Une soirée surprenante partie 1

- Par l'auteur HDS HdR33 -
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Récit libertin : Une soirée surprenante partie 1 Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-01-2025 dans la catégorie Dominants et dominés
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Une soirée surprenante partie 1
Ce soir, vous avez prévu de me teaser. Peu importe où nous nous sommes rencontrés ou comment. Le fait est que je suis là sur votre perron, le souffle court, les mains moites, mon stress est visible. Les raisons de ce stress sont innombrables. La première : c'est la première fois que nous allons nous rencontrer en vrai. La seconde : dans votre dernier message, vous me disiez vouloir faire durer le plaisir, pour votre plaisir et pour le mien. J'espère être à la hauteur de vos exigences.
Car ce soir, vous avez prévu de me teaser. Seulement, je n'imaginai pas une seule seconde d'aller avec vous, de surprise en surprise.

Lorsque je sonne et que vous ouvrez la porte, bien que la lumière de la pièce soit tamisée, je suis ébloui. Votre beauté ? Votre tenue ? Sans doute les deux. Vous annoncez d'emblée la couleur en apparaissant vêtue d'un superbe body en dentelle noir et d'une jupe en similicuir rouge. Le contraste tranchant du rouge et du noir marque votre taille gracieuse. Grâce à vos talons aiguilles d’au moins 10 cm, vous me dominez du regard. Un regard intense qui s’accorde parfaitement avec votre visage angélique. Mais, méfions-nous des apparences, elles sont parfois trompeuses…

Mon cœur bat déjà la chamade et je sens l’excitation de la nouveauté et de l’abandon monter en moi.
J’avance d’un pas pour rentrer, mais vous m'arrêtez net d’une main ferme sur le plexus.
Vous me dites alors d’un ton ferme, mais avec un petit sourire narquois : « Aucun homme n’entre habillé chez moi », et vous croisez les bras me regardant de haut en bas en attendant que j'agisse.

Surpris, je reste sans bouger, hagard… bloqué sur votre décolleté et vos seins mis en valeur par vos bras croisés.
Après quelques secondes, mon cerveau se réactive, je comprends que si je souhaite pénétrer dans votre appartement, je dois me mettre nu sur le palier… rougis de honte, mon sexe ignore s'il doit se déployer ou au contraire se cacher tel un bigorneau dans sa coquille. Après un regard furtif à droite puis à gauche pour vérifier que le couloir est bel et bien vide, je me déshabille devant vos yeux. Une fois terminé, je suis nu devant vous, impressionné par votre prestance et votre aura. J’essaie de cacher mon sexe avec mes mains, mais votre regard me somme de ne pas le faire. Vous me reluquez, fière et peut-être même impressionnée par mon abnégation dans cette situation. Vos yeux pétillent de malice et le sourire qui se forme sur votre visage est une invitation au jeu. Bien que l'attente me paraisse interminable, je reste là, devant vous, priant tous les dieux pour que vous m'invitiez à rentrer avant que quelqu'un ne surgisse au bout du couloir.

Vous rompez le silence : « Tournez-vous. » Ce ne sont pas les mots que j'attendais, néanmoins, c'est un soulagement d’entendre le doux son de votre voix. Je m'exécute rapidement pour abréger le plus rapidement possible cette situation terriblement stressante.
Je vous entends attraper quelque chose, mais je ne sais pas quoi exactement.
« Je ne sais pas si je l’ai précisé, mais aucun homme ne voit l’intérieur de mon appartement. »
Vous joignez le geste à la parole et me passez sur les yeux un large tissu de soie.

