Vacances à poil 08
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-08-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Vacances à poil 08
Vacances à poil 08
Nous retrouvions au bar, il était minuit passé mais le bar ne fermait pas avant trois heures du matin. Il était en retrait de la zone réservée aux locations, pour ne pas déranger ceux qui voudraient dormir tranquillement sans pour autant oublier ceux qui voudraient faire la fête.
Tout le monde était à poil, Alain semblait détendu. On le serait à moins il venait de s'enfiler sa copine. La mienne l'était aussi, je lui avais servi de sex-toy et elle m'avait utilisé jusqu'à satisfaction de son plaisir.
Bon moi je faisais bonne figure. J'avais senti ma copine vibrer de plaisir dans mes bras mais pour moi, rien. J'avais toujours ma queue en cage et elle protestait toujours. Ma cage s'était remplie jusqu'à déborder. Ça durait depuis un moment maintenant et c'était vraiment inconfortable. Pas vraiment douloureux, c'est déjà ça !
On commandait quelques cocktails et on discutait.
Alain me questionnait sur ma cage, il rigolait quand je lui racontait mon histoire. Les filles aussi rigolaient. Mes copains avaient disparu depuis le début de la soirée, eux aussi étaient dans la même situation que moi. Nous porterions cette cage jusqu'à la fin de nos vacances. Nous serions contrains à rester sage alors qu'il y avait des filles un peu partout et toutes à poil, et toutes affolantes, et toutes …
Ma cage se faisait sentir, j'étais le seul à la remarquer, les autres autour de moi ne remarquaient dans quel état de frustration je me retrouvais. Un peu plus tard les deux filles nous laissaient.
– Ça fait longtemps que tu es avec … heu … Demandais-je à Alain.
Je ne me souvenais plus du nom de sa copine, en fait je ne le connaissais pas. Et je n'étais pas le seul.
– Avec … heu … Me répondait-il. Non on s'est rencontré ce soir, je ne sais même comment elle s'appelle. Et toi ?
– Moi non plus je ne connais pas son nom, je suis là avec des amis et c'est une des filles qui nous tournent autour, elles ne nous ont rien demandé et voilà.
– Si tes copains portent aussi une cage, c'est normal, les filles adorent ça. Mais tu peux la retirer !
– Bein non, on ne nous donnera pas la clé avant notre départ.
– Excuse, je n'avais pas imprimé ce détail. Mais c'est vrai que c'est stimulant.
– Pour moi c'est frustrant.
– Et tu fais comment pour te faire plaisir ? Il avait un petit regard vicieux en me demandant ça.
Je ne lui répondais que par un sourire vicieux, ou entendu.
– Si tu veux, je t'invite à terminer la soirée chez moi. Je suis dans un coin tranquille. On pourra boire quelques verres avant de …
Je n'osais relever le ' avant de ' il n'avait pas l'air de s'intéresser aux mecs et en plus il venait de se vider les couilles. Il était en effet un peu en retrait, face à la mer. C'était un endroit d'exception.
– Et tu as fait comment pour avoir un mobil-home à cet endroit ? Lui demandais-je.
– J'ai des actions dans le camping ! Me répondait-il simplement.
On s'installait face à la mer, il faisait nuit noire et c'est à peine si on distinguait les mouvements de l'eau. Le ciel était illuminé d'étoiles. Il ouvrait deux bouteilles, m'en déposait une à côté de moi.
– Il me semble bien avoir entendu parler de vous, de toi et de tes copains. Mais je ne sais pas pourquoi je pensais que vous n'étiez pas resté.
– On avait réservé et payé d'avance !
– C'est vrai que dans ces cas là, ils ne remboursent pas.
– Et voilà !
– Vous avez préféré la cage à bite ! C'est amusant !
– C'est pas le mot que j'aurais choisi, moi j'aurais dit … Frustrant !
– Oui, la frustration est livrée avec.
On discutait tranquillement en buvant quelques gorgées de bières, il se caressait la queue. Une très faible veilleuse nous permettait de nous voir. Je le regardais, ma queue protestait, mais bon c'est ce qu'elle faisait depuis un moment déjà, ça ne changeait pas grand chose.
Sa queue était impressionnante, je ne l'avais vue qu'à moitié molle, là dans une cette obscurité qui me laissait pourtant tout deviner, elle se dévoilait énorme.
– Et ça doit te manquer tout de même ?
J'avalais ma salive, et parvenait à lui répondre une sorte de ' Groui '. Il rigolait et commençait à se masturber. Je le regardais, mon regard passait de sa queue à son visage, il souriait, il avait l'air détendu et moi je me sentais encore plus frustré à chaque seconde.
