Une soirée réussie : 10 - L'un dans l'autre
Récit érotique écrit par Rollerbi [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-06-2016 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Une soirée réussie : 10 - L'un dans l'autre
10
Résumé de l’épisode précédent :
À l’issue d’une nuit entre hommes, nous sommes partis en voiture passer la journée à la campagne. Chemin faisant, nous évoquions le souvenir de nos amants rencontrés plus tôt.
La douce caresse du soleil rend cette fin de matinée particulièrement agréable. Le grand air de la montagne y est probablement pour beaucoup, mais notre bonne entende donne également une teinte chaleureuse à l’instant.
— Vous ressentez ce calme qui nous entoure ? fis-je remarquer à mes deux hommes. On n’est pas bien, là ? Venez contre moi, s’il vous plaît. J’ai besoin d’un gros câlin, là.
Patrick se colle dans mon dos le premier, puis Franck nous étreint. J’ai besoin de chaleur. Le blues n’est pas très loin. Ces instants ne dureront pas. Là, entre eux, je saisie… l’instantané.
— T’es un sensible, toi. chuchote Franck en déposant une bise dans mes cheveux.
— Un peu trop, à mon goût. répondis-je. Toujours à réfléchir, ressentir, compenser…
— Compensons ensemble. intervient Patrick. Compte sur nous pour t’aider à te sentir bien.
À travers la toile de mon jean, je sens la pression de sa grosse verge contre mes fesses, et réalise que c’est bien la première fois qu’un tissu s’interpose entre sa bite et mon cul. Je glisse ma main pour étreindre ce gros serpent ; Franck lui, saisit mes hanches et plaque son paquet contre le mien. Il ne m’en faut pas plus pour passer en mode sexe.
Comme s’ils avaient rédigé un script, une action démarre. Patrick déboutonne ma chemise, frottant sa trompe contenue dans ma main, m’exprimant à voix basse ce qu’il comptait me faire. Franck, lui, accroupit devant moi, déboucle mon pantalon qui glisse sur mes chevilles. Son visage s’enfouit dans mes bourses, les hume, les lèche, en aspire la peau pour la suçoter, tout en pétrissant agréablement mes fesses.
Glissant à terre dans mon dos, le souffle de Patrick chatouille ma chute de reins. Ses dents mordillent ma croupe comme s’il s’agissait des fesses d’un bébé, puis sa langue s’immisce entre mes globes. Je me cambre pour répondre à son initiative. À ce moment-là, Franck m’aspire délicatement mon gland, glisse la pointe de sa langue sous mon prépuce pour en faire le tour d’un mouvement régulier. En écartant largement mes fesses, il aspire entièrement ma verge grandissante. Profitant de l’ouverture, des lèvres délicates encerclent mon anus, l’aspirant en y pointant une pointe de langue.
Mes mains caressent les têtes de mes amants en psalmodiant le bien qu’ils me procurent. La langue viole mon intimité s’ouvrant volontiers à son agresseur. Ma verge gonflée entre les lèvres expertes va et vient dans la chaleur de cette bouche. Je parviens à dégager les pieds de mon pantalon et écarte les jambes pour mieux recevoir l’amour de mes complices.
Patrick, s’il n’aime pas sucer, est un dévoreur de cul de première. Son expertise en ce domaine lui permet de me prendre sans autre forme de lubrification. Mon bassin ne voyage pas à vide, s’empalant sur l’exquise langue lorsqu’un spasme de plaisir le propulse en arrière, et projette mes 19 centimètres vers la glotte de Franck en partant dans l’autre sens.
Je succombe lentement, mais sûrement. Je les encourage à abuser de moi, à me dévorer. Je n’ai jamais reçu autant de plaisir des deux côtés en même temps, mes jambes en trembleraient presque. Mes couilles sont massées, pelotées, tirées, léchées, aspirées ! Ce sont maintenant deux doigts qui m’enculent en se vrillant dans une spirale entraînant jusqu’à mon esprit dans leur fougue.
Il ne m’en faut pas plus pour me faire partir dans l’orgasme. Je prends appui sur les épaules de mon suceur, penché en avant, les jambes tétanisées. Les couilles remontées, ma queue pilonne sa bouche au rythme des doigts qui me sodomisent. Mon sperme bout dans ma prostate depuis quelques minutes, fuse en de multiples saccades vers l’inconnu en m’arrachant de puissantes onomatopées incohérentes. Mon sphincter anal broie les doigts de l’intrus qui malgré tout s’acharne en moi.
Peu habitué à jouir sans donner, je me vide sans compter, m’abandonnant entièrement à mes deux amis. Ils m’ont emmené jusqu’à là-haut, me portent dans le plaisir, et prennent maintenant la peine de m’en faire redescendre, apaisé, rasséréné.
Je ne sais pas vraiment comment, mais je suis sur le dos. Le ciel est cristallin, l’air qui pénètre mes poumons est vivifiant. Les garçons sont là, à côté de moi ; nus à présent, Franck à genoux devant Patrick, suce l’énorme queue. Il le branle consciencieusement en tirant bien sur sa hampe lorsque ses lèvres descendent. Le lourd paquet dans son autre main.
Je me sens si léger ! Comme s’ils venaient de me soustraire à la gravité en me faisant jouir.
— Tu suces vraiment bien. lui lance Patrick. Vous adorez ça, tous les deux.
— Tu as une si belle queue. lui répond-il. Quel morceau !
De les regarder, libéré par ma jouissance quelques minutes plus tôt, réveille mon appétit. Une sensation bien connue s’empare de mon ventre, comme si un tunnel se creusait depuis mon anus jusque sous mon nombril. Je lui ai même depuis longtemps donné un nom, à cette étrange sensation : l’appel du cul !
Je me retourne vers eux, envoie la main directement entre les jambes de Franck à la rencontre de sa belle verge. À son contact, je repense à l’incroyable orgasme qu’elle m’a procuré cette nuit, blottie entre ses puissants bras. Comment ne pas être addict lorsque le plaisir nous submerge de la sorte ?
— Vous m’avez fait planer grave ! leur dis-je. Je vous suis redevable.
— Tu te sens de reprendre du service ? Ironise Patrick en secouant la lourde massue dans les airs.
— Viens-vite me prendre, j’ai trop envie que vous me sautiez tous les deux.
De nouveau sur le dos, il me soulève les jambes pour placer le gros nœud recouvert de sa salive à l’entrée de mes reins avant de forcer pour me prendre. Il n’a pas beaucoup d’effort à faire pour que mes chairs lui autorisent l’accès. Les 15 dernières heures ont considérablement chauffé le terrain, combinées à l’excitation omniprésente, font de moi un aspirateur à sexe. En quelques poussées, les deux tiers de sa bite diffusent les premières ondes de plaisir.
À califourchon au-dessus de mes épaules, Franck livre sa queue à mon insatiable gourmandise. Son gland libère quelques gouttes de présperme au fur et à mesure que ma main masse la longue hampe.
Rempli par mes deux mecs, je me sens de nouveau bien, comme si grâce à leurs énormes queues ils pouvaient combler… l’absence de Danièle. Embroché de toutes parts, je réalise à quel point je suis encore amoureux d’elle, et que les litres de foutre que mon corps reçoit ont moins de vertus que quelques gouttes de cyprine de cette beauté.
Patrick me fait beaucoup de bien, mais malgré tout je leur demande d’échanger les places. J’ai besoin de les sentir me prendre à tour de rôle. À quatre pattes devant Franck, je lui attrape la queue pour la diriger en moi. À peine est-il engagé en moi que mes lèvres s’entrouvrent pour retrouver la grosse barre de Patrick. Les deux sexes entrent en moi d’une façon presque synchrone. Je retrouve l’incroyable différence de sensations anales entre ses deux monstres. Deux gros pistons qui ne manquent pas d’avance à l’allumage, et qui me font vibrer de manières si différentes. Derrière chaque queue, il y a un homme, un caractère, une sensibilité très individuelle.
— Ohhhh, Franck. Bien au fond. Ouiiiiiii, c’est bon quand tu fais taper tes couilles. Repousse mon ventre.
Il répond à ma supplique en me sodomisant à longs coups en donnant le petit coup de reins qui propulse ses burnes pendantes. Il me saute quelques minutes ainsi, me donnant un plaisir intense. Pourtant, j’en veux plus, je suis insatiable. Patrick ne tiendra plus longtemps, il est dur comme de la pierre.
— Décharge en moi, remplis-moi de ton foutre. l’implorais-je en lui attrapant les couilles entre mes jambes. Baise-moi fort !
Contre toute attente, il sort sa queue, laissant l’air de toute la clairière s’engouffrer entre mes fesses.
— Tu as besoin de la sentir vivre en toi ? Comme cette nuit ? me nargue-t-il.
— Oui, décharge en moi. Patrick aussi. J’ai besoin de vous sentir couler en moi.
Il s’accroupit au-dessus de mes fesses, crache sur son gros gland, et sans autre forme de procès, m’encule bien droit. Je lui raconte les choses les plus crues qui me traversent la tête alors qu’il me pilonne puissamment, éructant de grand « han » lorsque ses lourdes couilles frappent ma croupe. Patrick me connaît bien, il a compris ce que j’attends. Sachant Franck sur le point de non-retour, il se lève, m’abandonnant, le cul en proie à mes démons, prêt à m’enculer dès que son acolyte aura joui !
Alors qu’il accélère, ses mains m’attrapent par les épaules pour s’enfoncer encore plus fort.
— Tu le veux ? crie-t-il.
— Ouiiiiii ! Jouis !
Sans décélérer, sa trompe veineuse perfore mon anus brûlant en giclant le précieux liquide dans mon rectum. Ma main étreint sa cheville dans un réflexe, comme pour me raccrocher à lui. Son orgasme me fait l’effet d’un shoot, mon esprit s’embrume.
— Vide-toi en moi. ânonnais-je, l’esprit confus.
Il s’immobilise, vidé, son bassin contre ma croupe. Je sens ses couilles de nouveau pendantes glisser le long de mes fesses, ses jambes trembloter. Sans réfléchir, son gland s’extirpe de mes entrailles en laissant un trou immense à l’air libre. Alors qu’il s’agenouille face à ma bouche, le nœud de Patrick prend légitimement sa place.
— Oui, Patrick. Viens vite jouir en moi, s’il te plaît.
Le gland maculé de sperme arrive entre mes lèvres. Patrick, adoptant la même posture, glisse en moi, raide dur. Je sais qu’il va me faire le plein. En quelques allers-retours, la massive colonne est arrivée à terme, déversant le contenu de ses vésicules séminales en longues giclées avant de m’entraîner avec lui sur le côté.
Plus aucun d’entre nous n’a d’énergie. Ma tête sur l’intérieur de la cuisse de Franck, je savoure le goût âcre de cette victoire en suçotant son gland mollissant, le cul plein d’étoiles et de sperme, amoureusement souillé.
