Ursule, vierge du croupion
Récit érotique écrit par Jpj [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-09-2014 dans la catégorie Pour la première fois
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Ursule, vierge du croupion
Jpj, un château en Morvan, août 2014
Tante Ursule qu’ils l’appelaient…
Moi je la trouvais plutôt jeune pour une tante … une grande soeur plutôt.
Mais c’est vrai que ce prénom la classait direct dans les personnes du siècle dernier, ancienne, passée
Hors d’âge, comme on dit pour une vieille fine cognac
Anachronique.
Anachronique, encore un mot qui chante dans ma tête les ébats oniriques des vieux livres de la Comtesse de Ségur … Mémoires d’un âne, l’âne en question bandant sans retenue et les petites filles modèles mouillant leur abricot comme des grandes.
Le Général Dourakine restait petit joueur malgré son trois pièces tzarique imposant.
Moi je voyais Sophie qui dans son malheur suçait son pouce les yeux clos innocents et je rêvais qu’en s’endormant elle troquât plutôt pour un hochet plus doux plus gouteux, mon gland.
La tante, la grande soeur Ursule, avait des cheveux clairs longs tressés en deux nattes qui jouaient sur ses épaules les mouvements de ses danses.
Elle était grande et sérieuse, hautaine presque, enfin châtelaine, aristocratique.
Elle était chez elle dans ce château du Morvan profond et bien qu’elle roulât en quotidien en Mini rouge à toit blanc, on sentait bien qu’elle ne vivait vraiment que serrant entre ses cuisses sa jument capricieuse alezan.
Pour l’instant, elle s’en revenait de chevauchée et était couverte de sueur, rouge de peau, ses habits crottés. L’odeur qu’elle exhalait est ce qui m’a, moi, le plus surpris … m’a submergé ce matin-là, gamin que j’étais.
Nous étions tous trois, mes cousins et moi, à l’office en train de prendre notre petit déjeuner, cacao Van Houten et larges tranches de pain, pain à mie aux trous larges par lesquels dégoulinait la confiture mi-groseille mi-framboise.
Quand elle est entrée dans la cuisine basse, nous avons tous trois levé la tête
Moi je sais que j’ai senti aussitôt aussi se lever ma queue
J’ai senti ça dans mon pantalon comme un signal d’officier à Valmy criant la charge
Malgré moi, pour l’honneur pour la Gloire pour exister pour la postérité.
Ursule a souri, elle s’est approché du plus jeune et lui a caressé la joue
J’étais jaloux
A mon cousin Paul elle a donné un bisou sur le front
J’étais déjà debout, prêt à en débattre, mousquetaire offensé
Elle est venue à moi qui étais le plus grand, le plus vieux presqu’un homme déjà
Elle a pris ma tête à deux mains et je sentais son odeur forte d’efforts équestre et de crottin et je voyais sa peau ruisselante de la chevauchée et elle m’a dit je suis ta tante Ursule
Sa bouche était immense et elle a couvert la mienne aspirant mes lèvres et les violant de sa langue dure qui cherchait la mienne.
Elle a dit, mon neveu te voici adoubé
Va desselle ma jument, je m’en vais moi prendre une douche
Bouchonne la soigneusement
Je suis à toi aussitôt après.
Nous étions tous trois dans le box à bichonner le cheval. La selle était posée sur le tréteau. La bête semblait heureuse des soins aimants des trois garçons et sa respiration s’était doucement calmée.
Tante Ursule avait passé une robe d’été rose clair et on voyait bien qu’elle était allée à la douche, le tissu léger collant à son corps en marquant ses seins ronds et ses fesses mal séchés.
Elle avait remis ses bottes cavalières et restait ainsi en accoutrement équestre.
Mes cousins et moi avons levé les yeux sur elle, si belle.
Honnêtement, j’étais le seul à qui elle marquait intérêt
Je n’étais pas peu fier.
