Une soirée surprenante partie 2

- Par l'auteur HDS HdR33 -
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Récit libertin : Une soirée surprenante partie 2 Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-03-2025 dans la catégorie Dominants et dominés
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Une soirée surprenante partie 2
Pour une meilleure compréhension, je vous invite à lire la partie 1 de cette histoire

Dans la salle de bain, seule, face au miroir, j'aime ce que je vois. Cette cage si petite me fait monter le désir aux joues. Je pourrais faire n'importe quoi à cet instant précis, il me serait impossible de l'enlever. J'apprécie cette dépendance qui s'installe. Je me sens comme… à ma place dans ce monde.

Pour ne pas être en retard et risquer de vous fâcher, je m’habille rapidement. J’ai l’impression que la cage fait une bosse énorme sur mon jean et je me sens tout à fait rempli par le plug. Cette sensation est étrange, mais assez agréable.
J’ouvre la porte de la salle de bain et tombe directement sur vous.
Habillée d’un jean droit, d’un chemisier blanc avec un décolleté plongeant, mais cachant vos seins et de petites bottes en daim. Votre style dénote totalement avec ce que j’ai vu de vous jusqu’à présent.
« Vous êtes prêt ? »
« Oui Madame » répondis-je en vous regardant de haut en bas. Cette tenue met en valeur vos formes et vos atouts, vous êtes sublime. Votre visage est angélique, on vous donnerait le bon Dieu sans confession. Pourtant, jusqu'alors, je n'ai vu qu'une petite diablesse en vous. 
Ce qui rend la chose encore plus sublime est que vous êtes passe partout. Une beauté simple, sur laquelle on se retourne et que l'on regrette d'avoir laissé passer une fois qu'il est trop tard. 
Votre petit sourire mutin est d'un charme fou, je vous contemple, je vous bade, cependant un geste de votre part me sort de mes pensées peu catholiques.
En plongeant la main dans votre soutien-gorge, vous retirez la petite chaînette arborant la clé de mon intimité. « Elle est bien au chaud, ne vous inquiétez pas… allons dîner. »

Je vous conduis et nous arrivons au lieu que vous avez choisi. Un très bon restaurant de la ville que je connais bien. La soirée suit son cours, nous échangeons et avons décidé de nous tutoyer pour ne pas éveiller les soupçons.

Nous passons un très bon moment tous les deux. Vous êtes une femme rayonnante. Plus nous échangeons et plus nous nous trouvons de points et de loisirs communs. D'ailleurs, en parlant des lieux que nous fréquentons, c'est vraiment dingue que nous ne nous soyons pas rencontrés plus tôt. 
Un peu avant le dessert, vous sortez votre téléphone et me regardez dans les yeux : « Tu es prêt à vibrer », puis en joignant le geste à la parole, vous tapez sur l’écran de votre téléphone.
J’en reste bouche bée. Je sens tout à coup le plug qui commence à vibrer dans mon pantalon. Vous me regardez avec un sourire coquin et un regard plein d’envie.
Je sens mon sexe se dresser, mais être vite rattrapé par la réalité et la cage qui l’emprisonne.
Il est difficile de résister et je commence à m’agiter sur ma chaise. Vous reprenez un air sérieux. « Arrêtez de gesticuler » me dites-vous doucement… ce « arrêtez » signifie que vous avez repris votre rôle. Un rôle que vous jouez de mieux en mieux, celui d’une dominante.
« Pour clôturer ce repas en beauté, je vous laisse deux options. Prenez le petit sac sous la table et allez aux toilettes », me dites-vous avec un regard coquin.

Je ne sais pas vraiment à quoi m’attendre, je récupère le petit sac en papier kraft et me dirige vers les toilettes en vibrant.
Je peux sentir le sourire sur votre visage dans mon dos en m’éloignant.

Une fois arrivé dans les toilettes, j’ouvre le sac et il y a vos instructions.
 Vous avez deux options Monsieur, soit vous serez privé de dessert, soit vous aurez un dessert explosif.
Pour l’option un, revenez avec le contenu du sac dans votre bouche. Pour l’option deux, revenez avec le sac plein. Si vous choisissez la seconde option, attendez-vous à vibrer ! 
Je ressens déjà des vibrations intenses qui titillent ma prostate. Je sens que si cela continue ou pire s’intensifie, je jouirai…
Pour l’autre option, je découvre au fond du sac le petit sextoy que vous vous étiez inséré dans le paradis quelques heures plus tôt.  
Quel dilemme.
Enfin, au fond du sachet se trouve un second mot : je vous rappelle que vous n’avez toujours pas le droit de jouir. 

