Une vie de plombier

- Par l'auteur HDS Jean-Pierre -
Auteur homme.
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Récit libertin : Une vie de plombier Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-02-2009 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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(8.0 / 10)

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Une vie de plombier
Une vie de plombier

J’ai 30 ans et on me dit plutôt beau gosse et les conquêtes ne manquent pas, car je suis sportif et bien bâti, j’ai un certain succès avec les femmes. Je suis plombier depuis maintenant cinq ans, j’aime ce métier et en plus je gagne bien ma vie.

L’histoire que je vais vous raconter à commencé par un coup de téléphone comme il y en a souvent le lundi matin.

Madame Legrand appelle la secrétaire, catastrophée pour une fuite dans sa salle de bains. Le problème, c’est qu’elle doit absolument partir pour son examen de permis de conduire, elle ne peut annuler, c’est la sixième fois qu’elle le repasse.

Elle demande alors à la secrétaire de me dire de passer à la loge de la gardienne qui me remettra le double des clefs de son appartement, et signale qu’elle sera de retour en fin de matinée après son examen.

Arrivé dans la résidence, je m’adresse à la concierge qui me remet le trousseau ! Pas bien aimable la dame.

- Eh ben ça défile les plombiers en ce moment ! Vous êtes le troisième en quinze jours ! Je ne sais pas ce qu’elle fabrique avec ses tuyaux, mais en tout cas, depuis qu’elle est veuve, je ne sais pas ce qui se passe !

Remerciant la gardienne, je monte au 4ème de ce magnifique immeuble très chic. Arrivé à intérieur je découvre un magnifique appartement somptueusement décoré. Cette femme à bon gout visiblement. Je ne suis pas ici pour visiter alors, direction la salle de bains.

La salle de bains en marbre était luxueuse comme le reste de l’appartement, avec jacuzzi, robinetterie grand standing. En effet, il y avait une fuite sous l’une des deux vasques en marbre et Madame Legrand avait disposé des cuvettes et serpillères. Je me mettais au travail, il y avait pas mal de boulot, la canalisation évacuation d’eau étant percée, les siphons étaient bouchés certainement avec les cheveux et le savon.

En me relevant, je regardais autour de moi cette somptueuse salle de bains et constatais qu’il y avait du linge à sécher sur un petit étendage. Ce n’est pas la beauté de la lingerie qui a attiré mon attention mais l’incroyable grosseur des bonnets de ce soutien gorge. Je me remettais au travail.

La tache n’était pas si aisée que je le pensais, car l’accessibilité de la fuite rendant le travail difficile, il faut quelquefois être contorsionniste pour être plombier ! De plus j’étais déconcentré par cette lingerie qui pendait à coté de moi et j’avais du mal à imaginer quel genre de personne pouvait la porter.

Enfin bon ! Le boulot d’abord, on verra bien quand Madame Legrand arrivera, et voici que ce siphon bouché n’allait pas tarder à m’exploser à la figure et ça c’était bien la réalité. J’étais donc aux prises avec ce siphon complètement grippé par le calcaire et il ne voulait pas se dévisser. Bon, il y a toujours des journées comme ça qui commencent mal et on ne sait pas comment elles vont finir.

Je m’allongeais complètement sous le meuble de la vasque, un peu comme un mécanicien sous sa voiture et dans cette position c’étais plus pratique, pour accédais plus facilement à cet objet récalcitrant ! Dur, dur d’être plombier. Oui c’était dur et forçant un peu sur la clé à molette soudain ! Catastrophe.

Non seulement le pas de vis était foiré mais en plus je me suis aspergé la figure et le haut de mon bleu de travail de cette eau nauséabonde. Quelle poisse ! J’étais furieux ! Je ne sentais pas la rose. Je me suis relevé brutalement et bing ! Un coup de boule dans l’arête du meuble. J’ai vu trente six chandelles.

Vraiment ce n’était pas mon jour. Enfin c’est aussi ça la vie du plombier faut bien assumer. Je recherchais dans ma boite à matériel un siphon neuf que j’installais, après avoir tout vérifié et nettoyé je constatais que j’avais fini le boulot dans les temps ! Ouf !

