Une soirée au bureau
Récit érotique écrit par Tbm69 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-11-2006 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Une soirée au bureau
Je travaille depuis maintenant quelques années dans une boite de comptabilité installée dans les quartiers chics de Paris. J’ai des collègues charmants et des collègues charmantes.
Il y a quelques années maintenant, nous avons dû changer notre système informatique et cela a nécessité de gros efforts des collaborateurs pendant une période de plusieurs mois.
Nous étions rémunérés en conséquence, mais les heures supplémentaires s’accumulaient en même temps que la fatigue.
Bref, nous étions très souvent amenés à travailler tard le soir après notre journée normale. Nous restions souvent à 5 ou 6 personnes penchées sur un même problème auquel nous devions trouver une solution. Il y avait des femmes et des hommes, répartis à peu près équitablement. Mais un soir, nous nous sommes retrouvés deux hommes et deux femmes.
Il devait être 22 heures 30 – 23 heures, lorsque l’autre homme a déclaré forfait et est rentré chez lui, suivi de très près par l’une des deux femmes.
Nous n’étions maintenant qu’une collègue et moi, dans un grand bureau à travailler sur des listings. Nous recherchions une différence de quelques centaines de Francs et nous ne trouvions rien. Ceci avait le don de m’énerver, mais ma collègue savait comment me calmer : elle passait derrière moi et me massait les épaules. Elle le faisait en temps normal même lorsque les autres collègues étaient présents et leur appliquait le même traitement si besoin.
Cependant, cette fois-ci, nous n’étions que tous les deux et cela change beaucoup de choses car ce genre de massage prodigué par une si belle femme a de quoi réveiller mes sens, si tant est qu’ils soient endormis. En effet, cette jolie brune avait un corps auquel j’avais pensé à maintes reprises dans des situations érotiques. En clair, elle me plaisait énormément.
Aujourd’hui, ses mains sur mes épaules me procurent une sensation étrange, qui ne me dérange pas et qui est plutôt très agréable. Cela se devine tout de suite en voyant mon pantalon qui gonfle à vue d’œil. Ce qu’elle ne tarde pas à voir … et à me faire remarquer :
- « je te fais tant d’effet que cela ? ».
- « Si tu savais, je me demande si tu oserais continuer. »
- « Ah bon ? Raconte-moi alors ! » dit-elle en continuant ses massages.
- « Tout d’abord, je dois admettre que tu es vraiment canon ! »
- « merci »
- « …et que tu me plais énormément »
- « c’est gentil »
- « et que je te ferai bien des choses …»
- « Ah bon ! Et quoi donc ? »
- « Je ne sais pas si je peux te le dire. Si je t’en parle, tu jure de ne pas m’en vouloir ? »
- « Mais bien sur que non, voyons. Nous travaillons ensemble depuis tellement longtemps »
- « Justement. Je ne voudrais pas gâcher cette belle amitié, mais… »
- « Mais quoi ? »
- « Eh bien voilà : j’ai très envie de toi ! » Silence. Plus personne ne parle pendant quelques instants. Les massages continuent. Les mains descendent vers mes pectoraux et me les massent fermement.
- « Et… ??? » demande-t-elle tout en continuant à me masser.
- « Et… je te ferais bien l’amour ici et maintenant ».
De nouveau un blanc. Ces massages ressemblent plus à des caresses maintenant.
- « Et tu penses que je vais être d’accord ? » me demande-t-elle.
- « Je ne sais pas. Est-ce que je te plais au moins ? »
- « Vérifie toi même. »
Elle vient se mettre à côté de moi tout en continuant à me caresser. Elle fixe toujours la bosse de mon pantalon qui ne cesse de grandir.
