Une vie 3
Récit érotique écrit par Nico T [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-08-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Une vie 3
3 - MEHDI.
Mehdi est un garçon formidable, beau… mais sa jalousie!
Je vous ai déjà parlé de Mehdi, c'est mon pote, mon ami, mon amant. On se connait depuis longtemps. On adore baiser ensemble et, lors de notre dernière grande discussion sur nos vies il avait promis de ne pas intervenir dans la mienne, de ne pas être jaloux d'Izmir mon Turc adoré!
Il m'avait fait une crise de jalousie, me disant qu'il voulait être ma pute, ma salope et je vous passe tout ce qu'il avait pu me dire mais j'étais resté ferme et notre amitié/amour c'était terminée sur l'oreiller où il m'avait offert son cul pour la première fois, ne voulant pas du mien, concluant qu'il était à moi et qu'il m'obéirait en toute circonstances. J'avais eu beau lui expliquer que ce n'était pas ce genre de relation que je voulais avec lui, il avait persisté!
On s'est revu à de nombreuses reprises. On a baisé ensemble, toujours aussi torride une baise avec Mehdi. Il avait eu l'air d'avoir oublié notre conversation et ses promesses.
Comme il lui arrive souvent il se pointe en fin de journée. S'il vient "dormir" c'est juste avant le couvre feu qu'il arrive. Je suis donc "obligé" de le garder pour la nuit et comme à son habitude, il arrive meurtri, triste, toujours les larmes au bord des yeux. En général je ne fais pas attention à son état d'esprit et je le prends dans mes bras en lui disant que je suis content qu'il soit passé et que j'espère qu'il va rester avec moi cette nuit et là le sourire revient sur son visage et il devient un amant passionné, attentif qui s'offre.
Mais, ce soir là quand il est arrivé, il était déjà presque 19 heures. J'ai vu sur son visage qu'il y avait quelque chose qui n'allait pas. Il n'avait pas son beau sourire mais un visage raide, les yeux presque fixes et je n'ai pu m'empêcher de lui demander
- t'as fumé ou quoi ?
Sachant qu'il ne le fait pas.
Il a juste haussé les épaules en me regardant.
- faut qu'on parle a-t-il dit.
- je t'écoute.
- tu vois toujours Izmir ?
- bien sûr ai je répondu en le fixant dans les yeux… pourquoi ?
- euh je suis jaloux a t-il dit dans un souffle.
- ça c'est pas nouveau.
- oui mais là j'en peux plus. Je t'aime Fabrice, je t'aime de tout mon cœur, je suis heureux quand je suis avec toi, que tu me serres dans tes bras, ta chaleur, ton corps, ta queue tout me rend fou. Je voudrais que tu ne sois qu'à moi… tu comprends ça ?
Son ton avait monté, presque hystérique. Il fallait le calmer.
- ça je le comprends mais tu oublies une chose, c'est que je n'appartiens à personne, toi non plus. On est heureux de se voir, de baiser, de partager des moments alors pourquoi gâcher tout ça Mehdi ? tu sais très bien que je t'aime et je t'ai déjà expliqué que j'aimais aussi Izmir qui me le rend bien, je ne pourrais jamais me départager entre vous deux. On en a déjà parlé! tu avais promis et quand on baise tous les trois ça te dérange pas! t'aime bien le petit cul d'Izmir !
- oui je sais, mais j'y peux rien, ça me trotte toujours dans la tête que tu baises avec Izmir et ça me rend fou.
- et toi quand tu baises Jérôme dans les chiottes du parc de la ville… je ne t'en fais pas reproche, tu fais ce que tu veux et j'en suis heureux pour toi.
- comment tu sais ça ! demande Mehdi les yeux ébahis.
- ben c'est Jérôme qui le raconte à qui veux l'entendre que tu es la plus belle bite de la ville et que c'est un plaisir de se faire baiser par toi.
Le sourire était revenu sur le visage de Mehdi.
- alors si tu me racontais vraiment ce qui s'est passé. Je suis curieux de connaitre la vérité!
- t'es sûr de vouloir l'entendre demande timidement Mehdi.