Ce foutre, mon élixir de bien-être, ma drogue, ma… faiblesse. Décalé de l’instant, je me remémore quelques instants clefs, et revois Hervé, un an plus tôt.
ooOOOoo
L’eau tiède qui glisse sur ma peau me délasse et entraîne également les restes de gel séchés. La douce quiétude de cet instant me permet de me « retrouver », en savonnant mon corps. Mon ventre est souple, détendu, et franchement, aucune douleur ou autre brûlure ne se fait sentir lorsque accroupi, le jet tiède ou mes doigts abordent cette région. Hervé m’a fait jouir avec une intensité extraordinaire, mettant la barre très haut au palmarès de mes amants.
Stéphane, mon initiateur, m’a permis de me désinhiber, d’apprécier et de vivre pleinement cette sexualité « entre hommes », me donnant quelques cours du soir que j’ai suivis… assidûment. J’ai fait par la suite quelques rencontres, dont certaines très brèves, mais n’ai jamais connu le super-pied comme ce soir avec Hervé. Son attitude, ses propos, sa puissante queue, sa façon de baiser, et enfin son délicieux sperme, je ne peux lui donner que 20/20 ! Si d’autres méritent un titre de figurants, de bons seconds rôles, Stéphane a bien mérité un Oscar pour le meilleur scénario, et Hervé, l’Oscar du meilleur premier rôle.
C’est la sonnerie du téléphone qui finit par me sortir de ma rêverie. Danièle me confirme qu’elle est bien installée, et que la chambre est très agréable, et qu’en me parlant, un bain réparateur coule. Je lui dis imaginer son corps nu alangui sur le lit, et lui décris ce par quoi je commencerais si… Mais aussi que je suis accro à son corps de déesse, qu’à distance j’embrasse sa petite chatte et son adorable petit trou, que je place ma queue entre ses seins en dirigeant mon gland vers sa bouche exquise. Ses doigts jouent avec son petit clito en me parlant lorsqu’elle me demande comment j’ai fini mon dimanche après-midi (qu’elle regrettait par ailleurs d’avoir gâché par son départ sur un triste quai de gare).
Je lui explique mon errance en ville pour finir dans ce sex-shop, désœuvré, à regarder la vidéo de ce trio bi prendre leur pied, et mon incroyable frustration alors de ne pas l’avoir à mes côtés, ou, à défaut, un beau sexe viril.
— Il n’y avait personne dans une autre cabine pour partager quelques instants ? Tu es libre, tu sais ! Nous ne nous appartenons pas, même si je ne pense qu’à toi jour et nuit depuis que je t’ai rencontré, je me refuse à toute exclusivité. Je ne cherche personne, mais ne veux pas m’interdire quoi que ce soit.
Ses mots me rassurent, et je n’en reviens toujours pas de la chance que j’ai d’avoir rencontré une personne d’une telle intelligence, d’une telle ouverture d’esprit. Je lui explique ensuite ce concours de circonstances : l’heure de fermeture, l’absence de clients, les propos d’Hervé, son assurance, sa queue, et… mon insatiable gourmandise. Alors que je lui relate ce que nous avons fait dans ce débarras, Dan m’annonce qu’elle est toute trempée, qu’un doigt s’enfonce entre ses fesses, un autre pénètre sa chatte, et qu’elle aurait voulu être présente pour assister à cette séance torride !
Une fois confessé, Dan me demande si je serais d’accord pour lui permettre d’assister à une telle soirée, qu’elle adorerait me voir « dans l’action », passif alors que je suis si actif avec elle, étonnante dualité en moi selon ses propres termes.
— Je ne peux rien te refuser, tu le sais bien. Tu es tellement craquante.
En attendant, son bain est plein depuis fort longtemps, et il lui faudra bien toute cette eau pour éteindre le feu qui lui brûle les reins.
La pluie martèle le toit de ma voiture, couvrant presque la voix subaiguë de Bon Scott chantant « Highway to Hell » dans l’autoradio, lorsque Hervé arrive en courant, sa veste sur la tête pour se protéger.
— Sortez couvert ! lui dis-je une fois à l’abri.
Je démarre et nous roulons à travers la ville en parlant de musique, de son boulot et du mien, bien après qu’il m’a également demandé des nouvelles de mon charmant petit trou ! Je n’habite pas très loin, plus qu’une volée de marche, un tour de clef pour ouvrir, un coup de verrou pour être tranquille, et je présente mon appartement à mon invité. Je lui sers un verre pour nous poser quelques minutes. Même si nous savons pourquoi nous sommes là, nous ne sommes pas des bêtes.
— Tiens, je t’ai apporté quelque chose ! me dit-il en me déposant un sac plastique sur la table.
À l’intérieur, un grand tube de gel, et je devine l’intérêt de son cadeau. Mais il y a également un autre emballage.
— C’est pour les nuits sans Kim Wilde ! me dit-il en voyant mon étonnement.
En effet, il s’agit d’un gode. Lorsque je le sors du petit sac en toile, je découvre un beau modèle, de type « réaliste » à ventouse, d’un calibre de 22 x 5,5 centimètres. Ma première question est alors de savoir s’il m’a trouvé trop étroit !
— Pas du tout, ton cul est parfait, ne t’inquiète de rien. Mais mon boss m’a demandé de faire l’inventaire de la boutique, et en les comptant sur la table de la remise, je n’ai pu m’empêcher de repenser à notre partie de jambes en l’air. Alors, un de plus ou un de moins, j’ai pensé que ça te ferait plaisir d’en avoir un pour combler ta solitude certains soirs ! Un petit conseil : fais-le tremper dix minutes dans de l’eau bien tiède avant de t’en servir, c’est plus agréable paraît-il.
Sans hésiter, je vais à la salle de bains, bouche le siphon et mets l’objet en question à barboter avant de revenir vers Hervé.
— En attendant que tu me dépucelles avec ton présent, j’aimerais beaucoup m’entretenir avec Oscar. Il me manque depuis la dernière fois. Je te fais visiter mon lit ?
À peine la porte de la chambre franchie, je le déshabille rapidement, mais il me veut nu aussi, pressés tous deux d’en venir aux mains. Son sexe est toujours d’une surprenante beauté, et je le lui dis en le prenant à pleines mains.
— Je n’ai pas l’habitude de faire des compliments aux mecs, en général, ce n’est que du sexe. Mais tu es super-bien foutu aussi, et… confortable. rajoute-t-il en me poussant à la renverse sur le plumard et de venir me bâillonner la bouche avec ses lourdes bourses.
Bruyamment, je les aspire fort à tour de rôle et les suce avec délectation, sentant Oscar s’allonger, lourdement reposé sur mon front. La pointe de ma langue s’aventure le long de son scrotum, à l’endroit où les premières rides de l’anus se dessinent, plus pour ressentir ses désirs que par propre envie. Mais il recule le bassin, et présente à mes lèvres sa grosse demi-molle. Ma bouche le redécouvre avec plaisir, enroulant ma langue autour de son gland jusqu’au frein, faisant même semblant de le mordre, de le mâchonner. Loin d’en trembler, il durcit et se dilate, l’endroit lui convient, chaud, doux et humide.
Prenant appui sur ses bras, il s’enfonce de plus en plus en moi, investissant ma bouche en long et en large, murmurant son plaisir d’une voix douce et reposée. Puis d’une main sous ma nuque pour me maintenir, il se jette de côté, m’obligeant aussi à faire demi-tour, sa queue presque dans ma gorge. Je me retrouve ainsi entre ses jambes, et reprends ma fellation à gorge déployée.
— Tu me suces trop bien, je ne tiens pas longtemps, applique-toi bien. Oui, lentement, pour bien me vider les couilles.
Je comprends que son excitation est grande, et qu’il veut vite se « soulager », probablement afin d’être plus disponible pour la suite. Je lui masse les bourses tout en essayant de l’avaler en entier, à la limite du haut-le-cœur, ce qui n’est pas des plus évidents. Voyant mon obstination à essayer cette prouesse, Hervé me place sur le dos au bord du lit, la tête dans le vide, et renfonce sa lourde queue jusqu’aux amygdales cette fois.
— Respire bien, je vais doucement, détends-toi. Régulièrement, il me pénètre jusqu’à me coller ses couilles sur les yeux, alors que sa main s’est refermée sur mes testicules.
— Que c’est bon de te baiser la bouche ! Hummmm, fais-moi du bien, après, je m’occupe de toi, de ton cul, de tes grosses couilles, continue.
Continuer, oui, mais c’est lui qui me lime la gorge de sa grosse barre bien dure, et je n’ai pas l’intention de m’en plaindre. Je relève mes jambes et passe mes bras derrière mes genoux, et sens immédiatement le doigt humide de mon baiseur de bouche appuyer pour tenter de s’introduire dans mon cul pour commencer à me dilater.
Oscar me bloque la respiration à chaque passage, et si ce n’était pas l’excitation qui me domine, je le repousserais ; mais déjà un deuxième doigt me taraude délicieusement les fesses, m’interdisant de réfléchir, et me rappelant la superbe sodomie qu’il m’a fait vivre la dernière fois.
— Attends, ne me fais pas jouir tout de suite, je dois te dépuceler ! s’écrie-il en se retirant.
Sur les conseils de Danièle, je me suis fait un bon lavement glycériné avant d’aller chercher mon enculeur ce soir. D’une part pour être propre, mais aussi pour éviter tout échauffement. Je ne pensais pas commencer par un gode, mais pourquoi pas ! Tout chaud, je le sèche avec une serviette, ramasse le gel au passage avant de retrouver Hervé allongé sur le côté, sa main refermée autour de sa queue, se branlant doucement pour conserver sa solide érection.
— Viens me sucer pendant que je te gode, tu vas aimer.
Sûr de lui comme à son habitude, son ton « nature » ne laisse guère d'alternatives, je m’exécute, passant mes jambes sous ses épaules pour que mon anus soit bien sous ses yeux.
Ma main prend le relais autour de sa queue, et de la pointe de ma langue, je recueille la grosse goutte d’excitation qui perle de son méat, puis le reprends en bouche en veillant à bien serrer les lèvres. Hervé, de son côté, presse fort sur le tube qu’il a placé sur ma rondelle, et le lubrifiant froid pénètre généreusement mon rectum. Je sens ensuite le contact du gode, qui sous la pression de sa main, s’insinue timidement en moi. Je pousse un peu pour venir à sa rencontre, juste le temps que le pseudo-gland passe la porte et s’immobilise. Alors que ma langue décrit des arabesques sur son membre, je m’attends à le sentir me prendre plus avant, mais contre toute attente, c’est de mes couilles qu’il s’occupe, les gobant avec méthode, raidissant ma queue davantage.
— Oh, oui, j’adore ça !
Je redouble d’ardeur à le sucer, et tout en me bouffant les testicules, Hervé, par de petites vagues, fait pénétrer le majestueux phallus lentement dans mon fondement. J’ondule les fesses sous l’action combinée de sa main et de sa bouche, appréciant d’être investi tout en suçant sa belle et bonne queue. L’objet avance, repoussant mes chairs en diffusant sa douce chaleur dans mon ampoule distendue. Les 5,5 centimètres ne sont pas un obstacle, Oscar, longueur mise à part, les fait également !
