Une surprise en travestie - Partie 2: La rencontre avec Mourad, notre chauffeur Uber
Récit érotique écrit par gaston2010 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-08-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Une surprise en travestie - Partie 2: La rencontre avec Mourad, notre chauffeur Uber
Stéphane attrape son téléphone et pianote dessus. J’en profite pour parfaire mon ensemble et être présentable. Je ne m’étais jamais montrée comme cela devant lui, je n’avais pour le coup, jamais prévu de sortir en public vêtue de cette manière.
Allais-je passer inaperçue ? Peu de chance, si ma stature permettait de créer l’illusion, ma démarche ne serait en rien féminine et certains détails de mon visage ne pourraient être dissimulée.
Devant le miroir, cependant, je me sens belle, désirable et désirée.
Stéphane passe la tête par la porte : « tu es prête » ? Tout est réservé. Le chauffeur est là dans quelques minutes, descendons l’attendre. »
Evidemment, je n’avais pas prévu de sortir don rien pour mettre mes affaires. Une petite poche intérieure dans ma veste ne pouvait même pas recevoir mon téléphone.
« Tu n’as besoin de rien ce soir, soit tranquille ».
Je ne fis qu’un bisou en retour à cette phrase et m’attrapant pas le bras, Stéphane me guida vers la sortie de la chambre.
Arrivés devant l’ascenseur… personne. ouf. Je craignais que des voisins de chambres m’aient vue rentré en « homme ».
Stephane me glissa « Tu as voulu me surprendre… c’est réussi. Mais à partir de maintenant, profites de tous les instants pour le plaisir. Je m’occupe de tout le reste »
Le ding de l’ascenseur retenti coupant court à la résonance de cette phrase dont je n’ai compris que plus tard la signification complète. Nous rentrons dans la cabine : 12 étages à descendre.
Immédiatement à la fermeture des portes, je m’accroupi devant lui et libéra uniquement par la braguette sa belle queue que je la fourrai sans attendre dans ma bouche. Elle était au repos évidemment vu la quantité de foutre que je sentais couler au fond de mon cul mais je savais que cette petite attention lui ferait du bien et lui prouverait que j’avais compris (je pensais) le sens de ses paroles.
Plus les étages défilaient plus sa queue grossissait au fond de ma gorge. Bientôt le RDC, le hall principal, évidemment je ne pourrais pas le finir avant l’arrivée mais je voulais que sa bite déformant son pantalon soit aussi visible que mes disgracieux traits masculins derrière mon allure, il faut le dire salope.
Le ding final… il est temps de se relever, de ranger le matériel et de faire illusion pour cette traversée que j’imaginais périlleuse.
Etant bi sexuel, je ne manque pas l’occasion d’admirer le corps de femmes et des jolies jambes dans un bel ensemble de lingerie des talons haut et une robe très courte m’ont toujours fait beaucoup d’effet. Cet effet, je le retrouve aujourd’hui, de manière très agréable car clairement aucun des hommes que nous croisons dans le hall ne me regarde dans les yeux. Mes jambes et mon cul monopolisent les regards envieux : si seulement ils savaient que mon cul est rempli de jus et que seul mon plug empêche l’écoulement… Le hall de l’hotel n’est qu’une simple formalité tout comme l’attente su le parvis de notre Uber qui ne tarda pas d’arrivé.
C’est un beau van Mercedes noir qui se gare devant nous et le chauffeur descendit nous ouvrir la porte non sans reluquer rapidement nt mes fines jambes et mon cul moulé dans cette courte robe.
Nous grimpons dans ce véhicule immensément spacieux, qui sentait très bon et était très propre.
Le chauffeur ferma la porte et se réinstalla au volant, nous regardant dans le rétroviseur :
« Bonsoir Madame, Bonsoir Monsieur, Je suis Mourad, votre chauffeur. Je dois vous conduire au restaurant XXX situé rue XXX, est-ce exact ? »
Stéphane lui répondit que c’était exact et lui loua la qualité de son véhicule et de son accueil.
Mourad fixa mon regard toujours a travers le rétro et répondit « Il faut savoir être perfectionniste pour plaire et laisser un bon souvenir pour être plus tard recommander. Installez vous confortablement, nous avons pour 30minutes de route. Des boissons sont à votre dispositions dans les portières et faites comme chez vous »
C’est le regard de Stéphane que je croise… le « faites comme chez vous » raisonne comme un comme le feu vert pour profiter l’un de l’autre.
