US2 - la confusion du 7 anglais et du 1
Récit érotique écrit par Tigre blanc [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-03-2015 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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US2 - la confusion du 7 anglais et du 1
En rappel, les récits US sont des histoires vécues, sans être romancées.
Chambre 201
Quand je suis arrivée à l’hôtel, je vainement cherché ma chambre, confondant le 1 français avec le 7 Américain. Cette femme de ménage, métissée, tirant plus de l’hispanique, m’a redonné courage. Mais à peine m’eut-elle ouvert la porte que tout bascula.
D’accord, j’adorais faire de la soumission, même que c’est mon péché mignon. N’empêche que me suivre comme ça dans ma suite et me lancer « French Kiss » m’a donné des idées, il fallait que je redresse la situation. En effet pour les Américaines, French kiss, veut dire baiser sur le sexe. Des copains m’avaient prévenus, que les femmes en sont très friandes, car « mals baisers » aux US. On m’avait dit aussi que si elles trouvaient l’homme qui ne faisait pas semblant, c’était par la suite, délicat de se « décoller » de leur assiduité.
Elle m’a suivi dans la chambre, il va falloir qu’elle assume …. Petite robe courte et plumeau. J’ai dû lui faire comprendre que je désirais prendre une douche, mais que pour ce faire, elle allait laisser tomber les poussières et déshabiller Monsieur Jacques (Jack pour les intimes). Mes rudiments d’Anglais me permettent de me faire comprendre. Il faut dire que j’ai repris mes livres de classes avant de venir, car j’étais le bon dernier dans les cours. Mieux vaut tard que jamais, par nécessité …. Avec l’avantage maintenant, merci l’usine des cours donnés, de comprendre, et surtout de faire semblant de ne pas parler un mot et que les sons émis par les gorges déployées soient incompréhensibles dans cette langue.
Alors, cette soubrette a compris, surtout que le billet de 10 dollars posés sur la table est un bon pourboire … qu’il fallait se bander les yeux et que j’avais le droit de lui faire ce que je voulais. Pas question de jouer les timides, l’ignorant comme dans l’avion …. Je redeviens moi-même. Donc les yeux bandés, elle se met à la besogne.
Imaginez : elle me déshabille pendant que j’en profite outrageusement pour la peloter… et évidemment, étant sous mes ordres, elle n’a pas le droit de rouspéter. Je lui ôte ses sous-vêtements qui à mon avis me gênent : bientôt, elle n’a plus que sa petite robe.
Puis il faut qu’elle me plie correctement mes habits, je dois ensuite se rendre à son travail. Et attention, je suis exigeant ! Évidemment, je la punie car elle n’y arrive pas. Normal ! Elle a toujours les yeux bandés. Accoudée sur le lit, bien cambrée, je lui inflige ma première fessée sur le sol de l’Oncle Sam, et je renouvèle car je suis toujours aussi peu satisfait.
— Ouille, ouille, ouille !
— Chut pas de bruit !!!!! (shhh ... no noise)
Heureusement, ensuite elle a droit à quelques minutes de répit car nous nous rendons dans la salle de bains… Tout en me maudissant surement intérieurement, je lui ôte le restant de ses vêtements, car maintenant, elle va devoir me laver. Voyant qu’elle se révolte de cette nouvelle tâche, je lui m’administre une fessée et un baiser style suçon sur un sein pour me faire pardonner. Je n’ai pas envie qu’elle aille voir un shérif après, surtout avec des fesses rouges … C’est quand son corps se cabre en arrière que j’ai senti son désir mammaire, qu’elle aime que je joue au bébé sur ses seins aux larges aréoles très foncées dont un immense piton pointe au-dessus des montagnes de chair. Un petit coup de dent pour pincer et montrer que je suis son Maitre.
Direction donc baignoires, et je mets la douche en support haut. Je lui ôte le bandeau car, là, je veux vraiment faire une bonne douche, être propre après mon voyage. Le savon glisse entre ses doigts, mais elle s’efforce de bien me laver moi, son « Maître », puisque tel est son devoir. Je suis sûr qu’elle commence à ressentir des sensations inconnues dans son bas-ventre mais qui ne doivent pas lui déplaire, surtout quand je lui demande de prendre mon sexe en bouche pour voir s’il est propre.
