Vacances à poil 05
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-07-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Vacances à poil 05
Vacances à poil 05
Ils nous attendaient à notre table habituelle. Je prenais un air décidé mais j'avais comme l'impression de ne pas avoir l'air méchant. En fait j'étais content, un peu frustré mais content.
Je venait de sucer Greg !
J'y avais pris beaucoup de plaisir, je l'avais senti frémir et trembler de plaisir. Je l'avais entendu gémir et crier de plaisir. Il m'avait généreusement juté dans la bouche et j'avais encore le goût de son sperme sur ma langue.
Il avait lui aussi l'air heureux. Moi j'avais aussi mal au cul. Bon, ça il n'y était pour rien, ça, c'était Tom la veille.
– Alors on me dit que vous n'avez même pas la clé ! Faisais-je remarquer pour commencer
– C'était une blague ! Rajoutais aussitôt François.
– On voulait juste rigoler ! Continuait Robert.
– Et vous trouvez ça drôle ?
Là c'est vrai qu'il faisaient moins les malins. Et c'est là que j'ai eu une idée idiote. Alors que je ne rêvais que de me faire défoncer le cul par eux, pas tout de suite mais plus tard, je leur proposais de faire comme moi. Je leur proposais, j'exigeais qu'ils fassent comme moi, j'exigeais qu'ils mettent eux aussi un cadenas.
Je n'avais pas réfléchi à ce que j'allais dire. Je n'ai pas réfléchi une seconde à ce que je disais. J'avais pas terminé de parler, que je me demandais si je n'avais pas dit une connerie.
Mais Tom qui était du genre que ça amuse de rire arrivait avec une petite assiette et dessus une sorte de couvercle argenté, il posait l'assiette sur notre table, et en rigolant prenait notre commande.
On se regardait sans rien comprendre, Tom repartait en se dandinant du cul et en sifflotant. Je soulevais le couvercle argenté et brillant. Il y avait trois cadenas en dessous. C'était le même modèle que celui que je portais.
Là je pouvais l'examiner plus attentivement, il était composé de deux barres solidarisées autour d'un axe, un peu comme des ciseaux. Il n'y avait pas besoin de clé pour refermer le dispositif, il ne pouvait se verrouiller que s'il était en position sur la cage, sinon il marchait dans le vide. Pour l'ouvrir il fallait la clé !
J'avais compris comment ça marchait. D'un geste rapide et précis, j'attrapais la cage du premier à côté de moi et je tentais d'y installait la serrure. François s'est écarté et j'ai refermé le dispositif dans le vide, il ne s'était donc pas verrouillé.
– Mais pourquoi tu fais ça ? Râlais François. En me prenant le cadenas des mains.
– Et pourquoi devrais-je être le seul à rester sage ?
– Mais c'est pas moi, j'ai rien fait moi.
– Il se passe quoi là ? Demandait Robert qui se levait pour voir ce qui se passait.
Plus personne ne bougeait, chacun se méfiait des autres. Ils avaient tous le cadenas dans la main, prêts à bondir sur le premier qu'il pourraient attraper. Là j'ai pouffé de rire.
– Il n'empêche que c'est vrai ça ? Pourquoi je suis le seul ? Déclarais-je.
– En fait on pensait qu'il y avait la clé dans la boîte. Expliquait Robert.
– Tu es fâché ? Demandait François.
– J'aimerais seulement vous voir tous enfermés, ça me suffirait comme vengeance ! Rajoutais-je sur le ton de la plaisanterie.
Ils ont pouffé de rire, je n'aurais jamais pensé qu'ils le feraient. Mais ils l'ont fait.
– Voilà, on en est tous au même point déclarais-je.
Nous étions à une table un peu en retrait et tout s'était passé si vite que les tables voisines n'avaient rien vu. Seul Tom qui surveillait nos réactions avait tout compris. Il arrivait tout joyeux quelques instants plus tard avec notre commande. Josh suivait et apportait les boissons.
