Une visite surprise
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-01-2021 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Une visite surprise
Une visite surprise
On était le week-end, j'étais tranquillement installé dans mon garage à bricoler je ne sais plus quoi quand on sonnait à la porte. J'allais ouvrir, c'était Joël !
Joël c'est mon doudou !
Bon on n'habite pas ensemble, on a trop peur de devenir un vieux couple routinier avec les enfants qui viendraient nous voir … Mais qu'est-ce que je raconte moi ? ' Avec les enfants …' ! Bon on se limiterait à un poisson rouge …
Enfin bref, c'était mon doudou, il passait me voir et avait emmené avec lui des copains que je ne connaissais pas.
Il me présentait Willy et Samy. Willy était un beau gaillard qui dépassait en taille Joël … Joël c'est mon doudou … Oui je sais je me répète mais je suis ému à chaque fois que je le vois. Il faut dire qu'il a une grosse queue et c'est la première chose à laquelle je pense à chaque fois que je le revois. Après ça passe, après je pense à autre chose, enfin des choses sérieuses quoi. Du genre est-ce que j'ai pas oublié d'acheter de la bière pour les invités ? Ou un truc du genre, j'ai bien refait le stock de capote, et de gel. Il me reste du gel ? Enfin des trucs de circonstance et de première importance …
Samy était bien aussi, il était de belle taille et de belle carrure, un teint très mat, la peau marron, très jolie … Je les faisais rentrer. Joël ... Joël c'est mon doudou … Bon d'accord j'insiste plus tout le monde le sait maintenant.
Donc Joël s'installait confortablement sur le fauteuil, les deux autres se partageaient le canapé, je leur apportait une bière pendant que Joël ... Joël c'est mon … Oui, bon, OK ! … Il faisait les présentations. C'étaient de vielles connaissances à lui qu'il n'avait pas revu depuis des années. Ils étaient tous les deux dans le coin et étaient passé le voir.
Je me sentais tout fébrile, et je les observais d'un œil distrait. Ils étaient tous les deux bien bâtis, épaules larges, cuisses épaisses et une belle bosse prometteuse juste là ou on a envie de la voir.
– Qui prendrait une petite pipe ? Demandait Joël.
– On ne fume pas tu as oublié ? Lui répondait Willy.
– Mais qui te parles de fumer ? Rajoutait Joël.
Il rigolait doucement en avalant une gorgée de bière.
– Dis moi Charly, tu serais mignon. Tu peux montrer à notre ami Willy de quoi on parle.
Je n'attendais que cela, et c'est donc très rapidement que je m'accroupissais entre les jambes de Willy, lui caressait les cuisses en remontant vers son sexe. Je ne vous cacherai pas qu'à ce moment j'étais ému, il était super canon et je m'attendais à trouver quelque chose d'effrayant. Enfin j'espérais.
Il se laissait faire l'animal, il avait bien eu une réaction de surprise au début mais il se laissait faire. Je lui ouvrais la braguette et je découvrais en effet quelque chose d'effrayant. Il était bien monté, il avait une belle grosse queue bien grasse, bien épaisse qui rapidement devenait bien raide.
J'arrivais encore à me la prendre dans la bouche, pas en entier, là il ne faut pas rêver mais sur une bonne partie de sa longueur. Il faut dire que mon doudou est bien équipé également, mon doudou c'est Joël mais je pense que vous le saviez déjà, aussi j'ai de l'entraînement. Willy appréciait et me le faisait savoir. Il gémissait de plaisir et me caressait les cheveux.
A côté de lui Samy avait du mal à tenir en place. J'entendais un '' Vas y ! '' qui venait de Joël, ça devait lui être destiné, un encouragement. Quelques instant plus tard, je sentais qu'il baissait son pantalon. J'attendais qu'il se soit réinstallé pour passer voir de quoi il retournait.
Lui aussi il était bien foutu, il était tout pareil que le premier, c'en était à se demander s'il n'était pas jumeaux, ils n'étaient pas de la même couleur mais à part ça … J'étais bien parti et je continuais sur le second. À son tour je lui prenait la queue dans la bouche. Willy se relevait et retirait tous ses vêtements avant de reprendre place.
C’est tout excité que je passais de l'un l'autre. Je prenais bien le temps de faire réagir chacun et m’attardais suffisamment pour faire monter le plaisir de celui que je suçais sans pour autant oublier l'autre.
