Une soirée avec une copine comme on les aime

- Par l'auteur HDS Alexandre -
Récit érotique écrit par Alexandre [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Une soirée avec une copine comme on les aime Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-08-2005 dans la catégorie Plus on est
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Une soirée avec une copine comme on les aime
Ma femme et moi avons respectivement 45 et 50 ans. Depuis plus de deux ans nous nous sommes lancés dans le libertinage avec une prédominance pour des pratiques en trio avec des femmes bisexuelles.
Nous aimons tous les deux les fortes poitrines et ce soir là nous allions être ravis. Après avoir fait connaissance sur internet avec une femme divorcée de notre age (47 ans) qui nous avait fait admirer par webcam de bons gros seins de 110F elle nous invite à la rejoindre à son domicile en fin de soirée car nous lui faisions envie aussi.
Elle nous acueille en déshabillé qui laisse deviner les objets de notre convoitise bien libres dessous.
Le contact est très facile et sympathique. On se remémore avec force rires les échanges du net et elle nous offre le champagne à déguster dans le salon.
La glace étant bien rompue on se retrouve sur le canapé, les deux femmes m'entourant et des bisous s'échangeant dans tous les sens, et même tous ensemble par moments.
Nous nous caressons partout et des soupirs s'entendent dans la pièce à la lumière tamisée.
Les premiers vêtements tombés nous nous retouvons tous les trois en string et ses deux énormes seins bien lourds ont monopolisé nos attentions.
Instinctivement nos mains et nos bouches ont choisi de retrouver ces globes aux larges aréoles brunes. Ma femme et moi étions aux anges car en plus elle massait chacun de nos entrejambes au point que mon string se révélait vraiment trop petit et que çà faisait un peu toile de tente !
Elle nous invita à passer dans sa chambre pour être plus à l'aise et s'installa sur le dos au milieu du lit visiblement pour nous offrir à nouveau ses seins. Nous ne nous sommes pas fait priés et d'ailleurs ses pointes ont bien bruni et durci : de vraies saucisses de cocktail à déguster sans modération !
Un regard complice et ravi fut échangé quand en la caressant on s'aperçut que son sexe était entièrement rasé de près : un délice de douceur. On fit glisser à deux son string le long de ses cuisses charpentées pour découvrir un autre objet de tant de convoitises : une magnifique chatte renflée à souhait et déjà bien humide.
Un déchainement de baisers et de caresses sur tout son corps la faisait se tordre de plaisir dans tous les sens.
J'enlevai prestement mon string débordé de partout pendant que ma femme en faisait de même avant de se jeter tête baissée entre ses cuisses pour lécher ce clitoris qui pointait fièrement.
Pour ma part je me mis à genoux sur son côté et passai ma bite tendue sur son gros sein débordant sur son flanc tout en titillant le téton si gros et si dur. bien vite elle se saisit de ma bite,s'approcha et me mouilla de sa langue les couilles en me disant qu'elle les aimait bien lisses comme çà.
Puis elle entama une pipe d'enfer alternant allers et retours de coups de langue sur le gland, la tige et les couilles.
Elle demanda à ma femme d'arrêter de la lécher si bien sinon elle allait déjà jouir et de plutôt venir lui poser sa chatte sur la bouche, qu'elle la lèche à son tour, ma chérie ne se fit pas prier plus longtemps et mit ses jambes galbées autour de sa tête pour lui offrir une chatte rasée aussi de près et bien luisante d'excitation.
J'allais à mon tour entre ses cuisses écartées zdmirer cette chatte ouverte aux lèvres bien charnues qui avaient laissé depuis longtemps s'extirper son clitoris qui pointait assez fièrement.
J'avais une vue magnique sur les fesses de ma femme en train de se faire brouter, les gros nichons offerts et cette chatte qui semblait m'appeler. Je lui ai répondu on y plongeant une langue agile tout en lui massant les seins au bout de mes bras. Alors queje desendais de son clitoris vers sa fente, elle releva les cuisses comme pour m'inviter à aller plus bas
Un anneau foncé très attirant apparut auquel je ne pus résister je le mouillais copieusement et dardait ma langue à son entrée, ce qui ne semblait pas lui déplaire, jusqu'au moment où elle nous supplia d'arrêter de lui faire subir tous ces traitements.
