Une surprise inattendue - histoire érotique

Coucou mes lecteurs, me revoilà pour vous faire partager un autre rêve érotique que je vais transcrire sous forme d’une histoire érotique. Alors voilà, il y a quelques jours ou plutôt quelques nuits, dans un profond sommeil, j’ai fais un super rêve qui m’a transporté au-delà de l’extase.
Tout d’abord, dans ce rêve, j’habitais dans mon appartement (si c’était pour du vrai, ma vie serait très mouvementée), je travaillais à mi-temps, ce qui me laissait du temps pour continuer à voir mes potes et notamment le très sexy Théo.
Un jour, au courrier, j’ai reçu une lettre de Théo, me demandant de mes nouvelles mais également de lui rendre un service. Dans sa lettre, Théo me demandait s’il pouvait venir chez moi pour passer une journée et une nuit pour passer « de bons moments » comme il me l’a si bien dit.
Sur le coup, j’ai cru à une blague de sa part, j’ai donc décidé de l’appeler pour vérifier sa demande. Il m’a confirmé sa demande, j’ai donc accepté de lui rendre ce service, ce qui n’était pas pour me déplaire.
On s’est mis d’accord sur une date, ce qui fut fais le week-end suivant, il devait donc venir le samedi dans la matinée et il aurait passé la nuit chez moi pour repartir le dimanche.
Il m’appela le vendredi en fin d’après-midi après son boulot.
« Salut Mallaury, c’est Théo, comment vas-tu ? »
« Salut Théo, je vais bien et toi ? »
« Je vais bien merci, je t’appelle pour te confirmer ma venue chez toi. »
« Ok, c’est gentil, c’est toujours Ok pour demain dans la matinée ? »
« Ben en fait, si je te disais que je suis en bas de ton immeuble, que dirais-tu ? »
« Je trouverais ça drôle et je ne te croirais pas, sachant que tu viens de finir ta journée de travail. »
« Justement, comme j’ai travaillée sur Laon aujourd’hui, j’ai demandé à mon frère de me déposer devant chez toi après le boulot, et là, je suis en bas, regarde par la fenêtre si tu ne me crois pas ! »
En effet, quand j’ai regardé par la fenêtre, j’ai vu Théo au téléphone regardant dans ma direction. Je n’en croyais pas mes yeux. En tout cas, il sait très bien me surprendre et j’adore ça de lui. Je lui ai donc dit :
« Waouh, quelle surprise ! Vas-y monte, je t’ouvre, à tout de suite. »
« A tout de suite ma belle ! »
J’ai ouvert ma porte, j’ai attendu sur le palier que Théo monte les 3 étages. Quand je l’ai enfin aperçu, mon cœur s’est mit à battre à 100 à l’heure, comme à chaque fois que je suis en sa présence. Il avait un énorme baluchon rejeté sur son épaule. J’en ai déduis que c’était sûrement ses affaires pour le week-end.
Arrivé à ma hauteur, il s’est approché de moi, j’ai tendu la joue pour lui faire la bise et c’est alors qu’il m’a prise au dépourvu en m’embrassant fougueusement sur la bouche. Son baiser me coupa le souffle. C’est vrai que cela faisait un moment que l’on ne s’était pas vu mais je ne m’attendais pas à un tel bonjour.
Je le fis entrer, il déposa son sac à l’entrée, dans le vestibule à manteaux. Il connaissait les lieux, ce n’était pas sa première visite.
« Vas-y Théo, installe-toi, fais comme chez toi. »
Il se dirigea vers le canapé pour s’y installer.
« Tu veux quelque chose à boire ? »
« Non merci Mallaury, en fait, j’ai quelque chose à te proposer ! »
« Je t’écoute, je suis toute ouïe. »
« J’aimerais que tu te bandes les yeux, car j’ai quelque chose à te montrer ! »
« Ok, donnes- moi ton foulard. »
Je me suis approchée de lui, près du canapé. Il me banda les yeux et vérifia que je ne voyais absolument rien. Il me fit asseoir dans le canapé et me dit :
« Installes-toi confortablement et détends-toi ! »
Je m’exécutai avec une appréhension dissimulée. Je l’entendis ouvrir son sac, prendre des affaires et ouvrir une porte puis la refermer. Visiblement, il était entré dans ma chambre. Le temps qu’il fut dans la pièce me parut interminable. Il ressortit, je l’entendis se diriger vers moi, il passa devant moi et je l’entendis mettre un CD sur ma chaîne-hifi, sans lancer la musique.
