Une soirée (1)
Récit érotique écrit par Arnaud Desens [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-03-2014 dans la catégorie Plus on est
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Une soirée (1)
Après cette soirée très animée chez Nadège, les trois filles devinrent inséparables. C’était donc tout à fait naturel que je les retrouve dans le salon en train de rire aux éclats autour une bouteille de champagne, sans aucun doute fournie par Nadège. Elles avaient toutes les trois enfilé des tenues sexys, révélant leurs jambes, mettant en valeur leurs seins, ce qui n’était pas pour me déplaire.
— Enfin, le voilà, s’exclama Nina, on allait partir sans toi.
— Partir où, demandais-je ?
— Nadège nous a invités dans une soirée, dit Émilie.
— Une partouze, s’exclama Nina avec un large sourire.
— Une soirée libertine, corrigea Nadège, va prendre une douche et te changer, on t’attend.
Dans la salle de bain, je retrouvais Erwann qui se rasait.
— Toi aussi tu viens, lui demandais-je ?
— Tout le monde y va, Félix finit de s’habiller. Les filles sont excitées comme des puces depuis que je suis rentré. Nina saute partout en hurlant qu’on va dans une partouze. On dirait qu’elle n’a pas baisé depuis des mois.
Je me douchais en vitesse, enfilais des vêtements propres et suivait les autres dans la rue. Nadège partie avec les filles, je les suivais dans ma voiture avec les mecs. Nous roulâmes un moment, sans vraiment quitter la ville. Nous arrivâmes devant une maison qui me fit penser à celle de Fernand Naudin dans les Tontons Flingeurs. Les roues de la voiture firent crisser le gravier de l’allée. Nous nous garâmes avec les autres véhicules, et montâmes les quelques marches du perron. Nadège sonna et une soubrette sexy vint nous ouvrir la porte. Petit tablier blanc sur une tenue noire minimaliste, décolleté pigeonnant, jupe au ras des fesses.
— Nadège, ma chérie, s’exclama la soubrette, enfin, je commençais à m’inquiéter. Je vois que tu arrives en bonne compagnie, tant mieux, plus on est de fous plus on baise.
Nadège nous présenta à son ami Béatrice, et nous entrâmes dans la maison. Bougies, lanternes, ambiance tamisée, tapis épais, meubles anciens, miroirs, escalier en pierre, parquet massif. Une demeure magnifique, un parfait écrin pour la soirée.
— Ici le salon, dit Béatrice en nous faisant visiter, là la cuisine, le bureau de Pierre est zone interdite, à l’étage les chambres. Il y a une salle d’eau en bas, et une salle de bain en haut. Je vous laisse faire connaissance avec les autres invités.
Il y avait une dizaine d’invités, certains déjà en pleine action comme ce couple dans les escaliers. Il était assis sur les marches pendant qu’elle le chevauchait. S’il avait gardé sa chemise, nous avions une vue sur ses seins lourds qui se ballotaient en rythme.
— J’adore l’ambiance, dit Nina en se dirigeant vers le salon où des couples assis sur les canapés discutaient, s’embrassaient, se caressaient, buvaient des boissons diverses.
— Moi aussi ça me plait bien, ajouta Émilie en la suivant et en allant s’assoir à côté d’une blonde aux seins obusiers qui emplissaient sans soucis sa petite robe serrée.
Elle posa sa main sur sa cuisse, la blonde se tourna et l’embrassa à pleine bouche. Nina faisait de même à quelques pas, entre un homme et une femme passant d’une bouche à une autre.
Nadège prit Erwann et Félix par la main et parti avec eux. Ils se faufilèrent dans l’escalier sans déranger le couple en pleine levrette, et me laissèrent seul en bas. Je restais à regarder les invités, les couples, les trios. Nous devions être les plus jeunes, le reste des convives avaient l’âge de Nadège, entre 35 et 40 ans. Certains mecs perdaient déjà leurs cheveux, et avaient un petit ventre.
Dans la cuisine deux types discutaient en buvant du vin. Je pris un verre, et m’avançait vers l’escalier. Sur les marches le type se faisait sucer et n’allait pas tarder à envoyer son foutre au visage de sa partenaire.
— À chaque fois, c’est pareil.
Je me retournais et vis Béatrice. Elle s’avança posa sa main sur mon épaule.