Puis ce fut à mon tour de la laver et elle dut se laisser faire… Mes mains explorent tout son corps, dans les moindres détails, avec le savon… Mais voyant dans quel émoi elle est, et considérant que c’est indigne d’une servante, je décide alors de lui infliger la plus belle correction de sa jeune carrière de soubrette quand nous aurons fini de nous laver… Et je vous jure que cette dernière fessée lui a ôté toute envie de se révolter…
Ooooooooo
Dans sa peau je me mets à sa place
En sortant de la douche, mon Maître (Jack) me rebande une nouvelle fois les yeux et m’ordonne de le sécher ainsi, en faisant attention à ne pas le lui faire de mal. Non mais quel sadique ! Je m’applique consciencieusement à ma tâche qui n’est pas facile du tout, puisque je n’y vois rien. Lui me sèche à mon tour en appliquant la serviette sur tout mon corps et en continuant évidemment son exploration perverse tout en guettant ma réaction. Voyant que je continue à réagir à ses caresses, il m’ordonne de m’allonger sur le lit, sur le dos tout d’abord.
— Ainsi, petite coquine, tu te révoltes et refuses de te laisser faire. Et ça t’excite hein ? Mes fessées ne te suffisent plus, alors mets-toi à quatre pattes immédiatement ! Appuie-toi contre le mur pour bien te cambrer que je te donne une belle raclée mais en te voyant te trémousser. (Du moins c’est ce que j’ai cru comprendre)
Et les fessées tombent ! Comme la vue lui plait aussi, il m’ordonne ensuite de quitter cette position peu agréable pour me donner la fessée comme à une vilaine petite fille, car non seulement, il veut me voir me trémousser mais le sentir et que je sente également à quel point tout ceci l’excite aussi. Donc, il s’assoit au bord du lit et m’allonge en travers les bras et les jambes pantelants de part et d’autre. Je suis vraiment à sa merci dans cette position. Il commence à me donner quelques fessées tout en dosant bien sa force et l’endroit qu’il fesse. Je suis tombée sur un expert. Puis il prend sa cravate et commence à me caresser avec. Hummm… L’excitation continue à monter en moi. Il s’en aperçoit… Son sexe commence à devenir très dur. Dans ma position inconfortable, je le sens aussi et tout ceci continue à m’exciter.
— À quatre pattes ! C’est un ordre ! Suce-moi et mieux que tout à l’heure, hein !
Mais je refuse. Alors il me prend la tête dans ses bras et m’appuies son sexe contre la bouche en essayant de l’ouvrir, de sa main qui est restée libre.
— N’oublie pas ce que tu as entendu dire des Français (« je savais par le personnel resté en France, que les femmes Américaines, du moins la plus part, ont quelques penchants sado maso, et adorent par-dessus tout se faire dévorer le sexe, chose que les Américain trouvent sale) Ce matin : tu es à mes ordres. Tu dois me combler, sinon, la punition sera à la hauteur de ta désobéissance.
Mais comme je ne suis pas très douée, mon bon Maître me guide par ses ordres et par ses mains, tout en jouant avec ses doigts avec mes tétons puis ma grotte d’amour…
— Ah, si je comprends bien, il faut aussi que je t’éduque à ce niveau-là ! Déjà que tu es une piètre nettoyeuse, je vais essayer de transformer en une femme de ménage parfaite pour moi. Couche-toi sur le dos, le lit est propre par tes soins !
Et c’est alors que je le vois me prendre les deux jambes et les relever avec force.
— Ah oui, tu vas voir ce que c’est ! Au moins, tu auras une bonne raison de gémir.
Il m’écarte les jambes, présente son sexe, heureusement petit, à l’entrée de ma grottes d’amour et l’enfonce d’un coup. Il commence à me ramoner avec son espèce de bâton. Voyant que je me tords comme un ver de terre, il prend une serviette de toilette pour me bâillonner, sinon je vais alerter tout l’hôtel. Il continue à me pilonner encore quelques minutes afin que je comprenne bien que c’était lui le Maître, puis il fait une pause…
Quel sadique ! Avec son âge, il sait parfaitement doser son engin pour faire monter le Plaisir comme il se doit et en profitait lui aussi au maximum.
Ah, le scénario que je désire tant se joue, là, sous mes yeux et j’en suis l’actrice principale. Et pourtant, qui aurait cru cela le matin même quand j’ai pris mon service ? J’ai vraiment rencontré la bonne personne. Ce qui est dommage c’est que l’expérience ne sera peut-être plus jamais renouvelée et pourtant, je suis sûre que ma soumission va me faire naître de nouvelles vocations.
