Uro partagé et premier fist : L’Initiation de Béatrice 04
Récit érotique écrit par VIEULOU [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-11-2013 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Uro partagé et premier fist : L’Initiation de Béatrice 04
L’Initiation de Béatrice 04
Alors que je vais sur mes vingt-deux ans, je drague Béatrice une gamine dix-huit ans, me promettant bien de la déniaiser en l’emmenant batifoler à minuit sur les pelouses du bois de Boulogne. Après bien des difficultés, Béatrice me laisse lui prendre sa virginité et se révèle une jeune cavale bien prometteuse. Dans une auberge en bord de Seine près de Villeneuve-Saint-Georges, je l’initie à la fellation et je dépucèle son petit cul.
URO PARTAGÉ ET PREMIER FIST
Béatrice se love contre moi et ronronne comme une chatte en chaleur. J’avoue que je suis assez satisfait d’avoir pu en si peu de temps l’amener à autant de lubricité et de l’avoir fait jouir en dépucelant son cul d’une manière aussi sauvage et violente. Je suis conscient ne pas l’avoir ménagé et pourtant elle y a pris du plaisir. Il faut que dès maintenant j’aille le plus loin possible dans la soumission pour voir jusqu’où elle est prête à aller. Sous prétexte de nous rafraîchir je l’emmène dans la salle de bains. La baignoire est très grande et nous y tenons tous les deux sans problème. Après nous être savonnés et rincés, elle veut sortir pour aller faire pipi me dit-elle. Je lui demande de faire dans la baignoire devant moi. Elle rougit et semble embarrassée. J’insiste en lui signifiant que cela me fera plaisir de voir son méat urinaire s’ouvrir et m’asperger le corps. Alors que je suis allongé, elle m’enjambe et s’assoit à califourchon sur mon torse et me regarde dans les yeux amoureusement. Avec deux doigts, elle écarte ses grandes lèvres et laisse un jet de pisse gicler sur ma poitrine. Je sens l’odeur forte de l’urine qu’elle dégage et lui demande de s’avancer plus haut vers mon visage.
Elle a une hésitation, mais je sens qu’elle est excitée par ce qu’elle vient de faire et par ce qu’elle soupçonne dans l’acte qui va suivre. Elle se laisse glisser, toujours à califourchon sur moi alors que je me suis étendu le plus à plat possible. La fourche de son entrecuisse est à la hauteur de mon menton. Elle ne doute plus maintenant que je vais recevoir sa pisse sur le visage ; aussi elle se retient le plus qu’elle le peut. Mais l’envie est trop forte et, dans un gémissement, elle laisse un flot s’échapper de sa vulve qui m’asperge aussitôt la figure. J’approche alors ma tête de son vagin dégoulinant d’urine et je lèche le jus doré qui s’écoule. Puis faisant pénétrer ma langue dans la fente vulvaire, je titille le méat congestionné, provoquant une cascade d’urine qui s’écoule dans ma bouche et que j’avale avec délices. Puis c’est un déluge de pisse qui se déverse dans mon gosier et déborde de ma bouche et inonde mon corps en entier. Alors que les dernières gouttes, disparaissent sous ma langue qui nettoie l’intérieur de la chatte de ma petite vicieuse, je me redresse et l’embrasse profondément, mélangeant nos salives à son jus puissant et pimenté. Devançant mes souhaits les plus chers elle me dit alors :
- Tu veux qu’à mon tour, je boive ton pipi mon Chéri ? Je veux bien tu sais. Cela m’a excitée de te voir boire ma pisse. J’ai envie d’essayer. Tu veux bien ?
J’avoue que je suis de plus en plus surpris par la lubricité dont fait preuve mon ex oie blanche. On dirait que sa dépravation n’a pas de limite et que je vais pouvoir la guider dans la pire perversion jusqu’à l’obscénité la plus complète. Je me redresse et la fais s’asseoir au fond de la baignoire. Je lui dis de fermer les yeux et je l’asperge copieusement sur tout le visage de mon urine que je retiens depuis un bon moment (il est vrai que j’ai bu trois grandes bières au moment du repas et que de plus ce sont des bières belges au goût très prononcé). Elle grimace quelque peu, mais ouvre la bouche en grand lorsque je laisse jaillir un second jet dans sa direction. Je m’approche un peu plus et vise le fond de sa gorge, elle a quelques hoquets, mais avale consciencieusement tout le liquide qu’elle reçoit. Elle va même jusqu’à prendre ma bite dans sa bouche alors que le liquide coule encore. Puis elle m’embrasse en me disant qu’elle a aimé le goût de mon urine et qu’elle se sent prête à recommencer quand je le voudrais.