Il s’approcha de moi et me glissa à l’oreille :
« J’ai une surprise pour toi, en fait, c’est pour te remercier de m’avoir aidé à réaliser l’un de mes fantasmes. »
« Tu parles du fantasme de la lingerie et du grand manteau, lorsque je suis venue chez toi habillée ainsi ? »
« Oui, je parle de celui-là. Je sais que cela fait un moment que nous l’avons réalisé, mais cela fait quelques temps que je cherche quelque chose pour te rendre l’appareil. »
« Continues, tu attises ma curiosité, mais je n’ai pas fais cela pour que tu me fasses quelque chose en retour, je l’ai fais par plaisir. »
« Je le sais très bien, mais à mon tour, je veux te faire plaisir, et te connaissant bien, je pense que cela va te plaire et même t’exciter ! »
« D’accord, je demande à voir alors ! »
A ces mots, il m’a retiré le bandeau des yeux, j’ai cligné des yeux pour me réhabituer à la lumière. J’ai alors découvert Théo dans une tenue de pompier sexy, les tenues que les chippendales utilisent lors de leur spectacle de strip-tease. Je l’ai regardé avec de grands yeux ébahis et la bouche grande ouverte. Je n’en revenais pas que Théo avait mis en place une telle surprise rien que pour moi.
« C’est pour toi, je t’ai préparé un show, uniquement pour tes yeux, mais sois indulgente avec moi, cela reste très amateur. »
Cela m’a fait rire, car d’habitude, c’est un mec plutôt libéré et en osmose avec son corps, et à ce moment là, il avait l’air gêné.
« Ne t’inquiète pas, quoi que tu fasses, ce sera sexy et j’ai hâte d’apprécier le spectacle ! »
Il lança la musique à distance avec la télécommande, et il se retourna. Il avait choisi comme musique celle du film « The Full Monty » quand les apprentis chippendales dansent. (celle de Joe Cocker – You Can Leave Your Hat On). Je me suis installée plus confortablement dans le canapé.
Dans sa tenue, il portait le pantalon « d’intervention » avec les bretelles, qu’il portait à même la peau, torse nu. Il portait également le casque, les gants et les bottes, bref la panoplie complète du pompier sexy voulant mettre le feu.
Il commença à trémousser son corps bronzé et musclé. Il avait un sacré déhanché qui faisait onduler ses hanches très sensuellement. J’étais aux anges, je ne perdais pas une miette de son show. Il passait ses mains sur son corps, il fit descendre les bretelles de sa tenue, il se tourna puis remua ses fesses bien galbées. Il s’approcha de moi et me prit les mains pour les poser sur son torse brûlant.
Ce spectacle m’excitait, je salivais de le voir se déhancher ainsi et de jouer les strip-teaseurs rien que pour moi. Il me regardait en passant sa langue sur ses lèvres de façon très torride. Je n’en pouvais plus, ma respiration était sourde et rapide, je sentais mes seins se durcirent à travers mon débardeur et ma chatte se contractait dans mon jean.
Il se frottait langoureusement à moi, une lueur d’excitation sensuelle brillait dans son regard quand il me regardait. Il dégrafa son pantalon en tirant dessus comme les pros, il s’est retrouvé en boxer léopard devant moi. Ce boxer lui allait à la perfection et faisait ressortir ses fesses comme jamais.
Je n’avais qu’une envie à ce moment là : me jeter sur lui. Il retira ensuite son casque, ses gants et jeta ses bottes. Quand la musique se termina, il se jeta à genoux devant moi. D’une voix essoufflée, il me demanda :
« Alors, comment as-tu trouvé le spectacle ? »
Encore envoûtée par son corps et son strip-tease, je lui dis :
« J’ai adoré, tu m’avais caché que tu avais un tel talent de danseur / strip-teaseur ! »
« Sérieux, sois franche, tu n’as pas trouvé cela débile ? »
« Mais non, au contraire, tu m’as scotché mais surtout tu m’as excitée comme une folle et j’ai à présent l’envie de te faire l’amour ! »
A ces mots, je me suis levée, et je l’ai embrassé sauvagement pour lui montrer mon envie de lui. Puis tellement excitée, je le poussa dans le canapé, je lui ôtais son boxer puis je me suis agenouillée devant lui à la hauteur de son entrejambe. Il me regardait en se léchant les lèvres tout comme je le regardais.
