Une sortie en boite plus excitante que prévue
Récit érotique écrit par Romainro [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-01-2019 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Une sortie en boite plus excitante que prévue
Suite à une de mes histoires sur Hds, j’ai été contacté par Nathalie avec qui depuis j’échange. Elle m’a demandé de partager avec vous certaines de ses aventures et nous avons décidé de commencer par celle ci. Comme pour Albert, Radia… j’utiliserai le « je » à la place de Nathalie.
Bonjour, je m’appelle Nathalie, aujourd’hui j’ai 40 ans. Je suis blonde avec les yeux bleus, je suis pas néanmoins la caricature d'une bimbo. Je suis ce qu'on pourrait appeler une femme du monde, même BCBG. Ce n’est pas pour me vanter mais j’ai un beau corps, en tout ça c’est ce que disent de moi les hommes. Je mesure 1m71 pour 58 kilos, mes seins (90C) sont fermes, j’ai de petites aréoles légèrement plus foncées que ma peau miel et des tétons qui bandent dès que recommence à m’exciter.
Cette histoire se passe l’année de mes 33 ans, je suis mariée mais mon couple bat de l’aile depuis un moment. Comme mon homme est absent et que je m’ennuie méchamment, je décide de ne pas rester seule à la maison. N’ayant aucune intention de me faire draguer ou d’allumer, j’enfile simplement un jean et un t-shirt bleu ciel, même pas moulant.
Je monte donc dans ma voiture, je roule une quarantaine de kilomètre pour être sûre de ne rencontrer personne et passer une soirée tranquille. Je m’arrête dans un petit restaurant qui est assez vide mais semble sympa. Je choisis une table en terrasse et me commande un pichet de vin avec mon repas. Je démarre, seule, mon apéritif et ouvre le livre que j’ai apporté.
A chaque fois que je tourne une page, j’avale une gorgée de vin. J’adore la sensation de ce liquide assez frais mais pourtant chaud qui coule dans ma gorge. Quand le serveur m’apporte mon plat, mon pichet est presque vide du coup j’en commande un autre. En m’apportant mon assiette, j’ai l’impression qu’il s’attarde sur mes tétons qui pointent à travers mon t-shirt (je ne porte pas de soutien gorge), mais quand il revient avec le vin je n’ai plus aucun doute.
Je quitte le restaurant un peu pompette et j’ai encore moins envie de me retrouver seule chez moi puis dans mon grand lit, surtout qu’il est à peine 22 heures. J’ai très envie d’aller danser pour me défouler, faire bouger mon corps tranquillement sans sentir le regard d’amis qui me jugent.
Je remonte dans ma voiture et roule jusqu’à une boite de nuit où je suis allée une fois avec mon mari. Je sais que la musique est sympa et qu’après un petit verre je me déhancherai sur la piste jusqu’à être épuisée, je pourrai alors rentrer chez moi. Une fois que mon cosmo est fini, je me dirige enfin sur la piste pour me bouger au rythme de la musique.
Mon corps suit le tempo des basses, je ferme les yeux et j’ai l’impression d’être seule. Je ne sais pas depuis combien de temps je fais onduler mon corps mais j’ai de plus en plus chaud mais aussi de plus en plus soif. Je retourne au bar mais cette fois je ne prends que de l’eau gazeuse car j’ai pas envie d’être saoule.
Je retourne sur la piste rapidement, toujours les yeux fermés pour avoir la sensation d’avoir personne autour de moi. Malheureusement ce sentiment n’est que de courte durée puisque je me fais bousculer. Je continue de me déhancher les yeux fermés mais je suis de nouveau interrompu.
J’ouvre les yeux et remarque qu’il n’y a pas grand monde sur la piste par contre un homme tourne autour de moi. Il semble avoir mon âge ou un peu plus jeune que moi, quand je le remarque il me sourit et continue son manège. Régulièrement il frotte son corps contre le mien mais très brièvement.
Après quelques chansons, il se penche vers moi et me murmure à l’oreille:« Je t’offre un verre? »Sa voix est essoufflée et assez rauque. Elle me fait frissonner de partout, c’est la première fois que je réagis comme ça à une simple voix. Je lui fais oui de la tête et nous nous dirigeons vers le bar.
Il me demande ce que je veux boire, je lui réponds quelque chose de soft.