– Tu as vu ça Josh ils ont formé un club ! Disait Tom en rigolant.
Josh n'était au courant de rien, il nous regardait attentivement et pouffait de rire quand il a compris. J'avais un grand sourire et mes camarades avaient l'air pas très futés. Ils ne semblaient pas vraiment conscient de ce qui se passait.
On à enfin pu souper, j'étais content de mon coup. Je me suis régalé, ils n'ont rien mangé. J'avais toujours mal au cul mais j'étais content.
Ils faisaient la gueule mais n'osaient pas trop râler, c'était quand même eux qui avaient commencé ce jeu, je l'avais gagné en leur forçant la main. Je me disais qu'ils devaient trouver le jeux bien moins drôle maintenant. On se levait de table, de loin, même de pas très loin, on ne remarque rien. Le système de verrouillage est très discret. Personne ne remarquait quoi que ce soit quand on traversait la salle, enfin je pense …
On était quatre jeunes, assez mignons, et on portait un dispositif de chasteté, là par contre on le voyait de loin. On ne se faisait pas remarquer plus que ça finalement. Nous n'étions pas les seuls, il y avait plusieurs homme d'âge mûr qui en portaient un aussi mais les autres c'étaient surtout des jeunes.
Un peut plus tard, on s'installait contre un bar, on se faisait servir un cocktail sans alcool Josh rigolait en nous servant …
– Et pourquoi vous avez décidé de tous verrouiller votre cage.
– Et pourquoi tu as accepté d'en porter une verrouiller ? Répondait Greg du tac au tac.
– Bon ! OK ! Mauvais poil ! Lui répondait Josh.
Suivait à la tombée de la nuit une soirée dansante, comme tous les soirs, mais là ça devait devenir encore plus frustrant. Il y avait plus de monde que la veille, les premiers touristes arrivaient et les filles avaient des yeux partout. Et surtout là ou elles ne devraient pas.
Je ne sais pas comment elles faisaient les petites mais elles repéraient les garçons qui portaient une cage de chasteté et parmi eux elles repéraient ceux qui portaient un cadenas, pourtant il était discret je vous jure.
Elles nous repéraient et elles s'en amusaient. Elle se collaient à nous,se frottaient contre nous. Une d'entre elles me prenait dans ses bras, en général on évite à cause des réactions physiologiques mais les garçons qui portaient, comme nous, se faisait plus facilement taquiner par les filles.
Un groupe d'entre elles, un troupeau presque, ont repéré que nous étions sous clé. Elles ne nous ont pas lâché de la soirée. Mes copains étaient fous, moi j'étais un peu moins sensible à leurs charmes, ça devait être ça oui, et c'est vrai que cette histoire semblait bien moins m'exciter que mes camarades.
Le moment des slow était le plus torride. Les filles se sentaient fortes. Elles glissaient leurs corps sur celui de leur compagnon, les cages se redressaient, se remplissaient, la pression montait et si pour presque tous les garçons la situation n'allait pas durer, s'il savaient que un peu plus tard, dans l'intimité, il pourraient retirer leurs cages. Me camarades et moi savions parfaitement que nous resterions dans cette situation pour encore quelques temps, pour encore quelques semaines.
Finalement rien de dépassait, rien ne se relevait et tout semblait rester parfaitement convenable. Tout le monde s'amusait. Plus tard dans la soirée des couples disparaissaient, ceux là on ne les reverrait que le lendemain matin.
Mes camarades disparaissaient également, chacun avec une fille. Moi je préférais rentrer me coucher tout seul. Je ne les revoyais que le lendemain matin, ils n'avaient pas vraiment l'air ravis, ils me regardaient toujours de travers. Ce jeu ne leur plaisait plus du tout mais c'étaient eux qui avaient commencé.
