Une surprise de taille (suite et fin )
Récit érotique écrit par Seitan [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-09-2013 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Une surprise de taille (suite et fin )
Voici la suite et fin de mon histoire.
Donc J. m’appelle et me demande s’il peut venir le lendemain pour 16h. Pas de soucis, je lui dis que je souhaite franchement le revoir. Je dois avouer que j’ai envie d’aller plus loin avec lui (et honnêtement avec sa grosse bite).
Le lendemain 16h, il sonne à ma porte, toujours habillé en costume cravate. Immédiatement, il me prend dans ses bras et m’embrasse tendrement. Rapidement, nous sommes assis sur mon canapé on s’embrasse et on se caresse langoureusement. Puis, je le chevauche m’assois sur ses cuisses. Je défais un à un les boutons de sa chemise et commence à câliner son corps de mes mains, pendant que lui me caresse le dos puis descend hâtivement sur les fesses.
Je ne résiste pas longtemps à glisser une main vers son entrejambe pour deviner son excitation.
En effet, je discerne bien sa magistrale et imposante érection.
Ca me rend fou de désir je lui dis :
- on déplie le clic-clac ?
- oui, avec plaisir, on sera mieux.
- on va se mettre à l’aise aussi.
On se déshabille, et je remarque son boxer déformé pas son énorme sexe. Ensuite, on se retrouve allongés nus sur le clic-clac et je m’allonge sur lui tout en continuant à l’embrasser. Je ressens la taille superbe et désirable de son chibre contre le mien, qui parait tout petit à côté. Je ne peux pas me retenir de descendre très vite vers son bel objet. A genoux entre ses jambes, je le dégage de son carcan. Il apparait épais, très dur en grande forme. Avec ma bouche, je me jette sur son sexe pour le sucer. Mais ma bouche est toujours trop petite pour le prendre en entier. Je me contente de le lécher et de suçoter le gland gonflé et rouge comme une grosse fraise. Mes mains accompagnent les mouvements de ma bouche pour le branler. Il gémit :
- oui c’est bon !
Je change de position, je m’allonge sur le côté en position 69. Je reprends ma savoureuse fellation et j’aimerais qu’il fasse pareil mais il n’en est rien. Il va se concentrer sur mes fesses, les caresser, et les étreindre gentiment. Un de ses doigt humecté de salive, va même titiller mon anus et tente de pénétrer dans mon intimité. Je vais lui faciliter la tâche en me cambrant encore plus et en m’offrant entièrement à ses douces cajoleries. Mon cul ainsi excité, mon désir augmente rapidement. Cette fois-ci je veux que J. me pénètre de son gros membre. Et même si l’envie me taraude le bas ventre, j’ai un peu peur, vu la taille de sa queue.
Je lui pose la question :
- tu veux me prendre ?
- oui, j’ai envie, mais on va aller doucement. Je veux pas te faire mal.
Je sors préservatifs et gel. Je lui tends une capote qu’il met, moi je m’enduis abondamment la raie du cul de lubrifiant. Je lui demande de s’allonger sur le dos, de sorte que je contrôle la pénétration. Alors il s’allonge la queue enveloppée et bien lubrifiée. Je le chevauche et prends sa queue dans ma main. Je la sens énorme et extrêmement dure. Je la pose délicatement sur mon anus brûlant. J’essaie que sa queue entre en moi. Mais la tâche est très délicate. Le gland écarte les replis de mon trou. Aîe ! Ca me fait mal. Mais je vais faire très doucement et au bout de quelques minutes, en prenant toutes les précautions, très lentement, petit à petit, son gland ouvre mon anus. C’est gros, je sens mon cul largement dilaté, mais finalement, la sensation est terriblement agréable.
Je respire fort et essaie de me détendre au maximum pour aller encore plus loin. Après de longues minutes, je me sens totalement rempli, je pense que je ne peux pas en rentré plus. Je stoppe la pénétration pour que mon conduit se fasse à la largeur de son gourdin. Je me sens totalement ouvert, je souffle fort.