« Tu aimes le jus de pamplemousse? »Je lui fais oui de la tête et il appelle le barman. Lui a commandé un whisky, nous trinquons. Je bois une gorgée de mon jus mais c’est plus chaud que prévu dans ma gorge. J’avale quand même et lui demande ce qu’il m’a commandé, sans gêne il me répond, avec un sourire coquin:« Une vodka pamplemousse »
Il finit son verre d’un coup sec alors que je déguste le mien. Nous essayons de parler mais la musique est trop forte. Il me propose d’aller dans un endroit plus calme mais je lui réponds que je suis venue uniquement pour danser. Je finis mon verre rapidement et je retourne sur la piste me défouler. Je suis très rapidement rejoint par le mec de tout à l’heure, cette fois accompagné d’un copain.
Ils ne sont pas des professionnels de la danse mais bougent autour de moi. Le nouveau venu nous quitte rapidement et reviens avec 3 verres, ça tombe bien j’ai soif. Mon jus de pamplemousse est encore corsé, j’ai vraiment l’impression qu’ils veulent me saouler. J’ai tellement chaud que je le bois quand même sans m’arrêter de danser. Une fois nos verres vides c’est le premier que j’ai rencontrer qui les ramène au bar.
L’autre en profite pour venir se coller derrière moi, ses mains ne me touchent pas mais je sens une bosse, au niveau de mes fesses, qui appuie de plus en plus. Bien que je sens mon corps frissonner et ma culotte s’humidifier, j’avance un peu pour me décoller de lui. J’ai même pas le temps de me remettre à danser qu’il se colle de nouveau moi.
Le premier que j’ai rencontré revient avec les trois verres mais plein, nous prenons chacun le notre et buvons tout en continuant à danser. Les deux n’arrêtent pas de se coller à moi par devant comme par derrière. Je les repousse légèrement mais je dois dire qu’ils m’excitent de plus en plus. Je finis ma boisson après eux, je prends les trois verres et les ramène au bar espérant ainsi ma débarrasser de mes frotteur.
Ils ne tardent pas à venir me rejoindre, si déjà j’en profite pour mieux les détailler. Le premier à m’avoir aborder est le plus beau des deux. Il est un peu plus grand que moi, il a des cheveux châtains foncés et une barbe de 3 jours de la même couleur. Ses yeux sont bleus très clairs et contrastent avec sa peau matte et ses poils. Il me semble poilu et j’avoue que j’aime ça.
Le deuxième est un peu plus grand et très sec, ses cheveux sont clairs et ces yeux marrons. Il semble glabre de corps et de visage, il fait plus enfant qu’un vrai homme. Il n’est pas moche mais je le trouve trop rentre dedans, ce qui me dérange même s’il m’a bien fait mouiller. Quand ils me rejoignent, le deuxième fait signe au barman qui nous serre à nouveau à boire.
Je bois une gorgée et abandonne ma boisson, j’ai chaud, la tête qui tourne et la vessie trop pleine. Je me dirige vers les toilettes et le blond m’attrape par le bras, un peu trop fermement, il me demande:« Tu nous quittes comme ça? »Je tape sur sa main qui me serre et lui réponds:« Je suis libre, mais je vais juste aux toilettes me rafraichir. »
Quand je suis en bas des escaliers, j’entends du bruit derrière moi et me retourne. Les deux mecs sont en haut des marches et descendent sûrement pour me rejoindre. Je devrais courir vers une cabine et m’y enfermer mais je ne sais pas pourquoi je ralentis le rythme. Avant de rentrer dans la section réservée aux femmes je me retourne pour vérifier qu’ils me suivent toujours.
Je m’enferme, quand même, dans une cabine et en baissant mon pantalon et ma culotte brésilienne, je me rends compte que je suis encore plus mouillée que je pensais. Je ne sais pas si c’est dû à l’alcool, leurs jeux de semi pelotage ou mon manque de relation charnelle depuis bientôt 10 jours en tout cas je suis dans un état d’excitation incroyable.
Une fois que j’ai évacué une bonne partie de ce qu’ils m’ont fait boire, je m’essuie. J’utilise plus d’une dizaine de feuilles pour éponger ma mouille mais j’ai l’impression de continuer à couler. Je me rhabille, tire la chasse et je déverrouille la porte. Même si nous sommes dans les toilettes des femmes, ils m’attendent de l’autre côté de la porte. Je les ignore et je vais me laver les mains.
Ils me suivent jusqu’au lavabo, leurs mains me pelotent plus directement, surtout celles du blond qui malaxent mes seins. Une fois que j’ai les mains sèches, alors qu’ils continuent de me tripoter de partout, j’attire celui qui me plait le plus (le premier à m’avoir abordée) et l’entraine avec moi dans la cabine handicapée. Malgré les protestations du deuxième je ferme la porte à clé.