— Allez, j’ai besoin que tu me nettoies. Suce-moi encore comme tu l’as si bien fait tout à l’heure ! Oui prends-moi bien comme cela. C’est bien, tu commences à être douée maintenant, mais il faut que tu restes encore quelques temps… Et si tu me nettoies bien, tu seras bientôt récompensée comme il se doit…
Et en plus il m’encourage ! Là, je décide donc d’être très obéissante et de ne pas me révolter car j’ai très envie d’être récompensée. Ses mains continuaient à me palper puis il décide de nous faire changer de position pour me faire découvrir de nouveaux plaisirs.
— Allonge-toi sur le dos et laisse-toi faire !
Il grimpa sur moi afin que nous nous retrouvions en tête bêche. Quelle drôle de position !!!!
— Continue à me sucer comme tu l’as si bien fait, et laisse-toi faire !
Pendant que je continue à astiquer sa bite qui continue à gonfler dans ma bouche et qui essaie de s’enfoncer de plus en plus profondément, tellement je m’applique, il commence à me lécher de sa langue agile. Il est vraiment super doué pour la faire se tordre et virevolter dans ma grotte d’amour. Mais ses mains ne sont pas en reste. Ses effleurements continuent, plus ou moins appuyés, et moi je continue à gémir de plus en plus fort puis je tressaille. Mon corps lâche, atteint de soubresauts. Ça y est, j’ai réussi à atteindre l’extase avec un homme que je ne connaissais même pas. Le baiser Français dans toute sa splendeur, le rêve ….
— Vilaine fille ! Salope ! Mais qu’est-ce que tu viens de faire ? Allez, à quatre pattes ! Ça mérite bien encore une fessée. Tu ne m’as même pas prévenu que tu allais jouir sur moi et moi je bande encore ! Appuie-toi contre le mur que je puisse voir ta belle croupe bien cambrée !
Je suis une nouvelle fois punie avec délice. Les fessées alternèrent avec claquements et effleurements
— Mais bon, ce n’est pas tout ! Maintenant il va falloir que je termine le travail commencé tout à l’heure ! Je n’ai pas fini d’explorer ta grotte d’amour, il faut que j’aille voir si mon éducation est efficace. Allez mets-toi en position !
Et me voici de nouveau allongée sur le dos. Mais cette fois-ci, avant de me prendre par les jambes, mon Maître prend à nouveau de la serviette de toilette et sort deux cravates de sa valise pour me ligoter.
— Tu bouges tellement que je ne peux pas bien faire mon travail et voir si je t’ai fait du bien.
Il me force à lui enfiler un préservatif, saisit mes deux jambes et m’écartèle ! Honnêtement, je n’en peux plus, mais j’en redemande encore, tellement je suis au septième ciel. Ses coups de boutoir reprennent doucement mais profondément tout d’abord. C’est bien ce qu’il m’a dit : il explore tout mon tréfonds dans ses moindres recoins en faisant tournoyer son petit engin, comme il a l’air d’avoir de l’expérience …. Quel Maître ! De temps en temps, il s’arrête pour contempler les effets de ses efforts puis les coups de boutoir reprennent. Je sais qu’il ne s’interrompra que quand il aura joui, car il veut prendre son pied, lui aussi, et c’est pour cela que, même pantelante, je continue à me laisser faire, car j’en ai toujours envie et il m’a fait tellement de bien.
Soudain il se retire. à-il joui ? La novice que je suis ne s’en est pas rendu compte. Mais que voulait-il faire encore ?
— Avant que je ne te récompense de ma semence, j’ai besoin de voir si tu es assez préparée pour l’accueillir. Reste dans cette position, je te l’ordonne !
Je n’en peux plus, je souffre de crampes et mes cuisses n’en peuvent plus d’être ainsi écartelées.
— Pitié Maître, osai-je murmurer, je n’en puis plus. Laissez-moi au moins me dégourdir un peu les jambes !
— D’accord, mais pas trop longtemps, mon sexe est si dur qu’il me fait mal. Il va falloir que je t’embroche. Aller, je te détache, garde la position. Bon ça y est, tu t’es assez dégourdie ? Allez, glisse ce coussin sous tes fesses que je t’examine, mais écarte bien les jambes !
