une soirée avec un ami de mon mari

Récit érotique écrit par Stark31 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
- • 5 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
- • L'ensemble des récits érotiques de Stark31 ont reçu un total de 15 796 visites.

Cette histoire de sexe a été affichée 4 115 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
une soirée avec un ami de mon mari
Pourquoi je ne dis jamais "non" à mon mari pour tout ce qui touche au plaisir, je ne le sais pas moi-même. Peut-être parce que j'aime trop le frisson de l’interdit, la montée d’adrénaline qui précède ces moments où tout bascule. Cela fait une semaine qu'il m’envoie des messages torrides, ponctués de vidéos explicites, toutes centrées sur un même fantasme : l’art délicat d’une bouche gourmande autour d’un sexe dressé.
Ce soir, nous avons un invité. Régis, un ami d’enfance de Pierre, mon mari. Je ne l’ai vu qu’une seule fois, il y a plus de quinze ans, et pourtant, ce soir, il est là, assis à notre table, son regard effleurant ma silhouette d’un air à la fois curieux et admiratif. Je sais ce que je représente à cet instant. Une femme mûre, sûre d’elle, habillée avec juste ce qu’il faut de provocation. Une jupe noire révélant le sommet de mes bas autofixants, un chemisier blanc légèrement entrouvert, des talons qui affinent ma silhouette.
L’apéritif se prolonge, les verres se vident, l’ambiance se détend. Je les écoute rire, se remémorer leurs souvenirs d’adolescence, et sans même m’en rendre compte, je me laisse emporter par cette énergie masculine, ce jeu subtil de regards et de sous-entendus. Je sens la chaleur monter en moi, cette envie diffuse, cette électricité qui s’intensifie sous la table, entre mes cuisses déjà humides.
Pierre capte immédiatement mon trouble. Il se lève, m’attire discrètement dans l’entrée et me glisse à l’oreille, son souffle chaud effleurant ma peau :
— Dans pas longtemps, tu vas le sucer devant moi.
Mon cœur rate un battement. Il retourne dans le salon, me laissant seule avec cette proposition qui me transperce de désir. Une vague de chaleur me submerge. L’idée de m’agenouiller entre les jambes d’un autre, sous le regard attentif de mon mari, me consume lentement.
Je sors sur la terrasse, le besoin d’air plus vital que jamais. Mon téléphone vibre. Un message. Un lien. Pierre a encore frappé. J’ouvre la vidéo, une scène explicite où une femme exécute avec une lenteur exquise ce que j’ai toujours aimé faire, sucer une bonne queue bien dure et juteuse à souhait . Mon corps réagit immédiatement, mon bas-ventre se contracte, mon souffle s’accélère. L’envie est là, elle me submerge.
Pierre me rejoint, une cigarette entre les doigts. Il plonge son regard dans le mien, devine mon trouble, en joue.
— C’est ce que tu veux ? Tu veux me voir en train de le sucer ?
Je déglutis, mes joues brûlantes sous l’aveu à peine voilé.
— Oui, dit-il dans un murmure fiévreux.
Il glisse une main sous ma jupe, frôle du bout des doigts l’évidence de mon désir.
— Tu es trempée…
Nous retournons à l’intérieur, l’atmosphère entre nous a changé, elle est lourde, dense. Pierre reprend la conversation avec Régis comme si de rien n’était, tandis que moi, je sens mon corps vibrer d’anticipation.
— Excuse-moi, Régis, mais je vais te poser une question très personnelle, commence Pierre, un sourire en coin.
— Bien sûr, vas-y, répond-il, intrigué.
— Avant ton divorce… le sexe avec ta femme, c’était comment ?
Régis grimace.
— Nul. Zéro. Très loin de ce que c’était au début.
Pierre hoche la tête, comme s’il s’attendait à cette réponse.
— Je m’en doutais. La routine, le temps qui passe, tout ça. Moi, j’ai de la chance, ma femme adore sucer. Elle est incroyablement douée, et elle aime avoir une queue dans la bouche.
Je rougis instantanément, prise entre l’excitation et la gêne. Régis rit nerveusement, jetant un regard en biais. Pierre continue, imperturbable.
— Tu sais que si je lui demande, elle va s’agenouiller entre tes cuisses et te sucer comme jamais tu ne l’as été ? Il suffit d’un mot.
Le silence s’installe. Régis semble perdu entre stupeur et fascination. Et moi, je sens mon cœur tambouriner dans ma poitrine. Mon regard glisse vers mon mari, mon souffle court.
