Vacances avec Cali e (1/4)

- Par l'auteur HDS Cher Tamis -
Récit érotique écrit par Cher Tamis [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : Vacances avec Cali e (1/4) Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-04-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Vacances avec Cali e (1/4)
Rappel important :
Tous nos rapports ont été réalisé sous la haute protection de monsieur CONDOM.
Pour des raisons ďéconomie de temps, je n'ai pas pris la peine de préciser que tous les acteurs masculins ont respecté le port de Mon seigneur CONDOM moi y compris car il n'est pas présent que pour nous protéger du SIDA et MST, mais aussi de protéger la partenaire de ma vie, de tomber enceinte.
Les seules fois où je n'ai pas eu à porter ce manteau en plastique, étaient lors de la conception de nos 2 enfants. Et bien sûr je ne l'ai plus utilisé le préservatif avec MA FEMME quand elle a eu sa ménopause.
Dernier point : il va sans dire, que même maintenant lors de nos parties de baises, Mr CONDOM est là.
P.S: si je mettais bout à bout tous les préservatifs qui ont recouverts mon zob, j'aurais fait le tour de la terre :))


Dimanche 4 juillet 1999
Départ pour Mallorca.

Une assoc de la fac où Caline étudie a réussi à se dégotter un séjour en demie-pension dans un superbe hôtel sur cette île de Mallorca à un prix défiant toute concurrence : 1.200 Fr vol compris. (À l'époque il n'avait pas encore d'euros)
En contre partie, cette association estudiantine leur assure une pub à la fac pendant toute l'année scolarie qui va suivre.
Emric et Fabien (2 amis à Caline avec qui elle a gardé contact depuis leur rencontre au lycée Colbert) et moi, nous nous sommes incrusté. Une telle occasion, cela ne se rate pas et ça sera la première fois que notre petite bande d'amis parte ensemble pour des vacances. Et que souhaiter de mieux que de partir en vacances d'été à Mallorca ?
À la salle d'embarquement, nous étions une petite vingtaine de copain(e)s (6 couples et 5 célibataires) qui attendions, sans trop se faire remarquer, notre vol pour Mallorca. Arrivée sur l'île, un minibus nous transporte vers l'hôtel "Villa la Cruz", un magnifique hôtel à Santa Ponsa à 30mn de l'aéroport.
Voici que débutent enfin nos vacances.
Plus ouf les uns que les autres, nous passons nos deux premiers jours à la plage et nos nuits à faire la bringue.

07-08.07.99

C'est le troisième soir, ou plutôt le quatrième matin de notre séjour, vu que le soleil commence déjà à se lever, Caline et moi quittons notre groupe de fêtard(e)s après une nuit un peu trop arrosée direction notre chambre d'hôtel. Nos deux amis, Emric et Fabien, la tête dans un état déplorable, nous accompagnent.
On se connait très bien tous les quatre. On forme d'ailleurs la bande d'amis qui se retrouve, presque chaque week-end pour un resto ou ciné, un bowling ou une soirée disco.
Et comme vous le savez, depuis le temps que je le dis et le redis, Caline est l'image (non pas qu'à mes yeux) de la fille, de la demoiselle, de la femme parfaite, ce qui ne manque pas de donner envie au plus chaste des prêtres.
Elle a un beau corps avec de jolies courbes, ni trop maigre, ni trop grosse, de long cheveux noirs, et une poitrine qui fait rêver plus d'une nana.
Évidemment, un tas de garçons avaient déjà tentés leur chance avec elle, sans succès, sauf moi, qui a eu le privilége et la chance de cohabiter son cœur avec les membres de sa famille, et de vivre avec elle, quelques moments de folies avec nos corps.
Mais, cela n'empêche pas Caline d'être joueuse, d'être coquine et de taquiner, enquiquiner des jeunes (et moins jeunes) hommes, pour mesurer la force de ma jalousie (on y revient toujours, même si depuis l'épisode vécu chez mes parents (voir récits des jours du 12.07 au 21.07.97)... Elle essaie de me rendre jaloux, mais sans succès) qui ne se manifestera que le jour où ma confiance en la force de son amour pour moi faiblira.
Et c'est pas pour demain !
Caline sait qu'elle est belle et n'a pas peur d'allumer tous ceux qui ont une queues entre les jambes.
Bien qu'Émric et Fabien sont de bons amis, mais ils n'ont pas le plaisir de voir Caline, tous les jours dans son bikini. Ayant l'avantage de la voir, topless, je sais qu'il est particulièrement difficile de ne pas être excité par ses formes. Elle ne rate, d'ailleur, jamais une occasion de se moquer quand le maillot, des jeunes mecs du groupe, trahissait une érection suite à une excitation qu'elle a sagement pris soin de doser.

