Vacances à Benidorm - 2 - sortie en boîte de nuit
Récit érotique écrit par Abdul75 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-10-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Vacances à Benidorm - 2 - sortie en boîte de nuit
Après une journée consacrée au bronzage, à la confection de petits plats locaux et à quelques parties de jambes en l'air plutôt sages, les deux maris avaient réintégré l’appartement. Affalés nus dans le canapé, ils regardaient un match de football à la TV. Pendant ce temps, leurs deux épouses se préparaient pour leur soirée entre copines. Lydie avait passé une robe d’été blanche à volants découvrant largement ses épaules et des nu-pieds noirs vernis à brides et talons hauts. Elle ne portait rien d’autre sinon un collier doré, une fine chaîne plaquée or autour de la taille et une chaîne semblable autour de la cheville droite. Martha avait pour sa part enfilé un dos nu orange fort décolleté maintenu autour du cou par une bride fine, une jupe moulante blanche et fendue qui découvrait largement ses genoux et le bas de ses cuisses, des sandalettes orange à talons hauts et comme son amie une chaîne dorée autour de la cheville. En la rejoignant tandis qu’elle terminait de se maquiller, Lydie lui fit remarquer qu’on voyait la marque de son string sous sa jupe. « Fais comme moi lui conseilla t-elle, ne porte pas de slip encombrant et inesthétique. » Martha hésitait lorsque Pierre entra à son tour dans la salle de bains. « Lydie a raison mon ange. Si tu sors en célibataire, ne t’encombre pas de sous-vêtement inutile. Martha regarda son mari avec reconnaissance: «Puisque c’est mon homme qui me l’ordonne, je dois m’exécuter » lâcha-t-elle alors en riant et elle retira son string sous le regard satisfait de Lydie. Pierre glissa alors sa main sous la jupe de son épouse et tout en pétrissant la croupe superbe tenta de l’embrasser. Mais celle-ci se détourna lui offrant son cou en riant avant d'ajouter: « Désolée coquin mais je ne vais pas te laisser effacer mon rouge à lèvre. J’en ai besoin si je veux séduire un super mâle ». Les deux jeunes femmes sortirent alors de la chambre et entrèrent dans le salon où Lydie déclara à Marc : « Nous prenons le cabriolet, mon chou. Soyez sages. Réservez vous pour vos petites femmes ». Les deux épouses joyeuses sortirent alors dans un grand éclat de rire avant de s’installer dans le véhicule puis Lydie démarra en trombe en faisant rugir le moteur. Elle avait décidé d'emmener son amie aussi excitée qu'elle dans une grande discothèque de Bénidorm qu’elle connaissait et dont la clientèle était d’un âge en rapport avec celui des deux femmes. Martha profita du trajet pour interroger son amie sur ses aventures extraconjugales. Petite cachotiere, tu ne m'avais jamais parlé de tes amants. Je suis épatée que Marc te laisse le tromper comme ça; il n'est vraiment pas jaloux. Lydie répondit avec franchise : nous savons que tant que notre amour sera le plus fort, rien ne pourra nous séparer. En fait Marc est ravi que son épouse ait des aventures. Il pense qu'elles m'aident à m'épanouir et à garder une bonne estime de moi. Il sait aussi que je ne le trompe pas puisque je lui raconte tout. Martha éclata de rire. Je vous admire, vous êtes vraiment un couple Hors normes. Et tes aventures n'ont jamais mis en péril ton couple. En fait c'est arrivé une fois avec un de mes premiers amants. Mais Marc a été fantastique et très compréhensif. Il m'a montré à cette occasion combien il m'aimait. Il ne m'a pas fait de reproches. Il comprenait qu'avec mon tempérament et mon indépendance j'ai des amants et il ne m'a pas demandé d'arrêter. Mais il m'a demandé de lui en parler à chaque fois que je rencontrerais quelqu'un. J'ai alors compris que cette histoire ne me mènerait nulle part et j'ai rompu avec Youssouf. Il devait être spécial pour toi ce Youssouf. En effet, je l'ai rencontré un an après notre mariage. J'allais avoir 28 ans et ça faisait 3 ans que je partageais la vie de Marc. Comme mon employeur venait de mettre la clef sous la porte, j'avais profité de ces quelques mois de chômage pour bosser