Une soirée réussie : 4 - Saut d'homme
Récit érotique écrit par Rollerbi [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 29 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 9.4 • Cote moyenne attribuée par HDS : 10.0
- • L'ensemble des récits érotiques de Rollerbi ont reçu un total de 168 740 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-06-2016 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
Cette histoire de sexe a été affichée 3 290 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Une soirée réussie : 4 - Saut d'homme
Résumé de l’épisode précédent :
Au lendemain d’une soirée de sexe avec un homme mûr puissamment membré, j’évoque ma rencontre avec une femme délicieuse à la sexualité débridée.
________________________
Patrick m’attend chez lui ce soir. Il m’a expliqué comment m’y rendre, argumentant que ce serait beaucoup plus confortable que la table de son arrière-boutique.
Il habite une résidence de standing sur les contreforts de la ville, à quelques kilomètres du centre. Disons 10 minutes. Interphone pour accéder au parking, puis, avec un léger stress, je prends l’ascenseur pour le cinquième étage.
C’est avec un large sourire qu’il me reçoit. Je lui tends machinalement la main, mais en la saisissant, il me fait remarquer que nous pourrions nous faire la bise. Je reconnais ma maladresse, mais je ne supporte pas d’embrasser un homme, et crains toujours que l’on m’y force depuis… mon premier mec. Mais ce sera une autre histoire, un peu plus tard !
En m’invitant à entrer, il s’inquiète d’abord de savoir si j’avais trouvé facilement l’immeuble, mon chemin. Frais douché, il est en peignoir de bain, toujours aussi charmant, sentant bon le frais et l’eau de toilette.
L’appartement est très harmonieusement meublé, bien que très épuré ; deux grands canapés en cuir disposés en angle autour d’une très confortable table basse, le tout en regard de vastes baies vitrées ouvrant sur un balcon-terrasse. Et en toile de fond, toute la ville illuminée de tous ses feux. Le rêve. L’éclairage n’est constitué que de lampes indirectes, très tamisé donnant une tonalité très cosy à cette vaste pièce à vivre.
Pat prend ma veste et me demande si je désire boire quelque chose en me proposant de prendre place dans le canapé.
— Un whisky sec m’ira très bien, s’il te plaît. Au fait, évite de prendre un Martini, dans l’absolu !
— Même pas mal, je n’ai pas de pantalon ! me rétorque-t-il.
Je suis véritablement content de le revoir, et constate avec plaisir qu’il est naturellement zen. Le moment que nous avions passé ensemble, bien que très sexuel, avait une tout autre dimension ; je m’étais immédiatement senti très bien à son contact. Ce soir, une bonne atmosphère règne chez lui.
Les verres arrivent, et il s’assied sur l’autre canapé, juste en face de moi. Tout aussi naturellement, son peignoir est entrouvert, offrant sa magnifique queue à ma vue. Je ne peux m’empêcher un petit commentaire, ce à quoi il me rassure en me disant que nous sommes suffisamment intimes pour ne pas nous gêner ! Profitant de cela, il me tend un petit sac en papier. Je l’ouvre et en sors des préservatifs XXL et un tube de gel. Le ton est donné, mon cul ne l’a pas déçu :
— Tu as peur que je tombe enceinte ? dis-je, le sourire aux lèvres.
— Non, pas vraiment. C’est par respect pour toi. Je ne veux pas que tu aies peur. Pourtant, je n’aime pas les capotes. Mais bon…
Sa queue lourde s’expose devant mes yeux, et le souvenir des moments passés il y a six jours, combiné à l’alcool, me donne des chaleurs. Dans le souci de clore l’épisode « capotes », je me justifie en disant qu’aucun autre homme ne m’a jamais pris sans protection, et que je n’ai pas été raisonnable l’autre soir. Mais aucun mec encore ne m’a fait prendre autant de plaisir, tout en me respectant, et que j’ai vraiment envie de renouveler cette heureuse expérience dans ces conditions ! Il me répète que lui n’a rien, ni rien fait depuis qu’il a plaqué la fameuse copine qu’il surnommait « Aspro ». Il est franc, simple, et j’apprécie.
— Tu veux un autre verre ?
— Euh… je ne suis pas venu pour sucer des glaçons, merci. Par contre…
— Pour plus de plaisir, il vaut mieux rester sobre. Je t’avouerai que je préfère voir tes lèvres sucer autre chose que des glaçons. Viens plus près, j’ai besoin de te sentir contre moi.
— J’en rêve depuis que je l’ai quitté l’autre soir !
Sans l’ombre d’une hésitation, il ouvre son peignoir et avance son bassin pour s’asseoir sur le bord du canapé, tout en repoussant la table du pied. Sa bite est toujours aussi grosse, déjà au repos, mais un détail à changé : il s’est complètement rasé.
— Surprise ! sourit-il. Déshabille-toi, je veux te voir nu avant de sentir ta bouche.
Je m’exécute rapidement, avant de m’accroupir entre ses jambes pour embrasser son gland.
— Moi aussi j’ai une surprise. Tu verras.