— Encore, enfonce-le moi bien, prépare mon cul pour que tu puisses m’enculer tant que tu veux après ! lui-dis-je alors, m’abandonnant à cette douce soumission.
Stimulé par mon approbation, le gode se retrouve complètement enfoncé dans mon trou avide de sensations. Les testicules d’Hervé se placent haut de chaque côté de sa verge raide, ma main accélère alors légèrement le branle que j’effectue depuis la reprise, et soudain son gland enfle sous la pression des grosses giclées de sperme qui viennent remplir ma bouche. Solidement enculé, les couilles léchées et gobées avec méthode, mon amant accompagne son éjaculation de coups de bassin, propulsant son foutre pratiquement jusque dans ma gorge. Aussi crémeux et abondant que l’autre soir dans la réserve, je me délecte de sa semence en remuant mes fesses pour bien sentir le corps étranger m’habiter.
Je n’ai pas joui, et sais que ce moment viendra en temps et heure. Je profite encore quelques instants de la virilité d’Oscar et des dernières traces de sperme qu’il daigne m’offrir avant qu’Hervé, un peu plus calme, me demande ce que je ressens et ne reprenne ses va-et-vient. «
— C’est gros, c’est grand, et en plus, je peux sucer ta belle queue en même temps. J’adore cette sensation.
Ses mouvements se font de nouveau plus intenses, son orgasme ne l’a pas complètement éteint. Ce jeune homme a de grosses ressources, et est plutôt joueur !
— Tu aimes te faire enculer ? dit-il en maniant l’objet avec insistance.
Je lui réponds affirmativement, et lui demande même d’y aller un peu plus franchement. Il s’exécute, imprimant un grand mouvement vrillé, vissant le gode dans mon fourreau brûlant. Un certain bien-être prend possession de mon bas-ventre, assoupli par cette masturbation anale. Sortant parfois complètement l’objet, il constate alors que mon anus reste complètement ouvert, béant.
— C’est la première fois que je vois un cul dans cet état, aussi souple et demandeur. me confie-il en renfilant le gode.
Ce dernier complètement enfoncé, il le tourne alors comme s’il s’agissait d’un joystick, cherchant à me dilater encore davantage. Je râle de plaisir, l’implore de continuer à jouer avec mon cul, et recommence à sucer Oscar, resté long après l’orgasme, mais peu rigide.
— J’ai envie de t’enculer, de te faire jouir,,et de jouir dans ton petit cul cette fois. Laisse-moi te faire jouir. Suce-moi bien, que tu l’aies bien dure entre tes fesses.
En prononçant ces mots, Hervé coulisse le gode en de longs gestes appuyés, me donnant un avant-goût du plaisir à venir. Lentement, à force de jouer avec sa virilité, son érection redevient aussi raide que le godemiché, prête à me prendre.
— Je suis prêt, viens, prends-moi. ! lui dis-je dans un feulement, dévoré par le désir d’être son jouet.
Tout en retirant le gode, il me demande si j’accepte qu’il me prenne sans capote pour mieux me sentir. Je n’ai pas envie de tergiverser, même si ce n’est pas raisonnable. D’un autre côté, j’ai avalé son sperme à plusieurs reprises, et pas qu’une goutte ! Je le veux, là, de suite, mon cul l’appelle à « gorge déployée », tout béant qu’il est.
Allongé avec un oreiller sur le ventre, les fesses largement écartées, je sens le lubrifiant froid couler du haut de ma raie et plonger dans mon anus. Stupéfait par mon troisième œil, impatient d’y plonger, Hervé vient placer le bout de sa grosse queue à l’entrée de mon tunnel, et dans une exquise glissade, s’introduit en moi avec souplesse et… efficacité. Ses couilles bien pendantes se collent contre mon scrotum, magie du moment, la douce chaleur de ce corps étranger m’envahit.
— Encore, remets-la moi, recommence, c’est trop doux !
Le temps de reculer jusqu’à l’orée de mon petit trou, et il me replante lentement sa barre sur vitaminée d’une traite, m’arrachant un grognement de plaisir, avant de commencer à me marteler la croupe de petits coups de bassin, me pilonnant d’une manière très soft, mais bien au fond. Sa queue se fraye son chemin sans difficulté, frottant sans aucune douleur ou autre désagrément, le gros gland venant systématiquement buter au fond de mon ventre pour m’irradier de bien-être, de bonheur. Jouir de l’instant, ne plus penser à rien, à rien d’autre qu’à cette grosse bite docile qui me fouille si agréablement.
Toujours à la recherche de notre plaisir, dans un athlétique demi-tour, Hervé place sa tête du côté de mes pieds et retrouve le chemin de mon cul ainsi à l’envers. La cambrure naturelle de sa verge change alors toutes les données, appuyant fortement sur ma prostate alors qu’il intensifie le rythme de sa sodomie, me répétant qu’il adore m’enculer, que mon cul n’est fait que pour sa bite, qu’il pourrait me la mettre trois fois par jour si je le voulais.
— Ne t’arrête pas, baise-moi fort, je commence à aimer ta queue, baise-moi !
Il n’a plus aucune retenue, et m’assène ses coups de massue avec des accélérations incroyables, puis revient lentement à de longs et lents va-et-vient, me la faisant sentir sur toute la longueur dans cette enculade inversée. Je manque de jouir à chaque fois, mais il est à l’écoute et me fait redescendre juste avant.
— Je vais te faire miauler, tu vas crier mon nom, et je vais te gicler tout mon foutre en toi. Tu vas en redemander !
Lentement, il se retire, puis me couche sur le côté, me prend la jambe et sa queue s’immisce seule en moi, se plantant avec force et rapidité, mes couilles tressautant sous l’intensité de la pénétration, m’emmenant crescendo vers les sommets.
— C’est la première fois qu’on me fait autant de bien, encule-moi encore, oui. Baise-moi !
Et il s’y applique précisément, sortant son arme complètement pour la replonger presque aussitôt sans faillir. J’attrape ses couilles dans ma main pour l’obliger à me saillir, à me sodomiser puissamment, à me faire hurler de bonheur, tant je suis au bord de l’hystérie. Son bras me ceinture alors le ventre pour m’obliger à le suivre dans un quart de tour.
En une seconde, je me retrouve empalé sur cette barre aussi dure que de l’acier. Le temps de me rétablir et de prendre appui sur mes quatre membres, et le revoilà qui me besogne avec vigueur le cul, me coupant le souffle lorsqu’il pompe ma prostate au passage de son gland turgescent.
— Là, tu la prends, ma grosse queue. Hein ? Tu la sens dans ton p’tit cul, hein ? Je vais te faire crier, prépare-toi à jouir, je vais te faire grimper. Danse-moi sur la queue, oui, vas-y, empale-toi jusqu’aux couilles, descends sur ma colonne, encore plus, oui !
Comme un pantin, je le pompe du cul en me plantant sur son poteau à chaque ondulation de mon bassin. Lorsque j’en suis à toucher son ventre, il m’assène un coup de rein à faire sauter ma queue pendante et mes lourdes burnes, et déclenche une montée de sève par la même occasion. L’air pénètre mes poumons pour mieux permettre à mon cerveau de synthétiser et libérer toutes les drogues naturelles dans mon organisme.
— Je sens que je vais bientôt jouir, baise-moi bien profond, oui, encule-moi pour de bon !
Sa queue me calibre grave, et une sourde pression envahit mon ventre. Ma tête ballote dans tous les sens, ivre de toutes les infos qu’elle doit gérer à la seconde. Mon cul n’est plus qu’un nid de capteurs sensoriels raccordés à Oscar, totalement asservi à ses caprices, ses facéties, et telle une main serrée, se referme autour de lui dans une série de spasmes.
— Oui, ton cul m’aspire, oui, pompe-moi le dard, je vais bientôt me vider en toi, n’arrête surtout pas, je me vide dans ton cul !
Ces mots sont les derniers signaux que je suis à même d’interpréter avec raison. Tel un coup de batte de baseball, une violente secousse me broie les reins et le ventre, le sphincter se tétanise autour d’Oscar, et des jets de sperme fusent de ma verge pourtant flexible. Sa puissante queue gonfle à l’intérieur de mon rectum et je la sens pulser son précieux foutre tout au fond de mon trou.
Ses couilles et l’intérieur de ses cuisses reçoivent ma semence alors qu’à chaque décharge de mon amant, j’ai l’impression qu’il me remplit le ventre de sa crème, presque au point d’en sentir le goût en bouche. Cet orgasme ravageur est le premier de ma vie d’une telle intensité, représentant l’union parfaite d’une bite et de son cul. C’est le deuxième que je vis avec Hervé, merveilleux amant au puissant sexe.
Mon anus reste contracté autour de son sexe encore de longues minutes après que nous avons joui lui faisant subir un véritable Pénis Captivus. Je gis sur lui, plus que je ne suis allongé, mortifié, transporté. À demi-mot, je le remercie pour ce sprint et cette partie de baise, lui confiant que j’étais bien, là, sa grosse bite débandante au fond de mon cul. Il nous faut un bon quart d’heure pour envisager de se séparer. À peine sa longue verge molle sortie de mon séant, son foutre s’écoule de mon rectum, je fonce sous la douche. En contractant mon bas-ventre, une impressionnante quantité de semence liquéfiée coule le long de mes jambes : il a bien déchargé, pas de doute !
Une bonne douche nous retape, suivie d’un repas frugal, nus, détendus et sereins. Assis au bord de sa chaise, les larges bourses sacoches à foutre et Oscar pendant démesurément s’exposent devant mes yeux. Voyant la fixité de mon regard, Hervé me demande si je n’en voudrais pas encore un morceau !
Je décline l’offre pour l’instant, et lui propose soit de le ramener, soit de dormir ici. C’est la deuxième solution qu’il adopte. Allongés côte à côte comme deux potes, nous parlons un moment de filles et de mecs, nous dévoilant un peu plus, jusqu’à ce que le sommeil nous emporte jusqu’au petit matin.
Couché sur le côté en chien de fusil, il vient s’emboîter contre moi, plaquant son érection du matin contre mes fesses, en bougeant son bassin pour bien que je le sente contre moi. Ses testicules chauds contre ma cuisse me renvoient une image sensorielle aussi simple qu’évidente : d’où son organe commence, et où il finit au bas de mon dos. Sa colonne épouse finalement ma raie, et la chaleur de sa hampe contre mon anus…
— J’ai envie de te prendre tout doucement, comme la lumière du matin, furtivement ! glisse-t-il à mon oreille.