J’entendis alors un bruit de clef dans la serrure et la porte d’entrée s’ouvrit. Probablement ma cliente qui rentrait de son épreuve de conduite. Un dernier petit coup d’éponge sur les vasques, des pas rapides venaient en direction de la salle de bains. Tournant la tête, j’aperçus une silhouette vêtue d’un imperméable traverser rapidement le couloir.

- Excusez-moi je suis désolée de vous avoir laissé dans un tel pétrin mon pauvre monsieur.

Je n’eus pas le temps de voir Madame Legrand qu’elle était déjà repartie dans le salon. Elle avait l’air débordée.

- Voila c’est fini Madame, c’est propre et neuf. Dis-je en la rejoignant dans le salon.

Tout en déposant ses affaires sur le canapé, elle me tournait le dos, et je ne pouvais voir qu’une belle chevelure blonde se découpant sur le noir de son imperméable.

- Je suis à vous, me dit elle d’un ton un peu essoufflé, mais je suis heureuse que vous soyez passé si tôt !

Elle se retourna. C’était une très jolie femme qui arborait probablement quarante ans. Elle avait de magnifiques yeux verts et ses petites rides aux coins des paupières lui donnaient un charme fou. Le charme de ces femmes qui savent rester jeunes et coquettes.

- Allons voir ce maudit lavabo me dit elle en m’emmenant dans la salle de bains.

Madame Legrand constatait le bon état de sa salle de bains et paraissait satisfaite.

- Ce n’était pas du luxe, le siphon et la sortie d’eaux usées étaient complètement foutus, j’ai tout remplacé.

Madame Legrand leva les yeux et parue confuse.

- Oh ! Oui, c’est tout moi ça. Excusez moi, j’aurais pu faire un peu de rangement avant votre arrivée mais j’étais si pressée !

Madame Legrand faisait allusion au soutien gorge et à la guêpière qui m’avaient il faut le dire un peu déconcentré. Elle saisit la lingerie ! Zut ce n’est pas encore sec et je ne peux pas mettre ça dans un sèche linge ça va être fichu ! Bon allons dans le salon je vais vous régler. Madame Legrand était vraiment speed, je la suivais au pas de course.

- C’est Formidable ! me dit-elle. Tout s’arrange : la salle de bains, et j’ai enfin obtenu mon permis de conduire !

Elle était rayonnante et son sourire n’avait d’égal que sa beauté.

- Je vous offre le champagne, on l’a bien mérité non ?

Elle s’engouffra dans la cuisine et revint rapidement une bouteille à la main. Ota enfin son imper et le déposa sur le canapé. Elle était magnifique, classe et très sexy à la fois. Elle portait un petit chemisier de soie rose très fluide et légèrement brillant, un pantalon de cuir noir qui lui faisait une silhouette magnifique. Elle était de ces femmes qui s’habillent jeune, et ce détail m’a conquis. Elle s’approcha avec deux coupes vides à la main. Son regard se fixa un instant sur moi et me dit :

- Oh ! Mais que vous est il arrivé ? Vous êtes blessé ?

Elle paraissait inquiète, et puis vous avez plein de traces noires sur le visage et dit :

- Pouah ! Oh non ! Vous ne pouvez pas rester comme ça !

Me regardant dans un miroir, je constatais qu’un petit filet de sang rouge vif dégoulinait du haut de ma tête et mon visage et mes cheveux étaient maculés de cette eau noirâtre qui venait de ce siphon.

- Je vais vous désinfecter mais il faut absolument que vous alliez vous doucher, cette eau croupie va vous salir cette plaie. Allez : hop !

Madame Legrand était plutôt directive et je me dirigeais vers la douche, déposant mon bleu de travail souillé. Mon cuir chevelu me piquait je sentais l’entaille que je m'étais faite en donnant ce coup de boule dans la vasque. Finalement cette douche était vraiment bienvenue, toute cette gadoue puante sur la tête me faisait horreur à moi aussi. Et en plus une douche ça délasse.

