Une toilette intime
Récit érotique écrit par Eudes [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-03-2021 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Une toilette intime
Une toilette surprise
Cette histoire est vécue, et j'ose vous la raconter simplement, ce récit sera un peu court mais tout de même assez explicite avec mes mots.
Dans le milieu de l'été notre vicaire Anatole s'est fait renverser par un scooter alors qu'il traversait sur un passage clouté. Il faut le transporter à l'hôpital le plus proche. Conclusions : omoplate et clavicule gauches cassées et radius et coude droits fracturés. Donc vous comprenez il est ressorti avec deux orthèses d'immobilisation pour six semaines. Il a regagné son habitat, le presbytère, mais impossibilité d'utiliser pour tous les gestes de la vie et du quotidien ses deux bras pendant cette durée.
Je suis assez engagé dans la paroisse et une bonne semaine après son retour le Curé me téléphone, il est obligé de partir subitement pour quelques jours. Il me demande si je peux venir aider "Anatole afin de le remplacer pendant ce temps pour ses repas et peut être aussi quelques autres activités. En cette période cela était possible pour moi malgré quelques hésitations. Il faut bien aider son prochain en difficulté. Après quelques consignes, le Curé Jean prit la route.
Le lendemain comme convenu je me dirige vers le presbytère et entre jusqu'au studio d'Anatole. Que je vous dise ce vicaire de quarante deux ans est un très bel homme camerounais à la peau fine, aux traits doux, il est toujours souriant, un mètre quatre-vingts cinq environ, svelte et bien bâti, les yeux pétillants et d'une extrême gentillesse. En arrivant il attendait pour le petit-déjeuner, que nous avons pris ensemble étant donné qu'il fallait que je le fasse manger étant privé de ses deux bras immobilisés par les atèles.
Je voyais qu'il voulait me dire quelque chose et un peu gêné et même très gêné me demanda de l'accompagner pour l'aider à uriner. Avec son handicap temporaire, il était vêtu que d'une très longue chemise et d'un joli caleçon rayé Après avoir ouvert le bas de sa chemise et descendu son sous-vêtement, je m'aperçu qu'il fallait que je prenne en main son sexe pour le diriger vers les toilettes afin qu'il évacue son urine. Quand j'ai saisi son membre je fus étonné par celui-ci. Malgré l'envie naturelle, son pénis était flasque d'une dimension en longueur normale environ dix-sept bons centimètres mais aussi d'une belle circonférence qui devait avoir pas moins de 3,5.centimètres de diamètre. Je tremblais d'avoir la queue de mon vicaire en main, et même rouge d'intimidation. Une fois qu'il eut terminé je secouais et essuyais cette queue à la peau douce et noire.
Et . . . . à ce moment là, je sentis qu'elle commençait à légèrement durcir. Anatole toussota un peu avant de me dire, tu sais "je suis prêtre, mais aussi un homme". Sans répondre j'essayais de lui remonter le caleçon d'une main pour y rentrer son instrument.
Mais celui-ci continuait à se raidir, sans compter qu'il se gonflait réellement et presqueimpudiquement De sa longueur normale elle se transforma en une dimension que j'ai trouvée presque impressionnante avec plus de vingt-deux centimètres* en laissant progressivement apparaître un joli gland, mais où j'ai perdu presque mes moyens, c'est que je ne pouvais plus réellement l'incérer dans ma main de pianiste, elle durcissait encore en s'élargissant pour atteindre un diamètre d'au moins 5,5 cm *. Que c'était beau! mais aussi presque surréaliste. Je n'avais pas encore vu en réel un tel appareil génital malgré mon âge Je ne savais plus quoi faire dans cette situation. Tellement intimidé et perturbé, j'ai lâché cette belle chose tiède. Et à ce moment là Anatole, a du se contracter et a fait mouvoir sa bite de haut en bas à deux ou trois reprises.
Voyant que je ne pouvais plus ranger tout cela dans le tissu de son sous-vêtement, il osa prononcer ces quelques mots ; "attends, attends, je vais m'asseoir à côté, après quelques secondes de silence "ce n'est pas possible une chose pareille". Je me suis presque senti coupable de cette situation, mais tout de même assez excité de constater un ecclésiastique dans un tel état. Et quel état avec ce beau nécessaire tout de même hors du commun. Je ne savais plus quoi dire, tout se chahutait dans ma tête.