Moi qui déteste être doigtée, je m’attends au pire. Il doit être un peu gynéco sur les bords, car avec ses doigts, il palpe l’intérieur de mon vagin, réceptacle d’amours phalliques tant et si bien que les frissons me reprennent. Ah ! Il était vraiment très doué et a vraiment bien compris la règle du jeu. Il joue également avec mon petit bouton de rose qu’il prend soin de dégager avec ses doigts pour le sucer délicatement. Voyant que je suis une bonne élève, il me dit :
— Bon, tu es prête ! Mais ma queue a besoin de durcir encore ! Suce-moi bien comme il faut que je te prenne par derrière ! Tu mouilles tellement que je rentrerai comme dans du beurre et que la pénétration n’en sera que meilleure car plus profonde. Je veux que tu te mettes à quatre pattes sur le lit et que tu t’appuies bien contre le mur. Relève ta belle croupe et guide-moi !
Il enfile un préservatif neuf. La pénétration n’est pas aisée mais je fais mon possible car c’est ma position préférée. Maintenant qu’il est bien entré en moi, il recommence à me pilonner comme il l’a fait la fois précédente tout en dosant savamment la profondeur et la force de sa pénétration. En même temps, comme il a les mains libres, il s’en donne à cœur joie pour me donner de petites fessées pour m’encourager. Il n’oublie pas non plus de m’effleurer les tétons ni de prendre mes seins à pleine mains. Ces seins lourds de désir et de plaisir qui sont heureux d’avoir pu tomber entre de si bonnes mains. C’est le cas de le dire ! Je continue à me tordre de plaisir, et lui continue à me pilonner et à me ramoner. Puis il commence à accélérer, ses coups de boutoirs sont moins appuyés mais plus rapides. Je sens que son excitation atteint son paroxysme et qu’il va éjaculer… Traitre, il sort alors que j’y prends plaisir, comme si seul le sein existe, en un tour de main, il a enlevé le préservatif, me met à plat sur le dos et se masturbe au-dessus de moi … il éjacule, entre mes seins avec un râle de plaisir … J’étale son liquide sur mes seins, je suce mes doigts … Quel Français, quel bon gout … Sans qu’il me demande et pour lui montrer ma satisfaction, je le prend en bouche pour me repaitre du précieux liquide .
Merci Maître Jack… aux Plaisirs de la Chair !
Bien venu aux USA
Chambre 201
Quand je suis arrivée à l’hôtel, je vainement cherché ma chambre, confondant le 1 français avec le 7 Américain. Cette femme de ménage, métissée, tirant plus de l’hispanique, m’a redonné courage. Mais à peine m’eut-elle ouvert la porte que tout bascula.
D’accord, j’adorais faire de la soumission, même que c’est mon péché mignon. N’empêche que me suivre comme ça dans ma suite et me lancer « French Kiss » m’a donné des idées, il fallait que je redresse la situation. En effet pour les Américaines, French kiss, veut dire baiser sur le sexe. Des copains m’avaient prévenus, que les femmes en sont très friandes, car « mals baisers » aux US. On m’avait dit aussi que si elles trouvaient l’homme qui ne faisait pas semblant, c’était par la suite, délicat de se « décoller » de leur assiduité.
Elle m’a suivi dans la chambre, il va falloir qu’elle assume …. Petite robe courte et plumeau. J’ai dû lui faire comprendre que je désirais prendre une douche, mais que pour ce faire, elle allait laisser tomber les poussières et déshabiller Monsieur Jacques (Jack pour les intimes). Mes rudiments d’Anglais me permettent de me faire comprendre. Il faut dire que j’ai repris mes livres de classes avant de venir, car j’étais le bon dernier dans les cours. Mieux vaut tard que jamais, par nécessité …. Avec l’avantage maintenant, merci l’usine des cours donnés, de comprendre, et surtout de faire semblant de ne pas parler un mot et que les sons émis par les gorges déployées soient incompréhensibles dans cette langue.
Alors, cette soubrette a compris, surtout que le billet de 10 dollars posés sur la table est un bon pourboire … qu’il fallait se bander les yeux et que j’avais le droit de lui faire ce que je voulais. Pas question de jouer les timides, l’ignorant comme dans l’avion …. Je redeviens moi-même. Donc les yeux bandés, elle se met à la besogne.
