Une vie 18

- Par l'auteur HDS Nico T -
Récit érotique écrit par Nico T [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
  • • 226 récits publiés.
  • • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
  • • L'ensemble des récits érotiques de Nico T ont reçu un total de 463 119 visites.
Récit libertin : Une vie 18 Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-02-2025 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
Cette histoire de sexe a été affichée 507 fois depuis sa publication.

Couleur du fond :
Une vie 18
Chapitre 18 : LA RÉCONCILIATION 1


Que je vous donne des nouvelles de notre vie.

Izmir et moi sommes toujours amoureux fous depuis 7 ans cette année (voir l'anniversaire)

Mon seul regret, et le sien encore plus grand, est que ses parents ne veulent pas me voir.

Sinon la vie continue, heureuse entre mes parents, et les amis.

Mehdi, mon vieux complice, et son ami en titre Justin et ça dure.

Malik son petit frère qui daigne encore venir nous voir. Il est tellement occupé avec les filles ce coquin et son copain Justin (un autre)!

Ozgûrd, le frère d'Izmir qui pointe son nez de temps en temps. On ne sait pas grand chose de ce qu'il fait exactement mais je pense qu'il est devenu bi et il est toujours autant jaloux d'Izmir.

Et, nos deux afghans Baqir et Nour, toujours amoureux. On avait fini de les aider à s'installer et ils étaient heureux tous les deux.

Et, ne pas oublier Mistigri, notre fauve, grand chat de gouttière...!

Donc tout baignait comme dit souvent Mehdi sauf avec les parents d'Izmir.

J'adore les week-end, comme beaucoup, le samedi matin faire la grasse mat et regarder Izmir dormir. Je me suis toujours demandé s'il n'avait pas été une marmotte dans une vie antérieure. Pour le faire lever, déjà en semaine y'a du boulot!, mais le week-end, tant qu'il n'a pas son câlin!

Alors j'aime bien le regarder dormir. Son visage reposé, beau, enlever le drap de son corps nu, le dévoiler jusqu'en bas des fesses et les caresser tendrement, amoureusement comme je sais qu'il aime.

Cela le réveille bien sûr, mais il se cale bien à plat ventre faisant ressortir ses petites fesses dures et tendres pour que je remplace mes mains par ma bouche et j'embrasse ses fesses partout légèrement presque à le chatouiller pour l'entendre rire.

Il remonte un peu ses jambes pour que ses fesses s'ouvrent et que je vois son petit trou qui m'attend. J'écarte les fesses, fais des bisous dans la raie, à l'intérieur des fesses, il frissonne en riant et mes lèvres épousent son anus chaud. Je donne de petits coups de langue comme Mistigri quand il lape son bol... au deuxième coup de langue Izmir commence les ronronnements puis viennent les petits cris et ses jambes se replient encore, ouvrant encore plus ses belles fesses tendant son petit trou à ma langue qui lape en déposant la salive et cherche à entrer. Les gémissements se font de plus en plus forts ma langue force l'entrée qui s'ouvre tout seul. J'appuie bien sur les fesses pour les ouvrir encore plus, il les tend bien, et ma langue fore, entre dans le petit trou et Izmir gémit en poussant de petits cris.

C'est pas lui qui demande d'arrêter.

Ce matin là j'avais vraiment envie de le baiser. Je l'ai doigté en profondeur, deux doigts direct.

-va doucement a t-il dit dans un souffle.

Je lui ai mis quelques claques sur les fesses pour attendrir la viande comme je lui dis souvent et j'ai présenté mon gland décalotté à l'entrée en le tenant en haut des fesses l'attirant à moi, regardant ma queue entrer dans son endroit préféré. Mais c'était Izmir qui faisait tout le boulot à son rythme, à ses petits cris jusqu'à ce que tout soit entré bien au chaud!

Je me suis allongé sur lui, l'obligeant à s'allonger sur le lit ma tête dans son cou. J'ai commencé à faire de petits va-et-vient, lents, lui lécher la nuque, l'embrasser, le mordre gentiment.

-je vais te niquer jeune turc! t'aimes ça la queue de ton mec ?

Il ne répond pas, mais je vois un sourire se dessiner sur ses lèvres. Il a fermé les yeux et savoure.

-dis le que t'aimes ça! dis je en donnant un grand coup de reins.

-oui mon bébé dit il en ouvrant les yeux, donne moi tout ton jus du matin! baise moi! nique moi comme j'aime tant!

Je ne me suis pas fait prier plus longtemps et je l'ai ramoné comme un chef, avant d'éteindre l'incendie de son beau petit cul avec mes nombreuses giclées, de retomber sur lui en soupirant et lui faisant des bisous sur la nuque.

Je suis sorti de lui, le faisant se retourner et je me suis servi à la source pour avoir ma liqueur préférée du matin. Ses mains sur ma tête, ses cris quand il joui m'ont toujours fait plaisir.

-j'aime les réveils comme ça! dit Izmir de son plus beau sourire, pas de stress... cool! t'es bien le meilleur mon chéri!