- oui bien sûr, je suis certain que c'est une histoire bandante et je ne suis pas jaloux de mon pote quand il baise une salope dans les chiottes.
- bon, tu connais Jérôme, sa réputation de salope, ça faisait un moment que j'avais envie de le niquer et la semaine dernière en sortant du boulot, je suis allé boire un verre au café d'Alain. Jérôme était là, on a parlé et j'ai bien vu qu'il n'arrêtait pas de mâter ma queue, tu me connais, mon zgeg a réagi mais il se faisait tard et il fallait que je rentre. Jérôme est sorti avec moi et m'a dit qu'il allait m'accompagner un moment sur le chemin. Pour aller plus vite on a coupé par le parc et Jérôme a dit qu'il avait envie de pisser. On est allé dans les chiottes du parc, tu les connais hein ! et je l'ai suivi, on était aux pissotières et cet enculé, pour pisser, il a baissé son pantalon, juste sous les fesses me laissant admirer son petit cul bien ferme. Alors… ben j'ai pas pu résister, j'ai sorti ma queue et je suis venu lui tâter le cul qu'il m'a offert en le tendant vers moi et m'a pris la queue en main pour la caresser et la branler doucement. Moi j'ai juste passé un doigt dans sa raie, trouvé son trou, qu'il se penchait déjà en avant, écartant ses fesses et je l'ai doigté avec deux doigts directs, putain quel cul quand j'y repense, j'ai pensé à toi et j'aurais voulu que tu sois avec moi.
- continue Mehdi.
- ben après l'avoir bien doigté, j'ai posé mon zgeg sur son trou, je l'ai calé sur la pissotière, pris par les hanches et je l'ai emmanché d'un seul coup bien à fond. Il se mordait le poing pour ne pas gueuler trop fort mais en fait il s'est mis à gémir comme jamais j'avais entendu un mec gémir. Alors je l'ai niqué en mode bourrin lui calant la tête dans la pissotière, j'ai fait coulé l'eau sur son visage. Il ne bougeait pas et prenait ma queue comme une vraie salope alors tu me connais, j'ai fait durer le plaisir. Je lui ai perforé le cul, je l'ai ouvert le plus possible. Je lui maintenais la tête dans la pissotière. Je lui ai fait lécher les bords et il s'est régalé cette salope. Je l'ai niqué encore plus fort et j'ai rarement vu un mec s'offrir de la sorte. Ah c'est sûr il aime la bite ce con! et j'ai fini par me vider au fond de son cul, je l'ai engrossé de mes plus belles giclées. Lorsque je me suis retiré de lui, son cul est resté ouvert et mon jus sortait en continu. Je l'ai fait allonger par terre, j'ai mis un pied sur son torse, je lui ai fait lécher mon skate et il s'est branlé. Si tu l'avais vu se tortiller par terre, léchant ma godasse se branlant vite et giclant. C'était un sacré spectacle et je me suis tiré.
- ben je savais qu'il aimait la bite mais là ben t'as fait fort Mehdi
Son sourire était revenu sur son beau visage. On a bu un apéro tranquille, sa "jalousie" semblait être partie comme d'habitude! mais il fallait qu'il comprenne cette fois.
- bon on mange, pizzas à volonté! ça te va ?
La bonne humeur était revenue, Mehdi blaguait, racontait ses vieilles histoires de cul et il m'excitait le salaud.
Après ce frugal repas on est allé se poser devant la télé. Il est venu s'asseoir près de moi, se collant, sa tête sur mes épaules.
- tu ne m'as même pas embrassé depuis que tu es arrivé, dis-je et tu dis que tu m'aimes.
- si je t'aime dit-il en me regardant l'air inquiet… tu le sais, je te le dis tout le temps.
Et il approche ses lèvres des miennes, je me recule, il me regarde l'air étonné.
- tu vas être ma salope ce soir dis-je d'un ton dur. Ton histoire m'a excité et je vais te baiser comme tu aimes. Je sais comme tu aimes ma queue surtout quand elle rentre dans ton petit cul.
- oui dit Mehdi dans un souffle dis moi ce que tu veux.
- ce qu'une salope fait à son amant, déshabille toi et mets toi devant moi.
