Une soirée réussie : 8 - Confession
Récit érotique écrit par Rollerbi [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-06-2016 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Une soirée réussie : 8 - Confession
8. Une soirée réussie : confession
Résumé de l’épisode précédent :
En arrivant chez Patrick pour une incontournable soirée sexe, celui-ci m’a fait la surprise d’avoir convié un troisième homme à nos ébats. Une nuit torride s’en suit.
Etalé sur le dos de tout mon long, le ventre tout « comateux », mon rectum tartiné d’Homéoplasmine, leur queue enfin à l’état de repos dans ma main, je suis le plus heureux des hommes. Mon esprit revit cette magnifique soirée de baise. Ils m’ont bien pris, j’ai reçu leur queue, leur foutre, m’ont fait jouir, je suis plus que comblé. Et pourtant, le spectre de Danièle surgit dans mes pensées, tel un fantôme sortit de dessous le lit.
Putain, pourtant, qu’est-ce que je me sens homme ! Rien que de penser aux courbes de son corps, au galbe de sa poitrine, au goût subtile de son sexe, ou encore à l’élasticité de son petit cul, une impressionnante érection. Notre complicité, au lit, certes, mais au dehors également, était osmotique.
Alors, pourquoi j’aime les mecs, bordel ? Pourquoi ai-je besoin de les pomper, de les boire ? Pourquoi je me sens si bien avec une bite dans le cul ? Vais-je toute ma vie avoir le cul entre deux chaises ?
Aucune réponse ne pointe son nez pour venir me rassurer. Depuis une trentaine de minutes, mon esprit ne cesse de me torturer. Bien qu’entre deux hommes, je me sens pourtant si seul ce soir. À côté de moi, Patrick respire régulièrement, il dort fermement. J’aurais bien besoin de venir vers lui, là. Mais je décide de le laisser à Morphée. Alors, à tâtons, ma main cherche le sexe de Franck. Ridicule, mais son contact, la chaleur de son membre m’apaise.
— Tu ne dors pas ? chuchote Franck. Tu n’es donc jamais fatigué ?
— Si, mais j’ai un coup de blues.
— T’as besoin d’en parler ? Je peux t’écouter, tu sais.
— C’est gentil. lui assurais-je en caressant son beau paquet. Mais c’est compliqué.
Il n’insiste pas, comme souvent les êtres sensibles, il sait qu’il ne faut pas forcer. Mes doigts jouent avec les poils de son pubis taillés courts, caressent ses bourses, remontent de son gland jusqu’à la base de sa queue. Quelques minutes d’un insoutenable silence passent, mais malgré ce doux contact, Danièle danse derrière mes yeux.
Glissant contre lui, je pose ma tête sur son ventre, relève sa verge pendant entre ses jambes et très amoureusement, la glisse entre mes lèvres. Ses couilles cajolées dans ma main, j’entame une fellation des plus câline, insistant beaucoup sur son beau gland libre de tout prépuce. Ma langue lui tourne autour, taquine son méat, le lèche comme une glace. Il est raide, ne pipe pas mot, redevenant long et gros tout en se laissant déguster. J’aspire cette verge en le branlant tantôt avec délicatesse, tantôt plus fermement, prenant plaisir à… gagner du temps.
— Ne te leurre pas, me dis-je à moi-même. Tu cours, tu fuis, tu t’évades ! Tu as peur de la solitude. L’idée de te retrouver seul avec toi-même te fait flipper !
Je chasse mes idées noires en me concentrant sur le superbe nœud que j’ai en bouche, le prenant loin en bouche comme s’il pouvait repousser mes pensées. Je le suce… comme Danièle me suçait, avec conviction.
Franck, lassé de me caresser le dos, flatte maintenant mes fesses, attrape mes bourses, puis ses doigts remontent le long de ma raie, avant de redescendre et de refaire un tour complet de mon arrière-train. Ma bouche est toujours active autour de sa verge de plus en plus bonne.
— C’est le goût des bites que tu pompes ou celui de la perversité de la soumission qui te pousse à sucer ? continue mon esprit.
Ce sont les doigts qui pénètrent mon cul vaseliné qui m’empêchent de trop penser. Ils m’investissent dans un mouvement de vrille, ne réveillant à mon grand étonnement aucune douleur malgré ce que vient de vivre mon cul ce soir. Bien au contraire, ses doigts ont un effet exutoire, focalisant mes sens sur le plaisir.
Voyant dans cette porte d’entrée la porte de sortie de mes idées noires, je dépose la verge massive sur son ventre, sors les doigts de Franck de mes fesses, me tourne pour lui présenter mon dos. J’envoie mon bras en arrière, trouve sa queue, la tire vers moi et lui dis d’un ton péremptoire :
— Encule-moi, s’il te plaît.
L’ogive dans ma main, je la guide contre mon cul, puis lui donne l’ordre d’y aller. Je pousse de toutes mes forces ; entre l’Homéoplasmine et la partie de baise que je viens de vivre, il me prend d’une seule poussée. Et que c’est bon ! Je lui demande de me sauter, de ne penser qu’à lui, car de toute façon, je jouis dès qu’il me pénètre.
Patrick ne bouge pas, je suis presque certain qu’il dorme, sinon, sa bite serait déjà entre mes lèvres. J’encourage Franck qui me fait sentir la puissance exceptionnelle de son organe, promenant de façon exquise son énorme nœud dans mon rectum. L’angle est idéal, je le sens parfaitement, qu’il me baise lentement ou qu’il accélère, ce n’est que du plaisir.
Il m’encule ainsi un bon quart d’heure. J’ai très chaud, des spasmes prometteurs m’indiquent qu’il va me faire décoller. Son gland, qui jusque-là, me donnait l’impression d’être une boule de billard à l’intérieur de moi, me semble devenir une boule de bowling roulant sans fins en moi. Mon souffle devient court, mes reins brûlent, de puissantes décharges électriques remontent du bas de mon dos jusqu’à ma nuque, des fourmis picotent mes doigts…
— Ouiiiiii ! Oh ouiiii, c’est bon ! Viens en moi.
Franck s’emballe à son tour. La boule de bowling vient de réussir un magnifique strike. Elle arrose copieusement sa victoire dans un dédale de quilles renversées, graissant par la même occasion toute la machinerie nécessaire à la bonne marche de la piste. En de multiples coups de reins, il m’insémine ma dose de somnifère avant de me serrer fort contre lui, essoufflé, repu, mais bien présent.
Quelques minutes plus tard, il me demande si je me sens mieux. Sa longue et grosse queue toujours dans mon ventre, oui, je me sens mieux.
— Reste en moi, s’il te plaît. J’ai besoin de te sentir en moi. répondis-je. Merci, tu as été génial, c’était très bon. Bonne nuit !
— Bonne nuit aussi ! dit-il en déposant un baiser dans ma nuque.
Apaisé, je sombre immédiatement dans le sommeil. Mais passerai ma nuit avec Danièle.
ooOOOoo
Alors que nos langues s’affrontent inlassablement, nos esprits s’apaisent et notre rythme cardiaque redevient plus calme. Mon sexe débande lentement, toujours à l’intérieur de mon initiatrice. Mazette, quel voyage cette femme vient de me faire vivre ! Chaque orgasme nous emmène toujours très loin, et me fait tomber un peu plus sous son charme.
— Dire que tu aurais pu rentrer seul l’autre soir, et je n’aurais alors jamais pu t’apprécier. lui dis-je en la regardant respectueusement.
— Là, la première pensée qui me vient est : quel gâchis ! Je suis trop bien avec toi, ce n’est que plaisir, sincèrement. Tu as donc aimé mes fesses ?
