, elle baise ma bouche avec son yoni et son anus. Elle s’assoie sur moi et j’ai peine à respirer. Je ne peux que sortir ma langue pour lécher ce qui se présente à moi. Quelle torture de ne pas pouvoir voir ces deux magnifiques femmes passer leurs langues sur mes parties génitales !
Puis je suis libéré de mon emprise fessière et Martina vient aider Nina. Elle lui montre comment elle ouvre un anus avec les doigts et beaucoup de lubrifiant. Je suis le cobaye d’un cours particulier extrêmement excitant. Je sens des doigts me tripoter la rondelle mais j’ignore à qui ils appartiennent. Ils se font plus pressants et commencent à s’introduire en moi. Je m’abandonne sous ses caresses exquises. Leurs mains parcourent mon anatomie. Pendant qu’un doigt me pénètre, la moindre parcelle de mon corps est délicatement touchée par ces douces mains et langues. Le doigt entre totalement en moi. C’est beaucoup moins désagréable que la veille. Je sens un deuxième doigt prendre le même chemin. Mes sensations sont décuplées par ma cécité temporaire. Habituellement je suis particulièrement sensible au visuel donc là je suis obligé de me concentrer sur le toucher. Et c’est agréable.
Les deux doigts font maintenant des va et vient sur toutes leurs longueurs. Je suis ballotté par les mouvements et sens mon sexe bouger en conséquence. Puis une bouche l’attrape et le lèche de haut en bas. Puis on me manipule de façon à me mettre sur les genoux. On m’embrasse tout en me masturbant. Puis on pousse mon dos et je tombe sur les mains. Me voici maintenant à quatre pattes, les yeux bandés, offert à deux déesses.
Mon corps tremble d’excitation. Des doigts parcourent mon échine et mes fesses. Puis mon exploration interne recommence dans cette position peu valorisante. Je sens les doigts continuer leur travail d’élargissement. J’entends des bruits de pas qui quittent la chambre et reviennent peu de temps après. Que se passe-t-il ? L’inconnu de la situation est autant excitant que terrifiant. J’imagine leurs sourires, leurs regards. Je les imagine prendre des photos de cette situation embarrassante. Puis je suis tiré de mes pensées par une sensation qui n’est plus inconnue. Un objet froid et huileux se présente devant mon anus. Je sais ce qu’elles s’apprêtent à faire ayant eu droit à ce même traitement hier. Mais est-ce Martina ou Nina au bout du gode ?
Je suis pénétré de tout son long plutôt facilement. Puis mes hanches sont attrapées pour donner du relief aux mouvements. Des lèvres viennent ensuite se poser sur les miennes. Je reconnais instantanément la douceur de Nina. C’est donc Martina qui est derrière moi. Nous nous embrassons tendrement puis elle me présente son vagin. J’y plonge dedans comme un mort de faim. Je lèche ce sexe que je connais par cœur mais dont je ne me lasse jamais. Plus les coups de reins se font violents, plus je mange ce yoni avec véhémence. Je sens la cyprine couler à flots signe de son excitation de la situation. Je ressens pleinement ce que cela fait de se faire prendre sans pouvoir rien faire. Cette situation de lâcher prise qui me manque tant au quotidien.
Puis Nina se retire puis Martina aussi. Elles se parlent à voix basse. J’imagine qu’elle change les rôles. Mon intuition est confirmée quand le sex-toy revient en contact avec moi. Les gestes sont moins assurés. Nina prend possession de moi petit à petit en lâchant des petits soupirs sûrement dû au côté enfoui en elle. Elle caresse mes fesses et mes hanches puis les attrape et colle son bassin contre mes fesses. Ses mouvements deviennent plus lourds, plus sensuels. Elle devient possédée par cette sensation de domination et se prend vraiment au jeu. Elle me baise comme je l’ai tant baisé dans cette position. Je m’en écroule sur le lit.
Martina fait pivoter Nina pour que nous soyons sur le côté. Elle attrape mon sexe et le dirige vers son vagin. J’y pénètre sans difficultés. Me voici de nouveau pris entre le marteau et l’enclume…pour mon plus grand bonheur. Chaque coup donné par Nina se répercute sur Martina. Décidément cette visite est pleine de surprises.
Les filles me détachent les mains et je peux donc pleinement profiter de la douce peau de Martina, de ses cuisses charnues, de ses seins imposants et de son yoni ruisselant. Dommage en revanche d’avoir toujours ce bandeau sur les yeux car la stimulation visuelle doit être exceptionnelle. Mais bon je suis déjà bien heureux d’avoir retrouvé mes mains et je m’en donne à cœur joie.
