Une vie 5
Récit érotique écrit par Nico T [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-08-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Une vie 5
5 - La fin du Ramadan.
Je vous ai déjà parlé de Mehdi, mon pote, mon ami, mon amant, mon amour.
Comme tous les ans je suis invité pour la fin du Ramadan. Mais cette année virus oblige et couvre-feu, le repas n'a pas eu lieu le soir avec moulte personnes mais le midi en famille et moi.
La mère de Mehdi est une sainte femme, seule femme à la maison avec quatre mâles, son mari et trois enfants et devinez qui est le chef ?
Elle gère son monde en bonne mama et personne ne moufte, tout le monde aide! même moi quand je viens manger avec eux! c'est la bonté même, elle fait à manger et elle sert à table. C'est elle qui remplit les assiettes et tu dois tout manger!
Le repas s'est très bien passé, dans la bonne humeur et, à la fin j'ai cru que j'allais rouler sous la table tellement on avait mangé son bon couscous et les desserts!! on était 6 y'en avait bien pour 15. Pour digérer, vaisselle et rangement.
J'adore également son père avec qui on peut bien discuter. Je ne sais pas ce qu'il penserait s'il savait ce qui se passe entre Mehdi et moi. On est tellement bien dans cette famille.
Après avoir bougé un peu Mehdi propose d'aller faire un tour en forêt pour que le couscous descende.
Son petit frère voulait nous accompagner mais la mère a mis un frein à son désir.
- laisse les grands ensemble!
Nous sommes partis en voiture en direction de la forêt! on se gare et emprunte une allée dans laquelle aucune voiture ne peut circuler et la balade commence.
On est bien, un peu de soleil, juste ce qu'il faut pour ne pas sentir la fraîcheur de la forêt. Mehdi à côté de moi, qui parle beaucoup comme à son habitude me tenant la main, se serrant contre moi, me faisant des bisous. On s'est arrêté plusieurs fois au soleil s'embrasser comme si c'était la première fois.
- ah dit Mehdi si la forêt n'était pas si mouillée on serait bien allongé sur la mousse.
J'ai senti qu'il bandait, ce devait être le couscous…! la merguez était bien là, je le caressais juste pour l'agacer. On riait comme "deux grands gamins" comme dit sa mère!
Mehdi a voulu prendre une autre allée pour s'enfoncer un peu plus dans la forêt quand on s'est aperçu que des arbres avaient été abattus et que cela faisait bien clair maintenant. On voyait au loin une petite cabane.
- j'avais jamais vu qu'il y avait une maison de garde forestier ici dis-je.
- on va voir dit Mehdi en me prenant la main et m'entraînant dans la forêt.
Plus on approchait, plus on voyait que la maison était abandonnée, plus de volets, plus de vitres, tout semblait délabré.
Sans rien dire, Mehdi m'attirait vers la maison, quand on a entendu du bruit.
Mehdi s'est arrêté, m'a regardé. On entendait maintenant distinctement un gémissement, pas quelqu'un qui a mal mais comme quelqu'un qui se donne ou reçoit du plaisir. Un sourire est arrivé sur les lèvres de Mehdi qui me faisait "chut" avec son doigt et nous nous sommes approchés de la fenêtre pour jeter un œil et apercevoir :
Un mec de dos, à poil, à genoux au sol qui se branlait assis sur un gros gode qu'il faisait monter et descendre dans son cul.
On s'est regardé, et on a failli pouffer de rires, et on a regardé le spectacle, quand j'ai vu les yeux de Mehdi s'arrondirent.
- mais on dirait Jérôme, tu sais le mec que j'ai baisé dans les chiottes du jardin public la semaine passée.
Et, sans attendre ma réaction, il fait le tour de la maison, entre en force par la porte mal fermée et nous voilà tous les deux dans la pièce où le mec se donne du plaisir.
Cela aurait mérité une photo du mec quand il nous a vu devant lui et qu'il nous a reconnu.
- Mehdi ! mais qu'est-ce que tu fais là ? et toi Fabrice ?
Il était tout rouge et essayait de se relever en enlevant le gode mais Mehdi fut le plus rapide.
- reste comme ça Jérôme, tu vas nous sucer en te godant ç'est bien meilleur!
Mehdi s'est approché, dégrafant son jean, sortant sa belle queue déjà bandante et Jérôme s'est assis de nouveau sur son gode qui est entré comme dans du beurre.
Mehdi a mis son gland sur les lèvres de Jérôme, qui, en bonne salope qu'il est, s'est mis à le téter comme un veau tète sa mère et j'ai vu la queue de Mehdi grossir, s'allonger. Mehdi a posé sa main sur la tête de Jérôme, a forcé sa bouche, qui s'est ouverte docilement et s'engouffrer dans cette bonne bouche qui en avait vue d'autres et Mehdi s'est mis à lui baiser la bouche en cadence.