-je sais, tu me le dis tout le temps mais il faudrait que la feignasse que j'aime tant, se lève rapidement, il est presque 10 heures et on avait dit qu'on irait faire les courses ce matin pour être tranquille cet après midi.

-alors on pourra faire la sieste ? dit il avec son beau sourire.

Le sortir du lit, petit déj, douche, s'habillant au dernier moment. Ah j'oubliais, faire des caresses au chat qui est aussi feignasse que lui. Il était plus de 11 heures quand on est allé au supermarché, du monde mais pas trop. La liste étant faite, cela allait assez rapidement. Izmir poussait le caddie et je remplissais quand je l'ai vu se bloquer au détour d'un rayon, face à une femme d'une quarantaine d'années, il était devenu tout blanc.

J'ai regardé la femme et, de suite j'ai trouvé qu'elle ressemblait à Izmir. Je retrouvais ses traits en elle. J'ai été, je l'avoue statufié ne sachant trop comment réagir.

-bonjour maman a dit Izmir en allant faire la bise à sa mère, la prenant par le bras, je te présente Fabrice dont je t'ai déjà parlé.

Elle m'a souri, et fait un geste de la tête. J'allais dire quelque chose, quand une voix que je connais bien s'est fait entendre.

-et alors les enfants! c'est pas votre heure !

Ma mère faisait son entrée. Comme à son accoutumé, joyeuse, souriante, avenante elle me fait la bise, s'approche d'Izmir lui en fait autant en lui caressant le menton, regarde la femme, Izmir... sourit.

-c'est ta mère Izmir ? qu'est ce que tu lui ressembles! bonjour madame, comment allez vous ?

Et c'était parti. Ma mère est intarissable, en plus elle sait très bien que les parents d'Izmir ne veulent pas nous recevoir tous les deux alors elle en profite ma mère. Parler, parler, poser des questions, prendre la maman d'Izmir par le bras, l'éloigner de nous en continuant de parler.

Avec Izmir on se regarde d'un air de dire "ça va donner quoi?"

-t'en fais pas Izmir, tu connais ma mère, elle va la souler ta mère! viens on continue nos courses et je suis sûr qu'on les retrouve ici.

-maman on a encore quelques courses à faire j'ai juste dit.

Elle m'a fait un signe de la main.

Lorsque nous sommes revenus dix minutes plus tard elles étaient toujours là à discuter et, cerise sur le gâteau, la mère de Mehdi était de la partie et je peux vous dire que ça papotait.

Lorsque la maman de Mehdi nous a vu, même question, c'est pas votre heure! bises à tous les deux et quand on s'est approché, surprise, elles avaient l'air de bien s'entendre toutes les trois, ça parlait des enfants, donc sûrement de nous mais c'était l'heure de se séparer.

Izmir et moi avons été estomaqué lorsqu'on a entendu la mère d'Izmir dire aux deux autres.

-d'accord, j'en parle avec mon mari et on voit ça pour dimanche prochain, faut le convaincre, mais je pense y arriver!

Sans un mot de plus, elle a fait une bise à Izmir, m'a tendu la main et elle est partie.

Izmir regardait ma mère.

-je vais t'expliquer jeune homme! quand les enfants veulent régler des problèmes tout seuls ils n'y arrivent pas alors que la meilleur des solutions est d'en parler avec leur mère. Elles résolvent tout les mères n'est ce pas mon chéri ? dit elle en se tournant vers moi.

-alors t'as fomenté quoi maman ? qu'est ce qui va se passer dimanche prochain?

Elle regarde la maman de Mehdi qui a son petit sourire elle aussi.

-dimanche prochain les parents de Mehdi, Mehdi et son copain, les parents d'Izmir et son frère dont j'ai oublié le nom, vous deux vous venez déjeuner à la maison. Je fais mon célèbre poulet frites c'est pour faire plaisir à Mehdi bien sûr!

-vous croyez que mes parents vont venir ? mon frère j'en doute pas.

-t'en fais pas la dessus Izmir il est temps que cette chamaillerie s'arrête.

-elle a raison ta mère Fabrice, c'est pour ça que j'ai pensé qu'inviter Mehdi et son copain, même s'il n'ose pas encore me le présenter comme tel alors que je me doute bien de tout ce qui se passe hein Fabrice ? bande de petits cachotiers. Comme ça Izmir, ton père fera connaissance avec mon mari et le père de Fabrice et si ton père boude... là y'a plus rien à faire!

On a rigolé tous ensemble. Elles avaient l'air heureuses comme des gamines qui font une bonne blague.

Lorsqu'on est rentré à la maison, Izmir est venu dans les bras.

-j'espère que tout va bien se passer dit il.

-je crois qu'on va y arriver tu sais. Elle a raison ma mère, y'a bien que les mères pour faire plier leurs hommes. Tu vois c'est ma mère qui avait annoncé à mon père que j'aimais les garçons. C'est la mère de Mehdi qui l'a dit à son mari, et elle, a rajouté "je ne veux aucun commentaire"... alors tu vois! et chez toi ?qui commande ?

-mon père ne dit jamais grand chose, ma mère s'occupe de tout et il suit le mouvement. Bon il a bien ses idées mais je pense que ce sont celles de ma mère qui prédominent.