Je suis sorti de la cabine vitrée et je m’essuyais consciencieusement avec une douce serviette éponge que m’avait laissée Madame Legrand, un doux parfum de lavande me parvenait aux narines. A coté de moi, pendaient les jolies lingeries de ma cliente. Maintenant que son image m’était réelle, je l’imaginais superbe dans cette guêpière de soie et de dentelle noire et ces balconnets contenant sa poitrine si généreuse, cette vision m’excitait, terriblement. Madame Legrand frappa à la porte de la salle de bains :

- Je peux entrer ? Pour désinfecter votre coupure.

En toute hâte je passais ma serviette autour de la taille. Toujours le sourire aux lèvres, elle entra avec un flacon de désinfectant et un coton.

- Vous devez vous sentir mieux maintenant n’est-ce pas ? Asseyez vous sur ce tabouret, on va soigner ce bobo.

Me sachant nu dans la salle de bains, avec cette dame toute habillée me mettait dans un état second. Cette femme appliquait le coton imbibé de désinfectant sur mon crâne entaillé et ça faisait du bien. Elle était debout devant moi, légèrement inclinée en avant, c’était absolument fabuleux.

Son petit chemisier de soie rose si fluide était légèrement déboutonné me donnant une vue incroyable sur ce que je n’aurais jamais pu imaginer. Les seins de Madame Legrand étaient absolument énormes, magnifiquement dans un soutien gorge qui leur donnaient une bonne tenue.

Je fermais les yeux en essayant de garder mon calme mais, mon Dieu ! Je repensais alors à toutes ces filles que j’avais fréquentées, me rappelant certaines qui étaient bien pourvues mais là, ça dépassait tout ce que j’avais pu voir ou même tripoter. Les mouvements qu’elle faisait en me soignant donnaient un léger ballottement sous ce joli chemisier et me rendaient dingue.

Pendant qu’elle me tamponnait la tête, elle avait posé sa main sur mon épaule nue. Je pouvais aussi voir dans le miroir de la salle de bains ses fesses peut être un peu fortes mais superbement dessinées par son pantalon en cuir noir. Hypnotisé par tout ce spectacle, je me suis soudain rendu compte que mon bleu de travail et mes vêtements avaient disparu de la pièce.

- Ah oui ! J’oubliais c’était tellement sale que j’ai fait une machine, ça dure une heure. Ca ira ?

Je ne savais que répondre. Me voici bloqué chez Madame Legrand, nu et dans l’impossibilité de poursuivre ma tournée de travail ! En même temps je ne pouvais pas trop me plaindre, elle était si attentionnée et si charmante.

- Voila, eh bien vous-vous êtes bien entaillé mon pauvre ! Allez, venez dans le salon, je vous offre le champagne.

Je me suis retrouvé dans ce salon au décor moderne avec une serviette autour de la taille avec cette charmante femme. Je la complimentais sur ses gouts en matière de décoration.

- J’ai tout refait à la mort de mon mari. J’en avais marre de ce style ancien. Il détesterait j’en suis sûre.

Elle n’avait pas trop l’air chagrinée de la perte de son époux.

- Je me sens libre maintenant, fini ces diners mondains ou j’étais considérée comme un objet décoratif. J’en avais assez de vivre dans l’ombre de ce monstre égoïsme. Vivre à deux cent à l’heure. C’est ça qui l’a perdu. Il y a six mois il a encastré sa voiture à 180 km/h sous un semi remorque, en fait je ne l’ai jamais vraiment aimé.

A ces mots Madame Legrand me tendis une coupe de champagne. Elle était très belle et rayonnante. Sa vie semblait prendre un nouveau départ.

- Je vais chercher mon chéquier pour vous régler les travaux. Asseyez vous je reviens.