Je la remercie pour ce dépucelage, pour ce cadeau magnifique, que voyager entre d’aussi belles fesses était un doux délice.
— Je ne t’ai pas fait mal ? tentais-je, bien que connaissant la sodomie par cœur pour la pratiquer régulièrement… sur moi.
— Oh non, ça ne fait pas mal. Pas quand on ne force pas. Tu n’as jamais essayé ?
Mince, quoi dire, là, tout de suite ? Je vais passer pour un homo si je dis oui, pourrait-elle comprendre ? Le manque de spontanéité de ma réponse parle pour moi, et ses yeux me fixent alors, puis elle sourit, se redresse pour s’asseoir au bord de la table. Ouvrant ses bras, elle me tire contre elle pour me rouler une pelle d’anthologie.
— Toi, tu ne me dis pas tout ! me sermonne-t-elle. Tu peux tout expliquer à Tata Danièle, tu sais ! rit-elle alors.
Un peu paniqué, nu, mon sexe pendant contre son pubis trempé, son opulente poitrine contre mon torse, je me sens mal à l’aise.
— Plus tard, si tu veux bien. Quand on sera couchés, je me confierai à toi, je te promets.
Ses yeux droits dans les miens, Dan me dit qu’il n’y a rien d’urgent, que je fais l’amour comme elle adore.
— Tu sais, la première fois que je t’ai embrassé la bouche pleine de ton sperme, et que tu n’as pas hésité à partager, j’ai immédiatement compris que tu l’avais déjà fait auparavant. Tu as dix-neuf ans… Même si tu es doué pour le sexe, certaines de tes assurances trahissent une… vie sexuelle assez riche et/ou variée !
Je fonds de respect et d’amour pour cette femme si mûre, si intelligente, qui à 24 ans, sent déjà tant de chose ! Resserrant mon étreinte, je lui embrasse le cou et la remercie pour sa compréhension. Mes mains caressent son dos, l’odeur de sexe baigne la pièce, la fougue nous reprend rapidement. La pointe de ses seins durcie, cette femme est diabolique, irrésistible, je veux de nouveau la posséder.
— Viens dans la chambre. me glisse-t-elle à l’oreille. Viens m’aimer, fais-moi l’amour.
Ma princesse m’emmène par la main vers sa chambre. Ses fesses dansent à chacun de ses pas, sa poitrine tressaute, son corps n’est que grâce et volupté, qu’invitation. Arrivé au pied de son lit, je l’embrasse langoureusement, une main sur sa croupe, l’autre posée sur sa petite chatte trempée. Ma queue grandissante rencontre naturellement sa main toute douce pour une caresse intéressée.
— Tu me rends dingue, tu m’excites de plus en plus, j’ai TOUJOURS envie de toi !
D’autorité, elle m’allonge sur le dos et vient me chevaucher. Sa vulve détrempée se plaque sur ma bouche, mon nez dans sa toison pubienne, sa main me saisissant par les cheveux :
— Lèche-moi !
Le supplice est un plaisir. Je l’aspire de toutes mes forces et lèche l’intérieur de son vagin comme si ma vie en dépendait, alors qu’elle ondule son bassin pour se placer là où elle le désire. Mes mains partent à la reconquête de ses fesses, les pétrissant, les écartant. Mais alors que je veux m’approcher de son petit trou, ses mains viennent me les retirer de ses fesses. Je suce son clito tout dur, ses jus me ruissellent en bouche et sur mon menton.
— Oui, c’est bon, comme ça, oui. souffle-t-elle en se pinçant les tétons. Je viennnns, oh oui!
Ma langue dans sa grotte se fait comprimer par les spasmes de son orgasme, sa mouille abonde, son bassin ondule par vagues d’intensité variable, puis s‘immobilise enfin, l’orage terminé. Sa douce pluie d’amour coule de mon menton.
Je suis suspendu à son biorythme, elle me domine, me fait vivre des choses d’une puissance jusqu’alors inimaginable du haut de mes 19 ans.
— J’aime ta bouche, tu es si sensuel, tu t’en sers si bien.
Tout en me chuchotant des choses tendres et terriblement érotiques, ses mains prennent appui de part et d’autre de mes cuisses, basculant son bassin un peu plus en avant. En un rien de temps, son anus se retrouve sur mes lèvres qui instantanément le baisent, l’embrassent, timidement d’abord, puis de plus en plus intensément.
— Tu aimes mes fesses, hein ? Tu as aimé y jouir, tout à l’heure. Et bien, vas-y, bois ton sperme, oui, plonge ta langue dans mon cul, comme ça, oui, c’est bon, bois ton foutre, ça me met en transe ! Tu peux tout faire avec moi, tu sais ! Ne sois pas coincé, fais-nous du bien. Oui. Comme ça.
Son cul s’ouvre à ma caresse, et ma liqueur change lentement de propriétaire sous mes succions, mes caresses. Danièle contracte son ventre pour bien me rendre toute la semence que je lui ai déchargé il y a une bonne demi-heure. Je n’aurais jamais imaginé pouvoir faire une chose aussi déroutante un jour, et qui plus est, avec une maîtresse aussi torride et bandante. Dan avait tout, mais tout compris de moi, et cela, au lieu de la déranger, l’excitait.
Son petit cul nettoyé, sa chatte bien lapée, Dan recule pour venir emboucher ma queue bandée à en hurler. En prenant son temps, elle me suce avec une véritable passion, jouant de mon gland, me mordant au passage pour m’entendre souffler, puis malaxe mes couilles dures un bon moment avant de m’introduire son majeur entre mes fesses.
— Ta bouche, oh, ta bouche ! est presque la seule chose que j’arrive à dire.
Son doigt me fouille sans retenue, et ses lèvres balaient ma hampe de plus en plus vite. Au comble du plaisir, je me lâche avec violence entre ses mâchoires en hurlant son nom, le bassin décollé du lit, mon sperme brûlant emplissant sa bouche avide de ma jouissance. Accompagnant mon gland dans ses soubresauts, la dernière chose qu’il m’est permis d’entendre est la déglutition de ma reine des suceuses, avalant mon offrande.
Lorsque je reprends doucement contact avec le monde extérieur, Dan est lovée contre moi, sa jambe sur les miennes, la tête sur mon épaule. Sa main vient se poser sur mes organes redevenus modestes et les emprisonne, comme pour être certaine que personne ne lui prenne. Et là, sa douce voix me sort définitivement de ma rêverie :
— Je me sens bien avec toi. Mais je veux TOUT savoir, s’il te plaît. Ne me cache rien, je le sentirai.
Je ne suis pas de taille à lutter, et n’ai pas envie de perdre sa confiance non plus, je veux tenter de lui résumer « mes motivations sexuelles ». Un long monologue commence alors, je dois parler de moi, et ce n’est pas le plus fascinant ! Mon enfance, mes parents, mes amis, l’adolescence, les premiers flirts… et très souvent, ce besoin de me masturber, impérieux, plusieurs fois par jour, n’importe où. Et si au cours de cet éveil sexuel propre à tout adolescent, mes fantasmes me projetaient avec de belles filles, faisant l’amour à corps perdu, il y avait très souvent… la vingt-cinquième image, l’image quasi subliminale : de gros sexes d’homme, durs comme la pierre, couillus, éjaculant des seaux de sperme. Jamais de silhouette, jamais de visage, que leurs queues bandées, énormes.