— À quand remonte ta dernière aventure ? demande Pierre, relançant le jeu.
— Il y a quatre mois, une rencontre sans saveur… j’ai regretté dès le lendemain.
Pierre se tourne vers moi.
— Ma chérie, tu vas devoir faire les choses bien, mais on va d’abord montrer à notre invité un peu de ton talent.
Je suis en transe. J’obéis, emportée par la vague de ce désir irrépressible. Pierre m’attrape par la main, m’attire dans la cuisine. Il défait son pantalon, son sexe déjà dur, palpitant sous mes doigts.
— Suce-moi.
Je m’exécute, happée par la fièvre du moment. Ma langue glisse lentement sur lui, savourant chaque relief, chaque pulsation. Il agrippe mes cheveux, contrôle mes mouvements.
— La soirée devient intéressante, murmure-t-il, la voix rauque.
Puis, il me redresse. Nous retournons dans le salon. Régis est là, son regard est brûlant, son excitation évidente sous son jean.
— Je vais immortaliser ce moment, annonce Pierre. Mais ne t’inquiète pas, on ne verra que sa bouche et ta queue sur la vidéo.
Je frissonne. La dernière barrière tombe. Je vais le faire. Je vais m’offrir à cet homme, sous les yeux de mon mari, et j’adore cette sensation d’abandon total.
— Joyeux anniversaire, Régis, souffle Pierre avec un amusement pervers.
Un sourire effleure mes lèvres
Je m’agenouille devant notre invité. Il est tendu, presque fébrile, alors que mes doigts défaisant lentement son jean. Il m’aide, libérant son sexe dur, gonflé par l’excitation. Mon souffle se suspend un instant.
Je lève les yeux vers mon mari, en quête d’une dernière validation.
— Tu es sûr ?
Pierre allume la caméra de son téléphone, un éclat gourmand dans le regard.
— J’ai un doute… mais commence, on verra bien.
Je souris. Un frisson me traverse alors que je me penche en avant, ma langue effleurant lentement le sommet du plaisir qui m’attend.
Je laisse glisser ma langue lentement sur son sexe, savourant chaque frisson qui parcourt son corps sous mon contact. Régis est tendu, son souffle court, sa poitrine se soulève au rythme de son désir grandissant. Je le sens frémir sous mes lèvres, son excitation croissante se manifestant dans chaque micromouvement de ses hanches qui cherchent à se rapprocher davantage de moi, cette irrépressible envie de perforer ma bouche avec son gland.
Pierre, toujours si proche, filme chaque instant, capturant la moindre lueur de plaisir qui danse sur mon visage. Son regard brûle autant que l’objectif de son téléphone.
— Plus lentement, ma chérie… fais-le durer, souffle-t-il d’une voix rauque.
J’obéis, jouant avec la pointe de ma langue sur la veine palpitante qui parcourt la longueur du sexe dressé devant moi. Mon souffle chaud l’enveloppe, mon regard se relève pour capter l’effet que je produis. Régis lutte pour ne pas céder trop vite, mais son corps le trahit, la jouissance est proche.
Pierre s’approche encore, son objectif capturant chaque détail, la façon dont mes lèvres s’entrouvrent, la brillance de ma langue qui caresse avec une précision exquise. Son excitation à lui est tout aussi palpable, son regard avide de chaque seconde de ce spectacle qu’il orchestre avec une maîtrise totale.
Régis gémit enfin, un son rauque et primal qui me fait frémir. Je sais qu’il ne tiendra plus longtemps. Ma main serre la base de son sexe tandis que ma bouche l’engloutit un peu plus profondément, le rythme s’intensifiant juste assez pour le faire perdre pied.
Et puis, soudain, il bascule. Son corps se tend violemment, un râle incontrôlé s’échappe de ses lèvres alors que je ressens la chaleur soudaine de son sperme se répandre dans ma bouche et sur ma langue. Je savoure cette sensation unique, ce frisson qui me parcourt alors que je ressens la puissance de son abandon.
Pierre n’a rien manqué, sa caméra toujours braquée sur moi, enregistrant ce moment dans sa mémoire et sur son écran.
Je relève lentement la tête, un sourire satisfait jouant sur mes lèvres. Pierre tend la main et essuie du bout des doigts une goutte restée au coin de ma bouche. Son regard est incandescent.
— Parfaite… souffle-t-il avant de m’attirer vers lui pour m’embrasser.