Il s'est déshabillé lentement sachant pertinemment l'effet qu'il me faisait et il s'est retrouvé nu devant moi. Sa queue était bien raide et le gland tout humide. Son beau corps svelte et musclé, bronzé naturellement. Il s'est tourné me montrant son petit cul, les fesses hautes, bien fermes et lisses attendaient les caresses. Il avait le sourire aux lèvres. Je sais qu'il aime jouer la pute avec moi, mais avec moi seulement, sinon c'est le macho dans toute sa splendeur, se faisant obéir de ses "victimes" avant de les baiser.
- viens t'agenouiller devant moi.
Il obéi. Je tends une jambe, enlève mon chausson, et lui colle mon pied sur le visage, le frottant lentement. Il a fermé les yeux, subi et attend.
- occupe toi de mon pied Mehdi.
Le ton était ferme.
Il enlève ma chaussette, caresse mon pied dans ses deux mains, ses mains sont douces et chaudes, il me fixe et embrasse mon pied, chaque orteil, lèche le dessus, suce le gros orteil, l'avale comme il aime sucer mon gland. Je pousse mon pied dans sa bouche, il le laisse pénétrer et je sens sa langue le caresser. Ses mains le caressent toujours, une main sur la cheville, il remonte sur le mollet. Il suce chaque orteil, passe sa langue partout. Il a fermé les yeux et s'applique. Je le laisse faire. Ses lèvres, sa langue, ses mains sont douces et j'adore, ma queue est déjà bien raide et je sens l'humidité envahir mon boxer.
Je retire mon pied, me relève. Il m'aide à enlever mon pantalon, mon boxer et je vois ses yeux se fixer sur ma queue. Je me rassois dans le fauteuil, sa tête remonte le long de ma jambe en la léchant et vient vers la bite qui l'intéresse. Au moment où il allait me gober les couilles je le retiens par les cheveux, le redresse.
- tu la veux ?
Ses yeux font oui… alors je le tire sur ma queue. Il la prend d'une main, la décalotte bien à fond et d'un coup de langue enlève la mouille. Ses lèvres entourent bien le gland, sa langue agile en fait le tour, le caresse et sa bouche descend tout le long de la hampe jusqu'à ce que ses lèvres et son nez soient dans mes poil. Je sens sa langue s'agiter, un vrai bonheur. Je donne de petits coups de reins. Je me relève, ma bite toujours dans sa bouche, je prend son visage entre mes mains et je lui baise la bouche en profondeur.
Mehdi a fermé les yeux, tiré la langue et ouvert la bouche et se laisse dominer. Je sais qu'il adore ça avec moi! Je fais donc durer mon plaisir et le sien. Je lui offre mes couilles à lécher, gober, il les prend en bouche toutes les deux. Je me retourne et lui offre mon cul.
J'adore sentir sa langue lécher ma raie, titiller mon petit trou qu'il ne veut pas prendre mais avec sa langue il fait des merveilles. J'adore cette caresse, surtout avec lui car il le fait pour me faire plaisir, non pour préparer à me baiser. Alors il s'applique et ne s'arrête que quand il m'entend gémir car il sait qu'après je vais le baiser. Alors sa langue s'active, sa salive coule sur mon anus qui s'ouvre lentement, la pointe de sa langue entre par petits coups. Quelle langue ce Mehdi! et naturellement il arrive à me faire gémir alors je me retourne lui offrant de nouveau ma queue, il s'en saisit, je le relève, le fais mettre à genoux sur le fauteuil.
Il faut voir Mehdi, ce beau rebeu, à poils sur mon fauteuil cambrant bien son petit cul prêt à recevoir la bite.
Il écarte bien ses belles fesses imberbes, son trou est là, palpitant tout seul. Je fais glisser mon gland dans la raie, appuyant légèrement au passage sur l'anus. Mehdi commence à gémir, posant mon gland sur l'entrée, je me penche à son oreille :
- on ne prépare pas le cul d'une belle salope… hein Mehdi ?
