Une très bonne soirée imprévue
Récit érotique écrit par Jean-Pierre [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-01-2010 dans la catégorie Plus on est
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Une très bonne soirée imprévue
Je venais d’avoir 24 ans. A l’issue de mes études universitaires, j’avais intégré une formation dite de spécialisation.
Cette formation était accessible après un certain nombre d’années d’études ou d’expériences professionnelles. Pour cette raison, il y avait plus de stagiaires entre trente ou quarante ans que des moins de 25 ans
Pour éviter d’être mis de coté en raison de mon âge, je m’étais lié d’amitié avec un autre stagiaire de 30 ans ! Celui-ci connaissait bien des groupes musicaux qui se produisaient souvent dans les salles ou les bars.
Au cours de mes études, j’avais plus fréquenté les boites de nuit ! Pourtant, un jour, cet ami m’invita à venir le rejoindre à 22 heures dans un bar situé tout près de la gare il me dit :
- Je te présenterai les membres du groupe, tu vas voir, ils sont très bons, et en plus, ils sont super sympa !
J’entrais dans le bar vers 21 heures. Le concert n’avait pas encore commencé mais l’affluence était déjà là et avec la meilleure volonté du monde, il aurait été impossible de s’approcher du comptoir !
En écrasant les pieds des nombreuses personnes ! J’avisais un groupe de tables vides à coté desquelles je pris une chaise pour réserver la table. Mon ami arriva avec sa jolie femme, cinq minutes plus tard ! En s’asseyant à ma table, lui, me dit :
- T’es arrivé une heure à l’avance ou quoi ?
Les boissons que nous avions commandées arrivèrent juste au moment où les musiciens montaient sur scène. Le spectacle s’est très bien passé, très bonne musique, très bonne acoustique, la bière le whisky le champagne étaient aussi parfait.
Les lumières quittèrent la scène pour n’éclairer que la salle. Mon ami, sa femme et moi même remarquions alors le manège d’un jeune de 19 ou 20 ans, assis à trois tables de nous.
Celui-ci, écrivait sur un bout de papier qu’il tendait à un groupe de trois filles du même âge assises près de lui. Celles-ci lisaient à tour de rôle et lui rendaient le papier avec un sourire moqueur !
Il griffonnait à nouveau son papier et le rendait aux filles. Elle le lisaient et lui rendaient avec toujours le même sourire. Au bout d’un moment, j’invitais ce jeune homme à s’approcher. Je lui demandais ce qu’il faisait.
Il était en train de draguer ces trois filles, oui, les trois à la fois, en leur écrivant un poème. Malheureusement, il est vrai que son texte poussait plus à rire qu’à rêver !
Je lui proposais donc mon aide. Alors que le groupe remontait sur la scène, j’apportais des modifications indispensables et je lui retournais le papier, il avait noter le prénom des trois filles sur sa feuille :Marie, Josette et Christine.
De son coté, il repartait recopier son texte en y apportant mes corrections. Lorsqu’il le présenta aux filles, par politesse, elles le lire. Cette fois-ci elle ne sourirent pas ! Une d’elles dit quelques mots à l’oreille du jeune homme. Mon ami qui avait compris ce qui se passait me dit :
- Ca y est il va pas rentrer tout seul ce soir !
Je souriais avant de me concentrer à nouveau sur la musique. Deux minutes plus tard, le jeune homme vint me voir en me disant :
- Elles ont aimé mais croient que je peux faire mieux. Entre deux morceaux j’essayais de bonifier encore cet écrit tout en corrigeant les fautes qu’il y avait ajouté.
Il repartit. On est arrivé tant bien que mal à la fin du concert. Je restais un moment seul avec la femme de mon ami, alors que celui-ci allait discuter avec ses amis musiciens. Les trois filles vinrent alors me taper sur l’épaule.
- Merci, Monsieur, me dirent-elles !
- Merci ! mais pourquoi ?
- Merci pour votre joli poème.
- Ce n’est pas mon poème, c’est celui du jeune homme.
J’avais beau le chercher du regard, mais il avait disparu !
- Je n’ai fait que l’aider en corrigeant ses fautes.
En quelques sortes c’était la vérité. Et elles continuer de m’interroger :
- Vous pouvez nous expliquer comment ?