Ma main gauche soupèse ses lourdes couilles toutes lisses tandis que la droite enserre la base de sa verge et la plonge contre mes lèvres entrouvertes, décalottant son prépuce en l’avalant ; Je connais un peu mon monstre et sais mieux m’y prendre, d’autant qu’il n’y a plus l’effet de surprise. Je suis aux anges et ne donnerais pour rien ma place. Rapidement, sa hampe gonfle et s’allonge sous mes coups de gueule. Je n’oublie pas de gober les testicules, et Pat avance un peu plus son bassin, posant un pied sur la table, offrant ainsi la naissance de ses fesses musclées. Soulevant ses bourses de ma main, je me surprends à lécher son scrotum, puis ma langue pointe délicatement son anus. Un petit râle d’appréciation me fait comprendre qu’il apprécie cette attention. Je me permets d’insister alors, et ce faisant, vois ses doigts se saisir de sa queue pour entamer un long branle. Ses couilles reviennent longuement dans ma bouche, mon majeur pénètre son petit trou par petites poussées. Il se contracte sur mon doigt tout en envoyant sa main derrière ma nuque afin de m’inviter à revenir pomper sa queue, qu’il me présente de l’autre main.
— Oh, que tu es doué pour exciter, toi ! Suce-moi fort, là, j’ai envie que tu m’aspires, que tu me gobes, oui, comme ça ! J’aime ta bouche.
Je relâche ma mâchoire un max tout en activant le mouvement, désireux de lui donner satisfaction. Mon doigt remonte fortement le long de sa prostate que je sens bien gonflée. Puis de nouveau ses couilles, que je trempe de salive, ne sont pas épargnées. Il se branle toujours, commence à souffler, alors je lui mets mon deuxième doigt au cul. Ses burnes remontent instantanément, et sa main branleuse me représente son gros gland gorgé à sucer.
— Tu veux jouir maintenant ? Viens vite entre mes lèvres.
N’attendant pas sa réponse, je le reprends profondément en bouche, et le pompe furieusement en remplaçant sa main par la mienne. Il projette son pubis au-devant de mes succions, mes doigts fouillent largement son cul serré, et ma main tire sur son frein avec force à chaque descente de mes lèvres.
— Je vais cracher ! hurle-t-il les dents serrées.
Mes yeux se plantent dans les siens au même instant que mes doigts dans son cul ; j’appuie alors fortement sur sa prostate en branlant son énorme mandrin comme un forcené, mes lèvres serrées juste derrière son gland hypertrophié ; avec violence, une giclée de foutre est catapultée directement contre l’arrière de mon palais. Sans cesser de le branler, j’avale cette rasade juste avant qu’une deuxième remplisse de nouveau ma bouche. Il crie son bonheur en donnant des petits coups de bassin à chaque décharge, vidant ses vésicules séminales en six puissants jets d’un foutre onctueux dans ma gorge.
Je le savoure, attendant qu’il se remette, son nœud libérant les quelques gouttes de sperme contenues dans son urètre. Rapidement il me sourit, la mine réjouie.
— J’aime sucer un homme, j’aime les grosses queues, et j’aime le foutre. Avec toi, je ne peux qu’être satisfait.
Après avoir délicatement retiré mes doigts de son fondement, je dépose son sexe partiellement débandé sur son ventre, et embrasse ses lourds testicules.
— Apéritif délicieux, j’en reprendrais presque une autre tournée ! lui dis-je en me léchant les lèvres.
— Comment peut-on autant aimer le sexe que toi ? Ma première femme, que je croyais insatiable, est une petite joueuse à côté de toi !
Le temps d’une cigarette, je lui tourne le dos (même pas peur), et face à la baie vitrée, nu comme un ver, je contemple la ville. Le panorama est splendide, une mer de lumière s’étale sous mes yeux, dont certaines scintillent ; c’est une vue merveilleusement vivante, divertissante.
— C’est pour cette raison que j’ai choisi cet appartement, je l’ai trouvé lumineux et la vue reposante.
Il se lève pour venir à quelques pas de moi ; dans la vitre, son lourd barreau à demi mou pendant sur ses non moins grosses couilles se reflète, c’est aussi captivant que la ville illuminée.
— Est-ce que l’on t’a déjà dit que ton cul était bandant ? continue-t-il. Tu es un beau mec, ton corps est splendide, tu baises comme un dieu, et ton cul est un chausson fourré.
— Il te plaît ? Vraiment ?
— Oui, vraiment. J’ai envie de toi.
Sa main se pose sur mes fesses, l’autre saisit ma queue et mes couilles, plaquant son sexe contre ma hanche pour me faire sentir sa virilité grandissante… je ne veux pas le faire attendre, et suis impatient d’être investi. Ses doigts parcourent mon sillon, le temps que son majeur me fouille délicatement.
Là, le regard dans le vide, sa présence contre moi, son doigt… tous les éléments sont réunis pour que je me sente sur un petit nuage, détendu et serein.