bénévolement dans une association d'aide aux réfugiés. Youssouf était sénégalais. Il était venu en France pour passer une licence de lettres et il consacrait pas mal de son temps libre à l'association. Il était absolument magnifique, un vrai mannequin d'un mètre 90 drôle et charmant. Il faisait preuve de beaucoup de maturité alors qu'il avait à peine 20 ans et le courant est tout de suite passé entre nous. Nous passions beaucoup de temps ensemble et un jour j'ai accepté d'aller prendre un verre dans son studio. Lorsqu'il referma la porte derrière moi, j'étais dans un état second et j'avais une envie folle de lui sauter dessus. Il était dans le même état d'esprit car il me prit aussitôt dans ses bras pour m'embrasser. Notre premier baiser fut délicieux et il ne fallut pas très longtemps pour que nous retrouvions à poil dans le lit de Youssouf. Sa queue était incroyable. Un somptueux cep couleur ebene aux veines saillantes magnifiquement dressé vers le ciel. Je n' avais jusqu'alors jamais vu un sexe aussi long et épais mais je n'eprouvai aucune appréhension face au monstre. Youssouf sut me préparer à le recevoir longuement avec patience et douceur et lorsqu'il me pénétra enfin, je crus que j'allais défaillir de plaisir. Nous fimes l'amour pendant plus de 3 heures et Youssouf me procura un nombre incalculable d'orgasmes. Il était infatigable capable de limer des heures entières sans jamais débander malgré ses ejaculations plus que conséquentes. Après cette séance initiatique, nous nous retrouvions souvent dans son studio et je me mis à découcher prétextant des visites à des amies perdues de vue. Évidemment Marc n'était pas dupe. Il était affecté par la situation mais il ne m'en parlait pas. Comme il bossait beaucoup et que ce tombeur n'avait aucun mal à séduire de belles Bourgeoises mariées, il ne manquait pas d'occasions de se consoler. Malgré tout je culpabilisais et Marc finit par m'inviter à passer un week-end détente dans un château hôtel situé au sud de Paris. Avec patience et diplomatie il me convainquit de me confier à lui et je finis par tout lui raconter. Marc ne me jugea pas. Il fut très tendre et me fit l'amour comme au premier jour. Ce fut un week-end merveilleux au cours duquel nous scellâmes notre pacte de franchise.
Marc m'avoua même alors que nous baisions en missionnaire qu'il aurait adoré me regarder me faire sauter par Youssouf. Cette révélation m'excita beaucoup et j'eus très vite un formidable orgasme. Mais ce voeu resta au niveau du fantasme et le lendemain je rompais avec Youssouf et lui appris que j'allais quitter l'association car je venais de trouver un nouvel emploi. La confession de Lydie émut beaucoup Martha. Avec Marc, tu es vraiment tombée sur la perle rare déclara t-elle alors que le voiturier de la boîte s'approchait pour récupérer le cabriolet des deux jeunes femmes.
Le portier semblait ravi de voir ces deux belles femmes se présenter à l'entrée. Il demanda alors à un des videurs de conduire les deux amies à une petite table située non loin du bar. Une fois installées, elles commandèrent chacune un cocktail pas trop corsé. Depuis leur emplacement privilégié, elles pouvaient voir passer tous les mâles qui venaient au comptoir chercher des consommations. Martha venait de remarquer un espagnol ténébreux plutôt chic lorsque Lydie la tira par le bras. « Tu as vu ces deux types là bas » lâcha-t’elle à son amie. « Ils n’arrêtent pas de nous mater ». « Les deux gars en question grands et musclés avaient la quarantaine et ils étaient de type moyen-oriental ». Ils étaient vêtus de costumes beiges et d’une chemise largement ouverte sur leur poitrail arborant chacun une lourde chaîne en or. Le plus costaud portait aussi une chevalière ornée d’un gros diamant ainsi qu’une grosse montre qui semblait très onéreuse. « Tu ne les trouves pas un peu voyants » interrogea Martha peu convaincue par le look des deux hommes« Tu as raison ma belle répondit Lydie, mais à mon avis, ils sont très bien garnis là où il faut. – C’est à dire demanda la blonde en souriant – Et bien dans le portefeuille mais aussi dans le caleçon. –Tu es