Je voyais mon amis en train de nous rejoindre, suivi des musiciens. Je dis alors aux filles de m’accorder quelques minutes, que j’avais des personnes à rencontrer, mais qu’après on pourrait discuter !
L’une d’elle, la plus jeune, Josette prétexta qu’elle devait rentrer chez ses parents. Les deux autres s’assirent à m’attendre.
Mon ami me présenta ces musiciens ! nous avons discuter un moment. Alors que ceux-ci repartaient ranger leur matériel, le patron du bar invita tous les clients à sortir car il allait devoir fermer son établissement.
Je me suis donc retrouvé dehors, seul avec les deux jeunes filles. Le couple d’amis avait du rester dedans à aider au rangement des instruments ou sortir par l’autre porte ! Je l’ignore, toujours est-il que avec les deux filles nous nous sommes assis sur un banc, de l’autre coté de la rue.
L’une d’elle me demanda donc quelle aide j’avais apporté à leur poète. Je gardais la même ligne de défense, en indiquant que mon aide s’était limitée à corriger quelques fautes !
Je ne dois pas être assez convainquant à quatre heures du matin, parce qu’elles refusaient de me croire.
Les vapeurs d’alcool peut-être m’apportèrent une idée. Je leur dis qu’elles pouvaient me fouiller et que je n’avais pas de dictionnaire de rimes sur moi !
Une d’elles Marie profita de l’occasion, pour me demander si je ne voulais pas la fouiller moi, pour l’aiderait à se réchauffer.
C’est vrai qu’un petit vent frais s’engouffrait dans la rue et ca tranchait avec la chaleur du bar ! Je retirais mon sweat-shirt pour le proposer à la jeune fille.
Elle l’enfila rapidement. Puis elles repartirent de plus belle. Je ne voulais pas avouer ma responsabilité dans l’écriture du poème. Si celui-ci pouvait permettre à ce gars là de sortir ces filles, je ne voulais pas lui casser son coup, et peut-être il les croise tous les jours à la fac. Et moi je ne les reverraient peut-être jamais.
Toujours est-il qu’au bout d’un moment, je me laissais aussi gagner par la fraîcheur ! Mon sweat-shirt avait été définitivement adopté par la jolie Marie, qui semblait s’y endormir dedans. Je demandais alors à Christine l’autre fille :
- Il n’y a pas moyen d’aller ailleurs ? Ici il fait trop froid :
Elle de me répondre :
- Si tu veux, notre appartement n’est pas loin.
Je décidais donc de les suivre. Effectivement, c’était à moins de cent mètres. Une fois arrivés, devant la porte. Je me rendis compte, que mon sweat-shirt, qui réchauffait Marie, avait bien du mal à franchir les trois étages.
Pendant que Christine ouvrait la porte, je descendais aider sa copine à monter les escaliers. Je passais mon bras derrière sa taille pour la tenir tout en la poussant vers le haut, il y avait de tangage.
Marie rentra dans l’appartement et manqua de s’étaler dans le couloir. Christine me demanda alors d’aller coucher sa copine et de la rejoindre.
Je trouvais rapidement la chambre et après avoir déposé Marie délicatement sur l’unique lit, j’entrepris de récupérer mon sweat-shirt.
Alors que je relevais les bords du vêtement en maintenant le tee-shift, Marie me pris dans ses bras et m’embrassa. Etait-ce la fatigue, la chaleur de la pièce ou les effets de l’alcool ? ou alors les trois réunis ?
Toujours est-il que sentir ces lèvres humides se coller aux miennes, cette langue à la recherche de la mienne, m’enleva pour un moment, toute sensation de froid ! Au bout, de quelques instants, Marie s’endormit. J’en profitais pour récupérer mon sweat-shirt.
J’allais alors enfin rejoindre Christine ! Celle-ci m’attendait en petite culotte et tee-shirt dans une pièce qui faisait office de cuisine et de salle à manger.
- J’ai fait tomber du whisky et du champagne sur mon jean, il est sale, me dit-elle à mon arrivée.
Je lui dis alors à Christine que sa copine dormait dans la chambre. Elle me demanda alors si j’avais déshabillé Marie avant qu’elle ne se couche. Je lui répondit qu’à part mon sweat-shirt elle avait sur le dos tout ce qu’elle avait en rentrant du concert. Christine me prit par la main et m’entraîna vers la chambre et me dit :
- Viens m’aider à la déshabiller ! La dernière fois qu’elle a dormi tout habillée, elle a failli me tuer !
