Une visite hasardeuse
Récit érotique écrit par GEREMIE [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-09-2009 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Une visite hasardeuse
Je devais me rendre près de Bordeaux, chez ma soeur. Je n'avais pas prévenu car elle était toujours chez elle et j'étais sûr de la trouver. Je prends le train, arrive à la gare et prends les quais à pied pour sortir de la ville. Rapidement, je fus pris en stop par keum, la quarantaine, super bien sapé, costume cravate, super Mercédes rutilante. Me tutoyant d'emblai "tu vas où ?" et je lui réponds "chez ma soeur". Je lui explique que j'y vais en surprise et espère qu'elle y sera.
Il me dépose à un carrfour dont je reconnais les lieux, le remercie et il me tend sa carte de VRP et me dit : si tu as un souci tu me téléphones sur mon portable, je suis dans un petit hôtel à 10 km de là.
Je finis ma course à pied, et biensûr, la frangine n'est pas là ! ! ! Je m'assois sur les marches de la porte d'entrée et attends. Une demie-heure, une heure, toujours rien. En envoyant plusieurs SMS aux uns et aux autres je récupère son numér de portable, l'appelle et je finis par l'avoir et elle me rétorque qu'elle est désolée et qu'elle est partie avec son mari en vacances en Lorraine.
Ne sachant que faire, je sors de ma poche la carte de mon VRP et l'appelle en lui expliquant ce qu'il m'arrive. "Donnes moi ton adresse exacte et avec mon GPS j'arrive tout de suite"
En effet, une demie heure après, la grosse mercédes se gare devant la maison de ma soeur.
"Aller, monte, je t'amène à mon hôtel" et je lui réponds " je ne veux pas vous déranger, peut être que vous pourriez me ramener à la gare St-Jean ?" et tout de suite il me dit "Tu es bien gentil, masi il est tard, et je t'amènerai demain. Monte"
Je monte dans sa voiture et il m'amène dans un relai de luxe qu'il y a dans la région. Il me propose d'aller réclamer un repas au restaurant et prend mon sac de voyage pour m'aider.
Je dine avec lui, il est très sympathique et me dit "Bon, on va aller se coucher car demain je travaille et il faut que je me repose." "Aussi, je voulais te dire : d'habitude on me donne une chambre avec un grand lit et un petit lit et comme il y a beaucoup de monde en ce moment je n'ai pu obtenir qu'un grand lit, qu'il faudra que l'on partage, OK ? Intimidé, j'acquiesse !
On arrive dans une chambre magnifique, et il m'indique que je peux aller me doucher dans la salle de bains, ce qu'il a fait quand il est arrivé auparavant.
Je prends mes affaires de toilettes pénètre dans la salle de bains et me voilà sous la douche.
Je prends largement mon temps et ressors en caleçon. Il est au lit et me regarde comme un si j'étais une femelle. Il occupe un bord du lit, son torse est nu bronzé, le beau mec. J'écarte les draps de l'autre côté et me glisse dans le lit. "Tu gardes ton caleçon, la nuit ?" me demande t'il. "Non, d'habitude je dors nu" lui répondis-je. "Eh bien enlève le, tu seras mieux" ... Ce que je fis avec beaucoup de madresse.
J'étais un peu honteux de la situation : me retrouver gamin dans le lit d'un inconnu à poil...
Au bout de dix minutes, mon bienfaiteur se tourna vers moi et allongea sa main sur mon ventre, qu'il caressa avec douceur, puis voyant que je n'étais pas farouche il progressa jusqu'à ma poitrine effleurant mes petits tétons puis redescendit pour caresser ma teub complètement droite. Il s'extasia "Comme elle est mignonne cette petite bite" Sa main passa sur tout mon corps et s'attarda sue mon sexe lisse et raide... Il écarta complètement les draps et se pencha pour la prendre dans sa bouche. Sa bouche était chaude et avec sa salive il me pompait magnifiquement, tout en caressant mes petites boules lisses également.