Je ne réponds pas, amusé de savoir comment il va réagir. Ses petits mouvements de bassin font frotter sa verge large contre ma rondelle avec beaucoup de sensualité. Ne constatant aucune réaction de ma part, je le sens reculer, et pense qu’il capitule, jusqu’à ce que son gland gonflé cherche la porte de mes fesses… et finisse par la trouver. Il est gros, je doute qu’il puisse m’investir ainsi, sans lubrification. Et pourtant, lorsqu’il force mon étroit passage, le gland repousse mes chairs et je n’ai qu’à pousser fort de mon côté pour m’ouvrir et l’accueillir.
— Merci. Je vais te prendre en douceur. Bonjour, cul magique ! ironise-t-il.
Ma main saisit ses bourses toutes chaudes et bien lourdes avec tendresse et les serre lorsque Oscar, à chaque petite poussée, me pénètre, m’investit un peu plus, avec un respect que je n’aurais jamais soupçonné de sa part.
— Hummmm… c’est bon, ta queue est un pur bonheur.
Je joue avec ses bourses alors qu’il me prend sans brutalité, me remplissant les fesses de douces sensations. Je découvre la sodomie du matin, et suis très fier de la tolérance de mon anus, de sa sensibilité. Je lui demande seulement de ne pas décharger entre mes reins, car je veux le boire, je veux qu’il jouisse entre mes lèvres. Il s’enfonce en moi ainsi une bonne dizaine de minutes, puis m’annonce alors que je peux le faire jouir quand je le désire, qu’il s’en remet à moi, à mes lèvres.
Sorti de moi, il se met sur le dos. Je me retourne et viens embrasser son gros gland, le lécher, avant de parcourir toute la hampe de ma langue et lui aspirer chaque testicule dans ma bouche, avec la douceur du matin. Tendu à l’horizontale, son membre bat la mesure. Je m’en saisis alors d’une main délicate, referme mes lèvres juste quelques centimètres sous son gland et le suce avec tendresse en le branlant tout timidement, le frein bien tendu, ma joue posée sur les poils de son ventre.
Sans un cri, sans aucune accélération, au bout de quelques minutes de ce traitement, je sens son ventre frémir, puis sa hampe gonfle une fraction de seconde avant le gland, et une secousse m’annonce l’arrivée de la première salve de sa chaude semence, envahissant mon palais de son goût suave et puissant. Sous mes yeux, à quelques centimètres, je m’amuse de voir le ballet de son gros paquet de testicules, secoué huit fois de suite, soit à chaque fois qu’une copieuse averse de sperme vient abreuver ma soif de mâle, alors que mon ventre est encore tout chaud de lui.
J’aime sa queue, mais je pense aussi à Danièle. La bouche pleine du sperme de mon amant, les pensées entre les seins de cette femme merveilleuse, je mesure, non sans souffrir, mon incapacité de faire un choix objectif pour l’un ou l’autre des deux sexes, et ce qu’ils m’apportent.
ooOOOoo
— Tu es incroyable. murmure Franck en passant ses doigts dans mes cheveux. Une vraie bête de sexe.
Mes lèvres lâchent la lourde verge molle. Les yeux mi-clos, je caresse ses bourses avec douceur.
— On t’a déjà dit que tu avais un sexe magnifique ?
— J’ai reçu pas mal de compliments, en effet. me répond-il. Le tient est superbe aussi, en plus d’être délicieux.
— Tu sais, quand je t’ai observé hier soir en arrivant, je me suis dit que tu étais un véritable piège à filles.
Patrick extirpe tout doucement son lourd cylindre de sa fameuse piste aux étoiles. J’en profite pour m’allonger à plat ventre, m’abandonnant au rayon du soleil le temps que mes organes retrouvent leur place.
— Toi, tu es un véritable piège à bites ! lâche Patrick en claquant sa main sur ma fesse. Tout ça m’a ouvert l’appétit. Je boirais bien un petit verre de vin. Qui m’accompagne ?
Nos verres tintent en portant un toast à cette belle journée et à notre bonne entente. Un peu d’alcool est le bien venu. Nous nous tapons une bonne partie de rigolade, riant de tout, et surtout de n’importe quoi. Mais nos estomacs grondent, le soleil tape fort, il est temps de réinstaller la couverture à l’ombre pour manger un bout.
Évidemment, lorsque je me lève, le cadeau de mes deux hommes s’écoule le long de mes jambes.
— Tu le savais que tu n’étais plus étanche ? demande Franck hilare.
— Depuis que je fréquente ce charmant monsieur, oui ! lui dis-je en montrant Patrick du doigt. Il a fait de moi un homme fontaine ! Si, si, ça existe, il l’a inventé. Au lieu de dire des conneries, vous feriez mieux de venir avec moi laver les outils !
Mettre les pieds dans l’eau du torrent est une chose, y mettre le cul en est une autre. Le souffle très court, je finis par y parvenir et m’habituer à la fraîcheur. Je nettoie mon entrejambe, devenu leur piste d’atterrissage exclusive, afin de retrouver un peu de fraîcheur. Intéressé, je propose de faire la toilette intime de mes hommes. En moins de cinq minutes, nous sommes tous les trois assis dans l’eau fraîche, idéale pour se ressourcer.
Lorsque nous sortons de là, je découvre leur sexe glacé :
— Vous vous moquiez de mon cul, à peine. Mais sinon, ça vous fait quoi d’avoir une bite normale ? Parce que là…
— Fais-nous revenir à la vie ? demande un Patrick intéressé.
— Promis, je vous taille une bonne pipe pour le dessert. Mais là, j’ai besoin d’avaler autre chose qu’une queue !
Nous dévorons avec avidité le pique-nique, et râlons car un bon café nous manque. Je leur fais remarquer quand même qu’il y a pire comme problème. Patrick avoue qu’effectivement, il y a pire. Comme se geler les couilles, ou encore ne pas pouvoir faire de sieste. En effet, je le rassure sur le fait que je compte bien leur réchauffer les couilles, et ce de suite après un petit somme réparateur.
Mes deux durs au cœur tendre, très protecteurs et très prévenants, s’adonnent également à cet exercice. Le vent dans les feuillages, le bruit du torrent à quelques mètres, la douce chaleur… Tous les éléments se trouvent réunis pour nous ressourcer.
J’imagine quelqu’un passant par là et découvrant trois hommes nus allongés sur une couverture, perdus au milieu des bois, dont l’un a la main posée sur la fesse de l’autre, l’autre tenant tendrement les couilles du troisième dans ses mains.
Je ne sais combien de temps nous avons dormi et serais tenté de dire : le temps nécessaire. Aucun d’entre nous n’éprouve d’ailleurs le besoin de parler. Une étrange impression accompagne mon éveil, un sentiment de légèreté, un peu comme si mon corps échappé à la gravité. Il m’est impossible de dire combien de fois mes deux comparses me sont passés dessus en moins de 24 heures, et pourtant, étrangement, n’en ressens aucune séquelle, bien au contraire.
À cette seule pensée, une douce chaleur se propage le long de ma verge, gagnant rapidement mon abdomen. Par petites vagues, tel un fluide, cette très douce présence gagne la zone anale. De petites contractions s’emparent de mon rectum, comme pour se rappeler à mon bon souvenir. Ce rappel à l’ordre interne me paraît inutile, car même si j’oubliais cette partie de mon anatomie, elle n’échapperait pas longtemps à la convoitise de mes amants.
— Vous vous rappelez que je vous ai promis une petite gâterie ? risquais-je à voix basse. Je prendrais bien un petit goûter.
— Hummmm… un p’tit pipi s’impose. Je reviens ! me répond Franck en s’éclipsant, suivi de Patrick.
— Secouez bien la dernière goutte après !
À leur retour, mes yeux avalent déjà leur grosse queue ballottant de gauche à droite à chacun de leur pas. Franck arrive le premier, je ne résiste pas à l’arrogance de son gland et le plonge loin dans ma bouche, content de me sentir de nouveau prêt pour quelque délire que ce soit. Patrick se rapproche. Après quelques va-et-vient sur la première verge, je change de dimension en aspirant l’épaisse queue. De la main, je le décalotte pour que ma langue puisse tourner autour de son gland.
Pour mieux les apprécier, je leur demande de s’allonger en vis-à-vis, les cuisses écartées de l’un passant sur celles de l’autre. Leurs bourses bien collées entre elles ; je n’ai qu’à me pencher pour disposer de ce beau bouquet de bites.
Une dans chaque main, je les branle en même temps très langoureusement. D’une bouche que je veux très voluptueuse, je passe de l’une à l’autre, jouant avec leur gland, les mordillant au niveau de la couronne, ou pointant ma langue dans le méat. Une délicate main flatte ma croupe exposée tandis qu’une autre masturbe ma verge avec délicatesse.
— Je suis incapable de savoir si je préfère ta bouche ou tes fesses. soupire Patrick. Depuis un mois, je me pose la même question.
— C’est pour ça que j’aime que tu t’occupes des deux. Deux plaisirs totalement différents, mais exquis ! Pour l’instant, je veux juste boire votre jus et mettre mon cul en jachère.
J’aspire leurs lourds testicules pour varier leurs sensations, remonte la pointe de la langue tout le long de la hampe, reprends leur verge dressée, crache dessus avant de la pomper bruyamment. Lorsque j’en ai bien excité une, je la délaisse au profit de l’autre, en leur demandant s’ils ont l’intention de bien me récompenser. Je les tiens serrées ensembles entre mes mains réunies en cercle, et tout en les branlant, rêve qu’ils m’enculent à l’unissons pour me remplir de foutre. Mais si avec d’autres on aurait pu tenter l’expérience, avec eux, c’est irréalisable.
Ils m’encouragent, m’implorent de ne pas m’arrêter. Je donne du cœur à l’ouvrage, les embouche maintenant goulûment, les branle plus énergiquement en me concentrant sur leur seul orgasme, attendant leur sperme comme un oisillon guette le retour de ses nourrissieurs. Patrick se trahit le premier en glissant deux doigts humectés dans mon rectum. Franck, circoncis, offre depuis hier plus de résistance.
Je me déchaîne alors plus intensément sur le gros tube qui comme escompté cède au supplice de ma bouche. Tout en les branlant rapidement, mes lèvres sucent son nœud. Avec un son de gorge caractéristique, son ventre se creuse alors qu’il ouvre les vannes de son plaisir, déchargeant sans compter de très nombreux jets d’un sperme onctueux, exquise récompense.
À peine ai-je avalé mon homme qu’une giclée chaude me remplit l’oreille. Je récupère au plus vite l’ogive de Franck, soucieux de ne gâcher ni son plaisir, ni sa semence. Son plaisir est plus nerveux, plus « expressif », pour ne pas dire plus violent. Même s’il ne peut égaler le volume éjaculatoire de son concurrent, il est loin d’être avare, me gratifiant d’encore 5 bonnes salves.
Avec beaucoup de minutie, je nettoie mes donneurs débandant lentement entre mes doigts. Lorsqu’il ne reste plus trace de l’orage, je dépose leur verge molle l’une sur l’autre et me redresse pour admirer ces deux mâles savourant les bienfaits du grand air.
Fier, je le suis. Heureux, pas vraiment. Mais à cet instant, satisfait de m’être fait remplir la tête et les fesses de sexe. Le mot d’ordre est : ne pas trop réfléchir.