Arrivés dans la chambre, on retira chacun une chaussure. Retournant Marie sur le dos, Christine ouvrit le pantalon et on tira alors chacun sur une jambe.
Ca me fit une drôle de sensation de déshabiller une jeune femme ! C’est tout un fantasme que d’assister à l’effeuillage d’une femme, mais là, c’est moi qui décidait de l’ordre de cet effeuillage !
Alors qu’on retirait le pantalon définitivement, Marie, bougea, se tourna sur le coté, puis se remit sur le dos. Là, comme au milieu d’un mauvais rêve, elle appela :
- Maman, viens me chercher.
Christine me fit signe de la tête de ne pas m’inquiéter. Elle déposa sur le front de Marie une bise, pour la rassurer. Là, Marie saisi brusquement la tête de Christine et l’embrassa comme elle l’avait fait avec moi quelques minutes plus tôt ! Christine répondit à ces baisers, jusqu’à ce que Marie se rendorme.
Se tournant vers moi, Christine m’expliqua que lorsqu’elle était petite, Marie avait été oubliée par sa mère dans le train. Pendant que Marie dormait dans le compartiment sa mère était allé chercher de l’eau fraîche au café de cette gare.
A son retour sur le quai, le train n’était plus là. Marie s’était réveillée avant qu’un autre train ne la ramène à sa mère. Alors depuis, quand elle dort toute habillée elle est victime de cauchemars au cours desquels elle se tourne et se retourne parfois en donnant des coups de poings violents.
Alors que Christine m’expliquait cela, on faisait descendre la culotte en coton de Marie, le long de ses cuisses. Là surprise ! Marie avait les poils pubiens taillés en forme de coeur ! Un coeur pointant vers son clito.
- Tu trouves ça beau ? me demande Christine.
- Oui ! et c’est original en plus ! Je connaissais le rasage intégral, ou ticket de métro, mais pas ça.
- On est dans une école d’esthéticiennes me répond Christine et comme on en a eu marre de voir toutes ces foufounes entièrement épilées, on a décidé de jouer la différence. Mais tu verras cela tout à l’heure !
On retira alors ses socquettes à Marie. Puis on fit rouler son tee-tee-shirt jusqu’à ses bras. Christine me demanda de redresser Marie quelques instants. Elle lui fit passer le tee-shirt au dessus de la tête, retira un bras après l’autre. Puis elle dégrafa le soutien-gorge en me demandant de lui enlever. Maintenant son buste redressé avec la main droite, je fis descendre le vêtement sur ses bras. Là Christine me dit :
- Si on veut être tranquilles fait comme moi :
Elle se mit à quatre pattes sur le lit et commença à lécher, mordiller les seins de sa copine. De mon coté j’en fis de même. Quoi qu’endormie, Marie réagissait très bien à nos caresses. Sans que nous ayons changé de rythme, Marie commença a respirer plus bruyamment, à gémir ! Je levais les yeux vers Christine pour me rendre compte qu’elle était en train de lécher le minou de sa copine.
Appliquant les consignes, j’en fis de même. Marie se retrouvait avec une bouche et une langue sur chaque sein, deux mains sur son minou et deux pouces sur son clito ! Une vraie partouze, pendant son sommeil ! Marie eu un orgasme, doux et silencieux, sans même se réveiller.
Christine se leva sur le lit, je pu voir à sa culotte mouillée que cette séance l’avait autant excitée que moi ! Elle me dit :
- C’est bon, elle est bonne pour huit heure de sommeil.
Je l’ai suivie jusqu’au salon ! Elle m’embrassa en me remerciant de l’avoir aidée.
Elle me dit alors qu’elle voulait bien croire que je n’avais rien à voir avec ce poème, mais que pour me faire pardonner de ne lui avoir pas écrit de si belles choses, elle voulait me lancer un défit.
Par celui-ci, je devais la faire jouir, que par des caresses, interdiction de la pénétrer autrement que ma langue dans sa bouche. Elle retira ses chaussettes et me dit :
- Je n’ai plus que deux vêtements, tu ne peux en retirer qu’un seul.
- Et moi ! Qu’est-ce que j’y gagne si tu jouis ?
- Tu pourras disposer de mon corps à ta guise jusqu’à demain midi !