Il me répond par un grognement, pressant son cul sur ma bite, c'est lui s'enfonce dessus. Je le prends aux hanches et le tire vers moi, je vois mon gland disparaître dans l'antre chaude et humide de Mehdi qui soupire de plaisir. Je force encore et ma queue disparait en lui jusqu'à ce que mes poils viennent caresser son cul. Je l'entends souffler mais il se donne toujours alors je le tiens bien par les hanches et et je donne des coups de reins de plus en plus lents et forts. Je sens bien ma queue coulisser en lui, mon gland râpant de plus en plus fort sa prostate ce qui fait crier de plus en plus fort Mehdi et qu'il commence à m'invectiver en arabe.
C'est toujours comme ça quand je le baise, je n'ai jamais su ce qu'il disait,lui-même ne le sait pas!
Et je fais durer cette bonne baise! son cul toujours aussi accueillant et chaud. Mes grands coups de reins font trembler le fauteuil (qui en a vu d'autres) et je finis par lui inonder les intestins. Au premier jet il couine, aux suivants il gueule, je le vois se saisir de sa queue pour se branler mais je l'empêche. Il n'insiste pas, je me retire de lui. Il se retourne, s'agenouille devant moi et me prend la queue en bouche, passant de grands coups de langue dessus en me regardant, je lui caresse la joue.
Je lui bloque la tête, pose ma queue encore bandante sur son visage.
- tu vois ma queue Mehdi, eh bien! regardes la bien! car, si tu es encore une fois jaloux et bien tu ne la reverras plus jamais! c'est bien compris ?
Il ne répond pas, ses yeux sont pleins de larmes, qui coulent sur son visage. Je maintiens son regard, il baisse les yeux, vaincu.
- oui Fabrice je te promets, je te le jure.
Je le prends sous les bras, le relève l'enferme dans mes bras, je cherche sa bouche, et l'embrasse avec passion.
C'est quand même mon meilleur pote, mon meilleur ami et mon meilleur amant (toi aussi Izmir!) je ne sais pas s'il m'a cru quand j'ai dit cela, on verra bien!
On s'est embrassé, caressé, dit des "je t'aime" en veux tu en voilà! et je me suis mis à genoux devant lui pour honorer sa belle queue, son beau zgeg comme il aime le dire et c'est un plaisir d'avoir à s'occuper d'un tel engin, bien droit, bien raide, dur comme de l'acier, de belles couilles pendantes. Je comprends les mecs qui veulent se faire baiser par Mehdi moi je lui ai proposé, mais il ne veut pas.
Son gland circoncis me regarde, je donne de petits coups de langue dessus, l'enveloppe, avale la queue bien au fond de ma gorge.
- vas doucement dit Mehdi j'ai tellement envie de jouir.
Je sais ce qu'il aime. Je le prends par les fesses, l'attire à moi, m'enfonçant sa queue dans le fond de la gorge et je le suce. Je sens ses fesses durcir, se contracter, sa queue buter au fond de ma bouche avant de m'envoyer une première giclée bien au fond qui coule en moi. Je le laisse faire, et les autres giclées suivent la première. Après quelques soubresauts, il retire lentement sa queue, nettoyée par mes lèvres, s'agenouille en face de moi et nos lèvres se soudent, des larmes sortent de ses yeux et coulent sur ses joues venant jusqu'à nos lèvres jointes.
Je lui caresse le visage.
- je t'aime Mehdi, viens on va se coucher on sera mieux dans mon lit.
Il me serre dans ses bras, m'embrasse dans le cou.
On s'est allongé dans le lit, collés l'un à l'autre, ne formant plus qu'un. Il m'a fait mille promesses, on s'est encore dit qu'on s'aimait. On s'est fait plein de caresses, de bisous, on a joui plusieurs fois. Ce n'était plus ma salope comme il sait si bien le dire, mais mon amant de cœur. On s'est endormi dans les bras l'un de l'autre. La nuit a été courte, le réveil dur, les bites dures collées l'une à l'autre, bien raides. On a donc été "obligé" de jouir pour la première fois de la journée.
Et nous sommes partis au boulot.
Il m'a encore juré, en m'embrassant qu'il ne serait plus jaloux, cela fait dix jours. La promesse semble tenue…
Cet après midi j'attends Izmir, comme souvent le samedi.