Régis s’écarte, encore sous le choc de ce qu’il vient de vivre, tandis que Pierre me guide doucement vers le canapé. Son excitation est à son comble. Je sais qu’il va revendiquer chaque parcelle de mon corps, et je frémis d’anticipation.
Une fois assise, il me fait face, sa main glissant derrière ma nuque, son souffle effleurant mon oreille.
— Maintenant, c’est à moi de m’occuper de toi…
Je ferme les yeux, frémissante, prête à m’abandonner à ce qu’il me réserve. La nuit est loin d’être terminée…
Je sens encore le frisson du plaisir parcourir mon corps alors que Pierre me guide doucement vers la canapé. Son regard est brûlant, ses gestes précis, empreints d’un désir brut qu’il ne cherche plus à contenir. Une vague d’anticipation m’envahit tandis que je me laisse porter par son autorité naturelle.
D’un geste, il me fait basculer en arrière, mes mains s’ancrant dans les coussins. Il se place au-dessus de moi, son souffle chaud effleurant la courbe de mon cou alors que ses mains parcourent lentement mes seins, suivant chaque ligne, chaque creux, chaque courbe qu’il connaît par cœur. Son emprise est ferme, possessive, et je frémis sous cette domination silencieuse.
— Tu es à moi, murmure-t-il à mon oreille, sa voix grave, vibrante d’une promesse contenue.
Je frissonne alors qu’il descend lentement, ses lèvres déposant une traînée de baisers brûlants le long de ma colonne vertébrale. Chaque contact est une caresse exquise qui attise mon attente, me rendant plus fébrile à chaque seconde. Ses mains écartent doucement mes cuisses, caressant l’intérieur avec une lenteur insoutenable avant de remonter vers mon sexe trempé, bien sur dénué de culotte.
Il me retourne lentement pour que je me retrouve à 4 pattes, il demande à Regis de lui passer la bouteille se trouvant dans le placard du meuble du salon… une bouteille d’huile d’amande douce…
Régis revient s’assoir juste à côté de moi regarde la scène avec délectation !
Lentement il se déshabille, et se presse contre moi, son corps venant se coller au mien, sa chaleur irradiant ma peau déjà en alerte. Un filet d’huile glisse sur le bas de mon dos, sa paume venant l’étaler autour de mon anus avec une sensualité calculée. Chaque mouvement est maîtrisé, précis, destiné à me faire languir encore davantage.
Puis vient la pression de son gland sur mon anus, douce d’abord, exploratrice, laissant le temps à mon corps de s’ouvrir sous ses pressions patientes. Il s’immisce lentement, poussant un soupir d’extase contre ma peau alors que je me cambre légèrement pour l’accueillir pleinement. Chaque centimètre est une onde de plaisir, une brûlure exquise qui se répand en moi tandis qu’il s’enfonce plus profondément, pour me remplir entièrement.
Il attend un instant, me laissant sentir cette fusion complète avant de commencer un mouvement lent, contrôlé, chaque va-et-vient envoyant des ondes de chaleur à travers mon corps. Mon souffle s’accélère, mes doigts se crispent sur les coussins tandis qu’il intensifie progressivement son rythme, sa prise sur mes hanches se raffermissant.
Je sens les mains de Régis venir parcourir ma poitrine et s’amuser avec mes tétons totalement érigés par l’excitation quine me lache pas depuis le début de la soirée.
Le plaisir monte en vagues, envahissant chaque nerf, chaque muscle tendu sous la tension délicieuse de cette pénétration profonde et intime. Il grogne doucement, sentant mon corps réagir sous ses assauts, accélérant légèrement pour prolonger cette montée vers l’apogée.
Je perds toute notion du temps, chaque poussée est une nouvelle déferlante de sensations, un brasier qui consume nos corps enlacés dans ce ballet lent et maîtrisé. La jouissance approche, inévitable, irrésistible, nos souffles saccadés se mêlant dans l’air alourdi de désir.
Lorsque l’extase nous frappe enfin, c’est un effondrement simultané, un tremblement profond qui parcourt nos corps synchronisés, un éclat de plaisir brut qui nous foudroie et nous laisse haletants, collés l’un contre l’autre.
Il reste contre moi, sa main caressant distraitement ma hanche tandis que nos respirations retrouvent un rythme plus apaisé. Il embrasse ma nuque avec une douceur troublante, glissant un dernier murmure contre ma peau encore frémissante.
— Parfaite… comme toujours.
Je souris, les paupières lourdes de satisfaction.