Résumé de l’épisode précédent :
À l’issue d’une nuit entre hommes, nous sommes partis en voiture passer la journée à la campagne. Chemin faisant, nous évoquions le souvenir de nos amants rencontrés plus tôt.
La douce caresse du soleil rend cette fin de matinée particulièrement agréable. Le grand air de la montagne y est probablement pour beaucoup, mais notre bonne entende donne également une teinte chaleureuse à l’instant.
— Vous ressentez ce calme qui nous entoure ? fis-je remarquer à mes deux hommes. On n’est pas bien, là ? Venez contre moi, s’il vous plaît. J’ai besoin d’un gros câlin, là.
Patrick se colle dans mon dos le premier, puis Franck nous étreint. J’ai besoin de chaleur. Le blues n’est pas très loin. Ces instants ne dureront pas. Là, entre eux, je saisie… l’instantané.
— T’es un sensible, toi. chuchote Franck en déposant une bise dans mes cheveux.
— Un peu trop, à mon goût. répondis-je. Toujours à réfléchir, ressentir, compenser…
— Compensons ensemble. intervient Patrick. Compte sur nous pour t’aider à te sentir bien.
À travers la toile de mon jean, je sens la pression de sa grosse verge contre mes fesses, et réalise que c’est bien la première fois qu’un tissu s’interpose entre sa bite et mon cul. Je glisse ma main pour étreindre ce gros serpent ; Franck lui, saisit mes hanches et plaque son paquet contre le mien. Il ne m’en faut pas plus pour passer en mode sexe.
Comme s’ils avaient rédigé un script, une action démarre. Patrick déboutonne ma chemise, frottant sa trompe contenue dans ma main, m’exprimant à voix basse ce qu’il comptait me faire. Franck, lui, accroupit devant moi, déboucle mon pantalon qui glisse sur mes chevilles. Son visage s’enfouit dans mes bourses, les hume, les lèche, en aspire la peau pour la suçoter, tout en pétrissant agréablement mes fesses.
Glissant à terre dans mon dos, le souffle de Patrick chatouille ma chute de reins. Ses dents mordillent ma croupe comme s’il s’agissait des fesses d’un bébé, puis sa langue s’immisce entre mes globes. Je me cambre pour répondre à son initiative. À ce moment-là, Franck m’aspire délicatement mon gland, glisse la pointe de sa langue sous mon prépuce pour en faire le tour d’un mouvement régulier. En écartant largement mes fesses, il aspire entièrement ma verge grandissante. Profitant de l’ouverture, des lèvres délicates encerclent mon anus, l’aspirant en y pointant une pointe de langue.
Mes mains caressent les têtes de mes amants en psalmodiant le bien qu’ils me procurent. La langue viole mon intimité s’ouvrant volontiers à son agresseur. Ma verge gonflée entre les lèvres expertes va et vient dans la chaleur de cette bouche. Je parviens à dégager les pieds de mon pantalon et écarte les jambes pour mieux recevoir l’amour de mes complices.
Patrick, s’il n’aime pas sucer, est un dévoreur de cul de première. Son expertise en ce domaine lui permet de me prendre sans autre forme de lubrification. Mon bassin ne voyage pas à vide, s’empalant sur l’exquise langue lorsqu’un spasme de plaisir le propulse en arrière, et projette mes 19 centimètres vers la glotte de Franck en partant dans l’autre sens.
Je succombe lentement, mais sûrement. Je les encourage à abuser de moi, à me dévorer. Je n’ai jamais reçu autant de plaisir des deux côtés en même temps, mes jambes en trembleraient presque. Mes couilles sont massées, pelotées, tirées, léchées, aspirées ! Ce sont maintenant deux doigts qui m’enculent en se vrillant dans une spirale entraînant jusqu’à mon esprit dans leur fougue.
Il ne m’en faut pas plus pour me faire partir dans l’orgasme. Je prends appui sur les épaules de mon suceur, penché en avant, les jambes tétanisées. Les couilles remontées, ma queue pilonne sa bouche au rythme des doigts qui me sodomisent. Mon sperme bout dans ma prostate depuis quelques minutes, fuse en de multiples saccades vers l’inconnu en m’arrachant de puissantes onomatopées incohérentes. Mon sphincter anal broie les doigts de l’intrus qui malgré tout s’acharne en moi.
Peu habitué à jouir sans donner, je me vide sans compter, m’abandonnant entièrement à mes deux amis. Ils m’ont emmené jusqu’à là-haut, me portent dans le plaisir, et prennent maintenant la peine de m’en faire redescendre, apaisé, rasséréné.
Je ne sais pas vraiment comment, mais je suis sur le dos. Le ciel est cristallin, l’air qui pénètre mes poumons est vivifiant. Les garçons sont là, à côté de moi ; nus à présent, Franck à genoux devant Patrick, suce l’énorme queue. Il le branle consciencieusement en tirant bien sur sa hampe lorsque ses lèvres descendent. Le lourd paquet dans son autre main.
Je me sens si léger ! Comme s’ils venaient de me soustraire à la gravité en me faisant jouir.
— Tu suces vraiment bien. lui lance Patrick. Vous adorez ça, tous les deux.
— Tu as une si belle queue. lui répond-il. Quel morceau !
De les regarder, libéré par ma jouissance quelques minutes plus tôt, réveille mon appétit. Une sensation bien connue s’empare de mon ventre, comme si un tunnel se creusait depuis mon anus jusque sous mon nombril. Je lui ai même depuis longtemps donné un nom, à cette étrange sensation : l’appel du cul !
Je me retourne vers eux, envoie la main directement entre les jambes de Franck à la rencontre de sa belle verge. À son contact, je repense à l’incroyable orgasme qu’elle m’a procuré cette nuit, blottie entre ses puissants bras. Comment ne pas être addict lorsque le plaisir nous submerge de la sorte ?
— Vous m’avez fait planer grave ! leur dis-je. Je vous suis redevable.
— Tu te sens de reprendre du service ? Ironise Patrick en secouant la lourde massue dans les airs.
— Viens-vite me prendre, j’ai trop envie que vous me sautiez tous les deux.
De nouveau sur le dos, il me soulève les jambes pour placer le gros nœud recouvert de sa salive à l’entrée de mes reins avant de forcer pour me prendre. Il n’a pas beaucoup d’effort à faire pour que mes chairs lui autorisent l’accès. Les 15 dernières heures ont considérablement chauffé le terrain, combinées à l’excitation omniprésente, font de moi un aspirateur à sexe. En quelques poussées, les deux tiers de sa bite diffusent les premières ondes de plaisir.
À califourchon au-dessus de mes épaules, Franck livre sa queue à mon insatiable gourmandise. Son gland libère quelques gouttes de présperme au fur et à mesure que ma main masse la longue hampe.
Rempli par mes deux mecs, je me sens de nouveau bien, comme si grâce à leurs énormes queues ils pouvaient combler… l’absence de Danièle. Embroché de toutes parts, je réalise à quel point je suis encore amoureux d’elle, et que les litres de foutre que mon corps reçoit ont moins de vertus que quelques gouttes de cyprine de cette beauté.
Patrick me fait beaucoup de bien, mais malgré tout je leur demande d’échanger les places. J’ai besoin de les sentir me prendre à tour de rôle. À quatre pattes devant Franck, je lui attrape la queue pour la diriger en moi. À peine est-il engagé en moi que mes lèvres s’entrouvrent pour retrouver la grosse barre de Patrick. Les deux sexes entrent en moi d’une façon presque synchrone. Je retrouve l’incroyable différence de sensations anales entre ses deux monstres. Deux gros pistons qui ne manquent pas d’avance à l’allumage, et qui me font vibrer de manières si différentes. Derrière chaque queue, il y a un homme, un caractère, une sensibilité très individuelle.
— Ohhhh, Franck. Bien au fond. Ouiiiiiii, c’est bon quand tu fais taper tes couilles. Repousse mon ventre.
Il répond à ma supplique en me sodomisant à longs coups en donnant le petit coup de reins qui propulse ses burnes pendantes. Il me saute quelques minutes ainsi, me donnant un plaisir intense. Pourtant, j’en veux plus, je suis insatiable. Patrick ne tiendra plus longtemps, il est dur comme de la pierre.
— Décharge en moi, remplis-moi de ton foutre. l’implorais-je en lui attrapant les couilles entre mes jambes. Baise-moi fort !
Contre toute attente, il sort sa queue, laissant l’air de toute la clairière s’engouffrer entre mes fesses.
— Tu as besoin de la sentir vivre en toi ? Comme cette nuit ? me nargue-t-il.
— Oui, décharge en moi. Patrick aussi. J’ai besoin de vous sentir couler en moi.
Il s’accroupit au-dessus de mes fesses, crache sur son gros gland, et sans autre forme de procès, m’encule bien droit. Je lui raconte les choses les plus crues qui me traversent la tête alors qu’il me pilonne puissamment, éructant de grand « han » lorsque ses lourdes couilles frappent ma croupe. Patrick me connaît bien, il a compris ce que j’attends. Sachant Franck sur le point de non-retour, il se lève, m’abandonnant, le cul en proie à mes démons, prêt à m’enculer dès que son acolyte aura joui !
Alors qu’il accélère, ses mains m’attrapent par les épaules pour s’enfoncer encore plus fort.
— Tu le veux ? crie-t-il.
— Ouiiiiii ! Jouis !
Sans décélérer, sa trompe veineuse perfore mon anus brûlant en giclant le précieux liquide dans mon rectum. Ma main étreint sa cheville dans un réflexe, comme pour me raccrocher à lui. Son orgasme me fait l’effet d’un shoot, mon esprit s’embrume.
— Vide-toi en moi. ânonnais-je, l’esprit confus.
Il s’immobilise, vidé, son bassin contre ma croupe. Je sens ses couilles de nouveau pendantes glisser le long de mes fesses, ses jambes trembloter. Sans réfléchir, son gland s’extirpe de mes entrailles en laissant un trou immense à l’air libre. Alors qu’il s’agenouille face à ma bouche, le nœud de Patrick prend légitimement sa place.
— Oui, Patrick. Viens vite jouir en moi, s’il te plaît.
Le gland maculé de sperme arrive entre mes lèvres. Patrick, adoptant la même posture, glisse en moi, raide dur. Je sais qu’il va me faire le plein. En quelques allers-retours, la massive colonne est arrivée à terme, déversant le contenu de ses vésicules séminales en longues giclées avant de m’entraîner avec lui sur le côté.
Plus aucun d’entre nous n’a d’énergie. Ma tête sur l’intérieur de la cuisse de Franck, je savoure le goût âcre de cette victoire en suçotant son gland mollissant, le cul plein d’étoiles et de sperme, amoureusement souillé.