Elle écarte un peu les jambes et je crois deviner qu’elle souhaite que je vérifie si elle mouille. J’avance prudemment une main vers elle. Je la dirige vers son entrejambes, quelque peu hésitant. Voyant cela, elle écarte encore un peu plus les jambes, ce que je prends pour être un accord de sa part. Je commence à la caresser au niveau du genou et je remonte doucement. Je n’étais pas encore arrivé à son minou que je sentais quelque chose de liquide me couler sur la main. Oh oui, elle mouillait ! Et même beaucoup.
Je retire ma main et je la lèche. Ceci l’excite énormément. Je décide alors de relever sa jupe et je m’aperçois qu’elle n’avait pas mis de culotte. Elle me demande :
- « Surpris qu’il n’y ait rien dessous ? »
- « Oui.. heu, non, en fait je ne sais pas ! »
Elle m’avoue alors que quelques heures auparavant, elle était allée aux toilettes et qu’elle avait retiré sa culotte « au cas où ». Ce geste signifiait qu’elle avait prémédité cette situation, ce qui n’était pas pour me déplaire.
Je plonge ma tête en direction de sexe qui était épilé et cela faisait transparaitre encore plus l’humidité de cet endroit : la lumière éclairait sa chatte et la mouille reluisait comme une gelée pendant une nuit de pleine lune en hiver.
Elle prend ma nuque et colle ma bouche sur son sexe. Je passe ma langue entre ses lèvres en partant du bas et en remontant vers son clitoris. Elle gémit. Mais lorsque je m’attaque à son petit bouton, ce ne sont plus des gémissements qui sortent de sa bouche, mais de râles et des cris. Je mordille son clitoris délicatement, et je passe et repasse ma langue sur la partie qui se trouve à l’intérieur sans desserrer pour autant mon étreinte.
Mes mains ne sont pas en reste : elles palpent ses fesses, les malaxent. Puis un doigt (le majeur) s’aventure dans la raie, descend puis remonte, en prenant soin de ne pas toucher au passage son petit trou.
Elle est super excitée. Son bassin commence à onduler et j’ai un peu de mal à conserver son clitoris entre mes dents (je ne veux pas lui faire de mal). Je relâche la pression sur le clitoris et je m’aventure à pousser ma langue bien au fond de son vagin. Simultanément, mon doigt qui s’occupait de la partie face entreprit de fouiller son anus, comme une double pénétration, mais tout en douceur… pour commencer !
Je sens le gout de la cyprine dans ma bouche et cela m’excite encore plus. Je retire mon doigt de son petit trou et j’en positionne deux à l’entrée. Elle sent que quelque chose se prépare. Je ne sais pas si elle redoute ce qui va se passer ou pas, mais elle reste très excitée car elle mouille toujours autant.
Mes deux doigts pénètrent d’un seul coup son petit cul. Cela dit, je n’ai pas eu à forcer beaucoup. Elle m’a semblé très dilatée sur le moment.
Quelques vas et viens, puis elle lâche un cri. Heureusement qu’il n’y avait plus personne à cette heure là.
Elle me prit la tête et la repoussa pour que j’arrête de la lécher. J’ai compris qu’elle voulait maintenant me faire la même chose.
En effet, elle me relève en me tirant par la main, et s’assied à ma place. Je me trouve debout à côté d’elle, tout comme elle l’était au préalable. Elle baisse la fermeture éclair de ma braguette, déboutonne mon pantalon, descend le slip et le pantalon sur mes chevilles. Elle commence alors une fellation dont je me souviens encore. Oh qu’elle s’y prenait bien cette cochonne ! Elle savait mettre son bout de langue là où ça faisait vraiment du bien. Elle malaxait mes testicules avec une douceur extrême. Je n’en pouvais plus. J’essayais de me retenir, mais je sentais que je n’allais pas tenir très longtemps. Je lui fais remarquer et quand je commence à sentir que je vais tout décharger, je tente un retrait pour ne pas lui jouir dans la bouche car cela ne plait pas à toutes les partenaires. Mais au contraire, elle me tient fermement et je finis par me lâcher dans sa bouche.