Discrètement, Stéphane glisse sa main sur la cuisse, chatouillant le bout de ma queue avec son doigt… sans réaction, évidemment, je ne suis guère stimulée par ce côté. Je lui rends cependant la pareille sentant a travers la fine toile de son costume la protubérance de sa verge allongée sur sa cuisse et qui, au fur et a mesure des caresses semble reprendre de la vigueur…
De 2 doigts agiles, je sors sont braquemard par la braguette, laissant ses couilles bien au chaud. Seuls les quelques premiers centimètres dépassent du pantalon que je fais disparaitre entre les doigts mais bientôt, l’excitation arrivant, il m’était difficile voir impossible de cacher l’entièreté de sa masculinité.
« Je vois que Monsieur est en forme et que Madame est attentionnée… c’est toujours un plaisir de transporter des couples amoureux » dit Mourad, rompant le silence installé depuis notre départ…
Stéphane et moi arrêtons immédiatement notre jeu… prise la main dans le sac…
Je le vois froncer les sourcils et s’apprêtant a remettra le chauffeur a sa place, j’entends Stéphane lui dire « Ecoutez Mourad… Vous nous avez dis de faire comme chez nous et c’est ce que nous faisons, mais il faut reconnaitre que nous ne formons pas un couple classique, vous l’aurez compris »…
Mourad acquiesce
« Il se trouve que Madame, comme vous dites, est beaucoup plus attentionnée que je suis en forme… la dernière heure passée en sa compagnie nécessite un peu de repos et, si ce n’est trop vous demandez, j’aurais espéré que vous puissiez vous stopper dans un endroit discret afin que « Madame » puisse vous montrer toute l’attention que vous méritez… qu’en pensez-vous ? »
Mes yeux s’écarquillent en entendant cela… Stéphane est en train de m’offrir au chauffeur… il est mignon, propre et maniéré, rien de repoussant au contraire mais je pensais restée a lui…
« Ne t’en fait pas ma chérie, nul doute que Mourad saura se montrer perfectionniste pour te laisser un bon souvenir et que tu puisses le recommander plus tard… »
Mourad, très peu surpris répondit « Bien Monsieur, si cela peut vous satisfaire, je vous bien donner suite à votre requête et je vous propose d’être votre chauffeur pour la soirée entière »
« Excellente idée » répondit Stéphane.
Le silence s’installe de nouveau dans le Van… Stéphane me glisse a l’oreille qu’il serait temps de montrer à notre chauffeur le beau bijou que je porte…
Me voilà donc à genou sur la banquette arrière, la jupe relevée, ficelle du string écartée, Stéphane jouant avec mon plug laissant suinter son jus a la commissure de mon trou…
Mourad rentra dans un des rares parking dans lequel le gabarit de sa voiture permet de rentrer et descendit au niveau le plus bas… au fond… Personne en vue.
Il descendit du véhicule, remis sa chemise droite ainsi que sa cravate et fit les quelques mètres le séparant de la portière arrière. J’en profitais pour me remettre en position assise…
Il s’assis en face de moi, me regardant de la tête au pieds, les yeux pleins de malice ou de perversité…
Stéphane me relança : « voyons, ne laisse pas attendre Mourad… montre lui tes talents »
Je m’approchais donc de Mourad, plus musclé et bel homme que ce que je pensais, déposa mes lèvres sur les siennes et approchant mes mains de son nœud de cravate et des boutons de sa chemise. Il attrapa mes lèvres avec les siennes et entra sa langue en moi se déclarant prêt et en accord avec ce qui allait se passer dans ce van…
Je ne mis pas longtemps à lui ôter sa chemise tout en profitant de ses baisers et je puis caresser son torse glabre et muscler qui déjà mais faisait chavirer… Profitant d’une pause respiration de Mourad, mes lèvres s’échappent des siennes et descendent vers ses tétons et ses abdominaux qui, sans être marqués lui donnait un ventre très plat…
Il dégrafa sa ceinture me signalant de la tête qu’il fallait descendre encore un peu… Je descendis donc plus au sud et, sortie de son costume noir, je découvrais une énorme queue marron clair, dessinée et veinée, circoncise…. Un joyau…
Je la gardais dans la main droite, faisant des vas et vient, caressant ses lourds testicules de ma main gauche… J’en ai vu des belles queues depuis des années mais celle-là est dans le top 10…
Je me penche en avant, installant ma langue sur la base de ses couille set remontant jusqu’à son gland… il est déjà dur comme de l’acier… je lâche un filet de salive sur son gland l’étalant de mes mains sur toute sa longueur… puis le pris en bouche… jusqu’à sa garde… non bien sûr, mais jusqu’à la mienne… il restait 4 ou 5 bon cm en dehors de ma bouche lorsque son gland sa calla au fond de ma gorge.