Une fille m'avait sucé auparavant, mais ça n'avait rien à voir... Il prenait tout son temps et jouit de sses lèvres de sa langue... J'étais super excité... D'une main il me prit une épaule et me fit faire un quart de tour dans le lit, ce qui fit que je me retrouvais avec une grosse queue sur le visage. Je me mis à la lècher sur toute sa longueur, puis commença à sucer son gland tendu. C'était la première bite que je suçais et je trouvais cette pratique bien agréable..;
J'ai cru que j'allais lacher mon sperme mais mon bonhomme expérimenté en appuyant sur le périnée fit redescendre la pression. Il ramena mes genoux sur ma poitrine puis me lècha la rosette. Magnifique. Sa langue allait et venait dans mon anus tout neuf. Il me fit mettre à quatre pattes sur le bord du lit puis ramenant son prépuce sur son gland il posa le tout sur mon petit trou et en une simple pression, le gland se décalotta tout en me pénétrant... Il progressa lentement, me demandant, de temps en temps, si j'avais mal, puis un fois habitué à ce coprs étranger, je me trouvais bien, il s'en aperçu et me teant par les hanches il commença à me limer. C'était magique, il allait et venait allègrement dans mon ventre. Je bombais bien le cul pour un mouvement facile. Il me lima pendant un long moment puis je sentis sa bite devenir encore plus grosse, plus tendue et je sentis du jus remplir mon fondement.
Il hurla, à ce moment là et me tira à lui au maximum. Mon anus était brulant et son jus calma le frottement intense qu'il venait de subir. Il resta un moment immobile dans cette même position, puis lentement, très lentement, il retira sa verge.
Mes jambes s'allongèrent, débordant du lit, puisque j'étais en travers. Les yeux fermés je savourais encore de ce plaisir découvert. Je l'entendis aller à la salle de bains, puis quand il revint, il se remit en quinconce et raviva ma queue un peu ramollie avec sa bouche. Encore bien excité, il me pompa et absorba toutes les giclées de sperme que je lachais. Quel délice !
J'étais aux anges. Je revins dans ses bras quelques minutes plus tard et nous nous endormîmes assez vite. Plus tard dans la nuit il m'encula à nouveau et remit ça justa avant l'heure du lever. Quelle santé ! Vers 9 heure il me ramena à la gare st-Jean et me confia que nous nous reverions cetainement plus jamais, car il était marié et père de deux enfants.
Il me dépose à un carrfour dont je reconnais les lieux, le remercie et il me tend sa carte de VRP et me dit : si tu as un souci tu me téléphones sur mon portable, je suis dans un petit hôtel à 10 km de là.
Je finis ma course à pied, et biensûr, la frangine n'est pas là ! ! ! Je m'assois sur les marches de la porte d'entrée et attends. Une demie-heure, une heure, toujours rien. En envoyant plusieurs SMS aux uns et aux autres je récupère son numér de portable, l'appelle et je finis par l'avoir et elle me rétorque qu'elle est désolée et qu'elle est partie avec son mari en vacances en Lorraine.
Ne sachant que faire, je sors de ma poche la carte de mon VRP et l'appelle en lui expliquant ce qu'il m'arrive. "Donnes moi ton adresse exacte et avec mon GPS j'arrive tout de suite"
En effet, une demie heure après, la grosse mercédes se gare devant la maison de ma soeur.
"Aller, monte, je t'amène à mon hôtel" et je lui réponds " je ne veux pas vous déranger, peut être que vous pourriez me ramener à la gare St-Jean ?" et tout de suite il me dit "Tu es bien gentil, masi il est tard, et je t'amènerai demain. Monte"
Je monte dans sa voiture et il m'amène dans un relai de luxe qu'il y a dans la région. Il me propose d'aller réclamer un repas au restaurant et prend mon sac de voyage pour m'aider.
Je dine avec lui, il est très sympathique et me dit "Bon, on va aller se coucher car demain je travaille et il faut que je me repose." "Aussi, je voulais te dire : d'habitude on me donne une chambre avec un grand lit et un petit lit et comme il y a beaucoup de monde en ce moment je n'ai pu obtenir qu'un grand lit, qu'il faudra que l'on partage, OK ? Intimidé, j'acquiesse !