Comme pour me provoquer, il se tournait vers moi et c'est donc bien en face qu'il me donnait ce spectacle. Là je vous jure je bavais.
– Tu sais, tu peux intervenir si tu veux !
J'ai bien compris le message. Je me penchais vers lui et sans autre cérémonial, je prenais sa queue dans ma bouche. Il retirait sa main et me laissait faire. J'appuyais ma tête et je sentais sa queue glisser sur ma langue et s'enfoncer lentement jusque dans ma gorge.
Je ne forçais pas, elle était grosse et je préférais m'épargner au début, je choisissais d'y aller doucement. Je relevais la tête, la penchais de nouveau et sa queue caressait ma langue, il gémissait de plaisir. Je devinais à quel point ça devait être agréable, dans ma tête, je m'imaginais cette sensation, ce plaisir.
Ma queue était toujours écrasée par les barreaux de la cage et la sensation était très différente. Il avait droit à une grande douceur, j'avais droit à la dureté. Je ne parvenais même pas à ajuster ma queue en tirant sur la peau, la pression était trop forte.
J'appuyais ma tête, sa queue arrivait presque à ma gorge et sans me prévenir il me balançait un coup de bassin, sa queue entrait et s'écrasait au fond de ma gorge. Je n'ai pas eu le temps de réagir, c'était violent, mais j'ai encaissé. Il me laissait agir sans me brusquer.
– C'est pas la première fois que tu suce toi ?
– Honk, honk … Répondais-je en agitant la tête de droite à gauche sans arrêter pour autant de le sucer.
Je devinais son sourire à sa voix, il était satisfait.
– Et si je faisait comme ta copine, si ne prenais mon plaisir sans se préoccuper du tien.
La je ne tentais même pas de répondre, mais un instant j'ai eu peur qu'il ne le fasse. Mais j'ai continué à lui donner du plaisir, au risque de me retrouver encore plus frustré.
Là je me suis donné à fond, j'espérais en lui donnant du plaisir qu'il m'en donne après. Ma queue protestait mais mon cul aussi. Là j'avais une queue magnifique sous la main. Pardon je voulais dire dans la bouche. Et j'espérais bien me la prendre dans le cul. Ça ne dépendait pas de moi.
Je découvrais peu à peu ce nouveau plaisir basé sur la frustration. C'était la deuxième leçon de la soirée. Mon cœur battait très fort, et il y avait cette queue superbe que je ne voulais plus lâcher. Je me régalais, je la caressais avec ma langue, j'insistais fermement sur son gland, il était à la fois doux et chaud, et je provoquais des réaction.
Il gémissait de plaisir, là il ne se retenais plus. Il appuyait sur ma tête. Son gland rentrait en force, je résistais, elle ressortait. Il appuyais alors un peu plus fort, et tout recommençait.
Je le suçais mais c'était aussi lui qui me baisait la bouche. C'est pas forcément désagréable de perdre en partie le contrôle de la situation, et là il faut bien reconnaître que je ne contrôlais plus rien.
Par moment il me retenait, il se retenait en fait !
Puis il décidait de passer à autre chose.
– Relève toi ! Me disait-il en se relevant.
Il me prenait dans ses bras et me caressait.
– Moi aussi, j'aime bien les mec, tout comme les filles. Pourquoi choisir quand on peu avoir les deux !
Il me caressait les couilles puis les fesses, il glissait un doigt dans mon cul. Comme ça sans prévenir, à sec ou presque. Puis quelques instants plus tard il revenait à la charge mais là il avait lubrifié, il me glissait un doigt dans le cul et commençait à l'agiter, il y rajoutais un autre doigt et là le plaisir devenait réel, bien réel. Je gémissais de plaisir et j'en redemandais encore.
Il me retournait contre le garde fou, je m'appuyais et d'instinct écartais les jambes. Il continuait à me lubrifier le cul. J'avais compris ou il voulait en venir et je n'avais pas l'intention de le repousser. Même s'il avait une grosse queue, surtout qu'il avait une grosse queue !
L'avantage dans ce genre d'endroit, c'est qu'on n'a pas besoin de retirer ses vêtements. Il se glissait dans mon dos, son corps était chaud, et doux, il sentait le soleil. J'en oubliais sa queue, mais un instant seulement.
Un instant plus tard, je sentais une pression, une masse lourde et ferme appuyait contre mon cul. Je me détendais ne résistais pas et la pression augmentais, le corps de Alain était tout contre moi, il me tenait dans ses bras et m'embrassait dans le cou. Il se relevait aussi, et poussait sa queue contre mon anus.