Ce foutre, mon élixir de bien-être, ma drogue, ma… faiblesse. Décalé de l’instant, je me remémore quelques instants clefs, et revois Hervé, un an plus tôt.
ooOOOoo
L’eau tiède qui glisse sur ma peau me délasse et entraîne également les restes de gel séchés. La douce quiétude de cet instant me permet de me « retrouver », en savonnant mon corps. Mon ventre est souple, détendu, et franchement, aucune douleur ou autre brûlure ne se fait sentir lorsque accroupi, le jet tiède ou mes doigts abordent cette région. Hervé m’a fait jouir avec une intensité extraordinaire, mettant la barre très haut au palmarès de mes amants.
Stéphane, mon initiateur, m’a permis de me désinhiber, d’apprécier et de vivre pleinement cette sexualité « entre hommes », me donnant quelques cours du soir que j’ai suivis… assidûment. J’ai fait par la suite quelques rencontres, dont certaines très brèves, mais n’ai jamais connu le super-pied comme ce soir avec Hervé. Son attitude, ses propos, sa puissante queue, sa façon de baiser, et enfin son délicieux sperme, je ne peux lui donner que 20/20 ! Si d’autres méritent un titre de figurants, de bons seconds rôles, Stéphane a bien mérité un Oscar pour le meilleur scénario, et Hervé, l’Oscar du meilleur premier rôle.
C’est la sonnerie du téléphone qui finit par me sortir de ma rêverie. Danièle me confirme qu’elle est bien installée, et que la chambre est très agréable, et qu’en me parlant, un bain réparateur coule. Je lui dis imaginer son corps nu alangui sur le lit, et lui décris ce par quoi je commencerais si… Mais aussi que je suis accro à son corps de déesse, qu’à distance j’embrasse sa petite chatte et son adorable petit trou, que je place ma queue entre ses seins en dirigeant mon gland vers sa bouche exquise. Ses doigts jouent avec son petit clito en me parlant lorsqu’elle me demande comment j’ai fini mon dimanche après-midi (qu’elle regrettait par ailleurs d’avoir gâché par son départ sur un triste quai de gare).
Je lui explique mon errance en ville pour finir dans ce sex-shop, désœuvré, à regarder la vidéo de ce trio bi prendre leur pied, et mon incroyable frustration alors de ne pas l’avoir à mes côtés, ou, à défaut, un beau sexe viril.
— Il n’y avait personne dans une autre cabine pour partager quelques instants ? Tu es libre, tu sais ! Nous ne nous appartenons pas, même si je ne pense qu’à toi jour et nuit depuis que je t’ai rencontré, je me refuse à toute exclusivité. Je ne cherche personne, mais ne veux pas m’interdire quoi que ce soit.
Ses mots me rassurent, et je n’en reviens toujours pas de la chance que j’ai d’avoir rencontré une personne d’une telle intelligence, d’une telle ouverture d’esprit. Je lui explique ensuite ce concours de circonstances : l’heure de fermeture, l’absence de clients, les propos d’Hervé, son assurance, sa queue, et… mon insatiable gourmandise. Alors que je lui relate ce que nous avons fait dans ce débarras, Dan m’annonce qu’elle est toute trempée, qu’un doigt s’enfonce entre ses fesses, un autre pénètre sa chatte, et qu’elle aurait voulu être présente pour assister à cette séance torride !
Une fois confessé, Dan me demande si je serais d’accord pour lui permettre d’assister à une telle soirée, qu’elle adorerait me voir « dans l’action », passif alors que je suis si actif avec elle, étonnante dualité en moi selon ses propres termes.
— Je ne peux rien te refuser, tu le sais bien. Tu es tellement craquante.
En attendant, son bain est plein depuis fort longtemps, et il lui faudra bien toute cette eau pour éteindre le feu qui lui brûle les reins.
La pluie martèle le toit de ma voiture, couvrant presque la voix subaiguë de Bon Scott chantant « Highway to Hell » dans l’autoradio, lorsque Hervé arrive en courant, sa veste sur la tête pour se protéger.
— Sortez couvert ! lui dis-je une fois à l’abri.
Je démarre et nous roulons à travers la ville en parlant de musique, de son boulot et du mien, bien après qu’il m’a également demandé des nouvelles de mon charmant petit trou ! Je n’habite pas très loin, plus qu’une volée de marche, un tour de clef pour ouvrir, un coup de verrou pour être tranquille, et je présente mon appartement à mon invité. Je lui sers un verre pour nous poser quelques minutes. Même si nous savons pourquoi nous sommes là, nous ne sommes pas des bêtes.
— Tiens, je t’ai apporté quelque chose ! me dit-il en me déposant un sac plastique sur la table.
À l’intérieur, un grand tube de gel, et je devine l’intérêt de son cadeau. Mais il y a également un autre emballage.
— C’est pour les nuits sans Kim Wilde ! me dit-il en voyant mon étonnement.
En effet, il s’agit d’un gode. Lorsque je le sors du petit sac en toile, je découvre un beau modèle, de type « réaliste » à ventouse, d’un calibre de 22 x 5,5 centimètres. Ma première question est alors de savoir s’il m’a trouvé trop étroit !
— Pas du tout, ton cul est parfait, ne t’inquiète de rien. Mais mon boss m’a demandé de faire l’inventaire de la boutique, et en les comptant sur la table de la remise, je n’ai pu m’empêcher de repenser à notre partie de jambes en l’air. Alors, un de plus ou un de moins, j’ai pensé que ça te ferait plaisir d’en avoir un pour combler ta solitude certains soirs ! Un petit conseil : fais-le tremper dix minutes dans de l’eau bien tiède avant de t’en servir, c’est plus agréable paraît-il.
Sans hésiter, je vais à la salle de bains, bouche le siphon et mets l’objet en question à barboter avant de revenir vers Hervé.
— En attendant que tu me dépucelles avec ton présent, j’aimerais beaucoup m’entretenir avec Oscar. Il me manque depuis la dernière fois. Je te fais visiter mon lit ?
À peine la porte de la chambre franchie, je le déshabille rapidement, mais il me veut nu aussi, pressés tous deux d’en venir aux mains. Son sexe est toujours d’une surprenante beauté, et je le lui dis en le prenant à pleines mains.
— Je n’ai pas l’habitude de faire des compliments aux mecs, en général, ce n’est que du sexe. Mais tu es super-bien foutu aussi, et… confortable. rajoute-t-il en me poussant à la renverse sur le plumard et de venir me bâillonner la bouche avec ses lourdes bourses.
Bruyamment, je les aspire fort à tour de rôle et les suce avec délectation, sentant Oscar s’allonger, lourdement reposé sur mon front. La pointe de ma langue s’aventure le long de son scrotum, à l’endroit où les premières rides de l’anus se dessinent, plus pour ressentir ses désirs que par propre envie. Mais il recule le bassin, et présente à mes lèvres sa grosse demi-molle. Ma bouche le redécouvre avec plaisir, enroulant ma langue autour de son gland jusqu’au frein, faisant même semblant de le mordre, de le mâchonner. Loin d’en trembler, il durcit et se dilate, l’endroit lui convient, chaud, doux et humide.
Prenant appui sur ses bras, il s’enfonce de plus en plus en moi, investissant ma bouche en long et en large, murmurant son plaisir d’une voix douce et reposée. Puis d’une main sous ma nuque pour me maintenir, il se jette de côté, m’obligeant aussi à faire demi-tour, sa queue presque dans ma gorge. Je me retrouve ainsi entre ses jambes, et reprends ma fellation à gorge déployée.
— Tu me suces trop bien, je ne tiens pas longtemps, applique-toi bien. Oui, lentement, pour bien me vider les couilles.
Je comprends que son excitation est grande, et qu’il veut vite se « soulager », probablement afin d’être plus disponible pour la suite. Je lui masse les bourses tout en essayant de l’avaler en entier, à la limite du haut-le-cœur, ce qui n’est pas des plus évidents. Voyant mon obstination à essayer cette prouesse, Hervé me place sur le dos au bord du lit, la tête dans le vide, et renfonce sa lourde queue jusqu’aux amygdales cette fois.
— Respire bien, je vais doucement, détends-toi. Régulièrement, il me pénètre jusqu’à me coller ses couilles sur les yeux, alors que sa main s’est refermée sur mes testicules.
— Que c’est bon de te baiser la bouche ! Hummmm, fais-moi du bien, après, je m’occupe de toi, de ton cul, de tes grosses couilles, continue.
Continuer, oui, mais c’est lui qui me lime la gorge de sa grosse barre bien dure, et je n’ai pas l’intention de m’en plaindre. Je relève mes jambes et passe mes bras derrière mes genoux, et sens immédiatement le doigt humide de mon baiseur de bouche appuyer pour tenter de s’introduire dans mon cul pour commencer à me dilater.
Oscar me bloque la respiration à chaque passage, et si ce n’était pas l’excitation qui me domine, je le repousserais ; mais déjà un deuxième doigt me taraude délicieusement les fesses, m’interdisant de réfléchir, et me rappelant la superbe sodomie qu’il m’a fait vivre la dernière fois.
— Attends, ne me fais pas jouir tout de suite, je dois te dépuceler ! s’écrie-il en se retirant.
Sur les conseils de Danièle, je me suis fait un bon lavement glycériné avant d’aller chercher mon enculeur ce soir. D’une part pour être propre, mais aussi pour éviter tout échauffement. Je ne pensais pas commencer par un gode, mais pourquoi pas ! Tout chaud, je le sèche avec une serviette, ramasse le gel au passage avant de retrouver Hervé allongé sur le côté, sa main refermée autour de sa queue, se branlant doucement pour conserver sa solide érection.
— Viens me sucer pendant que je te gode, tu vas aimer.
Sûr de lui comme à son habitude, son ton « nature » ne laisse guère d'alternatives, je m’exécute, passant mes jambes sous ses épaules pour que mon anus soit bien sous ses yeux.
Ma main prend le relais autour de sa queue, et de la pointe de ma langue, je recueille la grosse goutte d’excitation qui perle de son méat, puis le reprends en bouche en veillant à bien serrer les lèvres. Hervé, de son côté, presse fort sur le tube qu’il a placé sur ma rondelle, et le lubrifiant froid pénètre généreusement mon rectum. Je sens ensuite le contact du gode, qui sous la pression de sa main, s’insinue timidement en moi. Je pousse un peu pour venir à sa rencontre, juste le temps que le pseudo-gland passe la porte et s’immobilise. Alors que ma langue décrit des arabesques sur son membre, je m’attends à le sentir me prendre plus avant, mais contre toute attente, c’est de mes couilles qu’il s’occupe, les gobant avec méthode, raidissant ma queue davantage.
— Oh, oui, j’adore ça !
Je redouble d’ardeur à le sucer, et tout en me bouffant les testicules, Hervé, par de petites vagues, fait pénétrer le majestueux phallus lentement dans mon fondement. J’ondule les fesses sous l’action combinée de sa main et de sa bouche, appréciant d’être investi tout en suçant sa belle et bonne queue. L’objet avance, repoussant mes chairs en diffusant sa douce chaleur dans mon ampoule distendue. Les 5,5 centimètres ne sont pas un obstacle, Oscar, longueur mise à part, les fait également !
