Une venue tardive au Château - (suite de l'épisode précédent N°798) - histoire érotique

Une venue tardive au Château - (suite de l'épisode précédent N°798) -
Tout doucement Chris s’apaisait. Le Marquis d’Evans remarqua qu’elle allait s’assoupir alors Il attendit encore un peu qu’elle s’endorme. Il contemplait Son œuvre : Arriver à faire de Chris, Sa chienne, l’avoir à Ses pieds. A présent, elle Lui appartenait et était marquée. Elle gisait sur le côté, dos à l’immense cheminée crépitante. Oui, il aimait cette scène. Cette atmosphère l’envoûtait complètement, Lui, Le Maître des lieux, d’habitude si stable et si posé, Il se sentait empli d’une telle quantité de désirs qu’Il ne se maîtrisait plus que très difficilement. Ces pulsions animales ne lui ressemblaient pas. Il avait l’habitude de tourmenter les membres de son cheptel mais pas d’être tourmenté, pas de cette manière ! Et son envie de sexe lui faisait maintenant ressentir cette brûlure interne à Son corps : Il était habité par le feu comme rarement ça ne Lui était arrivé.

La petite chienne dormait paisiblement aux Pieds de son Maître. Son corps était nimbé par le reflet des flammes. Sa respiration était calme et profonde. Ses yeux derrière ses paupières indiquaient qu’elle s’était profondément endormie. Le Marquis souriait. Il quitta son assise pour s’approcher et s’accroupir à côté de Son aimée. D’un doigt, Il parcourut le somptueux corps si sensuel de féminité à la peau blanche. Chris soupira en gémissant doucement et se retourna sur le dos. Exactement le mouvement que le Marquis attendait pour entreprendre l’assaut du reste de la carapace de Sa soumise… Il s’assit à côté d’elle, Son Vit tendait envers celle laquelle Il éprouvait Ses désirs les plus triviaux. Le Maître caressa légèrement le ventre de Sa soumise remontant vers ses seins puis légèrement roula un téton entre deux doigts. Chris toujours endormie gémit un peu plus fort et en écartant les jambes.

- Oui ! murmura-t-il sans voix.

Lentement le Marquis passa Sa main sur le haut des cuisses de Sa chienne pour qu’elle s’ouvre à Lui un peu plus. Chris ouvrit les yeux. Il saisit ce moment pour se glisser entre les jambes de Sa soumise et pour prendre appui sur Son bassin pour éviter qu’elle ne se relève complètement. La soumise regarda son Maître sur elle et sa position était si excitante qu’elle se sentit mouiller fortement. Elle désirait son Maître depuis tant de temps que Celui-ci sentit ses jambes trembler de désirs. Il la fixa de Son regard intense de Dominant, la soumise sentit ses joues rougir en baissant la tête. Le Maître ne tenait plus. Le Marquis d’Evans se positionna et lentement Son sexe pourfendit celui de Sa soumise. Ils en émirent chacun un râle tant ils étaient tendus. Chris sentit l’énorme sexe de son amant de Maître lentement remonter en elle. Le glissement du membre gonflé contre le plug rendait la zone érogène tellement sensible que la soumise se raidit. Etant ressorti, c’est à ce moment que le Maître décida de la pénétrer très lentement d’un seul coup et d’aller buter au fond du vagin de sa chienne :
- Petite salope, tu sens ton Maître qui te baise bien ton si beau corps de chienne !

Elle s’était relevée sur ses avant-bras mais elle retomba sous la poussée du Marquis en se cambrant en arrière. Il en profita pour la couvrir de Son corps, lui écarter les bras et lui mordiller la nuque.

- Hummm … M… Maître Ed… balbutia Chris.
- Chienne ! Qui t’a autorisé à parler !?