Imaginez : elle me déshabille pendant que j’en profite outrageusement pour la peloter… et évidemment, étant sous mes ordres, elle n’a pas le droit de rouspéter. Je lui ôte ses sous-vêtements qui à mon avis me gênent : bientôt, elle n’a plus que sa petite robe.
Puis il faut qu’elle me plie correctement mes habits, je dois ensuite se rendre à son travail. Et attention, je suis exigeant ! Évidemment, je la punie car elle n’y arrive pas. Normal ! Elle a toujours les yeux bandés. Accoudée sur le lit, bien cambrée, je lui inflige ma première fessée sur le sol de l’Oncle Sam, et je renouvèle car je suis toujours aussi peu satisfait.
— Ouille, ouille, ouille !
— Chut pas de bruit !!!!! (shhh ... no noise)
Heureusement, ensuite elle a droit à quelques minutes de répit car nous nous rendons dans la salle de bains… Tout en me maudissant surement intérieurement, je lui ôte le restant de ses vêtements, car maintenant, elle va devoir me laver. Voyant qu’elle se révolte de cette nouvelle tâche, je lui m’administre une fessée et un baiser style suçon sur un sein pour me faire pardonner. Je n’ai pas envie qu’elle aille voir un shérif après, surtout avec des fesses rouges … C’est quand son corps se cabre en arrière que j’ai senti son désir mammaire, qu’elle aime que je joue au bébé sur ses seins aux larges aréoles très foncées dont un immense piton pointe au-dessus des montagnes de chair. Un petit coup de dent pour pincer et montrer que je suis son Maitre.
Direction donc baignoires, et je mets la douche en support haut. Je lui ôte le bandeau car, là, je veux vraiment faire une bonne douche, être propre après mon voyage. Le savon glisse entre ses doigts, mais elle s’efforce de bien me laver moi, son « Maître », puisque tel est son devoir. Je suis sûr qu’elle commence à ressentir des sensations inconnues dans son bas-ventre mais qui ne doivent pas lui déplaire, surtout quand je lui demande de prendre mon sexe en bouche pour voir s’il est propre.
Puis ce fut à mon tour de la laver et elle dut se laisser faire… Mes mains explorent tout son corps, dans les moindres détails, avec le savon… Mais voyant dans quel émoi elle est, et considérant que c’est indigne d’une servante, je décide alors de lui infliger la plus belle correction de sa jeune carrière de soubrette quand nous aurons fini de nous laver… Et je vous jure que cette dernière fessée lui a ôté toute envie de se révolter…
Ooooooooo
Dans sa peau je me mets à sa place
En sortant de la douche, mon Maître (Jack) me rebande une nouvelle fois les yeux et m’ordonne de le sécher ainsi, en faisant attention à ne pas le lui faire de mal. Non mais quel sadique ! Je m’applique consciencieusement à ma tâche qui n’est pas facile du tout, puisque je n’y vois rien. Lui me sèche à mon tour en appliquant la serviette sur tout mon corps et en continuant évidemment son exploration perverse tout en guettant ma réaction. Voyant que je continue à réagir à ses caresses, il m’ordonne de m’allonger sur le lit, sur le dos tout d’abord.
— Ainsi, petite coquine, tu te révoltes et refuses de te laisser faire. Et ça t’excite hein ? Mes fessées ne te suffisent plus, alors mets-toi à quatre pattes immédiatement ! Appuie-toi contre le mur pour bien te cambrer que je te donne une belle raclée mais en te voyant te trémousser. (Du moins c’est ce que j’ai cru comprendre)
Et les fessées tombent ! Comme la vue lui plait aussi, il m’ordonne ensuite de quitter cette position peu agréable pour me donner la fessée comme à une vilaine petite fille, car non seulement, il veut me voir me trémousser mais le sentir et que je sente également à quel point tout ceci l’excite aussi. Donc, il s’assoit au bord du lit et m’allonge en travers les bras et les jambes pantelants de part et d’autre. Je suis vraiment à sa merci dans cette position. Il commence à me donner quelques fessées tout en dosant bien sa force et l’endroit qu’il fesse. Je suis tombée sur un expert. Puis il prend sa cravate et commence à me caresser avec. Hummm… L’excitation continue à monter en moi. Il s’en aperçoit… Son sexe commence à devenir très dur. Dans ma position inconfortable, je le sens aussi et tout ceci continue à m’exciter.
— À quatre pattes ! C’est un ordre ! Suce-moi et mieux que tout à l’heure, hein !