— Tu sais, dis-je en saisissant l’objet contondant contre ma cuisse, je ne suis pas homo, et j’adore les femmes. Mais les queues me fascinent, je suis fait ainsi, je n’y peux rien. Je ne vais jamais t’embrasser, te dire des mots d’amour, ou te demander de vivre ensemble. Mais en revanche, ma bouche et mes fesses te seront dévoués. Tant que tu me respecteras, tu feras de moi ce que tu veux, et je ferai tout pour te donner le meilleur de moi-même… encule-moi maintenant s’il te plaît, remplis-moi de toi, de ta grosse queue.
Sans un commentaire, il glisse à genoux derrière moi, mord mes fesses de multiples fois en enserrant mes hanches de ses puissantes mains. Sa langue remonte ma raie; afin de m’offrir à sa langue, je me penche en avant, plaçant mes mains contre la baie vitrée.
— Hummmmm, tu t’es rasé ? Intéressant !
Sa langue trouve son chemin et pointe la rosette qui déjà réagit, s’ouvre. Je suis tellement à l’aise, j’ai tellement envie et besoin de me faire mettre… que mon ventre est relâché, voire demandeur.
Dans la vitre, je vois sa main branler méticuleusement sa verge.
— J’adore quand tu me suces l’anus, j’en tremble, c’est bon !
Patrick semble autant aimer mon cul que moi sa queue ou son sperme, et c’est avec appétit qu’il me fouille de sa langue polissonne !
Des fesses, je le repousse et le fais tomber le dos sur la moquette en l’accompagnant, pour me jeter sur sa queue. Mes mains prennent ses lourdes couilles et sa bite en lasso comme s’il s’agissait d’une bouteille et je le pompe le plus fort possible. Comme par magie, est-ce cet état de relaxation, de sérénité, mais ma bouche s’écarte suffisamment pour avaler presque entièrement son membre ; l’énorme gland se retrouve tout au fond de ma gorge, ses burnes à quelques centimètres de mon nez. Refoulant un haut-le-cœur, je tente néanmoins de conserver la posture et fais coulisser sa puissante hampe entre mes lèvres. Instants divins, j’ai l’impression de maîtriser un bolide, et le suce avec concentration. La vitre renvoie l’image de mes lèvres distendues, et ce que je vois me comble. Le faire jouir ainsi sera possible maintenant par ma bouche, et ne m’en priverai pas. Mais là, son ardeur à me bouffer le cul me rappelle que ce côté-là de moi le réclame aussi. L’idéal serait deux hommes de ce calibre, me donnant ainsi le même plaisir de part et d’autre. Mais là, c’est un fantasme.
Je me décide à lâcher son gourdin, je suis prêt, même impatient, à le recevoir, de le retrouver. Nous nous dirigeons vers le canapé, et Patrick se saisit des capotes. Je le laisse se battre avec son plastique, préférant de loin jouer avec ses belles couilles toutes lisses que je gobe bruyamment. Luisante comme un godemiché, sa queue est encore plus impressionnante sous cellophane que nature. Il a réussi à plastifier le monstre, j’en suis un peu déçu, j’aurais préféré un échec, mais n’en dis rien. Je le reprends un peu en bouche même si le goût n’est vraiment pas sympa, ni la glisse, du reste.
— Donne-moi ton petit, que je te remplisse comme tu aimes !
Je m’installe à genoux en travers du canapé, les pieds par-dessus l’accoudoir, la tête sur les coussins. À l’aide du gel il s’enduit la queue, puis en dépose dans ma raie une bonne quantité. Mes mains écartent mes fesses au maximum pour ouvrir mon trou à son dard qu’il vient appliquer.
— Viens en moi comme chez toi, je te livre mes reins ; fais-moi jouir s’il te plaît, ne sois pas brutal. J’ai besoin de douceur pour jouir.
Et son gland se positionne avec précision, puis sous la pression s’insinue lentement en moi en repoussant mes chairs. Le gel facilite la progression, et le sentir glisser par petites vagues me donnent des sensations incroyables.
— Mon cul te réclame, tu sens comme il s’ouvre pour toi ? Oh oui, c’est bon ; tout doucement.
Pat est concentré à ne pas me décevoir, conscient que trop de témérité pourrait si facilement me déchirer. Il préfère jouer la prudence et la patience. Il m’a plusieurs fois expliqué sa frustration de ne pas pouvoir s’introduire facilement, et d’avoir essuyé tant de défaites, qu’avec moi, il tient… à ménager sa monture.
— Tu es bien, je ne te fais pas mal ? s’inquiète-t-il.
— Tu ne te rends pas compte des sensations que tu m’offres ; je n’ai jamais rien ressenti de tel. C’est grandiose, encule-moi encore, je veux sentir tes couilles contre moi. J’adore ta queue, quand tu es en moi. Prends-moi… ne me fais plus attendre !
Sous de savants petits va-et-vient, toute résistance cède, complètement sous le charme de son imposant visiteur. Ma main passe entre mes jambes pour lui agripper les couilles et lui faire comprendre qu’aucune marche arrière n’est possible. Je souffle fort sous la pression, pousse très fort sur sa queue.
