Une vie 1
Récit érotique écrit par Nico T [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-08-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Une vie 1
Chapitre 1 : Le réveillon de la St Sylvestre (il y a quelques années…)
Voilà la nouvelle année commence à s’installer. Le calme est un peu revenu à la maison, mes invités sont repartis hier soir avant le couvre-feu, seul reste mon ami, mon amant, mon préféré. Il regarde la télé dans le salon, il somnole et ne va pas tarder à s’endormir. Il est beau mon Turc!
1 - IZMIR.
Izmir c’est son nom. Je le connais depuis moins d’un an. Il vient juste d’être majeur et en quelques mots je vais vous raconter notre rencontre.
Au printemps dernier, j’allais faire des courses dans notre belle ville, et j’ai décidé de traverser le parc ombragé, non sans arrière pensée car c’est là que se retrouvent les gays de la ville. Oh on retrouve souvent les mêmes têtes et pas des premiers communiants, mais on peut discuter. Ce jour là je traversais juste le parc quand j’ai aperçu le petit mec qui se trouvait assis sur le dossier d’un banc matant tout ce qui passait.
Lorsque je suis arrivé à sa hauteur j’ai constaté la jeunesse irradiante de ce mec. Il souriait, faisait un petit hochement de tête et quand il m’a vu ses yeux ne m’ont plus quitté. J’en étais presque gêné. Il paraissait bien jeune quand même pour être dans ce lieu. Je suis passé devant lui sans m’arrêter en lui rendant son sourire et j’ai continué mon chemin pour me retourner quelques instants plus tard et voir qu’il était derrière moi. Cela me fit sourire et je m’arrêtais pour m’appuyer le long de la rambarde qui longe la rivière qui traverse la ville. Il est venu juste à côté de moi.
- bonjour dit-il moi c’est Izmir, je suis d’origine turc, je ne t’ai jamais vu ici.
Il parlait comme un pro de rencontres fortuites. Ses yeux noirs me scrutaient en souriant, son visage fin, ses lèvres bien ourlées, son absence de tout poil sur le visage.
- non c’est vrai que que je ne viens pas souvent lui ai-je répondu mais toi tu viens souvent ?
- de temps en temps mais il y a surtout des vieux ici. Je dirais que tu es le plus beau que j’ai vu ici depuis que je viens.
- très flatteur dis-je mais tu as quel âge ?
- 18 ans dit-il péremptoire.
- j’ai bien des doutes Izmir! en fait ?
- oui tu as raison, je vais les avoir bientôt mais ça va venir vite et toi tu t’appelles comment ?
- moi c’est Fabrice et je suis bien content de te rencontrer, mais tu cherches quoi exactement ici ?
- un copain avec qui partager tout de la vie. J’ai des frères à la maison mais je ne sais pas si tu sais, s’ils apprennent que j’aime les garçons, ça ira très mal pour moi. Alors j’ai envie de connaître quelqu’un avec qui parler de tout ça et apprendre et faire tout plein de choses avec lui.
J’avoue que j’ai été scotché devant tant de candeur, de naïveté dans le discours de ce jeune. C’est bien je ne paraissais pas “vieux” à ses yeux.
On a continué à parler, enfin surtout lui. J’avais continué à marcher pour aller faire mes courses et il s’incrustait. Je souriais intérieurement mais il a fini par m’intriguer, m'exciter. Sa beauté, ses beaux yeux me chaviraient… alors je l’ai laissé venir avec moi faire mes courses, revenir à ma voiture, ranger les courses et, prêt à monter dans ma voiture, il m’a regardé, un regard de chien battu, triste comme un animal que l’on va abandonner au bout d’une laisse en forêt. Il ne disait plus rien, me fixant droit dans les yeux.
- je t’emmène où tu veux lui ai-je dit.
Le sourire revenu il est monté dans ma voiture.
- tu veux aller où ? lui demandais je dans un sourire.
- chez toi fut sa réponse spontanée en baissant les yeux.
Je l’ai donc emmené chez moi, il m’a aidé à ranger les courses, découvrant ma maison, curieux, regardant partout et dans un élan est venu se serrer contre moi, joue contre joue m’entourant de ses bras.
- c’est toi que je veux dit-il en me regardant.
Et nos lèvres se sont jointes.
On est amant depuis cette date…
2 - MEHDI.
Mehdi on se connait depuis une très longtemps, nous sommes du même âge. On s’est connu à la maternelle, mais c'est surtout au collège qu'on est devenus vraiment potes ! On s’est de suite bien entendu tous les deux pour faire les 400 coups! rien de méchant! on n'a fait de mal à personne, que du bien! quand on s’est rendu compte qu’on aimait la bite tous les deux, on se branlait ensemble dans les chiottes du Lycée puis on a couché ensemble, mais on voulait se sauter tous les deux, Mehdi ne voulait pas. Alors je lui ai toujours dit que le jour où j’aurais son cul il aurait le mien… c’est devenu un jeu entre potes!
On aimait bien se retrouver dans un lit tous les deux et à défaut de son cul, ses mains, sa bouche donnent des caresses qui font monter au 7ème ciel n’importe qui. J’adore lui donner du plaisir comme j’adore qu’il m’en donne.
Notre principal jeu était de draguer des mecs hétéros dans les boîtes et de les mettre dans notre lit où dans la forêt! c’est fou le nombre de mecs qui aiment la bite et qui n’osent pas se l’avouer.
Donc vous l’avez compris Mehdi est mon pote, le pote que tout le monde aimerait avoir. On ne se cache rien, on s’appelle régulièrement. On baise ensemble quand la disette arrive et par ces temps de confinement c’est bien agréable d’avoir un pote comme lui.
Mais, je n’ai toujours pas eu son beau petit cul et il n’a pas encore eu le mien!!