Il se jette sur moi et m’embrasse le cou, je sens ses lèvres remonter vers mon visage et s’approcher des miennes. Même si je n’ai aucun scrupule à tromper mon mari, je n’ai pas envie d’embrasser un autre homme que lui alors je retourne la tête et défais les boutons de sa chemise pour embrasser son torse velu. Toujours collé l’un à l’autre je nous dirige vers la cuvette des toilettes pour m’y assoir.
Ses mains se baladent sur mon visage et dans mes cheveux alors que j’ouvre sa ceinture et son pantalon. Je découvre un slip blanc avec une jolie petite tache qui fait encore monter d’un cran mon excitation. Alors que mes mains se baladant sur son torse et son ventre je lèche sa proéminence avec ardeur. Je ne sais pas ce qui me prend mais je baisse directement son slip et j’avale directement sa queue qui est d’assez belle taille.
Quand je le recrache, je caresse son gros gland qui rougit et gonfle encore plus. Je le lèche et je sens sa tige encore plus se raidir et durcir, je le caresse sur tout la longueur en titillant bien ses veines et son frein. Je lèche la tête de sa queue comme je le ferai avec une glace ce qui le fait tressaillir mais moi aussi. Je sens le fin tissu de ma culotte brésilienne aspirer la liqueur qui coule de ma grotte.
Je l’enfonce le plus profondément possible en moi et avec ma langue je balaye sa tige, ce qui le fait immédiatement gémir. Avec mes mains je caresse ses couilles poilues alors que je commence à faire coulisser tout doucement mes lèvres le long de son sexe. Il se met immédiatement à gémir ce qui m’encourage à accélérer la cadence et il semble bien apprécié.
Je le suce, le lèche, l’aspire, le compresse entre mes lèvres… sans oublier le travaille de mes mains. Il semble de plus en plus excité mais je le suis aussi, je sens que ma cyprine à fini d’inonder ma culotte brésilienne et coule déjà sur mes cuisses. J’ai très envie de me caresser pendant que ma bouche s’occupe de sa queue mais je laisse mes mains sur ses couilles et ses fesses.
A certain moment j’échange, mes lèvres descendent sur ses bourses alors que mes mains le branlent avec autant de passion que je le suçais. Je ne sais pas s’il est très résistant, s’il ne veut pas que ça s’arrête ou si c’est l’alcool qui aide mais il est très endurant et ce n’est pas pour me déplaire parce que j’adore le sucer.
J’aime sentir à quel point ma bouche lui donne du plaisir, savoir que je peux tout arrêter ou au contraire accélérer le rythme et la pression, le rapprocher encore plus de l’orgasme. J’aime joue avec lui, l’exciter à fond mais aussi ralentir pour qu’il me demande d’y aller encore plus vigoureusement.
C’est alors que je sens un petit goût très reconnaissable sortir de son méat, ses veines se mettent encore plus à gonfler. Je ne vais pas tarder à récolter les fruits de sa jouissance alors je m‘applique encore plus, surtout que je sens nettement mon plaisir couler entre ma peau et mon jean.
Je ne tarde pas à sentir sont sperme remplir ma bouche. Malgré ses jets pas très puissants mais abondant je continue de le faire rentrer et sortir de ma bouche en caressant ses couilles qui sont entrain de se vider. Je sens sa semence couler dans ma gorge et je l’avale avec délectation. Ma bouche et mes papilles se régalent de ce qu’ils reçoivent.
Je continue de le sucer jusqu’à se qu’il soit complètement flasque entre mes lèvres. Je l’aurai bien gardé un peu encore dans dans ma bouche mais il se retire. J’ai juste le temps de passer mon doigt sur son méat pour récupérer la dernière goutte qu’il se rhabille déjà. Je glisse ma main dans ma culotte et je frotte mes lèvres intimes avec mon doigt maculé. J’ai l’impression de couler comme une fontaine.
Maintenant qu’il s’est rhabillé, il sort rapidement de la cabine, son copain attend patient dehors et quand il me voit avec ma main dans mon jean, il se rapproche de moi. Je ne compte pas faire la suceuse de service, surtout qu’il me plait moins que le première alors je vais au lavabo pour me rincer la bouche.
Il n’arrête pas de me tripoter et de se plaindre que lui a eu droit à rien, même s’il m’avait excité tout à l’heure sur la piste de danse. Pour qu’il arrête de me tanner, alors que je suis pencher vers le lavabo, je pose ma main sur son paquet et je le malaxe par dessus son pantalon. Il a l’air d’avoir une encore plus belle queue que son ami et la situation n’arrête pas de m’excite alors je ne lâche plus son costume 3 pièces.