Je n'ose pas parler… je n'ose pas bouger… Je me laisse porter… je me laisse doucement prendre dans votre toile. Lorsque vous serrez le bandeau derrière ma tête, je sens votre corps contre le mien. Je sens votre cœur, ses battements cadencés me montrent que pour vous aussi la situation est nouvelle ou excitante, je ne sais pas quelle option choisir, peut-être les deux.
Vous vous rapprochez de mon oreille et tout en passant vos ongles sur mon corps, de mes aisselles à mes hanches, vous me dites : « Vous voilà fin prêt… jouons maintenant… »
Vous attrapez mon sexe et le serrez avec fermeté.
« J’ai vu mieux, mais nous ferons avec », me dites-vous avec le sourire dans la voix.
« D’ailleurs, il faudra être patient pour vous en servir… si je vous l’autorise bien entendu… vous êtes chez moi après tout… dans mon royaume. Alors maintenant, venez me divertir. »
Sans attendre, vous tirerez sur mon sexe pour m’emmener quelque part, je ne sais pas où exactement…

Désorienté. C’est bien le terme qui est approprié à ma situation.
Après avoir posé une oreille attentive à la situation, je conclusque nous devons être dans le salon.
Vous m’avez laissé là, au milieu, le sexe tendu, les joues certainement encore rouges et les mains le long du corps.

Pooom… je sursaute, vous rigolez de me voir ainsi aussi craintif.
Finalement, c'était seulement le bouchon de la bouteille de champagne que je vous ai offert en arrivant.
« Vous n’en voulez pas je suppose ? »
Après quelques balbutiements, je comprends que c’est une question piège et que vous n’avez pas prévu de m’en donner.
Alors, je réponds simplement et humblement : « Non Madame, elle est tout à vous. »
« Merci, c’est si généreux de votre part », me dites-vous en vous versant un verre puis en vous assaillant dans votre canapé.

Je vous imagine, me regardant, m’analysant tout en buvant votre coupe de champagne.
Le silence s’installe, je me sens épié comme si je n’étais qu’un objet.
Vous rompez finalement le silence : « Votre sexe est vraiment petit finalement, je vais devoir boire la bouteille pour pouvoir l’approcher… » dites-vous en rigolant aux éclats.
Je sens la chaleur me monter aux joues et mon sexe sursauter d’excitation… deux émotions contradictoires. Comment la honte peut-elle exciter autant quelqu’un ?

Sortie de mes pensées par le son sublime de vos talons qui claquent sur le parquet, je vous entends me dire : « … à moins que… j’aie une idée ! » Vous vous éloignez, puis revenez.
Grâce à vos talons, je sais exactement où vous vous trouvez.
Vous êtes tout proche de moi et de mon sexe…

Je sens que vous vous agenouillez face à moi. Je me dis que peut-être vous allez le prendre en bouche. Mais, vous n’en faites rien.
Au lieu de ça, j’entends le son du latex qui claque. Je m’agite un peu, car je prends peur, mais vous saisissez mes bourses avec une main que je constate gantée. « Ne bougez pas mon garçon. Fais-moi confiance. » Alors, je me calme et je vous écoute. Je ne sais pas pourquoi, mais avec vous, je me sens en confiance.
J’entends de nouveau le bruit du latex, puis je sens la pointe de votre index parcourir ma verge et récupérer mon liquide séminal. « Vous êtes bien excité. C’est parfait ! J’aime les hommes passionnés. Mais, j’ai envie de voir votre sexe au repos. »
Alors que vous me parlez, je sens du froid autour de mes testicules, j’en sursaute de nouveau… Finalement, ce sont uniquement des glaçons que vous utilisez pour calmer mes ardeurs. Vous êtes toute proche de moi, je sens votre respiration en face de moi. Votre souffle m'enivre, mais je m'efforce tant bien que mal de penser à autre chose pour abréger ma glaciation.

