Une soirée de réception. Le passé ressurgit 8
Récit érotique écrit par Effrontée [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-08-2016 dans la catégorie Dominants et dominés
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Une soirée de réception. Le passé ressurgit 8
Quand je me réveille le lendemain matin, je me rend compte qu'une nouvelle fois je suis en sueur. C'est vrai que dans la chambre, l'air est étouffant. On parle de plus en plus de canicule.
Mon mari est déjà parti au bureau ce qui me soulage quelque peu. Je descends nue prendre mon petit déjeuner. Seule devant mes tartines pleines de confiture, je pense à cette journée, à ce que je dois faire et ce qui m'attend samedi.
Je sors de la douche et à peine séchée, je sens la sueur entre mes seins.
Comment vais-je aller à cette boutique ? En voiture ? En transports en commun ? Et comment m'habiller ? Soudain l'envie me prend de relire le mail. Et aussitôt je mouille entre mes cuisses. Je deviens folle, je ne contrôle plus rien.
Alors, dans ma folie, une évidence me saute aux yeux : j'irai en train et métro. Je choisis une robe d'été transparente et légère. Une culotte mais pas de soutien gorge. Je laisse libre mes cheveux sur mes épaules et j'ajuste un léger chapeau de paille sur la tête pour célébrer l'été et le soleil. Pour terminer, je passe un collier qui dépose un petit médaillon de nacre juste entre mes seins, dont je sais qu'il attisera les regards portés sur le sillon qui sépare mes deux lobes. J'ai envie de me montrer, la chaleur se prêtant à ce genre de jeu.
Pour finir, je chausse des petites sandales très ajourées à l'avant avec un talon compensé recouvert de corde tressée. Une simple bride aux chevilles laisse mon pied découvert.
Je me sens belle, je me trouve désirable. Je deviens cette salope qui se révèle depuis quelques mois. Je pense au fils de Joachim et à son ami. Je voudrais qu'ils soient là pour me baiser, me prendre comme cette chienne soumise qu'ils ont fait de moi. Et me dire que je suis belle !
Je vais à la gare du RER en auto, la range au parking. Il est 11 h et il y a peu de monde dans les rues. En marchant vers la station j'imagine des hommes qui me matent et instantanément je sens que je me mets à mouiller. Mon dieu comment est-ce possible, en pleine rue ? Je vais avoir la culotte toute souillée et tâchée.
A la gare, l'escalier qui conduit aux quais est inondé par un soleil de feu qui explose d'en haut. En montant les marches je sais bien que la transparence de ma robe est inévitable. Je regarde derrière moi. Personne. L'envie de me montrer est à son comble. Je décide de rester en bas des marches à attendre un voyeur. Je transpire autant que je mouille. Je suis éblouie par les rayons du soleil qui plongent du ciel là haut ! Pour me donner une contenance, je fouille dans mon sac.
Soudain des bruits de voix. Ils sont deux, des maghrébins je crois. Je vois en un instant qu'ils sont jeunes. Des lycéens sans doutes. Tant pis. J'aurais préféré un vieux pervers. Je commence à monter lentement les marches vers les quais, vers la clarté des rayons violents du soleil. Pourvu qu'ils me suivent ! A mi hauteur de l’escalier, je les entends derrière moi, quelques marches plus bas. Ils ne doivent rien manquer de mon corps. Ils se sont tus. Arrivée en haut des marches, en plein soleil, je fais une pose. Je tremble, le souffle me manque, mes oreilles bourdonnent. J'ai peur de mourir. Ils se sont arrêtés, eux aussi, silencieux. Je fais semblant de chercher dans mon sac, les pieds écartés, je les entends alors qui ricanent bêtement. Ils ont saisi l'aubaine. J’ai honte mais je ne bouge pas quelques secondes avant d’avancer sur le quai. Ils me suivent à distance toujours derrière moi. Nous sommes seuls à cette heure. Le train arrive.
Je choisis une banquette isolée. Les deux jeunes me suivent. Je réalise que je suis en danger, qu'ils peuvent m'agresser, surtout après ce qu'ils ont vu. Ils prennent place quelques banquettes plus loin mais face à moi et tous les deux matent en ma direction sans se cacher. Je sors mon tel portable et fais semblant de jouer avec. Mais en fait toute mon attention est dirigée vers eux. Je n'en peux plus. Doucement, je serre les cuisses et commence à les frotter l'une contre l'autre pour tenter de me faire jouir. Mais la position est inconfortable. J'ai envie de plus. Je pose mon sac sur mon ventre et à peine dissimulée, je me caresse la chatte au travers du fin tissu de ma robe. Je n'ose pas regarder vers mes deux jeunes mais je sais qu'ils matent et qu'ils ont compris ce que je faisais.