Mehdi est un garçon formidable, beau… mais sa jalousie!
Je vous ai déjà parlé de Mehdi, c'est mon pote, mon ami, mon amant. On se connait depuis longtemps. On adore baiser ensemble et, lors de notre dernière grande discussion sur nos vies il avait promis de ne pas intervenir dans la mienne, de ne pas être jaloux d'Izmir mon Turc adoré!
Il m'avait fait une crise de jalousie, me disant qu'il voulait être ma pute, ma salope et je vous passe tout ce qu'il avait pu me dire mais j'étais resté ferme et notre amitié/amour c'était terminée sur l'oreiller où il m'avait offert son cul pour la première fois, ne voulant pas du mien, concluant qu'il était à moi et qu'il m'obéirait en toute circonstances. J'avais eu beau lui expliquer que ce n'était pas ce genre de relation que je voulais avec lui, il avait persisté!
On s'est revu à de nombreuses reprises. On a baisé ensemble, toujours aussi torride une baise avec Mehdi. Il avait eu l'air d'avoir oublié notre conversation et ses promesses.
Comme il lui arrive souvent il se pointe en fin de journée. S'il vient "dormir" c'est juste avant le couvre feu qu'il arrive. Je suis donc "obligé" de le garder pour la nuit et comme à son habitude, il arrive meurtri, triste, toujours les larmes au bord des yeux. En général je ne fais pas attention à son état d'esprit et je le prends dans mes bras en lui disant que je suis content qu'il soit passé et que j'espère qu'il va rester avec moi cette nuit et là le sourire revient sur son visage et il devient un amant passionné, attentif qui s'offre.
Mais, ce soir là quand il est arrivé, il était déjà presque 19 heures. J'ai vu sur son visage qu'il y avait quelque chose qui n'allait pas. Il n'avait pas son beau sourire mais un visage raide, les yeux presque fixes et je n'ai pu m'empêcher de lui demander
- t'as fumé ou quoi ?
Sachant qu'il ne le fait pas.
Il a juste haussé les épaules en me regardant.
- faut qu'on parle a-t-il dit.
- je t'écoute.
- tu vois toujours Izmir ?
- bien sûr ai je répondu en le fixant dans les yeux… pourquoi ?
- euh je suis jaloux a t-il dit dans un souffle.
- ça c'est pas nouveau.
- oui mais là j'en peux plus. Je t'aime Fabrice, je t'aime de tout mon cœur, je suis heureux quand je suis avec toi, que tu me serres dans tes bras, ta chaleur, ton corps, ta queue tout me rend fou. Je voudrais que tu ne sois qu'à moi… tu comprends ça ?
Son ton avait monté, presque hystérique. Il fallait le calmer.
- ça je le comprends mais tu oublies une chose, c'est que je n'appartiens à personne, toi non plus. On est heureux de se voir, de baiser, de partager des moments alors pourquoi gâcher tout ça Mehdi ? tu sais très bien que je t'aime et je t'ai déjà expliqué que j'aimais aussi Izmir qui me le rend bien, je ne pourrais jamais me départager entre vous deux. On en a déjà parlé! tu avais promis et quand on baise tous les trois ça te dérange pas! t'aime bien le petit cul d'Izmir !
- oui je sais, mais j'y peux rien, ça me trotte toujours dans la tête que tu baises avec Izmir et ça me rend fou.
- et toi quand tu baises Jérôme dans les chiottes du parc de la ville… je ne t'en fais pas reproche, tu fais ce que tu veux et j'en suis heureux pour toi.
- comment tu sais ça ! demande Mehdi les yeux ébahis.
- ben c'est Jérôme qui le raconte à qui veux l'entendre que tu es la plus belle bite de la ville et que c'est un plaisir de se faire baiser par toi.
Le sourire était revenu sur le visage de Mehdi.
- alors si tu me racontais vraiment ce qui s'est passé. Je suis curieux de connaitre la vérité!
- t'es sûr de vouloir l'entendre demande timidement Mehdi.
- oui bien sûr, je suis certain que c'est une histoire bandante et je ne suis pas jaloux de mon pote quand il baise une salope dans les chiottes.