Petit à petit je sens que l’excitation monte en moi. Je suis sauvé par un changement de position. Je suis dirigé pour m’installer au-dessus de ma partenaire. Je m’empale sur le sexe en plastique sans savoir si qui est au bout. Les mains attrapent mes hanches pour me donner le rythme. Je pose mes mains sur la poitrine en dessous de moi et reconnais immédiatement les seins de Nina. C’est toujours elle qui est aux commandes. Et vu l’énergie qu’elle met dans ses gestes ça à l’air de lui plaire. Cette position est moins confortable et agréable pour moi. Je suis donc moins expressif et les filles doivent le ressentir car assez rapidement je suis basculé sur le dos. Nina reprend les commandes alors que Martina englobe mon sexe. Que c’est agréable de sentir une bouche chaude après une pénétration. Je sens le jus monter et je pense que Martina aussi car elle s’arrête. Nina s’extrait de moi aussi et je suis de nouveau manipulé pour me mettre par terre, dos contre le lit mais les fesses en l’air.
Cette position est encore moins confortable. Surtout si j’éjacule, ce qui risque d’arriver vite vu mon niveau d’excitation, c’est sur moi que cela va partir. Mais c’est bien dans cette position que continue notre formidable aventure. Je suis caressé principalement mes cuisses et mollets puis mon anus est de nouveau mis à contribution. À ce moment-là je ne sais pas qui me monte ainsi dessus. Mais malgré le caractère précaire de la situation les sensations sont au rendez-vous. Je sens le bassin de ma partenaire venir en contact contre mes fesses. Je suis ainsi pris avec une agilité qui me fait penser que c’est Martina. Mais sait-on jamais Nina est peut être devenue experte. En tout cas je sens que je ne vais pas tenir longtemps. Surtout qu’une main caresse mon pénis et une autre malaxe mes cuisses.
Comme la veille je sens l’orgasme monter de l’intérieur. J’essaie de le contenir car si je jouis là il y a de fortes chances que mon sperme atteigne mon visage. Mais plus je me retiens plus je sens que la jouissance n’en sera que plus explosive. Puis une main commence une légère masturbation de mon sexe. Je sens qu’il bave et cela atteint ma poitrine. Puis les mouvements de pénétration s’accélèrent. Mes deux cuisses sont prises pour appuis afin de rentrer le plus profondément en moi.
Et puis zut je décide de me laisser aller et tant pis pour l’humiliation d’un self facial. Je reviens dans mon corps pour vivre cette expérience à fond. Je ressens toutes les terminaisons nerveuses de mon anus s’exciter. Je ressens les douces et tendres caresses faites sur mon sexe qui contraste avec la virulence de la pénétration anale.
Ça y est le point de non-retour est dépassé. Je vais jouir dans cette position. Le premier jet repeint ma poitrine et mon menton. Le deuxième finit sur mon front et mes cheveux. Le troisième atteint mon visage. Cet événement tant redouté est arrivé. Mais mon éjaculation ne s’arrête pas là et je sens du sperme tomber et couler sur tout le haut de mon corps dans des proportions inhabituelles surtout après tous les orgasmes de la veille. J’ai l’impression de m’être pris sur le visage la jouissance de plusieurs hommes. Ma respiration haletante fait que ma bouche est entrouverte et du liquide pénètre à l’intérieur.
Je suis complètement vidé et incapable de bouger. Je sens que le sexe en plastique quitte mon être. Puis des douces langues glissent sur mon visage pour récupérer un peu de mon liquide de vie. Puis je suis embrassé mais je ne peux même plus réagir devant tout ce sperme qui entre dans ma bouche. Enfin on me relève et m’allonge sur le lit. Mon bandeau est enlevé. Après quelques instants pour me réhabituer à la lumière du jour je vois le visage radieux de mes deux partenaires. Elles sont fières de ce qu’elles viennent de réaliser.
Puis elles aident mes jambes chancelantes à aller jusqu’à la salle de bain. Nous rentrons tous les trois dans notre grande douche double et nous nous lavons mutuellement. Quelle bonne idée d’avoir fait une douche si grande. Je peux passer mes mains sur ces deux chefs d’œuvres corporels. Les seins de Martina sont juste parfaits. Les fesses de Nina sont toujours un délice pour les yeux et les mains. Cet instant est peut-être le meilleur moment de cette semaine de folie. L’eau ruisselle sur nos corps encore incandescents de nos ébats. La sensualité de nos caresses contraste avec l’heure passée qui malgré le plaisir a été d’une certaine violence. Je suis bien...