Entre les fêtes il m’a appelé pour me demander ce que je faisais. Il venait de se trouver un jeune black, Driss, un jeune Sénégalais de la grande ville d’à côté. Ils voulaient passer le réveillon ensemble mais ils ne pouvaient aller nulle part… alors. Mais moi mon réveillon était prévu avec Izmir. C’était la première fois qu’il pouvait découcher alors il était aux anges de passer toute une nuit avec moi.
Je l’ai appelé et après différentes tergiversations il a accepté que mon ami et son pote soient présents.
3 - LE REVEILLON.
C’est Izmir qui est arrivé le premier, toujours aussi beau, toujours aussi tendre, souriant, les lèvres et la langue chaudes pour les baisers. Si je l’avais laissé faire il se serait déshabillé de suite. Il voulait tout savoir de Mehdi, je lui ai raconté le racontable en lui disant surtout qu’il lui plairait surtout quand il le verrait à poils.
- on va baiser tous les quatre dit Izmit les yeux écarquillés, mais je ne veux que toi.
- c’est la fête ce soir, on va bien finir l’année et bien en commencer une autre.
- alors je veux te sucer avant que tout le monde arrive.
Aussitôt dit, aussitôt à genoux, défaisant mon pantalon, baissant mon boxer et laissant sortir ma queue telle un ressort de sa boîte. Izmir embrasse le bout de ma queue, la décalotte doucement, et entoure de ses lèvres mon gland qui grossit de plus en plus, je sens sa langue l’entourer et ses lèvres avancer sur ma tige, engloutissant lentement ma queue jusqu’à ce que mes couilles frappent son menton et son nez percute mes poils pubiens.
Je pose juste ma main sur sa tête et le laisse faire. Je connais mon bébé, il aime s’enfoncer ma queue au plus profond, ressortir et l’engloutir de plus en plus vite. Sa main triture mes couilles, les caresses, les serre, et sa bouche fait des vas et viens de plus en plus profonds sur ma queue… il va me faire jouir. Il a l’habitude, quand il sent ma queue tressaillir dans sa gorge il ralenti la cadence, et joue avec sa langue et reprend son agitation pour enfin se bloquer sur ma queue quand elle est bien au fond de sa gorge, serrer bien fort mes couilles pendant que je me déverse dans sa gorge si accueillante de plusieurs longs jets de sperme chauds. Il dégluti à chaque jet en me regardant de ses beaux yeux souriants et avale tout ce que je lui donne. Il ressort ma queue de sa bouche et la lèche lentement récupérant toutes les gouttes qui y traînent et remballe la marchandise.
Je le relève, le prend dans mes bras, l’embrasse, le soulève, l’assois sur l’évier, défait son pantalon, baisse son caleçon. Sa belle queue circoncise apparait bien droite, bien grosse, suintante, je me penche et donne plusieurs coups de langue qui le font tressaillir. Il se penche en arrière et j’avale sa belle et bonne queue que je suce avec avidité. Il n ‘arrête pas de parler, m’appelant son bébé, son amour, sa perle (j’aime bien ce terme lol), il tend bien sa queue pour que j’avale au plus profond et tellement excité qu’il se bloque rapidement dans ma bouche et me donne tout son nectar juvénile à avaler. Il est bon son jus, onctueux, crémeux et je n’en perd pas une goutte…
Il se redresse, le cul à l’air, je lui donne une petite tape, il se refugie dans mes bras, ma main part à l’aventure dans sa raie, à la recherche du petit trou que je trouve, je le caresse, il tend son cul en arrière. Mon doigt se pose sur l’anus déjà humide, tartiné de gel…
- toi t’es prêt dis-je en rigolant.
- j’avais pensé au départ que se serait uniquement pour toi mais je pense que les autres vont vouloir aussi.
- uniquement si tu le veux mon bébé il n’y a pas d’obligations, eh rhabillons nous les autres vont arriver et on a pas fini les préparatifs.
Le repas était succinct, que des amuse-gueules… crustacés, crevettes, bouchées à la reine miniature, vin blanc et du champagne au frais pour le gâteau, La soirée devrait être bonne.
Mes invités sont arrivés peu de temps après, avant 20 heures couvre-feu oblige.
- bon nous sommes tes prisonniers jusqu’à demain matin a dit Mehdi en arrivant et me faisant la bise qu’il a fait à Izmir.
- Voilà je vous présente Driss, beau mec que j’adore dit il en lui serrant la taille et le rapprochant de lui.
Driss est un jeune black d’une vingtaine d’années, beau comme un Dieu! une peau noire comme j’aime, son sourire embellit son visage. Mince, svelte mais musclé il a tout pour attirer l’œil, ses lèvres m’excitent comme si je les sentais déjà autour de ma queue.
Un premier verre dans le salon, devant le feu de cheminée qui crépite réchauffant encore plus l’atmosphère, détend le climat et au bout d’une demi-heure tout le monde se parle comme s’ils se connaissaient depuis toujours.
La main de Driss s’était posée sur la cuisse de Mehdi qui se laissait caresser, racontant comme souvent des bêtises.
Izmir est allé aux toilettes et au retour, est venu s’asseoir carrément sur un de mes genoux, passant sa main derrière la tête pour me caresser la nuque.
Je voyais bien qu’Izmir et Driss se regardaient et plus ils se regardaient plus la main de Driss caressait Mehdi en remontant sur sa jambe. Izmir m’a tourné la tête vers lui et est venu me rouler une pelle comme pour marquer son territoire devant les “intrus”… alors, Mehdi a tendu ses lèvres à Driss qui s’en est emparé.
Comme à un concours de bisous, c’était à celui qui le ferait durer le plus longtemps. J’aime la langue d’Izmir et c’est pas moi qui ferait cesser ce baiser.