J. gémit de bonheur et il dit :
- va s’y, fais-toi du bien.
Avec prudence et très très lentement, je vais commencer les va-et-vient prudemment. C’est terrible, le plaisir est immense. Mon cul se met à remuer impudiquement sur sa bite. Je geins de bien-être. J. va me mettre une main devant la bouche pour éviter que j’ameute tout l’immeuble.
La jouissance va venir rapidement, mes mouvements deviennent de plus en plus frénétiques. Je ne ressens plus que sa bite dans mon cul j’ai l’impression qu’elle me remplit pleinement le corps. Maintenant je glisse sur son sexe profondément. Et, dans un dernier cri, à peine retenu par sa main devant ma bouche, je jouis en déversant une grande quantité de sperme sur son ventre.
Mon corps est pris de violentes convulsions. Je connais un véritable orgasme, qui m’irradie le corps tout entier.
Puis, tout s’arrête, le silence se crée et enfin, il se retire de moi et je m’écroule à ses côtés, épuisé, mais comblé de satisfaction. Je vais mettre plusieurs longues minutes a reprendre mes esprits. Quand je reviens à moi, je comprends, en voyant sur la table basse un préservatif rempli de sperme, que J. a jouis aussi, mais en silence. Enfin… Je crois, je n’ai pas fait attention tellement j’ai pris de plaisir. Il me sourit et m’embrasse à nouveau avec une infinie tendresse. Il se lève et se rhabille hâtivement.
Après, il vient vers moi, je suis toujours allongé sur le clic-clac en pleine extase, il me donne un dernier baiser en me disant :
- merci, c’était merveilleux, vraiment… Tu me plais beaucoup j’espère te revoir bientôt.
- quand tu veux, tu as mon numéro de tél.
- bisous à bientôt.
- oui à bientôt.
Un tout dernier baiser, puis il part.
A ce jour, il n’a pas encore rappelé.
Seithan
Donc J. m’appelle et me demande s’il peut venir le lendemain pour 16h. Pas de soucis, je lui dis que je souhaite franchement le revoir. Je dois avouer que j’ai envie d’aller plus loin avec lui (et honnêtement avec sa grosse bite).
Le lendemain 16h, il sonne à ma porte, toujours habillé en costume cravate. Immédiatement, il me prend dans ses bras et m’embrasse tendrement. Rapidement, nous sommes assis sur mon canapé on s’embrasse et on se caresse langoureusement. Puis, je le chevauche m’assois sur ses cuisses. Je défais un à un les boutons de sa chemise et commence à câliner son corps de mes mains, pendant que lui me caresse le dos puis descend hâtivement sur les fesses.
Je ne résiste pas longtemps à glisser une main vers son entrejambe pour deviner son excitation.
En effet, je discerne bien sa magistrale et imposante érection.
Ca me rend fou de désir je lui dis :
- on déplie le clic-clac ?
- oui, avec plaisir, on sera mieux.
- on va se mettre à l’aise aussi.
On se déshabille, et je remarque son boxer déformé pas son énorme sexe. Ensuite, on se retrouve allongés nus sur le clic-clac et je m’allonge sur lui tout en continuant à l’embrasser. Je ressens la taille superbe et désirable de son chibre contre le mien, qui parait tout petit à côté. Je ne peux pas me retenir de descendre très vite vers son bel objet. A genoux entre ses jambes, je le dégage de son carcan. Il apparait épais, très dur en grande forme. Avec ma bouche, je me jette sur son sexe pour le sucer. Mais ma bouche est toujours trop petite pour le prendre en entier. Je me contente de le lécher et de suçoter le gland gonflé et rouge comme une grosse fraise. Mes mains accompagnent les mouvements de ma bouche pour le branler. Il gémit :
- oui c’est bon !