Et la partie n'était pas terminée …
J'étais tranquille allongé sur mon lit quand j'entendais frapper à la porte, c'était Samy, un autre barman. Je crois que je ne vous ai pas parlé de lui. Il était grand, large d'épaules, lui il ne portait pas de dispositif de chasteté, il savait se contrôler. C'était un habitué des séjours à poil.
– Tu dors ? Me demandait-il. Moi je n'y arrivais pas.
Je me relevais et l'invitais à me suivre sur la terrasse. Il avait emporté quelques bières, il en a débouché une. Et on a parlé.
En fait c'est Thom qui lui avait conseillé de venir me voir, il avait envie de tirer un coup. Je le devinais rapidement car comme je vous disais il se contrôlait très bien mais là il n'essayait même pas, le niveau de la première canette avait à peine baissé qu'il bandait.
Il se caressait la queue, là le message était clair … La bière était peut être un peu tiède … Non je déconne, la bière était parfaite mais il avait aussi envie d'autre chose. Il ne cherchais pas éjaculer, à jouir, il maintenait juste une érection, sans doute en attendant que je réagisse.
C'est ce je j'ai fait, je regardais ça sans pouvoir en faire autant. Je réajustais ma cage, il y avait brusquement beaucoup de pression à l'intérieur, on se demande bien pourquoi. Il avait une très belle queue, il était circoncis, son gland brillant couronnait une belle queue, bien droite, bien raide, bien … Oui très bien même.
C'est sans prévenir que d'un mouvement rapide je me penchais vers lui et prenait son gland dans ma bouche. Il n'a même pas sursauté, il m'a laissé faire et pour seule réponse il me caressait les cheveux.
Je prenais son gland de plus en plus profond dans ma bouche. C'était encore nouveau pour moi tout ça mais là je savais que ça deviendrait de plus en plus fréquent. Déjà j'y prenais un réel plaisir, rien à voir avec l'orgasme, ça c'est pour celui qui se fait sucer, mais il y a un véritable plaisir à sucer une belle queue.
Je me souvenais de ce que ça faisait de se la prendre dans le cul et j'avais un peu peur pour la suite, mais je préférais ne pas y penser et je laissais faire. Je suçais il aimait et me le montrait, pour le moment c'était tout.
Régulièrement je relevais la tête, j'avalais une gorgée de bière, je lui caressais la queue et je replongeais. À chaque fois sa queue entrait plus profond, à chaque fois un peu plus profond, à chaque fois il gémissait un peu plus et ses caresses sur mes cheveux devenaient plus prononcées. Il m'encourageait comme il pouvait.
Quand je relevais la tête je lui massait la queue, doucement, je ne voulais pas conclure tout de suite, il était encore tôt. Ma queue me torturait, elle forçait contre les barreaux de ma cage, elle forçait ne parvenant pas à se résigner à cet emprisonnement.
Il glissait sa main sur mon ventre et descendait la glissait jusqu'à ma cage, dans un premier temps il s'amusait avec ma cage, dans un deuxième temps il s'amusait à me tripoter les couilles. Elles se resserraient et formaient une grosse boule bien ferme et sensible. Il la prenait à pleine main et l'écrasait doucement, la malaxait. Ce n'était pas totalement agréable, il me faisait bander encore plus et plus je bandais plus je me sentais à l'étroit dans ma cage.
Mais je ne me laissais pas distraire, il y avait cette grosse queue devant mon nez quand je relevais la tête, ce gland lisse et humide qui brillait. La queue était ferme, j'aimais ce contact, j'aimais la sentir dans ma main.
Il soulevait le bassin et me rappelait qu'il attendait, je replongeais la tête sur sa queue. Elle entrait maintenant jusqu'au fond de ma gorge. Il appuyait un peu quand j'en arrivais là, juste un peu. Je faisais des bruit bizarres il gémissait longuement.