Mourad déposa délicatement ses mains sur mes joues puis commença a ma baiser la gorge… Habituée au bonne pipe en pacha qu’aime Stéphane pour lesquelles je garde la maitrise, je me suis fait surprendre mais la sensation n’est pas désagréable… Au final, Stephane ne m’a-t-il pas dit de profiter de tous les instants ?? Je sors un court instant la queue de Mourad de ma bouche et lui dit du ton le plus cochonne que je pouvais imaginer « baise moi la bouche »…
Mourad se leva d’un coup et força sa queue au fond de ma gorge… les quelques cm manquants n’étaient plus et ses couilles s’écrasaient déjà sur mon menton… Dans un déferlement de puissance, Mourad me baisa la bouche près de 5 minutes non-stop m’infligeant des haut le cœur et des remontées que je refreinais pour lui faire profiter au mieux de ma gorge…et à ma grande surprise je senti, a l’aboutissement de son effort de longs jets chauds sur mon palet qui ne mis pas longtemps a reconnaitre le goût.
L’ardeur de Mourad retomba de manière immédiate…même si sa grosse queue était toujours très fièrement dressée…
Je m’appliquais a nettoyer son outil après avoir avalé tout son jus non sans profiter encore une fois ou deux de la longueur de sa tige…
Il avait le souffle court et le sourire sur les lèvres, satisfait de s’être séparé de ce que j’appellerais une bonne grosse dose de foutre.
Il prit le temps de se rhabiller proprement avant de retourner au volant… Stéphane déposa sa main sur ma cuisse me disant : « je suis si fier de toi ».
Allais-je passer inaperçue ? Peu de chance, si ma stature permettait de créer l’illusion, ma démarche ne serait en rien féminine et certains détails de mon visage ne pourraient être dissimulée.
Devant le miroir, cependant, je me sens belle, désirable et désirée.
Stéphane passe la tête par la porte : « tu es prête » ? Tout est réservé. Le chauffeur est là dans quelques minutes, descendons l’attendre. »
Evidemment, je n’avais pas prévu de sortir don rien pour mettre mes affaires. Une petite poche intérieure dans ma veste ne pouvait même pas recevoir mon téléphone.
« Tu n’as besoin de rien ce soir, soit tranquille ».
Je ne fis qu’un bisou en retour à cette phrase et m’attrapant pas le bras, Stéphane me guida vers la sortie de la chambre.
Arrivés devant l’ascenseur… personne. ouf. Je craignais que des voisins de chambres m’aient vue rentré en « homme ».
Stephane me glissa « Tu as voulu me surprendre… c’est réussi. Mais à partir de maintenant, profites de tous les instants pour le plaisir. Je m’occupe de tout le reste »
Le ding de l’ascenseur retenti coupant court à la résonance de cette phrase dont je n’ai compris que plus tard la signification complète. Nous rentrons dans la cabine : 12 étages à descendre.
Immédiatement à la fermeture des portes, je m’accroupi devant lui et libéra uniquement par la braguette sa belle queue que je la fourrai sans attendre dans ma bouche. Elle était au repos évidemment vu la quantité de foutre que je sentais couler au fond de mon cul mais je savais que cette petite attention lui ferait du bien et lui prouverait que j’avais compris (je pensais) le sens de ses paroles.
Plus les étages défilaient plus sa queue grossissait au fond de ma gorge. Bientôt le RDC, le hall principal, évidemment je ne pourrais pas le finir avant l’arrivée mais je voulais que sa bite déformant son pantalon soit aussi visible que mes disgracieux traits masculins derrière mon allure, il faut le dire salope.