On arrive dans une chambre magnifique, et il m'indique que je peux aller me doucher dans la salle de bains, ce qu'il a fait quand il est arrivé auparavant.
Je prends mes affaires de toilettes pénètre dans la salle de bains et me voilà sous la douche.
Je prends largement mon temps et ressors en caleçon. Il est au lit et me regarde comme un si j'étais une femelle. Il occupe un bord du lit, son torse est nu bronzé, le beau mec. J'écarte les draps de l'autre côté et me glisse dans le lit. "Tu gardes ton caleçon, la nuit ?" me demande t'il. "Non, d'habitude je dors nu" lui répondis-je. "Eh bien enlève le, tu seras mieux" ... Ce que je fis avec beaucoup de madresse.
J'étais un peu honteux de la situation : me retrouver gamin dans le lit d'un inconnu à poil...
Au bout de dix minutes, mon bienfaiteur se tourna vers moi et allongea sa main sur mon ventre, qu'il caressa avec douceur, puis voyant que je n'étais pas farouche il progressa jusqu'à ma poitrine effleurant mes petits tétons puis redescendit pour caresser ma teub complètement droite. Il s'extasia "Comme elle est mignonne cette petite bite" Sa main passa sur tout mon corps et s'attarda sue mon sexe lisse et raide... Il écarta complètement les draps et se pencha pour la prendre dans sa bouche. Sa bouche était chaude et avec sa salive il me pompait magnifiquement, tout en caressant mes petites boules lisses également.
Une fille m'avait sucé auparavant, mais ça n'avait rien à voir... Il prenait tout son temps et jouit de sses lèvres de sa langue... J'étais super excité... D'une main il me prit une épaule et me fit faire un quart de tour dans le lit, ce qui fit que je me retrouvais avec une grosse queue sur le visage. Je me mis à la lècher sur toute sa longueur, puis commença à sucer son gland tendu. C'était la première bite que je suçais et je trouvais cette pratique bien agréable..;
J'ai cru que j'allais lacher mon sperme mais mon bonhomme expérimenté en appuyant sur le périnée fit redescendre la pression. Il ramena mes genoux sur ma poitrine puis me lècha la rosette. Magnifique. Sa langue allait et venait dans mon anus tout neuf. Il me fit mettre à quatre pattes sur le bord du lit puis ramenant son prépuce sur son gland il posa le tout sur mon petit trou et en une simple pression, le gland se décalotta tout en me pénétrant... Il progressa lentement, me demandant, de temps en temps, si j'avais mal, puis un fois habitué à ce coprs étranger, je me trouvais bien, il s'en aperçu et me teant par les hanches il commença à me limer. C'était magique, il allait et venait allègrement dans mon ventre. Je bombais bien le cul pour un mouvement facile. Il me lima pendant un long moment puis je sentis sa bite devenir encore plus grosse, plus tendue et je sentis du jus remplir mon fondement.
Il hurla, à ce moment là et me tira à lui au maximum. Mon anus était brulant et son jus calma le frottement intense qu'il venait de subir. Il resta un moment immobile dans cette même position, puis lentement, très lentement, il retira sa verge.
Mes jambes s'allongèrent, débordant du lit, puisque j'étais en travers. Les yeux fermés je savourais encore de ce plaisir découvert. Je l'entendis aller à la salle de bains, puis quand il revint, il se remit en quinconce et raviva ma queue un peu ramollie avec sa bouche. Encore bien excité, il me pompa et absorba toutes les giclées de sperme que je lachais. Quel délice !
J'étais aux anges. Je revins dans ses bras quelques minutes plus tard et nous nous endormîmes assez vite. Plus tard dans la nuit il m'encula à nouveau et remit ça justa avant l'heure du lever. Quelle santé ! Vers 9 heure il me ramena à la gare st-Jean et me confia que nous nous reverions cetainement plus jamais, car il était marié et père de deux enfants.
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