On arrive à destination avant que la jouissance me submerge. Quand je sors du train les deux jeunes me suivent quelques instants en ricanant puis partent de leur côté. Je les entends échanger des propos grivois à mon encontre. Je suis honteuse mais excitée.
Je sens ma mouille entre mes cuisses. Ma culotte est trempée. Dans le métro il y a trop de monde mais je vois bien que plusieurs hommes et femmes me regardent avec avidité. Certains regards sont accusateurs et me condamnent. La honte encore, qui m'envahit alors, au lieu de me freiner, ne fait qu'encourager mon abandon à la luxure.
Il est presque midi quand je me présente devant la boutique rouge à la devanture aveugle.
J'ai peur. Je sais que je ne vais pas fléchir. Je ne peux pas fléchir ! J'ai trop envie d'obéir et de m'abandonner aux volontés de mes persécuteurs et du vendeur. Je tremble à peine en poussant la porte.
Tout de suite, un jeune homme vient vers moi, un sourire sympathique aux lèvres. Il est beau et j'ai déjà envie de lui.
J'obéis à la lettre aux injonctions de mes tortionnaires et j'imagine même qu'ils doivent être en train de me surveiller.
Malgré ma tenue estivale j'ai veillé à paraître bourgeoise. L'homme a bien saisi cette nuance quand il s'adresse à moi plein de déférence.
- Bonjour Madame. Puis-je vous être utile ?
Je sens le rouge envahir mon visage. Le souffle coupé, je ne trouve rien à dire tellement l’émotion est forte. Il ajoute, ayant saisi mon embarras : - Je vous laisse regarder. Je reviendrai vers vous plus tard.
Je souffle ! Je me promène entre les rayons pleins de jouets à destination SM. Je sens l’excitation monter plus en raison de la situation que de la vue de ces objets de plaisir. Je reconnais encore qu’être humiliée devant cet homme m’excite plus. Je devine qu’il a reconnu la bourgeoise BCBG à peine dissimulée, qui vient s’encanailler dans cet espace de sexe, mais qui ne veut pas que cela se sache.
Je déambule lentement entre les rayons sans vraiment m’intéresser aux objets proposés. Toute mon attention est dirigée vers lui.
Je fais enfin une pause devant le rayon des plugs. Il vient rapidement me rejoindre. Mon cœur s’emballe.
- Il en existe de différentes tailles, Madame. Nous ne pouvons malheureusement pas vous les faire essayer mais je peux vous aider. Pratiquez-vous souvent la sodomie avec votre mari ? A-t-il un sexe de grosse taille ? Vous pénètre-t-il aisément ?
Il a très bien compris ma situation et l'exploite. Devant mon silence, car je ne trouve pas la force de lui répondre, il ajoute.
- Je comprends, ce sont des choses très intimes. Mais rassurez-vous, ce n’est pas la première fois qu’une cliente aussi classe que vous, vient ici pour choisir des objets de luxure. Je sais être discret car mon seul souci est de vous satisfaire.
Le salaud, je suis à deux doigts de lui sauter dessus ! Et sans attendre il me tend un modèle de taille moyenne.
- Avec ce modèle vous pourrez le porter en toutes circonstances, et même vous promener dans la journée, bien enfoncé en vous. Il n’entravera pas votre marche.
Je n’en peux plus et ce jeune homme s’en aperçoit. J’ai le souffle court, je me sens partir. Il affiche un sourire narquois qui me déstabilise encore plus. Considérant que l'achat est conclu, il ajoute : - Désirez-vous un autre objet ? Des pinces pour vos pointes de seins ? Des boules de geisha ? Un gode… un collier ?
En entendant ce mot, je trésaille. Oui, un collier de chienne. Je dois en rapporter un pour samedi soir. J’arrive à peine à articuler un « oui » entre mes lèvres.
- Un collier ? Suivez-moi, je vais vous montrer tous les modèles que nous avons.
Il m’entraine dans une autre partie de la boutique où sont exposés derrière une vitrine, une multitude de colliers accompagnés de la laisse correspondante. Je lui fais comprendre que je souhaite prendre le plus luxueux. Il me le présente et me propose de l’essayer. Je n’ai pas le temps de répondre que déjà il me l’ajuste autour du cou.
- Il vous va à ravir, en accord avec la couleur de vos yeux verts.