Nous restons un moment sans bouger, elle, toujours le sexe en bouche et moi la main sur ses cheveux. Elle suce bien mon sexe, comme pour le nettoyer, se lève et pose ses fesses sur le bureau en écartant bien les jambes. J’ai compris qu’elle voulait que je la prenne. Mon sexe n’a pas vraiment eu le temps de débander, il fallait que je la prenne : elle en avait envie et moi aussi.
Je dégage ce qui se trouve sur le bureau pour pouvoir l’allonger et être plus à l’aise. Je présente mon sexe à l’entrée de sa chatte. Elle est lubrifiée au possible, si bien que, lorsque je pousse pour la pénétrer, je n’ai pas beaucoup d’efforts à faire.
Cependant, j’ai quand même encore une envie, et je ne sais pas si elle acceptera. Je voudrais lui prendre son petit cul. J’essaie de la relever après une dizaine de vas et viens, je la retourne. Là, je suis surpris car elle me présente d’elle-même son cul pour se faire sodomiser. Elle précise toutefois que c’est une première pour elle et me demande d’y aller doucement.
Je présente donc mon gland à l’entrée de son orifice, je le rentre délicatement. Je sens une petite contraction. Je lui palpe les seins d’une main pendant que l’autre s’occupe de sa chatte. Ceci aidant, elle se détend un petit peu et j’en profite pour donner un coup de rein sec et la pénétrer ainsi entièrement. Après un petit cri (je n’ai jamais su si c’était la douleur ou le plaisir), je pouvais aller et venir dans son petit trou. Je n’ai pas tenu longtemps et j’ai vite joui avec le peu de sperme qui me restait.
Cette soirée là, nous n’avons pas trouvé notre différence de quelques centaines de Francs, et nos collègues nous ont demandé le lendemain ce que nous avions fait pendant ce temps-là. Elle a répondu sur le ton de la plaisanterie que nous avions baisé. Personne ne semblait l’avoir cru, mais peut être y avait il encore quelqu’un dans les locaux ce soir là, car…
Il y a quelques années maintenant, nous avons dû changer notre système informatique et cela a nécessité de gros efforts des collaborateurs pendant une période de plusieurs mois.
Nous étions rémunérés en conséquence, mais les heures supplémentaires s’accumulaient en même temps que la fatigue.
Bref, nous étions très souvent amenés à travailler tard le soir après notre journée normale. Nous restions souvent à 5 ou 6 personnes penchées sur un même problème auquel nous devions trouver une solution. Il y avait des femmes et des hommes, répartis à peu près équitablement. Mais un soir, nous nous sommes retrouvés deux hommes et deux femmes.
Il devait être 22 heures 30 – 23 heures, lorsque l’autre homme a déclaré forfait et est rentré chez lui, suivi de très près par l’une des deux femmes.
Nous n’étions maintenant qu’une collègue et moi, dans un grand bureau à travailler sur des listings. Nous recherchions une différence de quelques centaines de Francs et nous ne trouvions rien. Ceci avait le don de m’énerver, mais ma collègue savait comment me calmer : elle passait derrière moi et me massait les épaules. Elle le faisait en temps normal même lorsque les autres collègues étaient présents et leur appliquait le même traitement si besoin.
Cependant, cette fois-ci, nous n’étions que tous les deux et cela change beaucoup de choses car ce genre de massage prodigué par une si belle femme a de quoi réveiller mes sens, si tant est qu’ils soient endormis. En effet, cette jolie brune avait un corps auquel j’avais pensé à maintes reprises dans des situations érotiques. En clair, elle me plaisait énormément.
Aujourd’hui, ses mains sur mes épaules me procurent une sensation étrange, qui ne me dérange pas et qui est plutôt très agréable. Cela se devine tout de suite en voyant mon pantalon qui gonfle à vue d’œil. Ce qu’elle ne tarde pas à voir … et à me faire remarquer :
- « je te fais tant d’effet que cela ? ».
