US5 Tantrisme tu me plais - histoire érotique

Rappel : Mes histoires US sont vécues, et non romancées

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Tantrisme tu me plais

Je m’appelle jack , j’ai quarante-huit ans et je suis pauvre hère commun, mais qui a appris le tantrisme. Connaissance acquise lors de voyages de travail. Pourquoi ne pas mettre un peu de pratique lors d’un de mes retours en France sur des choses qui marchent fort bien ailleurs, des soins, rien que pour les femmes avertie et triée sur le volet : je vais devenir dans le village le masseur masturbateur ! Ma femme ?, oui, mais l’amour par devoir conjugal, et encore, comme elle est lesbienne… je n’ai aucun scrupule à la tromper.
Tout a commencé un peu par hasard… ou plutôt non, je ne suis pas bien sûr que cela soit dû au hasard ! Quand on entreprend des voyages au bout d’un moment on se dit qu’il faut aimer le corps humain, ça manque ! L’étudier, le toucher et le manipuler à même la peau. Dans l’art du tantrisme, il y a la sexualité, mais aussi le massage. Certes, c’est un acte réservé aux kinésithérapeutes tarifé et reconnu comme tel par la sécurité sociale, mais sa dimension charnelle et sensuelle n’est pas là. Il masse il rééduque, moi je veux donner de la jouissance par le massage. Aux US, cette école Hard m’a ouverte des horizons, et déjà que ma copine noire Emérancy m’y encourage, j’ai certains dons pour faire jouir les femmes. Ce que je n’ai pas en bas me dit-elle, tu l’as ailleurs ….
Bref, tout a donc commencé, pas tout à fait par hasard, à l’usine aux US avec Armelle, ma secrétaire. Une très jolie fille, Armelle… pas très grande, mince, les cheveux châtains joliment agrémentés de quelques mèches blondes, une silhouette gracile, un sourire charmant, bref, c’est une ravissante jeune femme à la trentaine épanouie, sportive, toute pétillante de joie de vivre. Elle me suit partout. France, US, Afrique noire, quoi que seulement 2 fois, le Canada pour valider notre passeport toujours en touriste, et nos virées du week, je vous conterais la meilleur de ma vie. Revenons à nos moutons, je m’égare, et quand on veut. Aller trop vite les idées de vécu remontent dans la tête, on se perd facilement.
Lors de mon deuxième déplacement, la direction dans sa bonté m’a offert le choix de partir avec. Sur place, il y avait certaines soirées un peu délurées… Certaines soirées interlopes finissaient passablement dénudées, et Armelle en était, tout comme moi. À l’usine, sans fausse pudeur, nous échangeons parfois des propos que des oreilles chastes ne devraient entendre. Aux US, il arrive que certains soirs, nous perdons pieds. Ce qui ne gâche rien, nous nous connaissons aussi bien dans le travail. Elle sait mes réactions, quand il faut me mener vers la machine à café, descendre sa culotte, toutes ces petites choses qu’une secrétaire donne et qui ne font pas partie de son travail.
C’était un vendredi en fin d’après-midi. Je rentrais assez tard d’une visite chez le patron. J’entends l’eau de la douche qu’il y a dans les toilettes (j’ai oublié de vous dire que nos sanitaires ont 1 douche et 2 wc, douche obligatoire, nous sommes tout de même une usine SERESO 2) couler ; je m’apprête à dire un sonore et amical :
— Salut Armelle !
Quand j’entends des sanglots venir de la cabine.
— C’est moi, Armelle, il y a quelque chose qui ne va pas ?
Pas de réponse, mais quelques reniflements. Je m’approche alors et tapote à la porte. Pas de réponse, je pousse, elle n’est pas verrouillée …
— Ça va Armelle ? Que se passe-t-il ?