La pression devenait plus forte et mon cul ne résistait pas bien longtemps, il s'ouvrait et sa queue s'enfonçait lentement en moi. C'était un plaisir terrible, un plaisir qui m'envahissait jusqu'au fond de mes entrailles. Un plaisir presque douloureux mais avant tout, un plaisir.
C'était un plaisir intense, j'étais presque pris de convulsions. Le plaisir m’envahissait, tout mon corps tremblait de plaisir. Je sentais ma queue bien dure, bien ferme mais elle ne semblait pas plus grosse qu'il ne le fallait j'avais l'impression que j'allais éjaculer, j'avais l'impression que je jouissais.
Pourtant je restais parfaitement sec. C'était comme un plaisir qui ne parvenait pas à se manifester mais en même temps le plaisir devenait tellement intense que j'allais exploser. Sa queue me dilatait le cul, il me limait, doucement puis avec force. Il me serrait fermement contre lui, il me caressait et en même m'enfonçait sa queue, il poussait.
J'ai vraiment perdu le contrôle de la situation. Je me suis mis à trembler, je faisais de drôles de bruits avec ma bouche, je ne pouvais plus parler. Le plaisir rayonnait dans tout mon corps, dans mes jambes, dans mes bras, je ne sais pas comment j'arrivais à tenir debout .
Alain le labourait le cul, il ne me limait plus, là il me labourait avec sa grosse queue, et ça durait.
– J'ai déjà éjaculé un peu plus tôt ! Me disait-il. La deuxième fois ça prend toujours plus de temms.
– Aoui, non, grond wuaaaaaaa ! Parvenais-je à lui répondre.
C'est alors en rigolant qui me donnait avec un violence non retenue les derniers coups de bassin avant d'éjaculer dans mon cul. Il me lâchait alors et je tombais sur le sol.
– Tu vas t'en remettre ! Me disait-il.
Je restais assis là ou j'étais. Je me sentais bien.
J'ai dormi sur place, je me sentais intransportable, le lendemain je me sentais bien, je rentrais à mon mobil-home ou je retrouvais mes amis. Ils semblaient faire la gueule, la frustration sans doute.
Moi je commençais une belle journée, et la frustration, là je n'y pensais plus.
A suivre
N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
Nous retrouvions au bar, il était minuit passé mais le bar ne fermait pas avant trois heures du matin. Il était en retrait de la zone réservée aux locations, pour ne pas déranger ceux qui voudraient dormir tranquillement sans pour autant oublier ceux qui voudraient faire la fête.
Tout le monde était à poil, Alain semblait détendu. On le serait à moins il venait de s'enfiler sa copine. La mienne l'était aussi, je lui avais servi de sex-toy et elle m'avait utilisé jusqu'à satisfaction de son plaisir.
Bon moi je faisais bonne figure. J'avais senti ma copine vibrer de plaisir dans mes bras mais pour moi, rien. J'avais toujours ma queue en cage et elle protestait toujours. Ma cage s'était remplie jusqu'à déborder. Ça durait depuis un moment maintenant et c'était vraiment inconfortable. Pas vraiment douloureux, c'est déjà ça !
On commandait quelques cocktails et on discutait.
Alain me questionnait sur ma cage, il rigolait quand je lui racontait mon histoire. Les filles aussi rigolaient. Mes copains avaient disparu depuis le début de la soirée, eux aussi étaient dans la même situation que moi. Nous porterions cette cage jusqu'à la fin de nos vacances. Nous serions contrains à rester sage alors qu'il y avait des filles un peu partout et toutes à poil, et toutes affolantes, et toutes …
Ma cage se faisait sentir, j'étais le seul à la remarquer, les autres autour de moi ne remarquaient dans quel état de frustration je me retrouvais. Un peu plus tard les deux filles nous laissaient.
– Ça fait longtemps que tu es avec … heu … Demandais-je à Alain.
Je ne me souvenais plus du nom de sa copine, en fait je ne le connaissais pas. Et je n'étais pas le seul.
– Avec … heu … Me répondait-il. Non on s'est rencontré ce soir, je ne sais même comment elle s'appelle. Et toi ?
– Moi non plus je ne connais pas son nom, je suis là avec des amis et c'est une des filles qui nous tournent autour, elles ne nous ont rien demandé et voilà.
– Si tes copains portent aussi une cage, c'est normal, les filles adorent ça. Mais tu peux la retirer !
– Bein non, on ne nous donnera pas la clé avant notre départ.