Dans la panique et la peur de jouir à cause des vibrations, et dans l'empressement pour ne pas être trop long, je choisis l’option 1. 
Je saisis l’objet, hume sa délicieuse odeur, celle de votre excitation et l’insert dans ma bouche.
En sortant, je me regarde dans le miroir et essaie de le positionner correctement dans ma bouche pour ne pas me faire remarquer…

Je retourne à table et vous rends le paquet. 
Vous le froissez dans vos mains sans même regarder dedans, comme si vous n’aviez aucun doute sur le choix que j’allais faire. Vous attrapez votre téléphone et au lieu de tout arrêter, vous jouez avec les vibrations. Je suis pris en étaux, bâillonné par ce sextoy et excité par le plug. Je vous lance un regard plein de supplications et, dans un large sourire, vous arrêtez les vibrations.
Mon corps se relâche et j’en tombe presque sur la table.
Vous en profitez pour saisir ma main et me la caresser, puis vous me murmurez : «  N'aie pas de regret, les desserts ne sont pas si bons ici. »
J’ai envie de rire, mais je ne peux pas… le reste du repas risque d’être très long.
Bien évidemment, vous jouez la coquine à merveille et faites en sorte de me poser un tas de questions auquel je ne peux pas répondre. Vous allez même jusqu’à me demander si je souhaite que vous réactiviez la vibration du plug.
J’essaie de dire non, mais c’est inaudible… Alors, vous le réactivez en souriant. 
Sur ces entrefaites, une serveuse vient commander nos desserts. Vous voyez que je la regarde avec un peu trop d’insistance et mettez la vibration au maximum !
Il est tellement dur de rester concentré dans cette situation.
Vous dites à la serveuse : « Pour ma part, ce sera un croquant au chocolat », puis vous laissez une attente en me regardant droit dans les yeux. Je vois en vous les flemmes de l’excitation illuminer vos yeux. Vous êtes une sacrée coquine…
Je vous fixe à mon tout avec sans doute un peu de désespoir dans le regard. À cela, la serveuse ajoute : « et pour Monsieur ? » vous faites alors un signe de la tête comme si vous me laissiez répondre…  
Si je pouvais disparaître, je le ferais. Je dois être rouge comme une pivoine.
Vous mettez fin à mon supplice en répondant vous-même à la serveuse : « Monsieur ne prendra rien, il est un peu indisposé. »
La serveuse s’en va, mécontente d’avoir perdu quelques minutes dans son service.

Dès qu’elle s’éloigne, vous me confiez : « Mon Dieu, je n’ai jamais fait une telle chose. Que c'est excitant ! Tu me pousses hors de ma zone de confort. » Et moi donc… pourtant vos mots font sursauter ma cage. J'aime vous sentir toute excitée par cette situation, sentir que vous aussi vous peinez à rester en place sur votre chaise tellement vous bouillonnez de désir.

La fin du repas se déroule à peu près normalement, vous savourez votre croquant et moi votre sextoy dont le goût se répand dans ma bouche. Comme la situation m’excite au plus haut point… 
Après coup, je suis bien d'accord : aucun dessert n'aurait pu égaler celui-ci

Lorsque vous avez terminé de manger, vous allez à votre tour aux toilettes. Je vais payer l’addition, sans un mot. La serveuse essaie d'enclencher la conversation, mais ne lui répondant pas, elle s'agace de nouveau. Je me sens donc obligé de lui laisser un joli pourboire pour compenser mon attitude…  
Je quitte dès que possible le restaurant et vous attends dehors.