Pour rejoindre nos chambres, nous devons passer par un parc. À cette heure-là, il est désert, même si les premiers lève-tôt n'allaient sans doute pas tarder à arriver.
Caline, tout comme nous est à moitié bourrée, nous nargue. Elle est toujours dans sa tenue de plage qui met ses seins et ses fesses particulièrement en valeur, nous marchons côte à côte, certains d'entre nous n'ont pas pu s'empêcher d'avoir les yeux un peu voyeurs. Évidemment, elle l'a bien remarqué.

— Bavez pas trop les mecs ! Taquine-t-elle en soupesant sa propre poitrine. À la fin des vacances, ce sera fini, et vous n'aurez plus que vos yeux pour pleurer !
— Tu n'es vraiment qu'une petite connasse de jouer, ça-comme, avec nous ! S'offusque Fabien.
— Mes pauvres chéris, vous avez tellement l'air d'être des chiens en manque... Ce n'est pourtant pas les jolies filles qui manquent sur la plage. Vous n'avez que l'embarras du choix pour tirer un coup... Dit-elle à ses deux amis, avant de rajouter, Et n'allez pas imaginer que je vais baiser avec vous alors que j'ai un mec qui sait me combler !

Caline a toujours eu un franc parlé quand elle parle de sexe. Elle n'a aucun complexe. Cela ne la rendait que plus désirable.

— Je t'aime bébé ! Dis-je.
— T'as pas vu Fabien ? Il a bien essayé de draguer, mais il s'est pris deux râteaux aujourd'hui, fait-elle remarquer sur le ton de la plaisanterie.
— Hummm... Grommelle l'intéressé dans son coin.

Fabien a la réputation d'être le plus beau mec de nos trois (quoi que les critères de beauté sont propres à chaque être humain). Du moins, au lycée, c'était celui qui avait généralement le plus de succès auprès des filles, d'après les dires de Caline. Depuis quelques mois, je crois qu'il vit assez mal son célibat et surtout, de voir qu'il n'a pas un grand succès durant ces vacances, alors qu'il est entouré de jeunes filles aux corps sublimes (mais pas autant que celui de Caline... Hihihi)

— Aaah, mes pauvres chéris, je ne peux pas faire grande chose pour vous ! Dit-elle en se collant à moi.
— Tu pourrais peut-être arrêter de nous aguicher, rétorque Émric. Cela serait un bon début !
— Ooooh, allez ! Vous adorez mater mes seins ! Nous chauffe-t-elle en se les caressant une nouvelle fois. Vous n'allez pas vous en plaindre ?

Je pense qu'elle avait eu raison un peu plus tôt, quand elle et on parlait de tout et de rien, elle m'avait fait la remarque, que nos deux amis doivent être très en manque de sexe...
L'alcool aidant, nous avons vraiment beaucoup de mal à nous contenir. Ils essayent chacun à son tour de se rapprocher d'elle pour avoir le plaisir de la toucher et de la ploter. Elle repousse chacune des avances de ses amis, sans jamais se montrer vexée, alors que moi, pris au jeu, je peloter sans grande retenue les tétons de ma sirène. Cela n'aide pas à nous calmer, tout un chacun.

— Bon, les garçons, cela ne peut plus durer ! S'exclame-t-elle à un moment d'un ton faussement exaspérée.

Au fond, j'étais sûr que cela lui plaisait d'avoir l'attention de trois mecs en même temps. La suite me donnera raison.