Je repensais à cette vision incroyable de ses seins si gros et de son postérieur magnifiquement dessiné, ses yeux verts. Je rêvais éveillé, et le temps passait, cette jolie veuve avait hérité de la fortune de son défunt mari. J’avançais dans le couloir et regardais de gauche à droite les pièces sans trouver trace de ma cliente.

En m’approchant d’une porte mi-close j’entendis une musique douce et sensuelle. Je n’osais pas pousser la porte mais je pouvais voir un peu dans entrebâillement. Je finis par me décider et pénétra dans cette pièce qui était visiblement sa chambre. Le décor était une invitation au charme et au plaisir.

Un grand lit très romantique avec des draps de satin écrus sur lequel Madame Legrand avait déposé ses vêtements. Un peu plus loin un paravent style japonais derrière lequel je sentais une présence et une activité. Elle était là et je pouvais voir son soutien gorge aux immenses bonnets pendre par dessus. Le sang battait à mes tempes et ma blessure me piquait un peu. La porte se referma derrière moi en claquant.

- Entrez entrez. Je suis à vous dans une minute.

Fébrile je repensais à ce corps et cette lingerie. J’étais fou de désir. La musique, ce décor et l’idée de savoir Madame Legrand nue me faisaient chavirer les sens. J’entendais aussi le bruit de ses mouvements, les étoffes glissant sur sa peau, le petit souffle de son vaporisateur.

- J’ai presque fini, ça va vous ne vous vous ennuyez pas trop ?

Je ne savais que répondre. J’entendis le bruit d’une fermeture éclair que l’on referme.

- Me voila.

Lorsqu’elle sortit de derrière le paravent, je ne l’ai pas regardée tout de suite, faisant semblant de regarder une de ses revues féminines. Ma vie a été remplie de jolies conquêtes mais à ce moment précis où je l’ai regardée ma mémoire s’est enflammée.

Madame Legrand avançait doucement vers moi, elle portait un petit chemisier de soie noire totalement transparent, vaporeux, et partiellement déboutonné. Ses seins si voluptueux étaient enveloppés dans cette transparence si fluide qu’on aurait dit de la cellophane.

Elle avait ajusté le bas de son chemisier dans un short très moulant qui devait être soit en cuir il brillait et lui faisait un cul d’enfer. Elle m’a parue plus grande que tout à l’heure. Elle avait chaussé des bottes noires qui faisaient cuissardes, sa démarche était due aux très hauts talons aiguilles. Je me demandais comment elle pouvait marcher avec.

La femme si douce que j’avais découvert s’était transformée en véritable bombe sexuelle. Son maquillage était provocant et son rouge à lèvres lui faisait une bouche gourmande. Elle se mit face à moi ! J’étais tétanisé. Elle sortit un petit papier du sillon que faisaient ses seins ! Elle l’agita sous mes yeux.

- Je le mets à quel ordre le chèque ?

J’avais complètement oublié pour quelle raison j’étais venu, la beauté de Madame Legrand médusé par cette situation pour le moins excitante, je bredouillais l’ordre du chèque que ma cliente avait sorti de son opulente poitrine.

- Euh, à mon ordre, euh, oui, Bernard Blanc.

- Merci Bernard ! Voila. Nos noms sont réunis sur ce petit bout de papier ! Je vous félicite pour votre patience ! J’aime les hommes qui savent attendre et c’est rare maintenant, très rare. En disant ces mots elle passa sa main sur ma joue. La vue de ses seins dans son chemisier transparent me rendait fou ! Jusqu’ou irait elle ?

- J’ai eu votre standardiste tout à l’heure et je lui ai expliqué que vous auriez un peu de retard. Elle m’a répondu que vous deviez prendre tout votre temps ! Vous voyez. Il ne faut pas vous inquiéter. Ma cliente appuyait son genou sur mon entrejambe, mon sexe était déjà dur. Ses mains caressèrent mon torse, mes épaules, et mes abdominaux.

- Mmm ! Voila ce que Charles mon mari, n’a jamais su me donner.

Elle fit tomber ma serviette et m’embrassa. Bien sûr ! Je ne suis pas rentré chez moi….

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