Je lui dis que je suis bien pompette et que j’aimerai prendre l’air mais pour le rassurer je lui promets de m’occuper de lui dès mon retour à la boite. Je ne sais pas s’il a peur que je ne tienne pas parole mais son copain et lui me suivent sur le parking extérieur. Je me dirige vers ma voiture en prenant de grande respiration alors que ma main est de nouveau contre son entrejambe.
Quand je le lâche, il vient directement derrière moi et commence à ouvrir mon Jean. Il fait descendre mon pantalon et ma culotte brésilienne totalement ruinée vu comme j’ai coulé. Je me penche en avant vers le capot de la voiture en me cambrant au maximum. Il vient s’agenouiller entre mes jambes et commence à laper mes grandes lèvres. Je suis tellement ouverte qu’il a immédiatement accès aux petites mais aussi à ma grotte.
Au bout de seulement quelques minutes où sa langue mais aussi ses lèvres, passe de mon clito à ma grotte, je l’interrompts. Je tourne juste ma tête en gardant ma position et je lui lance:« J’espère que tu as une capote parce que j’ai envie que tu me baises! »Il me donne encore quelques coups de langue et se dégage. Ses lèvres sont brillantes tellement que je lui ai ruisselé dessus.
Sans copain lui tend un préservatif, je devine à sa tête qu’il est maintenant déçu de n’avoir eu qu’une simple pipe. Je prend une position encore plus chienne alors que des flashs immortalise ce moment. Je suis trop excitée pour réagir ou me plaindre (surtout qu’après ils m’ont envoyé les photos et encore aujourd’hui je me masturbe en les regardant).
Je sens son gland plastifié venir me titiller le mont de Vénus, je n’ai besoin d’aucune préparation du coup il s’enfonce d’un coup sec en moi. Il reste un moment bien planté, m’attrape par la taille et se met à me ramoner sauvagement. Je suis tellement excité que je jouis en seulement deux minutes.
Sa grosse queue me fait tant de bien que je me laisse totalement aller à gémir et me tortiller alors qu’il rentre et sort de mon sexe de plus en plus violemment. Je crois que sur le moment je n’ai pas réaliser ce que je faisais. Je me fais prendre sur le capot de ma voiture par un inconnu. Nous sommes sur le parking de la boite, n’importe qui peut nous voir et même m’entendre vu comme je gueule à chaque fois que son gland ouvre encore plus ma chatte.
Je le sens aller et venir en moi à un rythme de plus en plus rapide alors que son copain continue à faire des photos avec son téléphone. Je me déchaine en empêchant aucun son de sortir de ma bouche mais aussi en ondulant mon corps. Même s’il me maintient je recule pour le sentir encore plus profondément en moi.
Je sens déjà un second orgasme pointer le bout de son nez, j’exulte encore plus et pousse à fond pour le sentir au plus profond de mon sexe. Je sens mon élixir dégouliner de ma grotte sur mes cuisses. Mes muscles se contractent autour de sa tige qui, elle aussi se met à frétiller. Je me contracte encore plus pour bien le sentir contre mes parois internes.
Lui aussi se met à gémir de plus en plus fort, son copain fait encore des photos. J’ai l’impression d’être à la merci de cette queue qui n’arrête pas de me ramoner et surtout de me faire du bien. Je sens une chaleur démarrer au niveau de mon ventre et irradier le reste de mon corps. Ma peau se granule et j’ai des frissons qui parcourt tout mon corps.
Je reçois une fessée qui fait monter mon excitation d’encore un cran puis une deuxième. Mon baiseur se plante en moi et je le sens lâcher ses giclées. Quel dommage qu’il ne me remplisse pas vraiment avec sa semence, que je ne sente pas ses jets venir taper l’intérieur du vagin pour me donner encore plus de frissons. Je me contracte pour encore mieux le sentir vibrer.
Une fois qu’il s’est vidé dans la capote, il fait de petits vas et viens avant de se retirer totalement. Je reste dans cette position un moment avant de reprendre mes esprits et je reçois une nouvelle fessée qui me fait encore une fois frissonner. Quand je commence à reprendre mes esprits, je remonte ma culotte brésilienne et mon jean, je me retourne et découvre que les garçons m’ont déjà abandonné.
Un peu déçu je remonte dans ma voiture. Même si j’ai pris beaucoup de plaisir à sucer le premier, que j’ai eu deux orgasmes très puissants en me faisant baiser par le deuxième, je suis toujours excitée. Je roule le plus vite possible, sans dépasser la vitesse autorisée, je sens que je continue de dégouliner et ce n’est pas du sperme.