sûre reprit Martha émoustillée. –Crois en ma grande expérience, je suis prête à parier que le plus costaud est monté comme un taureau. » A ce moment là, le supposé taureau se leva et se dirigea vers la table des deux amies. Une fois arrivé, il s’adressa à elles en souriant de toutes ses dents. « Bonsoir mesdemoiselles dit-il en français. Comment se fait-il que deux personnes aussi charmantes se retrouvent seules dans cet endroit » Sans se démonter, Lydie prit la parole « Et bien figurez-vous cher monsieur, que nos époux nous ont abandonné ce soir - Vraiment, je les traiterais volontiers de goujats indignes sauf si vous nous permettez de vous tenir compagnie, mon ami Karim et moi-même. Dans ce cas je me sentirais plutôt reconnaissant envers vos maris» Les deux filles se regardèrent avec un sourire entendu puis Lydie répondit : « Pourquoi pas nous commencions à nous ennuyer quelque peu ». Les deux hommes s’assirent alors et se présentèrent aux épouses délaissées. Le baratineur déclara s’appeler Hassan et il s’installa à côté de Martha. Bien vite, il se retrouva avec la main posée sur la cuisse de la jeune femme qui ne s’en offusqua point très sensible à la puissance virile rayonnée par l'oriental. Tout en se laissant bercer par le discours enjoué d’Hassan, Martha essayait de s’imaginer un taureau excité et elle était fort émoustillée. Karim bien que plus discret semblait à l’aise avec Lydie et au bout d’un petit moment, il invita la jeune femme à danser. Martha se retrouva seule avec Hassan qui l’entreprit sans pudeur « Ainsi tu es allemande » commença-t-il . -Oui mais je vis en France depuis plus de quinze ans. « J'imagine que tu y as rencontré ton mari et que tu as décidé d'y rester. Mais je trouve très étrange qu'il laisse une femme aussi belle que toi sortir seule en discothèque... c’est plutôt inhabituel. Un peu gênée, Martha répondit –Je ne suis pas seule puisque Lydie est avec moi et... nous avions envie de nous amuser entre filles ce qui est sans doute plutôt très inhabituel dans ton pays d'origine avoua-t-elle. Hassan jeta un coup d'oeil sur la piste avant de répondre: À mon avis, tu as tort et raison . Tu n’es plus seule car je suis avec toi mais je crois que ton amie s’est éclipsée avec Karim . Martha regarda la piste à son tour et constata que Lydie avait disparu. « J’ai l’impression que je vais devoir trouver un nouveau chauffeur » lâcha-t-elle alors fataliste. « A cette heure-ci ça risque d’être difficile. Viens donc boire un verre dans mon penthouse tout proche; je te raccompagnerai après. –Je crois que je dois m’en remettre à toi répondit Martha. Hassan se leva et prit la jeune femme par la taille pour l’emmener avec lui. Ils marchèrent un peu dans la rue et l’air frais enchanta Martha tandis que Hassan massait la croupe de la jeune femme tout en parlant. Il la conduisit ensuite dans le hall luxueux d’un immeuble proche avant d'appeler l’ascenseur. Lorsqu’ils furent dans la cabine, Hassan se plaqua derrière la jeune femme et déposa un baiser dans son cou. Elle ne protesta pas lorsqu'il se mit à défaire le nœud qui maintenait son dos nu libérant de facto les seins lourds et bronzés de la belle blonde. Lorsqu'ils jaillirent fièrement dressés, Hassan s’empressa de les pétrir avec avidité. La jeune femme offrit alors ses lèvres au mâle qui avait glissé sa main droite sous sa jupe étroite et massait de manière experte son intimité humide de désir. La porte de l’ascenseur s’ouvrit et la jupe retroussée de Martha laissait apparaître son sexe blond à la pilosité fournie. Hassan fit entrer la jeune femme dans son luxueux appartement et d’une voix puissante lui ordonna aussitôt de retirer ses vêtements. Il lui demanda ensuite de s’agenouiller et s’approcha d’elle. Martha conquise défit alors la braguette de l’homme qui venait de retirer sa chemise puis elle baissa le pantalon d’Hassan dévoilant un large caleçon de soie qu’elle entreprit ensuite de faire glisser jusqu’aux chevilles du mâle. Elle ne put retenir un cri de stupeur en découvrant les couilles de taureau et le membre surdimensionné de son hôte. Celui-ci lui ordonna alors