Son petit cul à l'air m'excite, je m'approche et lui caresse les fesses, il relève la tête, un large sourire sur ses lèvres qu'il me tend. Je sors ma queue bien raide et la met près de la bouche de Jérôme, attendant son tour. Mais ma main ne reste pas inactive, j'insère un doigt dans la raie de Mehdi, trouve son petit trou qui n'appartient qu'à moi, selon lui et j'enfonce une phalange en caressant l'intérieur.
Je sais que Mehdi adore cette caresse et ses mouvements deviennent plus ample. Il enfonce bien sa queue au fond de la bouche de Jérôme et en reculant son cul avale mon doigt il se met à gémir au même rythme que sa victime. Ses fesses se durcissent autour de mon doigt enfoncé en lui. Il tient la tête de Jérôme collée contre son pubis, me donne ses lèvres pour que nos langues jouent ensemble et grogne en se déversant dans la gorge de Jérôme qui n'en perd pas une goutte. Je vois la queue ressortir léchée avec application.
Et Jérôme tel un affamé se jette sur la mienne, il me caresse les couilles et avale toute ma queue en fond de gorge. Chez Jérôme il n'y a pas de demi mesure, quelle que soit la bite, il avale tout, sa gorge s'ouvre à tous les diamètres.
J'ai retiré mon doigt de Mehdi qui vient se coller à moi et m'embrasse amoureusement.
- c'est le dessert pas compris au repas me glisse-t-il à l'oreille.
Sa main passe sous mes vêtements et vient me caresser les tétons, les pinçant gentiment en les roulant entre ses doigts pendant que ma queue est sucée, aspirée par la bonne bouche de Jérôme. Le traitement des deux fait que je ne tarde pas à donner tout mon jus avalé rapidement.
On aide Jérôme à se relever avec son gode toujours dans le cul, pris entre nous deux Mehdi s'amuse à bouger le gode dans son cul, plus il bouge le gode, plus Jérôme gémit.
- ah t'aime ça la bite dit Mehdi et si on t'enculait tous les deux ? t'en dis quoi Jérôme.
- tu sais bien que j'adore ta bite dit Jérôme en faisant un rapide baiser à Mehdi.
- oui mais les deux en même temps… t'as jamais eu ça comme cadeau!
- oh putain mais vous allez me déchirer avec vos morceaux.
- ben on ira doucement! t'en fait pas dit Mehdi en faisant son câlin.
Il s'allonge sur le sol poussiéreux, la bite bien raide tenue droite.
- viens t'asseoir dessus face à moi dit Mehdi d'un ton plus sec n'admettant pas de réplique.
Jérôme obéi en faisant quand même un peu en faisant la grimace. Moi je pense que cela ne va pas le faire, mais on verra bien.
Je vois Jérôme s'asseoir sur la bite de Mehdi et son cul l'avale avec facilité. Faut dire que le gode que Jérôme avait était de très bonne taille et que le trou doit être bien ouvert.
Mehdi l'attire à lui, le bloquant dans ses bras et l'embrasse comme il sait si bien le faire.
Je vois la queue de Mehdi bouger doucement dans le cul qui s'offre. Je me mets à genoux derrière et vient poser mon gland bien dur sur la bite de mon pote Mehdi. Je crache dessus, frotte la salive avec mon gland et je cherche à pénétrer le cul qui ne veut pas s'ouvrir plus. La queue de Mehdi se retire presque toute, laissant le cul ouvert. J'en profite pour glisser le gland qui se retrouve renfermer dans le cul, frottant la bite de Mehdi et les queues s'entraident dans la pénétration sous un hurlement de Jérôme.
Son cul est distendu mais les deux queues sont en lui. Mehdi le maintient bien contre lui. Je m'appuie sur les épaules de Jérôme et je commence à faire coulisser ma queue au plus profond possible. Jérôme gueule comme un âne mais son cul s'habitue et je peux encore lui en mettre quelques centimètres et ses cris diminuent. Il devient tout mou, nos deux queues sont bien rentrées et je branle la queue de Mehdi avec la mienne. Quel plaisir d'avoir sa queue contre celle de son pote dans le cul d'une bonne pute et salope!
Les cris sont devenus des gémissements. Il embrasse de plus en plus Mehdi.
- donnez moi votre jus ensemble!! je suis votre pute! baisez moi!!
Il délire dans ses mots mais en fait excite bien la galerie. Je sens les queues durcir et le plaisir arriver. Je jouis sur la queue de Mehdi et je sens nos spermes se mélanger dans Jérôme qui râle de bonheur.
Je me retire doucement. Je vois Jérôme s'appuyer encore sur la queue de Mehdi, puis se relever laissant la queue de Mehdi retomber sur son ventre. Il se penche et la suce à grands coups de langue, se tourne vers la mienne et en fait autant.