Je trouve ma secrétaire assise dans la douche, sous le jet, prostrée, les bras autour de ses genoux. Elle lève son regard triste sur moi et me répond avec un petit sourire brave et forcé :
— Ben tu vois, ce n’est pas trop la forme…
Bon, nous allons voir ça ; je coupe le jet, vais chercher dans mon bureau une grande serviette que j’ai toujours, l’aide à se relever et la lui donne. Elle s’en enveloppe, et se jette alors contre moi, en larmes. Je la réconforte en la serrant dans mes bras, et elle me parle de ce qui la fait pleurer. C’est une peine de cœur, mais pas d’un homme de sa vie, simplement sa sœur qui ne veut plus la voir, la considérant comme ma pu… c’est banal et vaguement ridicule me direz-vous, sauf qu’on ne peut dire cela que quand on n’est pas la personne directement concernée ! Les déplacements n’ont pas toujours du bon pour les familles ….
Petit à petit Armelle reprend ses esprits et arrête de pleurer, mais elle reste nouée et tendue. En plus la semaine de travail a été chargée et éprouvante, et sa crise de larmes l’a bien secouée. Je lui propose alors un massage pour la détendre et la remettre d’aplomb, juste ce que j’ai appris, pas plus, ce qu’elle accepte volontiers.
— Allez, Armelle, pour te remonter le moral, pour une fois c’est toi qui vas connaître les bienfaits d’un bon massage.
Elle quitte son peignoir de bain, s’allonge sur le bureau débarrassé des dossiers, là toute nue sur le ventre, les bras le long du corps. Je baisse les stores et la lumière, et vérifie que le bureau est bien fermé. Nous sommes absolument seuls et tranquilles. Je choisis une huile de machine, bien épaisse, naturelle, dont un représentant m’en a laissé un exemplaire et, tout en écoutant Armelle me parler de son chagrin d’amour, j’entreprends de lui masser le dos.

Sa peau est douce et souple, et je la masse avec soin, attentif aux points de contraction musculaire. C’est un massage vigoureux et appuyé, qui va chercher à soulager les tensions. Armelle me parle toujours, mais petit à petit ses phrases se font plus courtes et plus rares, et puis elle finit par se laisser aller complètement à mon massage dynamique.
Je vais et viens le long de sa colonne vertébrale, je détends ses flancs crispés, le long des côtes et à la naissance de ses seins, puis je lui masse la région des cervicales et les épaules. Je transpire un peu car je ne ménage pas mes efforts pour prendre soin de ma secrétaire !
Je viens me placer ensuite au niveau de sa tête, et descends mes mains tout le long de sa colonne, souligne le contour de ses fessiers avant de remonter par ses flancs jusqu’à ses épaules : c’est la grande glissade, qui fait toujours un bien fou ! Armelle soupire et râle légèrement sous la pression ferme de mes mains. C’est bien, très bien même. Le massage fait effet.
Je me place ensuite à ses pieds, et pétris fermement ses mollets, puis ses cuisses et ses fesses. Armelle pratique la natation régulièrement ainsi que le volley-ball, et je ne peux m’empêcher de penser que ma charmante secrétaire a des jambes de rêve, superbement galbées… et c’est vrai que dans nos étreintes où elle m’enserre avec ses jambes, elle ne fait pas semblant ….Ses hanches s’évasent admirablement et elle a un cul magnifique, passez-moi l’expression !
En pétrissant son derrière admirable, il n’y a pas moyen non plus, au gré des torsions que j’inflige à ses globes, de ne pas apercevoir par intermittence son mignon œillet froncé, qui est d’un fort joli brun qui tranche bien sur la blancheur de sa peau. Comme c’est joli…
De plus, à force de la masser et de la pétrir fermement dans tous les sens, par l’effet des secousses et de son relâchement musculaire, ses jambes minces et musclées se sont un peu écartées, et je vois fort bien à présent les grandes lèvres de son sexe, qui me semblent admirablement douces et charnues…
— Allons, Jack, calme-toi, me dis-je, reste concentré, voyons ! Tu fais un massage, pas encore nune étreinte érotique. Oui, d’accord, mais bon, il n’y a pas de mal à se rincer l’œil innocemment… Il n’y a rien de mal à joindre l’agréable à l’utile !