L’air est dense, chargé d’attente, d’un désir qui palpite sous chaque respiration, chaque frôlement.
Pierre se retire lentement de moi, son regard brûlant d’une tendresse possessive. Ses mains glissent le long de mes hanches, me retenant dans cet entre-deux, où mon corps encore vibrant du plaisir passé s’abandonne, offert à ce qui va suivre.
Il pose ses lèvres sur ma nuque, effleure ma peau dans un dernier baiser avant de murmurer, sa voix grave résonnant dans le creux de mon oreille :
— Je veux te voir jouir avec un autre.
Son regard se tourne vers Régis, qui nous observe, fasciné, presque en transe devant la scène qui se déroule devant lui. Pierre lui fait un signe silencieux, une invitation sans équivoque.
Régis s’approche, sa chaleur irradiant mon dos avant même qu’il ne me touche. Il glisse ses mains le long de mes bras, remontant lentement, dessinant mon corps du bout des doigts, comme un explorateur découvrant une terre sacrée.
Je ferme les yeux, me laissant guider par ses caresses, sa lenteur calculée, comme s’il cherchait à imprimer en moi chaque sensation, chaque frisson qu’il provoque. Mon souffle s’accélère lorsqu’il approche de ma nuque, son haleine chaude effleurant ma peau.
— Tu es magnifique… murmure-t-il, sa voix empreinte d’une admiration sincère.
Ses mains s’attardent sur mes hanches, les enserrant avec une douceur possessive. Il prend son temps, sculptant mon abandon sous ses doigts, prolongeant l’attente avec une maîtrise exquise.
Il verse un filet d’huile sur le creux de mes reins, la laissant glisser lentement, traçant une rivière de chaleur le long de ma colonne vertébrale. Ses mains suivent le même chemin, étalant la caresse liquide sur ma peau frémissante.
Lentement, il se positionne derrière moi, s’ajuste à mon rythme, son souffle fusionnant avec le mien. Il ne brusque rien, laisse mon corps s’ouvrir naturellement à la pression de son sexe sur mon anus, se préparer à lui dans un consentement et abandon total.
Lorsqu’il s’immisce enfin en moi, c’est avec une lenteur infinie, une patience qui fait vibrer chaque nerf de mon être. Il me remplit dans un mouvement fluide, profond, comme une vague qui vient épouser la courbe du rivage.
Je soupire, mon anus se contractant autour de lui, accueillant cette intrusion maîtrisée qui ne vise pas à conquérir, mais à sublimer. Il attend un instant, laissant nos corps se synchroniser, s’écouter dans cette danse des sens où chaque millimètre devient une offrande.
Pierre, toujours là, observe, ses yeux rivés sur moi, sur nous, son plaisir se mêlant au nôtre dans une alchimie silencieuse.
Régis entame un mouvement lent, un va-et-vient sensuel qui s’accorde à mon souffle. Ses mains explorent ma peau, amplifiant chaque sensation, jouant sur la frontière exquise entre la douceur et l’intensité.
Le plaisir monte en moi comme une marée irrésistible, envahissant chaque recoin de mon corps. Mon ventre se contracte, mon souffle saccadé trahit la montée de mon plaisir.
— Laisse-toi aller… murmure Pierre, sa voix caressant mon esprit autant que mon corps.
Je me tends sous la vague d’extase qui s’empare de moi, un tremblement profond me parcourant alors que je me perds dans ce tourbillon de sensations. Régis grogne doucement, son rythme s’intensifie à mesure qu’il sent mon abandon total.
Puis, dans un élan de contrôle retrouvé, il se retire lentement, nous laissant tous les deux haletants, suspendus dans cette tension sublime.
Il me fait basculer sur le dos, son regard capturant chaque détail de mon extase. Ses lèvres effleurent les miennes, tandis qu’il pénètre mon sexe encore vierge de cette soirée, d’un mouvement lent, profond.
Je frissonne, mon corps déjà prêt à accueillir une nouvelle vague de plaisir.
Nos souffles se mêlent, nos corps s’imbriquent dans une dernière danse, un dernier assaut où tout se libère. Mon ultime orgasme me traverse comme une décharge électrique, me laissant pantelante sous lui, perdue dans un flot de sensations infinies.
Il jouit en moi, son corps se tendant dans un spasme incontrôlé, son râle se mêlant au mien dans une parfaite symphonie.
Nous nous effondrons l’un contre l’autre, haletants, ivres de cette nuit d’exploration et d’abandon.