de s’en saisir et de le porter à la bouche. Martha finit par s’exécuter engloutissant le gland phénoménal tout en branlant l’énorme colonne de chair des ses deux mains. Tandis que la queue enflait, Martha fut bientôt incapable de garder le gland monstrueux dans sa bouche. Il était devenu trop gros risquant de faire éclater les commissures des lèvres de la jeune femme. Hassan s’en rendit compte et prit alors sa conquête dans les bras sans efforts apparents pour la transporter dans sa chambre où il la coucha sur son lit avec douceur allongée sur le dos. Puis Hassan écarta les cuisses robustes et nerveuses de la jeune femme avant de les redresser vers le haut pour dévoiler la vulve offerte et béante de Martha dont le désir intense se mélait à l’appréhension de recevoir un tel glaive. Lorsqu’elle sentit l’énorme gland cogner contre son sexe, elle saisit la hampe et avec lenteur essaya de l’introduire en elle. Dans l’appartement contigu, Lydie et Karim venaient de jouir. La jeune femme qui ne portait plus que ses fines chaînes dorées gisait sur le dos comblée et épuisée. Elle remarqua alors la splendide collection de phallus de matières diverses posés sur diverses étagères de la pièce. Son attention fut retenue par deux beaux spécimen d’ivoire dont un avait une taille très inhabituelle. « Quelle superbe collection dit-elle alors à Karim. Je trouve notamment que ces deux pièces d’ivoire sont magnifiques – En souriant mystérieusement, Karim prit alors la parole. « Sache que ce sont des reproductions de membres de chair et que l’une de ces reproductions est identique à ma verge en érection. – Mais et l’autre… hésita Lydie subjuguée – Et bien elle reproduit le membre triomphant de mon ami Hassan - C’est impossible s’écria Lydie impressionnée. Je ne te crois pas. –Eh bien tu as tort petite française impudente. Je vais d’ailleurs te le prouver immédiatement. Karim se dirigea alors vers un grand meuble en acajou dont il ouvrit les portes supérieures découvrant un large téléviseur qu’il mit en marche. Il se saisit alors d’une télécommande sophistiquée et vint se recoucher près de Lydie avant de manœuvrer la télécommande. Sur l’écran apparut alors la chambre de l’appartement de son ami Hassan. Une caméra fixée au plafond permettait d'assister à la scène qui se déroulait juste à côté.
Lydie put ainsi découvrir son amie allongée sur le dos, les yeux clos et les jambes levées et largement écartées. Elle remarqua aussi la chatte béante et trempée de Martha qui avait englouti le gland démesuré d’Hassan dont la hampe monstrueuse était pour l’instant à l’extérieur de l’antre de la belle allemande. Karim mit alors le son. Lydie était subjuguée. «Très bien superbe salope teutonne, tu as envie de ma grosse queue » lâcha alors Hassan d’une voix dominatrice. Oooh oui ! gémit Martha – Plus fort chienne ! aboya Hassan –Dis que tu la veux au plus profond de toi. –Oh oui Hassan, baise moi à fond défonce moi la chatte– Très bien maintenant dis que tu m’appartiens reprit l'arabe dominateur. –Malgré elle, Martha s’exécutait soumise. –Oui je suis à toi mon puissant taureau hurla t-elle incapable de contrôler ses désirs.
Après une dernière étreinte avec Karim qui la posséda assis sur le lit tandis qu’empalée sur le membre de l’homme elle ne manquait pas une miette du spectacle offert par la vidéo, Lydie décida de rentrer à la villa. Elle se rhabilla rapidement puis quitta l’appartement de son amant après que celui-ci lui ait remis une clef USB contenant le film des ébats de son amie avec Hassan.
Marc m'avoua même alors que nous baisions en missionnaire qu'il aurait adoré me regarder me faire sauter par Youssouf. Cette révélation m'excita beaucoup et j'eus très vite un formidable orgasme. Mais ce voeu resta au niveau du fantasme et le lendemain je rompais avec Youssouf et lui appris que j'allais quitter l'association car je venais de trouver un nouvel emploi. La confession de Lydie émut beaucoup Martha. Avec Marc, tu es vraiment tombée sur la perle rare déclara t-elle alors que le voiturier de la boîte s'approchait pour récupérer le cabriolet des deux jeunes femmes.