Après nous être parfaitement douché et shampouiné, nous retournons dans la chambre et nous nous enlaçons sur le lit. Ma petite chérie est insatiable et elle recommence à m’empoigner le sexe pour me masturber et me mettre en forme. À cette cadence, je ne vais jamais pouvoir tenir, aussi, je lui propose de la fister. Elle ne connaît bien sûr pas ce terme et je ne veux pas lui expliquer, mais je lui dis que cela pourrait lui plaire. Dans nos bagages, je prends un poncho en caoutchouc, bien pratique pour le scooter, et je l’étale sur le lit en lui demandant de s’allonger dessus et d’ouvrir ses jambes. Je retourne dans la salle de bains et je prends la grande bouteille de shampoing (à cette époque il n’y avait pas de lubrifiant particulier pour le fist ou l’anal, les shampoings étaient pour la plupart à base d’alcool gras sulfoné, un dérivé du pétrole, en fait un mouillant qui fera parfaitement l’affaire pour ce que j’allais tenter de faire). Retournant dans la chambre, je fixe autour de la tête de Béatrice un foulard pour lui ôter la vue afin de lui faire la surprise de sa vie lui dis-je. Puis avec deux autres foulards, je lui attache les poignets aux barreaux de la tête du lit métallique. Elle commence à être inquiète et me demande ce que je prépare. Je ne réponds pas et je masturbe doucement son mont de vénus, ce qui déclenche aussitôt un trémoussement de tout son corps qui ondule sous mes caresses de plus en plus appuyées. Je titille enfin son clitoris la faisant sursauter sous mes attouchements très précis. Elle agite ses jambes en tous sens et pour la calmer je lui dis que je vais lui attacher les chevilles aux pieds du lit. Elle se laisse faire en riant, en me disant que cela ne l’empêchera pas de jouir lorsqu’elle en aura envie. Après avoir attaché ses chevilles, elle se trouve ainsi grande ouverte à ma main qui va essayer de pénétrer ses chairs les plus intimes.
Je glisse un oreiller sous le poncho à hauteur de ses reins et la soulève pour que sa vulve soit surélevée par rapport au lit, ce qui accentue l’ouverture de ses grandes lèvres et révèle l’ouverture béante de sa magnifique chatte. Je prends alors le shampoing et j’en verse dans la matrice que je tiens grande ouverte de mon autre main. En sentant le liquide tiède qui s’écoule dans son vagin, elle me questionne angoissée sur ce que je suis en train de lui faire. M’enduisant les doigts d’une main du shampoing que je tiens au-dessus de son ventre, je glisse deux doigts dans la matrice qui se déploie facilement sous mes doigts. Béatrice pousse un soupir de soulagement sous la pénétration qui lui occasionne un plaisir non-simulé. Puis je rajoute un troisième doigt et, tout en le glissant à côté des deux autres, j’élargis le plus que je peux les parois de la matrice vaginale. Béatrice halète et jouis intensément surtout que du pouce, je lui caresse alternativement le bourgeon de son clitoris qui s’est extrait de sa gaine et pointe furieusement sous les caresses que je lui octroie. Je verse encore un peu de shampoing dans la gaine à présent dilatée et je pousse le petit doigt et le pouce replié pour tenter de pénétrer dans la matrice qui a tout de même du mal à s’écarter suffisamment. Béatrice réalise soudain ce que je tente de faire :
- Oh ! Mon Dieu, gémit-elle d'une voix brisée étouffée par les sanglots. Oh ! Michel ! Retire ta main, je t’en supplie ! Ouuuuhhhh !......
N’écoutant pas ses plaintes, je continue à élargir avec mes doigts les chairs de la matrice boursouflée qui d’un seul coup laisse ma main s’introduire dans la fente vaginale. Je laisse mon poing fermé pour ne pas affoler la pauvre Béatrice :
- Ouuuuuuu ! Ah !... aaah !... ooooh ! Mon Dieu !.... c’est trop gros.... oh ! Oh ! Ooouuuuuuuuuuuuuuhh !... ooooh ! Oh !.......... oh !...........