— Encore, enfonce-le moi bien, prépare mon cul pour que tu puisses m’enculer tant que tu veux après ! lui-dis-je alors, m’abandonnant à cette douce soumission.
Stimulé par mon approbation, le gode se retrouve complètement enfoncé dans mon trou avide de sensations. Les testicules d’Hervé se placent haut de chaque côté de sa verge raide, ma main accélère alors légèrement le branle que j’effectue depuis la reprise, et soudain son gland enfle sous la pression des grosses giclées de sperme qui viennent remplir ma bouche. Solidement enculé, les couilles léchées et gobées avec méthode, mon amant accompagne son éjaculation de coups de bassin, propulsant son foutre pratiquement jusque dans ma gorge. Aussi crémeux et abondant que l’autre soir dans la réserve, je me délecte de sa semence en remuant mes fesses pour bien sentir le corps étranger m’habiter.
Je n’ai pas joui, et sais que ce moment viendra en temps et heure. Je profite encore quelques instants de la virilité d’Oscar et des dernières traces de sperme qu’il daigne m’offrir avant qu’Hervé, un peu plus calme, me demande ce que je ressens et ne reprenne ses va-et-vient. «
— C’est gros, c’est grand, et en plus, je peux sucer ta belle queue en même temps. J’adore cette sensation.
Ses mouvements se font de nouveau plus intenses, son orgasme ne l’a pas complètement éteint. Ce jeune homme a de grosses ressources, et est plutôt joueur !
— Tu aimes te faire enculer ? dit-il en maniant l’objet avec insistance.
Je lui réponds affirmativement, et lui demande même d’y aller un peu plus franchement. Il s’exécute, imprimant un grand mouvement vrillé, vissant le gode dans mon fourreau brûlant. Un certain bien-être prend possession de mon bas-ventre, assoupli par cette masturbation anale. Sortant parfois complètement l’objet, il constate alors que mon anus reste complètement ouvert, béant.
— C’est la première fois que je vois un cul dans cet état, aussi souple et demandeur. me confie-il en renfilant le gode.
Ce dernier complètement enfoncé, il le tourne alors comme s’il s’agissait d’un joystick, cherchant à me dilater encore davantage. Je râle de plaisir, l’implore de continuer à jouer avec mon cul, et recommence à sucer Oscar, resté long après l’orgasme, mais peu rigide.
— J’ai envie de t’enculer, de te faire jouir,,et de jouir dans ton petit cul cette fois. Laisse-moi te faire jouir. Suce-moi bien, que tu l’aies bien dure entre tes fesses.
En prononçant ces mots, Hervé coulisse le gode en de longs gestes appuyés, me donnant un avant-goût du plaisir à venir. Lentement, à force de jouer avec sa virilité, son érection redevient aussi raide que le godemiché, prête à me prendre.
— Je suis prêt, viens, prends-moi. ! lui dis-je dans un feulement, dévoré par le désir d’être son jouet.
Tout en retirant le gode, il me demande si j’accepte qu’il me prenne sans capote pour mieux me sentir. Je n’ai pas envie de tergiverser, même si ce n’est pas raisonnable. D’un autre côté, j’ai avalé son sperme à plusieurs reprises, et pas qu’une goutte ! Je le veux, là, de suite, mon cul l’appelle à « gorge déployée », tout béant qu’il est.
Allongé avec un oreiller sur le ventre, les fesses largement écartées, je sens le lubrifiant froid couler du haut de ma raie et plonger dans mon anus. Stupéfait par mon troisième œil, impatient d’y plonger, Hervé vient placer le bout de sa grosse queue à l’entrée de mon tunnel, et dans une exquise glissade, s’introduit en moi avec souplesse et… efficacité. Ses couilles bien pendantes se collent contre mon scrotum, magie du moment, la douce chaleur de ce corps étranger m’envahit.
— Encore, remets-la moi, recommence, c’est trop doux !
Le temps de reculer jusqu’à l’orée de mon petit trou, et il me replante lentement sa barre sur vitaminée d’une traite, m’arrachant un grognement de plaisir, avant de commencer à me marteler la croupe de petits coups de bassin, me pilonnant d’une manière très soft, mais bien au fond. Sa queue se fraye son chemin sans difficulté, frottant sans aucune douleur ou autre désagrément, le gros gland venant systématiquement buter au fond de mon ventre pour m’irradier de bien-être, de bonheur. Jouir de l’instant, ne plus penser à rien, à rien d’autre qu’à cette grosse bite docile qui me fouille si agréablement.
Toujours à la recherche de notre plaisir, dans un athlétique demi-tour, Hervé place sa tête du côté de mes pieds et retrouve le chemin de mon cul ainsi à l’envers. La cambrure naturelle de sa verge change alors toutes les données, appuyant fortement sur ma prostate alors qu’il intensifie le rythme de sa sodomie, me répétant qu’il adore m’enculer, que mon cul n’est fait que pour sa bite, qu’il pourrait me la mettre trois fois par jour si je le voulais.
— Ne t’arrête pas, baise-moi fort, je commence à aimer ta queue, baise-moi !
Il n’a plus aucune retenue, et m’assène ses coups de massue avec des accélérations incroyables, puis revient lentement à de longs et lents va-et-vient, me la faisant sentir sur toute la longueur dans cette enculade inversée. Je manque de jouir à chaque fois, mais il est à l’écoute et me fait redescendre juste avant.
— Je vais te faire miauler, tu vas crier mon nom, et je vais te gicler tout mon foutre en toi. Tu vas en redemander !
Lentement, il se retire, puis me couche sur le côté, me prend la jambe et sa queue s’immisce seule en moi, se plantant avec force et rapidité, mes couilles tressautant sous l’intensité de la pénétration, m’emmenant crescendo vers les sommets.
— C’est la première fois qu’on me fait autant de bien, encule-moi encore, oui. Baise-moi !
Et il s’y applique précisément, sortant son arme complètement pour la replonger presque aussitôt sans faillir. J’attrape ses couilles dans ma main pour l’obliger à me saillir, à me sodomiser puissamment, à me faire hurler de bonheur, tant je suis au bord de l’hystérie. Son bras me ceinture alors le ventre pour m’obliger à le suivre dans un quart de tour.
En une seconde, je me retrouve empalé sur cette barre aussi dure que de l’acier. Le temps de me rétablir et de prendre appui sur mes quatre membres, et le revoilà qui me besogne avec vigueur le cul, me coupant le souffle lorsqu’il pompe ma prostate au passage de son gland turgescent.
— Là, tu la prends, ma grosse queue. Hein ? Tu la sens dans ton p’tit cul, hein ? Je vais te faire crier, prépare-toi à jouir, je vais te faire grimper. Danse-moi sur la queue, oui, vas-y, empale-toi jusqu’aux couilles, descends sur ma colonne, encore plus, oui !
Comme un pantin, je le pompe du cul en me plantant sur son poteau à chaque ondulation de mon bassin. Lorsque j’en suis à toucher son ventre, il m’assène un coup de rein à faire sauter ma queue pendante et mes lourdes burnes, et déclenche une montée de sève par la même occasion. L’air pénètre mes poumons pour mieux permettre à mon cerveau de synthétiser et libérer toutes les drogues naturelles dans mon organisme.
— Je sens que je vais bientôt jouir, baise-moi bien profond, oui, encule-moi pour de bon !
Sa queue me calibre grave, et une sourde pression envahit mon ventre. Ma tête ballote dans tous les sens, ivre de toutes les infos qu’elle doit gérer à la seconde. Mon cul n’est plus qu’un nid de capteurs sensoriels raccordés à Oscar, totalement asservi à ses caprices, ses facéties, et telle une main serrée, se referme autour de lui dans une série de spasmes.
— Oui, ton cul m’aspire, oui, pompe-moi le dard, je vais bientôt me vider en toi, n’arrête surtout pas, je me vide dans ton cul !
Ces mots sont les derniers signaux que je suis à même d’interpréter avec raison. Tel un coup de batte de baseball, une violente secousse me broie les reins et le ventre, le sphincter se tétanise autour d’Oscar, et des jets de sperme fusent de ma verge pourtant flexible. Sa puissante queue gonfle à l’intérieur de mon rectum et je la sens pulser son précieux foutre tout au fond de mon trou.
Ses couilles et l’intérieur de ses cuisses reçoivent ma semence alors qu’à chaque décharge de mon amant, j’ai l’impression qu’il me remplit le ventre de sa crème, presque au point d’en sentir le goût en bouche. Cet orgasme ravageur est le premier de ma vie d’une telle intensité, représentant l’union parfaite d’une bite et de son cul. C’est le deuxième que je vis avec Hervé, merveilleux amant au puissant sexe.
Mon anus reste contracté autour de son sexe encore de longues minutes après que nous avons joui lui faisant subir un véritable Pénis Captivus. Je gis sur lui, plus que je ne suis allongé, mortifié, transporté. À demi-mot, je le remercie pour ce sprint et cette partie de baise, lui confiant que j’étais bien, là, sa grosse bite débandante au fond de mon cul. Il nous faut un bon quart d’heure pour envisager de se séparer. À peine sa longue verge molle sortie de mon séant, son foutre s’écoule de mon rectum, je fonce sous la douche. En contractant mon bas-ventre, une impressionnante quantité de semence liquéfiée coule le long de mes jambes : il a bien déchargé, pas de doute !
Une bonne douche nous retape, suivie d’un repas frugal, nus, détendus et sereins. Assis au bord de sa chaise, les larges bourses sacoches à foutre et Oscar pendant démesurément s’exposent devant mes yeux. Voyant la fixité de mon regard, Hervé me demande si je n’en voudrais pas encore un morceau !
Je décline l’offre pour l’instant, et lui propose soit de le ramener, soit de dormir ici. C’est la deuxième solution qu’il adopte. Allongés côte à côte comme deux potes, nous parlons un moment de filles et de mecs, nous dévoilant un peu plus, jusqu’à ce que le sommeil nous emporte jusqu’au petit matin.
Couché sur le côté en chien de fusil, il vient s’emboîter contre moi, plaquant son érection du matin contre mes fesses, en bougeant son bassin pour bien que je le sente contre moi. Ses testicules chauds contre ma cuisse me renvoient une image sensorielle aussi simple qu’évidente : d’où son organe commence, et où il finit au bas de mon dos. Sa colonne épouse finalement ma raie, et la chaleur de sa hampe contre mon anus…
— J’ai envie de te prendre tout doucement, comme la lumière du matin, furtivement ! glisse-t-il à mon oreille.
Je ne réponds pas, amusé de savoir comment il va réagir. Ses petits mouvements de bassin font frotter sa verge large contre ma rondelle avec beaucoup de sensualité. Ne constatant aucune réaction de ma part, je le sens reculer, et pense qu’il capitule, jusqu’à ce que son gland gonflé cherche la porte de mes fesses… et finisse par la trouver. Il est gros, je doute qu’il puisse m’investir ainsi, sans lubrification. Et pourtant, lorsqu’il force mon étroit passage, le gland repousse mes chairs et je n’ai qu’à pousser fort de mon côté pour m’ouvrir et l’accueillir.