Le temps a passé et les vacances s’en sont allées doucement vers l’automne et le moment est, tristement, venu des retours à la ville.
Je savais qu’il n’était pas possible d’en rester là
Après cette mise en bouche des premiers jours, après cette longue errance des vacances sans rien qui vaille, allais-je laisser aller sans avoir dit à ma belle mon émoi, dur et puissant, quotidien permanent ?
Tante Ursule, elle aussi, était en attente
Il n’y avait pas eu dans ce château du Morvan, cette année-là, les rencontres, les hommes qu‘elle attendait.
Saison des bals … un peu stérile un peu ratée.
Le neveu un peu gourd puceau à coup sûr la faisait néanmoins rêver.
Déterminée un des derniers soirs elle l’a mené après dîner sous les étoiles dans les bosquets.
Etonnée elle a vu le garçon humer son cou ses aisselles son ventre, enfouir ses lèvres entre ses cuisses et brouter sans retenue écartant la culotte son intimité visqueuse.
Sa main est allée alors à la braguette et le vit a jailli totalement décalotté
On pourrait appeler cette posture un soixante-neuf mais ils étaient tous deux habillés couchés dans les herbes grillées de fin d’été et puis ce n’était pas une position de Kama Soutra mais juste une posture instinctive de gens qui s’aiment et se goûtent en toute simplicité.
Tante Ursule ne pensait même pas initiation
Tante Ursule prenait son pied et ne cherchait pas complication
La culotte avait filé à la cheville droite tirée à bas par le garçon
Ursule avait le nez dans les herbes et la croupe haute
La lune éclairait d’argent le champ moissonné
Lui était encore le nez dedans à respirer à sucer à aimer
Il pensait, c’est l’été de mes seize ans
Elle, elle était bien et attendait que ça vienne
Elle pensait, il est puceau
Saura-t-il faire ?
Comment lui dire ?
Moi, en fait, je ne me posais pas de questions
Je l’ai enculée
Bien à fond
Et ce fut bon.
Tante Ursule qu’ils l’appelaient…
Moi je la trouvais plutôt jeune pour une tante … une grande soeur plutôt.
Mais c’est vrai que ce prénom la classait direct dans les personnes du siècle dernier, ancienne, passée
Hors d’âge, comme on dit pour une vieille fine cognac
Anachronique.
Anachronique, encore un mot qui chante dans ma tête les ébats oniriques des vieux livres de la Comtesse de Ségur … Mémoires d’un âne, l’âne en question bandant sans retenue et les petites filles modèles mouillant leur abricot comme des grandes.
Le Général Dourakine restait petit joueur malgré son trois pièces tzarique imposant.
Moi je voyais Sophie qui dans son malheur suçait son pouce les yeux clos innocents et je rêvais qu’en s’endormant elle troquât plutôt pour un hochet plus doux plus gouteux, mon gland.
La tante, la grande soeur Ursule, avait des cheveux clairs longs tressés en deux nattes qui jouaient sur ses épaules les mouvements de ses danses.
Elle était grande et sérieuse, hautaine presque, enfin châtelaine, aristocratique.
Elle était chez elle dans ce château du Morvan profond et bien qu’elle roulât en quotidien en Mini rouge à toit blanc, on sentait bien qu’elle ne vivait vraiment que serrant entre ses cuisses sa jument capricieuse alezan.
Pour l’instant, elle s’en revenait de chevauchée et était couverte de sueur, rouge de peau, ses habits crottés. L’odeur qu’elle exhalait est ce qui m’a, moi, le plus surpris … m’a submergé ce matin-là, gamin que j’étais.
Nous étions tous trois, mes cousins et moi, à l’office en train de prendre notre petit déjeuner, cacao Van Houten et larges tranches de pain, pain à mie aux trous larges par lesquels dégoulinait la confiture mi-groseille mi-framboise.
