Vacances à poil 09

- Par l'auteur HDS Charly Chast -
Auteur homme.
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Récit libertin : Vacances à poil 09 Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-08-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Vacances à poil 09
Vacances à poil 09


Il nous restait encore du temps avant la fin des vacances. Avec mes trois camarades on s'amusaient comme on pouvait. On faisait beaucoup de sport en courant après une baballe ou encore une soucoupe en plastique qui planait longtemps. On bougeait, on courait tout simplement, on nageait aussi, on …

Bref on bougeait tout le temps.

Ça nous faisait dépenser de l'énergie et de l'énergie ça ne nous manquait pas. On ne pouvait pas draguer, certains avaient essayé, j'avais essayé, mais ça ne nous menait à rien. On ne pouvait même pas se branler, le dispositif était trop bien étudié et même là, ne donnait pas satisfaction.

En fait je devrais plutôt dire que du point de vue de ses concepteurs, ces petits dispositifs donnaient beaucoup trop satisfaction.

Puis il y avait ces moment de calme. Ces moments ou les corps nus se détendaient, je ne parle pas des nôtres, autour de nous, tous les corps étaient nus. Tous les corps étaient d'une très belle couleur ambrée, ceux qui apparaissaient blanc un jour devenait plus colorés quelques jours plus tard. Il y en avait aussi de très beau déjà marron et qui le restaient.

Quelques uns d'un noir ébène étaient magnifiques, il captaient tellement bien la lumière, les muscles ressortaient, et leurs ventres méritaient alors pleinement leur surnom de tablette de chocolat.

Je ne m'en rendais pas vraiment compte au début mais je ne regardais que les corps masculins. C'était sans m'en rendre compte au départ, mais rapidement j'oubliais presque la présence de femmes. Pourtant il y en avait.

Mes camarades ne réagissaient pas comme moi. C'était les femmes qu'ils regardaient, les mec ne les intéressaient pas vraiment. Surtout que les hommes, enfin les autres hommes, pour la plus grande partie ne portaient pas de cage à bite. Il y en avait bien sûr, et ceux là on les remarquait. Pourtant, tout comme nous ils tentaient d'être discret.

Il y avait notre nouveau voisin, un black magnifique. Quand je l'ai vu j'ai prié plusieurs dieux ( on ne sait jamais il n'est peut être pas tout seul ). Mais je n'avais pas l'oreille des dieux.

Il avait une femme, une blondasse, blanche comme une fritte avant de frire.

Il était grand, large des muscles un peu partout, une extraordinaire tablette de chocolat noir, des cuisses épaisses, des bras puissants, et au milieu de tout ça … une queue comme j'en avais jamais vu. On ne lui a pas demandé à lui de l'enfermer pourtant je vous jure on ne voyait que ça.

C'est vrai que le gars se contrôlait parfaitement mais cette queue bougeait, à chacun de ses mouvements elle se balançait d'avant en arrière, sur le côté aussi. Quand il sautait, c'était un spectacle, quand il plongeait, et quand il courait ! Bon là OK, je vous arrête, vous pensez sans doute que je passais mon temps à le regarder ?

Oui bon en effet, un petit peu, je passais un petit peut tout mon temps à le regarder, enfin quand je le voyais …

Il avait remarqué nos cage, rapidement il venait discuter avec nous, on lui proposait une boisson fraîche, on laissait même sa femme se joindre à nous. Enfin mes camarades s'intéressaient surtout à la femme. Ils étaient impressionnés par le bonhomme et attirés par la femme, moi c'était le contraire. Lui ne semblait pas menacé par nous, c'est vrai qu'à côté de lui, on ne faisait pas le poids. Nos petites bites ridicules dans des petites cages ridicules, qui nous donnaient des allures … ( a oui je l'ai déjà dit ça ) …

Je me demandais ce que ça pouvait donner tout ça quand il bandait, en tout cas ça devait faire mal.

Quelques jours plus tard, je me promenais tranquillement sur la plage. J'avais mes pieds dans l'eau, la nuit tombait. C'est une silhouette que je voyais arriver vers moi. Sa queue énorme se balançait lourdement, je ne pouvais pas en détacher les yeux. Elle faisait peur mais elle me faisait fantasmer aussi.