Il se relève, la queue bien tendue, suintante. Je regarde Mehdi et on se penche ensemble sur la belle queue de Jérôme, qu'on décalotte et chacun notre tour on lui lèche le gland, avalant sa belle tige. Il ne faut pas attendre longtemps pour voir des giclées sortir et se répandre sur nos visages. Jérôme gueule encore en jouissant puis nous voyant le visage plein de sperme, se fait un devoir de tout nettoyer.
- t'es vraiment une belle salope le complimentais je.
On a papoté un moment, reprenant des forces et Jérôme s'est remis à genoux devant nous et nous a taillé une pipe mémorable encore une fois. Il est doué le salaud! il a encore tout avalé et nettoyé nos queues avec application.
Il n'a pas voulu qu'on le fasse jouir, il voulait se branler chez lui avec son gode en pensant à nous!!
On s'est rhabillé et repris le chemin de la voiture, Jérôme était venu en vélo. Il a quand même demandé à nous revoir tous les deux ensemble car il avait apprécié la double pénétration, dit comme ça dans sa bouche cela semblait anodin et sans douleur.
On s'est séparé et j'ai ramené Mehdi chez ses parents où sa mère nous attendait. Elle m'avait préparé un faitout de couscous pour le soir!!
- mais je ne vais pas pouvoir tout manger Madame K. il y en a trop!! dis-je.
- bah tu y arriveras bien! t'es pas obligé de tout manger ce soir.
- je peux t'aider ce soir dit Mehdi qui n'en perdait pas une pour venir chez moi.
- tu vas laisser Fabrice tranquille ce soir quand même!
- oh il y a bien à manger pour deux ce soir dis-je gentiment en la regardant, vous savez il peut venir.
- oui et il sera obligé de rester dormir chez toi et il va encore te déranger.
- mais non madame K. mais non Mehdi ne me dérange jamais.
- eh bien faites comme voulez! dit-elle fataliste.
Ses "deux grands gamins" sont donc partis ensemble après lui avoir fait des bises. Elle adore ça qu'on lui fasse des bises!
Il était juste 19 heures lorsque nous sommes arrivés chez moi.
Mehdi s'est jeté à mon cou, on s'est serré l'un contre l'autre en s'embrassant.
- t'as encore des forces demande Mehdi.
- pour manger ? demandais je innocemment.
- mon cul ouais dit Mehdi en riant.
- quand j'aurais mangé un peu de couscous je pense.
- mais tu penses qu'à bouffer.
- toi qu'à baiser.
- les deux vont bien ensemble.
- dis donc, quand on a une mère si bonne cuisinière, son fils sait faire réchauffer un couscous ?
- pfft tu vas voir comme c'est facile. Mais au fait… je crois que ma mère a compris pour nous deux.
- comment tu le sais ? elle t'en a parlé ?
- oh pas directement, mais elle est toujours en train de poser des questions alors elle m'embrouille et la dernière fois j'ai dit qu'on avait dormi ensemble… et j'ai trouvé comme excuse que tu n'avais plus de drap sec pour faire l'autre lit et elle m'a juste dit : ah oui! avec son petit sourire!
- ben on verra bien par la suite mais en tout cas ce soir elle n'a rien dit.
- oh avec toi elle ne veut rien dire, elle t'aime beaucoup.
- moi aussi je l'aime beaucoup.
- mais moins que moi… moi aussi je t'aime, je t'aime, je t'aime.
J'ai été obligé de l'embrasser pour le faire taire.
En fin de compte c'est bien le couvre-feu quand tu es chez toi avec quelqu'un, t'es sûr d'une chose c'est que personne ne va venir perturber tes ébats et ça Mehdi l'avait bien compris.
On a bu un coup dans le salon devant la télé, tranquille dans les bras l'un de l'autre. Il est collant le Mehdi mais si beau, si amoureux, si bon. C'est un plaisir d'être avec lui.
Puis on a fait réchauffer le couscous… comme on a pu! on a mangé pour se recoller devant Netflix.
On aurait dit un vieux couple, puis j'ai senti qu'il était l'heure d'aller se coucher, la main de Mehdi était de plus en plus baladeuse.
- maintenant tu as repris des forces avec le couscous maternel je vais te faire passer une nuit que tu n'oublieras pas dit Mehdi tendrement. Je te veux en moi, je vais être ta salope comme jamais. Je veux que tu me baises comme tu sais si bien le faire, je suis à toi et tu le sais.
- ce que je sais Mehdi c'est que tu ne seras jamais ma salope. J'aime baiser avec toi, tu es le meilleur j'en suis sûr! ce que l'on fait ensemble, tous les deux, nous appartient, on fait ce qu'on veut!
Pourquoi fallait il que je lui répète tout le temps cela ? je vais finir par me demander jusqu'où il veut aller avec moi.
Mais cette fin de Ramadan sera à marquer dans les anales.