Une fois ma verge demie molle, vous me passez un anneau autour des couilles et un tube métallique le long de la verge.
Je me sens piégé… car vous enfermez mon sexe dans un petit dispositif.
Je panique brièvement lorsque je réalise ce qu'il est en train de m'arriver... Mille choses passent dans ma tête... Finalement, je ne vous connais pas si bien que ça. Peut-être que vos intentions ne sont pas si louables que ça. Une fraction de seconde, j'hésite à partir en courant, car finalement rien ne me retient.
Vous devez voir mon désarroi. Je sens votre main se placer sur mon pectoral au niveau de mon cœur. Rien que votre main me rassure et apaise mon cœur qui bat la chamade. Puis, d'une voix douce, presque maternelle, vous me dites ces mots : « Calme-toi mon garçon. Nous sommes ici pour jouer, rien de plus. Si cela ne va pas, tu peux utiliser ton mot de sécurité. Souhaites-tu continuer ? » Vos mots me rassurent tant, votre voix est douce. « Ou.... Oui Madame, je souhaite continuer de m'abandonner à vous ».
« Tu m'en vois très heureuse, j'ai très envie de jouer avec toi... » me dit-elle en me caressant la joue de sa main toujours gantée. Puis, dans un murmure quasiment inaudible : « Tu es mignon et ton sexe n'est pas si petit… » « J'aime juste l'humiliation et je sais que toi aussi. » Un large sourire se dessine sur mon visage. Je suis ravi de vos mots et reste là pour devenir votre prisonnier consentant.

Après ce moment hors du temps, vous reprenez la parole.
« Voilà qui est bien mieux ! » me dites-vous en tournant la clé dans la petite serrure, puis en vous relevant, vous m’embrassez langoureusement tout en caressant mon sexe maintenant enfermé qui cherche à se débattre.
Puis, en caressant mon visage, vous me chuchotez.
« Nous ne ferons rien sans votre consentement, le code pour tout arrêter est « liberté »… Maintenant, je vais vous montrer qu’un homme n’a pas besoin de son sexe pour faire l’amour ! »
Je vous entends enlever vos gants et vous rassoir dans le canapé.
« Je prends une nouvelle coupe pour fêter ça ! À la vôtre, mon cher ami. »
Je reste alors là, à genoux, exposé, heureux de ce moment, heureux de votre contrôle…

Après quelques minutes d'attente, le temps pour vous de boire votre coupe, vous vous levez et vous rapprochez encore de moi.
« vous avez bien le droit à un peu de champagne finalement… ouvrez la bouche. »
Je m’exécute, complètement sous le charme de ce que vous voulez bien me donner. Je vous entends alors prendre une gorgée du précieux nectar et me le déposer dans la bouche.
Je vous remercie chaleureusement et tente de vous enlacer avec mes bras dans un élan de passion.
« Stop » me dites-vous d’une voix calme mais forte.
Je ne vais pas plus loin et reprends ma position.
« Pardon…Madame » dis-je de façon presque inaudible.
« Il vous faudra bien plus que des mots pour vous excuser… et peut-être plus qu’une seule soirée, » me dites-vous en caressant ma cage avec votre pied.

« Savez-vous ce qui me fait mouiller ? C’est de voir de petits oiseaux en cage… pensez-vous que je mouille ? »

J’arrive difficilement à extraire un oui Madame de ma bouche alors que vous m’invitez à vérifier en dirigeant ma main sous votre jupe.
Je sens alors une légère tâche humide sous mon majeur.
J'eus à peine le temps de sentir votre intimité que vous repoussez ma main.

« Ça, c'est pour les hommes sages, ceux qui n’essaient pas d’enlacer les Dames de force. »
Puis à nouveau, vos talons s’éloignent et se rapprochent.
Je sens le similicuir de votre jupe sur mes fesses, une sensation très agréable parcourt mon corps et réveille mon sexe enfermé.
Je sens alors vos seins se coller contre mes omoplates et de nouveau votre cœur.
Avec vos mains, vous passez mes bras dans le dos, puis menottez mes poignets.
Vous me chantez alors à l’oreille
« Je ne vous avais pas dit par message que vous seriez tout à moi ce soir ? Visiblement, c'est chose faite… »
« Si j’avais une culotte, elle serait dans votre bouche… mais ce n’est que partie remise. »