Et tandis que la chaleur de nos corps commence à se dissiper, je ressens encore les échos de cette nuit sur ma peau, dans mes muscles, dans mon âme.
Une nuit où chaque instant a été vécu dans l’intensité pure du désir.
Une nuit où le plaisir n’a eu qu’une seule règle : l’absolue liberté.
Ce soir, nous avons un invité. Régis, un ami d’enfance de Pierre, mon mari. Je ne l’ai vu qu’une seule fois, il y a plus de quinze ans, et pourtant, ce soir, il est là, assis à notre table, son regard effleurant ma silhouette d’un air à la fois curieux et admiratif. Je sais ce que je représente à cet instant. Une femme mûre, sûre d’elle, habillée avec juste ce qu’il faut de provocation. Une jupe noire révélant le sommet de mes bas autofixants, un chemisier blanc légèrement entrouvert, des talons qui affinent ma silhouette.
L’apéritif se prolonge, les verres se vident, l’ambiance se détend. Je les écoute rire, se remémorer leurs souvenirs d’adolescence, et sans même m’en rendre compte, je me laisse emporter par cette énergie masculine, ce jeu subtil de regards et de sous-entendus. Je sens la chaleur monter en moi, cette envie diffuse, cette électricité qui s’intensifie sous la table, entre mes cuisses déjà humides.
Pierre capte immédiatement mon trouble. Il se lève, m’attire discrètement dans l’entrée et me glisse à l’oreille, son souffle chaud effleurant ma peau :
— Dans pas longtemps, tu vas le sucer devant moi.
Mon cœur rate un battement. Il retourne dans le salon, me laissant seule avec cette proposition qui me transperce de désir. Une vague de chaleur me submerge. L’idée de m’agenouiller entre les jambes d’un autre, sous le regard attentif de mon mari, me consume lentement.
Je sors sur la terrasse, le besoin d’air plus vital que jamais. Mon téléphone vibre. Un message. Un lien. Pierre a encore frappé. J’ouvre la vidéo, une scène explicite où une femme exécute avec une lenteur exquise ce que j’ai toujours aimé faire, sucer une bonne queue bien dure et juteuse à souhait . Mon corps réagit immédiatement, mon bas-ventre se contracte, mon souffle s’accélère. L’envie est là, elle me submerge.
Pierre me rejoint, une cigarette entre les doigts. Il plonge son regard dans le mien, devine mon trouble, en joue.
— C’est ce que tu veux ? Tu veux me voir en train de le sucer ?
Je déglutis, mes joues brûlantes sous l’aveu à peine voilé.
— Oui, dit-il dans un murmure fiévreux.
Il glisse une main sous ma jupe, frôle du bout des doigts l’évidence de mon désir.
— Tu es trempée…
Nous retournons à l’intérieur, l’atmosphère entre nous a changé, elle est lourde, dense. Pierre reprend la conversation avec Régis comme si de rien n’était, tandis que moi, je sens mon corps vibrer d’anticipation.
— Excuse-moi, Régis, mais je vais te poser une question très personnelle, commence Pierre, un sourire en coin.
— Bien sûr, vas-y, répond-il, intrigué.
— Avant ton divorce… le sexe avec ta femme, c’était comment ?
Régis grimace.
— Nul. Zéro. Très loin de ce que c’était au début.
Pierre hoche la tête, comme s’il s’attendait à cette réponse.
— Je m’en doutais. La routine, le temps qui passe, tout ça. Moi, j’ai de la chance, ma femme adore sucer. Elle est incroyablement douée, et elle aime avoir une queue dans la bouche.
Je rougis instantanément, prise entre l’excitation et la gêne. Régis rit nerveusement, jetant un regard en biais. Pierre continue, imperturbable.
— Tu sais que si je lui demande, elle va s’agenouiller entre tes cuisses et te sucer comme jamais tu ne l’as été ? Il suffit d’un mot.
Le silence s’installe. Régis semble perdu entre stupeur et fascination. Et moi, je sens mon cœur tambouriner dans ma poitrine. Mon regard glisse vers mon mari, mon souffle court.
— À quand remonte ta dernière aventure ? demande Pierre, relançant le jeu.
— Il y a quatre mois, une rencontre sans saveur… j’ai regretté dès le lendemain.
Pierre se tourne vers moi.
— Ma chérie, tu vas devoir faire les choses bien, mais on va d’abord montrer à notre invité un peu de ton talent.