- Sexuellement ?
- Oui, à ta guise".
J’ai eu juste besoin de quelques secondes pour réfléchir. On était samedi matin ! Plus de 24 heures de plaisirs sexuels s’offraient à moi.
Je retirais alors le tee-shirt de Christine. Elle ne portait pas de soutien-gorge. Je la fis se lever et la plaquant à l’aide de mon bassin contre le mur, je l’embrassais à pleine bouche en malaxant ses seins et triturant les extrémités !
Son excitation commençait à monter, ma queue, elle était déjà à son apogée. Je demandais alors à Christine si j’avais le droit de me déshabiller aussi. Elle me dit bien sûr. J’ôtais alors mon tee-shirt, je fis tomber mon pantalon à mes pieds avant de sortir ma queue du caleçon par l’ouverture prévue à cet effet !
Je repris alors mes massages tout en plaquant Christine contre le mur avec mon bassin et ma queue, dorénavant ! Christine passa ses bras autour de mon cou et leva une jambe à l’horizontale. Je pu me rapprocher un peu plus d’elle.
Ma queue frottait contre sa culotte. Alors que je soulevais l’autre jambe, Christine enferma mon bassin entre ses jambes. Cela me permit de la soulever et de la porter jusqu’au canapé tout proche. Au cours du trajet, ma bouche remplaçait mes mains sur ses seins.
A sentir la dureté et l’érection des tétons, je savais que ma victoire était toute proche ! Je posais Christine sur le canapé. Sa tête reposait sur le coussin, près d’un accoudoir. Je lui fis écarter les jambes et je me suis allongé sur elle. Alors que je lui excitais les seins avec ma bouche et mes mains, à travers de la fine couche de coton, nos sexes faisaient connaissance !
Ce qui devait arriver arriva, Christine à jouit, très vite après ça ! Elle pris alors mon sexe dans sa bouche pour déguster le jus de celui-ci qui ne tarda pas a lui envahir la Gorge.
Nous avons rejoint Marie toujours endormie. je me suis coucher au milieu des deux filles, Marie c’est réveiller et a voulu aussi participer après avoir récupéré ! Elle n’avait plus sommeil alors elle a gouter aussi au jus de ma queue à son tour.
Nous sommes restés enlacés tous les trois jusqu’au soir.
Quelle formidable nuit
Cette formation était accessible après un certain nombre d’années d’études ou d’expériences professionnelles. Pour cette raison, il y avait plus de stagiaires entre trente ou quarante ans que des moins de 25 ans
Pour éviter d’être mis de coté en raison de mon âge, je m’étais lié d’amitié avec un autre stagiaire de 30 ans ! Celui-ci connaissait bien des groupes musicaux qui se produisaient souvent dans les salles ou les bars.
Au cours de mes études, j’avais plus fréquenté les boites de nuit ! Pourtant, un jour, cet ami m’invita à venir le rejoindre à 22 heures dans un bar situé tout près de la gare il me dit :
- Je te présenterai les membres du groupe, tu vas voir, ils sont très bons, et en plus, ils sont super sympa !
J’entrais dans le bar vers 21 heures. Le concert n’avait pas encore commencé mais l’affluence était déjà là et avec la meilleure volonté du monde, il aurait été impossible de s’approcher du comptoir !
En écrasant les pieds des nombreuses personnes ! J’avisais un groupe de tables vides à coté desquelles je pris une chaise pour réserver la table. Mon ami arriva avec sa jolie femme, cinq minutes plus tard ! En s’asseyant à ma table, lui, me dit :
- T’es arrivé une heure à l’avance ou quoi ?
Les boissons que nous avions commandées arrivèrent juste au moment où les musiciens montaient sur scène. Le spectacle s’est très bien passé, très bonne musique, très bonne acoustique, la bière le whisky le champagne étaient aussi parfait.
Les lumières quittèrent la scène pour n’éclairer que la salle. Mon ami, sa femme et moi même remarquions alors le manège d’un jeune de 19 ou 20 ans, assis à trois tables de nous.
Celui-ci, écrivait sur un bout de papier qu’il tendait à un groupe de trois filles du même âge assises près de lui. Celles-ci lisaient à tour de rôle et lui rendaient le papier avec un sourire moqueur !