– Excuse, je n'avais pas imprimé ce détail. Mais c'est vrai que c'est stimulant.
– Pour moi c'est frustrant.
– Et tu fais comment pour te faire plaisir ? Il avait un petit regard vicieux en me demandant ça.
Je ne lui répondais que par un sourire vicieux, ou entendu.
– Si tu veux, je t'invite à terminer la soirée chez moi. Je suis dans un coin tranquille. On pourra boire quelques verres avant de …
Je n'osais relever le ' avant de ' il n'avait pas l'air de s'intéresser aux mecs et en plus il venait de se vider les couilles. Il était en effet un peu en retrait, face à la mer. C'était un endroit d'exception.
– Et tu as fait comment pour avoir un mobil-home à cet endroit ? Lui demandais-je.
– J'ai des actions dans le camping ! Me répondait-il simplement.
On s'installait face à la mer, il faisait nuit noire et c'est à peine si on distinguait les mouvements de l'eau. Le ciel était illuminé d'étoiles. Il ouvrait deux bouteilles, m'en déposait une à côté de moi.
– Il me semble bien avoir entendu parler de vous, de toi et de tes copains. Mais je ne sais pas pourquoi je pensais que vous n'étiez pas resté.
– On avait réservé et payé d'avance !
– C'est vrai que dans ces cas là, ils ne remboursent pas.
– Et voilà !
– Vous avez préféré la cage à bite ! C'est amusant !
– C'est pas le mot que j'aurais choisi, moi j'aurais dit … Frustrant !
– Oui, la frustration est livrée avec.
On discutait tranquillement en buvant quelques gorgées de bières, il se caressait la queue. Une très faible veilleuse nous permettait de nous voir. Je le regardais, ma queue protestait, mais bon c'est ce qu'elle faisait depuis un moment déjà, ça ne changeait pas grand chose.
Sa queue était impressionnante, je ne l'avais vue qu'à moitié molle, là dans une cette obscurité qui me laissait pourtant tout deviner, elle se dévoilait énorme.
– Et ça doit te manquer tout de même ?
J'avalais ma salive, et parvenait à lui répondre une sorte de ' Groui '. Il rigolait et commençait à se masturber. Je le regardais, mon regard passait de sa queue à son visage, il souriait, il avait l'air détendu et moi je me sentais encore plus frustré à chaque seconde.
Comme pour me provoquer, il se tournait vers moi et c'est donc bien en face qu'il me donnait ce spectacle. Là je vous jure je bavais.
– Tu sais, tu peux intervenir si tu veux !
J'ai bien compris le message. Je me penchais vers lui et sans autre cérémonial, je prenais sa queue dans ma bouche. Il retirait sa main et me laissait faire. J'appuyais ma tête et je sentais sa queue glisser sur ma langue et s'enfoncer lentement jusque dans ma gorge.
Je ne forçais pas, elle était grosse et je préférais m'épargner au début, je choisissais d'y aller doucement. Je relevais la tête, la penchais de nouveau et sa queue caressait ma langue, il gémissait de plaisir. Je devinais à quel point ça devait être agréable, dans ma tête, je m'imaginais cette sensation, ce plaisir.
Ma queue était toujours écrasée par les barreaux de la cage et la sensation était très différente. Il avait droit à une grande douceur, j'avais droit à la dureté. Je ne parvenais même pas à ajuster ma queue en tirant sur la peau, la pression était trop forte.
J'appuyais ma tête, sa queue arrivait presque à ma gorge et sans me prévenir il me balançait un coup de bassin, sa queue entrait et s'écrasait au fond de ma gorge. Je n'ai pas eu le temps de réagir, c'était violent, mais j'ai encaissé. Il me laissait agir sans me brusquer.
– C'est pas la première fois que tu suce toi ?
– Honk, honk … Répondais-je en agitant la tête de droite à gauche sans arrêter pour autant de le sucer.
Je devinais son sourire à sa voix, il était satisfait.
– Et si je faisait comme ta copine, si ne prenais mon plaisir sans se préoccuper du tien.
La je ne tentais même pas de répondre, mais un instant j'ai eu peur qu'il ne le fasse. Mais j'ai continué à lui donner du plaisir, au risque de me retrouver encore plus frustré.
Là je me suis donné à fond, j'espérais en lui donnant du plaisir qu'il m'en donne après. Ma queue protestait mais mon cul aussi. Là j'avais une queue magnifique sous la main. Pardon je voulais dire dans la bouche. Et j'espérais bien me la prendre dans le cul. Ça ne dépendait pas de moi.