— J’aime cet instant, me sentir serré… c’est tellement rare ! Je vais te faire bouger, tu vas aimer. Tu m’as bien fait jouir à peine, je tiendrai le temps qu’il faudra pour te combler comme tu le mérites.
Ses couilles sont contre moi, la pression est à son paroxysme. Mon ampoule est dilatée à exploser, et c’est à chaque fois cette sensation de distension qui se transforme… en pur plaisir. Des contractions de sa hampe me font vibrer, je ne suis plus qu’une masse nerveuse au service de notre plaisir.
Il vient se pencher sur mon dos, m’enserre dans ses bras, et me murmure à l’oreille :
— Redresse-toi, je voudrais que tu t’assoies sur moi, tu vas danser pour moi.
Je m’en remets à lui, il est ma source de plaisir. Ses deux mains m’agrippent alors sous les cuisses, et, bien qu’il reste planté en moi, nous nous retrouvons par miracle lui assis sur le canapé, et moi le chevauchant. Plus empalé que cela n’est pas possible, je prends rapidement appui sur mes bras pour soulager mon fondement, entamant quelques ondulations. Ses mains passent sous mes fesses, il m’accompagne dans cette danse en me parlant crûment, me rappelant de quoi je suis capable. La vitre, telle un miroir, me permet d’être également spectateur de mes sensations, me montrant sa formidable barre lubrifiée me pourfendre hardiment les fesses. Terriblement excitant de baiser devant un miroir.
Nos souffles s’accélèrent, le rythme s’endiable, mon cul avale cette sodomie avec de plus en plus d’appétit. Je ne me reconnais plus tant je suis réceptif… et communiquant. Je ne me suis jamais senti aussi à l’aise avec un amant, et n’ai jamais autant exprimé, verbalisé mon ressenti. Je ressens le besoin de lui parler, et il n’hésite d’ailleurs pas à me demander d’employer des mots crus.
— Ce que tu me baises bien, j’aime comme tu me baises ! Je n’ai pas mal, je ne fais qu’en jouir ! Baise-moi, continue, oui, encore ! Tu sens comme j’aime, hein, tu sens comme je suis ouvert pour que tu m’encules, comme j’en frissonne ? Viens, vide tes couilles dans mon cul !
Pat s’exécute. Je place mes pieds sur ses genoux, mes bras toujours en appui, il donne des coups de reins de plus en plus forts. Il jouait la longueur, faisant glisser toute sa hampe dans mon mignon, mais maintenant, il me propulse 10-15 centimètres d’une queue monstrueuse, dure, qui tape au fond de mon rectum ! Ses couilles se soulèvent à chaque poussée. En transe, nous nous accordons à chaque assaut, je suis impressionné de notre état fusionnel depuis la première fois. Ma queue, demi molle, tressaute à chaque coup de boutoir, ma vessie et ma prostate m’annoncent qu’elles ne comprennent plus ce à quoi nous jouons, et au même moment, mon sperme s’écoule sur ses cuisses et ses bourses en longues traînées. Je hurle ma jouissance, ce qui déchaîne Patrick, qui à son tour éructe un son étrange que seul un homme en plein orgasme arrive à produire.
— Oui, remplis-moi de foutre, jouis fort en moi, comme ça, oui, c’est boonnnnnn !
Sa queue est le piston d’un moteur tournant à plein régime, il m’encule comme un forcené en balançant le jus de ses couilles au plus profond de mon ventre. D’intenses spasmes parcourent sa verge, se synchronisant à ceux de mon sphincter.
Epuisés, mes bras ne me portent plus et je m’écroule, m’empalant jusqu’à la gorge sur lui. Nos souffles sont courts. Je repose mes pieds de part et d’autre des siens. Mon cul est en feu, mon ventre est un maelstrom de sensations étranges, ma tête tourne. Je lui dis qu’il est fou, qu’il va nous tuer à nous faire jouir aussi fort ! Ce à quoi il répond qu’il n’en sait plus rien, qu’il est déjà mort, et que pour l’instant, plus rien n’a d’importance. Le temps en effet s’arrête.
Lentement, je le sens se décongestionner en moi, et mon anus me chauffe terriblement, victime de la combinaison préservatif / gros diamètre / rythme endiablé. En tenant bien la capote sur sa queue pour ne pas la laisser glisser, je rassemble mes forces pour me relever tout doucement. Prouesse technique, le latex a résisté à la pression de ses assauts. J’ai dans ma main une grosse verge plastifiée avec une énorme boule de sperme, tel un grelot, qui pendouille au bout du gland. Je tombe à genoux entre ses jambes, son sexe toujours dans ma main, et lèche ses couilles pleines de mon foutre. Patrick sourit.
— Hummm… nettoie-moi, j’aime ta langue.
Avec application, je lape toute cette semence, puis embouche son gland et le réservoir de la capote. Mordant le réservoir, je déchire facilement le latex. Lentement, je retire le préservatif du gland vers la base de sa hampe, et dispose d’un coup de tout le délicieux foutre que la capote libère dans ma bouche en se retirant. Je n’ai jamais eu autant de sperme à disposition en une seule prise, c’est comme si deux hommes s’y étaient mis. Je le savoure et l’avale par petites gorgées avant de nettoyer le gland et la hampe de mon étalon, comblé.