Puis il me retenait un peu plus et il soulevait son bassin, là j'en prenais plein la bouche. Sa queue s'enfonçait dans ma gorge, c'était pas vraiment agréable mais lui, il semblait aimer. Aussi je me forçais. Je me forçais pour lui faire plaisir. Mon plaisir peu à peu passait par le plaisir de l'autre.
Ma queue continuait à protester et il commençait à me faire un peu mal aux couilles, juste un peu aussi je laissais faire.
Il soulevait le bassin de plus en plus vite, de plus en plus. Il appuyait en même temps il appuyait sur ma tête avec plus de force, il s'arrêtait juste à temps, s'il avait appuyé plus longtemps je ne l'aurait pas supporté, mais il savait doser. Il me laissait relever la tête, il me laissait respirer, j'en profitait pour enfiler une gorgée de bière et je reprenais.
Je passais mes mains sur son torse, il avait la peau douce. Il passait une main sur mes fesses et je lui suçait la queue.
Il gémissait plus fort soudainement, il retenait mon visage contre son ventre et c'est là qu'il à juté avec force. Je me suis pris trois grosse giclées de sperme dans la bouche, par réflexe j'ai voulu relever la tête mais il me retenait avec force maintenant et avec l'autre main il me glissait un doigt dans le cul, il y allait direct, il me faisait mal, il y allait à sec.
Sont doigt est rentré, peut être pas très profond, mais il est rentré et là, j'ai joui, c'était inattendu mais c'était bon.
C'est à ce moment que j'ai compris, que j'ai vraiment compris que mon cul deviendrait une source de plaisir. J'ai avalé, j'ai moi aussi abondement juté et j'ai pris mon pied. Je l'ai senti trembler, ça aussi c'était bon, ressentir le plaisir de l'autre, le partager le ressentir à travers les réactions de l'autre.
Je le sentais se détendre, je m'effondrais sur lui, je gardais son gland dans ma bouche et je continuais à le lui sucer pendant un long moment.
Ensuite on a ouvert une autre bouteille.
A suivre
N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
Ils nous attendaient à notre table habituelle. Je prenais un air décidé mais j'avais comme l'impression de ne pas avoir l'air méchant. En fait j'étais content, un peu frustré mais content.
Je venait de sucer Greg !
J'y avais pris beaucoup de plaisir, je l'avais senti frémir et trembler de plaisir. Je l'avais entendu gémir et crier de plaisir. Il m'avait généreusement juté dans la bouche et j'avais encore le goût de son sperme sur ma langue.
Il avait lui aussi l'air heureux. Moi j'avais aussi mal au cul. Bon, ça il n'y était pour rien, ça, c'était Tom la veille.
– Alors on me dit que vous n'avez même pas la clé ! Faisais-je remarquer pour commencer
– C'était une blague ! Rajoutais aussitôt François.
– On voulait juste rigoler ! Continuait Robert.
– Et vous trouvez ça drôle ?
Là c'est vrai qu'il faisaient moins les malins. Et c'est là que j'ai eu une idée idiote. Alors que je ne rêvais que de me faire défoncer le cul par eux, pas tout de suite mais plus tard, je leur proposais de faire comme moi. Je leur proposais, j'exigeais qu'ils fassent comme moi, j'exigeais qu'ils mettent eux aussi un cadenas.
Je n'avais pas réfléchi à ce que j'allais dire. Je n'ai pas réfléchi une seconde à ce que je disais. J'avais pas terminé de parler, que je me demandais si je n'avais pas dit une connerie.
Mais Tom qui était du genre que ça amuse de rire arrivait avec une petite assiette et dessus une sorte de couvercle argenté, il posait l'assiette sur notre table, et en rigolant prenait notre commande.
On se regardait sans rien comprendre, Tom repartait en se dandinant du cul et en sifflotant. Je soulevais le couvercle argenté et brillant. Il y avait trois cadenas en dessous. C'était le même modèle que celui que je portais.
