Une soirée à deux
Récit érotique écrit par Mic79 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-02-2016 dans la catégorie Dominants et dominés
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Une soirée à deux
Après plusieurs sorties libertines, cette histoire va vous raconter une soirée, qui au départ, devait être une soirée d’amoureux ; pour moi, ce fut en réalité surprise et orgasmes. 14 juillet, anniversaire de notre rencontre, c’est l’occasion d’un bon resto en amoureux. Celui-ci a tenu ses promesses et nous décidons de finir par un passage à la Rhumerie ; il porte bien son nom, et les punchs y ont excellents, mais aussi un peu traitres ; heureusement, nous n’avons pas besoin de voiture ; devant un planteur, nous en arrivons à reparler de nos sorties , du chemin parcouru depuis notre première aventure dans le midi ; je dois dire que qu’au fil de nos souvenirs, la chaleur me gagne et Mico de son côté commence à être plus entreprenante ; ici rien de possible et main dans la main , nous rentrons.
La porte refermée, je coince ma dulcinée et mes mains commencent leur voyage sur son corps ; elle se dérobe et me dit :« J’ai envie de jouer ; tirons au sort et celui qui gagne aura le choix pour toute la soirée » surpris, car ce n’est pas dans le tempérament de Mico de se mettre en avant sans une sollicitation préalable, j’accepte, espérant bien être le meneur de jeu ; erreur, c’est elle qui gagne. Un grand sourire illumine son visage et malicieuse, elle me lance « tu vas souffrir, tu es à mes ordres, je suis ton maitre » et changeant de ton, elle ajoute « déshabille toi, et allonge-toi sur le lit » je m’exécute et complètement nu, déjà en érection, je m’allonge, curieux de voir la suite. C’est alors qu’elle me bande les yeux, je me laisse faire et je me retrouve rapidement les mains attachées au lit avec les menottes rapportées de Paris, puis plus un bruit ; pendant quelques minutes plus rien ; je la sens enfin bouger et monter sur le lit, et je me retrouve avec son sexe sur le visage ; elle s’est dévêtue en silence et ses lèvres sont plaquées sur ma bouche ; « lèche-moi « je n’ai pas d’autre alternative et ma langue vient chercher son bourgeon ; je le suce , le mordille, le fait tourner entre mes lèvres ; elle se frotte le pubis , avance son bassin vers ma bouche ; je goutte les premiers prémices de son plaisir et quand je rentre ma langue dans son temple, elle gémit, se tortille et écrase sa chatte pour favoriser la percée de ma langue ; j’ai du mal à respirer et je m’écarte pour reprendre ma respiration ; une claque me cingle la cuisse « t’arrête pas , suce moi à fond « , ma queue me fait mal et je voudrai la prendre , mais impossible et je reprends avec fougue, cette fois j’essaie de la pénétrer le plus loin possible et bientôt je reçois sa cyprine ; j’aime son gout amer ; sa jouissance arrive et elle s’écroule sur moi. Mais très vite ses envies reprennent le dessus et elle vient me chevaucher « ne bouge pas , c’est moi qui me sert de ta queue » et en me pinçant les tétons, elle imprime son rythme ; ses fesses claquent sur mon bassin et elle se branle sur mon mandrin, j’essaie de me cambrer pour changer, je reçois des coups dans les cotes «ne bouge pas et ne jouis pas, attend que je te le dise » ; je ne la vois pas mais sa voix traduit son plaisir montant et sa respiration s’accélère ; j’ai du mal à me retenir d’autant plus qu’elle me tord les mamelons ; soudain, elle se cabre, m’enserrant un peu plus la queue et elle part, criant son plaisir en me frappant la poitrine ; je ne résiste pas et je libère mon jus . J’essaie de me libère du bandeau, mais elle m’arrête « c’est moi qui décide » sa voix est cassante ; je comprends enfin qu’elle a décidé de me dominer ; ce jeu n’est pas pour me déplaire.
Elle s’attaque alors à mes boules, elle les emprisonne, les tortille, joue avec les faisant rouler entre ses doigts, puis soudainement elle les tire en arrière ; je bande mais elle semble l’ignorer. Un doigt vient roder dans mon sillon et tourne sur mon anneau et essaye de forcer l’entrée ; elle le retire et après un l’instant le replace ; il est mouillé et sa pénétration se fait plus facilement et c’est bientôt en entier qu’elle le rentre, puis essaie un deuxième; je gigote afin de faciliter le passage, puis plus rien ; elle a quitté le lit et quand elle revient, c’est un gode qui vient forcer le passage. Elle me met un coussin sous le ventre ce qui doit faire saillir mon cul, et se mettant à cheval sur mes fesses, je la sens pousser, me pénétrant comme un homme ; c’est son bassin qui donne les poussée et le gode est bientôt en entier ; quand elle commence à me pilonner le cul, je comprends qu’elle a dû enfiler un gode culotte ; je ne savais pas qu’elle en avait un.