Il griffonnait à nouveau son papier et le rendait aux filles. Elle le lisaient et lui rendaient avec toujours le même sourire. Au bout d’un moment, j’invitais ce jeune homme à s’approcher. Je lui demandais ce qu’il faisait.
Il était en train de draguer ces trois filles, oui, les trois à la fois, en leur écrivant un poème. Malheureusement, il est vrai que son texte poussait plus à rire qu’à rêver !
Je lui proposais donc mon aide. Alors que le groupe remontait sur la scène, j’apportais des modifications indispensables et je lui retournais le papier, il avait noter le prénom des trois filles sur sa feuille :Marie, Josette et Christine.
De son coté, il repartait recopier son texte en y apportant mes corrections. Lorsqu’il le présenta aux filles, par politesse, elles le lire. Cette fois-ci elle ne sourirent pas ! Une d’elles dit quelques mots à l’oreille du jeune homme. Mon ami qui avait compris ce qui se passait me dit :
- Ca y est il va pas rentrer tout seul ce soir !
Je souriais avant de me concentrer à nouveau sur la musique. Deux minutes plus tard, le jeune homme vint me voir en me disant :
- Elles ont aimé mais croient que je peux faire mieux. Entre deux morceaux j’essayais de bonifier encore cet écrit tout en corrigeant les fautes qu’il y avait ajouté.
Il repartit. On est arrivé tant bien que mal à la fin du concert. Je restais un moment seul avec la femme de mon ami, alors que celui-ci allait discuter avec ses amis musiciens. Les trois filles vinrent alors me taper sur l’épaule.
- Merci, Monsieur, me dirent-elles !
- Merci ! mais pourquoi ?
- Merci pour votre joli poème.
- Ce n’est pas mon poème, c’est celui du jeune homme.
J’avais beau le chercher du regard, mais il avait disparu !
- Je n’ai fait que l’aider en corrigeant ses fautes.
En quelques sortes c’était la vérité. Et elles continuer de m’interroger :
- Vous pouvez nous expliquer comment ?
Je voyais mon amis en train de nous rejoindre, suivi des musiciens. Je dis alors aux filles de m’accorder quelques minutes, que j’avais des personnes à rencontrer, mais qu’après on pourrait discuter !
L’une d’elle, la plus jeune, Josette prétexta qu’elle devait rentrer chez ses parents. Les deux autres s’assirent à m’attendre.
Mon ami me présenta ces musiciens ! nous avons discuter un moment. Alors que ceux-ci repartaient ranger leur matériel, le patron du bar invita tous les clients à sortir car il allait devoir fermer son établissement.
Je me suis donc retrouvé dehors, seul avec les deux jeunes filles. Le couple d’amis avait du rester dedans à aider au rangement des instruments ou sortir par l’autre porte ! Je l’ignore, toujours est-il que avec les deux filles nous nous sommes assis sur un banc, de l’autre coté de la rue.
L’une d’elle me demanda donc quelle aide j’avais apporté à leur poète. Je gardais la même ligne de défense, en indiquant que mon aide s’était limitée à corriger quelques fautes !
Je ne dois pas être assez convainquant à quatre heures du matin, parce qu’elles refusaient de me croire.
Les vapeurs d’alcool peut-être m’apportèrent une idée. Je leur dis qu’elles pouvaient me fouiller et que je n’avais pas de dictionnaire de rimes sur moi !
Une d’elles Marie profita de l’occasion, pour me demander si je ne voulais pas la fouiller moi, pour l’aiderait à se réchauffer.
C’est vrai qu’un petit vent frais s’engouffrait dans la rue et ca tranchait avec la chaleur du bar ! Je retirais mon sweat-shirt pour le proposer à la jeune fille.
Elle l’enfila rapidement. Puis elles repartirent de plus belle. Je ne voulais pas avouer ma responsabilité dans l’écriture du poème. Si celui-ci pouvait permettre à ce gars là de sortir ces filles, je ne voulais pas lui casser son coup, et peut-être il les croise tous les jours à la fac. Et moi je ne les reverraient peut-être jamais.
Toujours est-il qu’au bout d’un moment, je me laissais aussi gagner par la fraîcheur ! Mon sweat-shirt avait été définitivement adopté par la jolie Marie, qui semblait s’y endormir dedans. Je demandais alors à Christine l’autre fille :
- Il n’y a pas moyen d’aller ailleurs ? Ici il fait trop froid :
Elle de me répondre :
- Si tu veux, notre appartement n’est pas loin.