Installé dans la voiture, je ne peux toujours pas parler. Vous fouillez dans votre sac et en sortez un gant. Vous l’enfilez à votre main droite puis vous récupérez votre sextoy « Merci de l’avoir gardé au chaud » me dites-vous, avec un sourire radieux. J’explose littéralement de rire et vous aussi. Sans doute l’émotion et le fait que je résiste déjà depuis plusieurs minutes.
Vous vous approchez de moi et vous m’embrassez tout en sortant la clé de votre chemisier. Vous me glissez alors à l’oreille : « Moi aussi, j'ai gardé quelque chose pour vous. C’est un objet que j’aime voir… mais j'apprécie plus encore voir celui qui le complète… » avant de me mordiller le lobe de l’oreille pour me montrer que vous êtes excité.
Je m’exécute et baisse mon pantalon.
Vous attrapez la cage avec votre main gantée et la caressez.
Instantanément, mon sexe se met à gonfler et à pousser contre les parois de sa prison. Votre gant devient brillant à cause de mon liquide pré-éjaculatoire qui ne cesse de couler.
Vous regardez alors l’intérieur de mon caleçon trempé.
« On ne peut vraiment pas vous laisser habillé Monsieur. Vous salissez toutes vos affaires » me dites-vous avec un faux air mécontent.
« Il va falloir que l’on corrige tout ça. » Je vous réponds alors : « Oui Madame. Je pense avoir besoin de vous pour cela. » suivi d’un large sourire.

«  Je vous avoue que cette soirée m’a réellement plu et que je ne me suis pas amusé ainsi depuis très longtemps. »
« Moi aussi Madame, un pur délice. »
«  Votre cage ne vous fait pas mal ? »
« Non, elle me frustre, elle me gêne, mais elle ne me fait pas mal. »
« Bien… vous vous y habituerez… » vous terminez votre phrase de façon laconique. Y aura-t-il une suite à tout ça ? Je l’espère.

Vous fouillez de nouveau dans votre sac et vous en sortez une culotte. En me montrant la tâche qu’il y a au centre. Je comprends vite que c’est celle que vous portiez durant la soirée.
« Moi aussi, cette soirée m’a beaucoup excité. Vous reprendrez bien un peu de dessert Monsieur. »
J’explose de rire, mais je suis vite coupé par votre culotte qui presse comme ma bouche.

« Je ne vous demande pas si vous voulez boire un dernier verre… » me dites-vous du coin de l’œil.
J’acquiesce de la tête et la joie dans les yeux…
« De toute manière, c'est un ordre, vous me plaisez et visiblement, c'est réciproque… De plus, j'ai besoin d'un sujet pour mes expérimentations lubriques. » Finissez-vous en jetant un œil à mon sexe palpitant.
Je démarre la voiture et nous rentrons chez vous.

Je rentre et vous claquez la porte derrière moi. Enfin seuls, quelle soirée ! Un pur régal de partager, ce moment complice et coquin avec vous.
Vous me plaquez contre la porte et me retirez la culotte de la bouche avant de la jeter à terre. Puis, vous m'embrassez et caressez mon visage.
Pour ma part, je pose mes mains sur vos hanches et vos fesses que je caresse avec douceur. C’est un moment câlin qui fait du bien, une pause dans le tumulte de cette fougueuse soirée qui n’est peut-être pas terminée. Vous êtes là, blotti entre mes bras. Je suis plus grand et plus fort, mais face à vous, je me sens totalement dénué de tous ces attributs.
C’est dans ce moment de douceur incroyable que vous vous confiez : « Je n'ai jamais fait cela auparavant Monsieur. On peut dire que vous êtes ma première fois, la première fois de ma nouvelle vie… une vie où mes désirs primeront… une vie de pouvoir sexuel. »
Vous en avez les larmes aux yeux et cela me touche.
« Madame, pour moi aussi c’est une grande première. Vous êtes ma première fois et je deviens accro à vous, à votre corps, à votre odeur, à votre goût, et par-dessus tout à votre esprit. Étrangement, je ne me suis jamais senti aussi libre que ce soir. Alors, ne vous retenez pas, je suis à vous.»
Le silence s’installe et nous sommes bien, ensemble, dans l’univers qui nous entoure.
Nous restons quelques minutes là, collés dans un moment de communion. Nous savons maintenant tous les deux ce que l'autre pense. C'est fort, c'est beau, cela fait du bien à nos cœurs, nous qui étions trop souvent incompris auparavant.
Je sèche vos larmes du bout de mes doigts pour définitivement clore nos passés et se projeter sur notre futur.
D’une voix tout juste audible, vous rompez le silence : « Merci pour vos mots et vos gestes, Monsieur… Votre douceur et votre dévotion sont mon aphrodisiaque. »
Puis le timbre de votre voix change, il devient plus audible, plus assuré : « Vous souvenez-vous du mot de sécurité Monsieur ? »
« Liberté Madame »
« C’est très bien. Vous en aurez peut-être besoin… » Votre regard coquin est revenu sur votre visage et avec un sourire très sadique, vous me lancez comme une bombe : « Je crois que vous avez enfreint une règle Monsieur » en vous échappant de mes bras et en reculant d’un pas. Je vous regarde dubitatif, mais comprends instantanément ce que vous voulez dire lorsque vous me regardez de haut en bas…
Je suis dans votre appartement et je porte toujours mes vêtements. Je me déshabille instantanément et me retrouve de nouveau nu devant vous.