Joël me regardait faire, il avait l'air amusé le guignol, il était tranquillement installé sur le fauteuil, il n'avait pas bougé, il avait gardé ses vêtements et quand il se levait c'était pour aller chercher une autre bière. Il en ramenait pour tout le monde, il les posait sur la table et s'en ouvrait une. J'avais une queue dans la bouche et comme je ne pouvais pas parler j'agitais la main dans sa direction. Il comprenait, m'ouvrait une canette et me la posait dans la main. Je continuais encore quelques instants à sucer, je ne sais plus lequel c'était mais c'est pas grave, puis décidait de faire une pause histoire de me remboîter la mâchoire. C'est qu'ils étaient bien montés ces deux là et tout le monde sait que c'est du boulot que de sucer une queue comme il convient. Et si en plus la queue est de belle taille …
Ils en profitaient pour se déboucher une bière également.
Joël … Joël c'est mon … Oui c'est vrai j'arrête pas de le répéter … Donc Joël me lançait.
– Tu devrais te mettre à l'aise mon petit Charly.
Je comprenais le message et retirait tranquillement mes vêtements. Je le faisait face à Joël, il me regardait avec un regard complice et un petit sourire un peu vicieux. Au moment ou je retirais mon pantalon il se penchait vers moi et me tripotait les couilles, je le laissais faire.
Quand je me suis retourné ver les deux lascars, vous auriez vu la tête qu'ils ont fait. Je porte un dispositif de chasteté, ils ne le savaient pas et ne cachaient pas leur surprise.
L'un restait là l'air idiot, l'autre faisait un syncope, enfin j'ai bien cru. Vous savez, je l'aurais volontiers ranimé mais finalement c'était pas nécessaire. C'est debout devant eu que je terminait ma bière, ils en faisaient de même, leurs regards étaient insistants sur ma bite en cage.
– Je vous avais bien dit que vous auriez une surprise. Disait Joël.
– Je ne m'attendais pas à ça. Lui répondait Willy.
– Et il est toujours comme ça ? Continuait Samy.
– Toujours ? … Répondait Joël … Ah oui ! De temps en temps il le retire mais rarement. Dis moi Charly, ça fait combien de temps là ?
– Un peu plus de huit mois . Lui répondais-je.
On terminait notre bière et j'entendais Joël … '' Allez, on y retourne ! ''.
Il était toujours habillé, c'était le seul, mais je voyais qu'il bandait. Le petit vicieux jouait les voyeurs, les spectateurs, il se rinçait l’œil et il se tripotait la queue à travers son pantalon.
Je reprenais ma position, caressais les deux grosses queue qu'on me proposait. Elles n'avaient pas débandé. Puis je recommençais à les sucer l'une après l'autre.
C'est Willy qui à commencé en premier. Il s'est levé, s'est glissé juste derrière moi et s'amusait à me tripoter ma cage de chasteté, il me malaxais les couilles en même temps avec force. Il me faisait presque mal mais je laissais faire. C'est son pouce qui glissait vers mon cul, vers l'ouverture de mon petit derrière. Il me lubrifiait et l'enfonçait avec force. Il me faisait couiner l'animal. Je commençais à me douter que ce n'était pas un tendre et un nœud se formait dans mon ventre.
Vous savez cette sensation qu'on éprouve quand on va se faire enculer par un mec pour la première fois, on ne sait pas comment il est foutu. Là je le savais et ce n'était pas rassurant. Je ne savait pas s'il serait tendre, doux, câlin ou si ce serait une brute.
Même si ça devait être une brute, je savais que je pouvais encaisser. Mais ça me faisait quand même tout drôle dans mon ventre. Je continuait à sucer son copain Samy qui me caressait doucement la tête. Il ne tentais pas d'appuyer sur ma tête pour me forcer à prendre sa queue en entier dans la bouche. De toutes façons ça ne rentrait pas, enfin pas en entier.
Willy continuait à me lubrifier le cul, il y mettait deux doigts maintenant.
C'est sans prévenir qu'il se plaçait et en un mouvement violent m'enfonçait sa queue jusqu'à la garde. J'ai hurlé, j'ai relevé la tête et j'ai hurlé. Il se retirait avec vigueur pendant que son copain appuyait sur ma tête et, profitant que j'avais la bouche bien ouverte y faisait rentrer sa queue encore plus profond que juste avant. Willy revenait alors avec force et son ventre claquait contre mes fesses.