- « Si tu savais, je me demande si tu oserais continuer. »
- « Ah bon ? Raconte-moi alors ! » dit-elle en continuant ses massages.
- « Tout d’abord, je dois admettre que tu es vraiment canon ! »
- « merci »
- « …et que tu me plais énormément »
- « c’est gentil »
- « et que je te ferai bien des choses …»
- « Ah bon ! Et quoi donc ? »
- « Je ne sais pas si je peux te le dire. Si je t’en parle, tu jure de ne pas m’en vouloir ? »
- « Mais bien sur que non, voyons. Nous travaillons ensemble depuis tellement longtemps »
- « Justement. Je ne voudrais pas gâcher cette belle amitié, mais… »
- « Mais quoi ? »
- « Eh bien voilà : j’ai très envie de toi ! » Silence. Plus personne ne parle pendant quelques instants. Les massages continuent. Les mains descendent vers mes pectoraux et me les massent fermement.
- « Et… ??? » demande-t-elle tout en continuant à me masser.
- « Et… je te ferais bien l’amour ici et maintenant ».
De nouveau un blanc. Ces massages ressemblent plus à des caresses maintenant.
- « Et tu penses que je vais être d’accord ? » me demande-t-elle.
- « Je ne sais pas. Est-ce que je te plais au moins ? »
- « Vérifie toi même. »
Elle vient se mettre à côté de moi tout en continuant à me caresser. Elle fixe toujours la bosse de mon pantalon qui ne cesse de grandir.
Elle écarte un peu les jambes et je crois deviner qu’elle souhaite que je vérifie si elle mouille. J’avance prudemment une main vers elle. Je la dirige vers son entrejambes, quelque peu hésitant. Voyant cela, elle écarte encore un peu plus les jambes, ce que je prends pour être un accord de sa part. Je commence à la caresser au niveau du genou et je remonte doucement. Je n’étais pas encore arrivé à son minou que je sentais quelque chose de liquide me couler sur la main. Oh oui, elle mouillait ! Et même beaucoup.
Je retire ma main et je la lèche. Ceci l’excite énormément. Je décide alors de relever sa jupe et je m’aperçois qu’elle n’avait pas mis de culotte. Elle me demande :
- « Surpris qu’il n’y ait rien dessous ? »
- « Oui.. heu, non, en fait je ne sais pas ! »
Elle m’avoue alors que quelques heures auparavant, elle était allée aux toilettes et qu’elle avait retiré sa culotte « au cas où ». Ce geste signifiait qu’elle avait prémédité cette situation, ce qui n’était pas pour me déplaire.
Je plonge ma tête en direction de sexe qui était épilé et cela faisait transparaitre encore plus l’humidité de cet endroit : la lumière éclairait sa chatte et la mouille reluisait comme une gelée pendant une nuit de pleine lune en hiver.
Elle prend ma nuque et colle ma bouche sur son sexe. Je passe ma langue entre ses lèvres en partant du bas et en remontant vers son clitoris. Elle gémit. Mais lorsque je m’attaque à son petit bouton, ce ne sont plus des gémissements qui sortent de sa bouche, mais de râles et des cris. Je mordille son clitoris délicatement, et je passe et repasse ma langue sur la partie qui se trouve à l’intérieur sans desserrer pour autant mon étreinte.
Mes mains ne sont pas en reste : elles palpent ses fesses, les malaxent. Puis un doigt (le majeur) s’aventure dans la raie, descend puis remonte, en prenant soin de ne pas toucher au passage son petit trou.
Elle est super excitée. Son bassin commence à onduler et j’ai un peu de mal à conserver son clitoris entre mes dents (je ne veux pas lui faire de mal). Je relâche la pression sur le clitoris et je m’aventure à pousser ma langue bien au fond de son vagin. Simultanément, mon doigt qui s’occupait de la partie face entreprit de fouiller son anus, comme une double pénétration, mais tout en douceur… pour commencer !