Il sortit de cet endroit, pendant que je nettoyais forcément la lunette. Je l'ai rejoint dans le studio où il était assis sur le fauteuil de son bureau. Je n'osais plus avancer et l'approcher, mais il ne pouvait pas rester le caleçon baissé et la chemise ouverte, son personnel de la toilette devant arriver dans la matinée. Hésitant je lui dis : voulez- vous que je remette tout en ordre en vous rhabillant.
"Excuse-moi, oui, oui, tu peux", mais il n'avait toujours pas débandé, il avait sa teub toujours droite, raide, gonflée et impressionnante, le gland bien découvert. Donc il fallait que j'y aille. Sans trop d'idées en tête au moment où je me suis approché pour remettre son caleçon, il activa de nouveau sa tige par des contractions, je me suis approché, me suis baissé pour remonter le sous-vêtement et je m'aperçu que son gland était à quelques millimètres. Sans réfléchir j'ouvris la bouche pour y mettre ce bambou vivant. Mais ma bouche n'était assez grande pour y mettre cet énorme cylindre chaud et tendu. J'avais peur de sa réaction, mais aucune réaction. Ma bouche ne pouvant prendre qu'à peine le premier tiers de sa longueur, due à l'énormité de ce pénis, je me suis aidé de ma main gauche pour essayer de le masturber à la base. J'avais une vue sur un pubis soigné et rasé et des couilles bien serrées avec ses deux œufs de caille. Il restait immobile, sans rien dire. Mon mouvement devenait de plus en plus ample et son sexe au comble de ses proportions se durcit encore, ce qui me laissait présager une proche éjaculation. Je ne savais pas quoi faire, mais je commençais à suffoquer avec un tel sexe en bouche (et pourtant j'aime sucer, mais là ce n'était plus possible)Après un dernier va et vient tant de la bouche que de la main il éjacula, non il explosa. Ce fut que cinq énormes giclées d'une puissance et densité à peine croyables, même jusqu'à la dernière expulsion, le nombre de centimètres cubes était toujours semblable, son sperme était très blanc et absolument pas liquide, mais de très gros grumeaux épais. Quelques sons sourds avaient été émis, et par honte Anatole s'est mordu les lèvres à s'en faire saigner.
Après un très court instant, la lèvre blessée, il brisa le silence avec : " Non, non, ce n'ai pas possible, pardonne-moi, je ne me suis pas contrôlé et tu vois ce que je viens de te faire faire." "Oh non Père Anatole, c'est moi, qui m'en veux, mais ce fut un grand plaisir de vous apporter cette satisfaction et d'avoir pu voir et tenir ce si beau pénis digne du livre des records".
" Nous n'en parlons plus – Pour aujourd'hui que je me remette, mais ne viens que demain pour le petit-déjeuner".
Le lendemain, inconsciemment l'ambiance était un peu tendue pour l'un et l'autre. Je ne lui ai fait aucune allusion, mais c'est le Père Anatole qui au cours de quelques mots échangés la tête baissée me dit ou confia :"Je ne savais que cela pouvait être si bon. Tu es presque le diable".
"Mais . . mon Père, vous n'avez jamais rien fait, même seul ?" "Oh non, par accident maximum trois ou quatre fois par an avec grande honte. Mais toi Marc ta délicatesse avec tes gestes buccaux et manuels m'ont prodigués des choses indescriptibles. Ce que tu m'as fait est honteux pour moi, excuse-moi; sans compter je fus ta tentation." "Père Anatole, c'est un faux pas de l'un et de l'autre mais j'aimerai revoir votre queue encore en érection pour en prendre ses mensurations, je n'ai jamais eu cela encore en main comme aujourd'hui""Ce n'est pas sérieux, que veux-tu ?""Que cela ! et, nous en parlerons plus"Je le visite tous les jours depuis une semaine et demie mais plus rien malgré parfois quelques déformations dans ma main lors des gestes du quotidien. Le Curé Jean rentre après demain.
Oui les ecclésiastiques sont bien de chair et bien vivante.