Aimant varier les plaisirs, ma femme dit que c'était mon tour de recevoir quelques bonnes gâteries. Connaissant, et pour cause, mes fantasmes sur les gros seins elle me demanda de me mettre à califourchon sur notre amie, la bite tendue entre ses deux gros ballons.
Je les pressais à en faire disparaitre au milieu ma bite qui semblait alors bien modeste alors qu'elle est bien normalement développée. Ma femme s'approcha pour lécher ce qui sortait par moment de cette masse chaude à souhait et aussi lui donner sa langue à sucer de temps en temps.
Après un long traitement de ce genre qui me gardait en état très fort de vigueur, elles me mirent sur le dos pour se placer chacune d'un côté leur croupe légèrement tournée vers moi. Et là elles entamèrent de me lécher ensemble partout sur la bite, les couilles et je sentis même des coups de langue non moins excitants dans ma raie des fesses et sur mon anus.
Je couvrais de baisers leurs cuisses proches tout en massant leurs fesses et insinuant mes doigts dans leurs sillons jusqu'à découvrir leurs chattes gorgées d'excitation et dégoulinantes de plaisir.
Elles reprirent leurs jeux bien féminins en se roulant des pelles magistrales tout en se caressant de partout, visage, seins, fesses et chattes.
Presque naturellement elles se mirent en position de 69, ma femme dessous cuisses bien écartées, elle au dessus, ses gros seins entourant pratiquement le ventre de ma femme pour aller toucher les draps. J'en profitais pour agrémenter leur plaisir de plein de baisers et de caresses partout sur leurs corps devenus si sensibles de partout.
Je les abnadonnais juste un instant le temps d'aller chercher dans mes poches un préservatif que j'empressais de me placer sur la bite qui astiquée quelques coups reprit sa forme olympique.
Ainsi vêtu je me suis placé derrière la large croupe de notre amie, ma femme voyant apparaître ma "tête" s'empara d'elle et la guida dans ce vagin offert , ce qui produisit un gémissement de contentement qui ne fit que m'encourager.
Je saisis ces hanches potelées pour m'y agripper et commencer des séries très lentes de va et vient qui la faisaient se cambrer et ressortir encore plus ses grosses fesses.
Ma femme léchait alternativment ses lèvres, son clitoris et mes couilles tout en émettant elles aussi des gémissements de plaisir qui correspondait pratiquement au mêm erythme que celui que j'imprimais, je compris que les coups de langue de notre amie sur sa chatte se synchronisaient avec mes poussées.
Je m'allongeais par moment sur son dos pour aller palper ses gros nichons et faire rouler ses grosses pointes toujours aussi dures, pour son plus grand plaisir apparemment.
Nous nous attachions tous les 3 à faire durer ce moment paradisiaque, je me rendis compte avec ravissement en consultant son radio réveil sur la table de chevet que cela faisait 15 bonnes minutes que notre bonne levrette était entamée.
L'anneau brun entre ses fesses cambrées m'inspira alors ne idée, je me mouillais le pouce et le présentais devant cette ouverture. En forçant un minimum l'entrée s'ouvrit et il fut bien aspiré à fond après avoir passé le sphincter. Elle se trémoussa alors dans tous les sens.
Elle alla à la rencontre de ma bite de plus en plus fort alors que je sentais mon doigt de ma bite à travers al mince paroi, ce qui m'amena à plier le pouce pour de nouvelles sensations.
Elle explosa alors dans un orgasme puissant qui eut pour effet de me faire jouir à longs jets dans ma capote et qui fit aussi partir ma femme dans une transe très forte.
Nos esprits retrouvés et après une bonne douche à 3 peline de caresses pour nous débarrasser de cette sueur qui nous collait aux corps nous avons évoqué qu'une si bonne première fois ne pouvait être qu'unbon signe pour les autres à venir.
Ces femmes ont envisagé de sortir les gadgets sexuels pour se pénétrerl'une l'autre la prochaine fois je vous raconterai ces nouveaux plaisirs.

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