Ça faisait maintenant quelques semaines que nous étions arrivés, ça faisait quelques semaines qu'aucun d'entre nous n'avait réussi à se donner du plaisir. Moi je m'étais résigné, en fait j'avais découvert un autre plaisir, plus profond, plus profond en moi.

Les grosse bite me faisaient fantasmer, et celle-là qui approchait était vraiment fantastique, à faire peur mais j'étais en manque. J'étais toujours en manque depuis que je portais ce dispositif démoniaque. N'allez pas imaginer que j'avais le feu au cul ! Non !

En fait si, j'avais le feu au cul !

Je n'avais même pas reconnu mon voisin, je n'avais remarqué que la grosse bite, la couleur aussi mais bon ça c'est un détail. Nous étions seuls.

– On dirait que tu l'aime bien ma bite ! Me lançait-il.

Je suis devenu tout rouge.

– Heu non ! C'est pas vrai, c'est pas ça !
– Et tu penses que je vais te croire, regarde toi, tu es rouge écrevisse.

Je ne savais plus quoi dire, ou me mettre. Ma queue protestait pathétiquement dans sa cage, rien ne se voyait. La sienne prenait aussi du volume, elle se balançait maintenant de droite à gauche. Au début, c'était de haut en bas ou d'avant en arrière mais maintenant qu'elle se relevait … Elle faisait peur.

– Tu t'imagines que je ne t'ai pas remarqué depuis que je suis arrivé.

Il s'arrêtait à quelques mètres de moi.

– Ma femme est couchée, elle a pris quelques coups de soleil. Je lui avait bien dit de faire attention.

Il me regardait, je le regardait, sa queue continuait à se redresser et là commençait à pointer vers le ciel. Il était circoncis, je le savais déjà mais je n'avais vu à quel point son gland était beau.

Allez suis moi !

Puis il se dirigeait vers une zone de rochers. Je le suivais. Je respirais fort, mon cœur battait vite, très vite. J'avais l'impression d'aller à mon exécution, mais je suivais.

Là on se trouvait un coin tranquille, il se retournait vers moi.

– Montre moi comment ma queue te fait rêver.

Je tombais à genoux devant lui, et timidement je lui caressais le gland. Puis j'approchais mon visage et c'est dans ma bouche que je prenais sa queue, pour son plaisir. Ma langue passait et passait sur son gland, le caressait avec une incroyable douceur, il était d'une incroyable douceur. Il me guidait d'une main, me caressait la joue. Je donnais toute ma douceur, il me donnait sa force, sa virilité.

Il n'essayait pas d'appuyer sur ma tête, il devait savoir par expérience que ça ne donnait pas grand chose. Sa queue était grosse, si ça ne rentrait pas, ça ne rentrait pas !

Je lui suçait le gland au mieux, il me répondait par des gémissements. Il me laissait faire, il me regardait puis au bout d'un long moment.

– Tu sais que tu fais ça vraiment bien … Relève toi et retourne toi s'il te plaît.

Là j'ai flippé je ne vous dit pas. Je me sentais mal, j'avais envie de me sauver en courant mais j'étais comme paralysé, je ne pouvais pas bouger. J'obéissais.

Je me retournais, comme au ralenti, je m'appuyais sur un rocher. Il sortait un petit tube de gel qu'il portait dans une petite poche sur son bras. On 'est très nombreux à porter ce genre de petit sac, on peut aussi y mettre de la petite monnaie.

Il me caressait le cul, et me glissait deux doigts dans le cul. Je sentais le liquide froid et ses doigts glissaient facilement sur moi et en moi ! Il me massait l'anus, il me massait la prostate et déjà, en quelques instants le plaisir montait. Je tremblais, je frémissais et je gémissais.

D'une manière presque brutale, il se plaçait juste derrière moi. Je sentais sa queue entre mes cuisses, là j'avais la trouille.

Il me prenait fermement dans ses bras, il glissait sa queue d'avant en arrière. J'étais tétanisé. Il m'embrassait sur l'épaule, il était plus grand que moi. Prenait un peu de recul, posait sa queue juste contre mon anus qu'il avait très bien lubrifié.