- bon, tu connais Jérôme, sa réputation de salope, ça faisait un moment que j'avais envie de le niquer et la semaine dernière en sortant du boulot, je suis allé boire un verre au café d'Alain. Jérôme était là, on a parlé et j'ai bien vu qu'il n'arrêtait pas de mâter ma queue, tu me connais, mon zgeg a réagi mais il se faisait tard et il fallait que je rentre. Jérôme est sorti avec moi et m'a dit qu'il allait m'accompagner un moment sur le chemin. Pour aller plus vite on a coupé par le parc et Jérôme a dit qu'il avait envie de pisser. On est allé dans les chiottes du parc, tu les connais hein ! et je l'ai suivi, on était aux pissotières et cet enculé, pour pisser, il a baissé son pantalon, juste sous les fesses me laissant admirer son petit cul bien ferme. Alors… ben j'ai pas pu résister, j'ai sorti ma queue et je suis venu lui tâter le cul qu'il m'a offert en le tendant vers moi et m'a pris la queue en main pour la caresser et la branler doucement. Moi j'ai juste passé un doigt dans sa raie, trouvé son trou, qu'il se penchait déjà en avant, écartant ses fesses et je l'ai doigté avec deux doigts directs, putain quel cul quand j'y repense, j'ai pensé à toi et j'aurais voulu que tu sois avec moi.
- continue Mehdi.
- ben après l'avoir bien doigté, j'ai posé mon zgeg sur son trou, je l'ai calé sur la pissotière, pris par les hanches et je l'ai emmanché d'un seul coup bien à fond. Il se mordait le poing pour ne pas gueuler trop fort mais en fait il s'est mis à gémir comme jamais j'avais entendu un mec gémir. Alors je l'ai niqué en mode bourrin lui calant la tête dans la pissotière, j'ai fait coulé l'eau sur son visage. Il ne bougeait pas et prenait ma queue comme une vraie salope alors tu me connais, j'ai fait durer le plaisir. Je lui ai perforé le cul, je l'ai ouvert le plus possible. Je lui maintenais la tête dans la pissotière. Je lui ai fait lécher les bords et il s'est régalé cette salope. Je l'ai niqué encore plus fort et j'ai rarement vu un mec s'offrir de la sorte. Ah c'est sûr il aime la bite ce con! et j'ai fini par me vider au fond de son cul, je l'ai engrossé de mes plus belles giclées. Lorsque je me suis retiré de lui, son cul est resté ouvert et mon jus sortait en continu. Je l'ai fait allonger par terre, j'ai mis un pied sur son torse, je lui ai fait lécher mon skate et il s'est branlé. Si tu l'avais vu se tortiller par terre, léchant ma godasse se branlant vite et giclant. C'était un sacré spectacle et je me suis tiré.
- ben je savais qu'il aimait la bite mais là ben t'as fait fort Mehdi
Son sourire était revenu sur son beau visage. On a bu un apéro tranquille, sa "jalousie" semblait être partie comme d'habitude! mais il fallait qu'il comprenne cette fois.
- bon on mange, pizzas à volonté! ça te va ?
La bonne humeur était revenue, Mehdi blaguait, racontait ses vieilles histoires de cul et il m'excitait le salaud.
Après ce frugal repas on est allé se poser devant la télé. Il est venu s'asseoir près de moi, se collant, sa tête sur mes épaules.
- tu ne m'as même pas embrassé depuis que tu es arrivé, dis-je et tu dis que tu m'aimes.
- si je t'aime dit-il en me regardant l'air inquiet… tu le sais, je te le dis tout le temps.
Et il approche ses lèvres des miennes, je me recule, il me regarde l'air étonné.
- tu vas être ma salope ce soir dis-je d'un ton dur. Ton histoire m'a excité et je vais te baiser comme tu aimes. Je sais comme tu aimes ma queue surtout quand elle rentre dans ton petit cul.
- oui dit Mehdi dans un souffle dis moi ce que tu veux.
- ce qu'une salope fait à son amant, déshabille toi et mets toi devant moi.