Là c'était trop, je tentais de me dégager. Les deux lascars me bloquaient, me retenaient et m'empêchaient totalement de bouger. J'entendais Joël, un léger fou rire m'indiquait qu'il semblait apprécier le spectacle. Je l'avais presque oublié celui là.
Willy me retenait, sa queue bien garée dans mon cul, il me tenait par les hanches et me tirait bien fort vers lui. Samy appuyait sur ma tête, là je commençait à avoir des problème, je ne pouvais plus respirer. Il me relâchait à temps, je relevais la tête pour reprendre son souffle, Willy en profitait pour me limer le cul. Je râlais, gémissais mais je laissais faire, j'avais le souffle court et ce n'était pas que de la faute à Samy.
J'avais retrouvé mon souffle et Samy à nouveau appuyait sur ma tête, il bandait toujours autant et c'était avec une grande violence que Willy me limait le cul maintenant. Le plaisir envahissait tout mon ventre et je commençais à trembler. La douleur du début était oubliée, maintenant c'était un plaisir de plus en plus intense qui la remplaçait.
De nouveau Samy n'avait plus besoin de retenir ma tête, je le suçais avec passion. Plein le cul, plein la bouche, j'étais aux anges. J'en redemandait par des gémissements bien audibles maintenant.
Je recevait un coup de bite dans le cul particulièrement fort. Sans prévenir, Willy jouissait en moi et ne se retenait pas. Il ne se posait pas de questions, il prenait son plaisir et ne s'inquiétait pas du mien, pas plus que de mon déplaisir.
Quelques instants plus tard il se retirait, faisait quelques commentaire de satisfaction. J'étais sonné, Samy se relevait et prenait sa place.
Lui aussi me pénétrait en un mouvement rapide et décidé, mais là, j'étais bien détendu et ça passait tout seul. Là c'est de plaisir que j'ai hurlé, j'ai tremblé et j'en ai redemandé.
Il me limait avec des mouvements amples et régulier. Il y allait plus en douceur que son copain mais c'était pas moins agréable, bien au contraire et ça durait dans le temps.
Je tremblais de plus en plus, mes gémissements devenaient plus forts et mes gestes plus désordonnés. Je relevais le torse et il me prenait dans ses bras, il me serrait fort en me caressant. Il continuait à me limer le cul et là c'est moi qui jouissais. Je jutais abondement au travers de ma cage de chasteté.
C'était tellement bon. Je jouissais avec ma queue et en même temps je jouissais avec mon cul. J'ai encore gémi de plaisir, j'étais par moment pris de convulsions, et je tremblais. Il continuait à me limer et je continuais à jouir, il faisait durer le plaisir pour lui mais c'est moi qui en profitais.
Quand je l'ai entendu gémir, il penchait sa tête en avant et m'embrassait sur l'épaule, je tournais le visage vers lui et nos lèvres se rencontraient, il me donnait un baiser passionné au moment ou il jutais en moi. Il a joui, je l'ai senti trembler, je l'ai senti frémir.
On ne bougeait plus. Sa main s'attardait sur mes couilles, il me les malaxait avec force et me glissait à l'oreille.
– Huit mois, j'y crois pas !
– C'est pourtant bien ça. Lui répondais-je.
Nos deux corps se séparaient, les deux autres applaudissaient. J'étais sonné et je ne comprenait pas tout de suite. Joël, vous savez Joël mon doudou, et bien je l'avait complètement oublié celui-là.
On s'enfilait encore une petite bière en discutant.
– Et toi Joël ? Tu ne participes pas ? Lui demandait Willy.
– Ne t'inquiète pas pour moi. Tout à l'heure il va me sentir passer.
Je lui lançais alors un '' Même pas peur !''. J'étais un peu retourné, je venait de jouir pendant un long moment et je me sentais bien, tellement bien.
On est passé sous la douche, ils voulaient voir comment je faisais pour me laver. Ça les a fait rire. L'après midi avait passé vite finalement. On se rhabillait, on échangeait nos téléphones, ils me laissaient.
Joël, m'embrassait avant de partir et me glissait à l'oreille … '' Tu perds rien pour attendre toi, je te retrouve tout à l'heure !''
Je lui lançais en réponse un '' Même pas peur ! ''.