Le portier semblait ravi de voir ces deux belles femmes se présenter à l'entrée. Il demanda alors à un des videurs de conduire les deux amies à une petite table située non loin du bar. Une fois installées, elles commandèrent chacune un cocktail pas trop corsé. Depuis leur emplacement privilégié, elles pouvaient voir passer tous les mâles qui venaient au comptoir chercher des consommations. Martha venait de remarquer un espagnol ténébreux plutôt chic lorsque Lydie la tira par le bras. « Tu as vu ces deux types là bas » lâcha-t’elle à son amie. « Ils n’arrêtent pas de nous mater ». « Les deux gars en question grands et musclés avaient la quarantaine et ils étaient de type moyen-oriental ». Ils étaient vêtus de costumes beiges et d’une chemise largement ouverte sur leur poitrail arborant chacun une lourde chaîne en or. Le plus costaud portait aussi une chevalière ornée d’un gros diamant ainsi qu’une grosse montre qui semblait très onéreuse. « Tu ne les trouves pas un peu voyants » interrogea Martha peu convaincue par le look des deux hommes« Tu as raison ma belle répondit Lydie, mais à mon avis, ils sont très bien garnis là où il faut. – C’est à dire demanda la blonde en souriant – Et bien dans le portefeuille mais aussi dans le caleçon. –Tu es sûre reprit Martha émoustillée. –Crois en ma grande expérience, je suis prête à parier que le plus costaud est monté comme un taureau. » A ce moment là, le supposé taureau se leva et se dirigea vers la table des deux amies. Une fois arrivé, il s’adressa à elles en souriant de toutes ses dents. « Bonsoir mesdemoiselles dit-il en français. Comment se fait-il que deux personnes aussi charmantes se retrouvent seules dans cet endroit » Sans se démonter, Lydie prit la parole « Et bien figurez-vous cher monsieur, que nos époux nous ont abandonné ce soir - Vraiment, je les traiterais volontiers de goujats indignes sauf si vous nous permettez de vous tenir compagnie, mon ami Karim et moi-même. Dans ce cas je me sentirais plutôt reconnaissant envers vos maris» Les deux filles se regardèrent avec un sourire entendu puis Lydie répondit : « Pourquoi pas nous commencions à nous ennuyer quelque peu ». Les deux hommes s’assirent alors et se présentèrent aux épouses délaissées. Le baratineur déclara s’appeler Hassan et il s’installa à côté de Martha. Bien vite, il se retrouva avec la main posée sur la cuisse de la jeune femme qui ne s’en offusqua point très sensible à la puissance virile rayonnée par l'oriental. Tout en se laissant bercer par le discours enjoué d’Hassan, Martha essayait de s’imaginer un taureau excité et elle était fort émoustillée. Karim bien que plus discret semblait à l’aise avec Lydie et au bout d’un petit moment, il invita la jeune femme à danser. Martha se retrouva seule avec Hassan qui l’entreprit sans pudeur « Ainsi tu es allemande » commença-t-il . -Oui mais je vis en France depuis plus de quinze ans. « J'imagine que tu y as rencontré ton mari et que tu as décidé d'y rester. Mais je trouve très étrange qu'il laisse une femme aussi belle que toi sortir seule en discothèque... c’est plutôt inhabituel. Un peu gênée, Martha répondit –Je ne suis pas seule puisque Lydie est avec moi et... nous avions envie de nous amuser entre filles ce qui est sans doute plutôt très inhabituel dans ton pays d'origine avoua-t-elle. Hassan jeta un coup d'oeil sur la piste avant de répondre: À mon avis, tu as tort et raison . Tu n’es plus seule car je suis avec toi mais je crois que ton amie s’est éclipsée avec Karim . Martha regarda la piste à son tour et constata que Lydie avait disparu. « J’ai l’impression que je vais devoir trouver un nouveau chauffeur » lâcha-t-elle alors fataliste. « A cette heure-ci ça risque d’être difficile. Viens donc boire un verre dans mon penthouse tout proche; je te raccompagnerai après. –Je crois que je dois m’en remettre à toi répondit Martha. Hassan se leva et prit la jeune femme par la taille pour l’emmener avec lui. Ils marchèrent un peu dans la rue et l’air frais enchanta Martha tandis que Hassan massait la croupe de la jeune femme tout en parlant. Il la conduisit ensuite dans le hall luxueux d’un immeuble proche avant d'appeler l’ascenseur. Lorsqu’ils furent dans la cabine, Hassan se plaqua derrière la jeune femme et déposa un baiser dans son cou. Elle ne protesta pas lorsqu'il se mit à défaire le nœud qui maintenait son dos nu libérant de facto les seins lourds et bronzés de la belle blonde. Lorsqu'ils jaillirent fièrement dressés, Hassan