Une tante à initier - histoire érotique

Lucien, prof dans une université est un travailleur acharné. Dès que ses cours sont terminés, il s'enferme dans son bureau, et ne sort que pour prendre ses repas, prendre sa douche et monter se coucher. De ce fait, il néglige sexuellement sa femme Maryse, mariée très jeune, elle n'a connu qu'un seul homme, Lucien.

Le soir, sa femme monte se coucher, en attendant désespérément la venue de son mari. Pour finir, la pauvre femme, doit se satisfaire digitalement, pour obtenir l'orgasme que son mari, négligent, ne lui donne pas. Plus intellectuel que manuel, Lucien est nul en bricolage. Pour les moindres travaux manuels, Maryse doit avoir recours à son neveu Morgan, ce jeune homme d'une vingtaine d'années, est un solide gaillard, qui ne refuse jamais son aide à sa tante.

Un jour, elle achète des tringles à rideaux, et demande à Morgan de vernir, poser les supports. Le bougre se réjouit de revoir sa tante, car, elle ne le laisse pas indifférent. Il arrive, embrasse sa tante, entrouvre la porte du bureau pour saluer son oncle qui à la tête plongée dans ses dossiers. Sans attendre, il referme la porte et ôte sa chemise pour être à l'aise.


Comme il est grand, une chaise suffit, il manie la perceuse et le tourne vis comme un pro. Une fois les supports fixés, il laisse sa tante installer le rideau.


Elle monte sur la chaise, mais étant plus petite que son neveu, jambes légèrement écartées, elle se hisse sur la pointe des pieds. C'est en équilibre et bras tendus, qu'elle tente de fixer le rideau sur la tringle.
La position d'acrobate fait que sa jupe remonte en découvrant une grosse partie de ses cuisses.


Morgan a les yeux rivés sur les cuisses de sa tante qui se débat comme un beau diable pour accrocher le rideau. Vicieusement le gredin se penche légèrement, il aperçoit la culotte. Le tissu par l'effort que fait la tante est inséré profondément dans le large sillon qui sépare les deux lobes fessiers, il voit aussi que le fin tissu est également enfoncé entre les grandes lèvres vaginales, en les gainant magnifiquement.

Il déglutit en salivant fortement, une émotion terrible déforme son pantalon. Soudainement, Maryse perd l'équilibre, heureusement pour elle, Morgan la rattrape et les deux chutent sur le sol sans faire de bobo. Les visages sont très près l'un de l'autre, les deux éclatent de rire. Les souffles chauds se mêlent. Maryse, allongée sur son neveu, a sa poitrine sur le torse du jeune homme. Le bougre la cramponne si fort, qu'il sent les mamelons appuyés sur ses pectoraux. Maryse sent contre son bas-ventre la grosse bosse, elle sourit sans rien dire.

Une fois debout, Maryse remonte sur la chaise. Morgan, très vigilant, tient sa tante juste au bas des cuisses. Maryse sent les mains fébriles glisser doucement sur sa peau. Morgan la serre fortement, pour qu'elle ne rechute pas. Il pose sa joue sur la cuisse dénudée. Il a juste à lever les yeux pour voir les fesses bien rebondies de sa tante. Elle sent la respiration de son neveu s'accélérer, et cela la fait frissonner.


Le coquin tourne la tête et pose ses lèvres sur la cuisse de l'acrobate, pour y donner un baiser. Maryse frissonne, mais enfin, elle réussit, enfin, à accrocher le fameux rideau. Morgan la tient encore un moment avant que sa tante lui dise :

-C'est fini, tu peux me lâcher Morgan !

Lorsqu'elle descend de la chaise, il desserre son étreinte, et la laisse glisser le long de son corps en la maintenant toujours plaquée contre lui.
Maryse, en glissant contre le corps de Morgan, sent parfaitement l'érection qui lui laboure le ventre. Les deux se regardent longuement, Maryse semble troublée par la grosseur qui appuie sur son ventre. Enfin, les deux corps se séparent.
Maryse propose un verre à son neveu. Les deux prennent place au salon et trinquent.

Maryse est en face de son neveu, le coquin ne quitte pas des yeux les cuisses de sa tante. Morgan se fait plus audacieux, il complimente sa tante sur ses formes et sa beauté, Maryse rougit, en baissant les yeux. Il lui dit vicieusement :

-Avec un corps comme le tient, tonton doit bien se régaler, hum, il doit te faire des choses, que j'ose à peine imaginer !

Maryse en soupirant répond :

-Il ne s'en sert même pas, il est trop occupé avec ses dossiers !

-Morgan sursaute et réplique :

-Tu veux me dire qu'il te néglige ?

La tante, en se pinçant les lèvres, secoue la tête affirmativement. Morgan la regarde intensément et dit :

-Moi si j'avais une femme comme toi, je passerai mes journées au lit avec elle, je lui ferai des choses qu'elle n'oublierait jamais !

Les yeux de Maryse s'illuminent, elle reverse un verre et avec une certaine curiosité, demande :

-Ah, tu lui ferais quoi à cette femme ?

Morgan se lève et en se penchant à son oreille, lui murmure des choses. Maryse écarquille les yeux, et lève la tête vers lui, et répond :


-Ouah, mais c'est cochon ça, ah, tu lui ferais ça, comment est-ce possible une chose pareille !

En souriant, Morgan lui dit :


-Oh oui, et je lui ferais bien plus que ça, tu peux me croire !