- Cette fois mon poignet est entièrement enfoncé dans la gaine vaginale distendue à l’extrême. Mes doigts se déplient, allant à la rencontre des chairs intimes de ma victime. Gorgés de shampoing, ils glissent sur une chair granuleuse et je tâte avec précaution les mille replis de l’antre secret qui palpite comme un cœur qui bat. Béatrice ne proteste plus, Elle gémit et dodeline de la tête dans un semi coma qui dure une dizaine de minutes. Soudain, elle se réveille et ondule de plaisir cette fois sous mes doigts qui caressent et glissent au plus profond de son puits d’amour :
- Oh ! Oui, mon chéri, continue, tu me fais jouir. Oh !... oh !... oui !... oui !... Entre ta main dans mon vagin, fouille, allez vas-y, n'aie pas peur. Oui enfonce, encore... encore ! Oh ! Tu me défonces ma pauvre chatte, mais continue, je veux te sentir encore dans moi.
J’avoue prendre un grand plaisir à fouiller ainsi de mes doigts le vagin dégoulinant de mouille et du liquide savonneux que j’ai introduit. Je tourne ma main en tous sens et la retire presque entièrement pour l’enfoncer à nouveau dans le ventre de ma petite salope qui jouit sans discontinuer jusqu’à ce qu’elle s’évanouisse sous la frénésie voluptueuse et lubrique qui l’a envahie.
Nous faisons ainsi l’amour durant près de quarante heures, nous restaurant à peine en mangeant quelques sandwichs que nous nous faisons apporter dans la chambre. Celle-ci sent le foutre à plein nez et le serveur qui nous sert, un homme d’une trentaine d’années, détaille Béatrice, nue dans le lit froissé, recouverte à peine du drap de dessus. Il a des yeux exorbités lorsqu’il aperçoit la chair d’un sein, ou le rebondi d’une fesse qui surgit de la légère étoffe qui recouvre difficilement le corps de ma maîtresse. Je le ferais bien participer, mais je pense, peut être à tort qu’il est encore un peu tôt.
à suivre…
Alors que je vais sur mes vingt-deux ans, je drague Béatrice une gamine dix-huit ans, me promettant bien de la déniaiser en l’emmenant batifoler à minuit sur les pelouses du bois de Boulogne. Après bien des difficultés, Béatrice me laisse lui prendre sa virginité et se révèle une jeune cavale bien prometteuse. Dans une auberge en bord de Seine près de Villeneuve-Saint-Georges, je l’initie à la fellation et je dépucèle son petit cul.
URO PARTAGÉ ET PREMIER FIST
Béatrice se love contre moi et ronronne comme une chatte en chaleur. J’avoue que je suis assez satisfait d’avoir pu en si peu de temps l’amener à autant de lubricité et de l’avoir fait jouir en dépucelant son cul d’une manière aussi sauvage et violente. Je suis conscient ne pas l’avoir ménagé et pourtant elle y a pris du plaisir. Il faut que dès maintenant j’aille le plus loin possible dans la soumission pour voir jusqu’où elle est prête à aller. Sous prétexte de nous rafraîchir je l’emmène dans la salle de bains. La baignoire est très grande et nous y tenons tous les deux sans problème. Après nous être savonnés et rincés, elle veut sortir pour aller faire pipi me dit-elle. Je lui demande de faire dans la baignoire devant moi. Elle rougit et semble embarrassée. J’insiste en lui signifiant que cela me fera plaisir de voir son méat urinaire s’ouvrir et m’asperger le corps. Alors que je suis allongé, elle m’enjambe et s’assoit à califourchon sur mon torse et me regarde dans les yeux amoureusement. Avec deux doigts, elle écarte ses grandes lèvres et laisse un jet de pisse gicler sur ma poitrine. Je sens l’odeur forte de l’urine qu’elle dégage et lui demande de s’avancer plus haut vers mon visage.