— Il faut faire quelque chose pour vous ! Je veux bien vous aider, mais à une condition : vous ferez aussi quelque chose pour moi ! Nous annonce-t-elle.

J'échange quelques regards, perplexe avec Caline, elle prend rarement de tels initiative. Sûrement un nouveau défi qu'elle me lance !
Je vois dans les yeux de nos amis la peur de mal interpréter ce qu'elle entendait par "quelque chose pour moi". Ils pensent évidemment à la même chose que moi, mais craignent de prendre leur rêves pour une réalité. Mais, par dessus tout, ils ne savent pas comment je pouvais réagir, comment j'allais réagir.
D'un hochement de la tête, je dis :

— Carte blanche ! (Mon code secret pour Caline qui signifie qu'elle a le droit de tout faire pour maximiser sa soif de jouir)
— Je vous soulagerais si vous m'aider à réaliser un fantasme, poursuit-elle. Je refuse que vous me preniez un par un. Si vous me voulez, ce sera les trois ensemble, ici, maintenant, ou rien du tout !

Bouche bée, Émric et Fabien ont du mal à en croire leurs oreilles. Moi, je suis presque mort de rire.

— Elle est sérieuse là ? Elle nous proposait de la baiser à trois ?! Je crois... Je sais que l'alcool te fait dire des cochonneries, mais quand-même ? Interroge Fabien.
— Tu es complètement folle ! S'exclame Émric. On va quand-même pas faire ça ici ? On va nous voir !
— C'est vous qui décidez... Je sais que Hamed ne dira pas non ! Ou c'est ça, ou c'est bien parti pour une branlette sous la douche de votre chambre pour vous deux... Car je ne vais pas priver Hamed de me satisfaire !

Émric regarde Fabien avec des yeux presque implorant. Il est manifestement plus que partant tout comme moi. Fabien reste tiraillé entre son amitié pour Caline et l'appel de sa queue. Finalement, c'est la seconde qui l'emporte :

— Bon, d'accord !

Après un rapide inspection des lieux, Caline nous emmène dans un coin qui semble plus tranquille du parc, du moins plus à l'abris des regards caché que nous serons derrièe cette petite haie, et nous ordonne de baisser le tissu qui couvre notre intimité masculine qui a déjà pris des proportions assez honorables, sachant ce qu'il risque de se passer, vu qu'elle s'est mise à genoux devant nous. Sans perdre une seconde de plus, nous avons baissé rapidement nos shorts pour en sortir nos sexes, très excités par la situation. Nous sommes déjà tous très dur.
J'ai eu le plaisir idiot de constater que j'ai la plus longue. Émric, le charmeur, a la plus courte. Il y a tout de même une justice... Hihihu.
Nous les offrons à Caline qui commence par nous branler à tour de rôle.

— Alors, c'est bon les garçons ?
— Oui, Caline... Continue ! Fait Émric.
— J'ai hâte que tu nous suces ! Enchéris-je.
— Puisque c'est comme ça, tu seras le dernier ! Déclare-t-elle, juste avant d'engloutir le sexe de Fabien.

Putain, je,suis écœuré. Moi son homme, je me fais gâter en dernier ?
Ah ma grande gueule me perdra !
Je mate avec envie le sexe de notre complice entrer et sortir de sa bouche pendant qu'elle nous masturbe.

Elle passe sur la bite d'Émric en le léchant goulument avant de se l'enfoncer dans le gosier. Il l'aide en lui pressant la tête pour la forcer à faire quelques gorges profondes, ce qui était assez facil à faire vu...
À son air béat, il a l'air d'adorer ça.
Moi aussi, j'avoue que j'aime la regarder entrain de donner du plaisir à un autre mec... C'est mon coté Candauliste !

Je crois que cela va être mon tour quand je la vois s'éloigner de la bite qu'elle a en bouche, mais cette allumeuse part repomper Fabien. Elle le fait exprès, j'en suis sûr. Au bout d'un moment, je craque :

— Pitié, Caline... Suces-moi aussi, je n'en peux plus !
— Allez, ok. C'est demandé si gentiment ! Me dit-elle avec un grand sourire aux lèvres.