Mais une fois l’éjaculation finie, plus rien, que de beaux seins, de splendides culs, de belles femmes au visage resplendissant, du style Hamilton. Je n’avais aucun problème avec les filles, et même lors des premiers rapports, tout s’est très bien passé. Bon, la performance n’y était pas, bien évidemment, mais cette sexualité me convenait à 100 %, et je convenais également à mes partenaires.
Dan m’écoute attentivement, sa posture n’a pas changé, un sein contre moi, l’autre sur mon torse, sa main transformée en suspensoir soutient mes testicules. Mon bras enlaçant son dos permet à ma main de caresser sa hanche et le haut de sa fesse tout en lui parlant. Sa peau… son odeur…
Je poursuis tout de même mon récit, lui expliquant qu’à aucun moment le désir d’embrasser un garçon ne m’est venu à l’esprit ! Il m’a fallu attendre jusqu’à mes 18 ans. Mon permis de conduire en poche, J’ai découvert la liberté, la mobilité et de nouvelles perspectives s’offraient à moi. C’est là que j’ai connu Stéphane, mon premier mec.
Danièle prend ma bouche et m’embrasse amoureusement, enroulant sa langue autour de la mienne, caresse ma verge et me dit d’une voix langoureuse et sensuelle :
— Continue, tu es clair dans tes pensées, tu racontes très bien les choses. Que s’est-il passé avec Stéphane ? J’en suis toute mouillée !
C’est une mise à nu, mais le moment est opportun pour ce genre d’aveu, de confession, je me lâche complètement, lui ouvrant les portes de mon jardin secret.
Je reprends donc le cours de ma vie. Mon fantasme récurant était la fellation, je rêvais de sucer un homme. Je voulais coûte que coûte connaître les sensations que l’on pouvait ressentir en suçant un homme, en lui faisant une bonne pipe. Je venais de rompre avec une copine plutôt chiante et pleine de manies, et somme toute assez peu portée sur le sexe.
En voiture, et à la nuit tombée, je me gare sur un parking bien connu pour être un "parking à PD" comme le disaient assez connement mes collègues de boulot. La peur au ventre, je m’imaginais des tas de situations, des visages… mais bizarrement, des tas de voitures ''tournaient" inlassablement, sans jamais s’arrêter ! Ou alors, les gens en descendaient pour se diriger vers le parc entre les bosquets. Et ça, même pas en rêve.
Ma fenêtre ouverte le temps de reprendre l’air, une voiture arrive avec 2 mecs dedans, et s’arrête juste à ma hauteur. Après quelques questions, ils me proposent de ne pas rester planté là, et m’invitent à venir boire un coup chez eux. Pensant que de toute façon, ce n’est qu’un fantasme, et compte tenu du côté glauque de l’endroit, plutôt me saouler que de sortir de ma caisse sur ce parking de dingues : je les ai suivi.
Autour d’un verre, je parviens à peine à me détendre. Vers 23 heures, je décide de rentrer chez moi. Au moment de partir, le plus jeune (30 ans environ) essaie de me rouler une pelle. Quelle horreur ! Déjà qu’il ne m’inspirait aucune confiance, les choses étaient claires pour moi : fuir. Stéphane, voyant que ça ne colle pas, le salue et sort de l’appart pour me raccompagner. Une fois dans la rue, il m’invite à venir discuter chez lui, sans engagement. 40 ans, beau mec posé, propre, un peu psychologue, il a tout compris.
Chez lui, lumière tamisée, whisky, il s’assoit sur un pouf, et nous parlons calmement. Puis, me sentant décoincé, il me demande ce que je cherchais sur ce parking un peu plus tôt. Je finis par lui avouer mon désir, mon rêve de sucer un homme, la voix tremblante. Il me dit alors que ces endroits étaient réservés à un certain "abattage", que cela pouvait être perturbant. S’il me convenait, il était tout à fait disposé à se laisser faire… Voyant ma paralysie, il se leva, et naturellement se déshabilla devant moi, avant de se rasseoir en tailleur devant mes yeux ébahis. Là, à quelques centimètres de moi, un homme était nu, et quel homme ! De puissants pectoraux s’étalaient fièrement entre ses larges épaules, à peine masqués par une toison brune descendant harmonieusement jusqu’à son pubis velu. Sous ses abdos, un trois-pièces comme j’en voyais dans les bouquins de cul : une demi-molle d’une bonne quinzaine de centimètres, d’une largeur confortable, au fort gland retenant un prépuce plissé, faisant penser à un ressort prêt à propulser un harpon. Deux très gros testicules soumis aux lois gravitationnelles pendaient largement dessous ce gland. Craquant, pour ne pas dire irrésistible. Tout en me parlant, il me fit remarquer que mes yeux le suçaient déjà. Il me prit calmement par la main, et m’emporta vers le lit dans la pièce d’à côté, au bord duquel il m’invita à m’asseoir.
— Tu fais comme tu le sens, et si quelque chose te dérange, tu es libre d’arrêter, ok ? me rassura-t-il.
Et timidement, ma main vient au contact de ce sexe qui gonfle et déjà s’allonge. Puis vint l’instant de le prendre en bouche. Il est gros, chaud, bute contre mes lèvres. J’écarte au maximum, et le voilà qui me pénètre délicatement. Ma bouche est vierge de toutes ces sensations : la douceur du gland, son volume, puis le prépuce qui se cale contre mes lèvres… Il me caresse la tête, m’encourage, et m’investit tendrement. Il tire sur sa hampe avec ses doigts pour bien dégager son énorme bout qui remplit bien ma cavité buccale, tant pour l’espace que par son goût, étrange et pourtant… agréable. Déjà de doux va-et-vient me permettent de bien sentir sa hampe gonflée m’écarter et me pénétrer la bouche. Ses mots me donnent de la hardiesse, et sa rigidité m’encourage, malgré l’arrogance de son gros nœud. Je ne sais combien de temps je l’ai sucé, mais toujours est-il qu’à un moment, je lui ai dit :
— Je veux te boire.
Il a alors un peu plus fortement imprimé ses va-et-vient en me demandant de saisir ses couilles. Tout chez lui était gros, lourd, il était vraiment fortement membré, je m’en suis rendu compte plus tard, avec les suivants.
En quelques minutes, son souffle est devenu plus court, et puis sa queue a gonflé encore un peu, expulsant d’un coup une chaude substance, ce foutre tant attendu. Son fort goût un peu métallique m’a irradié en même tant que sa chaleur. A peine la première impression passée, un autre jet vint combler l’espace déjà très plein, et menaçait de ressortir. Je ne sais trop comment j’ai fait, mais sans trop prendre le temps d’analyser le goût, ni de réfléchir, j’ai avalé, puis une autre salve est arrivée. Des étoiles, j’en avais plein la tête, mais quel bonheur de sucer un homme, enfin ! Le goût ? La texture ? Je ne m’y suis pas attardé. En d’autres lieux, d’autres circonstances, sûrement. Mais je venais de réaliser mon fantasme le plus ancien, car depuis l’âge de 14 ans, j’imaginais de longues giclées de foutre chaud remplir ma bouche. Et je venais de vivre cela avec un mec cool, hyperpropre et très bien monté. Tous mes désirs étaient comblés !
Suspendue à mes lèvres, Dan me masturbe avec une lenteur incroyable. Ma queue, au fil de ses attouchements, est devenue raide entre ses doigts serrés, tirant fermement sur ma hampe.
— Hum, c’était un chaud, ton copain. Tu as bien aimé pour en parler avec autant de détails. Vous avez continué ? Allez, raconte-moi la suite, sinon, je fais la grève du sexe, et… je ne suis pas certaine de pouvoir m’en passer ! dit-elle en rigolant.