Au lendemain d’une soirée de sexe avec un homme mûr puissamment membré, j’évoque ma rencontre avec une femme délicieuse à la sexualité débridée.
________________________
Patrick m’attend chez lui ce soir. Il m’a expliqué comment m’y rendre, argumentant que ce serait beaucoup plus confortable que la table de son arrière-boutique.
Il habite une résidence de standing sur les contreforts de la ville, à quelques kilomètres du centre. Disons 10 minutes. Interphone pour accéder au parking, puis, avec un léger stress, je prends l’ascenseur pour le cinquième étage.
C’est avec un large sourire qu’il me reçoit. Je lui tends machinalement la main, mais en la saisissant, il me fait remarquer que nous pourrions nous faire la bise. Je reconnais ma maladresse, mais je ne supporte pas d’embrasser un homme, et crains toujours que l’on m’y force depuis… mon premier mec. Mais ce sera une autre histoire, un peu plus tard !
En m’invitant à entrer, il s’inquiète d’abord de savoir si j’avais trouvé facilement l’immeuble, mon chemin. Frais douché, il est en peignoir de bain, toujours aussi charmant, sentant bon le frais et l’eau de toilette.
L’appartement est très harmonieusement meublé, bien que très épuré ; deux grands canapés en cuir disposés en angle autour d’une très confortable table basse, le tout en regard de vastes baies vitrées ouvrant sur un balcon-terrasse. Et en toile de fond, toute la ville illuminée de tous ses feux. Le rêve. L’éclairage n’est constitué que de lampes indirectes, très tamisé donnant une tonalité très cosy à cette vaste pièce à vivre.
Pat prend ma veste et me demande si je désire boire quelque chose en me proposant de prendre place dans le canapé.
— Un whisky sec m’ira très bien, s’il te plaît. Au fait, évite de prendre un Martini, dans l’absolu !
— Même pas mal, je n’ai pas de pantalon ! me rétorque-t-il.
Je suis véritablement content de le revoir, et constate avec plaisir qu’il est naturellement zen. Le moment que nous avions passé ensemble, bien que très sexuel, avait une tout autre dimension ; je m’étais immédiatement senti très bien à son contact. Ce soir, une bonne atmosphère règne chez lui.
Les verres arrivent, et il s’assied sur l’autre canapé, juste en face de moi. Tout aussi naturellement, son peignoir est entrouvert, offrant sa magnifique queue à ma vue. Je ne peux m’empêcher un petit commentaire, ce à quoi il me rassure en me disant que nous sommes suffisamment intimes pour ne pas nous gêner ! Profitant de cela, il me tend un petit sac en papier. Je l’ouvre et en sors des préservatifs XXL et un tube de gel. Le ton est donné, mon cul ne l’a pas déçu :
— Tu as peur que je tombe enceinte ? dis-je, le sourire aux lèvres.
— Non, pas vraiment. C’est par respect pour toi. Je ne veux pas que tu aies peur. Pourtant, je n’aime pas les capotes. Mais bon…
Sa queue lourde s’expose devant mes yeux, et le souvenir des moments passés il y a six jours, combiné à l’alcool, me donne des chaleurs. Dans le souci de clore l’épisode « capotes », je me justifie en disant qu’aucun autre homme ne m’a jamais pris sans protection, et que je n’ai pas été raisonnable l’autre soir. Mais aucun mec encore ne m’a fait prendre autant de plaisir, tout en me respectant, et que j’ai vraiment envie de renouveler cette heureuse expérience dans ces conditions ! Il me répète que lui n’a rien, ni rien fait depuis qu’il a plaqué la fameuse copine qu’il surnommait « Aspro ». Il est franc, simple, et j’apprécie.
— Tu veux un autre verre ?
— Euh… je ne suis pas venu pour sucer des glaçons, merci. Par contre…
— Pour plus de plaisir, il vaut mieux rester sobre. Je t’avouerai que je préfère voir tes lèvres sucer autre chose que des glaçons. Viens plus près, j’ai besoin de te sentir contre moi.
— J’en rêve depuis que je l’ai quitté l’autre soir !
Sans l’ombre d’une hésitation, il ouvre son peignoir et avance son bassin pour s’asseoir sur le bord du canapé, tout en repoussant la table du pied. Sa bite est toujours aussi grosse, déjà au repos, mais un détail à changé : il s’est complètement rasé.
— Surprise ! sourit-il. Déshabille-toi, je veux te voir nu avant de sentir ta bouche.
Je m’exécute rapidement, avant de m’accroupir entre ses jambes pour embrasser son gland.
— Moi aussi j’ai une surprise. Tu verras.