Quand j’a vu du coin de l’œil, Driss enlever son pull, apparaissant en marcel, le retirant, pour se jeter dans les bras de Mehdi qui le caressait. J’ai compris que c’était parti pour la soirée.
Izmir n’avait rien vu encore, j’encourageais son baiser, lui caressant le dos, mélangeant bien nos langues, nos salives. Il en gémissait le chéri. Je passais ma main sous ses vêtements pour lui caresser le dos. Je voyais la main de Mehdi entrer dans le pantalon de Driss sur ses fesses. Driss se relève, enlève son pantalon, son caleçon, ses chaussettes et nu revient dans les bras de Mehdi, encore habillé. Tout ce froissement de vêtements a fait qu’Izmir à regarder et voyant le tableau, s’est redressé et s’est mis nu également avant de revenir dans mes bras.
Je voyais les yeux de Mehdi qui me regardaient et il souriait ce bandit!
C’est Izmir qui a commencé à se mettre à quatre pattes devant moi, me sortir la queue et l’avaler comme il sait si bien le faire.
Driss en a fait autant avec la queue de Mehdi si bien que tous les deux à quatre pattes, leurs culs ont fini par se toucher. Blanc sur noir, c’était beau de voir ces deux culs qui s’appuyaient l’un contre l’autre en se frottant. Driss avalait complètement la grosse queue de Mehdi, on ne voyait plus que son nez dans les poils et je savais que cette queue était longue à avaler.
Quand Mehdi s’est relevé en me faisant un clin d’œil, je me suis rapproché de lui. Il m’a pris par la taille. Driss et Izmir étaient à genoux devant nous…
- vous pouvez sucer celle que vous voulez dit Mehdi, elles sont à vous!
Et, devant notre stupéfaction, Izmir et Driss ont commencé par s’embrasser en fermant les yeux, tenant chacun une bite en main. Mehdi s’est tourné vers moi et m’a donné ses lèvres chaudes et pulpeuses.
Puis chacun notre tour nous avons eu droit a être sucé par les deux bouches en même temps. La chaleur des bouches n’étaient pas la même. Mehdi me caressait les fesses, cherchant mon petit trou, j’en ai fait autant sur lui mais il a serré ses fesses en me souriant… et on s’est embrassé.
Nos deux amants s’activaient durement sur nos queues, qui étaient bien raides. C’est Driss qui se retournât le premier sur le canapé, présentant ses fesses.
- qui est le premier ? dit Driss.
Je regardais Mehdi, qui me fait signe de la main d’y aller devant le regard envieux d’Izmir qui se met sur le fauteuil présentant son cul à Mehdi.
Je caresse les belles fesses de Driss, qui sont fermes, chaudes, il tend bien son cul qui écarte bien les fesses, laissant voir un petit anus rond, imberbe. Je mouille ma main, passe la salive sur le trou et la répartie avec un doigt qui s’enfonce tout seul dans le trou. Driss commence déjà à gémir. Je mets deux doigts et les gémissements reprennent encore, je tourne mes doigts dans ce beau cul, les retire, pose mon gland dessus et c’est Driss qui recule ses fesses où disparait ma queue petit à petit… faisant encore gémir Driss de plus en plus, quand j’entend Mehdi :
- putain mais ça glisse tout seul! quel cul! putain quel cul!!
Je regarde et vois Mehdi embrocher littéralement Izmir qui tend bien son petit cul chaud!! Je souris en repensant au gel dont il s’est badigeonné!
Ma queue est presque avalée complètement par le cul de Driss. Je le prend aux hanches et fait coulisser ma queue dans son conduit de plus en plus vite. Driss gueule de plaisir, il se branle en même temps. J’accélère mes coups de reins de plus en plus vite, de plus en plus forts, mon pubis claque bien sur ses fesses, nos couilles se frappent entre elles. Je sens le plaisir monter et au moment de gicler dans ce beau cul j’entends gueuler Mehdi qui se vide dans le cul de mon petit Izmir qui me regarde en souriant. Je me vide de plusieurs giclées bien chaudes et abondantes… et ma queue ressort encore raide. Mehdi se retrouve comme moi la queue à l’air.
Izmir se relève, vient à côté de moi, pointe sa grosse queue vers le cul de Driss.
- j’ai envie de l’enculer dit Izmir doucement.
- vas y disent Mehdi et Driss en chœur.
Mehdi et moi on passe devant Driss et on lui propose nos queues à nettoyer. Il ne se fait pas prier et pendant que la queue d’Izmir le pénètre doucement, lentement il nettoie de sa langue chaude et agile nos deux queues.
Je n’avais jamais vu Izmir avec un autre mec, lui toujours passif, m’étonne, quand il a eu rentré sa grosse queue dans le cul de Driss, il l’a saisi fortement aux hanches et l’a pilonné de mouvements amples et secs, faisant gueuler Driss qui tendait encore et encore son cul et dans un cri Izmir est tombé sur le dos de Driss en se vidant en lui. Il avait les yeux fermés et souriait, heureux. Il s’est redressé, a sorti délicatement sa queue. Driss s’est retourné et lui a léché la rendant toute propre…
Et nous trois, tels des voraces on s’est jeté sur la queue de Driss. Une belle queue ébène circoncise d’une longueur impressionnante et à tour de rôle, on la sucé, léché, gobé ses couilles. Quand il était prêt à jouir on s’arrêtait, pour reprendre encore et encore et finir par recueillir des jets puissants de sperme qui retombaient en flocons sur son torse ébène, le contraste était saisissant. On a tous eu droit à notre part du gâteau à coups de langues.
J’ai remis du bois dans la cheminée, les flammes crépitantes sont revenues et la chaleur est encore montée. Quatre jeunes mecs à poils devant un feu de cheminée, mangeant, buvant, déconnant.
Minuit est arrivé assez vite.