Le ding final… il est temps de se relever, de ranger le matériel et de faire illusion pour cette traversée que j’imaginais périlleuse.
Etant bi sexuel, je ne manque pas l’occasion d’admirer le corps de femmes et des jolies jambes dans un bel ensemble de lingerie des talons haut et une robe très courte m’ont toujours fait beaucoup d’effet. Cet effet, je le retrouve aujourd’hui, de manière très agréable car clairement aucun des hommes que nous croisons dans le hall ne me regarde dans les yeux. Mes jambes et mon cul monopolisent les regards envieux : si seulement ils savaient que mon cul est rempli de jus et que seul mon plug empêche l’écoulement… Le hall de l’hotel n’est qu’une simple formalité tout comme l’attente su le parvis de notre Uber qui ne tarda pas d’arrivé.
C’est un beau van Mercedes noir qui se gare devant nous et le chauffeur descendit nous ouvrir la porte non sans reluquer rapidement nt mes fines jambes et mon cul moulé dans cette courte robe.
Nous grimpons dans ce véhicule immensément spacieux, qui sentait très bon et était très propre.
Le chauffeur ferma la porte et se réinstalla au volant, nous regardant dans le rétroviseur :
« Bonsoir Madame, Bonsoir Monsieur, Je suis Mourad, votre chauffeur. Je dois vous conduire au restaurant XXX situé rue XXX, est-ce exact ? »
Stéphane lui répondit que c’était exact et lui loua la qualité de son véhicule et de son accueil.
Mourad fixa mon regard toujours a travers le rétro et répondit « Il faut savoir être perfectionniste pour plaire et laisser un bon souvenir pour être plus tard recommander. Installez vous confortablement, nous avons pour 30minutes de route. Des boissons sont à votre dispositions dans les portières et faites comme chez vous »
C’est le regard de Stéphane que je croise… le « faites comme chez vous » raisonne comme un comme le feu vert pour profiter l’un de l’autre.
Discrètement, Stéphane glisse sa main sur la cuisse, chatouillant le bout de ma queue avec son doigt… sans réaction, évidemment, je ne suis guère stimulée par ce côté. Je lui rends cependant la pareille sentant a travers la fine toile de son costume la protubérance de sa verge allongée sur sa cuisse et qui, au fur et a mesure des caresses semble reprendre de la vigueur…
De 2 doigts agiles, je sors sont braquemard par la braguette, laissant ses couilles bien au chaud. Seuls les quelques premiers centimètres dépassent du pantalon que je fais disparaitre entre les doigts mais bientôt, l’excitation arrivant, il m’était difficile voir impossible de cacher l’entièreté de sa masculinité.
« Je vois que Monsieur est en forme et que Madame est attentionnée… c’est toujours un plaisir de transporter des couples amoureux » dit Mourad, rompant le silence installé depuis notre départ…
Stéphane et moi arrêtons immédiatement notre jeu… prise la main dans le sac…
Je le vois froncer les sourcils et s’apprêtant a remettra le chauffeur a sa place, j’entends Stéphane lui dire « Ecoutez Mourad… Vous nous avez dis de faire comme chez nous et c’est ce que nous faisons, mais il faut reconnaitre que nous ne formons pas un couple classique, vous l’aurez compris »…
Mourad acquiesce
« Il se trouve que Madame, comme vous dites, est beaucoup plus attentionnée que je suis en forme… la dernière heure passée en sa compagnie nécessite un peu de repos et, si ce n’est trop vous demandez, j’aurais espéré que vous puissiez vous stopper dans un endroit discret afin que « Madame » puisse vous montrer toute l’attention que vous méritez… qu’en pensez-vous ? »
Mes yeux s’écarquillent en entendant cela… Stéphane est en train de m’offrir au chauffeur… il est mignon, propre et maniéré, rien de repoussant au contraire mais je pensais restée a lui…
« Ne t’en fait pas ma chérie, nul doute que Mourad saura se montrer perfectionniste pour te laisser un bon souvenir et que tu puisses le recommander plus tard… »
Mourad, très peu surpris répondit « Bien Monsieur, si cela peut vous satisfaire, je vous bien donner suite à votre requête et je vous propose d’être votre chauffeur pour la soirée entière »
« Excellente idée » répondit Stéphane.