— À chaque fois, ils me font le même coup, ils arrivent et ne peuvent pas attendre, ils baisent dans le couloirs, l’escalier, puis Éric va dormir un moment dans une chambre sans baisser avec les autres. Enfin, heureusement que Fabienne est une vraie chienne, et qu’elle va se faire tous les mecs de la soirée. Tu devrais rester là, quand elle sera seule tu seras le premier sur les rangs.
— En fait, là, tout de suite, j’ai très envie de vous, lui dis-je.
— Comme c’est mignon, tu me vouvoies, tu vas me plaire, allez viens avec moi.
Je le suivis à l’étage. Nous passâmes devant une chambre où nous vîmes Nadège prise entre Erwann et Félix, une queue dans la bouche, l’autre dans le cul. Sa soirée à elle aussi commençait bien. Erwann me fit un clin d’œil au passage.
— Nadège a toujours le chic pour trouver des partenaires, je crois qu’elle n’est jamais venue ici seule, elle vient toujours à trois, quatre. Je ne vais pas me plaindre, c’est un peu le but de ces soirées de rencontrer du monde.
— Vous en faites souvent, de ces soirées.
— Une fois par mois.
— Et Nadège vient à chaque fois ?
— Presque, ma sœur est une vraie salope, comme moi. Et puis je suis sûre qu’elle se dit que comme j’ai rencontré Pierre, mon époux, dans une soirée comme celle-ci, elle va se trouver un bon parti dans mes soirées.
— Je ne comprends pas, je pensais que Nadège était mariée, elle nous a présenté Francis chez elle.
— Non, Francis est un de ses réguliers, mais pas son mari.
Je compris pourquoi nous n’avions jamais revu Francis, mais cette idée me quitta vite quand Béatrice défit ma braguette et prit ma bite en bouche. À genou devant moi, la petite soubrette me suçait gentiment. Son costume, le décor, l’ambiance, tout me faisait penser à un film porno comme ceux que nous regardions parfois chez nous. Je cherchais même les caméras.
— J’aime bien ta queue, me dit Béatrice, bien dure, longue, mais pas trop grosse, et puis Nadège m’a dit que tu étais un super coup.
Elle se mit sur le lit, écarta les jambes. J’avais déjà vu qu’elle ne portait pas de culotte, et avait eu un aperçu de son sexe rasé intégralement. Je m’avançais vers elle, et glissais un doigt entre ses lèvres. Elle était chaude, humide. J’embrassais l’intérieur de ses cuisses en continuant de la doigter. Ma langue goutait sa peau, découvrant ses parfums.
— Lèche-moi, fais-moi jouir avec ta bouche.
Je relevais la tête, souris à Béatrice et plongeait vers son sexe débordant de désirs. Elle soupira quand je posais ma langue sur sa chatte, écartant ses lèvres, léchant son jus, explorant ses intimités.
— Vas-y, bouffe-moi, si tu me fais hurler, je te laisserais m’enculer.
Encourager par la perspective de prendre le cul de Béatrice, je m’appliquais, redoublait d’enthousiasme, usant de tous mes talents pour la faire jouir. Je sentais son jus couler de plus en plus abondamment en moi. Je le buvais, m’en délectais. Béatrice agrippa les draps, se cambra, et lâcha un petit cri avant de retomber sur le lit. Elle fit voler son costume, et m’attira vers elle.
— Baise-moi, fort, baise-moi comme une chienne.
Je la pris en levrette, m’agrippant à ses hanches, donnant de grands coups de reins, m’écrasant en elle, au fond d’elle, mes couilles tapant contre ses fesses. Elle gémissait. S’accrochait aux draps. Hurla. Je me vidais les couilles dans un grand cri. Laissant la marque de mes ongles sur sa peau.
— Dommage que tu sois venu si vite, tu aurais adoré mon cul, il est fait pour être baisé par de belles bites comme la tienne, me dit-elle en se relevant.
Je retirais ma capote, et m’assis sur le lit, la regardant se rhabiller. Nadège apparue sur la pas de la porte. Elle ne portait qu’une culotte, laissant ses seins libres. Elle était décoiffée. Sa peau luisait de sueur.
— Je savais que tu allais prendre ton pied avec lui, dit-elle à sa sœur.
— J’adore les jeunes, plein de fougue, d’énergie, de passion.
— Et puis ils ne sont pas longs à se remettre en train regarde, il bande déjà.