Elle quitte la queue de Fabien pour s'approcher de la mienne. Je soupire de bonheur quand ses lèvres entrent en contact avec mon gland.
Je ne peux me retenir de la forcer sur ma tige en la tirant par la nuque. Je fais du va-et-vient dans sa bouche pendant qu'elle joue avec sa langue.

Putain, à chaque fois je me fais la même remarque : elle sait trop bien sucer cette nana. Je la regarde me pomper le dard en me disant que dans mes rêves les plus érotiques, je n'ai jamais soupçonné avoir le plaisir de connaître un tel bonheur. Et en plus elle est si belle ma Caline... Et comme on me l'a roujours répeté : "Aime pour les autres ce que tu aime pour toi !"
J'aime quand elle gobe mon serpent, pourquoi dois-je en priver les autres de vivre cette extase qu'elle a la gentillesse de m'offrir ?
Paradoxalement, je me sens particulièrement frustré quand elle abondonne ma verge pour s'occuper à nouveau de celle des autres.

— Alors, ça vous a plu, mes petits pervers ? Nous provoque-t-elle en reprenant son souffle.
— Beaucoup, Caline... Répond Fabien. Tu suces comme une déesse, pour ne pas te comparer à une pro...
— Tu en as essayé une ? Lui delande Émric.
— Nooon... Mais j'imagine que... Bref !
— Vous en aviez rêvé hein ?! Dis ma belle en fixant ses amis d'un regard gourmand.
— Et comment ! S'exclame Émric qui n'arrive toujours à croire se qu'il est entrain de vivre... Et tu ne peux pas t'imaginer à quel point !
— Et vous vous êtes déjà branlé en pensant à moi ?
— Plus d'une fois ! Dit timidement Fabien.
— Sérieux Émric, dis-moi... Tu as déjà fantasmé que je te suçais à te faire jouir et que tu as fini par m'éjaculer sue le visage ?
— Oh oui ! Fait le coupable les yeux dans ses chaussures... Mais c'était un fantasme !
— Bon... On va conclure un petit contrat... Si vous me faites voir les étoiles je vous laisserais peindre mon visage de votre lait reproducteur !

Cette perspective nous rendit tous dur comme du marbre. J'ai vraiment envie de la voir se faire souiller comme une pute et de voir notre foutre dégouliner partout sur son corps.
Émric passe une main sous le haut de son bikini pour lui masser le sein gauche pendant qu'elle le suce.
Fabien en profite pour faire de même avec le droit.

— Putain, qu'ils sont kiffant tes lolos ma coco ! J'ai trop envie de les voir ! Cri Émric si fort qu'il fut lui même surpris.

Je passe derrière la reine de mon cœur, lui enlève les liens du haut de son cache lolos, et les voilà enfin à l'air libre, tombants à peine, fermes qu'ils sont !
Je mourrais d'envie de lui lécher ses délicieux petits tétons, mais il y a plus urgeant à faire là... Il fait lui faire voir les étoiles en ce début de matinée et surtout avant qu'on nous accuse d'outrageou d'exhibitionnisme

— Pompes-nous ma cochonne, si tu veux qu'on te fasse jouir comme tu le veux ! Dit Émric qui a pris du poil de la bête.

Fier que je suis, je surveille l'évolution des préparatifs, tout en m'assurant qu'aucun nuage ne pourrait venir assombrir ce moment que Caline, Émric et Fabien avaient fantasmé.
Elle nous pompe à tour de rôle pendant de brefs minutes. Je suis quasi certain que cette rapide fellation, restera gravée à jamais dans la mémoire de ces copains de lycée tellement Caline y a mis tout son savoir.
Les deux gus n'arrêtaient pas de gémir de bonheur. Bien que je sais que Caline aime par dessus tout, pomper le tuyau d'arrosage des mecs, elle doit rompre ce moment d'extase pour passer aux choses plus... Sérieuses.

— Bon, les mecs... Dit-elle... Qui va enfin se décider à me faire jouir ? J'ai la chatte en feu depuis tout à l'heure, et je ne peux même pas me caresser parce que je dois vous astiquer votre petit ver cracheur.
— Preums ! Déclare ai-je.