J’ai sorti le gâteau, ouvert le champagne. On a décompté les coups de l’horloge et malgré le confinement on s’est fait la bise, de grosses bises, de gros baisers d’amants heureux.
On a bu, mangé le gâteau et Izmir a eu une idée.
- Fabrice je veux que tu sais ma première bite de l’année, viens me baiser!
- il a raison dit Driss en s’adressant à Mehdi.
Ils se sont installés un, dans le canapé et mon Izmir dans le fauteuil tendant bien leurs beaux culs.
Nos queues ont eu vite fait de reprendre de l’ampleur devant ce spectacle si accueillant. J’écartais bien les belles fesses de mon amoureux, je me penchais et lui léchais la raie, titillant son anus imberbe et lisse. Il m’a tendu son cul le plus possible, je lui ai bien léché son petit trou. Je l’entendais gémir, râler doucement, je savais qu’il aimait ça. Je me suis redressé, ma queue bien raide, décalottée, se posa devant l’entrée, je l’ai pris aux hanches et je l’ai attiré à moi d’un seul coup. Surpris il a crié, mais ma queue s’est enfoncé en lui et j’ai commencé à le labourer sans ménagement, durement, serrant fort mes mains sur ses hanches. Il n’arrêtait pas de gémir des “oui, oui encore, vas-y, plus fort , oui, oui” alors je me suis déchaîné ma queue glissait bien dans son conduit, je la ressortais presqu’entièrement pour la rentrer d’un seul coup tout au fond de lui en claquant mon pubis sur ses fesses. Il a demandé grâce.
- donne moi ton jus! j’ai trop envie mon amour!
Alors j’ai obéi en me déversant d’un premier jet qui avait l’air de ne pas vouloir finir, puis un deuxième, un troisième. Je donnais tout ce que j’avais en réserve, ma queue bougeait toute seule en lui et continuait de couler. Puis elle s’est échappée, il s’est retourné, m’entourant de ses bras, ses lèvres sont venues se poser sur les miennes et son baiser fut des plus tendres, des plus langoureux, des plus aimants que je lui connaisse. Il m’a pris la tête dans ses mains, m’a fixé dans les yeux.
- je t’aime à dit-il et il a recommencé à m’embrasser.
J’ai jeté un œil à Mehdi, il était en train de se faire nettoyer la bite par son pote.
- Il parait a dit Driss que si on boit du champagne avec du sperme dedans… ben on en manque pas de toute l’année!!
- c’est au Sénégal qu’on dit ça ? a demandé Mehdi.
- je ne sais pas d’où ça vient a répondu Driss en se levant et commençant à se branler devant nous au dessus d’un verre à champagne. Trouvant sûrement l’idée marrante, je vois Izmir en faire autant, alors en bons potes Mehdi et moi on est venu aider nos amis de caresses et bisous. Ils ont fini par juter dans les verres et sur la table du salon.
De bonnes doses dans deux verres. Driss a pris le sien, en a mis un peu dans le verre de Mehdi, voyant cela Izmir en a fait autant avec le mien. J’ai servi le champagne, c’était marrant de voir le sperme flotter dans le verre.
C’est Driss qui a commencé à goûter, il a ri, a levé son verre.
- à la nouvelle année mes amis!
Et, cul sec on a tout avaler!
On a traîné encore un peu et c’est Mehdi qui a déclaré forfait en disant que demain il devait aller manger chez ses parents, alors il faudrait bien qu’il dorme un peu. Driss et lui sont allés dans la chambre d’amis se renfermer!
Izmir s’est jeté à mon cou.
- mon amour, mon rêve se réalise, je vais enfin pouvoir dormir avec toi, dans tes bras, te voir te réveiller, tu es à moi.
- allez! on range un peu et on va se coucher.
On a pas eu besoin de se déshabiller. J’ai juste eu le temps de m’allonger dans mon lit qu'une pieuvre est venue sur moi, m’enlaçant, me serrant, se frottant du haut en bas contre moi disant tout plein de mots gentils que je ne vous répéterai pas ici (lol)
Je l’ai calmé en le caressant doucement dans le dos, lui disant des mots doux et tendres. Sa main me tenait la bite, pas pour me branler, juste pour la tenir puis j’ai senti son souffle devenir lent, j’ai tourné la tête, il s’est endormi dans ma bras, la tête dans mon épaule, la main sur ma bite, une jambe au milieu des miennes. Ne pouvant plus bouger, j’ai fermé les yeux et je me suis endormi.
Je ne sais pas trop l’heure qu’il était quand je me suis réveillé mais Izmir était sous les draps et me tétait lentement le gland. Quelle douceur, quelle tendresse, sa main caressait mes couilles, mes jambes. Quand il a eu compris que j’étais réveillé, il est venu me faire des bisous, me disant qu’il n’avais jamais été si heureux de pouvoir se retrouver ainsi avec moi. Il a posé sa tête sur ma poitrine et il parlait doucement, tendrement, je lui caressais le dos, la tête, la joue et l’attirait vers mes lèvres.
On s’est enfin levé, il était presque 11 heures! Il a filé sous la douche, j’ai été réveiller Mehdi et Driss qui dormaient encore enlacés. Une douche vite fait, un café avalé et les voilà partis nous laissant tous les deux.
La journée fut douce avec Izmir.. c’est un plaisir d’avoir un tel garçon avec soi. J’ai refait du feu, ça gelait dehors, un peu de soleil. On a traînassé toute la journée devant le feu de cheminée, à poils ou à moitié vêtu, on a fait l’amour plusieurs fois… tendrement, paisiblement.
Hier soir il a voulu rester pour la nuit, je n’ai pas chercher à le dissuader.