Mais je refuse. Alors il me prend la tête dans ses bras et m’appuies son sexe contre la bouche en essayant de l’ouvrir, de sa main qui est restée libre.
— N’oublie pas ce que tu as entendu dire des Français (« je savais par le personnel resté en France, que les femmes Américaines, du moins la plus part, ont quelques penchants sado maso, et adorent par-dessus tout se faire dévorer le sexe, chose que les Américain trouvent sale) Ce matin : tu es à mes ordres. Tu dois me combler, sinon, la punition sera à la hauteur de ta désobéissance.
Mais comme je ne suis pas très douée, mon bon Maître me guide par ses ordres et par ses mains, tout en jouant avec ses doigts avec mes tétons puis ma grotte d’amour…
— Ah, si je comprends bien, il faut aussi que je t’éduque à ce niveau-là ! Déjà que tu es une piètre nettoyeuse, je vais essayer de transformer en une femme de ménage parfaite pour moi. Couche-toi sur le dos, le lit est propre par tes soins !
Et c’est alors que je le vois me prendre les deux jambes et les relever avec force.
— Ah oui, tu vas voir ce que c’est ! Au moins, tu auras une bonne raison de gémir.
Il m’écarte les jambes, présente son sexe, heureusement petit, à l’entrée de ma grottes d’amour et l’enfonce d’un coup. Il commence à me ramoner avec son espèce de bâton. Voyant que je me tords comme un ver de terre, il prend une serviette de toilette pour me bâillonner, sinon je vais alerter tout l’hôtel. Il continue à me pilonner encore quelques minutes afin que je comprenne bien que c’était lui le Maître, puis il fait une pause…
Quel sadique ! Avec son âge, il sait parfaitement doser son engin pour faire monter le Plaisir comme il se doit et en profitait lui aussi au maximum.
Ah, le scénario que je désire tant se joue, là, sous mes yeux et j’en suis l’actrice principale. Et pourtant, qui aurait cru cela le matin même quand j’ai pris mon service ? J’ai vraiment rencontré la bonne personne. Ce qui est dommage c’est que l’expérience ne sera peut-être plus jamais renouvelée et pourtant, je suis sûre que ma soumission va me faire naître de nouvelles vocations.
— Allez, j’ai besoin que tu me nettoies. Suce-moi encore comme tu l’as si bien fait tout à l’heure ! Oui prends-moi bien comme cela. C’est bien, tu commences à être douée maintenant, mais il faut que tu restes encore quelques temps… Et si tu me nettoies bien, tu seras bientôt récompensée comme il se doit…
Et en plus il m’encourage ! Là, je décide donc d’être très obéissante et de ne pas me révolter car j’ai très envie d’être récompensée. Ses mains continuaient à me palper puis il décide de nous faire changer de position pour me faire découvrir de nouveaux plaisirs.
— Allonge-toi sur le dos et laisse-toi faire !
Il grimpa sur moi afin que nous nous retrouvions en tête bêche. Quelle drôle de position !!!!
— Continue à me sucer comme tu l’as si bien fait, et laisse-toi faire !
Pendant que je continue à astiquer sa bite qui continue à gonfler dans ma bouche et qui essaie de s’enfoncer de plus en plus profondément, tellement je m’applique, il commence à me lécher de sa langue agile. Il est vraiment super doué pour la faire se tordre et virevolter dans ma grotte d’amour. Mais ses mains ne sont pas en reste. Ses effleurements continuent, plus ou moins appuyés, et moi je continue à gémir de plus en plus fort puis je tressaille. Mon corps lâche, atteint de soubresauts. Ça y est, j’ai réussi à atteindre l’extase avec un homme que je ne connaissais même pas. Le baiser Français dans toute sa splendeur, le rêve ….
— Vilaine fille ! Salope ! Mais qu’est-ce que tu viens de faire ? Allez, à quatre pattes ! Ça mérite bien encore une fessée. Tu ne m’as même pas prévenu que tu allais jouir sur moi et moi je bande encore ! Appuie-toi contre le mur que je puisse voir ta belle croupe bien cambrée !
Je suis une nouvelle fois punie avec délice. Les fessées alternèrent avec claquements et effleurements
— Mais bon, ce n’est pas tout ! Maintenant il va falloir que je termine le travail commencé tout à l’heure ! Je n’ai pas fini d’explorer ta grotte d’amour, il faut que j’aille voir si mon éducation est efficace. Allez mets-toi en position !