La douche finie nous allons enfin pouvoir prendre le petit déjeuner. J’enfile un boxer et descend préparer la table. Les filles arrivent et là ? vision irréelle fracture net de l’œil droit comme disait I AM. Elles sont toutes deux justes vêtues d’un string. Le bleu Victoria Secret pour Nina, un blanc que je n’avais pas vu pour Martina. Le contraste entre sa peau bronzée et la blancheur de son sous vêtement est saisissant.
Nous nous installons pour déjeuner. Je profite de ce doux moment pour regarder les courbes de ces deux déesses. Pendant le repas leurs seins, et dès qu’elles se lèvent leurs fesses et le reste. Puis à la fin Nina se lève et part faire un bout de vaisselle. En amenant des affaires à la cuisine je ne peux m’empêcher de mater les fesses de Nina qui dandinent dans ce joli string. Je me colle à elle et caresse ce corps délicieux. Je m’attarde particulièrement sur ses seins qui durcissent sous mes mains et ses fesses exquises. Elle me dit « mais tu en as pas eu assez ? ». Je lui réponds « Jamais de toi ». Je glisse une main sur le devant de son string et vient en contact avec son yoni déjà humide. Je glisse un doigt en elle et stimule son clitoris avec un autre. Je glisse un deuxième doigt et les crochète en direction de son point G. Je suis là à deux phalanges de son clitoris dans la paroi du vagin qui part en direction du ventre. Je fais de légères pressions en cercles dans la zone, puis je la tapote pour enfin accélérer la cadence. Cela augmente la pression sur les glandes de Skene. Je plie et déplie mes deux doigts contre sa paroi. Je continue de mon autre main à stimuler son clitoris. Je sens qu’elle contracte ses muscles pelviens emprisonnant mes doigts. Elle serre son fessier au fur et à mesure que son plaisir monte. De ma deuxième main je monte sur ses monts de Venus et les compresse légèrement.
Je sens qu’elle est en feu. Cela monte de plus en plus. L’orgasme est juste là. Le vagin se contracte et expulse un liquide transparent en jets conséquents. La fontaine jaillit sans s’arrêter. Les jambes de Nina ne tiennent plus. Mais je n’arrête pas mes mouvements alors qu’elle tombe au sol. Elle continue de gicler sur le sol. Puis elle s’effondre au milieu d’une belle flaque. Elle vient de vivre son premier « squirt ».
Je me relève et découvre que Martina était derrière nous. Elle a une main dans son string et se masturbe énergiquement. Je m’approche d’elle, l’embrasse et la retourne fougueusement. J’écarte son string et la pénètre d’un coup. Elle lâche un cri de surprise mais je ne m’en émeus pas et je la prends debout par derrière alors que Nina est inerte par terre. Je la défonce de toutes mes forces comme elle m’a défoncé ce matin. Je la pilonne tant et plus comme un taulard qui sort de prison. Tout son corps remue sous mes coups de butoir. Après la matinée que j’ai vécue en tant que dominé, je veux montrer mon côté dominant.
Je ne calcule pas mes coups et ne suis plus dans la performance. Ce que je veux c’est qu’elle sente ma masculinité ressurgir. Je continue jusqu’à ce que je sente que je vais partir. Je sors vite et lui dis de se mettre à genoux pour recevoir ma jouissance. Elle s’exécute sans broncher et je gicle sur son beau visage. Puis je lui tends mon sexe pour qu’elle le nettoie avec sa bouche et la laisse dans cette position.
Je me rapproche de Nina pour l’aider à se lever et à aller sur le canapé. Puis je nettoie la flaque dans la cuisine pendant que Martina est partie reprendre une douche. La matinée et le repas de midi sont calmes. Puis vient l’heure du départ pour Martina. Les adieux sont émouvants. Vu les derniers événements nous ne voulons pas nous quitter. Mais nous nous promettons de remettre ça l’année prochaine.
Nina et moi rentrons, nous posons sur le canapé et débriefons de ces dernières 24 heures :
- Waouh quelle aventure n’est-ce pas, je commence pour lancer la conversation
- Oui c’était intense. Qu’est-ce que tu as particulièrement aimé ?
- J’ai aimé prendre un peu de recul pour te voir prendre du plaisir. Et toi ?
- J’ai aimé te voir lâcher le contrôle. Alors ça fait quoi de se faire prendre dans le noir quand on est un homme ?
- Une fois la douleur initiale passée c’est intéressant. C’est un type d’orgasme tout à fait différent. Et toi ça t’a fait quoi d’être dans le rôle de celle qui prend ?
- Je dois avouer que je me suis bien pris au jeu.
- Nous regarderons pour s’équiper un peu avec du matériel plus adapté qui nous conviendra à tous les deux si tu veux
- Oui. Il y a d’autres choses que tu as aimé ou pas d’ailleurs ?