Là je pouvais l'examiner plus attentivement, il était composé de deux barres solidarisées autour d'un axe, un peu comme des ciseaux. Il n'y avait pas besoin de clé pour refermer le dispositif, il ne pouvait se verrouiller que s'il était en position sur la cage, sinon il marchait dans le vide. Pour l'ouvrir il fallait la clé !
J'avais compris comment ça marchait. D'un geste rapide et précis, j'attrapais la cage du premier à côté de moi et je tentais d'y installait la serrure. François s'est écarté et j'ai refermé le dispositif dans le vide, il ne s'était donc pas verrouillé.
– Mais pourquoi tu fais ça ? Râlais François. En me prenant le cadenas des mains.
– Et pourquoi devrais-je être le seul à rester sage ?
– Mais c'est pas moi, j'ai rien fait moi.
– Il se passe quoi là ? Demandait Robert qui se levait pour voir ce qui se passait.
Plus personne ne bougeait, chacun se méfiait des autres. Ils avaient tous le cadenas dans la main, prêts à bondir sur le premier qu'il pourraient attraper. Là j'ai pouffé de rire.
– Il n'empêche que c'est vrai ça ? Pourquoi je suis le seul ? Déclarais-je.
– En fait on pensait qu'il y avait la clé dans la boîte. Expliquait Robert.
– Tu es fâché ? Demandait François.
– J'aimerais seulement vous voir tous enfermés, ça me suffirait comme vengeance ! Rajoutais-je sur le ton de la plaisanterie.
Ils ont pouffé de rire, je n'aurais jamais pensé qu'ils le feraient. Mais ils l'ont fait.
– Voilà, on en est tous au même point déclarais-je.
Nous étions à une table un peu en retrait et tout s'était passé si vite que les tables voisines n'avaient rien vu. Seul Tom qui surveillait nos réactions avait tout compris. Il arrivait tout joyeux quelques instants plus tard avec notre commande. Josh suivait et apportait les boissons.
– Tu as vu ça Josh ils ont formé un club ! Disait Tom en rigolant.
Josh n'était au courant de rien, il nous regardait attentivement et pouffait de rire quand il a compris. J'avais un grand sourire et mes camarades avaient l'air pas très futés. Ils ne semblaient pas vraiment conscient de ce qui se passait.
On à enfin pu souper, j'étais content de mon coup. Je me suis régalé, ils n'ont rien mangé. J'avais toujours mal au cul mais j'étais content.
Ils faisaient la gueule mais n'osaient pas trop râler, c'était quand même eux qui avaient commencé ce jeu, je l'avais gagné en leur forçant la main. Je me disais qu'ils devaient trouver le jeux bien moins drôle maintenant. On se levait de table, de loin, même de pas très loin, on ne remarque rien. Le système de verrouillage est très discret. Personne ne remarquait quoi que ce soit quand on traversait la salle, enfin je pense …
On était quatre jeunes, assez mignons, et on portait un dispositif de chasteté, là par contre on le voyait de loin. On ne se faisait pas remarquer plus que ça finalement. Nous n'étions pas les seuls, il y avait plusieurs homme d'âge mûr qui en portaient un aussi mais les autres c'étaient surtout des jeunes.
Un peut plus tard, on s'installait contre un bar, on se faisait servir un cocktail sans alcool Josh rigolait en nous servant …
– Et pourquoi vous avez décidé de tous verrouiller votre cage.
– Et pourquoi tu as accepté d'en porter une verrouiller ? Répondait Greg du tac au tac.
– Bon ! OK ! Mauvais poil ! Lui répondait Josh.
Suivait à la tombée de la nuit une soirée dansante, comme tous les soirs, mais là ça devait devenir encore plus frustrant. Il y avait plus de monde que la veille, les premiers touristes arrivaient et les filles avaient des yeux partout. Et surtout là ou elles ne devraient pas.