Les deux en buvant parlent de sexe sans tabou. Les verres se suivent, les langues se délient. Maryse, un peu grisée, parle des rares éteintes, qu'elle a avec son mari, et ose entrer dans les détails. Morgan apprend, que sa tante est une novice question sexe, et qu'elle a beaucoup à apprendre. Il pose ses mains sur ses épaules et les masse longuement. Il lui murmure en lui donnant quelques petits baisers sur la nuque et sur le cou :

-Maryse, si tu le souhaites, je ferai de toi une amante extraordinaire, il faut prendre le plaisir là où il est, réfléchit, nous ne sommes pas éternels !

Doucement, le neveu passe ses mains sur le torse de sa tante, et lui empoigne les seins au travers le t-shirt, il les presse doucement. Maryse souffle comme un dragon, puis se reprend. Elle demande à son neveu d'être moins audacieux. Un peu déçu, il rejoint son fauteuil, en disant :

-Pense à ce que je t'ai proposé, tu seras une femme comblée !

En disant ça, le coquin caresse la bosse qui déforme son pantalon. Maryse ravale sa salive, elle est rouge comme une pivoine. Sans se démonter, Morgan lui demande :

- Remonte ta jupe Maryse, et écarte les cuisses !

La tante défaille, elle se dit que son neveu est devenu fou. Morgan toujours en se caressant la verge au travers du pantalon, insiste :

-Vas-y, ouvre tes jambes !

Maryse en ravalant sa salive, ouvre doucement les jambes, comme sa jupe est courte, elle remonte sur ses cuisses. Morgan en souriant dit :

-Retrousse-la au maximum !

Sans volonté, presque anesthésier par les paroles de son neveu, Maryse remonte le plus possible sa jupe. Morgan la regarde et en l'encourageant dit :

-Fais comme moi, caresse-toi !

Morgan, extirpe de son pantalon sa verge dure comme du béton et commence un doux branlage. Maryse écarquille les yeux en voyant l'engin qui semble redoutable, c'est le deuxième membre qu'elle voit dans sa vie, cela l'impressionne, car il est de bonne taille. Morgan insiste encore :

-Vas-y, vas-y, tu m'as dit que le soir, tu te masturbais, montre-moi comment tu fais !

Les yeux de la tante s'embuent, timidement, elle pose sa main sur son entrejambe, et la fait glisser doucement sur son sexe. Morgan ajoute :

-Écarte ta culotte et branle-toi, prends ton plaisir ma chérie !

Comme inconsciente, elle écarte d'une main le fin tissu, et de l'autre, saisit comme elle le fait assez souvent son clito et le branle. Les deux sans quitter du regard le sexe de l'autre se masturbent de plus en plus vigoureusement. Maryse et la première à jouir, elle se cabre et en gémissement explose, elle se mord la main pour ne pas hurler son plaisir.

Morgan gicle comme un geyser, sa tante reste hagarde, en contemplant le spectacle. Il sort son mouchoir et essuie les dégâts. Maryse reste un moment tétanisée, avant de rabaisser sa jupe. Son neveu se lève et s'approche s'elle, il se penche sur elle et l'embrasse à la commissure des lèvres et dit :

-Je suis sûr ma chérie que tu es une amante merveilleuse, je sens en toi des capacités remarquables, si tu veux devenir une bonne amante, appelle-moi !

Morgan part, en embrassant une nouvelle fois sa tante. Après le repas, et sa douche, elle enfile sa nuisette, et monte dans sa chambre. Elle se laisse tomber sur le lit en regardant le plafond, elle est ailleurs. Elle se remémore la scène de masturbation et revoir encore la main de son neveu agiter son membre énorme. Elle pousse de nombreux soupirs, puis glisse sa main sous sa nuisette et entreprend un branlage féroce en pensant à son neveu.

Sûre de ne pas être dérangée par son mari, elle se masturbe de nombreuses fois en rugissant comme un fauve, et en marmonnant à chaque jouissance le nom de son neveu. Sa nuit fut très agitée, elle se lève le matin avec de grosses cernes sous les yeux, ses traits sont tirés. Son mari a préparé le petit déjeuner, il est à table. Elle l'embrasse et prend place.

Elle avale son café rapidement, mais reste à table en rêvant. Lucien la regarde et lui demande :

-Ca ne va pas la chérie, tu es pensive !

Elle soupire et répond :

-Non tout va bien mon chéri, j'ai mal dormi rien de plus !

Rassuré, Lucien prend sa sacoche et part pour l'université. Maryse est nerveuse, elle serre les poings, elle hésite à faire appelle à son neveu pour qu'il fasse d'elle une vraie femme. Elle ronchonne, se pose beaucoup de questions. Elle se dit que si elle accepte la proposition de son neveu, n'est rien d'autre qu'une pute. Et si elle refuse, elle perd la chance de connaitre des jouissances fabuleuses.

Elle tourne en rond, bâcle se qu'elle fait, rien ne l'intéresse. C'est en se pinçant fortement les lèvres, qu'elle prend enfin une décision. Elle appelle son neveu :

-Morgan, j'ai longuement réfléchi à ta proposition de faire de moi une amante exceptionnelle, j'accepte, tu viens quand !

Tonton, n'est pas là, alors, j'arrive tout de suite ma chérie, tu vas être la femme ma plus heureuse au monde !