- Aimé des tas d’autres. En revanche je n’ai pas trop aimé le côté domination/humiliation de ce matin. Je pense que nous pouvons faire ce genre de pratique tout en restant doux
- D’avoir les yeux bandés ?
- Non ça, ça va c’est le côté où on te force à faire des choses que tu n’as pas trop envie
- Comme à la fin
- Oui par exemple. Et toi tu as aimé dans la cuisine ce matin ?
- C’était surprenant. Où as-tu appris cela ?
- Dans une histoire que j’avais lu. J’avais envie d’essayer et là vu l’excitation forte du moment je me suis dit que c’était le moment
- Quand tu veux nous pouvons remettre ça
- Avec plaisir. Promène-toi plus souvent dans cette tenue et cela pourrait arriver plus souvent que tu ne le crois.
- Et alors cela fait quoi de coucher avec mes copines ?
- C’est plaisant. Surtout quand ce sont de si belles femmes. Martina est… comment dire… surprenante. Et Marie-France c’était particulier de coucher avec une grand-mère. Et toi cela t’a fait quoi d’être embrassée et d’embrasser tes copines ?
- C’était doux. Martina sait y faire.
- Tu m’apprendras s’il y a des trucs que tu as apprécié et que je ne sais pas faire
- Pourquoi pas dit-elle en remontant sa robe dévoilant ses magnifiques cuisses. Tu peux commencer par-là peut être
Nina écarte ses cuisses pour me dévoiler son magnifique vagin. J’y plonge mes lèvres avec plaisir. Je glisse ma langue sur ses douces lèvres. Je remonte sur son clitoris que je lèche avec délectation. Nina me donne plusieurs conseils au fur et à mesure de mon cunnilingus. Cela semble avoir ses effets. La cyprine coule à flots sous mes coups de langue et de doigts. Quel plaisir de gouter au doux jus d’une femme désirable et désirée.
Puis je remonte pour poser mes lèvres sur les siennes. Nos langues se mêlent et s’entremêlent dans une infinie douceur. Loin des tumultes de nos précédents ébats, tout est tendresse, amour et sensualité. Nos mains caressent nos corps reconnaissants d’avoir trouvé l’âme sœur. Je remonte sa robe afin de découvrir ce chef œuvre qu’est son corps. J’embrasse ses mamelons qui durcissent sous ma langue. D’une main je déboutonne mon pantalon et sors juste mon pénis.
Je le présente devant la caverne humide de Nina. J’y rentre avec douceur. C’est chaud et humide. Je commence à naviguer dans sa mer intérieure. J’y suis bien. C’est un voyage plein de volupté. Nos corps entrent en osmose et fusionnent. Dans ce moment-là pas de domination, pas de jeux, pas de performances. Juste deux êtres s’aimant profondément qui s’unissent pour leur seul plaisir.
Je passe mes mains dans ses beaux cheveux et je l’embrasse tout en continuant de voguer en elle. Il n’est plus question d’elle, de moi mais de nous comme une seule et même personne. Le plaisir est présent de façon continu. Pas comme des orgasmes qui montent et nous emportent, mais comme un état continu de bien-être et de bonheur. Je n’ai pas envie de changer de position ni de chercher à tout contrôler. Je veux juste être en harmonie avec elle dans notre danse envoûtante.
La jouissance finit par venir et tout emporter avec elle. Cela se passe de manière naturelle et spontanée. Je me déverse en elle au moment même où elle aussi atteint l’orgasme. Nous plongeons alors dans les bras l’un de l’autre et profitons de ce moment divin. Puis je brise le silence :
- Merci pour cette conclusion merveilleuse à cette semaine
- Merci à toi pour cette douceur. C’était très agréable
- Quand même je n’aurais jamais pensé réaliser tant de nouvelles choses en une journée notamment quelques rêves
- C’est cool si cela a assouvi quelques fantasmes
- Il faudra s’occuper des tiens aussi à un moment
- Je ne dis pas non
- Par exemple si nous devions en réaliser un sous peu lequel tu choisirais ?
- Hummmm je crois que je dirais de pouvoir me connecter avec un autre homme pour voir ce que cela fait
J’avale difficilement ma salive car c’est pour moi quelque chose de difficile vu ma jalousie mais vu ce que nous venons de faire ensemble, je me dois bien d’y réfléchir… Je continue :
- Et si tu avais le choix tu aurais une cible privilégiée ?
- Non… surprend moi…
- Je vais y réfléchir mon amour
Nous nous embrassons et nous enlaçons. De mon côté je réfléchis déjà comment répondre à sa demande. Puis vient l’heure d’aller chercher Alexandre. La vie courante reprend son cours après cette parenthèse endiablée….
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