Immédiatement, il accroche la laisse qu'il tient en main, voulant sans doutes me signifier que je suis sa chienne.
J’arrive à lui dire : - Oui, il me convient, je le prends.
Puis d'une voix tremblante et timide, j'ajoute : - Pouvez-vous m’indiquer les toilettes s’il vous plait ?
Je n’en peux plus. Autant pour obéir à mes tortionnaires qu’aller me faire jouir, je devais me soulager. Le jeune homme, tenant toujours la laisse en main, me conduit au fond d’un couloir. Il accroche l'extrémité de la laisse à la poignée extérieure de la porte des toilettes et m'invite à y pénétrer. Il me signifie ainsi qu'il ne souhaite pas que je m'enferme. Je me précipite à l’intérieur et soumise, je ne ferme la porte. Cela me fait revivre la séance au moment de la soirée de gala, assise les yeux bandés dans les toilettes, soumise au bon vouloir du fils de Joachim ou de son ami.
Assise sur les toilettes, je soulève ma robe, dévoile mon ventre et je me caresse sans plus aucune retenue. J'entends le souffle du vendeur juste derrière la porte entrebâillée. Je sais, qu'à tout moment, il peut l'ouvrir et me mater en train de me masturber. Lui ou quelqu'un d'autre d'ailleurs. La honte ! Une bourgeoise, la chatte à l'air qui se branle dans les toilettes d'une boutique d'objets de débauche ! Avec cette image, il ne me faut pas longtemps pour jouir. Je n’arrive pas à étouffer mes gémissements et j’imagine que le jeune homme doit m’entendre.
Je sors quelques minutes après, honteuse et paniquée, le collier toujours autour du cou. Il m’attend à la caisse. Il me reste une épreuve à réaliser. Je m'approche et lui tend mon téléphone portable.
- S’il vous plait cher Monsieur, je voudrais que vous me preniez en photo avec mon collier. Et si vous le souhaitez, vous pouvez aussi utiliser votre appareil, en souvenir de ma visite.
- Certainement Madame.
Il s’exécute en prenant soin de multiplier celles qu’il prend avec son propre appareil.
- Soyez discret, mon époux, général, serait surpris de me voir dans cette tenue !
Je quitte la boutique, l’entrejambe souillé de mes sécrétions mais toute heureuse de la mission accomplie. Ma culotte trempée est dans mon sac. Impossible de la porter. Le retour promet d’être chaud !
Mes paquets sous le bras je me dirige vers les transports urbains !
(à suivre)
Mon mari est déjà parti au bureau ce qui me soulage quelque peu. Je descends nue prendre mon petit déjeuner. Seule devant mes tartines pleines de confiture, je pense à cette journée, à ce que je dois faire et ce qui m'attend samedi.
Je sors de la douche et à peine séchée, je sens la sueur entre mes seins.
Comment vais-je aller à cette boutique ? En voiture ? En transports en commun ? Et comment m'habiller ? Soudain l'envie me prend de relire le mail. Et aussitôt je mouille entre mes cuisses. Je deviens folle, je ne contrôle plus rien.
Alors, dans ma folie, une évidence me saute aux yeux : j'irai en train et métro. Je choisis une robe d'été transparente et légère. Une culotte mais pas de soutien gorge. Je laisse libre mes cheveux sur mes épaules et j'ajuste un léger chapeau de paille sur la tête pour célébrer l'été et le soleil. Pour terminer, je passe un collier qui dépose un petit médaillon de nacre juste entre mes seins, dont je sais qu'il attisera les regards portés sur le sillon qui sépare mes deux lobes. J'ai envie de me montrer, la chaleur se prêtant à ce genre de jeu.
Pour finir, je chausse des petites sandales très ajourées à l'avant avec un talon compensé recouvert de corde tressée. Une simple bride aux chevilles laisse mon pied découvert.
Je me sens belle, je me trouve désirable. Je deviens cette salope qui se révèle depuis quelques mois. Je pense au fils de Joachim et à son ami. Je voudrais qu'ils soient là pour me baiser, me prendre comme cette chienne soumise qu'ils ont fait de moi. Et me dire que je suis belle !
Je vais à la gare du RER en auto, la range au parking. Il est 11 h et il y a peu de monde dans les rues. En marchant vers la station j'imagine des hommes qui me matent et instantanément je sens que je me mets à mouiller. Mon dieu comment est-ce possible, en pleine rue ? Je vais avoir la culotte toute souillée et tâchée.