— Merci. Je vais te prendre en douceur. Bonjour, cul magique ! ironise-t-il.
Ma main saisit ses bourses toutes chaudes et bien lourdes avec tendresse et les serre lorsque Oscar, à chaque petite poussée, me pénètre, m’investit un peu plus, avec un respect que je n’aurais jamais soupçonné de sa part.
— Hummmm… c’est bon, ta queue est un pur bonheur.
Je joue avec ses bourses alors qu’il me prend sans brutalité, me remplissant les fesses de douces sensations. Je découvre la sodomie du matin, et suis très fier de la tolérance de mon anus, de sa sensibilité. Je lui demande seulement de ne pas décharger entre mes reins, car je veux le boire, je veux qu’il jouisse entre mes lèvres. Il s’enfonce en moi ainsi une bonne dizaine de minutes, puis m’annonce alors que je peux le faire jouir quand je le désire, qu’il s’en remet à moi, à mes lèvres.
Sorti de moi, il se met sur le dos. Je me retourne et viens embrasser son gros gland, le lécher, avant de parcourir toute la hampe de ma langue et lui aspirer chaque testicule dans ma bouche, avec la douceur du matin. Tendu à l’horizontale, son membre bat la mesure. Je m’en saisis alors d’une main délicate, referme mes lèvres juste quelques centimètres sous son gland et le suce avec tendresse en le branlant tout timidement, le frein bien tendu, ma joue posée sur les poils de son ventre.
Sans un cri, sans aucune accélération, au bout de quelques minutes de ce traitement, je sens son ventre frémir, puis sa hampe gonfle une fraction de seconde avant le gland, et une secousse m’annonce l’arrivée de la première salve de sa chaude semence, envahissant mon palais de son goût suave et puissant. Sous mes yeux, à quelques centimètres, je m’amuse de voir le ballet de son gros paquet de testicules, secoué huit fois de suite, soit à chaque fois qu’une copieuse averse de sperme vient abreuver ma soif de mâle, alors que mon ventre est encore tout chaud de lui.
J’aime sa queue, mais je pense aussi à Danièle. La bouche pleine du sperme de mon amant, les pensées entre les seins de cette femme merveilleuse, je mesure, non sans souffrir, mon incapacité de faire un choix objectif pour l’un ou l’autre des deux sexes, et ce qu’ils m’apportent.
ooOOOoo
— Tu es incroyable. murmure Franck en passant ses doigts dans mes cheveux. Une vraie bête de sexe.
Mes lèvres lâchent la lourde verge molle. Les yeux mi-clos, je caresse ses bourses avec douceur.
— On t’a déjà dit que tu avais un sexe magnifique ?
— J’ai reçu pas mal de compliments, en effet. me répond-il. Le tient est superbe aussi, en plus d’être délicieux.
— Tu sais, quand je t’ai observé hier soir en arrivant, je me suis dit que tu étais un véritable piège à filles.
Patrick extirpe tout doucement son lourd cylindre de sa fameuse piste aux étoiles. J’en profite pour m’allonger à plat ventre, m’abandonnant au rayon du soleil le temps que mes organes retrouvent leur place.
— Toi, tu es un véritable piège à bites ! lâche Patrick en claquant sa main sur ma fesse. Tout ça m’a ouvert l’appétit. Je boirais bien un petit verre de vin. Qui m’accompagne ?
Nos verres tintent en portant un toast à cette belle journée et à notre bonne entente. Un peu d’alcool est le bien venu. Nous nous tapons une bonne partie de rigolade, riant de tout, et surtout de n’importe quoi. Mais nos estomacs grondent, le soleil tape fort, il est temps de réinstaller la couverture à l’ombre pour manger un bout.
Évidemment, lorsque je me lève, le cadeau de mes deux hommes s’écoule le long de mes jambes.
— Tu le savais que tu n’étais plus étanche ? demande Franck hilare.
— Depuis que je fréquente ce charmant monsieur, oui ! lui dis-je en montrant Patrick du doigt. Il a fait de moi un homme fontaine ! Si, si, ça existe, il l’a inventé. Au lieu de dire des conneries, vous feriez mieux de venir avec moi laver les outils !
Mettre les pieds dans l’eau du torrent est une chose, y mettre le cul en est une autre. Le souffle très court, je finis par y parvenir et m’habituer à la fraîcheur. Je nettoie mon entrejambe, devenu leur piste d’atterrissage exclusive, afin de retrouver un peu de fraîcheur. Intéressé, je propose de faire la toilette intime de mes hommes. En moins de cinq minutes, nous sommes tous les trois assis dans l’eau fraîche, idéale pour se ressourcer.
Lorsque nous sortons de là, je découvre leur sexe glacé :
— Vous vous moquiez de mon cul, à peine. Mais sinon, ça vous fait quoi d’avoir une bite normale ? Parce que là…
— Fais-nous revenir à la vie ? demande un Patrick intéressé.
— Promis, je vous taille une bonne pipe pour le dessert. Mais là, j’ai besoin d’avaler autre chose qu’une queue !
Nous dévorons avec avidité le pique-nique, et râlons car un bon café nous manque. Je leur fais remarquer quand même qu’il y a pire comme problème. Patrick avoue qu’effectivement, il y a pire. Comme se geler les couilles, ou encore ne pas pouvoir faire de sieste. En effet, je le rassure sur le fait que je compte bien leur réchauffer les couilles, et ce de suite après un petit somme réparateur.
Mes deux durs au cœur tendre, très protecteurs et très prévenants, s’adonnent également à cet exercice. Le vent dans les feuillages, le bruit du torrent à quelques mètres, la douce chaleur… Tous les éléments se trouvent réunis pour nous ressourcer.
J’imagine quelqu’un passant par là et découvrant trois hommes nus allongés sur une couverture, perdus au milieu des bois, dont l’un a la main posée sur la fesse de l’autre, l’autre tenant tendrement les couilles du troisième dans ses mains.
Je ne sais combien de temps nous avons dormi et serais tenté de dire : le temps nécessaire. Aucun d’entre nous n’éprouve d’ailleurs le besoin de parler. Une étrange impression accompagne mon éveil, un sentiment de légèreté, un peu comme si mon corps échappé à la gravité. Il m’est impossible de dire combien de fois mes deux comparses me sont passés dessus en moins de 24 heures, et pourtant, étrangement, n’en ressens aucune séquelle, bien au contraire.
À cette seule pensée, une douce chaleur se propage le long de ma verge, gagnant rapidement mon abdomen. Par petites vagues, tel un fluide, cette très douce présence gagne la zone anale. De petites contractions s’emparent de mon rectum, comme pour se rappeler à mon bon souvenir. Ce rappel à l’ordre interne me paraît inutile, car même si j’oubliais cette partie de mon anatomie, elle n’échapperait pas longtemps à la convoitise de mes amants.
— Vous vous rappelez que je vous ai promis une petite gâterie ? risquais-je à voix basse. Je prendrais bien un petit goûter.
— Hummmm… un p’tit pipi s’impose. Je reviens ! me répond Franck en s’éclipsant, suivi de Patrick.
— Secouez bien la dernière goutte après !
À leur retour, mes yeux avalent déjà leur grosse queue ballottant de gauche à droite à chacun de leur pas. Franck arrive le premier, je ne résiste pas à l’arrogance de son gland et le plonge loin dans ma bouche, content de me sentir de nouveau prêt pour quelque délire que ce soit. Patrick se rapproche. Après quelques va-et-vient sur la première verge, je change de dimension en aspirant l’épaisse queue. De la main, je le décalotte pour que ma langue puisse tourner autour de son gland.
Pour mieux les apprécier, je leur demande de s’allonger en vis-à-vis, les cuisses écartées de l’un passant sur celles de l’autre. Leurs bourses bien collées entre elles ; je n’ai qu’à me pencher pour disposer de ce beau bouquet de bites.
Une dans chaque main, je les branle en même temps très langoureusement. D’une bouche que je veux très voluptueuse, je passe de l’une à l’autre, jouant avec leur gland, les mordillant au niveau de la couronne, ou pointant ma langue dans le méat. Une délicate main flatte ma croupe exposée tandis qu’une autre masturbe ma verge avec délicatesse.
— Je suis incapable de savoir si je préfère ta bouche ou tes fesses. soupire Patrick. Depuis un mois, je me pose la même question.
— C’est pour ça que j’aime que tu t’occupes des deux. Deux plaisirs totalement différents, mais exquis ! Pour l’instant, je veux juste boire votre jus et mettre mon cul en jachère.
J’aspire leurs lourds testicules pour varier leurs sensations, remonte la pointe de la langue tout le long de la hampe, reprends leur verge dressée, crache dessus avant de la pomper bruyamment. Lorsque j’en ai bien excité une, je la délaisse au profit de l’autre, en leur demandant s’ils ont l’intention de bien me récompenser. Je les tiens serrées ensembles entre mes mains réunies en cercle, et tout en les branlant, rêve qu’ils m’enculent à l’unissons pour me remplir de foutre. Mais si avec d’autres on aurait pu tenter l’expérience, avec eux, c’est irréalisable.
Ils m’encouragent, m’implorent de ne pas m’arrêter. Je donne du cœur à l’ouvrage, les embouche maintenant goulûment, les branle plus énergiquement en me concentrant sur leur seul orgasme, attendant leur sperme comme un oisillon guette le retour de ses nourrissieurs. Patrick se trahit le premier en glissant deux doigts humectés dans mon rectum. Franck, circoncis, offre depuis hier plus de résistance.
Je me déchaîne alors plus intensément sur le gros tube qui comme escompté cède au supplice de ma bouche. Tout en les branlant rapidement, mes lèvres sucent son nœud. Avec un son de gorge caractéristique, son ventre se creuse alors qu’il ouvre les vannes de son plaisir, déchargeant sans compter de très nombreux jets d’un sperme onctueux, exquise récompense.
À peine ai-je avalé mon homme qu’une giclée chaude me remplit l’oreille. Je récupère au plus vite l’ogive de Franck, soucieux de ne gâcher ni son plaisir, ni sa semence. Son plaisir est plus nerveux, plus « expressif », pour ne pas dire plus violent. Même s’il ne peut égaler le volume éjaculatoire de son concurrent, il est loin d’être avare, me gratifiant d’encore 5 bonnes salves.
Avec beaucoup de minutie, je nettoie mes donneurs débandant lentement entre mes doigts. Lorsqu’il ne reste plus trace de l’orage, je dépose leur verge molle l’une sur l’autre et me redresse pour admirer ces deux mâles savourant les bienfaits du grand air.
Fier, je le suis. Heureux, pas vraiment. Mais à cet instant, satisfait de m’être fait remplir la tête et les fesses de sexe. Le mot d’ordre est : ne pas trop réfléchir.
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