• Tellement impressionné, je lui ai demandé l'autorisation le lendemain de mesurer son appareil qu'il portait bien à l'abri des regards malgré ses proportions qui sont de vingt quatre centimètres et d'une circonférence de quatorze centimètres;
Cette histoire est vécue, et j'ose vous la raconter simplement, ce récit sera un peu court mais tout de même assez explicite avec mes mots.
Dans le milieu de l'été notre vicaire Anatole s'est fait renverser par un scooter alors qu'il traversait sur un passage clouté. Il faut le transporter à l'hôpital le plus proche. Conclusions : omoplate et clavicule gauches cassées et radius et coude droits fracturés. Donc vous comprenez il est ressorti avec deux orthèses d'immobilisation pour six semaines. Il a regagné son habitat, le presbytère, mais impossibilité d'utiliser pour tous les gestes de la vie et du quotidien ses deux bras pendant cette durée.
Je suis assez engagé dans la paroisse et une bonne semaine après son retour le Curé me téléphone, il est obligé de partir subitement pour quelques jours. Il me demande si je peux venir aider "Anatole afin de le remplacer pendant ce temps pour ses repas et peut être aussi quelques autres activités. En cette période cela était possible pour moi malgré quelques hésitations. Il faut bien aider son prochain en difficulté. Après quelques consignes, le Curé Jean prit la route.
Le lendemain comme convenu je me dirige vers le presbytère et entre jusqu'au studio d'Anatole. Que je vous dise ce vicaire de quarante deux ans est un très bel homme camerounais à la peau fine, aux traits doux, il est toujours souriant, un mètre quatre-vingts cinq environ, svelte et bien bâti, les yeux pétillants et d'une extrême gentillesse. En arrivant il attendait pour le petit-déjeuner, que nous avons pris ensemble étant donné qu'il fallait que je le fasse manger étant privé de ses deux bras immobilisés par les atèles.
Je voyais qu'il voulait me dire quelque chose et un peu gêné et même très gêné me demanda de l'accompagner pour l'aider à uriner. Avec son handicap temporaire, il était vêtu que d'une très longue chemise et d'un joli caleçon rayé Après avoir ouvert le bas de sa chemise et descendu son sous-vêtement, je m'aperçu qu'il fallait que je prenne en main son sexe pour le diriger vers les toilettes afin qu'il évacue son urine. Quand j'ai saisi son membre je fus étonné par celui-ci. Malgré l'envie naturelle, son pénis était flasque d'une dimension en longueur normale environ dix-sept bons centimètres mais aussi d'une belle circonférence qui devait avoir pas moins de 3,5.centimètres de diamètre. Je tremblais d'avoir la queue de mon vicaire en main, et même rouge d'intimidation. Une fois qu'il eut terminé je secouais et essuyais cette queue à la peau douce et noire.
Et . . . . à ce moment là, je sentis qu'elle commençait à légèrement durcir. Anatole toussota un peu avant de me dire, tu sais "je suis prêtre, mais aussi un homme". Sans répondre j'essayais de lui remonter le caleçon d'une main pour y rentrer son instrument.
Mais celui-ci continuait à se raidir, sans compter qu'il se gonflait réellement et presqueimpudiquement De sa longueur normale elle se transforma en une dimension que j'ai trouvée presque impressionnante avec plus de vingt-deux centimètres* en laissant progressivement apparaître un joli gland, mais où j'ai perdu presque mes moyens, c'est que je ne pouvais plus réellement l'incérer dans ma main de pianiste, elle durcissait encore en s'élargissant pour atteindre un diamètre d'au moins 5,5 cm *. Que c'était beau! mais aussi presque surréaliste. Je n'avais pas encore vu en réel un tel appareil génital malgré mon âge Je ne savais plus quoi faire dans cette situation. Tellement intimidé et perturbé, j'ai lâché cette belle chose tiède. Et à ce moment là Anatole, a du se contracter et a fait mouvoir sa bite de haut en bas à deux ou trois reprises.
Voyant que je ne pouvais plus ranger tout cela dans le tissu de son sous-vêtement, il osa prononcer ces quelques mots ; "attends, attends, je vais m'asseoir à côté, après quelques secondes de silence "ce n'est pas possible une chose pareille". Je me suis presque senti coupable de cette situation, mais tout de même assez excité de constater un ecclésiastique dans un tel état. Et quel état avec ce beau nécessaire tout de même hors du commun. Je ne savais plus quoi dire, tout se chahutait dans ma tête.