-alors laissons leur le temps d'en parler sur l'oreiller.

-c'est vrai que c'est là qu'on obtient tout ce qu'on veut dit Izmir en riant.

-pourquoi tu dis ça mon voyou ?

-comme ça parce que j'ai remarqué que tu acceptais beaucoup plus de choses quand on était couché que lors de discussions... comme ça.

-alors c'est pour ça que tu veux jamais te lever ?

-rho c'est le week-end!

-oui mais la semaine c'est pareil voyou!

-et la semaine tu t'occupes pas de mon petit cul en plus!

Je l'ai fait taire en l'embrassant.

On a déjeuné, rangé puis il est venu me prendre par la main avec son regard coquin, vicieux m'entraînant vers la chambre.

-mais c'est pas l'heure de se coucher bébé.

-j'ai quelque chose d'important à te demander et c'est toi qui a dit que sur l'oreiller c'était mieux.

Il me fait coucher en riant, se blottissant dans mes bras lèvres contre lèvres.

-voilà c'est comme ça que je voudrais être tout le temps.

Je bouge la tête en remuant mon nez contre le sien.

-alors tu veux me demander quoi ?

-j'aimerais bien te sucer.

-d'habitude tu ne me demandes pas mon avis.

-oui mais là... tu sais bien qu'il y a des jours où je suis l'esclave du grand Vizir alors on demande à ce moment là!

-t'es bien tout fou quand tu t'y mets quand même.

Un long miaulement nous fait relever la tête, pour voir Mistigri s'installer aux pieds du lit.

-mince, dit Izmir on va avoir un spectateur!

Ses mains partent à l'attaque de mon pantalon, sortant juste mon sexe et mes couilles.

-j'y ai pas goûté ce matin dit Izmir en me faisant un bisou.

-t'as raison c'est une grande injustice à réparer, mais si tu m'offrais la tienne en même temps pour pas que je m'ennuie.

-alors monsieur s'ennuie quand je le suce! dit Izmir.

-mais non mon chéri, je voulais dire pour que je m'occupe la bouche et les doigts.

Si bien qu'on s'est retrouvé nu tous les deux, en 69. Quel plaisir de prendre son temps, d'entendre gémir, les bruits de succions, les coups de langues, les aspirations, de sentir les caresses, les doigts qui se faufilent qui caressent, touchent, tâtent.

Plusieurs fois on a failli jouir mais on s'arrêtait à temps en riant.

-c'est toi qui va juter en premier a dit Izmir.

-pourquoi moi ?

-parce que je suis le meilleur en pipe monsieur!

Et on a recommencé jusqu'à la jouissance, aux cris, aux giclées qui inondaient nos bouches. Léchage intensif et retour dans les bras l'un de l'autre avec les regards coquins.

-je t'aime m'a dit Izmir, depuis le premier jour où je t'ai vu.

-moi j'ai appris à t'aimer mon voyou adoré et maintenant je ne peux plus me passer de toi. Tu es à moi maintenant! tout entier à moi dis je en lui claquant une fesse.

Il rigole en m'embrassant.

C'est le soir, à l'heure de l'apéro que l'on a vu arriver la tornade Mehdi nous claquant une bise, s'assoit dans un fauteuil me regarde.

-c'est toi qui a dit à ma mère que je vivais chez Justin ?

Je regarde Izmir.

-tu vois Izmir, Mehdi croit que sa mère est débile.

-pourquoi tu dis ça ? dit Mehdi.

-parce que c'est ta mère qui l'a dit à la mienne ce midi, en me traitant de cachotier.

Il avait le bec cloué Mehdi.

-mais pourquoi on va manger chez tes parents dimanche prochain ? bon, pour son poulet frites je viendrais à quatre pattes.

On lui raconte ce qui s'est passé ce matin au supermarché.

Il est scotché le beau Mehdi.

-je crois, dit Izmir, qu'elles veulent montrer à mes parents qu'ils savent ce que c'est que d'avoir un fils pédé!

-eh bien! elles m'épateront toujours nos mères! dit Mehdi.

-donc tu viens dimanche prochain avec Justin ?

-il va être tout timide mon Justin... dit Mehdi penseur.

Les avis des lecteurs

Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...


Texte coquin : Une vie 18
Histoire sexe : Une rose rouge
Vous êtes :
Indiquez votre adresse mail si vous souhaitez la communiquer à l'auteur de l'histoire.

Dernières histoires érotiques publiées par Nico T

Le Puma noir - Récit érotique publié le 26-02-2025
Le pro de la pipe baveuse - Récit érotique publié le 25-02-2025
Une vie 22 - Récit érotique publié le 24-02-2025
Une vie 21 - Récit érotique publié le 23-02-2025
Une vie 20 - Récit érotique publié le 21-02-2025
Une vie 19 - Récit érotique publié le 20-02-2025
Une vie 18 - Récit érotique publié le 18-02-2025
Les gitans et le rebeu - Récit érotique publié le 17-02-2025
Attente à la Gare du Nord - Récit érotique publié le 15-02-2025
La surprise de la plage - Récit érotique publié le 14-02-2025