Incroyable amante, je découvre à présent son incroyable tolérance. Tout est ouvert chez cette femme, même son esprit. Devant son réel intérêt à comprendre, je lui relate alors le reste de cette grande première.
Il me laissa un instant reprendre mes esprits, me demandant si j’avais apprécié, et me félicitant pour ma première pipe. Avec calme et assurance, il me déshabilla à mon tour, m’allongea en travers du lit, puis se mit en face en 69 à plat, et prit délicieusement ma verge en bouche. Sa queue était toujours gonflée, même presque molle, et je l’ai remise entre mes lèvres. Je n’en revenais pas de la chance que j’avais, depuis si longtemps que j’en fantasmais. Un mec à sucer, là, disponible et disposé ! Tout en me suçant, il me caressait l’anus sans le pénétrer, juste pour voir ma réaction. Lui banda de nouveau en quelques minutes tandis que sa langue fouilla mon trou délicatement. Des spasmes me cinglaient le ventre, trop de sensations. Il jouait avec mes couilles, et me dit que si je voulais, de ne pas me gêner, car il adorait cela. Oh, il savait s’y prendre, c’était un sacré mec, et avait compris que je n’étais pas limité à une bonne pipe. Il savait y faire, mais pas vulgairement. Il avait l’endurance, la patience, et savait également me mettre en confiance.
Il m’expliquait comment gober ses couilles, je le suçais, lui sous moi, sa matraque entre mes mains, les miroirs de sa penderie me renvoyant le tableau, il me dit alors :
— J’ai envie de te prendre. tout en me léchant la raie des fesses.
J’avais bien joué avec mes doigts en me branlant, quelques objets comme des bougies, mais si je posais une bougie contre sa queue, il n’y avait pas photo !
— Suce-moi bien, fais-moi bander dur, je ne te ferai pas mal, tu ne sentiras rien. Sinon, je m’arrête immédiatement.
La totale. Je voulais sucer, découvrir le plaisir de faire une pipe, et j’allais me faire prendre en supplément ! Sucer cet homme était si bon, et sa langue dans mon petit cul…. même si je n’en menais pas large, j’étais hors de tout raisonnement !
Moi sur le côté en chien de fusil, il me parlait tout en se tenant à genoux derrière moi de chaque côté de ma jambe, ses mains écartant mes fesses, son gros gland contre mon anus. Il poussait doucement en me demandant de pousser comme aux toilettes. J’ai ressenti une vive douleur lorsque son ogive passa et me harponna, mais il s’était déjà arrêté, il connaissait…
Bref, en une dizaine de minutes à me ‘’brosser dans le sens du poil », à me rassurer et me décontracter, il m’avait rempli de son pieu, sans violence, m’habituant à son imposante présence. Il me prenait sans contrainte, se satisfaisant de faire coulisser ce fort sexe sur une bonne longueur. Je n’avais pas mal, mais mon cul « tout neuf » n’avait aucune souplesse, et sa largeur importante me faisait tout drôle. Je ne prenais que le plaisir de l’avoir bien toléré, je ne pouvais pas parler de jouissance. Je jouissais de l’instant, ça oui, d’avoir pu prendre cette queue généreuse, comme j’en voyais sodomiser des culs de femmes dans mes nombreux bouquins pornos, seuls compagnons de branlette ces dernières semaines.
Là, c’était moi, c’était mon cul, et lorsque selon la position, la glace me renvoyait l’image de ce pieu qui s’enfonçait entre mes fesses jusqu’à ce que ses grosses couilles se collent aux miennes, je nageais en plein bonheur, au point de ne pas sentir de véritable douleur. Le même mec, mais brutal, il y a longtemps qu’il m’aurait cassé en deux, et je me serais rhabillé dare dare, et serais parti déçu ! Mais lui me faisait du bien, et satisfaisait mes désirs les plus inavouables !
Puis il me dit qu’il allait jouir entre mes fesses. Prenant mes hanches plus fermement entre ses mains, il accéléra un peu dans mon cul légèrement douloureux, et son visage se figea en éjaculant, enfoncé au plus profond de mon fondement. Je venais de faire jouir un homme deux fois de suite. Je n’en revenais pas, sentant Stéphane lentement ramollir entre mes fesses.
— Je suppose que tu dois te poser beaucoup de questions à mon égard ? Dis-je à cette superbe femme à mes côtés. Tu sais tout, je ne t’ai rien caché. Peux-tu comprendre ça, hein, que je puisse… aimer le sexe des hommes ?
Ma queue bandée toujours aussi doucement branlée dans sa main de velours, elle viole mes lèvres, investit ma bouche de sa langue inquisitrice. Troublé par ce que je viens de lui révéler, je m’attends à une gêne, un malaise quelconque, voire une… rupture imminente !
— Je lui dirais plutôt merci, à ce Stéphane. Il t’a épanoui, élargi l’esprit, te prouvant que l’on pouvait prendre le meilleur dans les deux sexes ! C’est ton corps, ton esprit, ta vie. Le tout en fait ce que tu es, et… j’aime ce que j’ai ce soir dans mon lit.
Alors que nous échangeons un superbe baiser, Danièle lâche mon membre congestionné avant de me chevaucher. Sa main passe alors derrière sa croupe pour saisir et guider ma queue à l’entrée de son vagin, et lentement, par de petites ondes, descend le long de ma hampe. Son intimité est brûlante, envoûtante, douce, et lorsque nos pubis se rencontrent, j’attrape ses fesses à pleines mains, alors qu’elle commence un très long tangage. Mon gland, telle une rotule, semble rouler contre le col de son utérus avec beaucoup de sensualité.
C’est ainsi, quelques minutes plus tard, sans que ni nos lèvres ni nos langues ne se soient quittées, qu’un orgasme d’une infinie tendresse nous réunit, soudant de puissants liens de respect et de confiance, avant de nous plonger, toujours l’un dans l’autre, dans un sommeil réparateur.
ooOOOoo
Lorsque le jour se lève, Patrick n’est plus dans le lit. Franck n’est plus en moi, il est sur le ventre et dort d’un sommeil bien mérité. Mes premiers pas me portent jusqu’à la salle de bains pour soulager ma vessie avant de me diriger vers le salon. Je retrouve Patrick assis de l’autre côté de la baie vitrée, assis, profitant de sa terrasse, nu comme un ver. Un sourire illumine son visage lorsqu’il me voit.
— Je prends le frais ! Tu as bien dormi ?
— Comme un bébé. Et toi ?
— J’ai basculé en quelques minutes, j’émerge à peine.
— On ne t’a pas réveillé hier soir ? lui rétorquais-je
— Aurais-je loupé un événement ?
— Trop d’infos dans ma tête, je n’arrivais pas à m’endormir… formulais-je pour ne pas avoir à rentrer dans le détail.
— Est-ce que Franck a pu quelque chose pour toi ?
— Euh… oui, et plutôt très bien.
— Tant mieux ! J’ai pris beaucoup de plaisir à te voir si bien, hier soir. Tu voudras revivre d’autres surprises de ce type ?
Pour toute réponse, je m’assieds à même le sol entre ses jambes. La fraîcheur du matin ne peut certainement pas faire de mal à mon fondement. Toutefois, je désire l’opposer à la chaleur de sa belle grosse queue. Je le suce avec passion alors que les rayons d’un soleil naissant nous caressent. Je l’avale un long moment, ne le délaissant qu’après qu’il a offert une des éjaculations dont il a le secret. D’où en sort-il autant ? Mais que son sperme est bon. Surtout à l’heure d’avaler quelque chose.