Je découvrais peu à peu ce nouveau plaisir basé sur la frustration. C'était la deuxième leçon de la soirée. Mon cœur battait très fort, et il y avait cette queue superbe que je ne voulais plus lâcher. Je me régalais, je la caressais avec ma langue, j'insistais fermement sur son gland, il était à la fois doux et chaud, et je provoquais des réaction.
Il gémissait de plaisir, là il ne se retenais plus. Il appuyait sur ma tête. Son gland rentrait en force, je résistais, elle ressortait. Il appuyais alors un peu plus fort, et tout recommençait.
Je le suçais mais c'était aussi lui qui me baisait la bouche. C'est pas forcément désagréable de perdre en partie le contrôle de la situation, et là il faut bien reconnaître que je ne contrôlais plus rien.
Par moment il me retenait, il se retenait en fait !
Puis il décidait de passer à autre chose.
– Relève toi ! Me disait-il en se relevant.
Il me prenait dans ses bras et me caressait.
– Moi aussi, j'aime bien les mec, tout comme les filles. Pourquoi choisir quand on peu avoir les deux !
Il me caressait les couilles puis les fesses, il glissait un doigt dans mon cul. Comme ça sans prévenir, à sec ou presque. Puis quelques instants plus tard il revenait à la charge mais là il avait lubrifié, il me glissait un doigt dans le cul et commençait à l'agiter, il y rajoutais un autre doigt et là le plaisir devenait réel, bien réel. Je gémissais de plaisir et j'en redemandais encore.
Il me retournait contre le garde fou, je m'appuyais et d'instinct écartais les jambes. Il continuait à me lubrifier le cul. J'avais compris ou il voulait en venir et je n'avais pas l'intention de le repousser. Même s'il avait une grosse queue, surtout qu'il avait une grosse queue !
L'avantage dans ce genre d'endroit, c'est qu'on n'a pas besoin de retirer ses vêtements. Il se glissait dans mon dos, son corps était chaud, et doux, il sentait le soleil. J'en oubliais sa queue, mais un instant seulement.
Un instant plus tard, je sentais une pression, une masse lourde et ferme appuyait contre mon cul. Je me détendais ne résistais pas et la pression augmentais, le corps de Alain était tout contre moi, il me tenait dans ses bras et m'embrassait dans le cou. Il se relevait aussi, et poussait sa queue contre mon anus.
La pression devenait plus forte et mon cul ne résistait pas bien longtemps, il s'ouvrait et sa queue s'enfonçait lentement en moi. C'était un plaisir terrible, un plaisir qui m'envahissait jusqu'au fond de mes entrailles. Un plaisir presque douloureux mais avant tout, un plaisir.
C'était un plaisir intense, j'étais presque pris de convulsions. Le plaisir m’envahissait, tout mon corps tremblait de plaisir. Je sentais ma queue bien dure, bien ferme mais elle ne semblait pas plus grosse qu'il ne le fallait j'avais l'impression que j'allais éjaculer, j'avais l'impression que je jouissais.
Pourtant je restais parfaitement sec. C'était comme un plaisir qui ne parvenait pas à se manifester mais en même temps le plaisir devenait tellement intense que j'allais exploser. Sa queue me dilatait le cul, il me limait, doucement puis avec force. Il me serrait fermement contre lui, il me caressait et en même m'enfonçait sa queue, il poussait.
J'ai vraiment perdu le contrôle de la situation. Je me suis mis à trembler, je faisais de drôles de bruits avec ma bouche, je ne pouvais plus parler. Le plaisir rayonnait dans tout mon corps, dans mes jambes, dans mes bras, je ne sais pas comment j'arrivais à tenir debout .
Alain le labourait le cul, il ne me limait plus, là il me labourait avec sa grosse queue, et ça durait.
– J'ai déjà éjaculé un peu plus tôt ! Me disait-il. La deuxième fois ça prend toujours plus de temms.
– Aoui, non, grond wuaaaaaaa ! Parvenais-je à lui répondre.
C'est alors en rigolant qui me donnait avec un violence non retenue les derniers coups de bassin avant d'éjaculer dans mon cul. Il me lâchait alors et je tombais sur le sol.
– Tu vas t'en remettre ! Me disait-il.
Je restais assis là ou j'étais. Je me sentais bien.
J'ai dormi sur place, je me sentais intransportable, le lendemain je me sentais bien, je rentrais à mon mobil-home ou je retrouvais mes amis. Ils semblaient faire la gueule, la frustration sans doute.
Moi je commençais une belle journée, et la frustration, là je n'y pensais plus.
A suivre
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Merci pour ce récit. Délicieusement excitant.