Une fois à la maison, je rebranche mon téléphone et découvre une bonne vingtaine de photos. Je m’admire bien cambrée avec cette belle queue qui rentre et sort de ma grotte dégoulinante. Je me déshabille entièrement et vais m’allonger dans mon lit pour me donner un dernier plaisir en repensant à ses deux mecs…
Bonjour, je m’appelle Nathalie, aujourd’hui j’ai 40 ans. Je suis blonde avec les yeux bleus, je suis pas néanmoins la caricature d'une bimbo. Je suis ce qu'on pourrait appeler une femme du monde, même BCBG. Ce n’est pas pour me vanter mais j’ai un beau corps, en tout ça c’est ce que disent de moi les hommes. Je mesure 1m71 pour 58 kilos, mes seins (90C) sont fermes, j’ai de petites aréoles légèrement plus foncées que ma peau miel et des tétons qui bandent dès que recommence à m’exciter.
Cette histoire se passe l’année de mes 33 ans, je suis mariée mais mon couple bat de l’aile depuis un moment. Comme mon homme est absent et que je m’ennuie méchamment, je décide de ne pas rester seule à la maison. N’ayant aucune intention de me faire draguer ou d’allumer, j’enfile simplement un jean et un t-shirt bleu ciel, même pas moulant.
Je monte donc dans ma voiture, je roule une quarantaine de kilomètre pour être sûre de ne rencontrer personne et passer une soirée tranquille. Je m’arrête dans un petit restaurant qui est assez vide mais semble sympa. Je choisis une table en terrasse et me commande un pichet de vin avec mon repas. Je démarre, seule, mon apéritif et ouvre le livre que j’ai apporté.
A chaque fois que je tourne une page, j’avale une gorgée de vin. J’adore la sensation de ce liquide assez frais mais pourtant chaud qui coule dans ma gorge. Quand le serveur m’apporte mon plat, mon pichet est presque vide du coup j’en commande un autre. En m’apportant mon assiette, j’ai l’impression qu’il s’attarde sur mes tétons qui pointent à travers mon t-shirt (je ne porte pas de soutien gorge), mais quand il revient avec le vin je n’ai plus aucun doute.
Je quitte le restaurant un peu pompette et j’ai encore moins envie de me retrouver seule chez moi puis dans mon grand lit, surtout qu’il est à peine 22 heures. J’ai très envie d’aller danser pour me défouler, faire bouger mon corps tranquillement sans sentir le regard d’amis qui me jugent.
Je remonte dans ma voiture et roule jusqu’à une boite de nuit où je suis allée une fois avec mon mari. Je sais que la musique est sympa et qu’après un petit verre je me déhancherai sur la piste jusqu’à être épuisée, je pourrai alors rentrer chez moi. Une fois que mon cosmo est fini, je me dirige enfin sur la piste pour me bouger au rythme de la musique.
Mon corps suit le tempo des basses, je ferme les yeux et j’ai l’impression d’être seule. Je ne sais pas depuis combien de temps je fais onduler mon corps mais j’ai de plus en plus chaud mais aussi de plus en plus soif. Je retourne au bar mais cette fois je ne prends que de l’eau gazeuse car j’ai pas envie d’être saoule.
Je retourne sur la piste rapidement, toujours les yeux fermés pour avoir la sensation d’avoir personne autour de moi. Malheureusement ce sentiment n’est que de courte durée puisque je me fais bousculer. Je continue de me déhancher les yeux fermés mais je suis de nouveau interrompu.
J’ouvre les yeux et remarque qu’il n’y a pas grand monde sur la piste par contre un homme tourne autour de moi. Il semble avoir mon âge ou un peu plus jeune que moi, quand je le remarque il me sourit et continue son manège. Régulièrement il frotte son corps contre le mien mais très brièvement.
Après quelques chansons, il se penche vers moi et me murmure à l’oreille:« Je t’offre un verre? »Sa voix est essoufflée et assez rauque. Elle me fait frissonner de partout, c’est la première fois que je réagis comme ça à une simple voix. Je lui fais oui de la tête et nous nous dirigeons vers le bar.
Il me demande ce que je veux boire, je lui réponds quelque chose de soft.
« Tu aimes le jus de pamplemousse? »Je lui fais oui de la tête et il appelle le barman. Lui a commandé un whisky, nous trinquons. Je bois une gorgée de mon jus mais c’est plus chaud que prévu dans ma gorge. J’avale quand même et lui demande ce qu’il m’a commandé, sans gêne il me répond, avec un sourire coquin:« Une vodka pamplemousse »
Il finit son verre d’un coup sec alors que je déguste le mien. Nous essayons de parler mais la musique est trop forte. Il me propose d’aller dans un endroit plus calme mais je lui réponds que je suis venue uniquement pour danser. Je finis mon verre rapidement et je retourne sur la piste me défouler. Je suis très rapidement rejoint par le mec de tout à l’heure, cette fois accompagné d’un copain.