Je suis en transe. J’obéis, emportée par la vague de ce désir irrépressible. Pierre m’attrape par la main, m’attire dans la cuisine. Il défait son pantalon, son sexe déjà dur, palpitant sous mes doigts.
— Suce-moi.
Je m’exécute, happée par la fièvre du moment. Ma langue glisse lentement sur lui, savourant chaque relief, chaque pulsation. Il agrippe mes cheveux, contrôle mes mouvements.
— La soirée devient intéressante, murmure-t-il, la voix rauque.
Puis, il me redresse. Nous retournons dans le salon. Régis est là, son regard est brûlant, son excitation évidente sous son jean.
— Je vais immortaliser ce moment, annonce Pierre. Mais ne t’inquiète pas, on ne verra que sa bouche et ta queue sur la vidéo.
Je frissonne. La dernière barrière tombe. Je vais le faire. Je vais m’offrir à cet homme, sous les yeux de mon mari, et j’adore cette sensation d’abandon total.
— Joyeux anniversaire, Régis, souffle Pierre avec un amusement pervers.
Un sourire effleure mes lèvres
Je m’agenouille devant notre invité. Il est tendu, presque fébrile, alors que mes doigts défaisant lentement son jean. Il m’aide, libérant son sexe dur, gonflé par l’excitation. Mon souffle se suspend un instant.
Je lève les yeux vers mon mari, en quête d’une dernière validation.
— Tu es sûr ?
Pierre allume la caméra de son téléphone, un éclat gourmand dans le regard.
— J’ai un doute… mais commence, on verra bien.
Je souris. Un frisson me traverse alors que je me penche en avant, ma langue effleurant lentement le sommet du plaisir qui m’attend.
Je laisse glisser ma langue lentement sur son sexe, savourant chaque frisson qui parcourt son corps sous mon contact. Régis est tendu, son souffle court, sa poitrine se soulève au rythme de son désir grandissant. Je le sens frémir sous mes lèvres, son excitation croissante se manifestant dans chaque micromouvement de ses hanches qui cherchent à se rapprocher davantage de moi, cette irrépressible envie de perforer ma bouche avec son gland.
Pierre, toujours si proche, filme chaque instant, capturant la moindre lueur de plaisir qui danse sur mon visage. Son regard brûle autant que l’objectif de son téléphone.
— Plus lentement, ma chérie… fais-le durer, souffle-t-il d’une voix rauque.
J’obéis, jouant avec la pointe de ma langue sur la veine palpitante qui parcourt la longueur du sexe dressé devant moi. Mon souffle chaud l’enveloppe, mon regard se relève pour capter l’effet que je produis. Régis lutte pour ne pas céder trop vite, mais son corps le trahit, la jouissance est proche.
Pierre s’approche encore, son objectif capturant chaque détail, la façon dont mes lèvres s’entrouvrent, la brillance de ma langue qui caresse avec une précision exquise. Son excitation à lui est tout aussi palpable, son regard avide de chaque seconde de ce spectacle qu’il orchestre avec une maîtrise totale.
Régis gémit enfin, un son rauque et primal qui me fait frémir. Je sais qu’il ne tiendra plus longtemps. Ma main serre la base de son sexe tandis que ma bouche l’engloutit un peu plus profondément, le rythme s’intensifiant juste assez pour le faire perdre pied.
Et puis, soudain, il bascule. Son corps se tend violemment, un râle incontrôlé s’échappe de ses lèvres alors que je ressens la chaleur soudaine de son sperme se répandre dans ma bouche et sur ma langue. Je savoure cette sensation unique, ce frisson qui me parcourt alors que je ressens la puissance de son abandon.
Pierre n’a rien manqué, sa caméra toujours braquée sur moi, enregistrant ce moment dans sa mémoire et sur son écran.
Je relève lentement la tête, un sourire satisfait jouant sur mes lèvres. Pierre tend la main et essuie du bout des doigts une goutte restée au coin de ma bouche. Son regard est incandescent.
— Parfaite… souffle-t-il avant de m’attirer vers lui pour m’embrasser.
Régis s’écarte, encore sous le choc de ce qu’il vient de vivre, tandis que Pierre me guide doucement vers le canapé. Son excitation est à son comble. Je sais qu’il va revendiquer chaque parcelle de mon corps, et je frémis d’anticipation.
Une fois assise, il me fait face, sa main glissant derrière ma nuque, son souffle effleurant mon oreille.