— Merci pour tout, Patrick. Tu es un mec très bien, je suis fier de te connaître.
Résumé de l’épisode précédent :
En arrivant chez Patrick pour une incontournable soirée sexe, celui-ci m’a fait la surprise d’avoir convié un troisième homme à nos ébats. Une nuit torride s’en suit.
Etalé sur le dos de tout mon long, le ventre tout « comateux », mon rectum tartiné d’Homéoplasmine, leur queue enfin à l’état de repos dans ma main, je suis le plus heureux des hommes. Mon esprit revit cette magnifique soirée de baise. Ils m’ont bien pris, j’ai reçu leur queue, leur foutre, m’ont fait jouir, je suis plus que comblé. Et pourtant, le spectre de Danièle surgit dans mes pensées, tel un fantôme sortit de dessous le lit.
Putain, pourtant, qu’est-ce que je me sens homme ! Rien que de penser aux courbes de son corps, au galbe de sa poitrine, au goût subtile de son sexe, ou encore à l’élasticité de son petit cul, une impressionnante érection. Notre complicité, au lit, certes, mais au dehors également, était osmotique.
Alors, pourquoi j’aime les mecs, bordel ? Pourquoi ai-je besoin de les pomper, de les boire ? Pourquoi je me sens si bien avec une bite dans le cul ? Vais-je toute ma vie avoir le cul entre deux chaises ?
Aucune réponse ne pointe son nez pour venir me rassurer. Depuis une trentaine de minutes, mon esprit ne cesse de me torturer. Bien qu’entre deux hommes, je me sens pourtant si seul ce soir. À côté de moi, Patrick respire régulièrement, il dort fermement. J’aurais bien besoin de venir vers lui, là. Mais je décide de le laisser à Morphée. Alors, à tâtons, ma main cherche le sexe de Franck. Ridicule, mais son contact, la chaleur de son membre m’apaise.
— Tu ne dors pas ? chuchote Franck. Tu n’es donc jamais fatigué ?
— Si, mais j’ai un coup de blues.
— T’as besoin d’en parler ? Je peux t’écouter, tu sais.
— C’est gentil. lui assurais-je en caressant son beau paquet. Mais c’est compliqué.
Il n’insiste pas, comme souvent les êtres sensibles, il sait qu’il ne faut pas forcer. Mes doigts jouent avec les poils de son pubis taillés courts, caressent ses bourses, remontent de son gland jusqu’à la base de sa queue. Quelques minutes d’un insoutenable silence passent, mais malgré ce doux contact, Danièle danse derrière mes yeux.
Glissant contre lui, je pose ma tête sur son ventre, relève sa verge pendant entre ses jambes et très amoureusement, la glisse entre mes lèvres. Ses couilles cajolées dans ma main, j’entame une fellation des plus câline, insistant beaucoup sur son beau gland libre de tout prépuce. Ma langue lui tourne autour, taquine son méat, le lèche comme une glace. Il est raide, ne pipe pas mot, redevenant long et gros tout en se laissant déguster. J’aspire cette verge en le branlant tantôt avec délicatesse, tantôt plus fermement, prenant plaisir à… gagner du temps.
— Ne te leurre pas, me dis-je à moi-même. Tu cours, tu fuis, tu t’évades ! Tu as peur de la solitude. L’idée de te retrouver seul avec toi-même te fait flipper !
Je chasse mes idées noires en me concentrant sur le superbe nœud que j’ai en bouche, le prenant loin en bouche comme s’il pouvait repousser mes pensées. Je le suce… comme Danièle me suçait, avec conviction.
Franck, lassé de me caresser le dos, flatte maintenant mes fesses, attrape mes bourses, puis ses doigts remontent le long de ma raie, avant de redescendre et de refaire un tour complet de mon arrière-train. Ma bouche est toujours active autour de sa verge de plus en plus bonne.
— C’est le goût des bites que tu pompes ou celui de la perversité de la soumission qui te pousse à sucer ? continue mon esprit.
Ce sont les doigts qui pénètrent mon cul vaseliné qui m’empêchent de trop penser. Ils m’investissent dans un mouvement de vrille, ne réveillant à mon grand étonnement aucune douleur malgré ce que vient de vivre mon cul ce soir. Bien au contraire, ses doigts ont un effet exutoire, focalisant mes sens sur le plaisir.
Voyant dans cette porte d’entrée la porte de sortie de mes idées noires, je dépose la verge massive sur son ventre, sors les doigts de Franck de mes fesses, me tourne pour lui présenter mon dos. J’envoie mon bras en arrière, trouve sa queue, la tire vers moi et lui dis d’un ton péremptoire :
— Encule-moi, s’il te plaît.
L’ogive dans ma main, je la guide contre mon cul, puis lui donne l’ordre d’y aller. Je pousse de toutes mes forces ; entre l’Homéoplasmine et la partie de baise que je viens de vivre, il me prend d’une seule poussée. Et que c’est bon ! Je lui demande de me sauter, de ne penser qu’à lui, car de toute façon, je jouis dès qu’il me pénètre.
Patrick ne bouge pas, je suis presque certain qu’il dorme, sinon, sa bite serait déjà entre mes lèvres. J’encourage Franck qui me fait sentir la puissance exceptionnelle de son organe, promenant de façon exquise son énorme nœud dans mon rectum. L’angle est idéal, je le sens parfaitement, qu’il me baise lentement ou qu’il accélère, ce n’est que du plaisir.
Il m’encule ainsi un bon quart d’heure. J’ai très chaud, des spasmes prometteurs m’indiquent qu’il va me faire décoller. Son gland, qui jusque-là, me donnait l’impression d’être une boule de billard à l’intérieur de moi, me semble devenir une boule de bowling roulant sans fins en moi. Mon souffle devient court, mes reins brûlent, de puissantes décharges électriques remontent du bas de mon dos jusqu’à ma nuque, des fourmis picotent mes doigts…
— Ouiiiiii ! Oh ouiiii, c’est bon ! Viens en moi.
Franck s’emballe à son tour. La boule de bowling vient de réussir un magnifique strike. Elle arrose copieusement sa victoire dans un dédale de quilles renversées, graissant par la même occasion toute la machinerie nécessaire à la bonne marche de la piste. En de multiples coups de reins, il m’insémine ma dose de somnifère avant de me serrer fort contre lui, essoufflé, repu, mais bien présent.
Quelques minutes plus tard, il me demande si je me sens mieux. Sa longue et grosse queue toujours dans mon ventre, oui, je me sens mieux.
— Reste en moi, s’il te plaît. J’ai besoin de te sentir en moi. répondis-je. Merci, tu as été génial, c’était très bon. Bonne nuit !
— Bonne nuit aussi ! dit-il en déposant un baiser dans ma nuque.
Apaisé, je sombre immédiatement dans le sommeil. Mais passerai ma nuit avec Danièle.
ooOOOoo
Alors que nos langues s’affrontent inlassablement, nos esprits s’apaisent et notre rythme cardiaque redevient plus calme. Mon sexe débande lentement, toujours à l’intérieur de mon initiatrice. Mazette, quel voyage cette femme vient de me faire vivre ! Chaque orgasme nous emmène toujours très loin, et me fait tomber un peu plus sous son charme.
— Dire que tu aurais pu rentrer seul l’autre soir, et je n’aurais alors jamais pu t’apprécier. lui dis-je en la regardant respectueusement.
— Là, la première pensée qui me vient est : quel gâchis ! Je suis trop bien avec toi, ce n’est que plaisir, sincèrement. Tu as donc aimé mes fesses ?