Ils ne sont pas des professionnels de la danse mais bougent autour de moi. Le nouveau venu nous quitte rapidement et reviens avec 3 verres, ça tombe bien j’ai soif. Mon jus de pamplemousse est encore corsé, j’ai vraiment l’impression qu’ils veulent me saouler. J’ai tellement chaud que je le bois quand même sans m’arrêter de danser. Une fois nos verres vides c’est le premier que j’ai rencontrer qui les ramène au bar.
L’autre en profite pour venir se coller derrière moi, ses mains ne me touchent pas mais je sens une bosse, au niveau de mes fesses, qui appuie de plus en plus. Bien que je sens mon corps frissonner et ma culotte s’humidifier, j’avance un peu pour me décoller de lui. J’ai même pas le temps de me remettre à danser qu’il se colle de nouveau moi.
Le premier que j’ai rencontré revient avec les trois verres mais plein, nous prenons chacun le notre et buvons tout en continuant à danser. Les deux n’arrêtent pas de se coller à moi par devant comme par derrière. Je les repousse légèrement mais je dois dire qu’ils m’excitent de plus en plus. Je finis ma boisson après eux, je prends les trois verres et les ramène au bar espérant ainsi ma débarrasser de mes frotteur.
Ils ne tardent pas à venir me rejoindre, si déjà j’en profite pour mieux les détailler. Le premier à m’avoir aborder est le plus beau des deux. Il est un peu plus grand que moi, il a des cheveux châtains foncés et une barbe de 3 jours de la même couleur. Ses yeux sont bleus très clairs et contrastent avec sa peau matte et ses poils. Il me semble poilu et j’avoue que j’aime ça.
Le deuxième est un peu plus grand et très sec, ses cheveux sont clairs et ces yeux marrons. Il semble glabre de corps et de visage, il fait plus enfant qu’un vrai homme. Il n’est pas moche mais je le trouve trop rentre dedans, ce qui me dérange même s’il m’a bien fait mouiller. Quand ils me rejoignent, le deuxième fait signe au barman qui nous serre à nouveau à boire.
Je bois une gorgée et abandonne ma boisson, j’ai chaud, la tête qui tourne et la vessie trop pleine. Je me dirige vers les toilettes et le blond m’attrape par le bras, un peu trop fermement, il me demande:« Tu nous quittes comme ça? »Je tape sur sa main qui me serre et lui réponds:« Je suis libre, mais je vais juste aux toilettes me rafraichir. »
Quand je suis en bas des escaliers, j’entends du bruit derrière moi et me retourne. Les deux mecs sont en haut des marches et descendent sûrement pour me rejoindre. Je devrais courir vers une cabine et m’y enfermer mais je ne sais pas pourquoi je ralentis le rythme. Avant de rentrer dans la section réservée aux femmes je me retourne pour vérifier qu’ils me suivent toujours.
Je m’enferme, quand même, dans une cabine et en baissant mon pantalon et ma culotte brésilienne, je me rends compte que je suis encore plus mouillée que je pensais. Je ne sais pas si c’est dû à l’alcool, leurs jeux de semi pelotage ou mon manque de relation charnelle depuis bientôt 10 jours en tout cas je suis dans un état d’excitation incroyable.
Une fois que j’ai évacué une bonne partie de ce qu’ils m’ont fait boire, je m’essuie. J’utilise plus d’une dizaine de feuilles pour éponger ma mouille mais j’ai l’impression de continuer à couler. Je me rhabille, tire la chasse et je déverrouille la porte. Même si nous sommes dans les toilettes des femmes, ils m’attendent de l’autre côté de la porte. Je les ignore et je vais me laver les mains.
Ils me suivent jusqu’au lavabo, leurs mains me pelotent plus directement, surtout celles du blond qui malaxent mes seins. Une fois que j’ai les mains sèches, alors qu’ils continuent de me tripoter de partout, j’attire celui qui me plait le plus (le premier à m’avoir abordée) et l’entraine avec moi dans la cabine handicapée. Malgré les protestations du deuxième je ferme la porte à clé.
Il se jette sur moi et m’embrasse le cou, je sens ses lèvres remonter vers mon visage et s’approcher des miennes. Même si je n’ai aucun scrupule à tromper mon mari, je n’ai pas envie d’embrasser un autre homme que lui alors je retourne la tête et défais les boutons de sa chemise pour embrasser son torse velu. Toujours collé l’un à l’autre je nous dirige vers la cuvette des toilettes pour m’y assoir.