Vous vous dirigez vers le canapé et vous installez confortablement.
« Vous n’avez pas le droit de jouir, mais ce n’est pas mon cas… »

Clic, clic, clic, j’entends les trois pressions du bas de votre body s’ouvrir. Vous commencez à vous caresser, d’abord avec la paume de votre main, puis avec votre index et votre majeur. Des mouvements lents, enveloppants, envoûtants.
Votre plaisir monte, je sens le cuir de votre canapé se froisser sous vos mouvements, vous vous agitez, vous haletez, puis de petits sons de plaisir commencent à sortir de votre bouche et vont crescendo jusqu’à une jouissance bruyante et magnifique. Puis plus rien.
Mon sexe est, lui aussi, à l’agonie dans sa cage. Il aimerait pouvoir sortir, mais est prisonnier. Mes mains aimeraient le toucher, mais elles aussi sont attachées… Je suis malheureusement impuissant, debout, mais mis à terre par la beauté d’une femme.

Je patiente, encore et encore, puis je vous entends vous relever et m’approcher.
C’est alors que je sens vos doigts à l’entrée de ma bouche, vos divines effluves envahissent mon nez et je suis transporté dans un espace lointain.
« Goûtez-moi monsieur, faites que je devienne votre addiction » vous me dites en pressant contre ma bouche.
Je n’oppose aucune résistance et je suce vos doigts et me délecte de votre saveur.
Plus le temps passe et plus je deviens dépendant de vous…

Tout en gardant vos doigts dans ma bouche, vous m’appuyez sur les épaules afin que je me baisse et que je tombe à vos genoux.

Vous vous accroupissez à hauteur de mon visage et avant de vous allonger sur le tapis du salon… vous me dites d’une voix suave, « Je veux mon second orgasme de la soirée… » et tout en joignant le geste à la parole, vous tirez sur ma nuque et me faites basculer.
Les mains toujours attachées dans le dos, je bascule en avant et plonge directement dans votre paradis.
Votre toison est humide, elle possède encore les effluves de votre précédent orgasme. Je m’applique à lécher l’intérieur de vos cuisses, puis progressivement, je me rapproche de vos lèvres, excitées, gorgées de sang.
Je les attaque sans ménagement, je mets toutes mes forces dans la bataille et je sens en vous le plaisir monter. Vos cuisses se ressentent sur ma tête par moments et vos mains me guident vers la zone vous procurant le plus de plaisir.
Votre mouille est abondante, elle me remplit le visage, mais je continue à vous donner passionnellement mes coups de langue.
Je continue jusqu’à ce que vous placiez mes lèvres sur votre bouton d’or, que je mordille, lèche et aspire afin de le titiller, et ainsi vous emmener dans d’autres abysses.
Votre main s’agrippe à mes cheveux. Ne suis-je donc qu’un objet de plaisir pour vous ? À ce moment-là, je le crois bien.
Alors, je donne toute mon âme pour vous satisfaire et je continue ma divine besogne.
Vous gesticulez dans tous les sens, votre souffle est court. Puis, d'un coup, dans un râle profond et intense, vos cuisses compressent mon visage et vous jouissez de la plus belle des manières, de façon sonore.
Je découvre que donner du plaisir à une créature telle que vous est un accomplissement.
Mon sexe est sans doute cramoisi, il me fait mal. Voilà peut-être une heure qu’il est en érection constante dans un espace trop petit pour lui.

Vous me poussez sur le côté et reprenez progressivement votre souffle.
Si vous me demandez si je veux être libéré de cette cage, je ne saurais pas quoi répondre. D’un côté, j'ai une intense envie d’éjaculer et de l’autre, je voudrais que ce moment ne s’arrête jamais.
Mais, vous ne le faites pas… vous avez prévu bien d’autres choses pour ce soir.