Je continue mon massage, et je ressens un pincement au cœur quand je me vois arriver à la fin du massage, déjà… Je contemple mon œuvre, mon associée toute détendue et abandonnée sur la table, je ralentis la cadence et finis par une petite tape amicale sur sa fesse.
— Voilà, mademoiselle, c’est fini ! J’espère que ça vous a fait du bien !
— Oh Jacques, comme tu t’y prends bien, me dit-elle dans un souffle, c’était si bon, ça m’a fait un bien fou… continue encore un peu s’il te plaît, j’ai tellement besoin de réconfort…
— Merci du compliment, lui dis-je. Allons, ajoutais-je sur un ton enjoué, puisque c’est demandé si gentiment, un petit supplément pour le bien-être de la demoiselle !
Avant de continuer, une idée trotte dans ma tête, mais non, mais si ! faut que je goutte l’huile… Pas de brûlure sur la langue, avec ce que j’y ai mis, je vais bien voir !
Armelle émet un petit soupir de contentement et se laisse aller un peu plus encore sur la table, en écartant un peu plus les jambes, imperceptiblement, sans doute par relâchement, me dis-je. La situation commence à me troubler, me ravir et m’émoustiller un peu. Armelle est si belle, et c’est si agréable et gratifiant de masser une jolie femme !
C’est un massage de confort, je ne pétris plus autant, mais j’effleure davantage. Je fais doucement rouler sous mes doigts la peau des mollets galbés d’Armelle. Mes mains se font plus caressantes aussi en remontant le long de ses cuisses. Quand j’arrive de nouveau à ses admirables fesses, j’ai un petit scrupule car je sais pertinemment que le pétrissage des fessiers que je pratiquais tout à l’heure n’aura pas du tout le même effet si j’en ralentis la cadence. En clair, un pétrissage lent et sensuel de la croupe peut enflammer les sens, et j’hésite…
Et puis je remarque alors que les grandes lèvres d’Armelle se sont disjointes, et que ses petites lèvres roses sont tout humectées déjà… C’est un signe qui ne trompe pas, et, en un instant, tous mes scrupules sont balayés. Allons-y ! Abandonnons-nous à l’instant présent qui est si magique pour elle comme pour moi !
Je saisis les fesses d’Armelle à pleines mains, avec douceur et fermeté. Mon pétrissage est plus lent, et rapidement ma jolie secrétaire ne peut réprimer un doux balancement du bassin… elle gémit légèrement maintenant, et ses lèvres intimes s’humidifient de plus en plus… L’instant est divin et je ne veux pas en précipiter la fin ! L’huile, elle ne me brûle pas dans la bouche, j’ai le feu vert, merci Monsieur Mobi.. Massant une fesse à la fois, je vois parfaitement sa jolie raie et son œillet, à la vérité, superbe ! Je sais par des discussions et actes passés qu’Armelle n’est pas rétive à la sodomie, et je me dis qu’elle appréciera bien un contact digital… Je fais en sorte alors que la longueur de mon petit doigt, puis tout le tranchant de la main, coulisse bien au contact de sa raie et de son anus. Des petits soupirs et quelques mouvements des hanches me confirment que j’ai tapé dans le mille.
Je me mets sur son côté, caresse à présent largement son anus d’une main, sans pénétrer, et son sexe de l’autre, par derrière. C’est très agréable, pour elle comme pour moi. D’une pression sur le côté, je suggère enfin à Armelle de se retourner, ce qu’elle fait les yeux fermés, le visage apaisé et pris par une étrange torpeur. Sans pudeur et tout en naturel, elle écarte largement ses jambes et expose à mon regard son intimité ruisselante de désir…
Je ne veux pas aller trop vite, et je masse d’abord ses jambes en insistant langoureusement sur l’intérieur des cuisses. Je fais exprès l’impasse sur la région pubienne et me mets à lui masser le ventre, les bras. Je prends ensuite ses petits seins ronds dans mes mains tour à tour, dans un mouvement circulaire ininterrompu en forme de huit. Armelle gémit presque dans un cri quand je pince et malaxe ses aréoles et ses tétons. Je n’en peux plus non plus, et il est temps d’agir…
Mes mains descendent à son pubis, mes doigts s’égarent avec bonheur dans sa pilosité auburn avant de descendre enfin vers le saint des saints, sa fente humide et parfumée… J’ouvre ses petites lèvres, à la fois fines et bien déployées, avec de jolies crénelures. Je les étire un peu, joue avec elles, et j’effleure son clitoris. Les hanches d’Armelle sont prises d’un mouvement de roulis, elle gémit de plus en plus fort, et elle pousse un cri quand je pénètre son vagin de deux doigts. Je trouve aisément la région doucement râpeuse de son point G et je la masse avec mes doigts en crochet, tout en caressant son clitoris d’un mouvement circulaire. Armelle explose enfin dans un râle puissant et terriblement érotique.