Je la remercie pour ce dépucelage, pour ce cadeau magnifique, que voyager entre d’aussi belles fesses était un doux délice.
— Je ne t’ai pas fait mal ? tentais-je, bien que connaissant la sodomie par cœur pour la pratiquer régulièrement… sur moi.
— Oh non, ça ne fait pas mal. Pas quand on ne force pas. Tu n’as jamais essayé ?
Mince, quoi dire, là, tout de suite ? Je vais passer pour un homo si je dis oui, pourrait-elle comprendre ? Le manque de spontanéité de ma réponse parle pour moi, et ses yeux me fixent alors, puis elle sourit, se redresse pour s’asseoir au bord de la table. Ouvrant ses bras, elle me tire contre elle pour me rouler une pelle d’anthologie.
— Toi, tu ne me dis pas tout ! me sermonne-t-elle. Tu peux tout expliquer à Tata Danièle, tu sais ! rit-elle alors.
Un peu paniqué, nu, mon sexe pendant contre son pubis trempé, son opulente poitrine contre mon torse, je me sens mal à l’aise.
— Plus tard, si tu veux bien. Quand on sera couchés, je me confierai à toi, je te promets.
Ses yeux droits dans les miens, Dan me dit qu’il n’y a rien d’urgent, que je fais l’amour comme elle adore.
— Tu sais, la première fois que je t’ai embrassé la bouche pleine de ton sperme, et que tu n’as pas hésité à partager, j’ai immédiatement compris que tu l’avais déjà fait auparavant. Tu as dix-neuf ans… Même si tu es doué pour le sexe, certaines de tes assurances trahissent une… vie sexuelle assez riche et/ou variée !
Je fonds de respect et d’amour pour cette femme si mûre, si intelligente, qui à 24 ans, sent déjà tant de chose ! Resserrant mon étreinte, je lui embrasse le cou et la remercie pour sa compréhension. Mes mains caressent son dos, l’odeur de sexe baigne la pièce, la fougue nous reprend rapidement. La pointe de ses seins durcie, cette femme est diabolique, irrésistible, je veux de nouveau la posséder.
— Viens dans la chambre. me glisse-t-elle à l’oreille. Viens m’aimer, fais-moi l’amour.
Ma princesse m’emmène par la main vers sa chambre. Ses fesses dansent à chacun de ses pas, sa poitrine tressaute, son corps n’est que grâce et volupté, qu’invitation. Arrivé au pied de son lit, je l’embrasse langoureusement, une main sur sa croupe, l’autre posée sur sa petite chatte trempée. Ma queue grandissante rencontre naturellement sa main toute douce pour une caresse intéressée.
— Tu me rends dingue, tu m’excites de plus en plus, j’ai TOUJOURS envie de toi !
D’autorité, elle m’allonge sur le dos et vient me chevaucher. Sa vulve détrempée se plaque sur ma bouche, mon nez dans sa toison pubienne, sa main me saisissant par les cheveux :
— Lèche-moi !
Le supplice est un plaisir. Je l’aspire de toutes mes forces et lèche l’intérieur de son vagin comme si ma vie en dépendait, alors qu’elle ondule son bassin pour se placer là où elle le désire. Mes mains partent à la reconquête de ses fesses, les pétrissant, les écartant. Mais alors que je veux m’approcher de son petit trou, ses mains viennent me les retirer de ses fesses. Je suce son clito tout dur, ses jus me ruissellent en bouche et sur mon menton.
— Oui, c’est bon, comme ça, oui. souffle-t-elle en se pinçant les tétons. Je viennnns, oh oui!
Ma langue dans sa grotte se fait comprimer par les spasmes de son orgasme, sa mouille abonde, son bassin ondule par vagues d’intensité variable, puis s‘immobilise enfin, l’orage terminé. Sa douce pluie d’amour coule de mon menton.
Je suis suspendu à son biorythme, elle me domine, me fait vivre des choses d’une puissance jusqu’alors inimaginable du haut de mes 19 ans.
— J’aime ta bouche, tu es si sensuel, tu t’en sers si bien.
Tout en me chuchotant des choses tendres et terriblement érotiques, ses mains prennent appui de part et d’autre de mes cuisses, basculant son bassin un peu plus en avant. En un rien de temps, son anus se retrouve sur mes lèvres qui instantanément le baisent, l’embrassent, timidement d’abord, puis de plus en plus intensément.
— Tu aimes mes fesses, hein ? Tu as aimé y jouir, tout à l’heure. Et bien, vas-y, bois ton sperme, oui, plonge ta langue dans mon cul, comme ça, oui, c’est bon, bois ton foutre, ça me met en transe ! Tu peux tout faire avec moi, tu sais ! Ne sois pas coincé, fais-nous du bien. Oui. Comme ça.
Son cul s’ouvre à ma caresse, et ma liqueur change lentement de propriétaire sous mes succions, mes caresses. Danièle contracte son ventre pour bien me rendre toute la semence que je lui ai déchargé il y a une bonne demi-heure. Je n’aurais jamais imaginé pouvoir faire une chose aussi déroutante un jour, et qui plus est, avec une maîtresse aussi torride et bandante. Dan avait tout, mais tout compris de moi, et cela, au lieu de la déranger, l’excitait.
Son petit cul nettoyé, sa chatte bien lapée, Dan recule pour venir emboucher ma queue bandée à en hurler. En prenant son temps, elle me suce avec une véritable passion, jouant de mon gland, me mordant au passage pour m’entendre souffler, puis malaxe mes couilles dures un bon moment avant de m’introduire son majeur entre mes fesses.
— Ta bouche, oh, ta bouche ! est presque la seule chose que j’arrive à dire.
Son doigt me fouille sans retenue, et ses lèvres balaient ma hampe de plus en plus vite. Au comble du plaisir, je me lâche avec violence entre ses mâchoires en hurlant son nom, le bassin décollé du lit, mon sperme brûlant emplissant sa bouche avide de ma jouissance. Accompagnant mon gland dans ses soubresauts, la dernière chose qu’il m’est permis d’entendre est la déglutition de ma reine des suceuses, avalant mon offrande.
Lorsque je reprends doucement contact avec le monde extérieur, Dan est lovée contre moi, sa jambe sur les miennes, la tête sur mon épaule. Sa main vient se poser sur mes organes redevenus modestes et les emprisonne, comme pour être certaine que personne ne lui prenne. Et là, sa douce voix me sort définitivement de ma rêverie :
— Je me sens bien avec toi. Mais je veux TOUT savoir, s’il te plaît. Ne me cache rien, je le sentirai.
Je ne suis pas de taille à lutter, et n’ai pas envie de perdre sa confiance non plus, je veux tenter de lui résumer « mes motivations sexuelles ». Un long monologue commence alors, je dois parler de moi, et ce n’est pas le plus fascinant ! Mon enfance, mes parents, mes amis, l’adolescence, les premiers flirts… et très souvent, ce besoin de me masturber, impérieux, plusieurs fois par jour, n’importe où. Et si au cours de cet éveil sexuel propre à tout adolescent, mes fantasmes me projetaient avec de belles filles, faisant l’amour à corps perdu, il y avait très souvent… la vingt-cinquième image, l’image quasi subliminale : de gros sexes d’homme, durs comme la pierre, couillus, éjaculant des seaux de sperme. Jamais de silhouette, jamais de visage, que leurs queues bandées, énormes.
Mais une fois l’éjaculation finie, plus rien, que de beaux seins, de splendides culs, de belles femmes au visage resplendissant, du style Hamilton. Je n’avais aucun problème avec les filles, et même lors des premiers rapports, tout s’est très bien passé. Bon, la performance n’y était pas, bien évidemment, mais cette sexualité me convenait à 100 %, et je convenais également à mes partenaires.