Je redoutais un peu que mon empressement donne à ma nana encore la mauvaise idée de me jouer un sal tour, mais, à mon grand soulagement, il n'en est rien. Je l'aide alors, comme le ferai tout homme galant, à abaisser le bas de son maillot puis elle se met à quatre pattes pour me présenter son cul.

— Allez, dépêche-toi de me prendre. Je ne tiens plus ! J'ai trop besoin de me faire bourrer !

Je me mets à genou derrière elle et place mon gland à l'entrée de son abricot bien juteux et donne un petit coup de rein en avant. Elle émet un gémissement bien plus fort que le mien lorsque je la pénétre jusqu'aux couilles.
C'est pour moi, toujours un bonheur sans nom. Je la tiens par ses hanches et "la baise" à bon rythme.
Enfin ! Elle est là, à quatre pattes, soumise à ma volonté. Les deux complices masculins restent là à se branler en train en nous regardant sans pouvoir retenir leurs bave.
Ils doivent avoir hâte de prendre ma place, mais pour le moment, c'est moi qui ouvre le bal et un peu sadique que je suis, j'ai bien l'intention de leurs en faire encore plus baver !
Je me penche sur son dos pour jouer avec ses nichons. Putain, quel délice d'avoir en main une poitrine si ferme !

Elle doit vachement kiffer la réalisation de son fantasme, car elle gémit comme une chienne à chacun de mes coups de reins. Elle a prétendu qu'elle allait soulager la tension de nos éréctions, mais la vérité est tout autre, elle a juste envie de se faire prendre comme une salope par deux de ses amis.
Un fantasme secret révélé par les "bienfaits" de l'alcool.
Ce qui est certain c'est qu'elle perd et oublie toujours, toutes ses inhibitions quand elle abuse de ce breuvage (à mon grand bonheur je me dois de vous l'avouer).
En fixant les deux queues tendues qui pointent devant elle, elle s'écrit :

— Putain, vous allez enfin me donner une bite à sucer ? Ne restez pas planter-là comme des cons !

Émric s'approche d'elle et lui présente son sexe qu'elle avale goulument. Une bite dans la chatte et une autre dans la bouche, elle est maintenant prise des deux côtés et adore manifestement ça. Elle passe ensuite au piston de Fabien qui réclame lui aussi de l'attention. Sans aucun protocole, il l'attrape par la tête et lui baise la gorge. Elle a un haut-le-cœur avant qu'il ne la laisse respirer. Elle n'émet aucune plainte, aucun reproche.

— Caline... Tu es la meilleure... Tu es devenue une vraie salope qui ne demande qu'à se faire baiser par trois mecs... Je t'aime... J'aime te voir ainsi ! Crie ai-je.
— Hé les gars... On ferait mieux de continuer dans une chambre, des clients commencent à sortir et beaucoup nous pointent du nez... On risque de c'faire pécho ! Hurle presque Émric.

Aussitôt dit, aussitôt fait. Chacun cache son intimité dans sa serviette et on se dirige vers ma chambre, en battant le record mondial des 100m.

— Fissa Caline... C'est toi qui a la clef !

À peine la porte ouverte, on s'engouffre dans la chambre comme si on avait des canibales au cul. Je suis le premier à me jetter sur le lit.
Caline saute à 4 pattes pour redonner vigueur à ma quequette et dans le feu de l'action Émric se place pour s'occuper comme il se doit de la moule ouverte de notre cochonne, tandis que Fabien vient me joindre pour offrir sa birouette aux lèvres de la suceuse du jour.
Émric est bien plus violent que moi. Ses coups de reins sont rapides et brutaux. Il traite Caline comme une trainée, et je peux lire dans la luxure de ses yeux de cette dernière que c'est exactement ce qu'elle veut. Elle frissonne même, lorsqu'il lui donne une tape violente sur la fesse.

— T'aime ça, salope ?! L'insulte-t-il.
— Ouais putain ! J'adore ! Baisez-moi, tous les trois ! Je suis votre pute, c'est votre jour de chance ! Profitez-en ! Ramonez-moi jusqu'à ce que je vous dise stop !
— Allez, bouge de là Émric... C'est le tour de Fabien de ma prendre ! Intime ai-je l'ordre.