A la gare, l'escalier qui conduit aux quais est inondé par un soleil de feu qui explose d'en haut. En montant les marches je sais bien que la transparence de ma robe est inévitable. Je regarde derrière moi. Personne. L'envie de me montrer est à son comble. Je décide de rester en bas des marches à attendre un voyeur. Je transpire autant que je mouille. Je suis éblouie par les rayons du soleil qui plongent du ciel là haut ! Pour me donner une contenance, je fouille dans mon sac.
Soudain des bruits de voix. Ils sont deux, des maghrébins je crois. Je vois en un instant qu'ils sont jeunes. Des lycéens sans doutes. Tant pis. J'aurais préféré un vieux pervers. Je commence à monter lentement les marches vers les quais, vers la clarté des rayons violents du soleil. Pourvu qu'ils me suivent ! A mi hauteur de l’escalier, je les entends derrière moi, quelques marches plus bas. Ils ne doivent rien manquer de mon corps. Ils se sont tus. Arrivée en haut des marches, en plein soleil, je fais une pose. Je tremble, le souffle me manque, mes oreilles bourdonnent. J'ai peur de mourir. Ils se sont arrêtés, eux aussi, silencieux. Je fais semblant de chercher dans mon sac, les pieds écartés, je les entends alors qui ricanent bêtement. Ils ont saisi l'aubaine. J’ai honte mais je ne bouge pas quelques secondes avant d’avancer sur le quai. Ils me suivent à distance toujours derrière moi. Nous sommes seuls à cette heure. Le train arrive.
Je choisis une banquette isolée. Les deux jeunes me suivent. Je réalise que je suis en danger, qu'ils peuvent m'agresser, surtout après ce qu'ils ont vu. Ils prennent place quelques banquettes plus loin mais face à moi et tous les deux matent en ma direction sans se cacher. Je sors mon tel portable et fais semblant de jouer avec. Mais en fait toute mon attention est dirigée vers eux. Je n'en peux plus. Doucement, je serre les cuisses et commence à les frotter l'une contre l'autre pour tenter de me faire jouir. Mais la position est inconfortable. J'ai envie de plus. Je pose mon sac sur mon ventre et à peine dissimulée, je me caresse la chatte au travers du fin tissu de ma robe. Je n'ose pas regarder vers mes deux jeunes mais je sais qu'ils matent et qu'ils ont compris ce que je faisais.
On arrive à destination avant que la jouissance me submerge. Quand je sors du train les deux jeunes me suivent quelques instants en ricanant puis partent de leur côté. Je les entends échanger des propos grivois à mon encontre. Je suis honteuse mais excitée.
Je sens ma mouille entre mes cuisses. Ma culotte est trempée. Dans le métro il y a trop de monde mais je vois bien que plusieurs hommes et femmes me regardent avec avidité. Certains regards sont accusateurs et me condamnent. La honte encore, qui m'envahit alors, au lieu de me freiner, ne fait qu'encourager mon abandon à la luxure.
Il est presque midi quand je me présente devant la boutique rouge à la devanture aveugle.
J'ai peur. Je sais que je ne vais pas fléchir. Je ne peux pas fléchir ! J'ai trop envie d'obéir et de m'abandonner aux volontés de mes persécuteurs et du vendeur. Je tremble à peine en poussant la porte.
Tout de suite, un jeune homme vient vers moi, un sourire sympathique aux lèvres. Il est beau et j'ai déjà envie de lui.
J'obéis à la lettre aux injonctions de mes tortionnaires et j'imagine même qu'ils doivent être en train de me surveiller.
Malgré ma tenue estivale j'ai veillé à paraître bourgeoise. L'homme a bien saisi cette nuance quand il s'adresse à moi plein de déférence.
- Bonjour Madame. Puis-je vous être utile ?
Je sens le rouge envahir mon visage. Le souffle coupé, je ne trouve rien à dire tellement l’émotion est forte. Il ajoute, ayant saisi mon embarras : - Je vous laisse regarder. Je reviendrai vers vous plus tard.
Je souffle ! Je me promène entre les rayons pleins de jouets à destination SM. Je sens l’excitation monter plus en raison de la situation que de la vue de ces objets de plaisir. Je reconnais encore qu’être humiliée devant cet homme m’excite plus. Je devine qu’il a reconnu la bourgeoise BCBG à peine dissimulée, qui vient s’encanailler dans cet espace de sexe, mais qui ne veut pas que cela se sache.
Je déambule lentement entre les rayons sans vraiment m’intéresser aux objets proposés. Toute mon attention est dirigée vers lui.