Ma main gauche soupèse ses lourdes couilles toutes lisses tandis que la droite enserre la base de sa verge et la plonge contre mes lèvres entrouvertes, décalottant son prépuce en l’avalant ; Je connais un peu mon monstre et sais mieux m’y prendre, d’autant qu’il n’y a plus l’effet de surprise. Je suis aux anges et ne donnerais pour rien ma place. Rapidement, sa hampe gonfle et s’allonge sous mes coups de gueule. Je n’oublie pas de gober les testicules, et Pat avance un peu plus son bassin, posant un pied sur la table, offrant ainsi la naissance de ses fesses musclées. Soulevant ses bourses de ma main, je me surprends à lécher son scrotum, puis ma langue pointe délicatement son anus. Un petit râle d’appréciation me fait comprendre qu’il apprécie cette attention. Je me permets d’insister alors, et ce faisant, vois ses doigts se saisir de sa queue pour entamer un long branle. Ses couilles reviennent longuement dans ma bouche, mon majeur pénètre son petit trou par petites poussées. Il se contracte sur mon doigt tout en envoyant sa main derrière ma nuque afin de m’inviter à revenir pomper sa queue, qu’il me présente de l’autre main.
— Oh, que tu es doué pour exciter, toi ! Suce-moi fort, là, j’ai envie que tu m’aspires, que tu me gobes, oui, comme ça ! J’aime ta bouche.
Je relâche ma mâchoire un max tout en activant le mouvement, désireux de lui donner satisfaction. Mon doigt remonte fortement le long de sa prostate que je sens bien gonflée. Puis de nouveau ses couilles, que je trempe de salive, ne sont pas épargnées. Il se branle toujours, commence à souffler, alors je lui mets mon deuxième doigt au cul. Ses burnes remontent instantanément, et sa main branleuse me représente son gros gland gorgé à sucer.
— Tu veux jouir maintenant ? Viens vite entre mes lèvres.
N’attendant pas sa réponse, je le reprends profondément en bouche, et le pompe furieusement en remplaçant sa main par la mienne. Il projette son pubis au-devant de mes succions, mes doigts fouillent largement son cul serré, et ma main tire sur son frein avec force à chaque descente de mes lèvres.
— Je vais cracher ! hurle-t-il les dents serrées.
Mes yeux se plantent dans les siens au même instant que mes doigts dans son cul ; j’appuie alors fortement sur sa prostate en branlant son énorme mandrin comme un forcené, mes lèvres serrées juste derrière son gland hypertrophié ; avec violence, une giclée de foutre est catapultée directement contre l’arrière de mon palais. Sans cesser de le branler, j’avale cette rasade juste avant qu’une deuxième remplisse de nouveau ma bouche. Il crie son bonheur en donnant des petits coups de bassin à chaque décharge, vidant ses vésicules séminales en six puissants jets d’un foutre onctueux dans ma gorge.
Je le savoure, attendant qu’il se remette, son nœud libérant les quelques gouttes de sperme contenues dans son urètre. Rapidement il me sourit, la mine réjouie.
— J’aime sucer un homme, j’aime les grosses queues, et j’aime le foutre. Avec toi, je ne peux qu’être satisfait.
Après avoir délicatement retiré mes doigts de son fondement, je dépose son sexe partiellement débandé sur son ventre, et embrasse ses lourds testicules.
— Apéritif délicieux, j’en reprendrais presque une autre tournée ! lui dis-je en me léchant les lèvres.
— Comment peut-on autant aimer le sexe que toi ? Ma première femme, que je croyais insatiable, est une petite joueuse à côté de toi !
Le temps d’une cigarette, je lui tourne le dos (même pas peur), et face à la baie vitrée, nu comme un ver, je contemple la ville. Le panorama est splendide, une mer de lumière s’étale sous mes yeux, dont certaines scintillent ; c’est une vue merveilleusement vivante, divertissante.
— C’est pour cette raison que j’ai choisi cet appartement, je l’ai trouvé lumineux et la vue reposante.
Il se lève pour venir à quelques pas de moi ; dans la vitre, son lourd barreau à demi mou pendant sur ses non moins grosses couilles se reflète, c’est aussi captivant que la ville illuminée.
— Est-ce que l’on t’a déjà dit que ton cul était bandant ? continue-t-il. Tu es un beau mec, ton corps est splendide, tu baises comme un dieu, et ton cul est un chausson fourré.
— Il te plaît ? Vraiment ?
— Oui, vraiment. J’ai envie de toi.
Sa main se pose sur mes fesses, l’autre saisit ma queue et mes couilles, plaquant son sexe contre ma hanche pour me faire sentir sa virilité grandissante… je ne veux pas le faire attendre, et suis impatient d’être investi. Ses doigts parcourent mon sillon, le temps que son majeur me fouille délicatement.
Là, le regard dans le vide, sa présence contre moi, son doigt… tous les éléments sont réunis pour que je me sente sur un petit nuage, détendu et serein.
— Tu sais, dis-je en saisissant l’objet contondant contre ma cuisse, je ne suis pas homo, et j’adore les femmes. Mais les queues me fascinent, je suis fait ainsi, je n’y peux rien. Je ne vais jamais t’embrasser, te dire des mots d’amour, ou te demander de vivre ensemble. Mais en revanche, ma bouche et mes fesses te seront dévoués. Tant que tu me respecteras, tu feras de moi ce que tu veux, et je ferai tout pour te donner le meilleur de moi-même… encule-moi maintenant s’il te plaît, remplis-moi de toi, de ta grosse queue.