Une fois votre souffle repris, vous me regardez. Je suis à genoux, la tête contre le tapis, la main s’attache dans le dos.
Dans le feu de l’action, mon bandeau a quitté en partie mes yeux.
« Je rêve ou vous essayez de tricher, vilain coquin. »
Me dites-vous en rigolant…
« Ce n’est pas grave, il peut être intéressant que vous voyiez la suite des événements. »

Vous vous déplacez vers votre table basse. Étant plus bas qu’elle, je peine à apercevoir ce que vous faites.
Vous attrapez une paire de gants noirs en latex, les jetables, comme les tatoueurs. 1000 idées me passent dans la tête mais je n’ai pas peur, j’ai confiance en vous. La confiance est la base de toute relation de ce type.
Vous les enfilez, ils vous vont divinement bien, ils sont parfaitement ajustés.
Vous venez à genoux à côté de moi et me murmurez à l’oreille :  «  Je vous avez dit que je vous montrerai comment l’on peut prendre du plaisir sans utiliser son sexe… vous avez eu un aperçu de la première, je vais vous montrer la seconde. »
Je sens alors un liquide froid parcourir ma raie et votre main qui l’aide à se répandre.
Votre autre main caresse ma cage et mon liquide pré-éjaculatoire.

«  vous avez taché mon tapis, il faudra nettoyer tout ça monsieur. En attendant, détendez-vous, je suis certaine que vous allez adorer. »
Tout en passant votre majeur dans la raie jusqu’à mes bourses.

Je suis terriblement excité et il me tarde de partager ce moment de complicité intense avec vous.
Je vous dis alors : « Je m’offre à vous Madame ».

L’insertion de votre doigt me fait lâcher un petit cri de surprise. De votre autre main, vous me mettez une légère tape sur les fesses : « Détendez-vous, tout va bien se passer. » Avec votre majeur, vous faites de longs va-et-vient qui vous font retirer et insérer de nouveau votre doigt. À chaque fois, je suis pris par la surprise et je sursaute.
Vous êtes douce, mais votre main est ferme. Il n’y a pas d’alternative. D’un coup, votre annulaire se joint à la partie et voilà que deux doigts me pénètrent. Le lubrifiant rend les choses agréables. Je me laisse peu à peu bercer par vos doigts et le son de votre voix.
Tout en me dépucelant, vous utilisez votre autre main pour parcourir mon dos, caresser le creux de mes reins, puis remonter le creux de ma colonne vertébrale jusqu’à ma tête. La sensation du latex sur ma peau m’émoustille alors que vos doigts me procurent un plaisir intense jusqu’alors inconnu. Puis, sans crier gare, vous saisissez mes cheveux et les tirez légèrement en arrière. À votre respiration courte et saccadée, je sens que la situation vous excite autant que moi. Une fois la secousse dans votre bas ventre passée, vous relâchez mes cheveux et ma tête retombe sur le tapis. Mon Dieu, que la sensation était agréable.

Vous retirez vos doigts et vous levez… Non, non, non, ça ne peut pas être fini, pensais-je doucement dans ma tête. Vous retirez vos gants, je perds espoir…
Je souhaiterais protester mais je n’ose pas.
En vous approchant de votre table basse, vous saisissez un petit objet fuselé avec une queue en silicone. Après l’avoir lubrifié, vous l’insèrerez dans votre paradis et refermez votre body. À l’aide d’une télécommande, vous l’enclenchez et je vois déjà les vibrations vous parcourir. Il est si beau de voir une femme prendre du plaisir. En vous approchant, vous me faites tomber sur le côté pour me mettre sur le dos. Vous me chevauchez, votre intimité au niveau de ma tête. Je sens les vibrations de l’objet dans mes oreilles et votre excitation humidifie mon visage.
« Vous m’excitez Monsieur » me dites-vous…
Je crois que je vie un rêve éveillé.
J’entends de nouveau le bruit caractéristique des gants que vous enfilez.
Vous vous allongez sur moi, embrassant chaque centimètre de mon corps, de mon cou jusqu'à ma verge. Je sens vos seins et vos tétons gainés se poser sur mon ventre. Chacune de vos mains saisit l’une de mes fesses et vous les écartez afin de laisser arborer mon trou qui appelle vos merveilleuses mains. Votre douce voix vient rompre ce moment hors du temps : « Êtes-vous prêt pour un second round ? »
J’essaie de vous répondre mais vos fesses sur mon visage m’en empêchent. Un oui Madame étouffé finit par sortir difficilement de ma bouche.
« Alors jouons Monsieur. Si vous êtes sage, je vous laisserai sucer mon sextoy… oui, celui-ci » me dites-vous en faisant de légers mouvements avec votre bassin.
C’est bien celui qui est entre vos jambes…
Une seule question me traverse l’esprit, comment vais-je pouvoir maîtriser mon excitation ?