Lorsque je relève mes yeux vers vous, je peine à soutenir votre regard intense.
« Croyez-moi, je ne vous ai pas tout montré de moi, mais ne vous inquiétez pas, je vais faire en sorte que vous n’oubliiez plus jamais cette règle. » vous vous baissez et ramassez mon boxer gisant sur le sol. Il est tâché sur le devant, totalement mouillé. « et ça ? Monsieur le mauvais garçon… »
Je ne peux plus soutenir votre regard et je baisse les yeux. Humilité, je le suis sans doute un peu, mais excité, c’est une certitude… mon sexe palpite et mon liquide continue de couler. C'est un peu douloureux, car cela fait plusieurs heures maintenant que je bande sans discontinuer.
Un long filet de liquide tombe de mon sexe et touche le sol.
Je retiens mon souffle par peur de vos remarques. Vous vous accroupissez et récoltez la petite flaque sur votre majeur avant de la faire glisser entre vos doigts.
« Hum... Visiblement, vous ne pouvez pas vous empêcher d’être coquin Monsieur.»
Puis, vous insérez votre majeur dans votre bouche.
« J’aime votre excitation et son goût… mais ce n’est pas une raison pour salir mon plancher !
Aidez-moi à enlever mes chaussures. »
Je me baisse et me mets à genoux devant vous.
Avec douceur, je vous retire vos chaussures et me retrouve le visage au niveau de votre intimité.
Vous déboutonnez votre pantalon et votre paradis se présente devant mes yeux. Je vois votre toison, je sens vos effluves, je suis comme hypnotisé par votre chatte.
Néanmoins, vous ne baissez pas votre pantalon, mais y rentrez votre main pour vous caresser rapidement et en ressortir un peu de votre élixir huileux. Vous me le passez sous le nez, mais finalement c’est vous qui sucez votre doigt.
« Mon excitation aussi est très bonne. Vous avez beaucoup de chance. »
Je ne réponds rien, mais mon regard parle pour moi. Ma seule envie est de vous goûter de nouveau. J’approche petit à petit mon visage de votre entrejambe. Cependant, je reste bloqué à quelques centimètres… Votre main sur mon front m'empêche d’aller plus loin.
« Oh non Monsieur, cet honneur est réservé aux garçons sages. Savez-vous ce que l’on fait aux garçons qui ne le sont pas ? »
« Non Madame »
« Nous les mettons au coin ! Allez, tournez-vous ! »
Je me retrouve dos à vous, à genoux et je sens que vous jubilez dans mon dos.
« Très bien. Tâchez de ne pas salir mon parquet cette fois, sinon c’est avec votre langue que vous nettoierez. »

J’entends vos pas feutrés s’éloigner dans le couloir.
Je reste là, dans le noir, seul à vous attendre.
Je me sens tellement bien malgré la frustration. Mon désir est revigoré et il me tarde votre retour. Je ne pense à rien d’autre qu’à vous et me rappelle les moments forts de cette soirée.
Ces pensées m'excitent au plus haut point et je pense que je suis en train de salir votre parquet.

D’un coup, une lueur provenant du couloir et le bruit de vos talons claquants sur le parquet me sortent de mes pensées. Vous prenez votre temps et j’imagine votre allure chaloupée. Vous me faites lambiner. Les pas se rapprochent, mon cœur bat plus fort, puis… plus rien.
Vous êtes de retour.

« Avez-vous bien compris la leçon ? » vous rompez le silence pesant qui nous entourait.
« Oui Madame, je serai toujours nu chez vous Madame »
« hummm j’en salive d’avance… relevez-vous, s’il vous plaît. »
Je m’exécute et c’est à ce moment-là que vous décidez d’allumer la lumière. L’ambiance est tamisée, mais il y a assez de luminosité pour que nous puissions y voir.
Je me relève face au miroir en pied de votre entrée. Je suis face à moi-même, face à mes désirs, face à mon destin et en quelque sorte face à vous…

J'aperçois votre reflet dans le miroir. Instantanément, mon cœur s’emballe et mon sexe aussi.
Mon corps trop proche m’empêche de vous contempler et ne me permet que d’apercevoir votre visage.