Chris rougit à nouveau en baissant la tête. La lance raidie à l’extrême de chair du Noble lui labourait la chatte. Cette chatte qu’elle sentait couler et s’emplir toujours plus intensément. Son Maître sentait les parois du vagin de Sa soumise serrer son sexe de plus en plus. Et c’est à ce moment là choisi par Lui qu’Il lui pinça et lui tira un téton très fort pour faire retomber la tension d’un cran, Il attrapa alors des pinces à seins et à lèvres qu’Il avait placé sous le tapis et les accrocha sans autre préambule aux seins de Chris. Surprise la soumise lâcha un cri. C’était la première fois que ses seins goûtaient à cette torture. Le Marquis sentait Ses élans gonfler son sexe encore plus et être proche de l’éjaculation mais pas sa soumise. Alors Il accrocha les pinces à lèvres tira sur la chaîne reliant les quatre petites pinces et profita pour lui martyriser son bouton d’amour érigé. Chris cria alors plus fort en agrippant le cou de son Maître de son bras libre. Le Marquis en profita pour se relever, soulever Sa soumise et l’empaler sur Son Sexe dressé en lui empoignant les fesses à pleines mains. Il la plaqua sur le plateau de la table basse. Fine excitée, Chris ne ressentit pas le choc du froid du verre sur son dos. Elle avait attrapé le cou de son Maître de son deuxième bras et l’enserrait langoureusement. Le Noble limait sa soumise avec une puissante régularité virile.

- Chris, tu es vraiment une belle salope, Ma salope de chienne … Je vais te baiser jusqu’à ce que tu jouisses mais tu ne jouiras uniquement qu’à Mon ordre, tu entends ?
- Haaa, haaaaaaa, Voui, oui Maître Edouard, haaa, haaa (Chris criait de plus en plus fort sous les assauts appuyés de son Maître)
Puis au bout de quelques minutes, Il se retira d’un coup pour enlever le plug rapidement et la sodomiser une nouvelle fois de Ses doigts. Il aurait eu envie de la prendre par ses deux trous en même temps. Lentement Il dilata encore plus le cul de Sa soumise, Il y passait maintenant quatre doigts aisément.

- Tu aimes ça, hein Ma belle ? Tu aimes te sentir possédée par tous tes trous ? Chienne !
- Haaa, haaa, oui, M…. Maî-tre E-douard… hurlait maintenant la soumise en rythme et en haletant de plus belle.

Le Marquis d’Evans sentait le corps de Sa soumise augmenter en vibrations. Il lui sourit tout en la baisant à nouveau violemment. Elle sentait Ses bourses claquer sur son périnée. Au moment où elle n’en pouvait plus, Il tira à nouveau sur la chaîne de torture des parties fines de Sa soumise qui cria encore plus fort.

- Oui, oui, c’est bon de se sentir soumise et d’appartenir au Marquis d’Evans, n’est-ce pas ? Dit le Noble dans un souffle à l’oreille de Sa belle Chris.

Les amants étaient en sueur. Chris se sentit à nouveau soulevée quand son Maître la retournait autour de Son axe de plaisirs. Il l’avait placée de manière à pouvoir mieux disposer de son cul tout en la baisant toujours à fond et de plus en plus vite.

- M… Maître… haaaaaa …. j… je….
- Non, non pas encore, je te rappelle que tu dois n’obéir qu’à moi et non pas à ton corps. Voilà ce que signifie qu’il ne t’appartient plus. Tu es mienne, tu es MA chienne, tu es baisée par Ton Maître et tu n’es plus rien d’autre !

A ces mots, le Marquis roula le clito de Sa soumise entre Ses doigts. Elle hurla de plus belle, elle dont la jouissance était repoussée toujours plus loin. Elle sentait son bassin s’emplir d’une chaleur vive comme peu d’hommes lui avaient permis de ressentir dans une vie vanille… Puis, plus rien. Le Maître s’était arrêté. Il ne bougeait plus en elle. Elle dont la chaleur la brûlait à son tour. Le Maître avait senti cette poussée de température et se nourrissait de cette énergie en l’absorbant. Il prit Sa soumise par les cheveux et lui tira la tête en arrière pour lui parler :
- Tu sens ça, salope de chienne ? Tu sens ce feu monter en toi ? (Chris essoufflée fit oui de la tête). C’est cette énergie là que Je voulais te faire découvrir et sur laquelle nous allons maintenant surfer. (Chris se sentait déboussolée et rougissait à nouveau.) Tout doux… Ma belle, oui Je sais, Ma petite chienne qui est maintenant totalement déboussolée et qui a perdu tous ses anciens repères vanille… Tu signes par là ton entrée dans le monde purement D/s tel que Je le conçois… Nous allons ouvrir la porte de Ma jouissance… (En même temps qu’Il prononça ces derniers mots, Il empoigna un fouet court en cuir noir à bouts en formes de fleurs caché sous le plateau de la table et fouetta les fesses de Sa soumise)
- Oh oui, Maître, Merci, Maître Edouard, dit Chris en pleurant d’émotions du cadeau que lui faisait son Maître en l’initiant ainsi à Son art.

(A suivre…)