On s'est déshabillé mutuellement et nos corps se sont épousés. Nos queues se sont frottées l'une contre l'autre, ce n'était pas la même sensation que dans le cul de Jérôme. Ses lèvres son douces, chaudes, caressantes. On a visité chaque recoin de nos corps. On entendait que des soupirs, des je t'aime, des gémissements, des je t'aime… les préliminaires ont été très longues, comme souvent avec Mehdi quand on a le temps.
Puis il m'a repoussé sur le dos, m'a enjambé et est venu s'asseoir sur ma queue doucement, lentement appréciant chaque centimètre de ma queue et moi chaque centimètre de la douceur et de la fermeté de son conduit. Il jouait avec son sphincter autour de ma queue, pendant que nos langues échangeaient leurs salives, je donnais de légers coups de reins pour qu'il sente bien ma queue vivante en lui et il gémissait.
Je t'aime Fabrice, je t'aime Mehdi… mais le plaisir arrivait. Je sentais ma queue durcir. Je roule sur le lit sans que ma queue sorte de son nid, redresse bien les jambes de Mehdi collées sur son torse et, yeux dans les yeux, je bouge mes reins faisant coulisser lentement ma queue la ressortant complètement avant de replonger fortement au fond de son petit cul accueillant. Il gémit en me fixant, sourire aux lèvres, alors j'accélère le mouvement.
Quel plaisir d'être dans son cul, de coulisser en lui dans ce conduit si chaud, humide qui se resserre à chaque fois sur ma queue et je me bloque dans un grand soupir pour lui offrir plein de giclées bien chaudes et abondantes qui noient son conduit. Je tombe dans ses bras pour l'embrasser tendrement.
- tu veux me faire l'amour Mehdi ? lui dis-je à l'oreille.
- non, il n'y a que toi qui me le fera! je suis à toi je te l'ai déjà dit.
Et il m'embrasse. Ma queue sort de son étui, je sens sa queue bien raide entre nos ventres. Je descends mes lèvres sur son torse, lui léchant ses beaux tétons qui pointent, je les mordille. Il grimace en souriant. Je descends sur son ventre, léchant le nombril et son gland est juste là, suintant. Je le titille du bout de la langue, l'effleurant de mes lèvres chaudes et humides. Je sens sa main se poser sur ma tête. Je touche ses grosses couilles, les caresse d'une main en les malaxant doucement et les serrant ce qui le fait couiner.
Je passe ma langue tout le long de la tige, des couilles au gland, l'enveloppant de mes lèvres. Sa queue bouge toute seule sous mes coups de langue, je la soulève doucement, prend en bouche cette belle et grosse queue que j'aime par dessus tout. Je l'enveloppe bien de mes lèvres qui descendent le long de la hampe, plus je l'avale plus il gémit.
Je sais ce qu'il attend que je le pipe rapidement comme s'il me baisait la bouche mais j'aime prendre mon temps avec une belle queue si goûteuse. Pétrissant bien ses couilles que je fais rouler dans ma main, mes lèvres font de lents allers retours sur la hampe l'avalant complètement, le nez dans ses poils qui sentent si bon. Sa main s'appuie sur ma tête et son bassin bouge. Je sais qu'il est au supplice qu'il a envie de jouir mais je lui fais durer son plaisir et le mien. Je ressors sa queue de ma bouche et la bouge devant mes yeux, frottant son gland sur mon nez, mes lèvres. Son gland suinte de plus en plus et il pousse de petits cris quand je lui donne des coups de langue.
Je le regarde, il a les yeux fermés, son bout de langue sort de sa bouche et lèche ses belles lèvres, il est à bout.
J'embouche d'un seul coup toute sa tige autour de mes lèvres et je le pipe rapidement comme il aime. Ses deux mains me tiennent la tête. J'entends des "oui.. oui.. oui" et il appuie bien fort sur ma tête, son gland dans ma gorge m'aspergeant l'intérieur de son bon jus bien chaud qui coule en moi. Ma langue s'active, je l'entends soupirer en gémissant. Il me donne encore du jus, je le pipe encore et encore jusqu'à la dernière goutte. Ses mains s'enlèvent de ma tête, tout son corps se détend. Je laisse sa queue sortir toute seule de ma bouche, il m'attire à lui pour encore un baiser tendre, sa langue venant se frotter à la mienne.
- j'adore quand tu me suces comme ça, y'a que toi pour me faire ça comme tu le fais, je t'aime je ne te le dirais jamais assez.
J'ai tiré la couette sur nous, il s'est blotti dans mes bras, et on s'est endormi.
On a baisé deux fois encore dans la nuit si bien que le matin quand on s'est réveillé il était 11 heures. On avait rien à faire que de rester au lit!
Et, pour une fois, il ne m'avait pas parlé d'Izmir. Il y avait réellement du progrès.