« tu aimes ça, tu vas en avoir » je suis dilaté et elle me besogne sans retenue ; ma queue est tendue et mon plaisir est double, la pénétration mais aussi la situation ; très vite elle me fait jouir et je ne peux me retenir ; ma jute se répand sur le lit, mais cela ne l’arrête pas ; par contre elle commence à gémir et sa respiration est plus saccadée ; ses coups sont plus puissants et me défoncent le cul ;soudain en criant elle s’écroule sur moi rattrapée par son plaisir ; en s’allongeant, elle me retire le bandeau et me libère les mains et je la découvre avec son gode ; en lui retirant la culotte, je comprends mieux son plaisir : c’est un double et en m’enculant elle avait en même temps le sien dans la chatte. Le reste de la soirée s’il a été plus conforme, n’en a pas été moins chaud ; Mico étant redevenue la petite femme, salope à ses heures, mais toujours aussi amoureuse.
La porte refermée, je coince ma dulcinée et mes mains commencent leur voyage sur son corps ; elle se dérobe et me dit :« J’ai envie de jouer ; tirons au sort et celui qui gagne aura le choix pour toute la soirée » surpris, car ce n’est pas dans le tempérament de Mico de se mettre en avant sans une sollicitation préalable, j’accepte, espérant bien être le meneur de jeu ; erreur, c’est elle qui gagne. Un grand sourire illumine son visage et malicieuse, elle me lance « tu vas souffrir, tu es à mes ordres, je suis ton maitre » et changeant de ton, elle ajoute « déshabille toi, et allonge-toi sur le lit » je m’exécute et complètement nu, déjà en érection, je m’allonge, curieux de voir la suite. C’est alors qu’elle me bande les yeux, je me laisse faire et je me retrouve rapidement les mains attachées au lit avec les menottes rapportées de Paris, puis plus un bruit ; pendant quelques minutes plus rien ; je la sens enfin bouger et monter sur le lit, et je me retrouve avec son sexe sur le visage ; elle s’est dévêtue en silence et ses lèvres sont plaquées sur ma bouche ; « lèche-moi « je n’ai pas d’autre alternative et ma langue vient chercher son bourgeon ; je le suce , le mordille, le fait tourner entre mes lèvres ; elle se frotte le pubis , avance son bassin vers ma bouche ; je goutte les premiers prémices de son plaisir et quand je rentre ma langue dans son temple, elle gémit, se tortille et écrase sa chatte pour favoriser la percée de ma langue ; j’ai du mal à respirer et je m’écarte pour reprendre ma respiration ; une claque me cingle la cuisse « t’arrête pas , suce moi à fond « , ma queue me fait mal et je voudrai la prendre , mais impossible et je reprends avec fougue, cette fois j’essaie de la pénétrer le plus loin possible et bientôt je reçois sa cyprine ; j’aime son gout amer ; sa jouissance arrive et elle s’écroule sur moi. Mais très vite ses envies reprennent le dessus et elle vient me chevaucher « ne bouge pas , c’est moi qui me sert de ta queue » et en me pinçant les tétons, elle imprime son rythme ; ses fesses claquent sur mon bassin et elle se branle sur mon mandrin, j’essaie de me cambrer pour changer, je reçois des coups dans les cotes «ne bouge pas et ne jouis pas, attend que je te le dise » ; je ne la vois pas mais sa voix traduit son plaisir montant et sa respiration s’accélère ; j’ai du mal à me retenir d’autant plus qu’elle me tord les mamelons ; soudain, elle se cabre, m’enserrant un peu plus la queue et elle part, criant son plaisir en me frappant la poitrine ; je ne résiste pas et je libère mon jus . J’essaie de me libère du bandeau, mais elle m’arrête « c’est moi qui décide » sa voix est cassante ; je comprends enfin qu’elle a décidé de me dominer ; ce jeu n’est pas pour me déplaire.
Elle s’attaque alors à mes boules, elle les emprisonne, les tortille, joue avec les faisant rouler entre ses doigts, puis soudainement elle les tire en arrière ; je bande mais elle semble l’ignorer. Un doigt vient roder dans mon sillon et tourne sur mon anneau et essaye de forcer l’entrée ; elle le retire et après un l’instant le replace ; il est mouillé et sa pénétration se fait plus facilement et c’est bientôt en entier qu’elle le rentre, puis essaie un deuxième; je gigote afin de faciliter le passage, puis plus rien ; elle a quitté le lit et quand elle revient, c’est un gode qui vient forcer le passage. Elle me met un coussin sous le ventre ce qui doit faire saillir mon cul, et se mettant à cheval sur mes fesses, je la sens pousser, me pénétrant comme un homme ; c’est son bassin qui donne les poussée et le gode est bientôt en entier ; quand elle commence à me pilonner le cul, je comprends qu’elle a dû enfiler un gode culotte ; je ne savais pas qu’elle en avait un.
« tu aimes ça, tu vas en avoir » je suis dilaté et elle me besogne sans retenue ; ma queue est tendue et mon plaisir est double, la pénétration mais aussi la situation ; très vite elle me fait jouir et je ne peux me retenir ; ma jute se répand sur le lit, mais cela ne l’arrête pas ; par contre elle commence à gémir et sa respiration est plus saccadée ; ses coups sont plus puissants et me défoncent le cul ;soudain en criant elle s’écroule sur moi rattrapée par son plaisir ; en s’allongeant, elle me retire le bandeau et me libère les mains et je la découvre avec son gode ; en lui retirant la culotte, je comprends mieux son plaisir : c’est un double et en m’enculant elle avait en même temps le sien dans la chatte. Le reste de la soirée s’il a été plus conforme, n’en a pas été moins chaud ; Mico étant redevenue la petite femme, salope à ses heures, mais toujours aussi amoureuse.
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