Je sens le gout de la cyprine dans ma bouche et cela m’excite encore plus. Je retire mon doigt de son petit trou et j’en positionne deux à l’entrée. Elle sent que quelque chose se prépare. Je ne sais pas si elle redoute ce qui va se passer ou pas, mais elle reste très excitée car elle mouille toujours autant.
Mes deux doigts pénètrent d’un seul coup son petit cul. Cela dit, je n’ai pas eu à forcer beaucoup. Elle m’a semblé très dilatée sur le moment.
Quelques vas et viens, puis elle lâche un cri. Heureusement qu’il n’y avait plus personne à cette heure là.
Elle me prit la tête et la repoussa pour que j’arrête de la lécher. J’ai compris qu’elle voulait maintenant me faire la même chose.
En effet, elle me relève en me tirant par la main, et s’assied à ma place. Je me trouve debout à côté d’elle, tout comme elle l’était au préalable. Elle baisse la fermeture éclair de ma braguette, déboutonne mon pantalon, descend le slip et le pantalon sur mes chevilles. Elle commence alors une fellation dont je me souviens encore. Oh qu’elle s’y prenait bien cette cochonne ! Elle savait mettre son bout de langue là où ça faisait vraiment du bien. Elle malaxait mes testicules avec une douceur extrême. Je n’en pouvais plus. J’essayais de me retenir, mais je sentais que je n’allais pas tenir très longtemps. Je lui fais remarquer et quand je commence à sentir que je vais tout décharger, je tente un retrait pour ne pas lui jouir dans la bouche car cela ne plait pas à toutes les partenaires. Mais au contraire, elle me tient fermement et je finis par me lâcher dans sa bouche.
Nous restons un moment sans bouger, elle, toujours le sexe en bouche et moi la main sur ses cheveux. Elle suce bien mon sexe, comme pour le nettoyer, se lève et pose ses fesses sur le bureau en écartant bien les jambes. J’ai compris qu’elle voulait que je la prenne. Mon sexe n’a pas vraiment eu le temps de débander, il fallait que je la prenne : elle en avait envie et moi aussi.
Je dégage ce qui se trouve sur le bureau pour pouvoir l’allonger et être plus à l’aise. Je présente mon sexe à l’entrée de sa chatte. Elle est lubrifiée au possible, si bien que, lorsque je pousse pour la pénétrer, je n’ai pas beaucoup d’efforts à faire.
Cependant, j’ai quand même encore une envie, et je ne sais pas si elle acceptera. Je voudrais lui prendre son petit cul. J’essaie de la relever après une dizaine de vas et viens, je la retourne. Là, je suis surpris car elle me présente d’elle-même son cul pour se faire sodomiser. Elle précise toutefois que c’est une première pour elle et me demande d’y aller doucement.
Je présente donc mon gland à l’entrée de son orifice, je le rentre délicatement. Je sens une petite contraction. Je lui palpe les seins d’une main pendant que l’autre s’occupe de sa chatte. Ceci aidant, elle se détend un petit peu et j’en profite pour donner un coup de rein sec et la pénétrer ainsi entièrement. Après un petit cri (je n’ai jamais su si c’était la douleur ou le plaisir), je pouvais aller et venir dans son petit trou. Je n’ai pas tenu longtemps et j’ai vite joui avec le peu de sperme qui me restait.
Cette soirée là, nous n’avons pas trouvé notre différence de quelques centaines de Francs, et nos collègues nous ont demandé le lendemain ce que nous avions fait pendant ce temps-là. Elle a répondu sur le ton de la plaisanterie que nous avions baisé. Personne ne semblait l’avoir cru, mais peut être y avait il encore quelqu’un dans les locaux ce soir là, car…
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