Je vous ai déjà parlé de Mehdi, mon pote, mon ami, mon amant, mon amour.
Comme tous les ans je suis invité pour la fin du Ramadan. Mais cette année virus oblige et couvre-feu, le repas n'a pas eu lieu le soir avec moulte personnes mais le midi en famille et moi.
La mère de Mehdi est une sainte femme, seule femme à la maison avec quatre mâles, son mari et trois enfants et devinez qui est le chef ?
Elle gère son monde en bonne mama et personne ne moufte, tout le monde aide! même moi quand je viens manger avec eux! c'est la bonté même, elle fait à manger et elle sert à table. C'est elle qui remplit les assiettes et tu dois tout manger!
Le repas s'est très bien passé, dans la bonne humeur et, à la fin j'ai cru que j'allais rouler sous la table tellement on avait mangé son bon couscous et les desserts!! on était 6 y'en avait bien pour 15. Pour digérer, vaisselle et rangement.
J'adore également son père avec qui on peut bien discuter. Je ne sais pas ce qu'il penserait s'il savait ce qui se passe entre Mehdi et moi. On est tellement bien dans cette famille.
Après avoir bougé un peu Mehdi propose d'aller faire un tour en forêt pour que le couscous descende.
Son petit frère voulait nous accompagner mais la mère a mis un frein à son désir.
- laisse les grands ensemble!
Nous sommes partis en voiture en direction de la forêt! on se gare et emprunte une allée dans laquelle aucune voiture ne peut circuler et la balade commence.
On est bien, un peu de soleil, juste ce qu'il faut pour ne pas sentir la fraîcheur de la forêt. Mehdi à côté de moi, qui parle beaucoup comme à son habitude me tenant la main, se serrant contre moi, me faisant des bisous. On s'est arrêté plusieurs fois au soleil s'embrasser comme si c'était la première fois.
- ah dit Mehdi si la forêt n'était pas si mouillée on serait bien allongé sur la mousse.
J'ai senti qu'il bandait, ce devait être le couscous…! la merguez était bien là, je le caressais juste pour l'agacer. On riait comme "deux grands gamins" comme dit sa mère!
Mehdi a voulu prendre une autre allée pour s'enfoncer un peu plus dans la forêt quand on s'est aperçu que des arbres avaient été abattus et que cela faisait bien clair maintenant. On voyait au loin une petite cabane.
- j'avais jamais vu qu'il y avait une maison de garde forestier ici dis-je.
- on va voir dit Mehdi en me prenant la main et m'entraînant dans la forêt.
Plus on approchait, plus on voyait que la maison était abandonnée, plus de volets, plus de vitres, tout semblait délabré.
Sans rien dire, Mehdi m'attirait vers la maison, quand on a entendu du bruit.
Mehdi s'est arrêté, m'a regardé. On entendait maintenant distinctement un gémissement, pas quelqu'un qui a mal mais comme quelqu'un qui se donne ou reçoit du plaisir. Un sourire est arrivé sur les lèvres de Mehdi qui me faisait "chut" avec son doigt et nous nous sommes approchés de la fenêtre pour jeter un œil et apercevoir :
Un mec de dos, à poil, à genoux au sol qui se branlait assis sur un gros gode qu'il faisait monter et descendre dans son cul.
On s'est regardé, et on a failli pouffer de rires, et on a regardé le spectacle, quand j'ai vu les yeux de Mehdi s'arrondirent.
- mais on dirait Jérôme, tu sais le mec que j'ai baisé dans les chiottes du jardin public la semaine passée.
Et, sans attendre ma réaction, il fait le tour de la maison, entre en force par la porte mal fermée et nous voilà tous les deux dans la pièce où le mec se donne du plaisir.
Cela aurait mérité une photo du mec quand il nous a vu devant lui et qu'il nous a reconnu.
- Mehdi ! mais qu'est-ce que tu fais là ? et toi Fabrice ?
Il était tout rouge et essayait de se relever en enlevant le gode mais Mehdi fut le plus rapide.
- reste comme ça Jérôme, tu vas nous sucer en te godant ç'est bien meilleur!
Mehdi s'est approché, dégrafant son jean, sortant sa belle queue déjà bandante et Jérôme s'est assis de nouveau sur son gode qui est entré comme dans du beurre.
Mehdi a mis son gland sur les lèvres de Jérôme, qui, en bonne salope qu'il est, s'est mis à le téter comme un veau tète sa mère et j'ai vu la queue de Mehdi grossir, s'allonger. Mehdi a posé sa main sur la tête de Jérôme, a forcé sa bouche, qui s'est ouverte docilement et s'engouffrer dans cette bonne bouche qui en avait vue d'autres et Mehdi s'est mis à lui baiser la bouche en cadence.