Il sortit de cet endroit, pendant que je nettoyais forcément la lunette. Je l'ai rejoint dans le studio où il était assis sur le fauteuil de son bureau. Je n'osais plus avancer et l'approcher, mais il ne pouvait pas rester le caleçon baissé et la chemise ouverte, son personnel de la toilette devant arriver dans la matinée. Hésitant je lui dis : voulez- vous que je remette tout en ordre en vous rhabillant.
"Excuse-moi, oui, oui, tu peux", mais il n'avait toujours pas débandé, il avait sa teub toujours droite, raide, gonflée et impressionnante, le gland bien découvert. Donc il fallait que j'y aille. Sans trop d'idées en tête au moment où je me suis approché pour remettre son caleçon, il activa de nouveau sa tige par des contractions, je me suis approché, me suis baissé pour remonter le sous-vêtement et je m'aperçu que son gland était à quelques millimètres. Sans réfléchir j'ouvris la bouche pour y mettre ce bambou vivant. Mais ma bouche n'était assez grande pour y mettre cet énorme cylindre chaud et tendu. J'avais peur de sa réaction, mais aucune réaction. Ma bouche ne pouvant prendre qu'à peine le premier tiers de sa longueur, due à l'énormité de ce pénis, je me suis aidé de ma main gauche pour essayer de le masturber à la base. J'avais une vue sur un pubis soigné et rasé et des couilles bien serrées avec ses deux œufs de caille. Il restait immobile, sans rien dire. Mon mouvement devenait de plus en plus ample et son sexe au comble de ses proportions se durcit encore, ce qui me laissait présager une proche éjaculation. Je ne savais pas quoi faire, mais je commençais à suffoquer avec un tel sexe en bouche (et pourtant j'aime sucer, mais là ce n'était plus possible)Après un dernier va et vient tant de la bouche que de la main il éjacula, non il explosa. Ce fut que cinq énormes giclées d'une puissance et densité à peine croyables, même jusqu'à la dernière expulsion, le nombre de centimètres cubes était toujours semblable, son sperme était très blanc et absolument pas liquide, mais de très gros grumeaux épais. Quelques sons sourds avaient été émis, et par honte Anatole s'est mordu les lèvres à s'en faire saigner.
Après un très court instant, la lèvre blessée, il brisa le silence avec : " Non, non, ce n'ai pas possible, pardonne-moi, je ne me suis pas contrôlé et tu vois ce que je viens de te faire faire." "Oh non Père Anatole, c'est moi, qui m'en veux, mais ce fut un grand plaisir de vous apporter cette satisfaction et d'avoir pu voir et tenir ce si beau pénis digne du livre des records".
" Nous n'en parlons plus – Pour aujourd'hui que je me remette, mais ne viens que demain pour le petit-déjeuner".
Le lendemain, inconsciemment l'ambiance était un peu tendue pour l'un et l'autre. Je ne lui ai fait aucune allusion, mais c'est le Père Anatole qui au cours de quelques mots échangés la tête baissée me dit ou confia :"Je ne savais que cela pouvait être si bon. Tu es presque le diable".
"Mais . . mon Père, vous n'avez jamais rien fait, même seul ?" "Oh non, par accident maximum trois ou quatre fois par an avec grande honte. Mais toi Marc ta délicatesse avec tes gestes buccaux et manuels m'ont prodigués des choses indescriptibles. Ce que tu m'as fait est honteux pour moi, excuse-moi; sans compter je fus ta tentation." "Père Anatole, c'est un faux pas de l'un et de l'autre mais j'aimerai revoir votre queue encore en érection pour en prendre ses mensurations, je n'ai jamais eu cela encore en main comme aujourd'hui""Ce n'est pas sérieux, que veux-tu ?""Que cela ! et, nous en parlerons plus"Je le visite tous les jours depuis une semaine et demie mais plus rien malgré parfois quelques déformations dans ma main lors des gestes du quotidien. Le Curé Jean rentre après demain.
Oui les ecclésiastiques sont bien de chair et bien vivante.
• Tellement impressionné, je lui ai demandé l'autorisation le lendemain de mesurer son appareil qu'il portait bien à l'abri des regards malgré ses proportions qui sont de vingt quatre centimètres et d'une circonférence de quatorze centimètres;
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