— Tu vas pouvoir en profiter, moi je goutterais bien une petite chatte bien humide, dit-elle ne sortant de la chambre.
Nadège s’approcha, s’installa à côté de moi, prit ma queue dans sa main.
— Tu veux descendre et profiter un peu des autres, ou tu préfères que je te suce ici ?
— Enfin, le voilà, s’exclama Nina, on allait partir sans toi.
— Partir où, demandais-je ?
— Nadège nous a invités dans une soirée, dit Émilie.
— Une partouze, s’exclama Nina avec un large sourire.
— Une soirée libertine, corrigea Nadège, va prendre une douche et te changer, on t’attend.
Dans la salle de bain, je retrouvais Erwann qui se rasait.
— Toi aussi tu viens, lui demandais-je ?
— Tout le monde y va, Félix finit de s’habiller. Les filles sont excitées comme des puces depuis que je suis rentré. Nina saute partout en hurlant qu’on va dans une partouze. On dirait qu’elle n’a pas baisé depuis des mois.
Je me douchais en vitesse, enfilais des vêtements propres et suivait les autres dans la rue. Nadège partie avec les filles, je les suivais dans ma voiture avec les mecs. Nous roulâmes un moment, sans vraiment quitter la ville. Nous arrivâmes devant une maison qui me fit penser à celle de Fernand Naudin dans les Tontons Flingeurs. Les roues de la voiture firent crisser le gravier de l’allée. Nous nous garâmes avec les autres véhicules, et montâmes les quelques marches du perron. Nadège sonna et une soubrette sexy vint nous ouvrir la porte. Petit tablier blanc sur une tenue noire minimaliste, décolleté pigeonnant, jupe au ras des fesses.
— Nadège, ma chérie, s’exclama la soubrette, enfin, je commençais à m’inquiéter. Je vois que tu arrives en bonne compagnie, tant mieux, plus on est de fous plus on baise.
Nadège nous présenta à son ami Béatrice, et nous entrâmes dans la maison. Bougies, lanternes, ambiance tamisée, tapis épais, meubles anciens, miroirs, escalier en pierre, parquet massif. Une demeure magnifique, un parfait écrin pour la soirée.
— Ici le salon, dit Béatrice en nous faisant visiter, là la cuisine, le bureau de Pierre est zone interdite, à l’étage les chambres. Il y a une salle d’eau en bas, et une salle de bain en haut. Je vous laisse faire connaissance avec les autres invités.
Il y avait une dizaine d’invités, certains déjà en pleine action comme ce couple dans les escaliers. Il était assis sur les marches pendant qu’elle le chevauchait. S’il avait gardé sa chemise, nous avions une vue sur ses seins lourds qui se ballotaient en rythme.
— J’adore l’ambiance, dit Nina en se dirigeant vers le salon où des couples assis sur les canapés discutaient, s’embrassaient, se caressaient, buvaient des boissons diverses.
— Moi aussi ça me plait bien, ajouta Émilie en la suivant et en allant s’assoir à côté d’une blonde aux seins obusiers qui emplissaient sans soucis sa petite robe serrée.
Elle posa sa main sur sa cuisse, la blonde se tourna et l’embrassa à pleine bouche. Nina faisait de même à quelques pas, entre un homme et une femme passant d’une bouche à une autre.
Nadège prit Erwann et Félix par la main et parti avec eux. Ils se faufilèrent dans l’escalier sans déranger le couple en pleine levrette, et me laissèrent seul en bas. Je restais à regarder les invités, les couples, les trios. Nous devions être les plus jeunes, le reste des convives avaient l’âge de Nadège, entre 35 et 40 ans. Certains mecs perdaient déjà leurs cheveux, et avaient un petit ventre.
Dans la cuisine deux types discutaient en buvant du vin. Je pris un verre, et m’avançait vers l’escalier. Sur les marches le type se faisait sucer et n’allait pas tarder à envoyer son foutre au visage de sa partenaire.
— À chaque fois, c’est pareil.
Je me retournais et vis Béatrice. Elle s’avança posa sa main sur mon épaule.
— À chaque fois, ils me font le même coup, ils arrivent et ne peuvent pas attendre, ils baisent dans le couloirs, l’escalier, puis Éric va dormir un moment dans une chambre sans baisser avec les autres. Enfin, heureusement que Fabienne est une vraie chienne, et qu’elle va se faire tous les mecs de la soirée. Tu devrais rester là, quand elle sera seule tu seras le premier sur les rangs.