Son petit cul à l'air m'excite, je m'approche et lui caresse les fesses, il relève la tête, un large sourire sur ses lèvres qu'il me tend. Je sors ma queue bien raide et la met près de la bouche de Jérôme, attendant son tour. Mais ma main ne reste pas inactive, j'insère un doigt dans la raie de Mehdi, trouve son petit trou qui n'appartient qu'à moi, selon lui et j'enfonce une phalange en caressant l'intérieur.
Je sais que Mehdi adore cette caresse et ses mouvements deviennent plus ample. Il enfonce bien sa queue au fond de la bouche de Jérôme et en reculant son cul avale mon doigt il se met à gémir au même rythme que sa victime. Ses fesses se durcissent autour de mon doigt enfoncé en lui. Il tient la tête de Jérôme collée contre son pubis, me donne ses lèvres pour que nos langues jouent ensemble et grogne en se déversant dans la gorge de Jérôme qui n'en perd pas une goutte. Je vois la queue ressortir léchée avec application.
Et Jérôme tel un affamé se jette sur la mienne, il me caresse les couilles et avale toute ma queue en fond de gorge. Chez Jérôme il n'y a pas de demi mesure, quelle que soit la bite, il avale tout, sa gorge s'ouvre à tous les diamètres.
J'ai retiré mon doigt de Mehdi qui vient se coller à moi et m'embrasse amoureusement.
- c'est le dessert pas compris au repas me glisse-t-il à l'oreille.
Sa main passe sous mes vêtements et vient me caresser les tétons, les pinçant gentiment en les roulant entre ses doigts pendant que ma queue est sucée, aspirée par la bonne bouche de Jérôme. Le traitement des deux fait que je ne tarde pas à donner tout mon jus avalé rapidement.
On aide Jérôme à se relever avec son gode toujours dans le cul, pris entre nous deux Mehdi s'amuse à bouger le gode dans son cul, plus il bouge le gode, plus Jérôme gémit.
- ah t'aime ça la bite dit Mehdi et si on t'enculait tous les deux ? t'en dis quoi Jérôme.
- tu sais bien que j'adore ta bite dit Jérôme en faisant un rapide baiser à Mehdi.
- oui mais les deux en même temps… t'as jamais eu ça comme cadeau!
- oh putain mais vous allez me déchirer avec vos morceaux.
- ben on ira doucement! t'en fait pas dit Mehdi en faisant son câlin.
Il s'allonge sur le sol poussiéreux, la bite bien raide tenue droite.
- viens t'asseoir dessus face à moi dit Mehdi d'un ton plus sec n'admettant pas de réplique.
Jérôme obéi en faisant quand même un peu en faisant la grimace. Moi je pense que cela ne va pas le faire, mais on verra bien.
Je vois Jérôme s'asseoir sur la bite de Mehdi et son cul l'avale avec facilité. Faut dire que le gode que Jérôme avait était de très bonne taille et que le trou doit être bien ouvert.
Mehdi l'attire à lui, le bloquant dans ses bras et l'embrasse comme il sait si bien le faire.
Je vois la queue de Mehdi bouger doucement dans le cul qui s'offre. Je me mets à genoux derrière et vient poser mon gland bien dur sur la bite de mon pote Mehdi. Je crache dessus, frotte la salive avec mon gland et je cherche à pénétrer le cul qui ne veut pas s'ouvrir plus. La queue de Mehdi se retire presque toute, laissant le cul ouvert. J'en profite pour glisser le gland qui se retrouve renfermer dans le cul, frottant la bite de Mehdi et les queues s'entraident dans la pénétration sous un hurlement de Jérôme.
Son cul est distendu mais les deux queues sont en lui. Mehdi le maintient bien contre lui. Je m'appuie sur les épaules de Jérôme et je commence à faire coulisser ma queue au plus profond possible. Jérôme gueule comme un âne mais son cul s'habitue et je peux encore lui en mettre quelques centimètres et ses cris diminuent. Il devient tout mou, nos deux queues sont bien rentrées et je branle la queue de Mehdi avec la mienne. Quel plaisir d'avoir sa queue contre celle de son pote dans le cul d'une bonne pute et salope!
Les cris sont devenus des gémissements. Il embrasse de plus en plus Mehdi.
- donnez moi votre jus ensemble!! je suis votre pute! baisez moi!!
Il délire dans ses mots mais en fait excite bien la galerie. Je sens les queues durcir et le plaisir arriver. Je jouis sur la queue de Mehdi et je sens nos spermes se mélanger dans Jérôme qui râle de bonheur.
Je me retire doucement. Je vois Jérôme s'appuyer encore sur la queue de Mehdi, puis se relever laissant la queue de Mehdi retomber sur son ventre. Il se penche et la suce à grands coups de langue, se tourne vers la mienne et en fait autant.