Elle a une hésitation, mais je sens qu’elle est excitée par ce qu’elle vient de faire et par ce qu’elle soupçonne dans l’acte qui va suivre. Elle se laisse glisser, toujours à califourchon sur moi alors que je me suis étendu le plus à plat possible. La fourche de son entrecuisse est à la hauteur de mon menton. Elle ne doute plus maintenant que je vais recevoir sa pisse sur le visage ; aussi elle se retient le plus qu’elle le peut. Mais l’envie est trop forte et, dans un gémissement, elle laisse un flot s’échapper de sa vulve qui m’asperge aussitôt la figure. J’approche alors ma tête de son vagin dégoulinant d’urine et je lèche le jus doré qui s’écoule. Puis faisant pénétrer ma langue dans la fente vulvaire, je titille le méat congestionné, provoquant une cascade d’urine qui s’écoule dans ma bouche et que j’avale avec délices. Puis c’est un déluge de pisse qui se déverse dans mon gosier et déborde de ma bouche et inonde mon corps en entier. Alors que les dernières gouttes, disparaissent sous ma langue qui nettoie l’intérieur de la chatte de ma petite vicieuse, je me redresse et l’embrasse profondément, mélangeant nos salives à son jus puissant et pimenté. Devançant mes souhaits les plus chers elle me dit alors :
- Tu veux qu’à mon tour, je boive ton pipi mon Chéri ? Je veux bien tu sais. Cela m’a excitée de te voir boire ma pisse. J’ai envie d’essayer. Tu veux bien ?
J’avoue que je suis de plus en plus surpris par la lubricité dont fait preuve mon ex oie blanche. On dirait que sa dépravation n’a pas de limite et que je vais pouvoir la guider dans la pire perversion jusqu’à l’obscénité la plus complète. Je me redresse et la fais s’asseoir au fond de la baignoire. Je lui dis de fermer les yeux et je l’asperge copieusement sur tout le visage de mon urine que je retiens depuis un bon moment (il est vrai que j’ai bu trois grandes bières au moment du repas et que de plus ce sont des bières belges au goût très prononcé). Elle grimace quelque peu, mais ouvre la bouche en grand lorsque je laisse jaillir un second jet dans sa direction. Je m’approche un peu plus et vise le fond de sa gorge, elle a quelques hoquets, mais avale consciencieusement tout le liquide qu’elle reçoit. Elle va même jusqu’à prendre ma bite dans sa bouche alors que le liquide coule encore. Puis elle m’embrasse en me disant qu’elle a aimé le goût de mon urine et qu’elle se sent prête à recommencer quand je le voudrais.
Après nous être parfaitement douché et shampouiné, nous retournons dans la chambre et nous nous enlaçons sur le lit. Ma petite chérie est insatiable et elle recommence à m’empoigner le sexe pour me masturber et me mettre en forme. À cette cadence, je ne vais jamais pouvoir tenir, aussi, je lui propose de la fister. Elle ne connaît bien sûr pas ce terme et je ne veux pas lui expliquer, mais je lui dis que cela pourrait lui plaire. Dans nos bagages, je prends un poncho en caoutchouc, bien pratique pour le scooter, et je l’étale sur le lit en lui demandant de s’allonger dessus et d’ouvrir ses jambes. Je retourne dans la salle de bains et je prends la grande bouteille de shampoing (à cette époque il n’y avait pas de lubrifiant particulier pour le fist ou l’anal, les shampoings étaient pour la plupart à base d’alcool gras sulfoné, un dérivé du pétrole, en fait un mouillant qui fera parfaitement l’affaire pour ce que j’allais tenter de faire). Retournant dans la chambre, je fixe autour de la tête de Béatrice un foulard pour lui ôter la vue afin de lui faire la surprise de sa vie lui dis-je. Puis avec deux autres foulards, je lui attache les poignets aux barreaux de la tête du lit métallique. Elle commence à être inquiète et me demande ce que je prépare. Je ne réponds pas et je masturbe doucement son mont de vénus, ce qui déclenche aussitôt un trémoussement de tout son corps qui ondule sous mes caresses de plus en plus appuyées. Je titille enfin son clitoris la faisant sursauter sous mes attouchements très précis. Elle agite ses jambes en tous sens et pour la calmer je lui dis que je vais lui attacher les chevilles aux pieds du lit. Elle se laisse faire en riant, en me disant que cela ne l’empêchera pas de jouir lorsqu’elle en aura envie. Après avoir attaché ses chevilles, elle se trouve ainsi grande ouverte à ma main qui va essayer de pénétrer ses chairs les plus intimes.