Son orgasme est magnifique et secoue son corps en plusieurs vagues, que je ressens parfaitement puisque mes doigts recourbés sont toujours bien plantés dans son vagin ; les contractions musculaires enserrent mes doigts avec force, c’est une sensation magique et délicieuse.
Armelle a le souffle court, et je comprends qu’on peut encore continuer ; alors, en délaissant un peu son clitoris, je continue un doux mouvement de va-et-vient dans son vagin et, après quelques moments, nous vivons de nouveau une belle montée vers l’orgasme. Armelle râle de plus belle, mes doigts et son vagin font un impudique et excitant bruit de succion. Armelle n’a plus aucune retenue, elle se laisse tout entière aller avec animalité au plaisir qui la saisit, elle prend ses seins à pleines mains et les pince fortement, se cabre sur le bureau et pousse un terrible cri de jouissance.

Nous sommes tous deux suspendus un temps entre terre et ciel. Je reprends mes esprits, car je me dois d’accompagner ma belle Armelle dans sa redescente sur terre. J’enlève doucement mes doigts de son vagin, millimètre par millimètre pour savourer cette incursion jusqu’à la dernière goutte… ils sont trempés par ses secrétions onctueuses, et je caresse doucement de la pulpe de mes doigts ses petites lèvres encore toutes rouges d’excitation, la région clitoridienne, ses grandes lèvres, et la rondeur de son pubis.
La peau en est brillante et élastique, et je gratouille gentiment ses jolis poils. Je finis par enrober son mont de Vénus de ma main gauche, et je remonte à plat l’autre main vers sa poitrine, et la pose finalement sur son front. Nous restons ainsi un long moment, immobiles, à respirer à l’unisson. Armelle a les yeux fermés, et moi ouverts : le spectacle est trop beau !
Armelle finit par ouvrir les yeux, me sourit gentiment et me dit simplement merci d’une voix très douce. Je lui souris aussi et retire mes mains. Armelle porte sa main à son sexe, qu’elle caresse un peu, machinalement, sans faire attention à moi. Elle descend du bureau, et se déplace avec grâce comme dans un rêve. Elle est si belle et je la regarde de dos avec ravissement. Elle se retourne, se caresse un peu les grandes lèvres qui doivent être un peu endolories, s’étire comme un chat, prend ses seins dans ses mains et me dit en souriant :
— Merci, Jack, merci, merci, c’était divin et je vais beaucoup mieux à présent.
Je lui souris et la laisse se rhabiller en allant moi-même à la douche. Mon sexe a gardé une belle érection depuis bien longtemps qui me fait presque mal, et il est trempé d’excitation lui aussi. Je me branle doucement pour apaiser la tension. Sous la douche, je porte la main qui a doigté Armelle à mon nez, puis à ma bouche ; je ferme les yeux, hume son parfum, et je goûte avec recueillement son jus intime en mettant mes doigts à la bouche tout en me masturbant de l’autre main. Je viens très rapidement et je dois me mordre les lèvres pour ne pas hurler tant ma jouissance est forte.
Quand je sors de la douche, la serviette aux reins, Armelle m’attend, habillée. Elle arbore un beau sourire, me redit merci et dépose une grosse bise sur ma joue. Sur le pas de la porte elle se retourne et me lance comme une boutade :
— Je te dois retour, Jack !
Ce fut le début de mes tribulations de masturbateur de femme

Papy jack