Il se relève, la queue bien tendue, suintante. Je regarde Mehdi et on se penche ensemble sur la belle queue de Jérôme, qu'on décalotte et chacun notre tour on lui lèche le gland, avalant sa belle tige. Il ne faut pas attendre longtemps pour voir des giclées sortir et se répandre sur nos visages. Jérôme gueule encore en jouissant puis nous voyant le visage plein de sperme, se fait un devoir de tout nettoyer.
- t'es vraiment une belle salope le complimentais je.
On a papoté un moment, reprenant des forces et Jérôme s'est remis à genoux devant nous et nous a taillé une pipe mémorable encore une fois. Il est doué le salaud! il a encore tout avalé et nettoyé nos queues avec application.
Il n'a pas voulu qu'on le fasse jouir, il voulait se branler chez lui avec son gode en pensant à nous!!
On s'est rhabillé et repris le chemin de la voiture, Jérôme était venu en vélo. Il a quand même demandé à nous revoir tous les deux ensemble car il avait apprécié la double pénétration, dit comme ça dans sa bouche cela semblait anodin et sans douleur.
On s'est séparé et j'ai ramené Mehdi chez ses parents où sa mère nous attendait. Elle m'avait préparé un faitout de couscous pour le soir!!
- mais je ne vais pas pouvoir tout manger Madame K. il y en a trop!! dis-je.
- bah tu y arriveras bien! t'es pas obligé de tout manger ce soir.
- je peux t'aider ce soir dit Mehdi qui n'en perdait pas une pour venir chez moi.
- tu vas laisser Fabrice tranquille ce soir quand même!
- oh il y a bien à manger pour deux ce soir dis-je gentiment en la regardant, vous savez il peut venir.
- oui et il sera obligé de rester dormir chez toi et il va encore te déranger.
- mais non madame K. mais non Mehdi ne me dérange jamais.
- eh bien faites comme voulez! dit-elle fataliste.
Ses "deux grands gamins" sont donc partis ensemble après lui avoir fait des bises. Elle adore ça qu'on lui fasse des bises!
Il était juste 19 heures lorsque nous sommes arrivés chez moi.
Mehdi s'est jeté à mon cou, on s'est serré l'un contre l'autre en s'embrassant.
- t'as encore des forces demande Mehdi.
- pour manger ? demandais je innocemment.
- mon cul ouais dit Mehdi en riant.
- quand j'aurais mangé un peu de couscous je pense.
- mais tu penses qu'à bouffer.
- toi qu'à baiser.
- les deux vont bien ensemble.
- dis donc, quand on a une mère si bonne cuisinière, son fils sait faire réchauffer un couscous ?
- pfft tu vas voir comme c'est facile. Mais au fait… je crois que ma mère a compris pour nous deux.
- comment tu le sais ? elle t'en a parlé ?
- oh pas directement, mais elle est toujours en train de poser des questions alors elle m'embrouille et la dernière fois j'ai dit qu'on avait dormi ensemble… et j'ai trouvé comme excuse que tu n'avais plus de drap sec pour faire l'autre lit et elle m'a juste dit : ah oui! avec son petit sourire!
- ben on verra bien par la suite mais en tout cas ce soir elle n'a rien dit.
- oh avec toi elle ne veut rien dire, elle t'aime beaucoup.
- moi aussi je l'aime beaucoup.
- mais moins que moi… moi aussi je t'aime, je t'aime, je t'aime.
J'ai été obligé de l'embrasser pour le faire taire.
En fin de compte c'est bien le couvre-feu quand tu es chez toi avec quelqu'un, t'es sûr d'une chose c'est que personne ne va venir perturber tes ébats et ça Mehdi l'avait bien compris.
On a bu un coup dans le salon devant la télé, tranquille dans les bras l'un de l'autre. Il est collant le Mehdi mais si beau, si amoureux, si bon. C'est un plaisir d'être avec lui.
Puis on a fait réchauffer le couscous… comme on a pu! on a mangé pour se recoller devant Netflix.
On aurait dit un vieux couple, puis j'ai senti qu'il était l'heure d'aller se coucher, la main de Mehdi était de plus en plus baladeuse.
- maintenant tu as repris des forces avec le couscous maternel je vais te faire passer une nuit que tu n'oublieras pas dit Mehdi tendrement. Je te veux en moi, je vais être ta salope comme jamais. Je veux que tu me baises comme tu sais si bien le faire, je suis à toi et tu le sais.
- ce que je sais Mehdi c'est que tu ne seras jamais ma salope. J'aime baiser avec toi, tu es le meilleur j'en suis sûr! ce que l'on fait ensemble, tous les deux, nous appartient, on fait ce qu'on veut!
Pourquoi fallait il que je lui répète tout le temps cela ? je vais finir par me demander jusqu'où il veut aller avec moi.
Mais cette fin de Ramadan sera à marquer dans les anales.