— Maintenant, c’est à moi de m’occuper de toi…
Je ferme les yeux, frémissante, prête à m’abandonner à ce qu’il me réserve. La nuit est loin d’être terminée…
Je sens encore le frisson du plaisir parcourir mon corps alors que Pierre me guide doucement vers la canapé. Son regard est brûlant, ses gestes précis, empreints d’un désir brut qu’il ne cherche plus à contenir. Une vague d’anticipation m’envahit tandis que je me laisse porter par son autorité naturelle.
D’un geste, il me fait basculer en arrière, mes mains s’ancrant dans les coussins. Il se place au-dessus de moi, son souffle chaud effleurant la courbe de mon cou alors que ses mains parcourent lentement mes seins, suivant chaque ligne, chaque creux, chaque courbe qu’il connaît par cœur. Son emprise est ferme, possessive, et je frémis sous cette domination silencieuse.
— Tu es à moi, murmure-t-il à mon oreille, sa voix grave, vibrante d’une promesse contenue.
Je frissonne alors qu’il descend lentement, ses lèvres déposant une traînée de baisers brûlants le long de ma colonne vertébrale. Chaque contact est une caresse exquise qui attise mon attente, me rendant plus fébrile à chaque seconde. Ses mains écartent doucement mes cuisses, caressant l’intérieur avec une lenteur insoutenable avant de remonter vers mon sexe trempé, bien sur dénué de culotte.
Il me retourne lentement pour que je me retrouve à 4 pattes, il demande à Regis de lui passer la bouteille se trouvant dans le placard du meuble du salon… une bouteille d’huile d’amande douce…
Régis revient s’assoir juste à côté de moi regarde la scène avec délectation !
Lentement il se déshabille, et se presse contre moi, son corps venant se coller au mien, sa chaleur irradiant ma peau déjà en alerte. Un filet d’huile glisse sur le bas de mon dos, sa paume venant l’étaler autour de mon anus avec une sensualité calculée. Chaque mouvement est maîtrisé, précis, destiné à me faire languir encore davantage.
Puis vient la pression de son gland sur mon anus, douce d’abord, exploratrice, laissant le temps à mon corps de s’ouvrir sous ses pressions patientes. Il s’immisce lentement, poussant un soupir d’extase contre ma peau alors que je me cambre légèrement pour l’accueillir pleinement. Chaque centimètre est une onde de plaisir, une brûlure exquise qui se répand en moi tandis qu’il s’enfonce plus profondément, pour me remplir entièrement.
Il attend un instant, me laissant sentir cette fusion complète avant de commencer un mouvement lent, contrôlé, chaque va-et-vient envoyant des ondes de chaleur à travers mon corps. Mon souffle s’accélère, mes doigts se crispent sur les coussins tandis qu’il intensifie progressivement son rythme, sa prise sur mes hanches se raffermissant.
Je sens les mains de Régis venir parcourir ma poitrine et s’amuser avec mes tétons totalement érigés par l’excitation quine me lache pas depuis le début de la soirée.
Le plaisir monte en vagues, envahissant chaque nerf, chaque muscle tendu sous la tension délicieuse de cette pénétration profonde et intime. Il grogne doucement, sentant mon corps réagir sous ses assauts, accélérant légèrement pour prolonger cette montée vers l’apogée.
Je perds toute notion du temps, chaque poussée est une nouvelle déferlante de sensations, un brasier qui consume nos corps enlacés dans ce ballet lent et maîtrisé. La jouissance approche, inévitable, irrésistible, nos souffles saccadés se mêlant dans l’air alourdi de désir.
Lorsque l’extase nous frappe enfin, c’est un effondrement simultané, un tremblement profond qui parcourt nos corps synchronisés, un éclat de plaisir brut qui nous foudroie et nous laisse haletants, collés l’un contre l’autre.
Il reste contre moi, sa main caressant distraitement ma hanche tandis que nos respirations retrouvent un rythme plus apaisé. Il embrasse ma nuque avec une douceur troublante, glissant un dernier murmure contre ma peau encore frémissante.
— Parfaite… comme toujours.
Je souris, les paupières lourdes de satisfaction.
L’air est dense, chargé d’attente, d’un désir qui palpite sous chaque respiration, chaque frôlement.
Pierre se retire lentement de moi, son regard brûlant d’une tendresse possessive. Ses mains glissent le long de mes hanches, me retenant dans cet entre-deux, où mon corps encore vibrant du plaisir passé s’abandonne, offert à ce qui va suivre.
Il pose ses lèvres sur ma nuque, effleure ma peau dans un dernier baiser avant de murmurer, sa voix grave résonnant dans le creux de mon oreille :
— Je veux te voir jouir avec un autre.