Je décidais donc de les suivre. Effectivement, c’était à moins de cent mètres. Une fois arrivés, devant la porte. Je me rendis compte, que mon sweat-shirt, qui réchauffait Marie, avait bien du mal à franchir les trois étages.
Pendant que Christine ouvrait la porte, je descendais aider sa copine à monter les escaliers. Je passais mon bras derrière sa taille pour la tenir tout en la poussant vers le haut, il y avait de tangage.
Marie rentra dans l’appartement et manqua de s’étaler dans le couloir. Christine me demanda alors d’aller coucher sa copine et de la rejoindre.
Je trouvais rapidement la chambre et après avoir déposé Marie délicatement sur l’unique lit, j’entrepris de récupérer mon sweat-shirt.
Alors que je relevais les bords du vêtement en maintenant le tee-shift, Marie me pris dans ses bras et m’embrassa. Etait-ce la fatigue, la chaleur de la pièce ou les effets de l’alcool ? ou alors les trois réunis ?
Toujours est-il que sentir ces lèvres humides se coller aux miennes, cette langue à la recherche de la mienne, m’enleva pour un moment, toute sensation de froid ! Au bout, de quelques instants, Marie s’endormit. J’en profitais pour récupérer mon sweat-shirt.
J’allais alors enfin rejoindre Christine ! Celle-ci m’attendait en petite culotte et tee-shirt dans une pièce qui faisait office de cuisine et de salle à manger.
- J’ai fait tomber du whisky et du champagne sur mon jean, il est sale, me dit-elle à mon arrivée.
Je lui dis alors à Christine que sa copine dormait dans la chambre. Elle me demanda alors si j’avais déshabillé Marie avant qu’elle ne se couche. Je lui répondit qu’à part mon sweat-shirt elle avait sur le dos tout ce qu’elle avait en rentrant du concert. Christine me prit par la main et m’entraîna vers la chambre et me dit :
- Viens m’aider à la déshabiller ! La dernière fois qu’elle a dormi tout habillée, elle a failli me tuer !
Arrivés dans la chambre, on retira chacun une chaussure. Retournant Marie sur le dos, Christine ouvrit le pantalon et on tira alors chacun sur une jambe.
Ca me fit une drôle de sensation de déshabiller une jeune femme ! C’est tout un fantasme que d’assister à l’effeuillage d’une femme, mais là, c’est moi qui décidait de l’ordre de cet effeuillage !
Alors qu’on retirait le pantalon définitivement, Marie, bougea, se tourna sur le coté, puis se remit sur le dos. Là, comme au milieu d’un mauvais rêve, elle appela :
- Maman, viens me chercher.
Christine me fit signe de la tête de ne pas m’inquiéter. Elle déposa sur le front de Marie une bise, pour la rassurer. Là, Marie saisi brusquement la tête de Christine et l’embrassa comme elle l’avait fait avec moi quelques minutes plus tôt ! Christine répondit à ces baisers, jusqu’à ce que Marie se rendorme.
Se tournant vers moi, Christine m’expliqua que lorsqu’elle était petite, Marie avait été oubliée par sa mère dans le train. Pendant que Marie dormait dans le compartiment sa mère était allé chercher de l’eau fraîche au café de cette gare.
A son retour sur le quai, le train n’était plus là. Marie s’était réveillée avant qu’un autre train ne la ramène à sa mère. Alors depuis, quand elle dort toute habillée elle est victime de cauchemars au cours desquels elle se tourne et se retourne parfois en donnant des coups de poings violents.
Alors que Christine m’expliquait cela, on faisait descendre la culotte en coton de Marie, le long de ses cuisses. Là surprise ! Marie avait les poils pubiens taillés en forme de coeur ! Un coeur pointant vers son clito.
- Tu trouves ça beau ? me demande Christine.
- Oui ! et c’est original en plus ! Je connaissais le rasage intégral, ou ticket de métro, mais pas ça.
- On est dans une école d’esthéticiennes me répond Christine et comme on en a eu marre de voir toutes ces foufounes entièrement épilées, on a décidé de jouer la différence. Mais tu verras cela tout à l’heure !