On s'est déshabillé mutuellement et nos corps se sont épousés. Nos queues se sont frottées l'une contre l'autre, ce n'était pas la même sensation que dans le cul de Jérôme. Ses lèvres son douces, chaudes, caressantes. On a visité chaque recoin de nos corps. On entendait que des soupirs, des je t'aime, des gémissements, des je t'aime… les préliminaires ont été très longues, comme souvent avec Mehdi quand on a le temps.
Puis il m'a repoussé sur le dos, m'a enjambé et est venu s'asseoir sur ma queue doucement, lentement appréciant chaque centimètre de ma queue et moi chaque centimètre de la douceur et de la fermeté de son conduit. Il jouait avec son sphincter autour de ma queue, pendant que nos langues échangeaient leurs salives, je donnais de légers coups de reins pour qu'il sente bien ma queue vivante en lui et il gémissait.
Je t'aime Fabrice, je t'aime Mehdi… mais le plaisir arrivait. Je sentais ma queue durcir. Je roule sur le lit sans que ma queue sorte de son nid, redresse bien les jambes de Mehdi collées sur son torse et, yeux dans les yeux, je bouge mes reins faisant coulisser lentement ma queue la ressortant complètement avant de replonger fortement au fond de son petit cul accueillant. Il gémit en me fixant, sourire aux lèvres, alors j'accélère le mouvement.
Quel plaisir d'être dans son cul, de coulisser en lui dans ce conduit si chaud, humide qui se resserre à chaque fois sur ma queue et je me bloque dans un grand soupir pour lui offrir plein de giclées bien chaudes et abondantes qui noient son conduit. Je tombe dans ses bras pour l'embrasser tendrement.
- tu veux me faire l'amour Mehdi ? lui dis-je à l'oreille.
- non, il n'y a que toi qui me le fera! je suis à toi je te l'ai déjà dit.
Et il m'embrasse. Ma queue sort de son étui, je sens sa queue bien raide entre nos ventres. Je descends mes lèvres sur son torse, lui léchant ses beaux tétons qui pointent, je les mordille. Il grimace en souriant. Je descends sur son ventre, léchant le nombril et son gland est juste là, suintant. Je le titille du bout de la langue, l'effleurant de mes lèvres chaudes et humides. Je sens sa main se poser sur ma tête. Je touche ses grosses couilles, les caresse d'une main en les malaxant doucement et les serrant ce qui le fait couiner.
Je passe ma langue tout le long de la tige, des couilles au gland, l'enveloppant de mes lèvres. Sa queue bouge toute seule sous mes coups de langue, je la soulève doucement, prend en bouche cette belle et grosse queue que j'aime par dessus tout. Je l'enveloppe bien de mes lèvres qui descendent le long de la hampe, plus je l'avale plus il gémit.
Je sais ce qu'il attend que je le pipe rapidement comme s'il me baisait la bouche mais j'aime prendre mon temps avec une belle queue si goûteuse. Pétrissant bien ses couilles que je fais rouler dans ma main, mes lèvres font de lents allers retours sur la hampe l'avalant complètement, le nez dans ses poils qui sentent si bon. Sa main s'appuie sur ma tête et son bassin bouge. Je sais qu'il est au supplice qu'il a envie de jouir mais je lui fais durer son plaisir et le mien. Je ressors sa queue de ma bouche et la bouge devant mes yeux, frottant son gland sur mon nez, mes lèvres. Son gland suinte de plus en plus et il pousse de petits cris quand je lui donne des coups de langue.
Je le regarde, il a les yeux fermés, son bout de langue sort de sa bouche et lèche ses belles lèvres, il est à bout.
J'embouche d'un seul coup toute sa tige autour de mes lèvres et je le pipe rapidement comme il aime. Ses deux mains me tiennent la tête. J'entends des "oui.. oui.. oui" et il appuie bien fort sur ma tête, son gland dans ma gorge m'aspergeant l'intérieur de son bon jus bien chaud qui coule en moi. Ma langue s'active, je l'entends soupirer en gémissant. Il me donne encore du jus, je le pipe encore et encore jusqu'à la dernière goutte. Ses mains s'enlèvent de ma tête, tout son corps se détend. Je laisse sa queue sortir toute seule de ma bouche, il m'attire à lui pour encore un baiser tendre, sa langue venant se frotter à la mienne.
- j'adore quand tu me suces comme ça, y'a que toi pour me faire ça comme tu le fais, je t'aime je ne te le dirais jamais assez.
J'ai tiré la couette sur nous, il s'est blotti dans mes bras, et on s'est endormi.
On a baisé deux fois encore dans la nuit si bien que le matin quand on s'est réveillé il était 11 heures. On avait rien à faire que de rester au lit!
Et, pour une fois, il ne m'avait pas parlé d'Izmir. Il y avait réellement du progrès.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
et perdure… cher lecteur, merci!
Un beau et bandant récit où l’amour domine