Je sens vos divines effluves accrues par votre excitation. Je suis les vibrations de votre jouet dans mon oreille.
Vos doigts se rapprochent de mon trou et vous le caressez avec douceur. Vous lui tournez autour, comme nous nous sommes tournés autour lors de notre première rencontre.
Un long filet de bave vient lubrifier vos gestes, puis sans attendre, vous me pénétrez avec deux puis trois doigts. Fermement mais doucement.
« j’aime votre position monsieur » mon trou enserre vos doigts et s’ouvre peu à peu.
Je suis dans un moment de plaisir intense, quelle découverte extraordinaire vous êtes en train de me faire vivre.
De votre autre main, vous frappez ma cage déjà tendue par l’excitation. Mon sexe me fait mal après vos sollicitations incessantes.
Vais-je fauter ? Vais-je jouir ?
Je n’espère pas…
Comme si vous lisiez dans mes pensées, vous prenez la parole.
« Je vous interdis de jouir » une voix ferme mais douce, un conseil plus qu’un ordre mais un conseil qu’il vaut mieux respecter à mon avis.
Vous vous relevez et me demandez de me remettre sur mes genoux. Les difficultés que je rencontre vous font rire, un rire taquin qui me vexe tout autant qu'il me rend dépendant de votre personne. De nouveau dans mon dos, et après quelques griffures sur ce dernier, je sens un objet se présenter à l’entrée de mon orifice.
« Détendez-vous »
Je sens alors que vous lubrifiez abondamment ma raie puis mon trou avant d’insérer un petit plus dans mon anus.
Vous m’avez parfaitement préparé et il passe sans difficulté.
Lorsque ma chaire se referme autour de lui, j’expulse un grand râle de plaisir.
Vous m’aidez à me redresser et détachez les liens de mon dos.
Je suis là, à genoux, face à vous, accroupi devant moi.
J’allais ouvrir la bouche pour parler mais vous m’en empêchez de votre main encore gantée en me plaçant un doigt devant la bouche.
C’est vous qui prenez la parole : « relevez-vous, allez prendre une douche et rhabillez-vous… nous sortons… mais avant, rangez-moi ça ! »
Vous joignez le geste à la parole et élevez vos gants avant de me les fourrer dans la bouche.
Je sens alors votre odeur, comme si je m’imprégnais de vous. Je les garde en bouche un long moment et c’est vous qui me sortez de mon petit nuage. « La réservation est pour 20h30. « Dépêchez-vous »
Je vous regarde l’air interloqué, j’ai le sexe en cage et un plug dans les fondements… vous comprenez mon interrogation et me dites qui j’irai ainsi.
Mon sexe palpite de nouveau, quelle femme débordante de ressources vous êtes…
Je me lève à la hâte en direction de la salle de bain. Il est 20h15 je dois faire vite.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Très beau texte, hâte de lire la suite

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Beau démarrage de soumission d’un homme à une femme sans brutalité ni mots vulgaires le texte et empli de sensualité et d’érotisme



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