Dan m’écoute attentivement, sa posture n’a pas changé, un sein contre moi, l’autre sur mon torse, sa main transformée en suspensoir soutient mes testicules. Mon bras enlaçant son dos permet à ma main de caresser sa hanche et le haut de sa fesse tout en lui parlant. Sa peau… son odeur…
Je poursuis tout de même mon récit, lui expliquant qu’à aucun moment le désir d’embrasser un garçon ne m’est venu à l’esprit ! Il m’a fallu attendre jusqu’à mes 18 ans. Mon permis de conduire en poche, J’ai découvert la liberté, la mobilité et de nouvelles perspectives s’offraient à moi. C’est là que j’ai connu Stéphane, mon premier mec.
Danièle prend ma bouche et m’embrasse amoureusement, enroulant sa langue autour de la mienne, caresse ma verge et me dit d’une voix langoureuse et sensuelle :
— Continue, tu es clair dans tes pensées, tu racontes très bien les choses. Que s’est-il passé avec Stéphane ? J’en suis toute mouillée !
C’est une mise à nu, mais le moment est opportun pour ce genre d’aveu, de confession, je me lâche complètement, lui ouvrant les portes de mon jardin secret.
Je reprends donc le cours de ma vie. Mon fantasme récurant était la fellation, je rêvais de sucer un homme. Je voulais coûte que coûte connaître les sensations que l’on pouvait ressentir en suçant un homme, en lui faisant une bonne pipe. Je venais de rompre avec une copine plutôt chiante et pleine de manies, et somme toute assez peu portée sur le sexe.
En voiture, et à la nuit tombée, je me gare sur un parking bien connu pour être un "parking à PD" comme le disaient assez connement mes collègues de boulot. La peur au ventre, je m’imaginais des tas de situations, des visages… mais bizarrement, des tas de voitures ''tournaient" inlassablement, sans jamais s’arrêter ! Ou alors, les gens en descendaient pour se diriger vers le parc entre les bosquets. Et ça, même pas en rêve.
Ma fenêtre ouverte le temps de reprendre l’air, une voiture arrive avec 2 mecs dedans, et s’arrête juste à ma hauteur. Après quelques questions, ils me proposent de ne pas rester planté là, et m’invitent à venir boire un coup chez eux. Pensant que de toute façon, ce n’est qu’un fantasme, et compte tenu du côté glauque de l’endroit, plutôt me saouler que de sortir de ma caisse sur ce parking de dingues : je les ai suivi.
Autour d’un verre, je parviens à peine à me détendre. Vers 23 heures, je décide de rentrer chez moi. Au moment de partir, le plus jeune (30 ans environ) essaie de me rouler une pelle. Quelle horreur ! Déjà qu’il ne m’inspirait aucune confiance, les choses étaient claires pour moi : fuir. Stéphane, voyant que ça ne colle pas, le salue et sort de l’appart pour me raccompagner. Une fois dans la rue, il m’invite à venir discuter chez lui, sans engagement. 40 ans, beau mec posé, propre, un peu psychologue, il a tout compris.
Chez lui, lumière tamisée, whisky, il s’assoit sur un pouf, et nous parlons calmement. Puis, me sentant décoincé, il me demande ce que je cherchais sur ce parking un peu plus tôt. Je finis par lui avouer mon désir, mon rêve de sucer un homme, la voix tremblante. Il me dit alors que ces endroits étaient réservés à un certain "abattage", que cela pouvait être perturbant. S’il me convenait, il était tout à fait disposé à se laisser faire… Voyant ma paralysie, il se leva, et naturellement se déshabilla devant moi, avant de se rasseoir en tailleur devant mes yeux ébahis. Là, à quelques centimètres de moi, un homme était nu, et quel homme ! De puissants pectoraux s’étalaient fièrement entre ses larges épaules, à peine masqués par une toison brune descendant harmonieusement jusqu’à son pubis velu. Sous ses abdos, un trois-pièces comme j’en voyais dans les bouquins de cul : une demi-molle d’une bonne quinzaine de centimètres, d’une largeur confortable, au fort gland retenant un prépuce plissé, faisant penser à un ressort prêt à propulser un harpon. Deux très gros testicules soumis aux lois gravitationnelles pendaient largement dessous ce gland. Craquant, pour ne pas dire irrésistible. Tout en me parlant, il me fit remarquer que mes yeux le suçaient déjà. Il me prit calmement par la main, et m’emporta vers le lit dans la pièce d’à côté, au bord duquel il m’invita à m’asseoir.
— Tu fais comme tu le sens, et si quelque chose te dérange, tu es libre d’arrêter, ok ? me rassura-t-il.
Et timidement, ma main vient au contact de ce sexe qui gonfle et déjà s’allonge. Puis vint l’instant de le prendre en bouche. Il est gros, chaud, bute contre mes lèvres. J’écarte au maximum, et le voilà qui me pénètre délicatement. Ma bouche est vierge de toutes ces sensations : la douceur du gland, son volume, puis le prépuce qui se cale contre mes lèvres… Il me caresse la tête, m’encourage, et m’investit tendrement. Il tire sur sa hampe avec ses doigts pour bien dégager son énorme bout qui remplit bien ma cavité buccale, tant pour l’espace que par son goût, étrange et pourtant… agréable. Déjà de doux va-et-vient me permettent de bien sentir sa hampe gonflée m’écarter et me pénétrer la bouche. Ses mots me donnent de la hardiesse, et sa rigidité m’encourage, malgré l’arrogance de son gros nœud. Je ne sais combien de temps je l’ai sucé, mais toujours est-il qu’à un moment, je lui ai dit :
— Je veux te boire.
Il a alors un peu plus fortement imprimé ses va-et-vient en me demandant de saisir ses couilles. Tout chez lui était gros, lourd, il était vraiment fortement membré, je m’en suis rendu compte plus tard, avec les suivants.
En quelques minutes, son souffle est devenu plus court, et puis sa queue a gonflé encore un peu, expulsant d’un coup une chaude substance, ce foutre tant attendu. Son fort goût un peu métallique m’a irradié en même tant que sa chaleur. A peine la première impression passée, un autre jet vint combler l’espace déjà très plein, et menaçait de ressortir. Je ne sais trop comment j’ai fait, mais sans trop prendre le temps d’analyser le goût, ni de réfléchir, j’ai avalé, puis une autre salve est arrivée. Des étoiles, j’en avais plein la tête, mais quel bonheur de sucer un homme, enfin ! Le goût ? La texture ? Je ne m’y suis pas attardé. En d’autres lieux, d’autres circonstances, sûrement. Mais je venais de réaliser mon fantasme le plus ancien, car depuis l’âge de 14 ans, j’imaginais de longues giclées de foutre chaud remplir ma bouche. Et je venais de vivre cela avec un mec cool, hyperpropre et très bien monté. Tous mes désirs étaient comblés !
Suspendue à mes lèvres, Dan me masturbe avec une lenteur incroyable. Ma queue, au fil de ses attouchements, est devenue raide entre ses doigts serrés, tirant fermement sur ma hampe.
— Hum, c’était un chaud, ton copain. Tu as bien aimé pour en parler avec autant de détails. Vous avez continué ? Allez, raconte-moi la suite, sinon, je fais la grève du sexe, et… je ne suis pas certaine de pouvoir m’en passer ! dit-elle en rigolant.