Et là, il vient de se réveiller. Il sourit comme d’habitude je dirais, il va devenir mon premier lecteur…
Voilà la nouvelle année commence à s’installer. Le calme est un peu revenu à la maison, mes invités sont repartis hier soir avant le couvre-feu, seul reste mon ami, mon amant, mon préféré. Il regarde la télé dans le salon, il somnole et ne va pas tarder à s’endormir. Il est beau mon Turc!
1 - IZMIR.
Izmir c’est son nom. Je le connais depuis moins d’un an. Il vient juste d’être majeur et en quelques mots je vais vous raconter notre rencontre.
Au printemps dernier, j’allais faire des courses dans notre belle ville, et j’ai décidé de traverser le parc ombragé, non sans arrière pensée car c’est là que se retrouvent les gays de la ville. Oh on retrouve souvent les mêmes têtes et pas des premiers communiants, mais on peut discuter. Ce jour là je traversais juste le parc quand j’ai aperçu le petit mec qui se trouvait assis sur le dossier d’un banc matant tout ce qui passait.
Lorsque je suis arrivé à sa hauteur j’ai constaté la jeunesse irradiante de ce mec. Il souriait, faisait un petit hochement de tête et quand il m’a vu ses yeux ne m’ont plus quitté. J’en étais presque gêné. Il paraissait bien jeune quand même pour être dans ce lieu. Je suis passé devant lui sans m’arrêter en lui rendant son sourire et j’ai continué mon chemin pour me retourner quelques instants plus tard et voir qu’il était derrière moi. Cela me fit sourire et je m’arrêtais pour m’appuyer le long de la rambarde qui longe la rivière qui traverse la ville. Il est venu juste à côté de moi.
- bonjour dit-il moi c’est Izmir, je suis d’origine turc, je ne t’ai jamais vu ici.
Il parlait comme un pro de rencontres fortuites. Ses yeux noirs me scrutaient en souriant, son visage fin, ses lèvres bien ourlées, son absence de tout poil sur le visage.
- non c’est vrai que que je ne viens pas souvent lui ai-je répondu mais toi tu viens souvent ?
- de temps en temps mais il y a surtout des vieux ici. Je dirais que tu es le plus beau que j’ai vu ici depuis que je viens.
- très flatteur dis-je mais tu as quel âge ?
- 18 ans dit-il péremptoire.
- j’ai bien des doutes Izmir! en fait ?
- oui tu as raison, je vais les avoir bientôt mais ça va venir vite et toi tu t’appelles comment ?
- moi c’est Fabrice et je suis bien content de te rencontrer, mais tu cherches quoi exactement ici ?
- un copain avec qui partager tout de la vie. J’ai des frères à la maison mais je ne sais pas si tu sais, s’ils apprennent que j’aime les garçons, ça ira très mal pour moi. Alors j’ai envie de connaître quelqu’un avec qui parler de tout ça et apprendre et faire tout plein de choses avec lui.
J’avoue que j’ai été scotché devant tant de candeur, de naïveté dans le discours de ce jeune. C’est bien je ne paraissais pas “vieux” à ses yeux.
On a continué à parler, enfin surtout lui. J’avais continué à marcher pour aller faire mes courses et il s’incrustait. Je souriais intérieurement mais il a fini par m’intriguer, m'exciter. Sa beauté, ses beaux yeux me chaviraient… alors je l’ai laissé venir avec moi faire mes courses, revenir à ma voiture, ranger les courses et, prêt à monter dans ma voiture, il m’a regardé, un regard de chien battu, triste comme un animal que l’on va abandonner au bout d’une laisse en forêt. Il ne disait plus rien, me fixant droit dans les yeux.
- je t’emmène où tu veux lui ai-je dit.
Le sourire revenu il est monté dans ma voiture.
- tu veux aller où ? lui demandais je dans un sourire.
- chez toi fut sa réponse spontanée en baissant les yeux.
Je l’ai donc emmené chez moi, il m’a aidé à ranger les courses, découvrant ma maison, curieux, regardant partout et dans un élan est venu se serrer contre moi, joue contre joue m’entourant de ses bras.
- c’est toi que je veux dit-il en me regardant.
Et nos lèvres se sont jointes.
On est amant depuis cette date…
2 - MEHDI.
Mehdi on se connait depuis une très longtemps, nous sommes du même âge. On s’est connu à la maternelle, mais c'est surtout au collège qu'on est devenus vraiment potes ! On s’est de suite bien entendu tous les deux pour faire les 400 coups! rien de méchant! on n'a fait de mal à personne, que du bien! quand on s’est rendu compte qu’on aimait la bite tous les deux, on se branlait ensemble dans les chiottes du Lycée puis on a couché ensemble, mais on voulait se sauter tous les deux, Mehdi ne voulait pas. Alors je lui ai toujours dit que le jour où j’aurais son cul il aurait le mien… c’est devenu un jeu entre potes!
On aimait bien se retrouver dans un lit tous les deux et à défaut de son cul, ses mains, sa bouche donnent des caresses qui font monter au 7ème ciel n’importe qui. J’adore lui donner du plaisir comme j’adore qu’il m’en donne.
Notre principal jeu était de draguer des mecs hétéros dans les boîtes et de les mettre dans notre lit où dans la forêt! c’est fou le nombre de mecs qui aiment la bite et qui n’osent pas se l’avouer.
Donc vous l’avez compris Mehdi est mon pote, le pote que tout le monde aimerait avoir. On ne se cache rien, on s’appelle régulièrement. On baise ensemble quand la disette arrive et par ces temps de confinement c’est bien agréable d’avoir un pote comme lui.
Mais, je n’ai toujours pas eu son beau petit cul et il n’a pas encore eu le mien!!
Entre les fêtes il m’a appelé pour me demander ce que je faisais. Il venait de se trouver un jeune black, Driss, un jeune Sénégalais de la grande ville d’à côté. Ils voulaient passer le réveillon ensemble mais ils ne pouvaient aller nulle part… alors. Mais moi mon réveillon était prévu avec Izmir. C’était la première fois qu’il pouvait découcher alors il était aux anges de passer toute une nuit avec moi.