Je change de position, je m’allonge sur le côté en position 69. Je reprends ma savoureuse fellation et j’aimerais qu’il fasse pareil mais il n’en est rien. Il va se concentrer sur mes fesses, les caresser, et les étreindre gentiment. Un de ses doigt humecté de salive, va même titiller mon anus et tente de pénétrer dans mon intimité. Je vais lui faciliter la tâche en me cambrant encore plus et en m’offrant entièrement à ses douces cajoleries. Mon cul ainsi excité, mon désir augmente rapidement. Cette fois-ci je veux que J. me pénètre de son gros membre. Et même si l’envie me taraude le bas ventre, j’ai un peu peur, vu la taille de sa queue.
Je lui pose la question :
- tu veux me prendre ?
- oui, j’ai envie, mais on va aller doucement. Je veux pas te faire mal.
Je sors préservatifs et gel. Je lui tends une capote qu’il met, moi je m’enduis abondamment la raie du cul de lubrifiant. Je lui demande de s’allonger sur le dos, de sorte que je contrôle la pénétration. Alors il s’allonge la queue enveloppée et bien lubrifiée. Je le chevauche et prends sa queue dans ma main. Je la sens énorme et extrêmement dure. Je la pose délicatement sur mon anus brûlant. J’essaie que sa queue entre en moi. Mais la tâche est très délicate. Le gland écarte les replis de mon trou. Aîe ! Ca me fait mal. Mais je vais faire très doucement et au bout de quelques minutes, en prenant toutes les précautions, très lentement, petit à petit, son gland ouvre mon anus. C’est gros, je sens mon cul largement dilaté, mais finalement, la sensation est terriblement agréable.
Je respire fort et essaie de me détendre au maximum pour aller encore plus loin. Après de longues minutes, je me sens totalement rempli, je pense que je ne peux pas en rentré plus. Je stoppe la pénétration pour que mon conduit se fasse à la largeur de son gourdin. Je me sens totalement ouvert, je souffle fort.
J. gémit de bonheur et il dit :
- va s’y, fais-toi du bien.
Avec prudence et très très lentement, je vais commencer les va-et-vient prudemment. C’est terrible, le plaisir est immense. Mon cul se met à remuer impudiquement sur sa bite. Je geins de bien-être. J. va me mettre une main devant la bouche pour éviter que j’ameute tout l’immeuble.
La jouissance va venir rapidement, mes mouvements deviennent de plus en plus frénétiques. Je ne ressens plus que sa bite dans mon cul j’ai l’impression qu’elle me remplit pleinement le corps. Maintenant je glisse sur son sexe profondément. Et, dans un dernier cri, à peine retenu par sa main devant ma bouche, je jouis en déversant une grande quantité de sperme sur son ventre.
Mon corps est pris de violentes convulsions. Je connais un véritable orgasme, qui m’irradie le corps tout entier.
Puis, tout s’arrête, le silence se crée et enfin, il se retire de moi et je m’écroule à ses côtés, épuisé, mais comblé de satisfaction. Je vais mettre plusieurs longues minutes a reprendre mes esprits. Quand je reviens à moi, je comprends, en voyant sur la table basse un préservatif rempli de sperme, que J. a jouis aussi, mais en silence. Enfin… Je crois, je n’ai pas fait attention tellement j’ai pris de plaisir. Il me sourit et m’embrasse à nouveau avec une infinie tendresse. Il se lève et se rhabille hâtivement.
Après, il vient vers moi, je suis toujours allongé sur le clic-clac en pleine extase, il me donne un dernier baiser en me disant :
- merci, c’était merveilleux, vraiment… Tu me plais beaucoup j’espère te revoir bientôt.
- quand tu veux, tu as mon numéro de tél.
- bisous à bientôt.
- oui à bientôt.
Un tout dernier baiser, puis il part.
A ce jour, il n’a pas encore rappelé.
Seithan
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