Son regard se tourne vers Régis, qui nous observe, fasciné, presque en transe devant la scène qui se déroule devant lui. Pierre lui fait un signe silencieux, une invitation sans équivoque.
Régis s’approche, sa chaleur irradiant mon dos avant même qu’il ne me touche. Il glisse ses mains le long de mes bras, remontant lentement, dessinant mon corps du bout des doigts, comme un explorateur découvrant une terre sacrée.
Je ferme les yeux, me laissant guider par ses caresses, sa lenteur calculée, comme s’il cherchait à imprimer en moi chaque sensation, chaque frisson qu’il provoque. Mon souffle s’accélère lorsqu’il approche de ma nuque, son haleine chaude effleurant ma peau.
— Tu es magnifique… murmure-t-il, sa voix empreinte d’une admiration sincère.
Ses mains s’attardent sur mes hanches, les enserrant avec une douceur possessive. Il prend son temps, sculptant mon abandon sous ses doigts, prolongeant l’attente avec une maîtrise exquise.
Il verse un filet d’huile sur le creux de mes reins, la laissant glisser lentement, traçant une rivière de chaleur le long de ma colonne vertébrale. Ses mains suivent le même chemin, étalant la caresse liquide sur ma peau frémissante.
Lentement, il se positionne derrière moi, s’ajuste à mon rythme, son souffle fusionnant avec le mien. Il ne brusque rien, laisse mon corps s’ouvrir naturellement à la pression de son sexe sur mon anus, se préparer à lui dans un consentement et abandon total.
Lorsqu’il s’immisce enfin en moi, c’est avec une lenteur infinie, une patience qui fait vibrer chaque nerf de mon être. Il me remplit dans un mouvement fluide, profond, comme une vague qui vient épouser la courbe du rivage.
Je soupire, mon anus se contractant autour de lui, accueillant cette intrusion maîtrisée qui ne vise pas à conquérir, mais à sublimer. Il attend un instant, laissant nos corps se synchroniser, s’écouter dans cette danse des sens où chaque millimètre devient une offrande.
Pierre, toujours là, observe, ses yeux rivés sur moi, sur nous, son plaisir se mêlant au nôtre dans une alchimie silencieuse.
Régis entame un mouvement lent, un va-et-vient sensuel qui s’accorde à mon souffle. Ses mains explorent ma peau, amplifiant chaque sensation, jouant sur la frontière exquise entre la douceur et l’intensité.
Le plaisir monte en moi comme une marée irrésistible, envahissant chaque recoin de mon corps. Mon ventre se contracte, mon souffle saccadé trahit la montée de mon plaisir.
— Laisse-toi aller… murmure Pierre, sa voix caressant mon esprit autant que mon corps.
Je me tends sous la vague d’extase qui s’empare de moi, un tremblement profond me parcourant alors que je me perds dans ce tourbillon de sensations. Régis grogne doucement, son rythme s’intensifie à mesure qu’il sent mon abandon total.
Puis, dans un élan de contrôle retrouvé, il se retire lentement, nous laissant tous les deux haletants, suspendus dans cette tension sublime.
Il me fait basculer sur le dos, son regard capturant chaque détail de mon extase. Ses lèvres effleurent les miennes, tandis qu’il pénètre mon sexe encore vierge de cette soirée, d’un mouvement lent, profond.
Je frissonne, mon corps déjà prêt à accueillir une nouvelle vague de plaisir.
Nos souffles se mêlent, nos corps s’imbriquent dans une dernière danse, un dernier assaut où tout se libère. Mon ultime orgasme me traverse comme une décharge électrique, me laissant pantelante sous lui, perdue dans un flot de sensations infinies.
Il jouit en moi, son corps se tendant dans un spasme incontrôlé, son râle se mêlant au mien dans une parfaite symphonie.
Nous nous effondrons l’un contre l’autre, haletants, ivres de cette nuit d’exploration et d’abandon.
Et tandis que la chaleur de nos corps commence à se dissiper, je ressens encore les échos de cette nuit sur ma peau, dans mes muscles, dans mon âme.
Une nuit où chaque instant a été vécu dans l’intensité pure du désir.
Une nuit où le plaisir n’a eu qu’une seule règle : l’absolue liberté.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Stark31
2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
J'aime bcp,
Adeux79.
Adeux79.
Tiens ! Plus d'avis pourtant ce me semble aussi bien sinon mieux que les précédents opus ! Didier