N'hésitez surtout pas à me laisser une commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
On était le week-end, j'étais tranquillement installé dans mon garage à bricoler je ne sais plus quoi quand on sonnait à la porte. J'allais ouvrir, c'était Joël !
Joël c'est mon doudou !
Bon on n'habite pas ensemble, on a trop peur de devenir un vieux couple routinier avec les enfants qui viendraient nous voir … Mais qu'est-ce que je raconte moi ? ' Avec les enfants …' ! Bon on se limiterait à un poisson rouge …
Enfin bref, c'était mon doudou, il passait me voir et avait emmené avec lui des copains que je ne connaissais pas.
Il me présentait Willy et Samy. Willy était un beau gaillard qui dépassait en taille Joël … Joël c'est mon doudou … Oui je sais je me répète mais je suis ému à chaque fois que je le vois. Il faut dire qu'il a une grosse queue et c'est la première chose à laquelle je pense à chaque fois que je le revois. Après ça passe, après je pense à autre chose, enfin des choses sérieuses quoi. Du genre est-ce que j'ai pas oublié d'acheter de la bière pour les invités ? Ou un truc du genre, j'ai bien refait le stock de capote, et de gel. Il me reste du gel ? Enfin des trucs de circonstance et de première importance …
Samy était bien aussi, il était de belle taille et de belle carrure, un teint très mat, la peau marron, très jolie … Je les faisais rentrer. Joël ... Joël c'est mon doudou … Bon d'accord j'insiste plus tout le monde le sait maintenant.
Donc Joël s'installait confortablement sur le fauteuil, les deux autres se partageaient le canapé, je leur apportait une bière pendant que Joël ... Joël c'est mon … Oui, bon, OK ! … Il faisait les présentations. C'étaient de vielles connaissances à lui qu'il n'avait pas revu depuis des années. Ils étaient tous les deux dans le coin et étaient passé le voir.
Je me sentais tout fébrile, et je les observais d'un œil distrait. Ils étaient tous les deux bien bâtis, épaules larges, cuisses épaisses et une belle bosse prometteuse juste là ou on a envie de la voir.
– Qui prendrait une petite pipe ? Demandait Joël.
– On ne fume pas tu as oublié ? Lui répondait Willy.
– Mais qui te parles de fumer ? Rajoutait Joël.
Il rigolait doucement en avalant une gorgée de bière.
– Dis moi Charly, tu serais mignon. Tu peux montrer à notre ami Willy de quoi on parle.
Je n'attendais que cela, et c'est donc très rapidement que je m'accroupissais entre les jambes de Willy, lui caressait les cuisses en remontant vers son sexe. Je ne vous cacherai pas qu'à ce moment j'étais ému, il était super canon et je m'attendais à trouver quelque chose d'effrayant. Enfin j'espérais.
Il se laissait faire l'animal, il avait bien eu une réaction de surprise au début mais il se laissait faire. Je lui ouvrais la braguette et je découvrais en effet quelque chose d'effrayant. Il était bien monté, il avait une belle grosse queue bien grasse, bien épaisse qui rapidement devenait bien raide.
J'arrivais encore à me la prendre dans la bouche, pas en entier, là il ne faut pas rêver mais sur une bonne partie de sa longueur. Il faut dire que mon doudou est bien équipé également, mon doudou c'est Joël mais je pense que vous le saviez déjà, aussi j'ai de l'entraînement. Willy appréciait et me le faisait savoir. Il gémissait de plaisir et me caressait les cheveux.
A côté de lui Samy avait du mal à tenir en place. J'entendais un '' Vas y ! '' qui venait de Joël, ça devait lui être destiné, un encouragement. Quelques instant plus tard, je sentais qu'il baissait son pantalon. J'attendais qu'il se soit réinstallé pour passer voir de quoi il retournait.
Lui aussi il était bien foutu, il était tout pareil que le premier, c'en était à se demander s'il n'était pas jumeaux, ils n'étaient pas de la même couleur mais à part ça … J'étais bien parti et je continuais sur le second. À son tour je lui prenait la queue dans la bouche. Willy se relevait et retirait tous ses vêtements avant de reprendre place.
C’est tout excité que je passais de l'un l'autre. Je prenais bien le temps de faire réagir chacun et m’attardais suffisamment pour faire monter le plaisir de celui que je suçais sans pour autant oublier l'autre.