Quand elle est entrée dans la cuisine basse, nous avons tous trois levé la tête
Moi je sais que j’ai senti aussitôt aussi se lever ma queue
J’ai senti ça dans mon pantalon comme un signal d’officier à Valmy criant la charge
Malgré moi, pour l’honneur pour la Gloire pour exister pour la postérité.
Ursule a souri, elle s’est approché du plus jeune et lui a caressé la joue
J’étais jaloux
A mon cousin Paul elle a donné un bisou sur le front
J’étais déjà debout, prêt à en débattre, mousquetaire offensé
Elle est venue à moi qui étais le plus grand, le plus vieux presqu’un homme déjà
Elle a pris ma tête à deux mains et je sentais son odeur forte d’efforts équestre et de crottin et je voyais sa peau ruisselante de la chevauchée et elle m’a dit je suis ta tante Ursule
Sa bouche était immense et elle a couvert la mienne aspirant mes lèvres et les violant de sa langue dure qui cherchait la mienne.
Elle a dit, mon neveu te voici adoubé
Va desselle ma jument, je m’en vais moi prendre une douche
Bouchonne la soigneusement
Je suis à toi aussitôt après.
Nous étions tous trois dans le box à bichonner le cheval. La selle était posée sur le tréteau. La bête semblait heureuse des soins aimants des trois garçons et sa respiration s’était doucement calmée.
Tante Ursule avait passé une robe d’été rose clair et on voyait bien qu’elle était allée à la douche, le tissu léger collant à son corps en marquant ses seins ronds et ses fesses mal séchés.
Elle avait remis ses bottes cavalières et restait ainsi en accoutrement équestre.
Mes cousins et moi avons levé les yeux sur elle, si belle.
Honnêtement, j’étais le seul à qui elle marquait intérêt
Je n’étais pas peu fier.
Le temps a passé et les vacances s’en sont allées doucement vers l’automne et le moment est, tristement, venu des retours à la ville.
Je savais qu’il n’était pas possible d’en rester là
Après cette mise en bouche des premiers jours, après cette longue errance des vacances sans rien qui vaille, allais-je laisser aller sans avoir dit à ma belle mon émoi, dur et puissant, quotidien permanent ?
Tante Ursule, elle aussi, était en attente
Il n’y avait pas eu dans ce château du Morvan, cette année-là, les rencontres, les hommes qu‘elle attendait.
Saison des bals … un peu stérile un peu ratée.
Le neveu un peu gourd puceau à coup sûr la faisait néanmoins rêver.
Déterminée un des derniers soirs elle l’a mené après dîner sous les étoiles dans les bosquets.
Etonnée elle a vu le garçon humer son cou ses aisselles son ventre, enfouir ses lèvres entre ses cuisses et brouter sans retenue écartant la culotte son intimité visqueuse.
Sa main est allée alors à la braguette et le vit a jailli totalement décalotté
On pourrait appeler cette posture un soixante-neuf mais ils étaient tous deux habillés couchés dans les herbes grillées de fin d’été et puis ce n’était pas une position de Kama Soutra mais juste une posture instinctive de gens qui s’aiment et se goûtent en toute simplicité.
Tante Ursule ne pensait même pas initiation
Tante Ursule prenait son pied et ne cherchait pas complication
La culotte avait filé à la cheville droite tirée à bas par le garçon
Ursule avait le nez dans les herbes et la croupe haute
La lune éclairait d’argent le champ moissonné
Lui était encore le nez dedans à respirer à sucer à aimer
Il pensait, c’est l’été de mes seize ans
Elle, elle était bien et attendait que ça vienne
Elle pensait, il est puceau
Saura-t-il faire ?
Comment lui dire ?
Moi, en fait, je ne me posais pas de questions
Je l’ai enculée
Bien à fond
Et ce fut bon.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
quelle chute (de reins) magnifiquement surprenante
Comme à son habitude Jpj nous régale de ses textes poétiques. Quelle belle initiation de l'adolescent par la tante écuyère ; la chevauchée n'en fut que plus belle.