Je ne sais pas comment elles faisaient les petites mais elles repéraient les garçons qui portaient une cage de chasteté et parmi eux elles repéraient ceux qui portaient un cadenas, pourtant il était discret je vous jure.
Elles nous repéraient et elles s'en amusaient. Elle se collaient à nous,se frottaient contre nous. Une d'entre elles me prenait dans ses bras, en général on évite à cause des réactions physiologiques mais les garçons qui portaient, comme nous, se faisait plus facilement taquiner par les filles.
Un groupe d'entre elles, un troupeau presque, ont repéré que nous étions sous clé. Elles ne nous ont pas lâché de la soirée. Mes copains étaient fous, moi j'étais un peu moins sensible à leurs charmes, ça devait être ça oui, et c'est vrai que cette histoire semblait bien moins m'exciter que mes camarades.
Le moment des slow était le plus torride. Les filles se sentaient fortes. Elles glissaient leurs corps sur celui de leur compagnon, les cages se redressaient, se remplissaient, la pression montait et si pour presque tous les garçons la situation n'allait pas durer, s'il savaient que un peu plus tard, dans l'intimité, il pourraient retirer leurs cages. Me camarades et moi savions parfaitement que nous resterions dans cette situation pour encore quelques temps, pour encore quelques semaines.
Finalement rien de dépassait, rien ne se relevait et tout semblait rester parfaitement convenable. Tout le monde s'amusait. Plus tard dans la soirée des couples disparaissaient, ceux là on ne les reverrait que le lendemain matin.
Mes camarades disparaissaient également, chacun avec une fille. Moi je préférais rentrer me coucher tout seul. Je ne les revoyais que le lendemain matin, ils n'avaient pas vraiment l'air ravis, ils me regardaient toujours de travers. Ce jeu ne leur plaisait plus du tout mais c'étaient eux qui avaient commencé.
Et la partie n'était pas terminée …
J'étais tranquille allongé sur mon lit quand j'entendais frapper à la porte, c'était Samy, un autre barman. Je crois que je ne vous ai pas parlé de lui. Il était grand, large d'épaules, lui il ne portait pas de dispositif de chasteté, il savait se contrôler. C'était un habitué des séjours à poil.
– Tu dors ? Me demandait-il. Moi je n'y arrivais pas.
Je me relevais et l'invitais à me suivre sur la terrasse. Il avait emporté quelques bières, il en a débouché une. Et on a parlé.
En fait c'est Thom qui lui avait conseillé de venir me voir, il avait envie de tirer un coup. Je le devinais rapidement car comme je vous disais il se contrôlait très bien mais là il n'essayait même pas, le niveau de la première canette avait à peine baissé qu'il bandait.
Il se caressait la queue, là le message était clair … La bière était peut être un peu tiède … Non je déconne, la bière était parfaite mais il avait aussi envie d'autre chose. Il ne cherchais pas éjaculer, à jouir, il maintenait juste une érection, sans doute en attendant que je réagisse.
C'est ce je j'ai fait, je regardais ça sans pouvoir en faire autant. Je réajustais ma cage, il y avait brusquement beaucoup de pression à l'intérieur, on se demande bien pourquoi. Il avait une très belle queue, il était circoncis, son gland brillant couronnait une belle queue, bien droite, bien raide, bien … Oui très bien même.
C'est sans prévenir que d'un mouvement rapide je me penchais vers lui et prenait son gland dans ma bouche. Il n'a même pas sursauté, il m'a laissé faire et pour seule réponse il me caressait les cheveux.
Je prenais son gland de plus en plus profond dans ma bouche. C'était encore nouveau pour moi tout ça mais là je savais que ça deviendrait de plus en plus fréquent. Déjà j'y prenais un réel plaisir, rien à voir avec l'orgasme, ça c'est pour celui qui se fait sucer, mais il y a un véritable plaisir à sucer une belle queue.