Joël me regardait faire, il avait l'air amusé le guignol, il était tranquillement installé sur le fauteuil, il n'avait pas bougé, il avait gardé ses vêtements et quand il se levait c'était pour aller chercher une autre bière. Il en ramenait pour tout le monde, il les posait sur la table et s'en ouvrait une. J'avais une queue dans la bouche et comme je ne pouvais pas parler j'agitais la main dans sa direction. Il comprenait, m'ouvrait une canette et me la posait dans la main. Je continuais encore quelques instants à sucer, je ne sais plus lequel c'était mais c'est pas grave, puis décidait de faire une pause histoire de me remboîter la mâchoire. C'est qu'ils étaient bien montés ces deux là et tout le monde sait que c'est du boulot que de sucer une queue comme il convient. Et si en plus la queue est de belle taille …
Ils en profitaient pour se déboucher une bière également.
Joël … Joël c'est mon … Oui c'est vrai j'arrête pas de le répéter … Donc Joël me lançait.
– Tu devrais te mettre à l'aise mon petit Charly.
Je comprenais le message et retirait tranquillement mes vêtements. Je le faisait face à Joël, il me regardait avec un regard complice et un petit sourire un peu vicieux. Au moment ou je retirais mon pantalon il se penchait vers moi et me tripotait les couilles, je le laissais faire.
Quand je me suis retourné ver les deux lascars, vous auriez vu la tête qu'ils ont fait. Je porte un dispositif de chasteté, ils ne le savaient pas et ne cachaient pas leur surprise.
L'un restait là l'air idiot, l'autre faisait un syncope, enfin j'ai bien cru. Vous savez, je l'aurais volontiers ranimé mais finalement c'était pas nécessaire. C'est debout devant eu que je terminait ma bière, ils en faisaient de même, leurs regards étaient insistants sur ma bite en cage.
– Je vous avais bien dit que vous auriez une surprise. Disait Joël.
– Je ne m'attendais pas à ça. Lui répondait Willy.
– Et il est toujours comme ça ? Continuait Samy.
– Toujours ? … Répondait Joël … Ah oui ! De temps en temps il le retire mais rarement. Dis moi Charly, ça fait combien de temps là ?
– Un peu plus de huit mois . Lui répondais-je.
On terminait notre bière et j'entendais Joël … '' Allez, on y retourne ! ''.
Il était toujours habillé, c'était le seul, mais je voyais qu'il bandait. Le petit vicieux jouait les voyeurs, les spectateurs, il se rinçait l’œil et il se tripotait la queue à travers son pantalon.
Je reprenais ma position, caressais les deux grosses queue qu'on me proposait. Elles n'avaient pas débandé. Puis je recommençais à les sucer l'une après l'autre.
C'est Willy qui à commencé en premier. Il s'est levé, s'est glissé juste derrière moi et s'amusait à me tripoter ma cage de chasteté, il me malaxais les couilles en même temps avec force. Il me faisait presque mal mais je laissais faire. C'est son pouce qui glissait vers mon cul, vers l'ouverture de mon petit derrière. Il me lubrifiait et l'enfonçait avec force. Il me faisait couiner l'animal. Je commençais à me douter que ce n'était pas un tendre et un nœud se formait dans mon ventre.
Vous savez cette sensation qu'on éprouve quand on va se faire enculer par un mec pour la première fois, on ne sait pas comment il est foutu. Là je le savais et ce n'était pas rassurant. Je ne savait pas s'il serait tendre, doux, câlin ou si ce serait une brute.
Même si ça devait être une brute, je savais que je pouvais encaisser. Mais ça me faisait quand même tout drôle dans mon ventre. Je continuait à sucer son copain Samy qui me caressait doucement la tête. Il ne tentais pas d'appuyer sur ma tête pour me forcer à prendre sa queue en entier dans la bouche. De toutes façons ça ne rentrait pas, enfin pas en entier.
Willy continuait à me lubrifier le cul, il y mettait deux doigts maintenant.
C'est sans prévenir qu'il se plaçait et en un mouvement violent m'enfonçait sa queue jusqu'à la garde. J'ai hurlé, j'ai relevé la tête et j'ai hurlé. Il se retirait avec vigueur pendant que son copain appuyait sur ma tête et, profitant que j'avais la bouche bien ouverte y faisait rentrer sa queue encore plus profond que juste avant. Willy revenait alors avec force et son ventre claquait contre mes fesses.