Ses mains se baladent sur mon visage et dans mes cheveux alors que j’ouvre sa ceinture et son pantalon. Je découvre un slip blanc avec une jolie petite tache qui fait encore monter d’un cran mon excitation. Alors que mes mains se baladant sur son torse et son ventre je lèche sa proéminence avec ardeur. Je ne sais pas ce qui me prend mais je baisse directement son slip et j’avale directement sa queue qui est d’assez belle taille.
Quand je le recrache, je caresse son gros gland qui rougit et gonfle encore plus. Je le lèche et je sens sa tige encore plus se raidir et durcir, je le caresse sur tout la longueur en titillant bien ses veines et son frein. Je lèche la tête de sa queue comme je le ferai avec une glace ce qui le fait tressaillir mais moi aussi. Je sens le fin tissu de ma culotte brésilienne aspirer la liqueur qui coule de ma grotte.
Je l’enfonce le plus profondément possible en moi et avec ma langue je balaye sa tige, ce qui le fait immédiatement gémir. Avec mes mains je caresse ses couilles poilues alors que je commence à faire coulisser tout doucement mes lèvres le long de son sexe. Il se met immédiatement à gémir ce qui m’encourage à accélérer la cadence et il semble bien apprécié.
Je le suce, le lèche, l’aspire, le compresse entre mes lèvres… sans oublier le travaille de mes mains. Il semble de plus en plus excité mais je le suis aussi, je sens que ma cyprine à fini d’inonder ma culotte brésilienne et coule déjà sur mes cuisses. J’ai très envie de me caresser pendant que ma bouche s’occupe de sa queue mais je laisse mes mains sur ses couilles et ses fesses.
A certain moment j’échange, mes lèvres descendent sur ses bourses alors que mes mains le branlent avec autant de passion que je le suçais. Je ne sais pas s’il est très résistant, s’il ne veut pas que ça s’arrête ou si c’est l’alcool qui aide mais il est très endurant et ce n’est pas pour me déplaire parce que j’adore le sucer.
J’aime sentir à quel point ma bouche lui donne du plaisir, savoir que je peux tout arrêter ou au contraire accélérer le rythme et la pression, le rapprocher encore plus de l’orgasme. J’aime joue avec lui, l’exciter à fond mais aussi ralentir pour qu’il me demande d’y aller encore plus vigoureusement.
C’est alors que je sens un petit goût très reconnaissable sortir de son méat, ses veines se mettent encore plus à gonfler. Je ne vais pas tarder à récolter les fruits de sa jouissance alors je m‘applique encore plus, surtout que je sens nettement mon plaisir couler entre ma peau et mon jean.
Je ne tarde pas à sentir sont sperme remplir ma bouche. Malgré ses jets pas très puissants mais abondant je continue de le faire rentrer et sortir de ma bouche en caressant ses couilles qui sont entrain de se vider. Je sens sa semence couler dans ma gorge et je l’avale avec délectation. Ma bouche et mes papilles se régalent de ce qu’ils reçoivent.
Je continue de le sucer jusqu’à se qu’il soit complètement flasque entre mes lèvres. Je l’aurai bien gardé un peu encore dans dans ma bouche mais il se retire. J’ai juste le temps de passer mon doigt sur son méat pour récupérer la dernière goutte qu’il se rhabille déjà. Je glisse ma main dans ma culotte et je frotte mes lèvres intimes avec mon doigt maculé. J’ai l’impression de couler comme une fontaine.
Maintenant qu’il s’est rhabillé, il sort rapidement de la cabine, son copain attend patient dehors et quand il me voit avec ma main dans mon jean, il se rapproche de moi. Je ne compte pas faire la suceuse de service, surtout qu’il me plait moins que le première alors je vais au lavabo pour me rincer la bouche.
Il n’arrête pas de me tripoter et de se plaindre que lui a eu droit à rien, même s’il m’avait excité tout à l’heure sur la piste de danse. Pour qu’il arrête de me tanner, alors que je suis pencher vers le lavabo, je pose ma main sur son paquet et je le malaxe par dessus son pantalon. Il a l’air d’avoir une encore plus belle queue que son ami et la situation n’arrête pas de m’excite alors je ne lâche plus son costume 3 pièces.
Je lui dis que je suis bien pompette et que j’aimerai prendre l’air mais pour le rassurer je lui promets de m’occuper de lui dès mon retour à la boite. Je ne sais pas s’il a peur que je ne tienne pas parole mais son copain et lui me suivent sur le parking extérieur. Je me dirige vers ma voiture en prenant de grande respiration alors que ma main est de nouveau contre son entrejambe.