Incroyable amante, je découvre à présent son incroyable tolérance. Tout est ouvert chez cette femme, même son esprit. Devant son réel intérêt à comprendre, je lui relate alors le reste de cette grande première.
Il me laissa un instant reprendre mes esprits, me demandant si j’avais apprécié, et me félicitant pour ma première pipe. Avec calme et assurance, il me déshabilla à mon tour, m’allongea en travers du lit, puis se mit en face en 69 à plat, et prit délicieusement ma verge en bouche. Sa queue était toujours gonflée, même presque molle, et je l’ai remise entre mes lèvres. Je n’en revenais pas de la chance que j’avais, depuis si longtemps que j’en fantasmais. Un mec à sucer, là, disponible et disposé ! Tout en me suçant, il me caressait l’anus sans le pénétrer, juste pour voir ma réaction. Lui banda de nouveau en quelques minutes tandis que sa langue fouilla mon trou délicatement. Des spasmes me cinglaient le ventre, trop de sensations. Il jouait avec mes couilles, et me dit que si je voulais, de ne pas me gêner, car il adorait cela. Oh, il savait s’y prendre, c’était un sacré mec, et avait compris que je n’étais pas limité à une bonne pipe. Il savait y faire, mais pas vulgairement. Il avait l’endurance, la patience, et savait également me mettre en confiance.
Il m’expliquait comment gober ses couilles, je le suçais, lui sous moi, sa matraque entre mes mains, les miroirs de sa penderie me renvoyant le tableau, il me dit alors :
— J’ai envie de te prendre. tout en me léchant la raie des fesses.
J’avais bien joué avec mes doigts en me branlant, quelques objets comme des bougies, mais si je posais une bougie contre sa queue, il n’y avait pas photo !
— Suce-moi bien, fais-moi bander dur, je ne te ferai pas mal, tu ne sentiras rien. Sinon, je m’arrête immédiatement.
La totale. Je voulais sucer, découvrir le plaisir de faire une pipe, et j’allais me faire prendre en supplément ! Sucer cet homme était si bon, et sa langue dans mon petit cul…. même si je n’en menais pas large, j’étais hors de tout raisonnement !
Moi sur le côté en chien de fusil, il me parlait tout en se tenant à genoux derrière moi de chaque côté de ma jambe, ses mains écartant mes fesses, son gros gland contre mon anus. Il poussait doucement en me demandant de pousser comme aux toilettes. J’ai ressenti une vive douleur lorsque son ogive passa et me harponna, mais il s’était déjà arrêté, il connaissait…
Bref, en une dizaine de minutes à me ‘’brosser dans le sens du poil », à me rassurer et me décontracter, il m’avait rempli de son pieu, sans violence, m’habituant à son imposante présence. Il me prenait sans contrainte, se satisfaisant de faire coulisser ce fort sexe sur une bonne longueur. Je n’avais pas mal, mais mon cul « tout neuf » n’avait aucune souplesse, et sa largeur importante me faisait tout drôle. Je ne prenais que le plaisir de l’avoir bien toléré, je ne pouvais pas parler de jouissance. Je jouissais de l’instant, ça oui, d’avoir pu prendre cette queue généreuse, comme j’en voyais sodomiser des culs de femmes dans mes nombreux bouquins pornos, seuls compagnons de branlette ces dernières semaines.
Là, c’était moi, c’était mon cul, et lorsque selon la position, la glace me renvoyait l’image de ce pieu qui s’enfonçait entre mes fesses jusqu’à ce que ses grosses couilles se collent aux miennes, je nageais en plein bonheur, au point de ne pas sentir de véritable douleur. Le même mec, mais brutal, il y a longtemps qu’il m’aurait cassé en deux, et je me serais rhabillé dare dare, et serais parti déçu ! Mais lui me faisait du bien, et satisfaisait mes désirs les plus inavouables !
Puis il me dit qu’il allait jouir entre mes fesses. Prenant mes hanches plus fermement entre ses mains, il accéléra un peu dans mon cul légèrement douloureux, et son visage se figea en éjaculant, enfoncé au plus profond de mon fondement. Je venais de faire jouir un homme deux fois de suite. Je n’en revenais pas, sentant Stéphane lentement ramollir entre mes fesses.
— Je suppose que tu dois te poser beaucoup de questions à mon égard ? Dis-je à cette superbe femme à mes côtés. Tu sais tout, je ne t’ai rien caché. Peux-tu comprendre ça, hein, que je puisse… aimer le sexe des hommes ?
Ma queue bandée toujours aussi doucement branlée dans sa main de velours, elle viole mes lèvres, investit ma bouche de sa langue inquisitrice. Troublé par ce que je viens de lui révéler, je m’attends à une gêne, un malaise quelconque, voire une… rupture imminente !
— Je lui dirais plutôt merci, à ce Stéphane. Il t’a épanoui, élargi l’esprit, te prouvant que l’on pouvait prendre le meilleur dans les deux sexes ! C’est ton corps, ton esprit, ta vie. Le tout en fait ce que tu es, et… j’aime ce que j’ai ce soir dans mon lit.
Alors que nous échangeons un superbe baiser, Danièle lâche mon membre congestionné avant de me chevaucher. Sa main passe alors derrière sa croupe pour saisir et guider ma queue à l’entrée de son vagin, et lentement, par de petites ondes, descend le long de ma hampe. Son intimité est brûlante, envoûtante, douce, et lorsque nos pubis se rencontrent, j’attrape ses fesses à pleines mains, alors qu’elle commence un très long tangage. Mon gland, telle une rotule, semble rouler contre le col de son utérus avec beaucoup de sensualité.
C’est ainsi, quelques minutes plus tard, sans que ni nos lèvres ni nos langues ne se soient quittées, qu’un orgasme d’une infinie tendresse nous réunit, soudant de puissants liens de respect et de confiance, avant de nous plonger, toujours l’un dans l’autre, dans un sommeil réparateur.
ooOOOoo
Lorsque le jour se lève, Patrick n’est plus dans le lit. Franck n’est plus en moi, il est sur le ventre et dort d’un sommeil bien mérité. Mes premiers pas me portent jusqu’à la salle de bains pour soulager ma vessie avant de me diriger vers le salon. Je retrouve Patrick assis de l’autre côté de la baie vitrée, assis, profitant de sa terrasse, nu comme un ver. Un sourire illumine son visage lorsqu’il me voit.
— Je prends le frais ! Tu as bien dormi ?
— Comme un bébé. Et toi ?
— J’ai basculé en quelques minutes, j’émerge à peine.
— On ne t’a pas réveillé hier soir ? lui rétorquais-je
— Aurais-je loupé un événement ?
— Trop d’infos dans ma tête, je n’arrivais pas à m’endormir… formulais-je pour ne pas avoir à rentrer dans le détail.
— Est-ce que Franck a pu quelque chose pour toi ?
— Euh… oui, et plutôt très bien.
— Tant mieux ! J’ai pris beaucoup de plaisir à te voir si bien, hier soir. Tu voudras revivre d’autres surprises de ce type ?
Pour toute réponse, je m’assieds à même le sol entre ses jambes. La fraîcheur du matin ne peut certainement pas faire de mal à mon fondement. Toutefois, je désire l’opposer à la chaleur de sa belle grosse queue. Je le suce avec passion alors que les rayons d’un soleil naissant nous caressent. Je l’avale un long moment, ne le délaissant qu’après qu’il a offert une des éjaculations dont il a le secret. D’où en sort-il autant ? Mais que son sperme est bon. Surtout à l’heure d’avaler quelque chose.
— Merci pour tout, Patrick. Tu es un mec très bien, je suis fier de te connaître.
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