Là c'était trop, je tentais de me dégager. Les deux lascars me bloquaient, me retenaient et m'empêchaient totalement de bouger. J'entendais Joël, un léger fou rire m'indiquait qu'il semblait apprécier le spectacle. Je l'avais presque oublié celui là.
Willy me retenait, sa queue bien garée dans mon cul, il me tenait par les hanches et me tirait bien fort vers lui. Samy appuyait sur ma tête, là je commençait à avoir des problème, je ne pouvais plus respirer. Il me relâchait à temps, je relevais la tête pour reprendre son souffle, Willy en profitait pour me limer le cul. Je râlais, gémissais mais je laissais faire, j'avais le souffle court et ce n'était pas que de la faute à Samy.
J'avais retrouvé mon souffle et Samy à nouveau appuyait sur ma tête, il bandait toujours autant et c'était avec une grande violence que Willy me limait le cul maintenant. Le plaisir envahissait tout mon ventre et je commençais à trembler. La douleur du début était oubliée, maintenant c'était un plaisir de plus en plus intense qui la remplaçait.
De nouveau Samy n'avait plus besoin de retenir ma tête, je le suçais avec passion. Plein le cul, plein la bouche, j'étais aux anges. J'en redemandait par des gémissements bien audibles maintenant.
Je recevait un coup de bite dans le cul particulièrement fort. Sans prévenir, Willy jouissait en moi et ne se retenait pas. Il ne se posait pas de questions, il prenait son plaisir et ne s'inquiétait pas du mien, pas plus que de mon déplaisir.
Quelques instants plus tard il se retirait, faisait quelques commentaire de satisfaction. J'étais sonné, Samy se relevait et prenait sa place.
Lui aussi me pénétrait en un mouvement rapide et décidé, mais là, j'étais bien détendu et ça passait tout seul. Là c'est de plaisir que j'ai hurlé, j'ai tremblé et j'en ai redemandé.
Il me limait avec des mouvements amples et régulier. Il y allait plus en douceur que son copain mais c'était pas moins agréable, bien au contraire et ça durait dans le temps.
Je tremblais de plus en plus, mes gémissements devenaient plus forts et mes gestes plus désordonnés. Je relevais le torse et il me prenait dans ses bras, il me serrait fort en me caressant. Il continuait à me limer le cul et là c'est moi qui jouissais. Je jutais abondement au travers de ma cage de chasteté.
C'était tellement bon. Je jouissais avec ma queue et en même temps je jouissais avec mon cul. J'ai encore gémi de plaisir, j'étais par moment pris de convulsions, et je tremblais. Il continuait à me limer et je continuais à jouir, il faisait durer le plaisir pour lui mais c'est moi qui en profitais.
Quand je l'ai entendu gémir, il penchait sa tête en avant et m'embrassait sur l'épaule, je tournais le visage vers lui et nos lèvres se rencontraient, il me donnait un baiser passionné au moment ou il jutais en moi. Il a joui, je l'ai senti trembler, je l'ai senti frémir.
On ne bougeait plus. Sa main s'attardait sur mes couilles, il me les malaxait avec force et me glissait à l'oreille.
– Huit mois, j'y crois pas !
– C'est pourtant bien ça. Lui répondais-je.
Nos deux corps se séparaient, les deux autres applaudissaient. J'étais sonné et je ne comprenait pas tout de suite. Joël, vous savez Joël mon doudou, et bien je l'avait complètement oublié celui-là.
On s'enfilait encore une petite bière en discutant.
– Et toi Joël ? Tu ne participes pas ? Lui demandait Willy.
– Ne t'inquiète pas pour moi. Tout à l'heure il va me sentir passer.
Je lui lançais alors un '' Même pas peur !''. J'étais un peu retourné, je venait de jouir pendant un long moment et je me sentais bien, tellement bien.
On est passé sous la douche, ils voulaient voir comment je faisais pour me laver. Ça les a fait rire. L'après midi avait passé vite finalement. On se rhabillait, on échangeait nos téléphones, ils me laissaient.
Joël, m'embrassait avant de partir et me glissait à l'oreille … '' Tu perds rien pour attendre toi, je te retrouve tout à l'heure !''
Je lui lançais en réponse un '' Même pas peur ! ''.
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