Quand je le lâche, il vient directement derrière moi et commence à ouvrir mon Jean. Il fait descendre mon pantalon et ma culotte brésilienne totalement ruinée vu comme j’ai coulé. Je me penche en avant vers le capot de la voiture en me cambrant au maximum. Il vient s’agenouiller entre mes jambes et commence à laper mes grandes lèvres. Je suis tellement ouverte qu’il a immédiatement accès aux petites mais aussi à ma grotte.
Au bout de seulement quelques minutes où sa langue mais aussi ses lèvres, passe de mon clito à ma grotte, je l’interrompts. Je tourne juste ma tête en gardant ma position et je lui lance:« J’espère que tu as une capote parce que j’ai envie que tu me baises! »Il me donne encore quelques coups de langue et se dégage. Ses lèvres sont brillantes tellement que je lui ai ruisselé dessus.
Sans copain lui tend un préservatif, je devine à sa tête qu’il est maintenant déçu de n’avoir eu qu’une simple pipe. Je prend une position encore plus chienne alors que des flashs immortalise ce moment. Je suis trop excitée pour réagir ou me plaindre (surtout qu’après ils m’ont envoyé les photos et encore aujourd’hui je me masturbe en les regardant).
Je sens son gland plastifié venir me titiller le mont de Vénus, je n’ai besoin d’aucune préparation du coup il s’enfonce d’un coup sec en moi. Il reste un moment bien planté, m’attrape par la taille et se met à me ramoner sauvagement. Je suis tellement excité que je jouis en seulement deux minutes.
Sa grosse queue me fait tant de bien que je me laisse totalement aller à gémir et me tortiller alors qu’il rentre et sort de mon sexe de plus en plus violemment. Je crois que sur le moment je n’ai pas réaliser ce que je faisais. Je me fais prendre sur le capot de ma voiture par un inconnu. Nous sommes sur le parking de la boite, n’importe qui peut nous voir et même m’entendre vu comme je gueule à chaque fois que son gland ouvre encore plus ma chatte.
Je le sens aller et venir en moi à un rythme de plus en plus rapide alors que son copain continue à faire des photos avec son téléphone. Je me déchaine en empêchant aucun son de sortir de ma bouche mais aussi en ondulant mon corps. Même s’il me maintient je recule pour le sentir encore plus profondément en moi.
Je sens déjà un second orgasme pointer le bout de son nez, j’exulte encore plus et pousse à fond pour le sentir au plus profond de mon sexe. Je sens mon élixir dégouliner de ma grotte sur mes cuisses. Mes muscles se contractent autour de sa tige qui, elle aussi se met à frétiller. Je me contracte encore plus pour bien le sentir contre mes parois internes.
Lui aussi se met à gémir de plus en plus fort, son copain fait encore des photos. J’ai l’impression d’être à la merci de cette queue qui n’arrête pas de me ramoner et surtout de me faire du bien. Je sens une chaleur démarrer au niveau de mon ventre et irradier le reste de mon corps. Ma peau se granule et j’ai des frissons qui parcourt tout mon corps.
Je reçois une fessée qui fait monter mon excitation d’encore un cran puis une deuxième. Mon baiseur se plante en moi et je le sens lâcher ses giclées. Quel dommage qu’il ne me remplisse pas vraiment avec sa semence, que je ne sente pas ses jets venir taper l’intérieur du vagin pour me donner encore plus de frissons. Je me contracte pour encore mieux le sentir vibrer.
Une fois qu’il s’est vidé dans la capote, il fait de petits vas et viens avant de se retirer totalement. Je reste dans cette position un moment avant de reprendre mes esprits et je reçois une nouvelle fessée qui me fait encore une fois frissonner. Quand je commence à reprendre mes esprits, je remonte ma culotte brésilienne et mon jean, je me retourne et découvre que les garçons m’ont déjà abandonné.
Un peu déçu je remonte dans ma voiture. Même si j’ai pris beaucoup de plaisir à sucer le premier, que j’ai eu deux orgasmes très puissants en me faisant baiser par le deuxième, je suis toujours excitée. Je roule le plus vite possible, sans dépasser la vitesse autorisée, je sens que je continue de dégouliner et ce n’est pas du sperme.
Une fois à la maison, je rebranche mon téléphone et découvre une bonne vingtaine de photos. Je m’admire bien cambrée avec cette belle queue qui rentre et sort de ma grotte dégoulinante. Je me déshabille entièrement et vais m’allonger dans mon lit pour me donner un dernier plaisir en repensant à ses deux mecs…
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