Il s'est déshabillé lentement sachant pertinemment l'effet qu'il me faisait et il s'est retrouvé nu devant moi. Sa queue était bien raide et le gland tout humide. Son beau corps svelte et musclé, bronzé naturellement. Il s'est tourné me montrant son petit cul, les fesses hautes, bien fermes et lisses attendaient les caresses. Il avait le sourire aux lèvres. Je sais qu'il aime jouer la pute avec moi, mais avec moi seulement, sinon c'est le macho dans toute sa splendeur, se faisant obéir de ses "victimes" avant de les baiser.
- viens t'agenouiller devant moi.
Il obéi. Je tends une jambe, enlève mon chausson, et lui colle mon pied sur le visage, le frottant lentement. Il a fermé les yeux, subi et attend.
- occupe toi de mon pied Mehdi.
Le ton était ferme.
Il enlève ma chaussette, caresse mon pied dans ses deux mains, ses mains sont douces et chaudes, il me fixe et embrasse mon pied, chaque orteil, lèche le dessus, suce le gros orteil, l'avale comme il aime sucer mon gland. Je pousse mon pied dans sa bouche, il le laisse pénétrer et je sens sa langue le caresser. Ses mains le caressent toujours, une main sur la cheville, il remonte sur le mollet. Il suce chaque orteil, passe sa langue partout. Il a fermé les yeux et s'applique. Je le laisse faire. Ses lèvres, sa langue, ses mains sont douces et j'adore, ma queue est déjà bien raide et je sens l'humidité envahir mon boxer.
Je retire mon pied, me relève. Il m'aide à enlever mon pantalon, mon boxer et je vois ses yeux se fixer sur ma queue. Je me rassois dans le fauteuil, sa tête remonte le long de ma jambe en la léchant et vient vers la bite qui l'intéresse. Au moment où il allait me gober les couilles je le retiens par les cheveux, le redresse.
- tu la veux ?
Ses yeux font oui… alors je le tire sur ma queue. Il la prend d'une main, la décalotte bien à fond et d'un coup de langue enlève la mouille. Ses lèvres entourent bien le gland, sa langue agile en fait le tour, le caresse et sa bouche descend tout le long de la hampe jusqu'à ce que ses lèvres et son nez soient dans mes poil. Je sens sa langue s'agiter, un vrai bonheur. Je donne de petits coups de reins. Je me relève, ma bite toujours dans sa bouche, je prend son visage entre mes mains et je lui baise la bouche en profondeur.
Mehdi a fermé les yeux, tiré la langue et ouvert la bouche et se laisse dominer. Je sais qu'il adore ça avec moi! Je fais donc durer mon plaisir et le sien. Je lui offre mes couilles à lécher, gober, il les prend en bouche toutes les deux. Je me retourne et lui offre mon cul.
J'adore sentir sa langue lécher ma raie, titiller mon petit trou qu'il ne veut pas prendre mais avec sa langue il fait des merveilles. J'adore cette caresse, surtout avec lui car il le fait pour me faire plaisir, non pour préparer à me baiser. Alors il s'applique et ne s'arrête que quand il m'entend gémir car il sait qu'après je vais le baiser. Alors sa langue s'active, sa salive coule sur mon anus qui s'ouvre lentement, la pointe de sa langue entre par petits coups. Quelle langue ce Mehdi! et naturellement il arrive à me faire gémir alors je me retourne lui offrant de nouveau ma queue, il s'en saisit, je le relève, le fais mettre à genoux sur le fauteuil.
Il faut voir Mehdi, ce beau rebeu, à poils sur mon fauteuil cambrant bien son petit cul prêt à recevoir la bite.
Il écarte bien ses belles fesses imberbes, son trou est là, palpitant tout seul. Je fais glisser mon gland dans la raie, appuyant légèrement au passage sur l'anus. Mehdi commence à gémir, posant mon gland sur l'entrée, je me penche à son oreille :
- on ne prépare pas le cul d'une belle salope… hein Mehdi ?