On retira alors ses socquettes à Marie. Puis on fit rouler son tee-tee-shirt jusqu’à ses bras. Christine me demanda de redresser Marie quelques instants. Elle lui fit passer le tee-shirt au dessus de la tête, retira un bras après l’autre. Puis elle dégrafa le soutien-gorge en me demandant de lui enlever. Maintenant son buste redressé avec la main droite, je fis descendre le vêtement sur ses bras. Là Christine me dit :
- Si on veut être tranquilles fait comme moi :
Elle se mit à quatre pattes sur le lit et commença à lécher, mordiller les seins de sa copine. De mon coté j’en fis de même. Quoi qu’endormie, Marie réagissait très bien à nos caresses. Sans que nous ayons changé de rythme, Marie commença a respirer plus bruyamment, à gémir ! Je levais les yeux vers Christine pour me rendre compte qu’elle était en train de lécher le minou de sa copine.
Appliquant les consignes, j’en fis de même. Marie se retrouvait avec une bouche et une langue sur chaque sein, deux mains sur son minou et deux pouces sur son clito ! Une vraie partouze, pendant son sommeil ! Marie eu un orgasme, doux et silencieux, sans même se réveiller.
Christine se leva sur le lit, je pu voir à sa culotte mouillée que cette séance l’avait autant excitée que moi ! Elle me dit :
- C’est bon, elle est bonne pour huit heure de sommeil.
Je l’ai suivie jusqu’au salon ! Elle m’embrassa en me remerciant de l’avoir aidée.
Elle me dit alors qu’elle voulait bien croire que je n’avais rien à voir avec ce poème, mais que pour me faire pardonner de ne lui avoir pas écrit de si belles choses, elle voulait me lancer un défit.
Par celui-ci, je devais la faire jouir, que par des caresses, interdiction de la pénétrer autrement que ma langue dans sa bouche. Elle retira ses chaussettes et me dit :
- Je n’ai plus que deux vêtements, tu ne peux en retirer qu’un seul.
- Et moi ! Qu’est-ce que j’y gagne si tu jouis ?
- Tu pourras disposer de mon corps à ta guise jusqu’à demain midi !
- Sexuellement ?
- Oui, à ta guise".
J’ai eu juste besoin de quelques secondes pour réfléchir. On était samedi matin ! Plus de 24 heures de plaisirs sexuels s’offraient à moi.
Je retirais alors le tee-shirt de Christine. Elle ne portait pas de soutien-gorge. Je la fis se lever et la plaquant à l’aide de mon bassin contre le mur, je l’embrassais à pleine bouche en malaxant ses seins et triturant les extrémités !
Son excitation commençait à monter, ma queue, elle était déjà à son apogée. Je demandais alors à Christine si j’avais le droit de me déshabiller aussi. Elle me dit bien sûr. J’ôtais alors mon tee-shirt, je fis tomber mon pantalon à mes pieds avant de sortir ma queue du caleçon par l’ouverture prévue à cet effet !
Je repris alors mes massages tout en plaquant Christine contre le mur avec mon bassin et ma queue, dorénavant ! Christine passa ses bras autour de mon cou et leva une jambe à l’horizontale. Je pu me rapprocher un peu plus d’elle.
Ma queue frottait contre sa culotte. Alors que je soulevais l’autre jambe, Christine enferma mon bassin entre ses jambes. Cela me permit de la soulever et de la porter jusqu’au canapé tout proche. Au cours du trajet, ma bouche remplaçait mes mains sur ses seins.
A sentir la dureté et l’érection des tétons, je savais que ma victoire était toute proche ! Je posais Christine sur le canapé. Sa tête reposait sur le coussin, près d’un accoudoir. Je lui fis écarter les jambes et je me suis allongé sur elle. Alors que je lui excitais les seins avec ma bouche et mes mains, à travers de la fine couche de coton, nos sexes faisaient connaissance !
Ce qui devait arriver arriva, Christine à jouit, très vite après ça ! Elle pris alors mon sexe dans sa bouche pour déguster le jus de celui-ci qui ne tarda pas a lui envahir la Gorge.
Nous avons rejoint Marie toujours endormie. je me suis coucher au milieu des deux filles, Marie c’est réveiller et a voulu aussi participer après avoir récupéré ! Elle n’avait plus sommeil alors elle a gouter aussi au jus de ma queue à son tour.
Nous sommes restés enlacés tous les trois jusqu’au soir.
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