Je saisis son sexe dans ma main, je décalottais son gland et posa mon autre main sur son torse moite et j’ai alors englouti sa queue au fond de ma bouche jusqu’à la garde. Il soupira de plaisir et bafouilla :
« Ouais, vas-y c’est trop bon ! »
Je sentais sa queue grossir et grandir sous ma langue qui glissait sur toute la longueur. Il posa la tête sur le haut du canapé et détendit son corps totalement. Par moment, je le regardais droit dans les yeux tout en léchant son gland gonflé. Il gémissait d’une voix rauque tout en passant régulièrement sa langue sur ses lèvres.
Il m’attrapa les épaules, me retira mon débardeur d’un geste vif et viril et dégrafa mon soutien-gorge tout aussi rapidement. Il caressa mes seins alourdis par l’excitation pendant que je continuais ma fellation. Il me retira mon jean et mon boxer. Il me releva et me posa sur le canapé. Il m’écarta les jambes presque en grand écart et avala mon sexe très avidement.
Il léchait mes grandes lèvres qui commençaient à couler, il aspirait mon clitoris, le faisait rouler sous sa langue pierçée. Je cambrais les reins tellement c’était bon. Je gémissais, je couinais, j’haletais rapidement sous son divin cunni. Il caressait mes seins avec son autre main, jouait avec mes tétons qu’il pinçait entre ses doigts agiles.
Il tirait dessus pour les rendre encore plus érectiles qu’ils ne l’étaient déjà. Il remonta sa bouche vers mon ventre en passant sa langue sur mon nombril puis attrapa mes seins entre ses lèvres. Il les happa goulument et titillait mes tétons avec sa langue chaude et frémissante.
Il inséra en même temps ses doigts longs et épais dans mon intimité brûlante. Il accéléra ses mouvements en moi. Je sentais ses doigts qui dansaient au plus profond de mon sexe. Je le sentais couler, sous ses va-et-vient puissants et de plus en plus rapides.
Tout à coup, je me sentis partir, mon corps était assailli de bas en haut par Théo et ses caresses expertes et efficaces. Mon corps frémissait et se cambrait, et je jouissais intensément et bruyamment.
Je regardais Théo avec un regard fiévreux et une respiration haletante.
« Visiblement, tu as aimé mon spectacle ? »
« Oh oui, mais ce n’est que le début, j’ai bien l’intention de t’épuiser après ce que tu viens de me faire subir ! »
« Et m’épuiser comment ? »
« Tu vas vois, déjà, tu me dois un puissant orgasme, et tu vas me le donner, je te le garantis ! »
« Mais je ne demande que ça, épuises-moi, possèdes-moi, fais de moi ce que tu veux !! »
Après ce premier orgasme très intense, j’ai décidé de profiter au maximum de Théo et surtout de son corps charnel, fait pour le sexe. Je me suis levée, je me suis dirigée vers un placard où j’ai sorti une paire de menottes en fourrure que j’ai montré à Théo pour lui faire comprendre mon intention de jouer avec lui.
Je me suis avancée vers lui en me déhanchant et en jouant avec les menottes tout en lui lançant des regards aguicheurs et en me passant la langue sur les lèvres. Arrivée à sa hauteur, je l’ai poussé sur le canapé et je lui ai dit de me tendre ses mains. J’ai attaché les menottes autour de ses poignets.
Je suis redescendue sur sa queue toujours en érection et j’ai recommencé à le sucer avec appétit en veillant bien qu’il laisse ses mains tranquilles, je guidais moi-même mes mouvements, je glissais ma bouche sur la longueur de son sexe, je suçotais son gland rougi par l’excitation, je faisais couler de la salive pour mieux lubrifier sa queue, je léchais ses couilles tout en masturbant sa queue.
Il gémissait de plus en plus fort. Je me suis arrêtée pour éviter qu’il ne gicle trop vite. Je l’ai embrassé puis je suis venue m’asseoir sur lui en posant mes jambes de chaque côté des siennes pour me laisser glisser sur son sexe bien lubrifié et m’empaler au plus profond.
Il poussa un long soupir de plaisir en mettant ses mains menottées au-dessus de sa tête en les posant sur le dessus du canapé. Je me suis mise à bouger tendrement puis de plus en plus vite, tout en caressant son torse musclé, en titillant ses tétons durcis par mes caresses. Il avait fermé les yeux pour se laisser totalement aller à son plaisir, moi je continuais de bouger en alternant les mouvements lents, rapides puis sauvages.