— En fait, là, tout de suite, j’ai très envie de vous, lui dis-je.
— Comme c’est mignon, tu me vouvoies, tu vas me plaire, allez viens avec moi.
Je le suivis à l’étage. Nous passâmes devant une chambre où nous vîmes Nadège prise entre Erwann et Félix, une queue dans la bouche, l’autre dans le cul. Sa soirée à elle aussi commençait bien. Erwann me fit un clin d’œil au passage.
— Nadège a toujours le chic pour trouver des partenaires, je crois qu’elle n’est jamais venue ici seule, elle vient toujours à trois, quatre. Je ne vais pas me plaindre, c’est un peu le but de ces soirées de rencontrer du monde.
— Vous en faites souvent, de ces soirées.
— Une fois par mois.
— Et Nadège vient à chaque fois ?
— Presque, ma sœur est une vraie salope, comme moi. Et puis je suis sûre qu’elle se dit que comme j’ai rencontré Pierre, mon époux, dans une soirée comme celle-ci, elle va se trouver un bon parti dans mes soirées.
— Je ne comprends pas, je pensais que Nadège était mariée, elle nous a présenté Francis chez elle.
— Non, Francis est un de ses réguliers, mais pas son mari.
Je compris pourquoi nous n’avions jamais revu Francis, mais cette idée me quitta vite quand Béatrice défit ma braguette et prit ma bite en bouche. À genou devant moi, la petite soubrette me suçait gentiment. Son costume, le décor, l’ambiance, tout me faisait penser à un film porno comme ceux que nous regardions parfois chez nous. Je cherchais même les caméras.
— J’aime bien ta queue, me dit Béatrice, bien dure, longue, mais pas trop grosse, et puis Nadège m’a dit que tu étais un super coup.
Elle se mit sur le lit, écarta les jambes. J’avais déjà vu qu’elle ne portait pas de culotte, et avait eu un aperçu de son sexe rasé intégralement. Je m’avançais vers elle, et glissais un doigt entre ses lèvres. Elle était chaude, humide. J’embrassais l’intérieur de ses cuisses en continuant de la doigter. Ma langue goutait sa peau, découvrant ses parfums.
— Lèche-moi, fais-moi jouir avec ta bouche.
Je relevais la tête, souris à Béatrice et plongeait vers son sexe débordant de désirs. Elle soupira quand je posais ma langue sur sa chatte, écartant ses lèvres, léchant son jus, explorant ses intimités.
— Vas-y, bouffe-moi, si tu me fais hurler, je te laisserais m’enculer.
Encourager par la perspective de prendre le cul de Béatrice, je m’appliquais, redoublait d’enthousiasme, usant de tous mes talents pour la faire jouir. Je sentais son jus couler de plus en plus abondamment en moi. Je le buvais, m’en délectais. Béatrice agrippa les draps, se cambra, et lâcha un petit cri avant de retomber sur le lit. Elle fit voler son costume, et m’attira vers elle.
— Baise-moi, fort, baise-moi comme une chienne.
Je la pris en levrette, m’agrippant à ses hanches, donnant de grands coups de reins, m’écrasant en elle, au fond d’elle, mes couilles tapant contre ses fesses. Elle gémissait. S’accrochait aux draps. Hurla. Je me vidais les couilles dans un grand cri. Laissant la marque de mes ongles sur sa peau.
— Dommage que tu sois venu si vite, tu aurais adoré mon cul, il est fait pour être baisé par de belles bites comme la tienne, me dit-elle en se relevant.
Je retirais ma capote, et m’assis sur le lit, la regardant se rhabiller. Nadège apparue sur la pas de la porte. Elle ne portait qu’une culotte, laissant ses seins libres. Elle était décoiffée. Sa peau luisait de sueur.
— Je savais que tu allais prendre ton pied avec lui, dit-elle à sa sœur.
— J’adore les jeunes, plein de fougue, d’énergie, de passion.
— Et puis ils ne sont pas longs à se remettre en train regarde, il bande déjà.
— Tu vas pouvoir en profiter, moi je goutterais bien une petite chatte bien humide, dit-elle ne sortant de la chambre.
Nadège s’approcha, s’installa à côté de moi, prit ma queue dans sa main.
— Tu veux descendre et profiter un peu des autres, ou tu préfères que je te suce ici ?
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