Sans un commentaire, il glisse à genoux derrière moi, mord mes fesses de multiples fois en enserrant mes hanches de ses puissantes mains. Sa langue remonte ma raie; afin de m’offrir à sa langue, je me penche en avant, plaçant mes mains contre la baie vitrée.
— Hummmmm, tu t’es rasé ? Intéressant !
Sa langue trouve son chemin et pointe la rosette qui déjà réagit, s’ouvre. Je suis tellement à l’aise, j’ai tellement envie et besoin de me faire mettre… que mon ventre est relâché, voire demandeur.
Dans la vitre, je vois sa main branler méticuleusement sa verge.
— J’adore quand tu me suces l’anus, j’en tremble, c’est bon !
Patrick semble autant aimer mon cul que moi sa queue ou son sperme, et c’est avec appétit qu’il me fouille de sa langue polissonne !
Des fesses, je le repousse et le fais tomber le dos sur la moquette en l’accompagnant, pour me jeter sur sa queue. Mes mains prennent ses lourdes couilles et sa bite en lasso comme s’il s’agissait d’une bouteille et je le pompe le plus fort possible. Comme par magie, est-ce cet état de relaxation, de sérénité, mais ma bouche s’écarte suffisamment pour avaler presque entièrement son membre ; l’énorme gland se retrouve tout au fond de ma gorge, ses burnes à quelques centimètres de mon nez. Refoulant un haut-le-cœur, je tente néanmoins de conserver la posture et fais coulisser sa puissante hampe entre mes lèvres. Instants divins, j’ai l’impression de maîtriser un bolide, et le suce avec concentration. La vitre renvoie l’image de mes lèvres distendues, et ce que je vois me comble. Le faire jouir ainsi sera possible maintenant par ma bouche, et ne m’en priverai pas. Mais là, son ardeur à me bouffer le cul me rappelle que ce côté-là de moi le réclame aussi. L’idéal serait deux hommes de ce calibre, me donnant ainsi le même plaisir de part et d’autre. Mais là, c’est un fantasme.
Je me décide à lâcher son gourdin, je suis prêt, même impatient, à le recevoir, de le retrouver. Nous nous dirigeons vers le canapé, et Patrick se saisit des capotes. Je le laisse se battre avec son plastique, préférant de loin jouer avec ses belles couilles toutes lisses que je gobe bruyamment. Luisante comme un godemiché, sa queue est encore plus impressionnante sous cellophane que nature. Il a réussi à plastifier le monstre, j’en suis un peu déçu, j’aurais préféré un échec, mais n’en dis rien. Je le reprends un peu en bouche même si le goût n’est vraiment pas sympa, ni la glisse, du reste.
— Donne-moi ton petit, que je te remplisse comme tu aimes !
Je m’installe à genoux en travers du canapé, les pieds par-dessus l’accoudoir, la tête sur les coussins. À l’aide du gel il s’enduit la queue, puis en dépose dans ma raie une bonne quantité. Mes mains écartent mes fesses au maximum pour ouvrir mon trou à son dard qu’il vient appliquer.
— Viens en moi comme chez toi, je te livre mes reins ; fais-moi jouir s’il te plaît, ne sois pas brutal. J’ai besoin de douceur pour jouir.
Et son gland se positionne avec précision, puis sous la pression s’insinue lentement en moi en repoussant mes chairs. Le gel facilite la progression, et le sentir glisser par petites vagues me donnent des sensations incroyables.
— Mon cul te réclame, tu sens comme il s’ouvre pour toi ? Oh oui, c’est bon ; tout doucement.
Pat est concentré à ne pas me décevoir, conscient que trop de témérité pourrait si facilement me déchirer. Il préfère jouer la prudence et la patience. Il m’a plusieurs fois expliqué sa frustration de ne pas pouvoir s’introduire facilement, et d’avoir essuyé tant de défaites, qu’avec moi, il tient… à ménager sa monture.
— Tu es bien, je ne te fais pas mal ? s’inquiète-t-il.
— Tu ne te rends pas compte des sensations que tu m’offres ; je n’ai jamais rien ressenti de tel. C’est grandiose, encule-moi encore, je veux sentir tes couilles contre moi. J’adore ta queue, quand tu es en moi. Prends-moi… ne me fais plus attendre !
Sous de savants petits va-et-vient, toute résistance cède, complètement sous le charme de son imposant visiteur. Ma main passe entre mes jambes pour lui agripper les couilles et lui faire comprendre qu’aucune marche arrière n’est possible. Je souffle fort sous la pression, pousse très fort sur sa queue.
— J’aime cet instant, me sentir serré… c’est tellement rare ! Je vais te faire bouger, tu vas aimer. Tu m’as bien fait jouir à peine, je tiendrai le temps qu’il faudra pour te combler comme tu le mérites.
Ses couilles sont contre moi, la pression est à son paroxysme. Mon ampoule est dilatée à exploser, et c’est à chaque fois cette sensation de distension qui se transforme… en pur plaisir. Des contractions de sa hampe me font vibrer, je ne suis plus qu’une masse nerveuse au service de notre plaisir.