s’empressa de les pétrir avec avidité. La jeune femme offrit alors ses lèvres au mâle qui avait glissé sa main droite sous sa jupe étroite et massait de manière experte son intimité humide de désir. La porte de l’ascenseur s’ouvrit et la jupe retroussée de Martha laissait apparaître son sexe blond à la pilosité fournie. Hassan fit entrer la jeune femme dans son luxueux appartement et d’une voix puissante lui ordonna aussitôt de retirer ses vêtements. Il lui demanda ensuite de s’agenouiller et s’approcha d’elle. Martha conquise défit alors la braguette de l’homme qui venait de retirer sa chemise puis elle baissa le pantalon d’Hassan dévoilant un large caleçon de soie qu’elle entreprit ensuite de faire glisser jusqu’aux chevilles du mâle. Elle ne put retenir un cri de stupeur en découvrant les couilles de taureau et le membre surdimensionné de son hôte. Celui-ci lui ordonna alors de s’en saisir et de le porter à la bouche. Martha finit par s’exécuter engloutissant le gland phénoménal tout en branlant l’énorme colonne de chair des ses deux mains. Tandis que la queue enflait, Martha fut bientôt incapable de garder le gland monstrueux dans sa bouche. Il était devenu trop gros risquant de faire éclater les commissures des lèvres de la jeune femme. Hassan s’en rendit compte et prit alors sa conquête dans les bras sans efforts apparents pour la transporter dans sa chambre où il la coucha sur son lit avec douceur allongée sur le dos. Puis Hassan écarta les cuisses robustes et nerveuses de la jeune femme avant de les redresser vers le haut pour dévoiler la vulve offerte et béante de Martha dont le désir intense se mélait à l’appréhension de recevoir un tel glaive. Lorsqu’elle sentit l’énorme gland cogner contre son sexe, elle saisit la hampe et avec lenteur essaya de l’introduire en elle. Dans l’appartement contigu, Lydie et Karim venaient de jouir. La jeune femme qui ne portait plus que ses fines chaînes dorées gisait sur le dos comblée et épuisée. Elle remarqua alors la splendide collection de phallus de matières diverses posés sur diverses étagères de la pièce. Son attention fut retenue par deux beaux spécimen d’ivoire dont un avait une taille très inhabituelle. « Quelle superbe collection dit-elle alors à Karim. Je trouve notamment que ces deux pièces d’ivoire sont magnifiques – En souriant mystérieusement, Karim prit alors la parole. « Sache que ce sont des reproductions de membres de chair et que l’une de ces reproductions est identique à ma verge en érection. – Mais et l’autre… hésita Lydie subjuguée – Et bien elle reproduit le membre triomphant de mon ami Hassan - C’est impossible s’écria Lydie impressionnée. Je ne te crois pas. –Eh bien tu as tort petite française impudente. Je vais d’ailleurs te le prouver immédiatement. Karim se dirigea alors vers un grand meuble en acajou dont il ouvrit les portes supérieures découvrant un large téléviseur qu’il mit en marche. Il se saisit alors d’une télécommande sophistiquée et vint se recoucher près de Lydie avant de manœuvrer la télécommande. Sur l’écran apparut alors la chambre de l’appartement de son ami Hassan. Une caméra fixée au plafond permettait d'assister à la scène qui se déroulait juste à côté.
Lydie put ainsi découvrir son amie allongée sur le dos, les yeux clos et les jambes levées et largement écartées. Elle remarqua aussi la chatte béante et trempée de Martha qui avait englouti le gland démesuré d’Hassan dont la hampe monstrueuse était pour l’instant à l’extérieur de l’antre de la belle allemande. Karim mit alors le son. Lydie était subjuguée. «Très bien superbe salope teutonne, tu as envie de ma grosse queue » lâcha alors Hassan d’une voix dominatrice. Oooh oui ! gémit Martha – Plus fort chienne ! aboya Hassan –Dis que tu la veux au plus profond de toi. –Oh oui Hassan, baise moi à fond défonce moi la chatte– Très bien maintenant dis que tu m’appartiens reprit l'arabe dominateur. –Malgré elle, Martha s’exécutait soumise. –Oui je suis à toi mon puissant taureau hurla t-elle incapable de contrôler ses désirs.
Après une dernière étreinte avec Karim qui la posséda assis sur le lit tandis qu’empalée sur le membre de l’homme elle ne manquait pas une miette du spectacle offert par la vidéo, Lydie décida de rentrer à la villa. Elle se rhabilla rapidement puis quitta l’appartement de son amant après que celui-ci lui ait remis une clef USB contenant le film des ébats de son amie avec Hassan.
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