Je fais enfin une pause devant le rayon des plugs. Il vient rapidement me rejoindre. Mon cœur s’emballe.
- Il en existe de différentes tailles, Madame. Nous ne pouvons malheureusement pas vous les faire essayer mais je peux vous aider. Pratiquez-vous souvent la sodomie avec votre mari ? A-t-il un sexe de grosse taille ? Vous pénètre-t-il aisément ?
Il a très bien compris ma situation et l'exploite. Devant mon silence, car je ne trouve pas la force de lui répondre, il ajoute.
- Je comprends, ce sont des choses très intimes. Mais rassurez-vous, ce n’est pas la première fois qu’une cliente aussi classe que vous, vient ici pour choisir des objets de luxure. Je sais être discret car mon seul souci est de vous satisfaire.
Le salaud, je suis à deux doigts de lui sauter dessus ! Et sans attendre il me tend un modèle de taille moyenne.
- Avec ce modèle vous pourrez le porter en toutes circonstances, et même vous promener dans la journée, bien enfoncé en vous. Il n’entravera pas votre marche.
Je n’en peux plus et ce jeune homme s’en aperçoit. J’ai le souffle court, je me sens partir. Il affiche un sourire narquois qui me déstabilise encore plus. Considérant que l'achat est conclu, il ajoute : - Désirez-vous un autre objet ? Des pinces pour vos pointes de seins ? Des boules de geisha ? Un gode… un collier ?
En entendant ce mot, je trésaille. Oui, un collier de chienne. Je dois en rapporter un pour samedi soir. J’arrive à peine à articuler un « oui » entre mes lèvres.
- Un collier ? Suivez-moi, je vais vous montrer tous les modèles que nous avons.
Il m’entraine dans une autre partie de la boutique où sont exposés derrière une vitrine, une multitude de colliers accompagnés de la laisse correspondante. Je lui fais comprendre que je souhaite prendre le plus luxueux. Il me le présente et me propose de l’essayer. Je n’ai pas le temps de répondre que déjà il me l’ajuste autour du cou.
- Il vous va à ravir, en accord avec la couleur de vos yeux verts.
Immédiatement, il accroche la laisse qu'il tient en main, voulant sans doutes me signifier que je suis sa chienne.
J’arrive à lui dire : - Oui, il me convient, je le prends.
Puis d'une voix tremblante et timide, j'ajoute : - Pouvez-vous m’indiquer les toilettes s’il vous plait ?
Je n’en peux plus. Autant pour obéir à mes tortionnaires qu’aller me faire jouir, je devais me soulager. Le jeune homme, tenant toujours la laisse en main, me conduit au fond d’un couloir. Il accroche l'extrémité de la laisse à la poignée extérieure de la porte des toilettes et m'invite à y pénétrer. Il me signifie ainsi qu'il ne souhaite pas que je m'enferme. Je me précipite à l’intérieur et soumise, je ne ferme la porte. Cela me fait revivre la séance au moment de la soirée de gala, assise les yeux bandés dans les toilettes, soumise au bon vouloir du fils de Joachim ou de son ami.
Assise sur les toilettes, je soulève ma robe, dévoile mon ventre et je me caresse sans plus aucune retenue. J'entends le souffle du vendeur juste derrière la porte entrebâillée. Je sais, qu'à tout moment, il peut l'ouvrir et me mater en train de me masturber. Lui ou quelqu'un d'autre d'ailleurs. La honte ! Une bourgeoise, la chatte à l'air qui se branle dans les toilettes d'une boutique d'objets de débauche ! Avec cette image, il ne me faut pas longtemps pour jouir. Je n’arrive pas à étouffer mes gémissements et j’imagine que le jeune homme doit m’entendre.
Je sors quelques minutes après, honteuse et paniquée, le collier toujours autour du cou. Il m’attend à la caisse. Il me reste une épreuve à réaliser. Je m'approche et lui tend mon téléphone portable.
- S’il vous plait cher Monsieur, je voudrais que vous me preniez en photo avec mon collier. Et si vous le souhaitez, vous pouvez aussi utiliser votre appareil, en souvenir de ma visite.
- Certainement Madame.
Il s’exécute en prenant soin de multiplier celles qu’il prend avec son propre appareil.
- Soyez discret, mon époux, général, serait surpris de me voir dans cette tenue !
Je quitte la boutique, l’entrejambe souillé de mes sécrétions mais toute heureuse de la mission accomplie. Ma culotte trempée est dans mon sac. Impossible de la porter. Le retour promet d’être chaud !
Mes paquets sous le bras je me dirige vers les transports urbains !
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