Vous avez refait votre maquillage et êtes rayonnante. Votre rouge à lèvres rouge c’est transformé en un grenat mat. Vous faites beaucoup plus sérieuse avec celui-ci.
De plus, votre visage est masqué par un loup en dentelle parfaitement ajusté et qui fait ressortir vos magnifiques yeux bleus-vert.
Nos regards se croisent et nos pensées se recoupent, alors je vous réponds à haute voix : « Ce loup vous va très bien Madame, vous êtes sublime. »
Vous voulez garder votre sérieux, mais votre visage s’illumine d'un petit sourire élégant. Vous me remerciez brièvement et vous vous approchez pour me glisser à l’oreille : « Si vous aimez ce que vous voyez, convainquez-moi de ne pas vous bander les yeux. Après tout c’est la règle numéro 2.» Puis, toujours dans mon dos, vous vous frottez contre mon corps afin de me faire languir. Je sens alors les matières de vos vêtements et un long filet de liquide s’échappe de ma cage.
« Regardez… sans me voir, vous êtes déjà tout excité… je ne vois qu’une seule option… à moins que… non… non je suis certaine que vous ne voudrez jamais… »
J’attends haletant la suite de votre phrase, mais elle ne vient pas.
« Dites toujours Madame, je vous répondrai franchement. »
« Dans ce cas, je vous laisse le choix Monsieur. Soit, je vous bande les yeux et vous repartirez libre en ayant joui ce soir. Soit, vous pouvez voir, mais vous m’appartiendrez pour deux jours supplémentaires… »
Mes idées se bousculent dans ma tête. Mon cerveau du bas me dit de choisir la première option alors que celui du haut me dit de choisir la seconde. Une lutte acharnée se lance, mais aucun n’arrive à prendre le dessus.
Vous me voyez réfléchir, alors vous lancez une bombe : « Le choix est simple finalement… Est-ce que votre plaisir personnel est plus fort que votre dévotion ? À vous de choisir. »

Vous avez raison, le choix est là. Je viens de vous trouver, vous, l’oiseau rare que je cherche depuis tant d’années… Alors non je ne veux pas vous perdre.
Mon sexe fait de nouveau quelques soubresauts, comme pour me demander si je suis certain d’avoir pris la bonne décision. Mais mon cerveau l’achève sur le champ et je ne sais par quel miracle, j’arrive à débander et à obtenir plus de place dans ma prison argentée.
Je stresse, car je ne sais pas ce que vous entendez par « appartenir » mais je vous fais confiance. Je rassemble toutes mes forces et vous regarde droit dans les yeux au travers du miroir pour vous dire : «  Je choisis la seconde option Madame, je garderai la vue. »

Vous me regardez d’un air faussement surpris. « Ça alors… j’aurais parié le contraire… mais j’en suis ravi… comme nous avons deux jours supplémentaires, je vais bien prendre mon temps, vous faire languir, vous torturer de plaisir… mais attention ! Je vous rappelle que vous n’avez pas le droit de jouir sans que je vous y autorise… »
« Bien Madame. »
« Retournez-vous. »
Je m’exécute et je peux enfin contempler l’ensemble de la tenue que vous portez.
Vous êtes resplendissante…
À votre loup s’ajoute un superbe body en vinyle noir qui dispose d’une très grande fermeture éclair qui va de votre entrejambe à votre cou.
Pour le moment, elle est entièrement fermée, c'est la raison pour laquelle vos magnifiques seins sont comprimés. Vos tétons aguicheurs sont durs et créent deux petits monts sur le tissu très lisse.
En bas, vous portez un collant résille laissant apparaître avec un certain érotisme vos jambes fuselées. Du moins ce que vous souhaitez en montrer, car le reste de vos jambes est recouvert par de somptueuses cuissardes noires et brillantes. Avec vos talons de 12 cm, vous me toisez du regard. Vous êtes là, devant moi, fière, belle, intrépide.
Je suis bouche-baie et vous le voyez.
Satisfaite de votre effet, vous souriez.