Je couinais pendant que Théo gémissait. Il redescendit ses mains pour me pousser sur le côté, pour me placer en levrette, il m’a attrapé violement les hanches malgré ses mains attachées, il plaça sa queue raide et fière à l’entrée de mon intimité et entra d’un seul coup, profondément, il appuyait sur mes reins pour que je me baisse plus et surtout pour que je cambre plus le dos, pour accentuer sa pénétration bestiale.
Je sentais ses couilles qui claquaient le long de mes fesses, il se pencha sur moi pour venir m’embrasser dans le cou mais également me lécher les lobes de mes oreilles, je frissonnais.
Pendant ce temps, j’avais glissé ma main dans mon dos pour que mes doigts atteignent mes fesses. J’avais au préalable, enduis mes doigts de salive et j’ai alors commencé à introduire un doigt entre mes fesses puis un second pour débuter ma préparation anale.
Théo, ayant remarqué ce que j’étais en train de faire, se releva puis sorti de ma chatte ruisselante, puis prit la relève de mes doigts. Il cracha de la salive sur mon anus et m’introduisit ses longs doigts virils. J’adorais le sentir au plus profond de moi. Il faisait aller et venir ses doigts. Je sentais mon cul se détendre sous ses doigts agiles. Entre 2 pénétrations anales avec ses doigts, il me chuchota à l’oreille :
« Mallaury, détaches-moi les mains s’il-te-plaît, ce n’est pas facile pour te préparer à la sodomie ! »
J’ai alors ouvert les menottes pour libérer ses mains. Il recommença à insérer ses doigts en moi, mais ce coup-ci, il y avait mis 3 doigts qui glissaient aisément et ressortaient aussi facilement. Avec son autre main, il caressait mes seins en alternant caresses et pincements.
Je me cambrais pour recevoir ses doigts au mieux. Soudain, il approcha sa queue à l’entrée de mon cul puis poussa et sa queue entra sans difficulté, il entra progressivement pour arriver à entrer sa longue queue en totalité.
Il m’agrippa les hanches pour intensifier la sodomie, sa pénétration me transporta direct au plus haut de l’extase, ma respiration était sourde et saccadée, la sienne était rauque, virile et rapide. Pour accentuer mon plaisir, je glissais l’une de mes mains entre nos jambes pour aller à la rencontre de mon clitoris.
Au passage, j’en profitais pour caresser les couilles de Théo pendant sa pénétration anale. Je frottais mon clitoris en le lubrifiant avec ma sécrétion vaginale, j’accélérais mes mouvements, je commençais à jouir en lâchant des cris de plus en plus rapides, pendant que Théo accélérait ses mouvements dans mon cul à présent bien dilaté.
Cette sodomie était puissante, bestiale et torride. Théo gémissait de plus en plus fort tout en s’agrippant plus violement à mes hanches et en m’écartant au maximum mes fesses pour mieux faire glisser sa queue. Entre la sodomie intense de Théo et ma masturbation, je jouissais pour la seconde fois en hurlant de plaisir, en respirant comme une bête en rut.
Et soudain, il me pénétra plusieurs rapidement et plus profondément encore qu’avant et grognait de plaisir, il sortit sa queue et éjacula sur mes fesses. Je sentis son sperme se répandre sur mon cul et mes cuisses. J’approchais ma main pour récupérer son sperme qui coulait en l’étalant.
Il s’appuya et s’approcha de moi pour m’embrasser et me chuchota encore essoufflé :
« Le voilà ton orgasme, j’ai adoré te la mettre dans le cul, il est si accueillant et profond ! »
« J’en avais envie et je ne savais pas comment faire autrement pour te le faire comprendre dans l’action ! »
« C’est réussi, tu m’as épuisé et cela faisait longtemps que je n’avais pas joui comme ça ! »
On a filé à la douche pour se calmer. On s’est ensuite posés dans le canapé avec une cigarette tous les 2 enlacés. Théo me dit alors :
« Sympa le coup des menottes, j’ai adoré être attaché et dévoué rien que pour toi ! »
« Contente que cela t’ai plu, je n’ai pas pu résister à t’attacher après le show torride que tu m’avais fait, juste retour du plaisir ! »
On a terminé notre petit week-end improvisé en se baladant mais surtout à se donner du plaisir mutuel.


A la prochaine mes lecteurs.