D'habitude Fabien est le plus timide de nous trois, l'initiative qu'il vient de prendre m'étonne lorsqu'il s'insére dans l'autre trou.

— Putain, crétin ! S'écrie-t-elle. Ça, c'est mon cul !
— Et alors ? Tu veux ou tu veux pas ? Demande-t-il sans vraiment avoir l'intention de s'arrêter de toute manière.
— Si tu le fais, je t'bute ! Menace-t-elle. Tu finis ce que t'as commencé, défonce-moi ce cul !

Je suis si excité que j'ai eu cette envie soudaine de lui balafrer son joli visage avec mon lait d'amour sur le champ... Pour la salir comme la petite trainée qu'elle est entrain de devenir ; mais il faut que je patiente un peu.
Fabien lui grimpe dessus comme sur une chienne et la lime comme un animal. Il grogne à chacun de ses assauts.
En voyant ses yeux revulsés, je comprends que Caline est complètement perdue dans son monde des plaisirs de la chair. Elle a atteint un tel point de non retour, qu'elle a du mal à nous sucer, Émric et moi.
Nous avons dû nous prendre en main (si je peux dire) en lui baisant la bouche. Elle ne savait plus ce qui lui arrivait.
Au bout d'un moment, elle pousse un grand cri. J'ai cru que Fabien était en train de se vider dans sa raie lorsque je compris qu'elle exprimé sa jouissance.

— Aaaah ! Putain ! Mes salauds ! Ouiiiiiiiiiii !
— Putain... Notre salope jouis par le cul ! S'exclame Fabien heureux qu'il est par cette découverte.

Fabien fait quelques derniers va-et-vient. Elle s'écroule un instant sur le lit, avant de se redresser et d'ordonner une fois de plus :

— Qui vous a dit d'arrêter, bordel ?! Allez ! Au suivant !

J'ai toujours vraiment un trop grand plaisir d'enculer et surtout le beau cul de ma meuf, mais pas dans cette position. Je la tire vers moi et elle comprand ce que je voulais et se positionne dos à moi pour me chevaucher. Je n'ai pas eu le temps de le lui demander, qu'elle agrippe ma queue pour la pointer vers son petit trou et qu'elle s'empale dessus.
Putain ! S'il y a un paradis sur terre, il s'appellerai "CdC" : Cul de Caline !
Je pose mes mains sur ses hanches et sans aucune douceur, je lui donne des coups de bassins à lui péter la rondelle.
Elle se laisse faire comme une pute soumise en gémissant bruyamment :

— Oh oui ! Putain ! Vas'y ! baise-moi le cul avec ta grosse bite ! Putaiiiiiiiiiiiiiiin !

Je la pénétre jusqu'à la garde à chacun de mes allers-retours. Mes couilles sont trop pleines de jus que j'ai de plus en plus de mal à retenir tellement que c'est un bien de ouf que d'être dans ce cul.
Je ne peux garder le rythme bien longtemps tellement cette sentation est intense. C'est elle qui a prit le relais quand je commence à faiblir en rebondissant sur ma queue toute seule. Je ne peux qu'imaginer le spectacle qu'elle doit offrir à nos bien heureux amis.
La superbe Caline, les seins ballottant dans tous les sens, qui me chevauche en s'empalant frénétiquement sur mon zob. Cela doit être, manifestement, intenable pour les autres car j'entends peu après Émric lui commander, en lui présentant son sexe devant la bouche :

— Suces, salope !

Elle l'engloutit par reflexe sans jamais arrêter de s'éclater les neurones sur ma queue, en suçant tant bien que mal, chacun de ses amis à leur tour.
Au bout d'un moment, je ne sais par quel réflexe ou alors par une intuition masculine, je la retiens suffisamment pour qu'elle puisse les masturber en même temps. Elle se régale en les pompant comme une chienne en manque.
Fabien doit sans aucun doute aimer autant que moi ses seins qui dansent, vu qu'il s'installe devant ma meuf en furie et met sa bite entre ses deux nibards pour se faire une branlette espagnole avec. Ils les pressent l'un contre l'autre pour avoir plus de sensation.