Je me souvenais de ce que ça faisait de se la prendre dans le cul et j'avais un peu peur pour la suite, mais je préférais ne pas y penser et je laissais faire. Je suçais il aimait et me le montrait, pour le moment c'était tout.
Régulièrement je relevais la tête, j'avalais une gorgée de bière, je lui caressais la queue et je replongeais. À chaque fois sa queue entrait plus profond, à chaque fois un peu plus profond, à chaque fois il gémissait un peu plus et ses caresses sur mes cheveux devenaient plus prononcées. Il m'encourageait comme il pouvait.
Quand je relevais la tête je lui massait la queue, doucement, je ne voulais pas conclure tout de suite, il était encore tôt. Ma queue me torturait, elle forçait contre les barreaux de ma cage, elle forçait ne parvenant pas à se résigner à cet emprisonnement.
Il glissait sa main sur mon ventre et descendait la glissait jusqu'à ma cage, dans un premier temps il s'amusait avec ma cage, dans un deuxième temps il s'amusait à me tripoter les couilles. Elles se resserraient et formaient une grosse boule bien ferme et sensible. Il la prenait à pleine main et l'écrasait doucement, la malaxait. Ce n'était pas totalement agréable, il me faisait bander encore plus et plus je bandais plus je me sentais à l'étroit dans ma cage.
Mais je ne me laissais pas distraire, il y avait cette grosse queue devant mon nez quand je relevais la tête, ce gland lisse et humide qui brillait. La queue était ferme, j'aimais ce contact, j'aimais la sentir dans ma main.
Il soulevait le bassin et me rappelait qu'il attendait, je replongeais la tête sur sa queue. Elle entrait maintenant jusqu'au fond de ma gorge. Il appuyait un peu quand j'en arrivais là, juste un peu. Je faisais des bruit bizarres il gémissait longuement.
Puis il me retenait un peu plus et il soulevait son bassin, là j'en prenais plein la bouche. Sa queue s'enfonçait dans ma gorge, c'était pas vraiment agréable mais lui, il semblait aimer. Aussi je me forçais. Je me forçais pour lui faire plaisir. Mon plaisir peu à peu passait par le plaisir de l'autre.
Ma queue continuait à protester et il commençait à me faire un peu mal aux couilles, juste un peu aussi je laissais faire.
Il soulevait le bassin de plus en plus vite, de plus en plus. Il appuyait en même temps il appuyait sur ma tête avec plus de force, il s'arrêtait juste à temps, s'il avait appuyé plus longtemps je ne l'aurait pas supporté, mais il savait doser. Il me laissait relever la tête, il me laissait respirer, j'en profitait pour enfiler une gorgée de bière et je reprenais.
Je passais mes mains sur son torse, il avait la peau douce. Il passait une main sur mes fesses et je lui suçait la queue.
Il gémissait plus fort soudainement, il retenait mon visage contre son ventre et c'est là qu'il à juté avec force. Je me suis pris trois grosse giclées de sperme dans la bouche, par réflexe j'ai voulu relever la tête mais il me retenait avec force maintenant et avec l'autre main il me glissait un doigt dans le cul, il y allait direct, il me faisait mal, il y allait à sec.
Sont doigt est rentré, peut être pas très profond, mais il est rentré et là, j'ai joui, c'était inattendu mais c'était bon.
C'est à ce moment que j'ai compris, que j'ai vraiment compris que mon cul deviendrait une source de plaisir. J'ai avalé, j'ai moi aussi abondement juté et j'ai pris mon pied. Je l'ai senti trembler, ça aussi c'était bon, ressentir le plaisir de l'autre, le partager le ressentir à travers les réactions de l'autre.
Je le sentais se détendre, je m'effondrais sur lui, je gardais son gland dans ma bouche et je continuais à le lui sucer pendant un long moment.
Ensuite on a ouvert une autre bouteille.
A suivre
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