Je l’ai appelé et après différentes tergiversations il a accepté que mon ami et son pote soient présents.
3 - LE REVEILLON.
C’est Izmir qui est arrivé le premier, toujours aussi beau, toujours aussi tendre, souriant, les lèvres et la langue chaudes pour les baisers. Si je l’avais laissé faire il se serait déshabillé de suite. Il voulait tout savoir de Mehdi, je lui ai raconté le racontable en lui disant surtout qu’il lui plairait surtout quand il le verrait à poils.
- on va baiser tous les quatre dit Izmit les yeux écarquillés, mais je ne veux que toi.
- c’est la fête ce soir, on va bien finir l’année et bien en commencer une autre.
- alors je veux te sucer avant que tout le monde arrive.
Aussitôt dit, aussitôt à genoux, défaisant mon pantalon, baissant mon boxer et laissant sortir ma queue telle un ressort de sa boîte. Izmir embrasse le bout de ma queue, la décalotte doucement, et entoure de ses lèvres mon gland qui grossit de plus en plus, je sens sa langue l’entourer et ses lèvres avancer sur ma tige, engloutissant lentement ma queue jusqu’à ce que mes couilles frappent son menton et son nez percute mes poils pubiens.
Je pose juste ma main sur sa tête et le laisse faire. Je connais mon bébé, il aime s’enfoncer ma queue au plus profond, ressortir et l’engloutir de plus en plus vite. Sa main triture mes couilles, les caresses, les serre, et sa bouche fait des vas et viens de plus en plus profonds sur ma queue… il va me faire jouir. Il a l’habitude, quand il sent ma queue tressaillir dans sa gorge il ralenti la cadence, et joue avec sa langue et reprend son agitation pour enfin se bloquer sur ma queue quand elle est bien au fond de sa gorge, serrer bien fort mes couilles pendant que je me déverse dans sa gorge si accueillante de plusieurs longs jets de sperme chauds. Il dégluti à chaque jet en me regardant de ses beaux yeux souriants et avale tout ce que je lui donne. Il ressort ma queue de sa bouche et la lèche lentement récupérant toutes les gouttes qui y traînent et remballe la marchandise.
Je le relève, le prend dans mes bras, l’embrasse, le soulève, l’assois sur l’évier, défait son pantalon, baisse son caleçon. Sa belle queue circoncise apparait bien droite, bien grosse, suintante, je me penche et donne plusieurs coups de langue qui le font tressaillir. Il se penche en arrière et j’avale sa belle et bonne queue que je suce avec avidité. Il n ‘arrête pas de parler, m’appelant son bébé, son amour, sa perle (j’aime bien ce terme lol), il tend bien sa queue pour que j’avale au plus profond et tellement excité qu’il se bloque rapidement dans ma bouche et me donne tout son nectar juvénile à avaler. Il est bon son jus, onctueux, crémeux et je n’en perd pas une goutte…
Il se redresse, le cul à l’air, je lui donne une petite tape, il se refugie dans mes bras, ma main part à l’aventure dans sa raie, à la recherche du petit trou que je trouve, je le caresse, il tend son cul en arrière. Mon doigt se pose sur l’anus déjà humide, tartiné de gel…
- toi t’es prêt dis-je en rigolant.
- j’avais pensé au départ que se serait uniquement pour toi mais je pense que les autres vont vouloir aussi.
- uniquement si tu le veux mon bébé il n’y a pas d’obligations, eh rhabillons nous les autres vont arriver et on a pas fini les préparatifs.
Le repas était succinct, que des amuse-gueules… crustacés, crevettes, bouchées à la reine miniature, vin blanc et du champagne au frais pour le gâteau, La soirée devrait être bonne.
Mes invités sont arrivés peu de temps après, avant 20 heures couvre-feu oblige.
- bon nous sommes tes prisonniers jusqu’à demain matin a dit Mehdi en arrivant et me faisant la bise qu’il a fait à Izmir.
- Voilà je vous présente Driss, beau mec que j’adore dit il en lui serrant la taille et le rapprochant de lui.
Driss est un jeune black d’une vingtaine d’années, beau comme un Dieu! une peau noire comme j’aime, son sourire embellit son visage. Mince, svelte mais musclé il a tout pour attirer l’œil, ses lèvres m’excitent comme si je les sentais déjà autour de ma queue.
Un premier verre dans le salon, devant le feu de cheminée qui crépite réchauffant encore plus l’atmosphère, détend le climat et au bout d’une demi-heure tout le monde se parle comme s’ils se connaissaient depuis toujours.
La main de Driss s’était posée sur la cuisse de Mehdi qui se laissait caresser, racontant comme souvent des bêtises.
Izmir est allé aux toilettes et au retour, est venu s’asseoir carrément sur un de mes genoux, passant sa main derrière la tête pour me caresser la nuque.
Je voyais bien qu’Izmir et Driss se regardaient et plus ils se regardaient plus la main de Driss caressait Mehdi en remontant sur sa jambe. Izmir m’a tourné la tête vers lui et est venu me rouler une pelle comme pour marquer son territoire devant les “intrus”… alors, Mehdi a tendu ses lèvres à Driss qui s’en est emparé.
Comme à un concours de bisous, c’était à celui qui le ferait durer le plus longtemps. J’aime la langue d’Izmir et c’est pas moi qui ferait cesser ce baiser.
Quand j’a vu du coin de l’œil, Driss enlever son pull, apparaissant en marcel, le retirant, pour se jeter dans les bras de Mehdi qui le caressait. J’ai compris que c’était parti pour la soirée.