— Putain, j'en peux plus, se plaind-t-il. J'ai trop besoin de te baiser, Calinou... Dis Hamed... C'est pas juste ! Laisse-nous la place ! Chacun son tour, merde !
— Oh non, il est trop bien là, objecte l'actrice. Tu n'as qu'à te servir de ma chatte, elle est libre !

Il a un moment d'hésitation en s'imaginant comprendre ce qu'elle voulait.

— Tu... Tu veux qu'on te prenne en double ?
— Pourquoi tu crois que je vous voulais tous les trois en même temps ?! Vas-y bordel !
— Mais je voulais aussi t'enculer moi !
— T'en auras l'occaz plus tard... Allez ! Le rassure t-elle
— Tu n'es vraiment qu'une salope !
— Oui ! Une salooope qui veut se faire baiser, jouiiiir ! Alors souillez-moi, mes salauds ! Utilisez-moi pour vous faire du bien !

Elle s'immobilise de suite pour aider Fabien à la pénétrer. Elle crie quand il s'enfonce jusqu'à la garde dans sa chatte dégoulinante de mouille.

— Calinou... Tout... Tout va bien ? S'inquiéte-t-il.
— Oui. Allez, baises-moi ! Qu'est ce que tu attends ?

Je n'arrive pas à croire qu'elle soit aussi chaude, perverse et qu'elle puisse demander de ce genre de truc... Caline n'arrêtera pas de me surprendre chaque jour. Fabien s'applique à lui défoncer le vagin tandis que j'étais toujours dans son cul. On la pilonne alors tous les deux comme il se doit. Elle hurle de plaisir :

— Oh ! Putain ! Oui ! C'est ça que je voulais ! Aaaaaaah !
— C'est ça que tu voulais depuis le début ? Lui gueule Émric qui est resté en observateur.
— Ouiiiii !
— Te faire prendre en sandwich comme une grosse... ?
— Ouiiiiii... Une grosse salope ! Je sens vos bites au fond de moi, c'est terriiiiiiiiiiiiiiiible !
— C'est pas ta première fois, hein salope ?!
— Avec vous ? Siiiiiiiiii ! C'est ma première foiiiiiiiis. J'en ai toujours eu enviiiiiiiiiie. Et j'adoooooooooooooore !

Elle a l'air si heureuse de réaliser son phantasme, et nous le sommes aussi, tout autant, heureux de l'aider à le faire. Émric n'en peut plus de nous regarder et la force à le prendre dans sa bouche. Elle était maintenant prise par tous les trous, et elle entrain de vivre jouissance sur jouissance.
Si je m'étais souvent imaginé ma douce Caline en salope, je ne m'étais jamais la voir dans cet état, aussi perverse qu'à ce moment-là.
Mais je dois dire que cela m'excite beaucoup de savoir que je peux franchir, avec cette fille, des limites qu'un esprit "conventionnel" se refusera d'outrepasser.
Fabien et Émric échangent leur place. Grognante, elle fait savoir qu'elle peut très mal prendre le fait de se retrouver ainsi avec un orifice vide même si cela n'est que pour quelques secondes :

— Merde... Venez me remplir vite !

Comme un ou une drogué(e), elle manifeste vocalement son bonheur quand Émric la pénétre.

— Allez-y ! Baisez-moi tous les deux ! Prenez-moi comme votre sac à foutre ! Je ne veux plus être capable de marcher demain !

Je ne reconnais plus cette Caline d'avant les vacances, mais sur le moment, je m'en fouts. Émric lui relève les jambes pour avoir un meilleur angle de pénétration. On exécute la demande de la partenaire de nos jeux d'amours, en la baisant sans aucune retenue, et surtout sans aucune considération pour elle. Entre nos mains, ou devrai-je dire, au bout de nos bites, elle est devenue notre objet, et elle ne pouvait plus rien objecter, refuser ou interdire.
Elle semble, non elle est entrain de prendre un plaisir monstrueux de la situation, on voit que cela l'excite grave de faire de nous des zobs sur pattes qui ne peuvent penser qu'à la défoncer, à l'entendre crier son orgasme... Et il y en a eu des orgasmes.
J'ai su, depuis ce regard que j'avais posé sur elle, la première fois qu'on s'était croisé à l'aéroport, qu'elle aime qu'on ait envie d'elle, qu'on ne désir que combler les envies, que ses yeux expriment, vu comment elle a pris l'habitude d'allumer toutes les queues qui se balades sur jambes... Mais cela cache-t-il une envie de se faire violer ?
Une question qui me faudrais lui poser un de ces jours.