En vous approchant de moi, vous caressez maintenant mon corps, d'abord sur mes hanches, puis mon aine, et enfin mon sexe que vous tapotez comme si ce n'était qu'un objet. Évidemment, au contact de votre main douce et parfaitement manucurée d'un vernis noir, il essaie de se rebeller en vain.
« Tout doux petite bête, » me glissez-vous à l'oreille alors que vous tordez mes bourses comme une menace.
Je sursaute, tout devient plus sérieux d'un coup. Vos mains continuent à se balader et remontent maintenant le long de mes abdominaux dans un geste doux et sensuel, immédiatement remplacé par des pincements, lorsque vous rencontrez mes tétons déjà pointus de désir pour vous.
J'essaie de me dégager de vos griffes acérées, mais avant même que j'y arrive, vous saisissez mon cou et m'embrassez fougueusement.
« Ne partez pas Monsieur, je commence à peine à m'amuser. »
Vous caressez maintenant mon visage avec une douceur extrême. Vous jouez avec moi en alternant entre sensualité et brutalité. Vous êtes imprévisible.
Cela ne s'arrête pas et même s'intensifie au moment où vous saisissez mes cheveux de vos deux mains avant de les tirer en arrière et de me mordre le cou.
« Je vais vous marquer Monsieur, tant dans votre esprit que sur votre corps. Vous êtes ma chose. » Votre voix est saccadée, signe de l'excitation que cela crée en vous.
Avec vos pieds, vous me faites écarter les jambes pour que mon sexe soit impudiquement mis en avant et que vous puissiez le contempler. Je sens votre genou caresser mes bourses en signes de menace. « Connaissez-vous le ballbusting Monsieur ? » À ces mots, ma respiration se coupe et mes yeux se ferment en signe d'appréhension. Vous vous mettez à rire tout en me tapotant la joue : « Vu votre réaction, je suppose que oui… Alors, attendez-moi dans cette position et tenez-vous à carreau...

Avant de vous éloigner de moi dans la démarche la plus sexy que vous pouviez me montrer, une musique se lance dans votre appartement. Je la reconnais, nous en avions parlé lors du dîner : Breath of Roma. Cette musique s'accorde si bien avec votre élégance et le bruit de vos talons sur le parquet. Mon cœur bat la chamade alors que vous vous fondez dans l'obscurité du couloir dans lequel vous progressez.

Ainsi offert à vos yeux et à la merci de votre bon vouloir, je me sens à ma place dans votre monde. J'avoue avoir un peu d'appréhension, seulement mon esprit vous est totalement dévoué et je ne peux pas faire autrement… C'est d'ailleurs à cela que je pense quand je vous vois réapparaitre et vous avancer vers moi, une cravache dans la main droite et un bâillon dans la gauche.
« Prêt à me montrer votre endurance ? » me dites-vous en passant la cravache entre mes deux pectoraux, un sourire magnifiquement diabolique aux lèvres.
Vous vous apprêtez à m'insérer le bâillon quand, soudain...

Dring... Driing... Driiiiiing... Vous vous figez instantanément lorsque la sonnette de votre porte retentit. Votre regard montre seulement de la surprise et de la peur.
« Pas un bruit.» me dites-vous tout bas. En finissant de m'insérer le bâillon avec empressement. Avant de vous diriger sur la pointe des pieds vers le judas afin d'identifier la personne qui ose nous interrompre.
Vous soupirez en signe d'agacement ! J'ai tellement peur que vous ouvriez la porte. Je vous regarde, l'air apeuré, moi aussi, cherchant des instructions de votre part alors que le visiteur ne rebrousse pas chemin...

Vous me faites signe du doigt de me diriger vers le placard de l'entrée.
« Entrez-la, à genoux ! Sans faire de bruit ! J'en ai pour quelques minutes, je reviens vous chercher. » La porte se referme. Je suis dans le noir total entouré certainement de vos chaussures, étant donné la forte odeur de cuir qui se dégage, et de vos manteaux, imprégnés de votre parfum.
Après quelques minutes, je vous entends revenir, cette fois si déchaussé… Vous criez alors : «Ça va, ça va j'arrive ! Tu vas péter ma sonnette !! »
Vous tournez la clé dans le barillet de la porte s'ouvre. J'entends alors une autre voix féminine qui me glace le sang : « Tu en as mis un temps ! Qu'est-ce que tu foutais ? »
A suivre....

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Que voilà une histoire joliment tournée et très inspirante. Merci pour ces lignes si érotiques sans aucune vulgarité.

Histoire Erotique
J'adore !! La suite svp!!?

Histoire Erotique
j aime beaucoup même si je trouve vouvoiement et le monsieur madame un peu désuet

Histoire Erotique
La domination continue sans cruauté exagéré c’est bien écrit et suffisamment détaillé. Daniel
D



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