Le silence s’installe de nouveau dans le Van… Stéphane me glisse a l’oreille qu’il serait temps de montrer à notre chauffeur le beau bijou que je porte…
Me voilà donc à genou sur la banquette arrière, la jupe relevée, ficelle du string écartée, Stéphane jouant avec mon plug laissant suinter son jus a la commissure de mon trou…
Mourad rentra dans un des rares parking dans lequel le gabarit de sa voiture permet de rentrer et descendit au niveau le plus bas… au fond… Personne en vue.
Il descendit du véhicule, remis sa chemise droite ainsi que sa cravate et fit les quelques mètres le séparant de la portière arrière. J’en profitais pour me remettre en position assise…
Il s’assis en face de moi, me regardant de la tête au pieds, les yeux pleins de malice ou de perversité…
Stéphane me relança : « voyons, ne laisse pas attendre Mourad… montre lui tes talents »
Je m’approchais donc de Mourad, plus musclé et bel homme que ce que je pensais, déposa mes lèvres sur les siennes et approchant mes mains de son nœud de cravate et des boutons de sa chemise. Il attrapa mes lèvres avec les siennes et entra sa langue en moi se déclarant prêt et en accord avec ce qui allait se passer dans ce van…
Je ne mis pas longtemps à lui ôter sa chemise tout en profitant de ses baisers et je puis caresser son torse glabre et muscler qui déjà mais faisait chavirer… Profitant d’une pause respiration de Mourad, mes lèvres s’échappent des siennes et descendent vers ses tétons et ses abdominaux qui, sans être marqués lui donnait un ventre très plat…
Il dégrafa sa ceinture me signalant de la tête qu’il fallait descendre encore un peu… Je descendis donc plus au sud et, sortie de son costume noir, je découvrais une énorme queue marron clair, dessinée et veinée, circoncise…. Un joyau…
Je la gardais dans la main droite, faisant des vas et vient, caressant ses lourds testicules de ma main gauche… J’en ai vu des belles queues depuis des années mais celle-là est dans le top 10…
Je me penche en avant, installant ma langue sur la base de ses couille set remontant jusqu’à son gland… il est déjà dur comme de l’acier… je lâche un filet de salive sur son gland l’étalant de mes mains sur toute sa longueur… puis le pris en bouche… jusqu’à sa garde… non bien sûr, mais jusqu’à la mienne… il restait 4 ou 5 bon cm en dehors de ma bouche lorsque son gland sa calla au fond de ma gorge.
Mourad déposa délicatement ses mains sur mes joues puis commença a ma baiser la gorge… Habituée au bonne pipe en pacha qu’aime Stéphane pour lesquelles je garde la maitrise, je me suis fait surprendre mais la sensation n’est pas désagréable… Au final, Stephane ne m’a-t-il pas dit de profiter de tous les instants ?? Je sors un court instant la queue de Mourad de ma bouche et lui dit du ton le plus cochonne que je pouvais imaginer « baise moi la bouche »…
Mourad se leva d’un coup et força sa queue au fond de ma gorge… les quelques cm manquants n’étaient plus et ses couilles s’écrasaient déjà sur mon menton… Dans un déferlement de puissance, Mourad me baisa la bouche près de 5 minutes non-stop m’infligeant des haut le cœur et des remontées que je refreinais pour lui faire profiter au mieux de ma gorge…et à ma grande surprise je senti, a l’aboutissement de son effort de longs jets chauds sur mon palet qui ne mis pas longtemps a reconnaitre le goût.
L’ardeur de Mourad retomba de manière immédiate…même si sa grosse queue était toujours très fièrement dressée…
Je m’appliquais a nettoyer son outil après avoir avalé tout son jus non sans profiter encore une fois ou deux de la longueur de sa tige…
Il avait le souffle court et le sourire sur les lèvres, satisfait de s’être séparé de ce que j’appellerais une bonne grosse dose de foutre.
Il prit le temps de se rhabiller proprement avant de retourner au volant… Stéphane déposa sa main sur ma cuisse me disant : « je suis si fier de toi ».
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