— Je n'ai jamais vu une fille autant aimer la bite ! Qui aurait cru que notre meilleure amie était une salope, une vraie de vraie ? Dis Émric en s'adressant à Fabien.
— Sûrement pas moi ! Répond Caline avec un sourire pervers.

La siituation qu'est entrain de vivre ces deux puceaux, rend manifestement Fabien et Émric assez endurant car ils échangent leur place plusieurs fois.

Cela doit bien faire vingt minutes qu'on la baisait. Caline n'a plus vraiment la force de faire une fellation correctement. .
Émirc n'arrive plus à décrocher de sa chatte. Il la lime à un rythme effréné comme s'il cherchait à se décharger dans son nid à bébés. Dans la chambre régne une odeur de sexe et on a tous senti qu'on a très envie d'en finir et d'éjaculer, paradoxalement envie que cet instant ne s'arrête jamais. Je crois, je suis certain, que je ne m'étais jamais autant retenu de toute ma vie. Nous avions tous besoin d'une délivrance salvatrice.
Caline jouissait sans arrêt, elle est insatiable. Puis finalement, elle nous implore tout de même d'arrêter :

— Pitié, stop les garçons. Je n'en peux plus... Ça suffit... J'abdique !

Ses paroles sont à peine audible tant elle était essoufflée. J'accueille sa reddition avec soulagement. Enfin ! Il nous restait plus qu'à lui repeindre la face.

— Tu as eu ton compte, petit Calinou ? L'insulte Fabien.
— Oui... Vous m'avez détruite... Bande de salauds !
— Tu as aimé ça ? Dit Émric.
— Oui ! Je n'ai jamais autant jouis de ma vie !

À peine sorti nos zobs de tous ses orifices qu'elle s'écroule sur le lit sans bouger, en train d'essayer de récupérer son souffle. Quel ne fut mon bonheur, ma joie, de voir dans son regard qu'elle était heureuse et repue.

— Calinou... Réclame Fabien.
— Oui ?
— Comment tu veux qu'on t'asperge ?

Elle se redresse à genou, les bras entre ses jambes écartés, en signe de soumission.

— Allez-y les mecs. Jouissez pour moi. Recouvrez-moi de votre foutre !

Elle a l'air d'une mendiante reclamant sa nourriture... De sperme !
Je ne l'ai jamais vu comme ça. Elle s'offre à nous, attendant notre jus comme une offrande.
On se masturbe tous furieusement pour en finir. C'est merveilleux, nous n'avons plus à nous retenir, juste à nous laisser jouir.

— Allez, les garçons ! Je veux qu'il pleuve du sperme ! J'ai besoin d'une douche de foutre !

Je ne sais dire lequel d'entre nous l'arrose en premier, mais nous éjaculons tous plus ou moins en même temps. Nous avons jouis abondamment la recouvrant de foutre, sur le visage, les cheveux, les épaules et les seins. Nous n'avions jamais jouis aussi fort, et surtout autant en hurlant notre plaisir.

— C'est la plus bonne baise de toute ma vie ! Dis ai-je
— Moi j'ai pas baiser souvent... Mais si c'est aussi top que ça, je le ferai tous les jours ! Nous dévoile Fabien.
— Je n'peux rien dire de plus ! Complimente Émric.

Caline a du foutre partout comme si un régiment lui était passé dessus. Quand elle comprend que la douche de sperme est finie, elle réouvre les yeux et constate avec joie le massacre que nous avions fait.

— Houlà... Vous m'avez noyée de sperme... J'ai adoré grave de chez grave !


À suivre

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Texte coquin : Vacances avec Cali e (1/4)
Histoire sexe : Une rose rouge
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