Izmir n’avait rien vu encore, j’encourageais son baiser, lui caressant le dos, mélangeant bien nos langues, nos salives. Il en gémissait le chéri. Je passais ma main sous ses vêtements pour lui caresser le dos. Je voyais la main de Mehdi entrer dans le pantalon de Driss sur ses fesses. Driss se relève, enlève son pantalon, son caleçon, ses chaussettes et nu revient dans les bras de Mehdi, encore habillé. Tout ce froissement de vêtements a fait qu’Izmir à regarder et voyant le tableau, s’est redressé et s’est mis nu également avant de revenir dans mes bras.
Je voyais les yeux de Mehdi qui me regardaient et il souriait ce bandit!
C’est Izmir qui a commencé à se mettre à quatre pattes devant moi, me sortir la queue et l’avaler comme il sait si bien le faire.
Driss en a fait autant avec la queue de Mehdi si bien que tous les deux à quatre pattes, leurs culs ont fini par se toucher. Blanc sur noir, c’était beau de voir ces deux culs qui s’appuyaient l’un contre l’autre en se frottant. Driss avalait complètement la grosse queue de Mehdi, on ne voyait plus que son nez dans les poils et je savais que cette queue était longue à avaler.
Quand Mehdi s’est relevé en me faisant un clin d’œil, je me suis rapproché de lui. Il m’a pris par la taille. Driss et Izmir étaient à genoux devant nous…
- vous pouvez sucer celle que vous voulez dit Mehdi, elles sont à vous!
Et, devant notre stupéfaction, Izmir et Driss ont commencé par s’embrasser en fermant les yeux, tenant chacun une bite en main. Mehdi s’est tourné vers moi et m’a donné ses lèvres chaudes et pulpeuses.
Puis chacun notre tour nous avons eu droit a être sucé par les deux bouches en même temps. La chaleur des bouches n’étaient pas la même. Mehdi me caressait les fesses, cherchant mon petit trou, j’en ai fait autant sur lui mais il a serré ses fesses en me souriant… et on s’est embrassé.
Nos deux amants s’activaient durement sur nos queues, qui étaient bien raides. C’est Driss qui se retournât le premier sur le canapé, présentant ses fesses.
- qui est le premier ? dit Driss.
Je regardais Mehdi, qui me fait signe de la main d’y aller devant le regard envieux d’Izmir qui se met sur le fauteuil présentant son cul à Mehdi.
Je caresse les belles fesses de Driss, qui sont fermes, chaudes, il tend bien son cul qui écarte bien les fesses, laissant voir un petit anus rond, imberbe. Je mouille ma main, passe la salive sur le trou et la répartie avec un doigt qui s’enfonce tout seul dans le trou. Driss commence déjà à gémir. Je mets deux doigts et les gémissements reprennent encore, je tourne mes doigts dans ce beau cul, les retire, pose mon gland dessus et c’est Driss qui recule ses fesses où disparait ma queue petit à petit… faisant encore gémir Driss de plus en plus, quand j’entend Mehdi :
- putain mais ça glisse tout seul! quel cul! putain quel cul!!
Je regarde et vois Mehdi embrocher littéralement Izmir qui tend bien son petit cul chaud!! Je souris en repensant au gel dont il s’est badigeonné!
Ma queue est presque avalée complètement par le cul de Driss. Je le prend aux hanches et fait coulisser ma queue dans son conduit de plus en plus vite. Driss gueule de plaisir, il se branle en même temps. J’accélère mes coups de reins de plus en plus vite, de plus en plus forts, mon pubis claque bien sur ses fesses, nos couilles se frappent entre elles. Je sens le plaisir monter et au moment de gicler dans ce beau cul j’entends gueuler Mehdi qui se vide dans le cul de mon petit Izmir qui me regarde en souriant. Je me vide de plusieurs giclées bien chaudes et abondantes… et ma queue ressort encore raide. Mehdi se retrouve comme moi la queue à l’air.
Izmir se relève, vient à côté de moi, pointe sa grosse queue vers le cul de Driss.
- j’ai envie de l’enculer dit Izmir doucement.
- vas y disent Mehdi et Driss en chœur.
Mehdi et moi on passe devant Driss et on lui propose nos queues à nettoyer. Il ne se fait pas prier et pendant que la queue d’Izmir le pénètre doucement, lentement il nettoie de sa langue chaude et agile nos deux queues.
Je n’avais jamais vu Izmir avec un autre mec, lui toujours passif, m’étonne, quand il a eu rentré sa grosse queue dans le cul de Driss, il l’a saisi fortement aux hanches et l’a pilonné de mouvements amples et secs, faisant gueuler Driss qui tendait encore et encore son cul et dans un cri Izmir est tombé sur le dos de Driss en se vidant en lui. Il avait les yeux fermés et souriait, heureux. Il s’est redressé, a sorti délicatement sa queue. Driss s’est retourné et lui a léché la rendant toute propre…
Et nous trois, tels des voraces on s’est jeté sur la queue de Driss. Une belle queue ébène circoncise d’une longueur impressionnante et à tour de rôle, on la sucé, léché, gobé ses couilles. Quand il était prêt à jouir on s’arrêtait, pour reprendre encore et encore et finir par recueillir des jets puissants de sperme qui retombaient en flocons sur son torse ébène, le contraste était saisissant. On a tous eu droit à notre part du gâteau à coups de langues.
J’ai remis du bois dans la cheminée, les flammes crépitantes sont revenues et la chaleur est encore montée. Quatre jeunes mecs à poils devant un feu de cheminée, mangeant, buvant, déconnant.
Minuit est arrivé assez vite.
J’ai sorti le gâteau, ouvert le champagne. On a décompté les coups de l’horloge et malgré le confinement on s’est fait la bise, de grosses bises, de gros baisers d’amants heureux.
On a bu, mangé le gâteau et Izmir a eu une idée.
- Fabrice je veux que tu sais ma première bite de l’année, viens me baiser!