Puis doucement il poussait, sa queue forçait le passage, mon anus se dilatait et là c'était un moment de terreur. Je sentais mon anus se dilater d'une manière qui n'avait rien de normal, je sentais mes entrailles se remplir jusqu'à exploser.

Je ne pouvais plus respirer, mon cœur battait tellement fort qu'il allait exploser. Je me sentais mal puis je me sentais bien, je ne savais plus comment je me sentais.

Il me serrait dans ses bras, je redressais le visage vers lui, il penchait le sien contre le mien et m'embrassais avec passion. Son corps était chaud, brûlant mais doux comme de la soie.

Il me caressait le corps avec ses bras, les glissait jusqu'à ma cage et en profitait pour me tripoter les couilles.

Puis ses mouvements devenaient plus virils, plus fermes, sa queue était entrée totalement et je ne savais même plus si ça me faisait mal ou pas. C'était une sensation intense, ça c'est sûr. Quand il se retirait j'avais l'impression d'accoucher, enfin je suppose que ça doit être un truc comme ça quand on accouche .

Il s'enfonçait de nouveau, il se retirait et moi je gémissais. Ses mouvements étaient lents mais fermes. Il rajoutait une dose de gel lubrifiant puis continuait plus vite , il retenait sa force, il savait qu'il pouvait blesser ou pire ! Il faisait durer.

J'ai perdu la notion du temps et je ne sais pas s'il m'a limé le cul pendant dix minutes ou une heure. Je tremblais, je ne tenais debout que parce que je me retenais, il me retenait aussi remarquez.

Puis il a joui, je l'ai entendu, son cri dans mon oreille. Ce coup de bassin retenu mais réel tout de même. À ce moment j'étais en transe, je tremblais je jouissais sans juter, mais je jouissais comme jamais.

Elle était vraiment bonne cette grosse bite, elle en avait de la chance sa copine, j'aurais bien pris sa place.

Il se retirais, je me sentais brusquement vidé, comme un poulet avant de passer au four. Je me sentais bien, vraiment bien puis, alors qu'il s'était déjà retiré, je sentais un plaisir monter, d'abord j'ai pensé à une envie de pisser puis, j'ai éjaculé, une éjaculation rapide ensuite j'ai juté longuement. Mon sperme coulait de la cage semblant ne jamais vouloir s'arrêter.

Ensuite on a discuté, on est allé se baigner, on est revenu en prenant notre temps puis on a rejoint tout le monde au bar, il y a une soirée dansante tous les soirs. Il est passé prendre des nouvelles de sa femme avant de m'y retrouver.

Le reste de nos vacances à passé lentement, je me suis fais défoncé le cul plusieurs fois par des mecs de rencontre, quelquefois le lendemain je les revoyais, certains étaient mariés.

Mes camarades ne trouvais pas le moyens de se détendre moi si. Ils finissaient par ne plus vraiment apprécier le séjour. Moi j'aimais de plus en plus. Mais les meilleures choses ont une fin et le jour du départ approchait.

On devait se retrouver sur le ponton. Greg était parti chercher les clés. Nous l'attendions, nous avions nos affaires sur nous dans notre sac à dos. Nous étions toujours nus, toujours avec nos dispositif.

Mes camarades étaient tendus,moi je me sentais bien. Je me demandais si ce ne serait pas une bonne idée de garder le dispositif.

Greg arrivait en criant de joie, il nous montrait les clés !

– Je les ai ! Nous criait-il. Je les ai.

Puis il à glissé, en fait on ne sait pas trop ce qu'il lui est arrivé mais il s'est retrouvé allongé sur le sol. On s'est précipité pour le secourir. Il y avait plus de peur que de mal. À part quelques bobos de rien, il allait bien mais.

Les clés lui avaient échappé des mains, on ne sais pas ou elles sont tomber et on ne les a jamais retrouvées.

C'est ballot, je sais. Moi j'ai fini par y trouver mon plaisir, mais mes camarades, eux, ils ont la haine.


Fin


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