Et me voici de nouveau allongée sur le dos. Mais cette fois-ci, avant de me prendre par les jambes, mon Maître prend à nouveau de la serviette de toilette et sort deux cravates de sa valise pour me ligoter.
— Tu bouges tellement que je ne peux pas bien faire mon travail et voir si je t’ai fait du bien.
Il me force à lui enfiler un préservatif, saisit mes deux jambes et m’écartèle ! Honnêtement, je n’en peux plus, mais j’en redemande encore, tellement je suis au septième ciel. Ses coups de boutoir reprennent doucement mais profondément tout d’abord. C’est bien ce qu’il m’a dit : il explore tout mon tréfonds dans ses moindres recoins en faisant tournoyer son petit engin, comme il a l’air d’avoir de l’expérience …. Quel Maître ! De temps en temps, il s’arrête pour contempler les effets de ses efforts puis les coups de boutoir reprennent. Je sais qu’il ne s’interrompra que quand il aura joui, car il veut prendre son pied, lui aussi, et c’est pour cela que, même pantelante, je continue à me laisser faire, car j’en ai toujours envie et il m’a fait tellement de bien.
Soudain il se retire. à-il joui ? La novice que je suis ne s’en est pas rendu compte. Mais que voulait-il faire encore ?
— Avant que je ne te récompense de ma semence, j’ai besoin de voir si tu es assez préparée pour l’accueillir. Reste dans cette position, je te l’ordonne !
Je n’en peux plus, je souffre de crampes et mes cuisses n’en peuvent plus d’être ainsi écartelées.
— Pitié Maître, osai-je murmurer, je n’en puis plus. Laissez-moi au moins me dégourdir un peu les jambes !
— D’accord, mais pas trop longtemps, mon sexe est si dur qu’il me fait mal. Il va falloir que je t’embroche. Aller, je te détache, garde la position. Bon ça y est, tu t’es assez dégourdie ? Allez, glisse ce coussin sous tes fesses que je t’examine, mais écarte bien les jambes !
Moi qui déteste être doigtée, je m’attends au pire. Il doit être un peu gynéco sur les bords, car avec ses doigts, il palpe l’intérieur de mon vagin, réceptacle d’amours phalliques tant et si bien que les frissons me reprennent. Ah ! Il était vraiment très doué et a vraiment bien compris la règle du jeu. Il joue également avec mon petit bouton de rose qu’il prend soin de dégager avec ses doigts pour le sucer délicatement. Voyant que je suis une bonne élève, il me dit :
— Bon, tu es prête ! Mais ma queue a besoin de durcir encore ! Suce-moi bien comme il faut que je te prenne par derrière ! Tu mouilles tellement que je rentrerai comme dans du beurre et que la pénétration n’en sera que meilleure car plus profonde. Je veux que tu te mettes à quatre pattes sur le lit et que tu t’appuies bien contre le mur. Relève ta belle croupe et guide-moi !
Il enfile un préservatif neuf. La pénétration n’est pas aisée mais je fais mon possible car c’est ma position préférée. Maintenant qu’il est bien entré en moi, il recommence à me pilonner comme il l’a fait la fois précédente tout en dosant savamment la profondeur et la force de sa pénétration. En même temps, comme il a les mains libres, il s’en donne à cœur joie pour me donner de petites fessées pour m’encourager. Il n’oublie pas non plus de m’effleurer les tétons ni de prendre mes seins à pleine mains. Ces seins lourds de désir et de plaisir qui sont heureux d’avoir pu tomber entre de si bonnes mains. C’est le cas de le dire ! Je continue à me tordre de plaisir, et lui continue à me pilonner et à me ramoner. Puis il commence à accélérer, ses coups de boutoirs sont moins appuyés mais plus rapides. Je sens que son excitation atteint son paroxysme et qu’il va éjaculer… Traitre, il sort alors que j’y prends plaisir, comme si seul le sein existe, en un tour de main, il a enlevé le préservatif, me met à plat sur le dos et se masturbe au-dessus de moi … il éjacule, entre mes seins avec un râle de plaisir … J’étale son liquide sur mes seins, je suce mes doigts … Quel Français, quel bon gout … Sans qu’il me demande et pour lui montrer ma satisfaction, je le prend en bouche pour me repaitre du précieux liquide .
Merci Maître Jack… aux Plaisirs de la Chair !
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