- il a raison dit Driss en s’adressant à Mehdi.
Ils se sont installés un, dans le canapé et mon Izmir dans le fauteuil tendant bien leurs beaux culs.
Nos queues ont eu vite fait de reprendre de l’ampleur devant ce spectacle si accueillant. J’écartais bien les belles fesses de mon amoureux, je me penchais et lui léchais la raie, titillant son anus imberbe et lisse. Il m’a tendu son cul le plus possible, je lui ai bien léché son petit trou. Je l’entendais gémir, râler doucement, je savais qu’il aimait ça. Je me suis redressé, ma queue bien raide, décalottée, se posa devant l’entrée, je l’ai pris aux hanches et je l’ai attiré à moi d’un seul coup. Surpris il a crié, mais ma queue s’est enfoncé en lui et j’ai commencé à le labourer sans ménagement, durement, serrant fort mes mains sur ses hanches. Il n’arrêtait pas de gémir des “oui, oui encore, vas-y, plus fort , oui, oui” alors je me suis déchaîné ma queue glissait bien dans son conduit, je la ressortais presqu’entièrement pour la rentrer d’un seul coup tout au fond de lui en claquant mon pubis sur ses fesses. Il a demandé grâce.
- donne moi ton jus! j’ai trop envie mon amour!
Alors j’ai obéi en me déversant d’un premier jet qui avait l’air de ne pas vouloir finir, puis un deuxième, un troisième. Je donnais tout ce que j’avais en réserve, ma queue bougeait toute seule en lui et continuait de couler. Puis elle s’est échappée, il s’est retourné, m’entourant de ses bras, ses lèvres sont venues se poser sur les miennes et son baiser fut des plus tendres, des plus langoureux, des plus aimants que je lui connaisse. Il m’a pris la tête dans ses mains, m’a fixé dans les yeux.
- je t’aime à dit-il et il a recommencé à m’embrasser.
J’ai jeté un œil à Mehdi, il était en train de se faire nettoyer la bite par son pote.
- Il parait a dit Driss que si on boit du champagne avec du sperme dedans… ben on en manque pas de toute l’année!!
- c’est au Sénégal qu’on dit ça ? a demandé Mehdi.
- je ne sais pas d’où ça vient a répondu Driss en se levant et commençant à se branler devant nous au dessus d’un verre à champagne. Trouvant sûrement l’idée marrante, je vois Izmir en faire autant, alors en bons potes Mehdi et moi on est venu aider nos amis de caresses et bisous. Ils ont fini par juter dans les verres et sur la table du salon.
De bonnes doses dans deux verres. Driss a pris le sien, en a mis un peu dans le verre de Mehdi, voyant cela Izmir en a fait autant avec le mien. J’ai servi le champagne, c’était marrant de voir le sperme flotter dans le verre.
C’est Driss qui a commencé à goûter, il a ri, a levé son verre.
- à la nouvelle année mes amis!
Et, cul sec on a tout avaler!
On a traîné encore un peu et c’est Mehdi qui a déclaré forfait en disant que demain il devait aller manger chez ses parents, alors il faudrait bien qu’il dorme un peu. Driss et lui sont allés dans la chambre d’amis se renfermer!
Izmir s’est jeté à mon cou.
- mon amour, mon rêve se réalise, je vais enfin pouvoir dormir avec toi, dans tes bras, te voir te réveiller, tu es à moi.
- allez! on range un peu et on va se coucher.
On a pas eu besoin de se déshabiller. J’ai juste eu le temps de m’allonger dans mon lit qu'une pieuvre est venue sur moi, m’enlaçant, me serrant, se frottant du haut en bas contre moi disant tout plein de mots gentils que je ne vous répéterai pas ici (lol)
Je l’ai calmé en le caressant doucement dans le dos, lui disant des mots doux et tendres. Sa main me tenait la bite, pas pour me branler, juste pour la tenir puis j’ai senti son souffle devenir lent, j’ai tourné la tête, il s’est endormi dans ma bras, la tête dans mon épaule, la main sur ma bite, une jambe au milieu des miennes. Ne pouvant plus bouger, j’ai fermé les yeux et je me suis endormi.
Je ne sais pas trop l’heure qu’il était quand je me suis réveillé mais Izmir était sous les draps et me tétait lentement le gland. Quelle douceur, quelle tendresse, sa main caressait mes couilles, mes jambes. Quand il a eu compris que j’étais réveillé, il est venu me faire des bisous, me disant qu’il n’avais jamais été si heureux de pouvoir se retrouver ainsi avec moi. Il a posé sa tête sur ma poitrine et il parlait doucement, tendrement, je lui caressais le dos, la tête, la joue et l’attirait vers mes lèvres.
On s’est enfin levé, il était presque 11 heures! Il a filé sous la douche, j’ai été réveiller Mehdi et Driss qui dormaient encore enlacés. Une douche vite fait, un café avalé et les voilà partis nous laissant tous les deux.
La journée fut douce avec Izmir.. c’est un plaisir d’avoir un tel garçon avec soi. J’ai refait du feu, ça gelait dehors, un peu de soleil. On a traînassé toute la journée devant le feu de cheminée, à poils ou à moitié vêtu, on a fait l’amour plusieurs fois… tendrement, paisiblement.
Hier soir il a voulu rester pour la nuit, je n’ai pas chercher à le dissuader.
Et là, il vient de se réveiller. Il sourit comme d’habitude je dirais, il va devenir mon premier lecteur…
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
merci cher lecteur, c'est très gentil, bien sûr, il y a … des suites venir, le chapitre 2 dès demain apparemment!
bjour .. belle histoire, bien écrite, bandante à souhait.. nuit de réveillon sensuelle et sexuelle sans etre vulgaire.. j'aime bcp.. envisagez vous une suite ?