Je glisse un oreiller sous le poncho à hauteur de ses reins et la soulève pour que sa vulve soit surélevée par rapport au lit, ce qui accentue l’ouverture de ses grandes lèvres et révèle l’ouverture béante de sa magnifique chatte. Je prends alors le shampoing et j’en verse dans la matrice que je tiens grande ouverte de mon autre main. En sentant le liquide tiède qui s’écoule dans son vagin, elle me questionne angoissée sur ce que je suis en train de lui faire. M’enduisant les doigts d’une main du shampoing que je tiens au-dessus de son ventre, je glisse deux doigts dans la matrice qui se déploie facilement sous mes doigts. Béatrice pousse un soupir de soulagement sous la pénétration qui lui occasionne un plaisir non-simulé. Puis je rajoute un troisième doigt et, tout en le glissant à côté des deux autres, j’élargis le plus que je peux les parois de la matrice vaginale. Béatrice halète et jouis intensément surtout que du pouce, je lui caresse alternativement le bourgeon de son clitoris qui s’est extrait de sa gaine et pointe furieusement sous les caresses que je lui octroie. Je verse encore un peu de shampoing dans la gaine à présent dilatée et je pousse le petit doigt et le pouce replié pour tenter de pénétrer dans la matrice qui a tout de même du mal à s’écarter suffisamment. Béatrice réalise soudain ce que je tente de faire :
- Oh ! Mon Dieu, gémit-elle d'une voix brisée étouffée par les sanglots. Oh ! Michel ! Retire ta main, je t’en supplie ! Ouuuuhhhh !......
N’écoutant pas ses plaintes, je continue à élargir avec mes doigts les chairs de la matrice boursouflée qui d’un seul coup laisse ma main s’introduire dans la fente vaginale. Je laisse mon poing fermé pour ne pas affoler la pauvre Béatrice :
- Ouuuuuuu ! Ah !... aaah !... ooooh ! Mon Dieu !.... c’est trop gros.... oh ! Oh ! Ooouuuuuuuuuuuuuuhh !... ooooh ! Oh !.......... oh !...........
- Cette fois mon poignet est entièrement enfoncé dans la gaine vaginale distendue à l’extrême. Mes doigts se déplient, allant à la rencontre des chairs intimes de ma victime. Gorgés de shampoing, ils glissent sur une chair granuleuse et je tâte avec précaution les mille replis de l’antre secret qui palpite comme un cœur qui bat. Béatrice ne proteste plus, Elle gémit et dodeline de la tête dans un semi coma qui dure une dizaine de minutes. Soudain, elle se réveille et ondule de plaisir cette fois sous mes doigts qui caressent et glissent au plus profond de son puits d’amour :
- Oh ! Oui, mon chéri, continue, tu me fais jouir. Oh !... oh !... oui !... oui !... Entre ta main dans mon vagin, fouille, allez vas-y, n'aie pas peur. Oui enfonce, encore... encore ! Oh ! Tu me défonces ma pauvre chatte, mais continue, je veux te sentir encore dans moi.
J’avoue prendre un grand plaisir à fouiller ainsi de mes doigts le vagin dégoulinant de mouille et du liquide savonneux que j’ai introduit. Je tourne ma main en tous sens et la retire presque entièrement pour l’enfoncer à nouveau dans le ventre de ma petite salope qui jouit sans discontinuer jusqu’à ce qu’elle s’évanouisse sous la frénésie voluptueuse et lubrique qui l’a envahie.
Nous faisons ainsi l’amour durant près de quarante heures, nous restaurant à peine en mangeant quelques sandwichs que nous nous faisons apporter dans la chambre. Celle-ci sent le foutre à plein nez et le serveur qui nous sert, un homme d’une trentaine d’années, détaille Béatrice, nue dans le lit froissé, recouverte à peine du drap de dessus. Il a des yeux exorbités lorsqu’il aperçoit la chair d’un sein, ou le rebondi d’une fesse qui surgit de la légère étoffe qui recouvre difficilement le corps de ma maîtresse. Je le ferais bien participer, mais je pense, peut être à tort qu’il est encore un peu tôt.
à suivre…
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
À certains moments, dans des envies peut-être irraisonnées de perversités et de cochonneries, pourquoi pas ?
En tout cas, en être lectrice, tout autant que spectatrice, j’aime bien !!
Mme de Montfort.
En tout cas, en être lectrice, tout autant que spectatrice, j’aime bien !!
Mme de Montfort.
Hé, bien, je serai le premier à te féliciter pour ce texte qui m'a, comme les autres, bien excité ! Merci, vieux loup, frère en mon cœur ! A bientôt... Didier