Il vient se pencher sur mon dos, m’enserre dans ses bras, et me murmure à l’oreille :
— Redresse-toi, je voudrais que tu t’assoies sur moi, tu vas danser pour moi.
Je m’en remets à lui, il est ma source de plaisir. Ses deux mains m’agrippent alors sous les cuisses, et, bien qu’il reste planté en moi, nous nous retrouvons par miracle lui assis sur le canapé, et moi le chevauchant. Plus empalé que cela n’est pas possible, je prends rapidement appui sur mes bras pour soulager mon fondement, entamant quelques ondulations. Ses mains passent sous mes fesses, il m’accompagne dans cette danse en me parlant crûment, me rappelant de quoi je suis capable. La vitre, telle un miroir, me permet d’être également spectateur de mes sensations, me montrant sa formidable barre lubrifiée me pourfendre hardiment les fesses. Terriblement excitant de baiser devant un miroir.
Nos souffles s’accélèrent, le rythme s’endiable, mon cul avale cette sodomie avec de plus en plus d’appétit. Je ne me reconnais plus tant je suis réceptif… et communiquant. Je ne me suis jamais senti aussi à l’aise avec un amant, et n’ai jamais autant exprimé, verbalisé mon ressenti. Je ressens le besoin de lui parler, et il n’hésite d’ailleurs pas à me demander d’employer des mots crus.
— Ce que tu me baises bien, j’aime comme tu me baises ! Je n’ai pas mal, je ne fais qu’en jouir ! Baise-moi, continue, oui, encore ! Tu sens comme j’aime, hein, tu sens comme je suis ouvert pour que tu m’encules, comme j’en frissonne ? Viens, vide tes couilles dans mon cul !
Pat s’exécute. Je place mes pieds sur ses genoux, mes bras toujours en appui, il donne des coups de reins de plus en plus forts. Il jouait la longueur, faisant glisser toute sa hampe dans mon mignon, mais maintenant, il me propulse 10-15 centimètres d’une queue monstrueuse, dure, qui tape au fond de mon rectum ! Ses couilles se soulèvent à chaque poussée. En transe, nous nous accordons à chaque assaut, je suis impressionné de notre état fusionnel depuis la première fois. Ma queue, demi molle, tressaute à chaque coup de boutoir, ma vessie et ma prostate m’annoncent qu’elles ne comprennent plus ce à quoi nous jouons, et au même moment, mon sperme s’écoule sur ses cuisses et ses bourses en longues traînées. Je hurle ma jouissance, ce qui déchaîne Patrick, qui à son tour éructe un son étrange que seul un homme en plein orgasme arrive à produire.
— Oui, remplis-moi de foutre, jouis fort en moi, comme ça, oui, c’est boonnnnnn !
Sa queue est le piston d’un moteur tournant à plein régime, il m’encule comme un forcené en balançant le jus de ses couilles au plus profond de mon ventre. D’intenses spasmes parcourent sa verge, se synchronisant à ceux de mon sphincter.
Epuisés, mes bras ne me portent plus et je m’écroule, m’empalant jusqu’à la gorge sur lui. Nos souffles sont courts. Je repose mes pieds de part et d’autre des siens. Mon cul est en feu, mon ventre est un maelstrom de sensations étranges, ma tête tourne. Je lui dis qu’il est fou, qu’il va nous tuer à nous faire jouir aussi fort ! Ce à quoi il répond qu’il n’en sait plus rien, qu’il est déjà mort, et que pour l’instant, plus rien n’a d’importance. Le temps en effet s’arrête.
Lentement, je le sens se décongestionner en moi, et mon anus me chauffe terriblement, victime de la combinaison préservatif / gros diamètre / rythme endiablé. En tenant bien la capote sur sa queue pour ne pas la laisser glisser, je rassemble mes forces pour me relever tout doucement. Prouesse technique, le latex a résisté à la pression de ses assauts. J’ai dans ma main une grosse verge plastifiée avec une énorme boule de sperme, tel un grelot, qui pendouille au bout du gland. Je tombe à genoux entre ses jambes, son sexe toujours dans ma main, et lèche ses couilles pleines de mon foutre. Patrick sourit.
— Hummm… nettoie-moi, j’aime ta langue.
Avec application, je lape toute cette semence, puis embouche son gland et le réservoir de la capote. Mordant le réservoir, je déchire facilement le latex. Lentement, je retire le préservatif du gland vers la base de sa hampe, et dispose d’un coup de tout le délicieux foutre que la capote libère dans ma bouche en se retirant. Je n’ai jamais eu autant de sperme à disposition en une seule prise, c’est comme si deux hommes s’y étaient mis. Je le savoure et l’avale par petites gorgées avant de nettoyer le gland et la hampe de mon étalon, comblé.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Rollerbi
1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Merci mec ! Ton talent de raconteur et la tension sexuelle de ton histoire m'ont bien fait gicler ! C'est, grâce à toi, un très bon début de journée !