Il me répond par un grognement, pressant son cul sur ma bite, c'est lui s'enfonce dessus. Je le prends aux hanches et le tire vers moi, je vois mon gland disparaître dans l'antre chaude et humide de Mehdi qui soupire de plaisir. Je force encore et ma queue disparait en lui jusqu'à ce que mes poils viennent caresser son cul. Je l'entends souffler mais il se donne toujours alors je le tiens bien par les hanches et et je donne des coups de reins de plus en plus lents et forts. Je sens bien ma queue coulisser en lui, mon gland râpant de plus en plus fort sa prostate ce qui fait crier de plus en plus fort Mehdi et qu'il commence à m'invectiver en arabe.
C'est toujours comme ça quand je le baise, je n'ai jamais su ce qu'il disait,lui-même ne le sait pas!
Et je fais durer cette bonne baise! son cul toujours aussi accueillant et chaud. Mes grands coups de reins font trembler le fauteuil (qui en a vu d'autres) et je finis par lui inonder les intestins. Au premier jet il couine, aux suivants il gueule, je le vois se saisir de sa queue pour se branler mais je l'empêche. Il n'insiste pas, je me retire de lui. Il se retourne, s'agenouille devant moi et me prend la queue en bouche, passant de grands coups de langue dessus en me regardant, je lui caresse la joue.
Je lui bloque la tête, pose ma queue encore bandante sur son visage.
- tu vois ma queue Mehdi, eh bien! regardes la bien! car, si tu es encore une fois jaloux et bien tu ne la reverras plus jamais! c'est bien compris ?
Il ne répond pas, ses yeux sont pleins de larmes, qui coulent sur son visage. Je maintiens son regard, il baisse les yeux, vaincu.
- oui Fabrice je te promets, je te le jure.
Je le prends sous les bras, le relève l'enferme dans mes bras, je cherche sa bouche, et l'embrasse avec passion.
C'est quand même mon meilleur pote, mon meilleur ami et mon meilleur amant (toi aussi Izmir!) je ne sais pas s'il m'a cru quand j'ai dit cela, on verra bien!
On s'est embrassé, caressé, dit des "je t'aime" en veux tu en voilà! et je me suis mis à genoux devant lui pour honorer sa belle queue, son beau zgeg comme il aime le dire et c'est un plaisir d'avoir à s'occuper d'un tel engin, bien droit, bien raide, dur comme de l'acier, de belles couilles pendantes. Je comprends les mecs qui veulent se faire baiser par Mehdi moi je lui ai proposé, mais il ne veut pas.
Son gland circoncis me regarde, je donne de petits coups de langue dessus, l'enveloppe, avale la queue bien au fond de ma gorge.
- vas doucement dit Mehdi j'ai tellement envie de jouir.
Je sais ce qu'il aime. Je le prends par les fesses, l'attire à moi, m'enfonçant sa queue dans le fond de la gorge et je le suce. Je sens ses fesses durcir, se contracter, sa queue buter au fond de ma bouche avant de m'envoyer une première giclée bien au fond qui coule en moi. Je le laisse faire, et les autres giclées suivent la première. Après quelques soubresauts, il retire lentement sa queue, nettoyée par mes lèvres, s'agenouille en face de moi et nos lèvres se soudent, des larmes sortent de ses yeux et coulent sur ses joues venant jusqu'à nos lèvres jointes.
Je lui caresse le visage.
- je t'aime Mehdi, viens on va se coucher on sera mieux dans mon lit.
Il me serre dans ses bras, m'embrasse dans le cou.
On s'est allongé dans le lit, collés l'un à l'autre, ne formant plus qu'un. Il m'a fait mille promesses, on s'est encore dit qu'on s'aimait. On s'est fait plein de caresses, de bisous, on a joui plusieurs fois. Ce n'était plus ma salope comme il sait si bien le dire, mais mon amant de cœur. On s'est endormi dans les bras l'un de l'autre. La nuit a été courte, le réveil dur, les bites dures collées l'une à l'autre, bien raides. On a donc été "obligé" de jouir pour la première fois de la journée.
Et nous sommes partis au boulot.
Il m'a encore juré, en m'embrassant qu'il ne serait plus jaloux, cela fait dix jours. La promesse semble tenue…
Cet après midi j'attends Izmir, comme souvent le samedi.
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